Le Bonbon - Avril 2025 by Le Bonbon

VIVE LE PRINTEMPS !

Modèle Kim Higelin

Photographe Yona Romet

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LE BON ÉDITO

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benjamin.h@lebonbon.fr

Tél. : 06 20 23 54 49

Tél. : 01 48 78 15 64

15, rue du Delta – 9e 510 580 301 00040

Samedi, 15h54, l’heure est grave. Dans 6 minutes chrono, j’ai rendez-vous avec mon date, et elle m’a expressément demandé de trouver une place en terrasse. Le problème, c’est que là, au mois d’avril, la terrasse est pleine à craquer vu qu’au moindre rayon de soleil, les Parisiens se jettent dessus comme des morts de faim.

Si je l’enmène à l’intérieur, elle va m’enlever des points, c’est certain. Je peux pas me planter, c’est la deuxième fois qu’on se voit, faut conclure là. Alors me voilà comme un idiot à attendre que deux chaises se libèrent.

Tic-tac, tic-tac. Allez, relaxe-toi mon garçon. Concentre-toi bien. Le serveur vient me voir : « M’sieur, vous désirez ? » Je lui montre la terrasse pleine, il me répond d’un haussement d’épaules. Oui, ça va, je sais que le défi est de taille.

Je mets mon radar en marche. Le couple de retraités, ils ont bientôt fini leur thé. Le mec seul en lendemain de soirée en est à son deuxième Perrier. Plus loin, une table de jeunes mamans n’arrête pas de blablater. Zut, les retraités recommandent un truc. Le mec seul ? Il se lève. Il va se barrer. La situation est critique, je dois bondir sur cette table avec élégance. Voilà, c’est fait, opération réussie, j’ai gagné. 16h30. Mon date m’a mis un vent. Elle ne répond même pas à mes appels. Pffff, ça valait bien le coup de faire tout ce cinéma. Pas grave, je me suis réconforté en lisant un exemplaire du Bonbon, j’y ai trouvé plein d’infos pour sortir ces prochains jours. Et en plus, c’est gratuit.

Une de perdue, dix de retrouvées ! Bon mois d’avril à vous les Bonbons !

¤ Mikado

AU 07/09/25 DU 11/04/25

Georges Mathieu peignant l’Hommage au Connétable de Bourbon, auteur

du sac de Rome sur la scène du Fleischmarkt

Theater,

Vienne, 2 avril 1959

© Hulton Archive via Getty Images © ADAGP, Paris, 2025

On part à la découverte des Trésors sauvés de Gaza à l’Institut du monde arabe

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À travers cette nouvelle exposition, l’Institut du monde arabe dévoile une impressionnante collection de véritables trésors en provenance de Gaza. Issues des fouilles franco-palestiniennes débutées en 1995, ces 130 œuvres retracent plus de 5 000 ans d’Histoire et d’un patrimoine d’une richesse inestimable.

Trésors sauvés de Gaza

Institut du monde arabe 1, rue des Fossés-Saint-Bernard – 5e À partir du 3 avril 2025

On prend de la hauteur sur le rooftop de la Bellevilloise

On ne se lassera jamais de la vue panoramique que nous offre le toit-terrasse de la Bellevilloise et ça tombe bien : il rouvre le 11 avril prochain. Cocktails, ambiance méditerranéenne, vue digne d’une carte postale… Ce jardin suspendu pouvant accueillir près de 200 personnes promet d’être à nouveau notre QG de la saison estivale.

La Bellevilloise 19-21, rue Boyer – 20e Réouverture le 11 avril 2025

On va faire la fête au Canal Barboteur

Préparez-vous : l’open-air le plus itinérant de la capitale fait son come-back pour une nouvelle et neuvième édition ! Le samedi 5 avril, c’est une soirée house groovy qui lancera les festivités. On y retrouvera notamment le duo Groove Boys Project qui mettra un peu d’été dans nos vies avec ses sonorités solaires, ou encore Dusty Fingers qui nous fera voguer au fil de ses sets mêlant deep, house 90’s ou disco.

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Le Canal Barboteur

6, rue Raymond-Queneau – Bobigny

Réouverture le samedi 5 avril 2025

De 16h à minuit

© Canal Barboteur

Humbert

On chante se laisse émouvoir au Théâtre Nanterre-Amandiers

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Questionner l’héritage familial, la place de la femme et de la mère dans la société, les injonctions… En avril, le Théâtre NanterreAmandiers accueille la pièce Anatomie d’un suicide. Le texte d’Alice Birch, mis en scène par Christophe Rauck, se déploie en une performance, mêlant humour et émotion.

Anatomie d’un suicide

Théâtre Nanterre-Amandiers 7, av. Pablo Picasso — Nanterre Jusqu’au 19 avril 2025

On investit dans de belles fenêtres en bois

Les beaux jours reviennent, certes, mais le froid est encore de mise. Pourtant, avec la crise énergétique, pas question de se rabattre sur le chauffage. Le meilleur bouclier pour lutter contre les fraîcheurs printanières ? Nos fenêtres. Spécialisé dans celles en bois, 1001 fenêtres sera votre meilleur allié. Finitions parfaites, matériel de qualité, excellent rapport qualité-prix… n’hésitez plus !

1001 fenêtres

71, rue Condorcet – 9e Tél. : 01 45 33 03 86

On fait un bond dans les années 30 au Guichet Montparnasse

50 ans après sa disparition, la célèbre chanteuse des années 30 Andrée Turcy reprend vie sur les planches du Guichet Montparnasse. Entre les plus grands cabarets parisiens et les scènes de Marseille et d’Alger, Guillemette Lefèvre et Jean-Christophe Born rendent un hommage percutant et poétique à cette figure du music-hall.

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Qui êtes-vous, Andrée Turcy ?

Guichet Montparnasse 15, rue du Maine – 14e Du 11 avril au 25 mai 2025

HOT POT, HOT SPOT

Sous les voûtes du passage du Grand-Cerf, une adresse récemment installée titille les amateurs de cuisine asiatique : Bajium. Ce restaurant spécialisé dans le malatang propose une expérience aussi ludique que savoureuse, avec une personnalisation totale de son bol, du choix des ingrédients à l’assaisonnement.

Chez Bajium, pas de menu figé. Ici, on se sert soi-même ! Le principe est simple : muni d’un bol et d’une pince, on pioche parmi plus de 80 ingrédients ultra-frais. Viandes halal, poissons et fruits de mer, légumes bio, tofu, nouilles sous toutes leurs formes, boulettes de poisson, œufs… Le plus dur ? Faire son choix. Une fois votre bol garni, direction la caisse pour le pesage : 3,19€ les 100 g, avec un minimum de 300 g.

Ensuite, place aux bouillons, faits maison et mijotés pendant 24h. Six saveurs sont disponibles : tomate, poulet, chou fermenté, bœuf, champignons ou encore trois poivres. Vous préférez une version sautée sans soupe ? C’est également faisable. Pour les amateurs de sensations fortes, il est même possible de choisir son niveau de piment. La touche finale se joue ensuite au bar à sauces, avec une douzaine d’ingrédients pour composer votre assaisonnement

sur-mesure : huile pimentée, sauce satay, coriandre, pâte de sésame… de quoi sublimer votre création. Pour une option plus rapide, le resto propose aussi 4 formules à partir de 12,50€ par personne : au choix bœuf, végé ou fruits de mer.

Bajium ne se contente pas de régaler ses clients mais les plonge dans une ambiance à la fois moderne et traditionnelle inspirée de son pays. Au rez-de-chaussée, on s’installe aux comptoirs en bois face à la vitrine, tandis qu’à l’étage, de grandes tablées chaleureuses bordées de banquettes rouges nous attendent. Partout, les lampions et néons nous transportent au cœur de la Chine, sans oublier le mur impressionnant de masques traditionnels chinois.

Ajoutez à cela un accueil chaleureux et des effluves enivrantes de bouillon, et vous obtenez une adresse où il fait bon s’attabler. Un hot pot à la carte, une ambiance immersive et des saveurs qui claquent : Bajium a tout bon ! ¤ A.C.

Bajium

145, rue Saint-Denis – 2e

Tél. : 01 83 81 89 00

Ouvert tous les jours de 12h à 22h30 @bjm_paris

UNIQUE ET COLORÉ

Optique des Vosges, c’est notre opticien incontournable dans le 4e. On y retrouve des montures colorées et personnalisables, des verres de qualité et on bénéficie d’une prise en charge chaleureuse et bienveillante. Plus besoin d’hésiter !

Du jaune, du rouge, du bleu, de forme ronde, carrée, voire les deux… Lorsque l’on passe la porte d’Optique des Vosges, nous voilà plongés dans le temple de la lunette qui sort de l’ordinaire. Telle une maison de poupée boisée située à deux pas de la place des Vosges, cette petite boutique en place depuis 1989 accueille celles et ceux « qui rêvent d’autre chose dans ce monde un peu aseptisé », explique Sabine, associée de cette affaire familiale. Issue du milieu de la gemmologie, elle a lié ses compétences à celles de son frère Éric, professionnel de l’optique, il y a plus de 30 ans. L’artisanat et la technique, l’alliance parfaite de deux savoir-faire pour obtenir des lunettes d’une grande qualité, qui habillent le visage tel un bijou.

Parce que chaque paire de lunettes est associée à un moment de vie, chez Optique des Vosges, la prise en charge se fait selon un cérémonial, de préférence sur rendez-vous afin « d’être en lien et à l’écoute » avec le client. Ici, pas de marques de haute couture, mais des montures pétillantes et originales. Les collections sont principalement choisies au coup de cœur, « on chine ce qu’on ne trouve pas ailleurs ». Parmi les incontournables : leur collection qui permet de choisir la forme, la taille et le collage de couleurs des lunettes,

mais aussi Franswa Creation, des montures en bois 100 % personnalisables, créées à la main par l’un des collaborateurs du magasin, formé en ébénisterie.

Côté verres, ils ont fait le choix de se tourner vers Essilor, leader mondial, qui procède à 65 étapes de fabrication. Les trois opticiens sont d’ailleurs spécialistes du verre progressif, basse vision et de forte correction. Des verres d’exception avec des montures d’exception, chez Optique des Vosges, on fait le pari de la couleur et de la singularité, et ça nous plaît ! ¤ L.G.

Optique des Vosges 12, rue Saint-Antoine – 4e

Tél. : 01 42 72 66 17

Mardi, jeudi, vendredi : 10h-19h30

Mercredi, samedi : 11h-19h30 optique-desvosges-cauderlier.com @optiquedesvosgesetcauderlier

L’EUROPE À PORTÉE DE MAIN

Saviez-vous qu’il existait d’incroyables vins géorgiens vieillis en amphores ?

Que l’on pouvait déguster des chili oils produites en Irlande ? Ou encore que l’on trouvait parfois en Italie d’étonnants ragù de homard ? Ce sont tous ces produits, et bien plus encore, que Gabriel met en avant dans son épicerie pas comme les autres, pour nous proposer ce que l’Europe fait de meilleur.

Dans cette boutique aux murs en pierre et aux belles poutres apparentes, il n’est pas forcément question de terroir ou de tradition, mais plutôt d’originalité, de qualité et de modernité.

Sur les étagères, Gabriel nous propose la fine fleur de l’épicerie européenne, pour mettre en avant les richesses du Vieux Continent souvent boudées au profit d’une gastronomie lointaine « plus exotique ». Pourtant, nous sommes bien loin de nous douter de toutes les merveilles que nos voisins ont à offrir. Et pour cause, on a souvent tendance à réduire l’Allemagne à la bière, l’Italie à la mozzarella et l’Espagne au jambon.

Bien loin de tous ces clichés, dans cette épicerie presque magique, on découvre des produits étonnants, tous importés directement de producteurs finalement

pas si loin de nos frontières. Du salé, du sucré, du frais, du prêtà-consommer, mais aussi beaucoup d’aides à la cuisine comme des herbes, des mélanges d’épices ou des huiles d’olive à tomber par terre. Des produits que l’on ne retrouve nulle part ailleurs (ou presque), comme ces sauces piquantes lituaniennes, ou de la colatura di alici, un incroyable exhausteur de goût qui se rapproche du garum, le ketchup de l’Antiquité romaine.

Cerise sur le gâteau, et cette nouvelle réjouira tous les fidèles arpenteurs du Quartier latin, ici, on retrouve aussi des sandwichs préparés à la demande,

des planches apéro dont les fromages et les charcuteries n’ont absolument rien à envier à ceux de chez nous, ou encore un délicieux café italien à prendre à emporter pour aller se poser devant le Panthéon les jours de beau temps. On n’a plus qu’une seule chose à dire : vive l’Europe ! ¤ C.V.

Le Comptoir Gastronomique Européen 14, rue Descartes – 5e

Tél. : 01 42 01 07 06

Overt du mardi au samedi de 11h à 19h lcge.fr @lcge75

UN NOUVEAU RESTO NIKKEI

Discrètement niché dans un ancien casino emblématique de Pigalle, Yora est devenu un véritable temple du Nikkei, cette cuisine fusion associant des éléments japonais et péruviens. L’occasion de faire le plein de saveurs dans un lieu au charme fou.

Il était une fois Yora, une adresse insoupçonnée de la rue Frochot. Jadis cercle de jeu durant les Années folles puis maison close avant de se muer en élégante salle de réception, le lieu n’a jamais perdu de son charme et s’est récemment réinventé autour du Nikkei. Aujourd’hui, Yora entre ainsi en scène avec une toute nouvelle carte portée par les chefs Jian Wang et Vincent Marcy, célébrant l’excellence des produits japonais et la subtilité des saveurs péruviennes.

Dans un cadre d’exception, où les vitraux Hokusai – classés au patrimoine culturel français – côtoient l’ambiance feutrée et contemporaine de la salle du “cercle de jeu”, Yora invite à une expérience gastronomique unique. La nouvelle carte met à l’honneur des plats signature comme les bouchées de Black Cod, le Tiradito de dorade ou encore des Temaki au thon d’une fraîcheur irréprochable. Chaque bouchée est une rencontre entre tradition et modernité, un équilibre parfait entre deux cultures culinaires d’exception. Toutefois, que les habitués de Villa Yora se rassurent : les best-sellers péruviens, comme le guacamole, le riz verde et les ceviches restent à la carte.

Yora, c’est aussi un lieu de fête et de partage, à deux pas de l’effervescence de Pigalle. Chaque samedi, les DJ sets latinos enflamment

le restaurant de 19h à 2h du matin, transformant l’espace en un véritable temple de la fête, où cocktails d’exception et musiques entraînantes font vibrer les murs.

Privatisable pour toutes sortes d’événements – conférences, journées presse, anniversaires ou soirées d’entreprise –, l’établissement peut accueillir jusqu’à 300 personnes, offrant un cadre unique pour immortaliser de beaux moments de vie. Plus qu’un restaurant, Yora est finalement une destination à part entière. ¤ F.G.

Yora

2, rue Frochot – 9e Tél. : 01 49 29 50 50 Du lundi au dimanche, de 12h à 15h et de 19h à 2h villayora.com @yora.paris

Communiqué | L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.

À deux pas du canal Saint-Martin, une nouvelle terrasse au soleil invite au farniente et à la gourmandise. Né de l’imaginaire de Guido, pur produit de Trévise, chaque plat est une déclaration d’amour à la cuisine transalpine. Ici, l’Italie se vit, se sent, se dévore.

OTTOBRE, C’ESTL’ANNÉE !TOUTE

Guido a toujours eu Paris dans la peau. Plus jeune, il passait ses week-ends dans l’appartement de sa mère, rue Mouffetard. Après avoir roulé sa bosse dans les meilleures tables de Paris et Londres – où il a servi la famille royale –, il décide de prendre les rênes d’Ottobre.

Pour démarrer le festin, Guido, avec son accent chantant, nous suggère les tapas : la stracciatella ultra-crémeuse, speck fumé au millimètre, légumes confits qui fondent sous la dent. Après cette mise en appétit, c’est l’heure de goûter les pasta, dont les recettes changent chaque jour. Mais rassurez-vous, les classiques Lasagne alla Bolognese, gratinées comme il faut, ou les Cannelloni di Magro, farcis de ricotta et d’épinards, eux, restent.

Parlons peu, parlons pizza. Aux commandes du four, Carmine, pizzaïolo venu tout droit de Naples. Guido choisit ses blés avec un soin maniaque – dont la célèbre Petra, affinée à Este, pour donner à ses pizzas une légèreté rare. La Margherita (la moins chère du quartier) joue la carte du classique,

et la Carbonara di Carmine revisite le plat mythique de pasta avec guanciale bien grillé et parmesan bien affiné. On craque aussi pour la Nonno Guido : crème de cèpes, burratina, lard de Colonnata, ou encore la star, l’Ottobre avec crème de truffe, mozzarella, trio de champignons. On arrose le tout de vin italien, et on termine sur une note sucrée : tiramisu maison de Mamma Livia, ou panna cotta très originale, nappée de confiture de tomates… aucun risque d’être déçu.

Que dire de la déco ? Guido, riche d’une expérience en école d’art, a sorti l’artillerie lourde. Exit les clichés, place à un design qui en impose : carrelage inspiré des musées italiens au mur, teintes terra cotta et vert profond... Une ambiance qui nous donne une envie irrésistible de revenir, encore et encore. ¤ R.T.

Ottobre

2, rue Marie-et-Louise – 10e Tél. : 01 80 87 21 18 ottobre-pizzeria.com @ottobre.pizzeria

Au cœur de la rue du Faubourg-du-Temple, dans le 10e, un tout nouveau studio de yoga vient d’éclore : j’ai nommé La Canopée, joli spot caché fondé par Hortense, yogi depuis plus de dix ans.

LE NOUVEAU TEMPLE DU YOGA

Après des années de pure détente sur l’avenue Trudaine dans le 9e, Hortense a plié bagage pour installer son studio de yoga entre Belleville et Goncourt, dans un magnifique espace qui vaut absolument le détour. Imaginez : une rue fourmillante qui cache dans une cour cachée un lieu de près de 300 m2 au calme assuré, baignant dans la lumière naturelle. Un véritable havre de paix en plein cœur de la capitale, où belles plantes vertes, petit café intimiste, atelier de peinture coloré, salon de massage et salles de yoga jouent des coudes pour nous proposer le meilleur temple du bien-être de Paris.

Ouvert tous les jours du matin au soir, La Canopée rassemble une dizaine d’enseignant·es passionné·es et expérimenté·es, proposant des cours variés et des ateliers le week-end. Au programme ? Du Vinyasa, du Hatha, du Yin, du Pilates… et la spécialité d’Hortense, le Nidra, le yoga du sommeil pour une détente absolue. Une pratique que vous pouvez d’ailleurs retrouver sur son podcast Nidra,

le yoga du sommeil, qui cumule aujourd’hui plus d’un million d’écoutes.

Vous l’aurez donc compris, ici, les bonnes énergies chassent tout stress et angoisses accumulées par nos trains de vie d’ultra-citadin·es. Une fois le pas de la porte passé, on souffle enfin, accueilli·es par le doux sourire d’Hortense. On file ensuite au vestiaire pour se mettre en tenue – avec casiers sécurisés, toilettes et douches à dispo – avant de s’installer sur son tapis et de démarrer sa pratique. Le temps d’une séance, on laisse le quotidien de côté et on se dédie à ce moment de sérénité. Que l’on soit débutant·e ou yogi aguerri·e, on en ressort requinqué·e et apaisé·e. Voilà la promesse de La Canopée ¤ M.S.

La Canopée 99, rue du Faubourg-du-Temple – 10e Tél. : 07 82 73 97 00 Ouvert 7j/7 atelierlacanopee.com · @atelierlacanopee

TROIS, DEUX, IMPRO !

Sophia, metteuse en scène depuis plus de 25 ans et passionnée de théâtre, propose depuis 2021 des cours de théâtre et d’improvisation dans la capitale. Entre ateliers ponctuels et rendez-vous hebdomadaires, elle a à cœur de proposer des moments entre rencontre, partage et développement personnel. Bienvenue chez Evenice.

On le sait, prendre la parole en public, ce n’est pas toujours évident, surtout quand on n’en a pas l’habitude. Mais si on vous disait qu’il existait un moyen ludique et humain d’améliorer ses compétences

en la matière ? Pour cela, rendez-vous chez Evenice, une école de théâtre parisienne pas comme les autres. Chaque semaine, Sophia propose des cours de 2h pour travailler autour de l’improvisation, dans la joie et la bonne humeur. Ici, on ose construire des histoires, développer des personnages, et surtout se faire plaisir sans aucun jugement. Car chez Evenice, ce qui compte, c’est l’écoute. Chaque cours commence d’ailleurs par une météo des émotions et de gratitudes, et se conclut par les avis de chacun. Que vous soyez novices ou improvisateurs plus confirmés, pas de panique, vous saurez

Communiqué

trouver votre place au sein des groupes d’une dizaine d’élèves et exploiter le meilleur de votre potentiel, tout en passant un bon moment. Grâce à des exercices et des thèmes extrêmement variés, toujours aussi drôles qu’intéressants, vous apprendrez à approcher différentes problématiques et à acquérir des capacités qui sauront vous servir ensuite dans chacun des aspects de votre vie, que vous pourrez surtout mettre en avant lors du spectacle de fin d’année devant le public…

Eh oui, on sait, s’engager sur une année, entre la famille, le travail et les

copains, c’est parfois un peu compliqué. Mais ça tombe bien, puisque Sophia propose aussi des ateliers ponctuels centrés sur l’improvisation ou la prise de parole en public. Et pour les entreprises ou les groupes, des sessions de team building sont également disponibles pour renforcer la cohésion d’équipe. Quels que soient votre profil ou vos attentes, vous trouverez votre place sur la scène. Alors, prêts à improviser ? ¤ C.V.

Evenice evenice.fr @eveniceparis

Envie d’un apéro haut en saveur et en couleur ? Foncez chez Asian Wok, le spot incontournable d’Oberkampf pour un voyage culinaire asiatique en mode tapas, cuisine au wok, currys maison et cocktails XXL.

UN APÉRO ASIATIQUE EXPLOSIF

Aux commandes, Max, passionné de cuisine asiatique depuis l’enfance – merci Mamie et ses virées au resto cambodgien –, et ça se sent. Ici, tout se passe dans la générosité : la Thaïlande et le Cambodge s’entrelacent dans l’assiette avec une fraîcheur qui fait du bien. L’équipe, ultra souriante, vous accueille comme si vous étiez de la famille.

Côté tapas, préparez-vous à une avalanche de saveurs ! Pour bien commencer, on plonge sans hésiter dans les Ha Kao, ces petites bouchées vapeur aux crevettes, les raviolis vietnamiens Bánh Cuốn fondants à souhait, ou encore les croquettes de poulet caramélisé à la coréenne, un vrai délice sucré-salé. Besoin de fraîcheur ? Les rouleaux de printemps arrivent à la rescousse, légers et parfumés.

Quand la faim devient sérieuse, place aux plats emblématiques. Les currys rouge et vert préparés maison vous transportent direct en Thaïlande. Le bœuf mariné “Tigre qui pleure”, avec sa marinade thaï intense et épicée, est une vraie bombe de saveurs. Et bien sûr, l’indémodable Pad Thaï, toujours aussi irrésistible dans son wok fumant.

Côté végétarien, de nombreuses alternatives gourmandes sont proposées comme ce wok d’aubergines caramélisées aux épices thaï.

Ici les cocktails se sirotent en mode XXL (65 cl !) pendant l’happy hour. Plutôt Asian Spritz (au combava et gingembre) ou thé glacé matcha-pêche ? Les amateurs de breuvages plus classiques ne seront pas en reste avec des Mojitos ou des Daïquiris parfaitement exécutés.

L’ambiance invite au voyage avec sa déco en bambou fabriquée par le père ébéniste de Max. Petite note qui rappelle aussi l’Asie : un énorme GONG qui fera sensation lors de vos prochains anniversaires ! Un nem dans une main, un cocktail XXL dans l’autre, on s’y retrouve ? ¤ R.T.

Asian Wok 63, rue Oberkampf – 11e

Tél. : 07 67 61 66 23

Ouvert du lundi au dimanche de 11h45 à 15h et de 18h45 à 22h30 asianwokparis.com asianwokfr

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SORTIR DES SENTIERS BATTUS

Ça y est, le mois d’avril est là, et apporte avec lui son lot de soleil. Alors pourquoi ne pas profiter de ce début de printemps pour explorer Paris et ses plus beaux sentiers de randonnée ? Ça tombe bien, Merrell, maison spécialisée dans les chaussures et équipements outdoor, vient de sortir son guide ultime d’urban hiking, et il regorge de bons plans.

On a souvent tendance à penser qu’à Paris, le meilleur moyen de se déplacer est de prendre les transports en commun ou de prendre un vélo. Pourtant, la marche offre une liberté qu’aucun

autre mode de déplacement ne sera en mesure de vous fournir. En marchant, on prend son temps, on regarde son environnement, on découvre des ruelles cachées. Car, contrairement aux apparences, les randonnées ne sont pas réservées à la campagne, et la ville regorge de sentiers à emprunter. Et pour savoir par où commencer, Merrell est là pour vous. Grâce à son Urban Hiking Guide, la marque vous recommande des itinéraires à suivre pour profiter de Paris autrement, mais aussi d’autres grandes capitales européennes, puisque le guide nous entraîne également à Londres, Barcelone, Berlin… De notre côté, on vous a sélectionné

notre préféré, qui part du parc de Belleville, longe le canal Saint-Martin, endroit magique où eau et verdure se mêlent, et termine au Centquatre Paris, pour allier enrichissement physique et culturel.

Cependant, au-delà d’un parcours bien conçu, une randonnée appréciée et validée passe aussi par un bon équipement.

Heureusement, le nouveau guide Merrell est plus que complet et saura répondre à toutes vos attentes, aussi bien au niveau de la technique qu’au niveau du style.

Depuis plus de 30 ans, la maison propose des créations ingénieuses, rigoureusement

testées pour vous offrir les meilleures sensations et une durabilité supérieure à la moyenne. Entre les SpeedARC matis GTX et les Moab Speed 2 GTX, vous êtes sûrs de trouver chaussure à votre pied. Pour compléter le tout, on opte pour une veste, un pantalon ou un pull pour être paré à n’importe quelle éventualité. Une collection unique, conçue spécialement pour la sortie du guide, qui vous permettra de ne vous soucier de rien à part une chose : choisir l’itinéraire qui vous tente le plus, et profiter de l’instant ! ¤ C.V.

merrell.com

Êtes-vous déjà tombé amoureux en un regard dans un bar ? Avez-vous erré en pleine nuit dans la capitale avec quelqu’un que vous veniez de rencontrer ? Avez-vous eu l’impression d’avoir vécu toute une vie en une nuit ? Alors le très poétique Alterlove devrait vous remémorer quelques bons souvenirs. À l’écran, une ode à la jeunesse d’aujourd’hui avec Kim Higelin et Victor Poirier, deux amoureux écorchés vifs à l’alchimie quasi parfaite. Rencontre.

L’ALCHIMIE

Ce serait quoi pour vous une nuit de rêve à Paris ?

Victor Poirier : Une nuit où on sort, on voit des amis, on boit des coups, on rigole, on raconte des conneries et on fait des bisous. Kim Higelin : Pour moi ce serait rester chez moi et regarder un enchaînement de tous les dessins animés que je regardais enfant en récitant les dialogues. Les Winx, par exemple.

Dans Alterlove, on observe vos personnages déambuler dans les rues de la capitale le temps d’une nuit. Qu’est-ce qui vous a touché ? Qu’est-ce qui vous a fait dire oui ?

Kim : C’est rare dans nos métiers d’avoir la possibilité de faire un film aussi fou que celui-là. On est dans un milieu où tout est fait de manière assez millimétrée, où il faut beaucoup de fonds, de

financements, parler à beaucoup de gens, et c’est assez rare qu’on te dise « Tu veux partir à l’aventure et essayer de faire en dix jours un énorme truc qui nous demanderait trois mois en temps normal ? ». C’est la première chose qui m’a happée, l’idée de ressentir un peu l’excitation de cette époque où tu es jeune et tu te lances juste avec une caméra. Ensuite, ce film était pour moi le juste milieu entre les cours de théâtre et le cinéma grâce à la manière dont il était filmé. Chaque lieu est une seule scène, donc il n’y avait pas de place pour le lambda, tout était exacerbé et mis en avant et c’est tellement agréable d’avoir autant à jouer dans ces déclarations d’émotions et ces monologues vraiment intenses ! Enfin, la troisième raison, c’est le réalisateur Jonathan Taieb, qui est une personne fascinante, je l’ai rencontré à 9h du matin et on a pris un croissant et du champagne, je l’ai tout de suite adoré et je me suis dit « c’est bon, j’y vais ».

Victor : Moi je savais déjà que ça allait être Kim en face et je voulais jouer avec elle. Je suis ressorti de la lecture du scénario avec plein de questions, j’étais happé, et j’ai aussi eu ce truc de vouloir faire ce film pour Jonathan qui est une personne fascinante de par son amour, sa vision des choses, son côté radical… J’ai très vite eu de l’affection et de l’admiration pour lui.

Lui aussi parle de vous ensemble comme d’une évidence.

Kim : C’est quelqu’un qui fonctionne beaucoup à l’intuition. Par rapport à Victor et moi ensemble, c’est très agréable de rencontrer quelqu’un avec qui tu peux jouer aussi facilement et te sentir libre dans un texte aussi précis. C’est un partenaire de jeu de malade, il a un niveau de dingue, un naturel et une technique de jeu hors-norme.

Victor : Et vice-versa ! Personnellement c’était mon premier premier rôle.

Je suis arrivé assez stressé, assez nerveux sur ce tournage, la veille j’étais presque en train de faire des recherches pour savoir si je pouvais me désister… Et finalement j’ai été accueilli avec énormément d’amour de la part de Jonathan, de toute l’équipe et surtout de Kim. Très vite il y a eu ce truc de « on est ensemble, le film c’est toi et moi, allons-y gaiement ».

J’en viens à Léo et Jade, les personnages que vous jouez tous les deux. Qu’est-ce qui vous a charmés chez eux ? Est-ce qu’ils ont été construits autour de vous ?

Victor : Moi j’ai aimé l’optimisme de Léo. Il est assez solaire et j’avais envie de défendre ce genre de personnage, surtout qu’avec ma tête on a plutôt tendance à me faire jouer des branleurs pas très sympathiques, alors que dans la vie je me rapproche beaucoup plus de ce mec qui aime raconter des conneries et boire des coups.

© Yona Romet

Même si je pense que Léo est encore plus optimiste que moi.

Kim : Jade ne me ressemble pas du tout, et c’est ce qui m’a plu chez elle. Quand j’ai lu le scénario, j’ai trouvé que c’était un personnage très antipathique, qui a beaucoup de mimiques… C’est quelqu’un qui surjoue, mais c’est quelque chose qui s’étiole au fur et à mesure de son parcours avec lui, il arrive à avoir accès à elle et elle s’adoucit. Au début, tu ne comprends pas pourquoi elle en fait autant, pourquoi elle drague autant. Je trouvais cette évolution très jolie.

Du coup, c’était très intéressant, justement, de travailler le corps là-dessus. J’ai travaillé ce côté je-m’en-foutiste qu’elle peut renvoyer. Et même si on n’est pas du tout les mêmes personnes, on a toutes les deux le même désir que tout le monde trouve son bon endroit.

Il y a aussi ça de touchant : le film est assez représentatif de la jeunesse actuelle.

Kim : Oui, et c’est aussi une très belle représentation de ce que l’amour d’aujourd’hui pourrait être. C’est une respiration. Je trouve que les réseaux ne sont pas particulièrement représentatifs de la génération dans laquelle on grandit : on est aussi ces jeunes qui se rencontrent dans des bars et qui vivent des histoires complètement folles. Tu vois, aujourd’hui, un scénario sur deux que je reçois, c’est une jeune femme qui ne parle que par textos, veut devenir influenceuse et parle mal à ses parents. Ce film est hyper agréable pour ces raisons.

J’adore l’idée que la proximité entre les personnages ait évolué en même temps que la vôtre en tant qu’acteurs.

Victor : C’est exactement ce qu’il s’est passé. On a fait très peu de répétitions avec Kim et on a tout tourné dans l’ordre, donc ce qui est assez dingue, c’est qu’au fur et à mesure des jours qui passaient, on se connaissait

de plus en plus. Ce qui, honnêtement, est assez royal pour un acteur : l’intimité se construit avec le temps, au fil des images.

À choisir pour un date, parmi tous les lieux visités à l’écran, vous allez où ?

Kim : Dans la rue ! Je choisis tous les moments d’errance. C’est quand même assez joli de se balader main dans la main dans Paris.

Victor : Moi c’est le taxi. Ça paraît peutêtre idiot mais ça rajoute de la proximité. Il représente toujours un moment charnière dans une soirée : soit tu sors, soit tu es entre deux soirées, soit tu rentres chez toi.

Là il se trouve que le chauffeur de taxi nous parle, que c’est Christophe Lambert et que la scène est assez émouvante, mais même sans ça, en général, le taxi crée une sorte d’intimité et il y a des confidences qui sont dites qui ne sortent nulle part ailleurs.

¤ Sarah Sirel

Alterlove

Sortie le 23 avril 2025

VOILÀ LE PRINTEMPS !

❶❹

AVRIL SOUS HAUTE TENSION

Bélier

21 mars – 19 avril

Une personne vous tire, mais attention, vers le bas. Elle vous empêche de changer et vous fait rester dans une situation qui n’évolue pas !

Petite éclaircie prévue en mai, retenez donc vos ardeurs, car elles ne vous seront utiles que d’ici 4 semaines.

Gémeaux

21 mai – 21 juin

Un peu perdus en début de mois, vous ne savez pas trop où vous allez charnellement parlant. Mais à partir du 15, ça va pécho sévère ! Vous essayerez et expérimenterez plein de nouvelles choses coquines, peut-être même des plans à plusieurs.

Taureau

20 avril – 20 mai

Attention, ce mois d’avril va être chaud pour les Taureau ! Vous avez eu les meilleures cartes du tirage. Toute votre négativité va disparaître d’un coup, et c’est le cas de le dire. à l’inverse du Bélier, cette situation ne va pas durer, alors profitez-en !

Bravo les Taureau !

Cancer

22 juin – 22 juillet

Énergie, pulsion, violence, on voit du BDSM pour les Cancer. Âmes plus pures, vous allez rencontrer l’amour de votre vie avec qui il y aura une passion ardente. Petite parenthèse, on vous conseille de dire oui à une proposition de sortie le 19. Vous nous en direz des nouvelles.

Lion

23 juillet – 22 août

Vous allez pécho quelqu’un de proche de vous, un ami ou un collègue. Je vois un événement de famille. Alors évidemment, même si au final vous ferez ce que vous voulez, la rédaction vous conseille fortement de ne pas vous taper un cousin. À part si quelques degrés vous séparent, comme Christine Boutin. Vierge 23 août – 22 septembre

Vous serez sages. C’est le mois des responsabilités. Boriiiiiiing les virgos. Certains en profiteront pour faire des bébés, d’autres pour acheter un chien. Quoi qu’il en soit, je vois vos visages émerveillés, c’est l’essentiel.

Coucou mes petites loutres, c’est Miss Raph et Perlouze ! Bienvenue dans notre premier horoscope du printemps, spécial sexe ! Laissez-moi vous dire, en ce mois d’avril, que les cartes sont bouillantes ! Bonne lecture !

¤ Miss Raph & Perlouze

Balance

23 septembre – 23 octobre

Mauvaise surprise en début de mois, je vois un gros nuage qui a une tête d’homme toxique. Rassurez-vous, à peine le temps de dire “merde” que tout va se résoudre… par le sexe. Donc un mâle pour un bien.

Sagittaire

23 novembre – 22 décembre

Vous allez vous sentir mieux avec vous-mêmes. Mais je tire la carte de l’hiver. D’ un point de vu sexo, c’est le confort. Pas de folie donc pour les premiers beaux jours mais de la sécurité et du sexe revigorant, réconfortant, et c’est déjà pas mal !

Verseau

21 janvier – 18 février

Vous allez vous réaliser dans tout ce que vous voulez accomplir sous la couette. Mais je vois des secrets et une part d’ombre qui va vous faire du tort. Dommage c’était super bien parti. Mais un tirage est un tirage. Allez next !

Scorpion

24 octobre – 22 novembre

Mois de merde pour les Scorpion. Tous vos espoirs du mois passé vont s’écrouler d’un coup. Évidemment, ce n’est pas une science exacte pour tout le monde. Mais ceux à qui je parle vont se reconnaître. Vous me direz « fastoche, le mec de l’horoscope se mouille pas ». Et c’est tout à fait juste !

Capricorne

23 décembre – 20 janvier

Sortez de votre zone de confort boring.

Je vois quelques problèmes de panne sexuelle. Ce n’est pas votre période. La source est tarie. Vous ne serez du coup pas très sympa avec votre entourage et ce sera l’engrenage. Ressaisissezvous les Capri’ !

Poissons 19 février – 20 mars

Je suis désolé de vous l’annoncer mais j’ai tiré la mort, et le soleil. J’ai appelé tous mes collègues cartomanciens et de pretty adventure teller et personne n’a d’interprétation pour ça. Cela peut signifier une mort et une renaissance direct. Un changement radical.

Tenez-moi au courant à rachel@lebonbon.fr, ça m’intrigue.

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Happy 60 maman, je t’aime fort

Gala, j’rigolais pour ma revalorisation salariale Bizz !