Dossier pédagogique / Le Boulon - Sept/Déc 2015

DOSSIER pÉDAGOGIQUE

SEPT-DEC 2015

spectacles, rencontres, ateliers, découvertes & surprises

> À partir de 6 ans > journées du patrimoine > Thèmes abordés l’habitat, la rencontre, l’étranger, les souvenirs

sam 18 sept & DIM 19 SEPT / 15h > 18h à Fresnes-sur-l’Escaut

habitaculum Cie Kamchatka

À l’occasion des Journées du Patrimoine, le Boulon quitte ses murs pour ré-enchanter le parc Joliot-Curie de Fresnes-sur-l’Escaut. Découvrez ce joyau vert patrimonial situé en plein coeur de la ville, à travers une visite-spectacle très spéciale, jalonnée de surprises, guidée par une douzaine de curieux occupants.

Sans un mot, avec une infinie douceur, ces nouveaux voisins vous accueillent et vous invitent à entrer dans leur univers poétique, à vivre une rencontre inoubliable, intime et emplie d’humanité.

D’où viennent-ils ? Quel exode ont-ils vécu ? Quel(s) chemin(s) ont-ils emprunté pour arriver jusqu’ici, jusqu’à vous ? Venez le découvrir, vos cinq sens en éveil. HABITACULUM vous invite à faire un voyage hors du temps !

> BILLETTERIE / LIEU DU RENDEZ-VOUS : Au garage vert, situé face au n°47 rue Ghesquière (non loin de l’entrée du parc). A l’heure qui vous convient, rendez visite à vos nouveaux voisins, en ayant réservé votre créneau horaire auprès du Boulon. > durée : entre 30 min et 1h > à partir de 6 ans > 3€ Sur réservation : au 03 27 20 35 40 reservation@leboulon.fr Restauration sur place, par La Table du Boulon

Installation habitée accueillie dans le cadre d’un projet de territoire soutenu par Valenciennes Métropole / Contrat de Ville. Avec l’aimable collaboration de la ville de Fresnessur-l’Escaut.

> À PARTIR DE 8 ANS > Cirque au féminin > Thèmes abordés l’apesanteur, la performance, le numero

ven 16 oct à 14h30 séance scolaire Sam 17 oct à 20H30 séance tout public

Capilotractées

Sanja Kosonen & Elice Abonce Muhonen L’une est rousse et fildefériste, l’autre est brune et trapéziste. Ensemble, elles remettent au goût du jour un numéro de cirque ancestral : la suspension par les cheveux. Les cheveux nattés, telles des sœurs siamoises suspendues par le chignon, Sanja et Elice s’envoient en l’air avec grâce, jouant des lois de la gravité, de manière acrobatique et amusée. Défiant le bon sens, maniant la guitare et le ukulélé et nous contant le folklore finlandais, le duo d’amazones met en scène un cabaret décalé, drôle, à l’esprit rétro et pop rock parfois. Une leçon de capilotractage qui ne vous fera plus jamais voir le cheveu comme avant !

Auteures et interprètes : Sanja Kosonen, Elice Abonce Muhonen / Avec le regard complice de Tsirihaka Harrivel et Vimala Pons / Régie, construction et création lumière : Jérémie Bruyère / Conception, construction structure : Michel Carpentier / Création et arrangements musicaux : Sébastien Wodjan, Tsirihaka Harrivel et Vimala Pons / Création costumes et coiffures : Sanja Kosonen, Elice Abonce Muhonen

> Durée : 1h10 > A partir de 8 ans > 9/6 euros > 5 euros en scolaire Sur réservation, au 03 27 20 35 40 emeline.jersol@leboulon.fr Restauration sur place, par La Table du Boulon

www.galapiat.com

« Entre postiches, touffes et autres délires à couper les cheveux en quatre, elles inventent un cabaret léger et malicieux, où chaque mèche vaut son pesant d’or pour s’envoyer en l’air...». Rosita Boisseau - Le Monde

Les pistes pédagogiques quelques éléments techniques : le secret de la suspension Le cheveu... jamais comme on veut.

Toujours rebelle, trop court, trop long, pas assez blond, pas assez bouclé...

Il mène sa petite vie et pour cause...

Un unique cheveu peut avoir une charge maximale de 100 grammes. Partons sur le principe qu’une tête comporte à peu près 150 000 cheveux, cela nous donne une charge maximale de pas moins de 15 tonnes !

Chaque jour, nous perdons entre 50 et 100 cheveux soit 30 000 par an.

Chez la femme, la durée du cycle de croissance est de 4 à 7 ans, contre 2 à 4 chez l’homme.

Les cheveux poussent plus vite chez la femme que chez l’homme. En une vie, nous pouvons produire environ 10m de cheveux, soit 1 000km mis bout à bout.

Autre fait : il est impossible d’écraser un cheveu avec un marteau !

Pour Sanja Kosonen et Elice Abonce Muhonen, fildefériste et trapéziste, la suspension par les cheveux est une nouvelle piste de travail, un nouvel agrès.

À gauche : Frida à la tresse, 1941 À droite : Barnum & Bailey greatest show on earth : By the hair of their heads, 1916

En groupe : En arts plastiques : la représentation de la chevelure féminine longue en sculpture, peinture... > Les cheveux, parure de la séductrice ou de la sainte ? > Jeux de cheveux, cachés, coiffés, courts ou longs !

En français : comme pour les arts plastiques, les exemples ne manquent pas que cela soit en poésie ou en littérature moderne mais aussi dans les contes pour enfants.

Quelques exemples : - Joachim Du Bellay, L’Olive, X, (1550) - Pierre de Marbeuf 1596-1645, Recueil de vers, 1628 - Conte de Grimm, Raiponce, 1812 et sa version Disney avec le film d’animation - Charles Baudelaire, Un Hémisphère dans une Chevelure, Le Spleen de Paris, 1869.

N’oubliez pas, une valise pédagogique avec des ouvrages et dvds sur les arts de la rue et du cirque est disponible sur simple demande. Et parce que l’humain, c’est bien, je reste à votre écoute pour venir en parler avec vous ou votre groupe !

> résidence de territoire > exposition, Chantier de construction > DE MARS à OCTOBRE 2015

EXPOSITION sam 19 SEPTEMBRE à Fresnes-sur-l’Escaut CHANTIER PARTICIPATIF DU SAM 19 au MERCREDI 21 OCTOBRE à Fresnes-sur-l’Escaut et BRUAY-SUR-ESCAUT INAUGURATION DES OBSERVATOIRES LE MERCREDI 21 OCT à Fresnes-sur-l’Escaut et BRUAY-SUR-ESCAUT

les observatoires du paysage Les Saprophytes

> Thèmes abordés La construction, le chantier, le patrimoine, le collectif

Le Boulon aime faire se rencontrer habitants, artistes et acteurs du territoire, autour d’aventures co-construites qui insufflent de la poésie et de l’imaginaire dans la ville. Ces projets participatifs s’appuient sur des résidences d’artistes et des spectacles et sont l’occasion de recréer des liens sociaux et de questionner ensemble notre cadre de vie. Cette année, le Boulon confie au collectif poético-urbain d’urbanistes Les Saprophytes l’écriture d’une aventure humaine sur le corridor minier valenciennois, en collaboration avec les villes de Fresnes-surl’Escaut et Bruay-sur-Escaut. L’occasion d’inviter les habitants à donner leur point de vue sur leur ville, à travers la confection de petits et grands « observatoires du paysage », dans le cadre d’ateliers-balades proposés durant l’été et d’un chantier participatif, du samedi 17 au mercredi 21 octobre de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h.

En collaboration avec les écoles Louis Pasteur à Fresnes-sur-l’Escaut et Georges Brassens à Bruay-sur-Escaut et des associations et acteurs locaux du territoire, dans le cadre des Contrats de ville – Valenciennes Métropole.

Les rendez-vous (gratuit)

Gratuit Plus d’infos au 03 27 20 35 40 emeline.jersol@leboulon.fr

> Exposition des outils d’observation le samedi 19 septembre après-midi > Chantier participatif du samedi 17 au mercredi 21 octobre De 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h > Inauguration des observatoires le mercredi 21 oct à 14h30

www.les-saprophytes.org

Lors des balades estivales sur le territoire

> Festival de marionnettes > Vacances scolaires !

Ven 23 et SAM 24 oct. - séances diverses

F.i.m - Festival itinérant de marionnettes Compagnie Zapoï

La 7ème édition du Festival Itinérant de Marionnettes orchestré par la Cie Zapoï se déroulera du 5 au 26 octobre sur les communes de Beuvrages, Saultain, Thivencelle, Condé-sur-l’Escaut et Vieux-Condé.

Un temps fort de spectacles prendra place au Boulon, les vendredi 23 et samedi 24 octobre, avec « Noir ou blanc » de Papierthéâtre, « Mijaurées ! » d’Anima Théâtre et « Les animaux inéluctables » du Collectif 23h50. L’occasion d’approcher de près la création contemporaine de ce champ artistique qui tire le fil de la rencontre entre les artistes et les habitants de l’agglomération.

Une exposition imaginée par le Musée des arts de la Marionnette de Tournai, « Les marionnettes dans les films d’animation », sera présentée à la Médiathèque Le Quai de Condé-sur-l’Escaut du 13 au 24 octobre.

NOIR OU BLANC - Compagnie Papierthéâtre L’histoire d’un jeune garçon qui découvre un pays merveilleux en compagnie de son grand-père, avant que ce dernier quitte ce monde. Le texte de Narguess Majd est inspiré de l’oeuvre de l’italien Roberto Puimini, Mathias et son Grandpère, qui permet aux enfants d’accepter la mort d’une façon plus douce. Et aussi une occasion de découvrir le théâtre de papier.

A partir de 6 ans - durée : 40 min Vendredi 23 octobre à 14h et 16h30 Samedi 24 octobre à 14h et 16h30 MIJAURÉES ! - Anima Théâtre Un ensemble de 7 textes inspirés de 7 contes classiques, écrits par 7 auteurs...

7, comme les ogresses. 7 textes, 7 voix, mais 1 histoire qui se révèle, celle de la femme de l’ogre, seule en scène, qui fait feu de tout bois (jeu, marionnette, théâtre d’objet, danse, chant) pour se raconter.

A partir de 7 ans - durée : 1h Vendredi 23 octobre à 11h et 15h Samedi 24 octobre à 19h

> 3€ Sur réservation auprès du FIM 06 45 42 60 99 reservation@fim-marionnette. com Restauration sur place, par La Table du Boulon

LES ANIMAUX INÉLUCTABLES - Collectif 23h50 Le spectacle est tiré d’une série de trois nouvelles de l’écrivaine contemporaine lituanienne, Valdoné Budreckaité. Trois nouvelles, trois personnes, trois animaux. Les apparitions surréelles des animaux annoncent la fin de notre existence, un phénomène naturel que l’on ne peut pas éviter, car il se produira inéluctablement.

A partir de 8 ans - durée : 45 min Vendredi 23 octobre à 19h Samedi 24 octobre à 11h et 15h www.fim-marionnette.com Revenir vers nous courant septembre pour les horaires de représentations !

> À PARTIR DE 12 ANS > baNquetthéâtre de rue > Thèmes abordés l’état amoureux, le couple, l’amour, le fantasme et le mensonge

lundi 9 nov, 14h30 Sortie de Fabrique scolaire jeudi 12 nov, 18h30 Sortie de fabrique TOUT PUBLIC

INVITATION (titre provisoire)

Les Chiennes nationales - en résidence du 2 au 14 novembre

Vous les aviez peut-être remarquées avec LA VIE DEVANT SOI lors des Turbulentes 2014, les Chiennes nationales sont de retour à Vieux-Condé pour poursuivre la fabrication d’un nouveau spectacle.

INVITATION - titre provisoire - sera une adaptation théâtrale pour l’espace public, très librement inspirée du Banquet de Platon. Traité tel un discours, ce texte vieux de près de 2400 ans est une réflexion sur l’Amour et la Beauté.

Mêlant la littérature classique et le théâtre, guidée par Marcel Proust, Françoise Hardy ou Joann Sfar, cette création invitera le public à partager ses conceptions amoureuses, au sein d’un banquet. Parce que la nourriture de l’âme ne va pas sans la nourriture du corps, il sera aussi question de manger, déguster et saliver !

Co-auteures et comédiennes : Maïa Ricaud et Nathalie Pagnac ; co-auteure et plasticienne, comédienne, danseuse : Nathalie Hauwell ; co-auteure, dramaturge et comédienne : Nicole Genovèse ; aide à la mise en scène : Olivier Waibel ; créateur sonore : François Boutibou

> Durée : 1h > à partir de 12 ans > entrée libre Sur réservation, au 03 27 20 35 40 emeline.jersol@leboulon.fr Restauration sur place, par La Table du Boulon http://www.leschiennesnationales.com/

Les pistes pédagogiques À décliner en fonction des ÂGES.

Pour parler d’amour et avec l’idée de faire comprendre aux jeunes ce qu’est que le processus de création, voici quelques pistes qui peuvent être explorées en amont de la rencontre avec la compagnie : quel lien pouvons-nous faire entre l’Amour et un cours de mathématique ou comment interroger les matières étudiées par les élèves et s’en servir pour notre propre projet.

Mathématique/la loi de l’attraction, 1+1= 2

En géométrie, les élèves doivent se confronter à la figure plane du triangle, quelle forme sinon celle-ci pourrait être utilisée pour travailler sur la conception du couple ? Ne parle-t-on pas du « triangle amoureux » pour évoquer certaines situations ? Le second élément du programme de géométrie, les symétries, peut lui aussi se prêter à évoquer les rapports amoureux : les couples se construisent-ils de manière symétrique, asymétrique, complémentaire ?

L’HISTOIRE / Ou comme le dit Machiavel, l’Amour est une passion politique, nous pouvons avec le professeur faire des recherches sur les histoires d’Amour qui ont influencé la politique, les stratégies territoriales, comment tel ou tel mariage permettait de gagner des contrées.

LES ARTS PLASTIQUES / Les peintres ont toujours été inspirés par l’Amour, quelles sont les peintures

qui ont marqué l’histoire de l’Art et peut être même créé des polémiques (L’origine du monde de Courbet, Les amants de Klimt, Le baiser de Paris de Chagall, Le Baiser de l’hôtel de ville de Robert Doisneau etc…)

LA BIOLOGIE / Ou comment l’Amour est une histoire d’hormones, de gênes, de molécules.

LA PHYSIQUE-CHIMIE /

Peut elle aussi se prêter à des images évoquant la relation amoureuse.

Puisqu’au programme les élèves abordent les notions de mélanges aqueux, mais aussi les mélanges homogènes et corps purs, ce pourra être l’occasion pour les comédiennes d’utiliser ces images pour évoquer la relation amoureuse : celle-ci est-elle fusionnelle (homogène), ou bien chacun garde-t-il sa propre identité ?

De la même façon, un parallèle peut également être fait à propos de la notion « d’état » : si l’eau peut apparaître sous trois états différents selon les propriétés qui l’entourent, de même l’état d’une personne peut être modifiée selon son état amoureux.

LE SPORT / Le sport ou comment un match, un tournoi peut être une métaphore d’une histoire d’amour par exemple entre Richard III et Lady Anne.

LE FRANÇAIS /

- Une pièce de Molière. Dans ce cadre, Don Juan pourra être une piste de lien à effectuer entre le programme et les préoccupations de la compagnie qui a intégré cette pièce à la bibliographie indicative de son projet.

- La littérature du Moyen-âge et de la Renaissance. Que l’enseignant choisisse d’aborder un roman de chevalerie de Chrétien de Troyes ou Tristan et Yseult, les histoires d’amour pourront être abordées sous le signe du rapport spécifique qui s’instaure entre la dame et le chevalier.

Quelques références de la compagnie

Romain Gary : « Au delà de cette limite votre ticket n’est plus valable » Régis Jauffret : « Ce que c’est que l’amour » Fernando Pessoa : « Le livre de l’intranquillité » Elizabeth Badinter : « Fausse route » Raoul Vaneigem : « Nous qui désirons sans fin » Arthur Schopenhauer : « Métaphysique de l’amour » Alain Badiou/ Saint Paul : « La fondation de l’universalisme », « Le siècle », « Controverse » Conférence France Culture-leçon inaugurale d’Alain Badiou « L’amour, une aventure obstinée. » (http:// www.franceculture.fr/emission-forum-le-monde-le-mans-lecon-inaugurale-d%E2%80%99alain-badiou-l-amour-une-aventure-obstinee-2013-0) Nicolas Bouvier : « L’usage du monde» Marcel Proust : « Du côté de chez Swan» Publicité (assurance, banque), Journaux peoples (la vie des autres) Et bien d’autres encore...

> À PARTIR DE 3 ANS > événement transfrontalier > Thèmes abordés cousu(e) de fil blanc

dim 22 nov. - 10h>17h

les comptoirs d’art Le Boulon & Arrêt 59

Chaque automne, à l’occasion des Comptoirs d’art, le Boulon se transforme en un vaste espace ludico-artistique fourmillant d’ateliers créatifs et de petites formes de spectacles familiaux.

Titillant inventivité et imagination, aiguisant le regard des plus jeunes sur la ville aux côtés d’acteurs locaux et d’artistes, l’édition 2016 jouera des mots, de la lumière et des pinceaux, suivant le fil rouge « Cousu(e) de fil blanc », la thématique du festival « Les Turbulentes » 2016. Nous ferons aussi un clin d’œil à l’opération « Dis-moi dix mots », qui valorise la langue française en France comme à l’étranger et qui sera mis à l’honneur à Péruwelz du 12 au 20 mars 2016.

A midi et tout au long de la journée, la Table du Boulon vous régale de bons petits encas.

Evénement transfrontalier organisé en partenariat avec Arrêt 59, avec la complicité d’acteurs du territoire, à l’occasion de la Journée mondiale des Droits de l’enfant

Programme d’activités en cours de réalisation - plus d’infos ultérieurement

Cette année l’équipe du Boulon souhaite travailler son projet de scénographie urbaine des Turbulentes 2016 sur le thème « Cousu(e) de fil blanc ». Au travers d’un appel à scénographie que nous vous ferons parvenir à la rentrée prochaine, nous souhaitons vous proposer de travailler durant l’année sur des productions plastiques qui trouveront leurs places dans la ville, lors du festival « Les Turbulentes » les 29, 30 avril et 1er mai 2016.

Cousu(e) de fil blanc, nous l’imaginons comme un thème qui croise les jeux de mots, le récit, les expressions liées à la couleur mais aussi des inventions plastiques qui questionnent la ville et ses blancs ! On vous en dit plus à la rentrée, en attendant nous restons à votre disposition pour toutes questions. > Durée : en continu > A partir de 3 ans > entrée libre PLus d’infos au 03 27 20 35 40 - emeline.jersol@leboulon.fr Restauration sur place, par La Table du Boulon

> À PARTIR DE 10 ANS > théâtre de marionnettes > Thèmes abordés le souvenir, l’amour, le temps, la vieillesse, le deuil

mardi 1er déc à 14h30, jeudi 3 déc à 9h30 séances scolaires mer 2 déc à 15h30 & 18h30 Tout public

silence

Night Shop Théâtre (Belgique)

Sur scène, deux marionnettes de taille humaine prennent vie sous nos yeux. Ce sont Jean et Elise, un couple d’un âge certain, 65 ans de vie commune, autant dire presque toute une vie. Leur quotidien est fait de souvenirs, de tendresse, de petits agacements, de maladresses et de toutes sortes de manies. Ils sont inséparables depuis leur premier baiser échangé au drive-in dans les années... on ne sait plus... peu importe. Mais la mémoire d’Elise est pleine de trous. Les idées se perdent, les visages s’effacent… Comment ne pas perdre le fil de ce qui est précieux quand l’autre nous quitte un peu ? Un regard original sur nos vieux et nos vieillesses.

SILENCE a reçu le Prix de la Ministre de la jeunesse et le Coup de foudre de la presse aux Rencontres de Théâtre Jeune Public de Huy 2013 (B).

Auteurs, scénographie et constructions : Julie Tenret, Isabelle Darras, Bernard Senny. D’après une idée originale de Julie Tenret / Avec Julie Tenret et Isabelle Darras / Mise en scène : Bernard Senny / Marionnettes : Joachim Jannin et Pascal Berger (têtes), Julie Tenret et Toztli Godinez de Dios (corps) / Réalisation films : Sébastien Fernandez . Voix off: Suzanne Wauters

> Durée : 1h > A partir de 10 ans > 9/6€ > 5 € en séance scolaire Sur réservation, au 03 27 20 35 40 emeline.jersol@leboulon.fr Restauration sur place, par La Table du Boulon

www.nightshoptheatre.be « Silence vient de créer une onde de choc sur les rives mosanes. Attention, chef d’oeuvre ! a-t-on envie d’écrire tant la création frôle la perfection. Un spectacle tout public qui n’a pas fini de faire parler de lui ». Laurence Bertels, La Libre Belgique

LES PISTES PÉDAGOGIQUES Le souvenir / La mémoire Le spectacle nous parle de la perte de mémoire à travers le personnage d’Elise.

Comment petit à petit les souvenirs deviennent de plus en plus confus, les visages, les mots ?

Quelques propositions à réaliser en groupe : - Demander aux participants d’apporter un objet (porte monnaie, tasse, bague…). L’idée est de créer lors d’une improvisation une histoire, un souvenir autour de cet objet. Les « spectateurs » peuvent ne pas savoir si ce souvenir est vrai ou inventé.

- A la façon de la madeleine de Proust, demander aux personnes un goût, une odeur qui leur rappelle leur enfance. A partir, de cet élément ils peuvent écrire un court texte autour de ce souvenir en précisant le lieu, la période, les personnes présentes, décrire le plus précisément possible pour que leurs camarades imaginent la scène.

- Demander aux jeunes de penser à un souvenir commun (un slogan publicitaire, une actualité, un film). Référence possible : Je me souviens, Georges Perec.

Ils doivent penser à ce souvenir et le retranscrire, soit par le dessin, soit par l’écrit. Puis les regarder ensemble ou les lire. Qu’ont-ils en commun ? Quelles sont les différences ? Chacun a-t-il vécu l’évènement de la même manière ?

Personnes de Christian Boltanski, 2010 (au Grand Hornu (B) à gauche, au Grand Palais à droite) Références plastiques : - Christian Boltanski, plasticien français, travaille beaucoup autour des questions d’absence de présence et de mémoire.

Ci-dessus nous pouvons voir l’installation Personnes de Christian Boltanski. Il s’agit d’une oeuvre visuelle mais aussi sonore. Elle aborde un thème nouveau dans le parcours de l’artiste car elle poursuit sa réflexion sur les limites de l’humanité et la dimension essentielle du souvenir : la question du destin et de l’inéluctabilité de la mort.

Sur l’image de gauche, nous pouvons voir un mur de caisses rouillées et numérotées de biscuits, un peu comme des « boîtes à mémoire ».

Sur l’image de droite, on trouve des manteaux ouverts qui rappellent la silhouette humaine. Ces manteaux usagés portent la trace d’un individu. Chaque carré de manteau est surmonté d’un hautparleur qui diffuse les battements d’un vrai coeur humain. Au-delà de ces carrés, un immense tas de vêtements de 12 m de hauteur. Au dessus, guidée par une grue, une énorme pince métallique, vient au hasard attraper des vêtements, les soulève et les relâche de façon aléatoire.

- Annette Messager est depuis le début des années 1970, au coeur de la « scène parisienne » plasticienne. L’artiste s’invente autant de vies qu’elle souhaite de titres, chacune lui permettant d’être autre et d’inventer différents projets artistiques. Elle inventorie pour chacune de ces « Annettes » un répertoire de gestes et de pratiques, d’attitudes et de sujets, révélant tout à la fois l’univers féminin, son code génétique et les possibles pour s’en échapper, ses désirs enfouis. Depuis plusieurs années, Annette Messager resserre son univers autour d’elle, « artiste messager » dans un monde de brutes.

À corps perdu d’Annette Messager, 2009 Cette oeuvre questionne la construction de la mémoire personnelle au travers de notre vécu et de la rencontre avec l’autre. Voici les mots de l’artiste susr l’installation : « J’ai commencé à penser à cette pièce bien avant de la réaliser. Diverses rétrospectives que j’ai faites m’ont redonné le désir de travailler à partir de la photographie, abandonnée depuis 1998. J’utilise des négatifs que j’ai fait depuis longtemps, pour la plupart jamais utilisés : photos de bébés, adultes, personnes âgées. Les enfants ont grandi, j’ai perdu de vue la plupart d’entre eux, anciens étudiants, gens disparus… Cependant tous ces fragments de corps, de visages, cette multiplicité recomposée constituent ma mémoire, ils sont aujourd’hui mon portrait. »

LeS PERSONNES ÂGÉES / LA TRANSMISSION Ce spectacle nous parle de ces deux petits vieux qui vivent la fin de leur vie. Elise a la tête pleine de trous et ne tardera pas à partir, tandis que Jean reste là pour elle. Ces personnages ne sont pas des héros, ni des personnages grandioses, ce sont des personnes âgées comme on peut en croiser dans notre entourage (et qui représentent plus de 9% de la population française). Mais au final, dans ce monde qui va vite quelle place occupent les personnes âgées dans notre société ?

Là encore quelques propositions : - Questionner les participants sur cette place qu’occupent les personnes âgées ? Les voient-ils beaucoup ? Où et quand rencontrent-ils des personnes âgées ?

- Comment imaginent-ils vieillir ? Par l’écrit ou par l’expression plastique, demander aux jeunes (et moins jeunes) de s’imaginer vieux, mais aussi d’imaginer le monde dans lequel ils pourraient vivre.

A voir/montrer : spot de la Croix-Rouge avec l’artiste Mark Jenkins « Les vieux feraient mieux de rester chez eux » https://www.youtube.com/watch?v=NjR8G1lS9aM

le temps/les silences Références plastiques : - Roman Opalka est un peintre polonais, connu pour son étude sur la progression du temps.

(détail de l’oeuvre) Opalka interroge la lente fluidité du temps qui jamais ne s’arrête. L’artiste a l’idée de matérialiser la peinture du temps. Partant du chiffre 1 en haut à gauche d’une toile, il peint en blanc sur fond noir, du coin supérieur gauche au coin inférieur droit. À partir du nombre 1 000 000, il décide d’ajouter 1% de blanc au fond de chaque toile. Chaque toile s’éclaircit donc progressivement, jusqu’à devenir presque blanc. Il énumère la suite de nombres qu’il peint et s’enregistre à l’aide d’un magnétophone.

Depuis 1961, après chaque journée de travail, il prend une photographie de son visage toujours dans les mêmes conditions d’éclairage et d’attitude, et avec les mêmes vêtements. Il inscrit sa vie dans une quête existentielle dont les clichés mesurent le passage du temps.

LeS Marionnettes hyperréalistes

Les marionnettes du spectacle sont confectionnées avec du latex. Très réalistes, elles intègrent la catégorie des marionnettes dites hyperréalistes.

Apparu à la fin des années 60 aux Etats-Unis, l’hyper-réalisme désire pousser à l’extrême le visible.

Cette pratique concernait principalement le domaine pictural chez des artistes recherchant une objectivité quasi photographique du visible.

Tout chez ces marionnettes rappelle l’être humain : leur physionomie, leurs cheveux, ainsi que leurs vêtements ou accessoires. La présence de ces marionnettes hyperréalistes peut être troublante puisqu’elles figurent toute la réalité de la vie sans être vivantes, puisqu’en côtoyant sur le plateau le corps de l’acteur, elles permettent d’inventer un autre type et une autre qualité de présence scénique.

Il s’agit de marionnettes portées, une technique qui s’est beaucoup développée ces dernières années.

Une partie du corps du marionnettiste se trouve à l’intérieur du corps de la marionnette qui peut être fixée sur la tête ou au dos du marionnettiste. La plupart du temps ces marionnettes portées sont manipulées à vue, c’est-à-dire que l’on voit le manipulateur.

Depuis le début du 20e siècle, l’art de la marionnette a connu un grand renouveau. L’influence des formes japonaises, le bunraku notamment (où chaque personnage est manipulé par trois marionnettistes à vue) se fait sentir. De plus en plus, le marionnettiste s’affirme comme une personne réelle à côté de sa marionnette : ils vont pouvoir dialoguer ensemble, mais aussi être témoin de l’histoire. Ainsi le marionnettiste a maintenant une présence scénique à part entière.

Références plastiques : - Ron Mueck débute sa carrière en modélisant des marionnettes pour la télévision, puis en créant des mannequins pour des compagnies de publicité photo. Plus tard il se tourne vers l’art plastique, lorsque sa belle-mère, la plasticienne portugaise de renommée Paula Reggo, lui demande de créer de petits personnages pour l’une de ses toiles. Impressionnée par le travail de Mueck, elle le présente au collectionneur Charles Saatchi. La carrière de Ron Mueck est dès lors lancée.

Animé d’un désir de produire des sculptures anatomiquement parfaites de tous les angles, le sculpteur australien cherche à briser les barrières entre œuvre et spectateur, invitant ce dernier dans l’intimité corporelle de la sculpture.

Couple Under an Umbrella, 2013

Spooning couple, 2005

- Sun Yuan et Peng Yu sont deux artistes chinois, vivant et travaillant en collaboration à Pékin depuis la fin des années 1990. Ci-dessous une de leur oeuvre Old Persons Home, 2007 Mannequins humains, leaders politiques, affalés dans des fauteuils roulants, assoupis, aveugles, roulant en se rentrant parfois dedans, pour montre l’impossible compréhension entre différentes cultures, les difficultés à se comprendre.

Quelques propositions de SPECTACLES, films et ouvrages Spectacles dans le domaine des arts de la rue : - La dame à la valise, Compagnie La Vache Bleue http://www.vache-bleue.org/spectacle-theatre/la-dame-a-la-valise.html - Echappées Belles, Compagnie Adhok http://www.adhok.org/index.php/fr/spectacles/echapees-belles Films : - Amour, Mickael Haneke, 2012 - Le Chat, Pierre Granier Deferre, 1971 / d’après le roman de Georges Simenon - Le Fabuleux destin d’Amelie Poulain, Jean-Pierre Jeunet, 2001 - Flore, Jean Albert Lièvre, 2014 / documentaire d’un fils sur sa mère atteinte de la maladie d’Alzheimer.

- De riz ou d’Arménie, 2011, court métrage d’animation sur la perte de mémoire / derizoudarmenie.com / © supinfocom Ouvrages sur la marionnette : - Trois six trente, édition de l’oeil Marionnettes et photographies de spectacles de la compagnie Trois Six Trente. 2009 - PUCK n°17. Le point critique, édition Institut International de la Marionnette, l’Entretemps, 2010.

Cet ouvrage relatif à la critique théâtrale consacre un article à la question du réalisme. Il est signé Didier Plassard « Pour une mutation du regard : Marionnettes réalistes, marionnettes hyperréalistes ».

- Ma grand-mère ou l’enfance dans un corps sage, Severine Thevenet Album photos avec une marionnette (mamie Violette) par le photographe belge Serge Gurtwieth.

> À PARTIR DE 14 ANS > Expédition pour groupes d’explorateurs téléguidés > Thèmes abordés la ville, le corps humain

Sortie de fabrique le jeudi 17 déc, 18h30

Corpus macadam

Compagnie Rosa Bonheur - En résidence de création du 14 au 20 décembre

En septembre 2014, le Boulon accueillait la Compagnie Rosa Bonheur sur une première étape d’écriture de son nouveau projet : CORPUS MACADAM. Ce spectacle dont la sortie est prévue en 2016, emmènera les spectateurs à la découverte de la ville, à travers un parcours urbain chorégraphique et poétique.

Les spectateurs, munis de casques audio, se laisseront guidés par une voix intime, qui les invitera à observer la ville comme on explore un corps humain. Dans ce voyage sensible et collectif, les explorateurs tenteront d’en prendre le pouls, ils chemineront sur ses artères, le long des canaux jusqu’à ses poumons verts.

Notre équipe accueillera Rosa Bonheur à la fin 2015, pour un nouveau temps de création au Boulon.

Une rencontre avec des collégiens du territoire aura lieu durant la résidence.

Mise en scène et chorégraphie : Sarah Gonçalves / Assistant à l’écriture : Jérémy Morelle / Comédiennes : Fanny Bérard, Charlotte Thomas / Danseurs : Jules Leduc, Sarah Gonçalves / Technique : Jérémy Morelle / Auteur des textes : Laurent Petit / Regards extérieurs : Rachel Matéis, Héloïse Desfarges

> durée : 1h > à partir de 14 ans > entrée libre Sur réservation, au 03 27 20 35 40 emeline.jersol@leboulon.fr Restauration sur place, par La Table du Boulon

www.facebook.com/lacompagnierosabonheur

> À PARTIR DE 6 ANS

Mars > décembre 2015

> résidence de territoire

Compagnie Entre Chien et Loup, en résidence entre septembre et décembre

> Exposition plastique, visuelle et sonore > découverte d’un livre original > Thèmes abordés La parentalité, le territoire, sa ville

Tu es là !

ES-TU LÀ ? est la nouvelle création de la Compagnie Entre chien et loup. Elle invitera les spectateurs à vivre un parcours sonore et plastique dans la ville, à travers une fiction haletante et joyeuse questionnant l’identité et la transmission parents/ enfants. Avec, comme matière première, des interviews menées auprès d’enfants, d’adolescents et d’adultes, sur des territoires différents, la compagnie a passé commande d’un texte à l’auteure Karin Serres.

En lien avec le projet de création, le Boulon mène un projet d’action culturelle intergénérationnelle « Tu es là ! », impliquant les habitants dans des ateliers de nature différente (interviews sonores, écriture, photographie, illustration), lesquels aboutiront à la création d’une installation-spectacle et d’un livre, présentés en décembre 2015 au Boulon.

En collaboration avec les habitants, le collège Jean Jaurès et l’école Joliot Curie de VieuxCondé, dans le cadre des Contrats de ville – Vieux-Condé

Direction artistique et art plastique : Camille Perreau ; création sonore : François Payrastre ; illustration : Clémentine Sourdais ; auteure : Karin Serres ; ingénieur développeur : Pierre Hoezelle ; régie générale : Corentin Check ; construction : Olivier Berthel ; des comédiens et comédiennes et toutes les personnes qui nous prêteront leur voix lors des résidences de tournages sonores participatifs.

> Durée : selon votre envie, minimum une heure > A partir de 6 ans > Gratuit Visite sur réservation, Plus d’infos : au 03 27 20 35 40 emeline.jersol@leboulon.fr

www.cie-entrechienetloup.net

atelier ouvert à tous (gratuit) En octobre : atelier photographie 14 et 15 octobre - deux demi journées En novembre : tirages des photographies, création et assemblages de mobiles 16, 17 et 18 novembre – trois demi journées

> À PARTIR DE 7 ANS > poésies visuelles et sonores > Thèmes abordés LE vagabondage, Le voyage

SAM 12 Déc. - 20h30

réfugiée poétique CLAIRE DUCREUX INSTALLATION sonore (1ÈRE PARTIE DE SOIRÉE) CIE ENTRE CHIEN ET LOUP

Pour clore en beauté la saison, le Boulon a imaginé une dernière belle soirée 2015, magique et poétique.

Dans les halles du Boulon d’abord, nous cheminerons à la découverte d’une nouvelle installation sonore de la Compagnie Entre Chien et loup, nourrie des rencontres faites dans le cadre du projet « Tu es là ! ». En doux rêveurs, nous prendrons place dans des lits pour y écouter et voir tournoyer au dessus de nos têtes, les mots d’habitants d’ici, tandis que des collégiens mixeront en direct la bande sonore. Nous poursuivrons la découverte avec les installations « Une mine de femmes » et « le Temps du voyage ».

En seconde partie de soirée, nous ferons une échappée belle aux côtés de la danseuse enchanteresse Claire Ducreux. A la croisée du théâtre gestuel, du mime et du clown, « Réfugiée poétique » est une petite pépite comme on aimerait en tenir souvent au creux de la main : une plongée visuelle et sensible vers un doux rêve éveillé d’hiver.

Mené dans le cadre des Contrats de ville en collaboration avec la Ville de Vieux-Condé, le projet « Tu es là ! » a impliqué les habitants de Vieux-Condé, parmi lesquels les élèves de l’école Joliot Curie et du collège Jean Jaurès.

Distribution « Réfugiée poétique » : de et avec Claire Ducreux. Musiques originales : Jorge Sarraute, David Moreno et Mayte Martin.

> Durée : 2h (expo+spectacle) > A partir de 7 ans > 9/6€ pour le spectacle de Claire Ducreux > Installation sonore gratuite Plus d’infos au 03 27 20 35 40 reservation@leboulon.fr Restauration sur place, par La Table du Boulon

Sur rendez-vous, le Boulon vous propose du 14 au 18 décembre une visite des installations de la compagnie Entre Chien et Loup, «Tu es là» sur le regard de petits et grands sur le territoire vieux-condéen, «Une mine de femme» sur les femmes de mineurs du corridor minier et «Le temps du voyage» sur notre perception du temps.

« Tout le monde devrait un jour voir la beauté qu’est capable de créer cette femme menue, d’âme exquise et lumineuse, seule en scène et d’une capacité exceptionnelle pour toucher le coeur des gens. Claire a des ailes dans le corps et l’âme ».

Mayte Martin – chanteuse Flamenco

ET en 2016...

CLEA Valenciennes Métropole

CARINE MUSEL, ALEXIOS TJOYAS, CÉLINE AHOND, CLAIRE PAYEMENT

Quatre résidences-missions se dérouleront durant l’année scolaire 2015/2016 sur l’agglomération de Valenciennes Métropole. Elles concerneront les domaines de la nature et du paysage (Carine Musel), de l’illustration (Alexios Tjoyas), de la musique contemporaine (Claire Payement) et de la performance (Céline Ahond). Les artistes seront présents pour une durée de cinq mois organisée entre janvier 2016 et mai 2016.

Cette année, le Boulon Centre national des arts de la rue , Art Zoyd Centre Transfrontalier de Production et de Création Musicales, le Conservatoire à rayonnement départemental de Valenciennes et le Printemps culturel seront les quatre opérateurs culturels qui accompagneront les artistes dans l’élaboration de gestes artistiques avec les acteurs du territoire.

Le Boulon accompagnera Carine Musel.

Pour elle être paysagiste c’est comprendre par l’étude ou par des expériences partagées un territoire et ses évolutions dans le temps dus aux usages et pratiques de ses habitants ; tout en révélant les liens qui lient les hommes avec leur territoire de vie et/ou de travail. Être paysagiste c’est rendre compte des potentiels et des enjeux territoriaux, se questionner pour faire projet tout en s’affranchissant des limites ; afin de s’autoriser à réfléchir librement.

Pour aller plus loin… http://lateliervolant.fr

Toutes les informations par ici : https://cleavalenciennesmetropole.wordpress.com/

NAZ CIE SENS ASCENSIONNELS > Janvier 2016

> À partir de 16 ans > Théâtre. Thèmes abordés : l’autre, le racisme, l’extrémisme > Payant

LEURRE H CIE ESCALE (RÉSIDENCE) > Janvier 2016

> À partir de 16 ans > Théâtre / Cirque. Thèmes abordés : l’insurrection, le totalitarisme > Gratuit

LES TURBULENTES > 29, 30 avril et 1er mai 2016 > Pour tous > Arts de la Rue > Gratuit

COMMENT MOI-JE ? CIE TOURNEBOULÉ > Juin 2016 > > > >

À partir de 5 ans Théâtre d’objets / Marionnettes Thèmes abordés : l’amitié, le temps, la peur, la mort Payant

et bien d’autres !

Infos pratiques Accès : Le Boulon, ZA le Brasseur, avenue de la gare, 59690 Vieux-Condé O3 27 20 35 40 – www.leboulon.fr Tram : arrêt le Boulon – ligne T2 Accueil et billetterie : Du lundi au vendredi, de 9h à 12h et de 14h à 17h30.

La billetterie est ouverte 45 min avant les représentations.

03 27 20 35 40 – reservation@leboulon.fr Tarif réduit : demandeurs d’emploi, bénéficiaires du RSA, groupes (à partir de 10 pers.), étudiants, séniors, intermittents du spectacle.

Règlement par carte bancaire, par chèque et espèces, qui doit nous parvenir sous huitaine, et au plus tard 48h avant la représentation.

Toute réservation non réglée dans les délais sera annulée.

Vous êtes une association, une école, un centre social et souhaitez organiser une sortie au Boulon, réaliser un projet, rencontrer des artistes ?

Contactez Emeline Jersol au 03 27 20 35 42 – emeline.jersol@leboulon.fr

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Le Boulon Z.A Le Brasseur Avenue de la gare 59690 Vieux-Condé T : 03 27 20 35 40 contact@leboulon.fr www.leboulon.fr Ouvert tous les jours de 9h à 17h30 Accès : Tramway : station le Boulon - ligne T2