Brochure de présentation de Vie posthume d'Edward Markham de Pierre Cendors

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« Étrange écrivain à l’univers étrange… Les mots du critique sur le web reviennent en mémoire. Cendors existe-t-il vraiment? » FRÉDÉRIQUE ROUSSEL - LIBÉR ATION

PIERRE CENDORS vie posthume d’edward markham ROMAN p a r u t i o n l e 1 9 AV R I L 2 0 1 8


ARRIVÉ AU CRÉPUSCULE DE SA VIE, U N SCÉNA R IST E ( TODD T R AU M ER ) E ST SOL L ICI T É POU R ÉCR I R E SON CHEF - D’ŒU VRE : L’ULTIME ÉPISODE DE L A QUAT R IÈME DIMENSION, L A MYTHIQUE SÉRIE TÉLÉ. VIE POSTHUME D’EDWARD MARKHAM EST L’HISTOIRE DE C E F I L M , E T DE C E T H OM M E . IL S’AGIT DU SEP TIÈME ROM A N DE L’AUTEUR. « LE SCÉNARISTE TENAIT ENCORE LE SCRIPT DANS SA MAIN QUAND ON L’A DÉCOUVERT ÉTENDU SUR SON LIT D’HÔPITAL. TRAUMER EST MORT SEUL , UNE NUIT, EN ÉCRIVANT LA FIN DU FEUILLETON QUI CLÔT LA DERNIÈRE SAISON. TRAUMER N’A PAS ÉCRIT LE MOT FIN. TRAUMER A SEULEMENT LAISSÉ UN BLANC APRÈS LA DERNIÈRE PHRASE, APRÈS LE DERNIER MOT. C’EST TOUT CE QUI RESTE DE LUI. » Vie posthume d’Edward Markham / Roman français  100 pages / 9782370551597 / 15 € / 19 avril 2018

Libraires et festivals Lucie Eple lucie@le-tripode.net Médias Geoffrey Durand geoffrey@le-tripode.net


PIERRE CENDORS & EGON STORM Dans le cadre d’une résidence organisée par Capricci Films et le Festival Sofilm, il a été commandé à cinq écrivains l’écriture d’une brève nouvelle sur le thème du fantastique, susceptible d’être adaptée pour le cinéma sous la forme d’un court métrage. Pierre Cendors s’est inspiré de cette expérience pour écrire Vie posthume d’Edward Markham. QUELLE EST L’ORIGINE DU ROMAN ?

L’impulsion est venue de mes Archives du vent, un roman de transformation plus qu’un roman de formation. Egon Storm, réalisateur démiurge, y évoque sa trilogie dont on découvre les synopsis. Le dernier, Le Rapport Usher, le plus succinct des trois, a continué à me travailler sourdement après la parution du livre. Inconsciemment, il y avait cette tension qui m’habitait, celle d’une histoire en gestation. Lorsque les Editions Capricci m’ont proposé, quelques mois plus tard, d’écrire une nouvelle fantastique, et d’y inviter La Quatrième Dimension, cette série

américaine des sixties, j’ai senti que les temps étaient mûrs, l’alchimie, parfaite. Je n’ai eu qu’à me laisser porter. Au final, la nouvelle s’est révélée être d’un format trop restrictif. La version publiée était mutilée, aussi ai-je voulu lui redonner son intégralité, le Director’s cut, si l’on veut, la version que publie aujourd’hui le Tripode. POURQUOI LA QUATRIÈME DIMENSION ?

J’avais seize, dix-sept ans, quand j’ai découvert les épisodes de La Quatrième Dimension. C’était la fin des années quatre-vingt. J’étudiais dans une école d’Art, je lisais abondamment, je commençais à écrire. Une période de prodigieuse effervescence. Les thèmes qu’abordait la série m’importaient moins que leur angle d’approche, celui que permet un réalisme fantastique, une perception où l’intelligence intuitive lève le rideau sur une scène que notre rationalité se croit seule à occuper. C’est un terrain de JE(s) passionnant à explorer. On y découvre le « visage que l’on avait avant que le monde ne fût », comme l’écrit Yeats. Dans ce roman, je nomme cette dimension de l’originel : le premier monde, une primitivité de la création où le terrestre et les éléments portent encore la trace de l’incréé dont ils procèdent. Manière de dire que


toute littérature provient d’un silence primordial, ce que je crois. J’écris pour restituer le langage de ce qui se tait. C’est impossible sans les mots (comme avec), mais la déchirure est moindre quand on s’y emploie. COMMENT SE SONT OPÉRÉS LE CHOIX DES IMAGES ET CELUI DE LA BANDE ORIGINALE AU GÉNÉRIQUE ?

Pour Vie posthume d’Edward Markham, j’avais écouté la très belle composition musicale réalisée par Wissam Hojeij, lors d’une résidence, mais la version roman, écrite plus tard, appelait un son plus électronique, à la frontière du postrock et de la pop. C’est en entendant Lord Zero, de Featherlight, un duo que je suivais depuis ses débuts, que j’ai vécu une sorte d’épiphanie. Quant à l’image, l’enjeu était également de taille : comment évoquer ce premier monde, une nudité essentielle où affleure un cosmos, un paysage que je visualisais sans aucune présence humaine, mais capable humainement de nous toucher ? J’avais remarqué le réalisme hypnotique des images d’Anna Boulanger, leur charge magnétique qui touche à la vision, quand j’ai découvert son album L’Absence. Quelle présence ! Une épiphanie, encore une fois.

GÉNÉRIQUE DU LIVRE VIE POSTHUME D’EDWARD MARKHAM ( USHER’S REPORT ) AVEC Edward Markham/Usher : MONTGOMERY CLIFT Todd Traumer : EMIL CIORAN Colonel Powell : ROBERT MITCHUM Natsuki : MISA UEHARA Rod Serling : ROD SERLING Le journaliste : JOSEPH COTTEN Kirstine : ETHEL BARRYMORE Soeur de Markham : GERALDINE FITZGERALD Maitreya : MAITREYA

UN FILM D’EGON STORM NARRATION : ORSON WELLES MUSIQUE DE FEATHERLIGHT IMAGES D’ANNA BOULANGER ADAPTATION FRANÇAISE : PIERRE CENDORS UNE PRODUCTION MOVICÔNE VISION


ANNA BOULANGER LES IMAGES DU LIVRE À la demande de Pierre Cendors, l’artiste Anna Boulanger a mis en images certaines atmosphères de Vie posthume d’Edward Markham. Il connaissait de l’artiste un premier travail mené sur la série The Twilight Zone. Pour ce « story board littéraire », Anna Boulanger a utilisé un Rotring RapidoGraph mine 0,13. Ce sont la finesse de cet outil et la patience de l’artiste qui donnent à ces dessins au pointillisme très fin leur côté... surréel. Anna Boulanger a publié au Tripode : Le Haret québécois (Prix Pépite 2011 du Salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil), L’Absence et Birds.


MOVICÔNE VISION PRODUCTIONS Le premier roman de Pierre Cendors édité au Tripode, Archives du vent, mentionnait au générique « Movicône The Best Films Never Made », maison de production de la trilogie du réalisateur Egon Storm. Vie posthume d’Edward Markham en constitue le dernier volet.

FEATHERLIGHT LA BANDE ORIGINALE « En fond sonore : Daynight’s Hour de Featherlight, le thème musical de l’épisode, une mélodie lente, nocturne, entêtante, mêlant boucles électroniques, arrangements orchestraux et samples. À la fois simple et complexe. Simple comme une plage finale au bout des terres, complexe comme un nuage orageux en formation. » Featherlight est un duo de musiciens français dont le 1er album oscille entre pop-rock et electro. https://featherlight1.bandcamp.com/releases.


PIERRE CENDORS AU TRIPODE

ARCHIVES DU VENT Pierre Cendors Roman 320 pages 978-2-37055-066-8 19 €

Un réalisateur de génie – Egon Storm – se retire du monde avant la diffusion d’une trilogie qui révolutionne l’histoire du cinéma. Depuis sa solitude, il mentionne dans un ultime message l’existence d’un homme mystérieux : Erland Solness. En partant de cette simple intrigue, Pierre Cendors nous livre avec Archives du vent un texte aux pouvoirs étranges, hypnotiques. Un polar métaphysique ? Un road-movie écologique ?

MINUIT EN MON SILENCE Pierre Cendors Roman 120 pages 978-2-37055-125-2 13 €

Lundi 28 septembre 1914 : un lieutenant allemand, peintre dans la vie civile, est renvoyé au front. C’est en pressentant sa mort imminente qu’il écrit au cours d’une nuit une longue lettre d’amour. Il s’adresse à une femme française dont il préparait un portrait avant le début de la guerre et qu’il est persuadé de ne plus jamais revoir. Dans un texte qui relève autant du roman, de la poésie et du manifeste, Pierre Cendors présente l’expérience amoureuse comme une aventure fondamentale qui habite notre silence le plus intime.


DECOUVREZ AVEC LE NOUVEAU ROMAN DE PIERRE CENDORS LE DERNIER EPISODE DE

LA QUATRIEME DIMENSION

UN FILM D’EGON STORM | ADAPTATION FR ANÇAISE : PIERRE CENDORS | MUSIQUE DE FEATHERLIGHT | IM AGES D’ANNA BOULANGER | UNE PRODUCTION MOVICÔNE VISION - « THE BEST FILMS NEVER M ADE »


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