INCROYABLE FÊTE 2021 !!!
RÉPUBLICAINES
LES LANDES
HEBDOMADAIRE DE LA FÉDÉRATION LANDAISE DU P.C.F. Pari gagné ! S.A.R.L. « LES LANDES RÉPUBLICAINES » Peu y croyait et pourtant quelle réussite pour 6-8 rue des Forgerons – BP34 40001 MT DE MARSAN Cedex Tél. 05.58.46.41.41 l’édition 2021 de la Fête de l’Humanité qui Directeur de la publication : Alain BACHE s’est tenue, et bien tenue ! e-mail : landes.rep@wanadoo.fr Site : http://pcf40.free.fr Abonnement annuel 25€ Sans une mobilisation militante, rien n’aurait été Imprimé : L.R. MONT-DE-MARSAN possible. La ruche humaine qu’est ce collectif C.P.N° 0621P11523 – N° 2344– Mardi 21 Septembre 2021 militant a construit et bâti la Fête, permettant au stand des Landes d’être au rendez -vous de cette édition. Ce fut une incroyable réussite humaine, populaire, politique, fraternelle. Ensemble, ce collectif a soulevé des montagnes et réglé tous les problèmes auxquels il a été confronté. Même les nuits courtes (parfois très courtes) n’ont ni altéré le bonheur de se retrouver, ni la joie de vivre qu’ont vécu celles et ceux qui ont pris de leur temps pour gagner à cette réussite. Craintes, inquiétudes et doutes ont été ainsi balayés. L’implication individuelle de chacun dans ce collectif a Fabien Roussel, secrétaire national du PCF permis une grande réussite lors du meeting à l’édition 2021 de la Fête de l’Humanité pour notre stand mais aussi Aussi sachons les cultiver pour les faire grandir. un formidable succès pour la Fête de Vive l’Humanité ! Et vivement la prochaine l’Humanité. édition dans un lieu nouveau ! Et rendezEt s’il est des choix et décisions difficiles, le vous pour d’autres victoires festives et courage et l’abnégation ont eu raison du politiques, et pourquoi pas dès le printemps pessimisme. 2022 ! Notre stand, notre département, les militants, les jeunes, les bénévoles, méritent sans contexte des applaudissements, mais aussi et surtout un Alain BACHE grand respect pour cet engagement. Secrétaire départemental du PCF Engagement d’un jour, engagement pour toujours ! A noter dans vos agendas Si la Fête raisonne encore, c’est pour tout cela, mais aussi pour cette construction politique, pour ces échanges individuels et collectifs lors de UNIVERSITE D’AUTOMNE DU PCF débats contradictoires, de rencontres avec le Samedi 23 Octobre de 9 h à 16 h secrétaire national du PCF et candidat à à TARNOS l’élection présidentielle, Fabien Roussel, de rencontres multiples et plurielles. En présence de Que chacune et chacun soit remercié et félicité Fabien GAY pour cet engagement. sénateur du groupe Communiste, Que chacune et chacun trouve dans ces Républicain, Citoyen et Ecologique au Sénat moments, de l’espoir pour balayer les doutes. Et c’est sans doute dans ces moments-là que se Panier partagé pour le repas du midi construisent d’autres lendemains.
Le meilleur maire du monde est communiste !
Philippe RIO (PCF), maire de Grigny, ville populaire d’Essonne, vient d’être élu meilleur maire du monde par la City Mayors Foundation. « C’est sympa, mais je ne vais pas prendre le melon », promets l’édile. La City Mayors Foundation, créé en 2003 à Londres, est un groupe de réflexion international dédié aux affaires urbaines et géré par des professionnels d’Europe, d’Asie et des Amériques qui travaillent ensemble « pour promouvoir des villes fortes, justes et prospères ainsi qu’un bon gouvernement local ». Tous les deux ans, la fondation met en vedette les maires jugés « les plus remarquables, qui ont servi leurs concitoyens avec intégrité, courage et diligence » en s’appuyant sur des grands enjeux de notre époque. Pour l’année 2021, elle rend hommage à ceux qui « ont fait preuve d’un leadership exceptionnel pendant la pandémie de Covid-19 ». Et ce sont les habitants du monde entier qui ont voté. « Le maire de Grigny est le dirigeant d’une des villes les plus pauvres de France (la plus pauvre selon le rapport de l’Observatoire des inégalités publié l’an dernier), précise le communiqué de la fondation. Il a développé une vision positive mais pragmatique dans son combat contre la pauvreté et l’exclusion sociale (…). Il veut faire de sa ville un laboratoire national pour combattre la pauvreté (…) en luttant contre ses causes structurelles ». Une grande fierté pour les quartiers populaires S’il a le sourire face à cette récompense purement honorifique, Philippe Rio garde les pieds sur terre. « Il faut rester humble. La situation de la ville est très compliquée. On prend cette distinction comme une friandise qui récompense notre travail et forcément, ça donne la pêche pour relever tous les défis qui se posent à nous ». Chômage, misère, violences, la ville de 30.000 habitants concentre les difficultés. Certains quartiers sont parfois la cible de mortiers d’artifice. Mais pour le maire, pas question de baisser les bras. « On me dit souvent que je suis fou d’être maire de cette ville. Une image négative nous colle à la peau. On est des boucs émissaires d’un débat politicien qui voudrait mettre de côté les habitants des quartiers populaires », déclare Philippe Rio. Pour Ian Brossat, cette reconnaissance internationale est « une grande fierté pour les quartiers populaires, au-delà de Grigny, car cela permet d’en parler autrement que par le prisme des chaînes d’information en continu ».
BLANQUEROUTE DE L'ECOLE Homme! nous allons nous instruire/Marche avec nous dit un enfant/Un peuple est fort quand il sait lire/Quand il sait lire un peuple est grand.... Et la sombre ignorance est morte/Au souffle de la liberté. Extraits du chant révolutionnaire «HOMME NOUS ALLONS NOUS INSTRUIRE», chanson qui se transmettait oralement à l'aube de l'école obligatoire, laïque et gratuite. On aura rarement vu un ministre de l’éducation nationale aussi agressivement réactionnaire que le nommé Jean-Michel Blanquer (né le 4/12/1964 à Paris). Ça fait longtemps que ça dure et les dégâts dans notre service public éducatif sont considérables. Il avait organisé dans les jardins du ministère une fiesta pour la promotion du livre de Laurent Bouvet, fondateur d’une officine ethnonationaliste dite «Printemps républicain» qui se réclame d’une laïcité «intransigeante», c’est-à-dire vouée à la détestation de tout ce qui est mahométan. Bref, un copain bien choisi. Dans un registre aussi peu scrupuleux, il y a l’affaire du tripatouillage de la lettre de Jaurès à lire aux élèves le 26 octobre 2020. Mais le paragraphe où Jaurès défend l'autonomie de l’enseignant et critique le recours aux évaluations, est carrément supprimé. L’amendement scélérat qu’une sénatrice du parti mal nommé «Les Républicains», Laure Darcos (née le 27/11/1970 à Neuilly S/Seine, épouse de Xavier, piteux ministre de l’éducation nationale), a proposé à la Loi de programmation de la recherche «d’inscrire que ces valeurs (de la République), au premier rang desquelles la laïcité, constituent le socle sur lequel reposent les libertés académiques et le cadre dans lequel elles s’expriment». Les réactions des chercheurs et des universitaires ont été vives et quasi unanimes. Un collectif de 34 sociétés savantes remet l’inquisitrice à sa place: «les libertés académiques sont garantes d’une capacité d’analyse de notre monde indépendante de toute pression économique, politique, religieuse ou autre. Elles ne peuvent donc être soumises à une vision politique et ne doivent pas faire l’objet de décisions prises sous le coup de l’émotion née d’une actualité dramatique» (www.sociétés-savantes.fr). Patrick Lemaire, président de la Société française de biologie du développement, précise: «La seule limite des libertés académiques, c’est l’intégrité scientifique» (Le Monde, 03.11.2020). S’il faut revenir sur cette affaire, c’est parce que ce genre d’initiative s’inspire largement de l’odieuse campagne d’insultes, d’intimidation et de diffamation que Blanquer mène contre les universitaires chez lesquels il aurait trouvé des «complices intellectuels du terrorisme» et même les «auteurs intellectuels de l’assassinat de Samuel Paty (professeur d'histoire-géoraphie, 1973-2020)». Ainsi, les sciences sociales enseigneraient une «vision du monde qui converge avec les intérêts des islamistes» et Blanquer de désigner à la vindicte publique des organisations telles que l’UNEF, Sud-Education, L.F.I, etc, y compris les Inspé (Instituts nationaux supérieurs du professorat et de l’éducation) soupçonnés d’enseigner les «valeurs du communautarisme» et non «celles de la République»! Il faut remonter à 1940 pour une telle violence contre l’université. Pas étonnant dans ces conditions, que le ministre envisage que les directeurs d'écoles choisissent les enseignants, comme des patrons d'entreprises leurs salariés. Le danger pour l'éducation des jeunes est immense. On ès l'escòla republicana aquí dehens ? (Où est l'école républicaine là -dedans?). Roger La Mougne