Elections Législatives 2022
LA CAMPAGNE, C’EST PARTI !!!
RÉPUBLICAINES
LES LANDES HEBDOMADAIRE DE LA FÉDÉRATION LANDAISE DU P.C.F.
Ce jeudi 19 mai, près de 300 personnes se sont retrouvées pour le lancement de campagne de Jean-Marc LESPADE et Christelle LALANNE, candidats de la NUPES aux élections législatives sur la 2eme circonscription, dans la salle Capranie de ONDRES.
Ce premier meeting public a permis l’expression diverse de ce rassemblement puisque tour à tour se sont exprimés Eric MIMIAGUE, syndicaliste de Turboméca du groupe SAFRAN ; Julien DELION, cheminot et membre de Génération’S ; Guy DE BARBEYRAC, candidat NUPES sur la 1ere circonscription et militant de La France Insoumise ; Eric KERROUCHE, sénateur PS des Landes ; la candidate suppléante de la circonscription Christelle LALANNE et le candidat titulaire Jean-Marc LESPADE, tout cela sous la bannière de la Nouvelle Union Populaire Ecologique et Sociale (NUPES). C’est Eva BELIN, maire d’Ondres et conseillère départementale qui a animé avec verbe cette soirée. Une initiative qui flairait bon la joie du rassemblement avec une volonté manifeste de gagner les 12 et 19 juin. C’est en substance ce qu’a rappelé Jean-Marc Lespade en mettant l’accent sur divers points de son programme avec : ♦ la hausse immédiate du SMIC à 1500€ nets ♦ la revalorisation des salaires ♦ une garantie jeune de 1063€ ♦ la retraite à 60 ans ♦ avec une planification écologique ♦ le développement des services publics, plus divers autres points comme la renationalisation d’EDF et d’Engie, le recrutement de 100.000 soignants, le blocage des prix sur les produits de première nécessité, une 6ème République, et une Europe respectant les travailleurs et l’écologie. Jean-Marc Lespade a appelé à une mobilisation de l’ensemble du peuple de gauche pour gagner une
S.A.R.L. « LES LANDES RÉPUBLICAINES » 6-8 rue des Forgerons – BP34 40001 MT DE MARSAN Cedex Tél. 05.58.46.41.41
Directeur de la publication : Alain BACHE e-mail : landes.rep@wanadoo.fr Site : http://pcf40.free.fr
Abonnement annuel 25€ Imprimé : L.R. MONT-DE-MARSAN
C.P.N° 0621P11523 – N° 2377– Jeudi 25 Mai 2022
majorité de députés engagés dans ce rassemblement inédit pour changer radicalement le quotidien des Françaises et des Français. De multiples initiatives vont se tenir sur les trois circonscriptions avec des présences sur les marchés, aux portes des entreprises, dans les quartiers, sur des points fixes…■
REUNIONS PUBLIQUES 1ere circonscription Vendredi 3 Juin à 19 h Salle du Petit Bonheur à MONT-DE-MARSAN Meeting Guy DE BARBEYRAC et Christiane COLIGNON 2eme circonscription Mardi 7 Juin à 19 h Salle Amélie Charrière à DAX Meeting Jean-Marc LESPADE et Christelle LALANNE 3eme circonscription : réunions publiques avec Boris VALLAUD et Marie-Claire LAILHEUGUE Mercredi 1er Juin à 20 h 30 Salle du Centre culturel à GRENADE S/ADOUR Jeudi 2 Juin à 20 h 30 Salle Polyvalente à GEAUNE Vendredi 3 Juin à 20 h 30 Alambic des Arts à VILLENEUVE-DE-MARSAN
L’espoir au présent Déclaration des responsables du PCF en charge du « programme partagé » de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale et du porte-parole du PCF. Les 12 et 19 juin prochains, un vent d’espoir peut se lever sur la France. Emmanuel Macron n’a remporté la présidentielle qu’à la faveur de la volonté majoritaire du pays de barrer la route à l’extrême-droite. En se rassemblant pour les législatives, la gauche rend aujourd’hui possible la mise en échec du président de la République et de son programme de casse sociale, la défaite de très nombreux députés de droite et d’extrême -droite. La conquête d’une majorité de gauche à l’Assemblée nationale devient possible pour relayer les attentes du mouvement populaire. Avec les propositions de « La France des Jours heureux », le PCF et son candidat Fabien Roussel ont travaillé avec l’ensemble des forces de gauche au programme partagé que nous défendrons ensemble. Ils ont particulièrement insisté sur la nécessité de se doter de moyens financiers et de pouvoirs à la hauteur des objectifs sociaux et écologiques avancés. ♦ D’où la place du travail et de l’emploi au cœur des politiques publiques à déployer, en sécurisant l’emploi et la formation… ♦ D’où l’engagement pour la retraite à 60 ans, en intégrant les périodes d’études et de non travail dans le calcul des années de cotisation nécessaires pour une pension à taux plein. ♦ D’où l’exigence d’une République sociale, laïque, universaliste et démocratique, qui se déploie partout avec des services publics pour toutes et tous… ♦ D’où l’importance accordée à la réappropriation publique et sociale de grandes entreprises concernées telles EDF et Engie, comme au besoin d’un pôle public financier avec la nationalisation de banques privées pour conduire une politique réellement transformatrice… ♦ D’où l’accent mis sur un nouveau mode de développement, solidaire et écologique, qui suppose un mix énergétique nucléaire/renouvelable, la réindustrialisation de la France et la nationalisation de grands groupes stratégiques, ainsi que de nouveaux pouvoirs d’intervention des citoyens et des salariés sur l’économie… ♦ D’où enfin la demande que la France use de son siège au Conseil de sécurité pour faire naître des coopérations solidaires entre les peuples et prévaloir le droit international et la paix, en Europe autant qu’en Palestine ou au Sahara occidental, et dans la levée du blocus de Cuba… Certains de ces points figurent parmi nos objectifs communs, d’autres resteront à débattre entre les groupes de gauche au sein de la prochaine Assemblée. Le plus important est que nos compatriotes puissent voir leurs vies changer dès l’été, et qu’avec les mobilisations populaires la colère se transforme en une force puissante de changement. ■ Ian BROSSAT - Léon DEFFONTAINES Marie-Jeanne GOBERT - Christian PICQUET Évelyne TERNANT - Vincent Boulet
Liste des candidatures pour les élections législatives sur le département des Landes 1ere Circonscription 1/ Sébastien CAZAUBON / Michèle CASTIGLIA (Divers centre) 2/ Daniel LARGE / Johann LEMPERNESSE (Divers gauche) 3/ Michel DUFAY / Mélissa GIACALONE (RN) 4/ Laurent MARTIN / Jean-Pierre POURRUT (Droite souverainiste) 5/ Geneviève DARRIEUSSECQ / Fabien LAINE (Ensemble !) 6/ Marie-Christine HARAMBAT / Thomas LAGORCE (LR) 7/ Guy DE BARBEYRAC / Christiane COLIGNON (NUPES) 8/ Stéphane DAVID / Christian DELFOSSE (Reconquête) 9/ Jwanakan DOBAT / Valentine BOISGONTIER (Ecologiste) 10/ Jean-Claude BON / Françoise CALLOES (LO) 11/ Jean-Jacques DUBREUIL / David GROSCLAUDE (Régionaliste) 2eme Circonscription 1/ Christian LAFFONT / Marlène HERITIER (Divers droite) 2/ Lionel CAUSSE / Maeva DEDIEU (Ensemble !) 3/ Véronique RIVOIRE / Michel FOSSEY (RN) 4/ Dominique LECUONA / Michel BARIS (Régionaliste) 5/ Sophie DE BROSSES / Joris DUBURCQ (Divers centre) 6/ Jean-Marc LESPADE / Christelle LALANNE (NUPES) 7/ Jean-Pierre ETCHOIMBORDE / Michel RAPIN (Droite souverainiste) 8/ Muriel LOUBET / Michaël LORZ (Reconquête) 9/ Pascal DEMANGEOT / Pascale JUHEL (LO) 10/ Marc VERNIER / Béatrice ALBALADEJO (LR) 11/ Jonathan HARENG / Sylvie MESPLE-BELABED (Ecologiste) 3eme Circonscription 1/ Boris VALLAUD / Anne-Marie LAILHEUGUE (NUPES) 2/ Carole VOUTAZ / Denis LACOSTE (LO) 3/ Jean-François BROQUERES / Pascale REQUENNA (Ensemble !) 4/ Sylvie FRANCESCHINI / Arthur RAFALOVICH (RN) 5/ Daniel HURIEZ / Magali PICANO-NACCI (Divers extrême-gauche) 6/ Matèu RICHARD / Lucas GERARDIN (Régionaliste) 7/ Isabelle DU BREUIL HELION DE LA GUERONIERE / Bernard COPEL (Reconquête) 8/ Marion BERGINIAT / Bernard LACOUTURE (LR) 9/ Christelle LASSORT / Bernard CASTETS (Divers centre) ■
Les sénateurs communistes demandent une réévaluation de la dotation aux communes en fonction de l’inflation L’évolution des prix sur un an n’entame pas seulement le pouvoir d’achat des ménage, mais aussi les marges de manœuvres des collectivités locales. Une proposition de loi du groupe CRCE au Sénat demande l’indexation d’une dotation aux collectivités sur l’inflation. C’est un peu la dotation mère des collectivités. La dotation globale de fonctionnement (DGF), qui s’élève cette année à environ 27 milliards d’euros, représente un peu plus de la moitié des concours financiers de l’Etat aux collectivités territoriales. Cette ressource est essentielle aux budgets des communes ou encore des départements. À titre d’exemple, pour les communes, cette enveloppe représente 15% de leurs recettes de fonctionnement. La force de la DGF s’amenuise pourtant, dans un contexte où la France renoue avec une inflation élevée. En avril, les prix à la consommation ont poursuivi leur hausse, selon les derniers chiffres calculés par l’INSEE en avril dernier (NDLR). Sur un an, la hausse atteint désormais 4,8%. L’envolée des cours de l’énergie ou des prix de l’alimentation pèse sur des dépenses des équipements ou des services communaux ou départementaux. Au Sénat, le groupe communiste, républicain, citoyen et écologiste (CRCE) estime à 400 millions d’euros le manque à gagner pour les collectivités locales dans ce contexte. Lorsque la loi de finances pour 2022 a été adoptée, le budget reposait sur une hypothèse d’inflation de seulement 1,5%. Les sénateurs communistes ont déposé le 27 avril une proposition de loi pour indexer la DGT sur l’inflation, afin d’assurer une « protection pour les finances locales » et donner « une meilleure visibilité sur l’évolution de leurs recettes ». La proposition figurait dans le programme présidentiel de Fabien Roussel, le candidat du PCF. Dans les années 1990 et 2000, la DGF dépendait d’ailleurs d’un indice reposant sur l’évolution des prix.
« Faire davantage avec toujours moins, devient difficile »
Alors qu’une réforme globale des recettes des collectivités se fait toujours attendre, le groupe sénatorial estime que leur mécanisme pourrait « à minima » rendre « plus juste et plus lisible » cette DGF, dont l’évolution est scrutée chaque année à la loupe par des milliers de collectivités locales. Cette indexation sur l’inflation permettra, selon le groupe CRCE, « de renforcer la prévisibilité des budgets locaux et permettra aux élus de se projeter sur une base financière plus solide ». « Faire davantage avec toujours moins, devient difficile. Les collectivités continuent d’investir, mais les prix augmentent (notamment dans le secteur du bâtiment) », avertissent-ils. Dans l’argumentaire de leur proposition de loi, les parlementaires, tous membres d’une assemblée locale, considèrent que la stabilité de la DGF durant
le quinquennat écouté « n’est que superficielle ». « Elle ne revient pas sur les coupes budgétaires des années précédentes, et d’autre part, elle n’est pas augmentée par rapport à l’évolution des prix », insistent-ils. Entre 2014 et 2017, le montant annuel de la DGF a fondu d’environ 25%. Selon André Laignel, maire socialiste qui préside le Comité des finances locales, l’inflation a progressivement contracté les moyens des collectivités, en dépit de l’arrêt de la baisse des dotations. Sur cinq ans, l’inflation serait responsable, selon lui, d’une baisse « minimum » de 10% des capacités d’actions des collectivités. La baisse progressive de la valeur réelle de la DGF sous l’effet de l’inflation a également été épinglée par le sénateur centriste Loïc Hervé, dans un rapport sur le budget 2022. « La ministre a défendu l’engagement du gouvernement à sanctuariser les dotations, notamment de compensation, aux collectivités. On peut s’en féliciter ; on peut également constater que, derrière ce vocable de sanctuarisation, est en réalité défendue une érosion progressive en termes réels de ces dotations, dont le montant […] est grignoté chaque année par l’inflation ». Le gouvernement s’était défendu en soulignant que d’autres ressources fiscales à destination des collectivités, comme une part de TVA, progressaient (sur Public Sénat).■
SOKA TIRA, ON TIENT LA CORDE
Jette-t-on la pierre au chien qui a la rage? Force est de constater qu'en macronie, à droite, en fachosphère zémourienne et lepeniste, chez les caciques de la politique qui clament leur gauche avec le portefeuille à droite, on tire à boulets rouges sur la Nouvelle union populaire écologique et sociale. Le titre est en soi un programme qui unifie les citoyennes et citoyens inquiets pour l'avenir de la planète comme pour l'avenir des droits sociaux soumis aux "réformes" libérales les plus dures. Il est temps que les fruits du travail ruissellent sur ceux qui les produisent et que les soi-disant "premiers de cordée" abusivement premiers servis, contribuent totalement au budget pour le bien commun. Les élections législatives des 12 et 19 juin peuvent ouvrir une voie nouvelle pour la France. La mobilisation populaire pour élire une majorité de Gauche à l'Assemblée Nationale, avec une politique authentiquement de Gauche portée par un gouvernement de Gauche avec Jean-Luc Mélenchon comme Premier ministre, face à Macron et non avec lui, serait un fameux point d'appui pour les luttes revendicatives dans les entreprises privées comme dans les services publics. Ne nous laissons pas impressionner par tous les oiseaux de mauvais augure et allons de l'avant avec confiance et détermination. ■ G.D.
Retraites : Macron propulse une ancienne de McKinsey pour piloter la réforme La réforme des retraites est la contre-réforme centrale du début du second quinquennat de Macron. Une attaque d’ampleur dont on apprend que celle-ci serait pilotée par Marguerite Cazeneuve, une ancienne consultante chez McKinsey, qui était dans l’équipe de campagne de Macron ! La proximité du gouvernement d’Emmanuel Macron avec le cabinet de conseil McKinsey n’est plus à démontrer. Récemment, le JDD, journal proche de la macronie, révélait un nouveau nom clef dans l’entourage du Président de la République en lien avec le cabinet de conseil. Marguerite Cazeneuve, ancienne consultante de McKinsey, est aujourd’hui la tête pensante de la contre-réforme des retraites. Aujourd’hui âgée de 31 ans, elle entre après sa sortie d’HEC en tant que consultante junior dans le fameux cabinet de conseil américain. Elle y est notamment chargée en 2014 d’auditer les comptes de la Direction de la Sécurité Sociale pour le gouvernement Hollande. Mais c’est réellement sous la macronie qu’elle va devenir un élément indispensable des différents projets du gouvernement. Comme le cite un article du Point, « auprès d’Emmanuel Macron, d’Edouard Philippe puis de Jean Castex, elle s’est imposée peu à peu comme une des principales conseillères de l’ombre sur le front de la pandémie ». En effet, après avoir enchaîné plusieurs postes au sein de la protection sociale, des comptes sociaux ou encore dans la santé, elle est propulsée numéro 2 de l’assurance-maladie en mars 2021 et gère le déploiement de la vaccination pour le gouvernement. C’est à ce moment-là que selon le Point, « les commandes passées auprès de McKinsey progressent fortement ». Marguerite Cazeneuve, formée au cabinet McKinsey, évolue dans un entourage gagné au macronisme entre son père Jean-René Cazeneuve, député LREM du Gers, son frère Pierre Cazeneuve, membre du cabinet Macron ou encore son mari Aurélien Rousseau à la direction de l’ARS de la région Ilede-France pendant la crise sanitaire. Décrite comme « le pont entre deux mondes », elle a fait partie de l’équipe de campagne de Macron sur le volet social et de la retraite. C’est elle qui jouera donc dans l’ombre un rôle important dans la prochaine réforme des retraites. « Recul de l’âge de départ à 65 ans, les mesures de compensation en matière de pénibilité au travail, l’équilibre financier, le niveau des pensions... », selon le JDD voici les différents aspects de la contre-réforme dont est en charge l’ancienne de McKinsey.■
BORNE BORNE, QUI ES-TU, OU VAS-TU? Qui ne connaît pas la comptine suivante : Promenons-nous dans les bois,/ Pendant que le loup n'y est pas./ Si le loup y était/ Il nous mangerait,/ Mais comme il y est pas,/ Il nous mangera pas./ Loup, y es-tu? Que fais-tu? M'entends-tu?...«Je mets ma chemise» ...Promenons-nous...«Je mets ma culotte»...Promenons-nous...«Je mets mes chaussettes»...Promenons-nous...«Je mets ma veste»...Promenons-nous...«Je mets mes bottes»...Promenons-nous...«Je mets mon chapeau»...Promenons-nous...«Je prends mon fusil! J'arrive! Me voilà!...Sauvons nous!» . La comptine est la base d'un jeu entre de jeunes enfants de quatre à six ans et un adulte. L'adulte se cache derrière un buisson, par exemple. Les enfants, dans le jardin, chantent la comptine et attendent la réponse du loup. À la fin de la comptine, l'adulte sort de la cachette et vient "ravir" les enfants – au double sens du terme : il les capture et les "mange" de baisers. On ne peut pas dire que la politique soit un jeu et encore moins une comptine pour enfants. Les loups ne se mangent pas entre eux et les promesses de nos politiciennes et politiciens droitiers n’ont rien de baisers affectueux. Les «derniers de cordée» mais «premiers de corvée» que nous sommes peuvent en juger au quotidien par la maltraitance des politiques libérales contre le monde du travail et de la création. De nommer une femme à la tête du gouvernement, fut-elle parait-il dans la «gôche» de la macronie, ne laisse de l’espoir qu’aux gens crédules. Elle a l’aspect sévère d’une femme de caractère et le sourire pincé d’une haute fonctionnaire. Élisabeth Borne, née le 18 avril 1961 à Paris, haute fonctionnaire et femme d'État mais qui fut aussi cadre chez Eiffage entre autres, est Première ministre depuis le 16 mai 2022. Dans ses différentes fonctions, elle a marqué son passage par la casse sociale, que ce soit à la RATP, à la SNCF et au ministère du travail qu’elle occupait avant d’être nommée à Matignon en laissant son dernier cadeau empoisonné contre les chômeurs. Elle succède ainsi à Edouard Philippe (né le 28/11/1970 à Rouen) et Jean Castex (né le 25/06/1965 à Vic-Fezensac) dans la continuité de leur politique, pour la retraite à 65 ans et les privatisations selon les choix du mentor Emmanuel Macron (né le 21/12/1977 à Amiens). A moins d’un mois d’élections législatives les 12 et 19 juin 2022, on pourraient voir, si les citoyens le décident, une véritable majorité de Gauche à l’Assemblée Nationale et des changements profonds de situation s’opérer contre les oiseaux de malheur capitalistes et leurs alliés femmes et hommes. Faisons en sorte que la peur change de camp contre la violence sociale et le mépris des «premiers de cordée» en élisant les députés d'union populaire écologique et sociale. La nouvelle République mettra fin à la monarchie présidentielle. Libertat égalitat fraternitat, aco qu'es plan (Liberté, égalité, fraternité, ça c'est bien).■ Roger La Mougne