Les Landes Républicaines N° 2 414

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Un plan Thermal 2023-2028 a été discuté, il comporte entre autres la sécurisation des parcours de formation : modification du cadre d'intervention des aides individuelles à la formation et des primes d'entrée en formation, du Règlement d'intervention habitat…

Le Président de la région, en début de séance, a fait part de l’horreur et de son indignation face à la banalisation des violences et a salué les organisations syndicales.

RÉPUBLICAINES RÉPUBLICAINES

début 2024.

Il a rappelé que ces entreprises font parties du territoire et sont vecteurs de développement économique. Raison de plus d’en tenir compte dans les intentions politiques qui vont être développées sur les éco-socioconditionnalités avec l’exigence et l’importance de ne pas délocaliser et fermer ces entreprises.

Il a également parlé de la situation des étudiants en architecture qui sont en grève depuis plusieurs jours pour de meilleures conditions.

Il a demandé que la Région puisse interpeller celles et ceux qui donnent les moyens aux étudiants pour apprendre et que des moyens soient alloués afin qu’ils puissent étudier dans de bonnes conditions.

Sur la question de l’eau.

Le groupe communiste, écologique et citoyen condamne sans réserve les violences du week-end à Sainte-Soline, rappelant la nécessité de trouver un

chemin de sortie pour éviter les conflits d’usages. Il a rappelé, qu’avec sa collègue Béatrice Tariol, un courrier a été adressé au Préfet de la Vienne et à la Préfète des Deux-Sèvres afin de demander un moratoire pour trouver une solution qui apaise la situation sur les territoires (Moratoire et Projets de Territoire), en y associant l’ensemble des acteurs.

Eco-socio conditionnalités.

Une délibération votée à la majorité. Avec un principe pour bénéficier d’aides financières publiques à la condition de réaliser des actions précises en faveur du développement durable, de principes et

concernant le développement du RER métropolitain ainsi que les quatre premiers contrats opérationnels de mobilité de territoires et de GPSO.

Frédéric MELLIER a rappelé l’importance du projet GPSO en lien avec le développement des TER et du Suite page 2

S.A.R.L. « LES LANDES RÉPUBLICAINES » 6-8 rue des Forgerons – BP34 40001 MT DE MARSAN Cedex Tél. 05.58.46.41.41 Directeur de la publication : Alain BACHE e-mail : landes.rep@wanadoo.fr Site : http://pcf40.free.fr Abonnement annuel 25€ Imprimé : L.R. MONT-DE-MARSAN C.P.N° 0621P11523 – N° 2414 – Jeudi 6 avril 2023
HEBDOMADAIRE DE LA FÉDÉRATION LANDAISE DU P.C.F.
LLEES S LLANDE ANDES S

un panel d’interventions en fonction des besoins des Isabelle Larrouy est intervenue sur ce règlement qui permet d'avoir une vision globale sur les engagements de la Région en matière d'habitat. Elle a soulevé les insuffisances financières de l'Etat. La question de l'hébergement des stagiaires en santé, dans les métiers du soin et du social mérite également notre attention et certainement d'approfondir nos dispositifs.

Des aides régionales pour les actions éducatives réaffirmées, avec un règlement d’intervention de la région modifié et adopté.

Dans sa prise de parole, Isabelle LARROUY est notamment intervenue sur le manque de financements de la part de l’Etat, et surtout sur la nécessaire prise en compte de l’Indice de Position Sociale des lycées lors de l’attribution des aides aux lycées privés sous contrat.

Une feuille de route sur le tourisme durable a été

Brahim Jlalji est intervenu et a souligné que cette feuille de route aller conforter le développement touristique, limiter les impacts sur l’environnement, œuvrer au développement d’un tourisme pour tous.

La Région Nouvelle-Aquitaine est la 2ème région thermale de France avec ses 28 établissements thermaux répartis sur 5 départements. Un plan thermal 2023-2028 qui s’inscrit dans la feuille de route « santé » a été adopté lors de la précédente séance. Une délibération votée à

Comme à la fin de chaque session, des motions et des questions orales sont venues ponctuées les débats. Une d’entre elle a été adoptée « Pour la gratuité des protections périodiques durables et l’éducation à la santé menstruelle des jeunes »

Deux jours de longs et riches débats, ponctués par des accrochages et des échanges verbaux, venus notamment des bancs du Rassemblement National. Mais surtout l’adoption de décisions qui vont être utiles au développement des territoires et répondre aux besoins des élus et des populations.■

Face au passage en force, continuer la bataille

C’est une colère profonde qui s’exprime partout dans le pays contre la réforme des retraites. Une colère contre le gouvernement et le Président qui veulent abîmer le droit à la retraite et qui se revendiquent de la démocratie pour la piétiner.

ll n’y a pas de raisons valables pour réduire de 2 ans le droit à la retraite. Même le comité d’orientation des retraites (COR) admet que l’on peut faire face au déficit sans dégrader le droit à la retraite. Si danger il y a, ce sont les politiques successives qui ont définancé notre système de retraite. Un ensemble de mesures peut permettre de financer une amélioration du droit à la retraite. Il est urgent de revoir les exonérations massives et sans conditions de cotisations, mettre fin à la politique de « modération salariale », de contournement du salaire et de réduction du sempiternel « coût du travail ». Il faut augmenter les salaires et donc les cotisations, embaucher dans la fonction publique pour répondre aux besoins, stopper la politique de précarisation de l’emploi, améliorer les carrières, appliquer réellement l’égalité salariale et entre les femmes et les hommes. Enfin, il est urgent de faire cotiser les revenus du capital au même niveau que les salaires.

La seule issue raisonnable à la crise politique qui traverse le pays est d’abandonner purement et simplementceprojetnéfaste.

Face à l’intersyndicale, face à la pression populaire, le gouvernement a choisi le passage en force. À l’Assemblée, nous n’avons pas voté le texte. La Première ministre a été contrainte de passer par le 49.3. La motion de censure a été évitée à 9 voix. Même au sein de sa majorité des voix discordantes s’expriment.

Lors de son allocution télévisée le 22 mars, le Président de la république a osé affirmer sa volonté que la loi aille « au bout de son cheminement démocratique ». Quel mépris et quelle arrogance !

Il n’a fait qu’amplifier la colère et les mobilisations du lendemain.

Nous sommes face à une crise politique gravissime. La seule réponse d’Emmanuel Macron est une attitude autoritaire, suffisante.

Mais la bataille n’est pas terminée. Avec nos collègues des groupes GDR et CRCE et avec toutes les forces républicaines disponibles, nous utilisons tous les leviers possibles pour mener bataille.

Nous avons déposé un recours auprès du Conseil constitutionnel.

Avec 252 parlementaires, et soutenus par l’Intersyndicale, nous avons également déposé une demande de référendum d’initiative partagée pour que l’âge légal de départ à la retraite ne puisse pas être porté au-delà de 62 ans. Le Conseil constitutionnel a jusqu’au 20 avril pour se prononcer sur la recevabilité de cette proposition de référendum. C’est une épée de Damoclès au-dessus de l’exécutif. C’est le refus de renoncer à la victoire. C’est une issue à la crise face à l’entêtement et au passage en force. Cela ouvre des perspectives pour continuer la bataille tant que le texte n’est pas retiré.

C’est le droit à la retraite qui est en jeu. C’est aussi la confiance dans la démocratie et dans la République. On ne peut pas en rester là.■

La petite histoire du siège du PCF – 9

Le parvis, la coupole, le « foyer »

Dans le monde des années 1920 se développe une architecture de style « moderne ». Oscar Niemeyer sort de l’École nationale des Beaux-arts de Rio de Janeiro avec son diplôme d’architecture en 1934, il n’y a étudié qu’une architecture d’un classicisme européen. Il dira : « Nous étions contraints de chercher notre voie en autodidactes, en dehors du cadre scolaire. »

Il entre comme stagiaire chez Lucio Costa qui sera, un court instant, directeur de l’École nationale des Beauxarts et, entre autres, le responsable du plan d’urbanisation « Plan pilote » de Brasilia. Le Corbusier, présent au Brésil, sera également d’un grand apport En 1927, Le Corbusier, grand théoricien de l’architecture moderne, systématise des procédés architecturaux déjà développés par « l’École de Chicago » fin XIXe début XXe siècle : pilotis, le toit terrasse, la façade libre, le plan libre, la fenêtre-bandeau.

Au siège du PCF, façade libre et fenêtre-bandeau se traduisent par le mur-rideau de Jean Prouvé qui forme une façade indépendante du bâtiment. Elle comporte des ouvrants, mis au point également par Jean Prouvé et à la demande de la direction du PCF, qui craignait des attentats par dispersion de gaz dans les aérations.

Le socle du bâtiment repose sur cinq piliers, appelés antipilotis par Oscar Niemeyer. Ils traversent tout le bâtiment, descendent à quinze mètres sous terre ; une dalle de béton remontant en vague n’en laisse apparaître qu’un mètre cinquante au-dessus du sol. Cette conception, accentuée par les plans inclinés du parvis, permet de donner l’impression que le bâtiment flotte au-dessus du sol et de dégager de grands espaces par une entrée sous le bâtiment, non visible de la rue. Cet espace, Oscar Niemeyer l’appelait « le foyer de la classe ouvrière ».

Cerise sur le gâteau, si l’on peut dire, le dôme blanc émergeant du parvis, symbole de fécondité pour Oscar Niemeyer, abrite la salle du Conseil national. Les regards de verre, à sa base, sont une des nombreuses entrées de lumière naturelle de ce bâtiment. Quelques marches à descendre et nous entrons dans « le foyer de la classe ouvrière » où un mur d’images retraçant les faits et rencontres importants de l’histoire du PCF, de 1920 à la libération d’Angela Davis en 1972, vous attire dans sa courbe.

Le lieu peut accueillir 1 000m2 d’expositions ; il occupe une place importante dans la vie de ce bâtiment et de la politique du PCF pour qui la culture est source d’émancipation humaine.

En descendant vers la coupole, le sol avec ses plans inclinés, les murs courbes à l’apparence du bois, les puits de lumière autour de la coupole qui, les après-midi de soleil, dessinent des taches de lumière sur la moquette verte, donnant l’image d’une clairière, sont une invitation au voyage, à la découverte de la sensualité de l’œuvre, de l’artiste et de son rapport à la nature L’ouverture pneumatique des portes de la coupole, fait penser au film Star Trek (1966), qui dépeint un futur où l’humanité aura éradiqué la maladie, l’injustice, le racisme, la pauvreté, l’intolérance et la guerre. Entrons dans ce monde dont l’idée ne nous est pas étrangère

Oscar Niemeyer disait de cette salle qu’elle avait « quelque chose de spatial ». Il est vrai que l’ouverture

des portes, la forme de la salle et la voûte de 16 000 lamelles comme un firmament, le confirment. Au-delà du sentiment d’être dans un autre monde, ces lamelles permettent de répartir le son et la lumière de façon uniforme.

Retour sur la Terre : C’est dans cette salle de 300 places que se réunit le Conseil national du PCF. Pouvant se configurer à loisir, elle peut recevoir des tournages de films, concerts, défilés de mode ou encore expositions d’art, des conférences et séminaires et quatre alvéoles donnant sur la salle peuvent abriter les interprètes.■

Influenza aviaire le plein-air, seul espoir

Depuis les débuts des épizooties d’influenza aviaire, le Modef des Landes et la Confédération paysanne n’ont de cesse de défendre et promouvoir l’élevage en plein-air.

Plus qu’une simple idéologie, il s’agit d’un principe fondamental de respect des caractéristiques physiques des animaux et donc de leur bien-être.

Malgré nos argumentaires répétés et rabâchés, la mise à l’abri reste l’axe principal de la biosécurité imposée par les interprofessions et les acteurs économiques avec l’aval de l’État au motif de préserver la santé des animaux et leur bien-être. Es -ce réellement respectueux du bien-être animal que de laisser les animaux souffrir enfermés par des journées à 25°C voire 30°C ?

Quid du bien-être des éleveurs qui voient leurs animaux périr dans les bâtiments ?

Le remède est finalement pire que le mal.

Nous demandons donc ce jour qu’au vu de la situation sanitaire qui s’est calmée et des températures qui remontent :

 Le niveau de risque soit adapté aux territoires et non plus décrété au niveau national ;

 Les éleveurs et éleveuses du département des filières courtes et longues soient de nouveau autorisés à élever leurs animaux en plein-air. Ces demandes ont fait l’objet d’une motion déposée par nos deux syndicats lors de la session chambre du 13 mars dernier. Elle a été adoptée à l’unanimité devant les services de l’État, notamment Madame la Préfète à qui nous demandons de prendre ses responsabilités. ■

MANIFESTATION A SOUSTONS DES OUBLIES DU SEGUR

Les primes employeur permettent dans certains cas de compenser les conditions de travail. Des accords importants ont été signés le 13 juillet 2020 entre le gouvernement français et la plupart des organisations syndicales concernées : ce sont les accords du Ségur de la santé. Bien qu’elle ne soit pas la seule, l’ambition première de ces accords est la revalorisation salariale des acteurs de la santé. En effet, l’importance de la crise sanitaire que la France a connue ces dernières années a mis en lumière les difficultés et insuffisances du système de santé. Et, entre autres, le manque de reconnaissance des auxiliaires de santé est apparu de façon flagrante. C’est la raison pour laquelle c’est en premier lieu sur leur fiche de paie que la correction doit apparaître. Belle déclaration officielle mais qui ne s'applique pas partout et pour toutes et tous les salarié-e-s en lien avec le métier du soin et du lien comme, parmi d'autres, c'est le cas à l'AEHM (Association Européenne Handicapés Moteur) dont une structure existe au «Foyer Lestang» de Soustons.

Si une partie des personnels ont bénéficié de la revalorisation salariale prévue par le ministère de la santé, les agents d'entretien, administratifs, de service, lingères, cuisiniers et agents de salle en sont privés. Ils font partie du «personnel de l'ombre», invisible et cependant indispensable au fonctionnement de la structure. Comme c'est trop souvent le cas, leurs salaires sont les plus bas. Si leur engagement a été applaudi pendant le COVID, il n'en sont pas pour autant reconnus. Avec leur syndicat CGT, les salarié-e-s de l'AEHM se battent depuis plusieurs mois pour faire reconnaître leur droit à la «prime Ségur».

Comme le 3 octobre, ils ont manifesté le 30 mars afin de se faire entendre et reconnaître.

Ce qu'ils réclament n'est que justice : «Depuis deux ans maintenant, nous n'avons pas reçu l'augmentation de 183 € (X 24 mois = 4392 €) qui nous avait été promise. Malgré nos réclamations, nos demandes sont restées sans réponse et nous avons l'impression d'être les oubliés de ce processus. Nous avons récemment appris que le département doit rembourser l'avance faite par l'AEHM. Nous considérons que cela représente une injustice flagrante, car nous avons travaillé dur et fait de notre mieux pour répondre aux exigences de notre entreprise. Sans compter notre obligation de se faire vacciner.». Evidemment le retrait de l'injuste «réforme des retraites» était également exprimé par la centaine de manifestant-e-s ayant défilé dans Soustons jusqu'à l'Hôtel de ville où une délégation a été reçue par Madame le maire. ■

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LE PAIN ET LA PAIX

La terre perd la boule/ Et fait sauter ses foules/ Voici finalement/ Le grand le grand/ Voici finalement/ Le grand chambardement... Extrait du chant «Le grand chambardement» créée en 1968 par Guy Béart (né Guy Isidore Béhar-Hasson, 1930-2015, auteur-compositeurinterprète français). Des manifestations et des grèves ont lieu au Royaume-Uni, en Grèce, en Allemagne, en Belgique, en France, pour les salaires et la justice sociale. Des augmentations de salaires sont obtenues par les luttes. Un mouvement général contre les spéculations et la pression sur le travail s’amplifie. L’enquête européenne du Secours populaire français, rendue publique le 4 novembre 2022, révèle que 42% des citoyens européens ont dû déjà demander à leurs proches de leur prêter de l’argent pour pouvoir finir le mois. Une personne sur quatre déclare être en situation précaire et faire face à des difficultés financières et matérielles et la vie quotidienne se dégrade considérablement. Les multinationales font des profits records. La hausse des taux d’intérêt bancaire sous prétexte de lutte contre l’inflation fait flamber les bénéfices des banques européennes pendant qu’elle appauvrit les foyers populaires. Les populations souffrent en Allemagne mais la Deutsche Bank a multiplié son bénéfice net par cinq. Au Royaume-Uni, Barclays augmente ses résultats de 10%, l’Espagnole Santander de 11%. En France, BNP-Paribas augmente ses profits de 12%, soit de 8 milliards d’euros en 6 mois. Le Crédit Agricole engrange 6,1 milliards d'euros, la BPCE 3,4 milliards. Le gouvernement de gauche en Espagne envisage un impôt sur les bénéfices des banques ; et en France? La guerre déclenchée par le pouvoir russe contre l’Ukraine sert de prétexte aux spéculations dans le cadre du capitalisme mondialisé, de ses guerres économiques et sociales contre les travailleurs. La guerre impacte d’une manière ou d’une autre tous les êtres humains dans le monde. Les grandes multinationales d’alimentation, d’énergie, d’armement, de pharmacie et leurs commis politiques ne font rien pour rechercher un chemin de paix, car elles y trouvent intérêt, tandis que les gouvernements demandent aux peuples «sobriété» et «sacrifices». Les combats populaires devraient porter les aspirations au pain, à la paix, à la justice, au respect de la nature. La poursuite de la guerre entraîne la détérioration de la vie des familles populaires et de nouveaux prétextes pour leur demander toujours plus de sacrifices. Les débats et mobilisations sont à mener partout pour mettre en échec les dirigeants des États qui préparent à la guerre généralisée. Dans son discours de Toulon le 09/11/2022 le président Macron déclarait que la France devait se mettre en «posture d’économie de guerre». Il confirme une mutation stratégique du concept de défense nationale pour insérer plus nos forces armées dans l’OTAN (Organisation du Traité de l'Atlantique Nord, sous tutelle américaine) issu de la «guerre froide» entre les USA et l'URSS. L'indépendance française est noyée dans «une plus grande opérabilité entre nos matériels militaires et ceux des États-Unis». Il faut faire cesser cette folie. C’est la course au désarmement qu’il faut lancer. Ces enjeux ne sont pas éloignés de la vie des familles dans les villes et villages, comme des luttes sociales. La bombe climatique peut consumer la planète en quelques années ; la bombe nucléaire en quelques heures. Que cau cridar hòrt per lo pan é la patz (Il faut crierfort pourle pain et la paix). ■

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