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PEOPLE SPORT
from LYON PEOPLE Mai 2022
by Lyon people
OPEN PARC
JO-WILFRIED TSONGA
Libéré de toutes contraintes sanitaires, l’Open Parc va retrouver la pleine possession de ses moyens. Une situation idéale à l’heure de célébrer les derniers coups de raquette de Jo-Wilfried Tsonga et de son ultime participation au tournoi lyonnais. Un moment chargé d’émotions pour le tennisman français, lequel a accepté de se projeter au 15 mai prochain, en exclusivité pour Lyon People.
Propos recueillis par Morgan Couturier - Photos © DR
LP : À quelques jours de retrouver les terrains de l’Open Parc, dans quel état d’esprit êtes-vous ?
JWT : En ce moment pour moi, c’est un peu chargé. Il y a eu l’annonce que j’ai faite pour dire que c’était le dernier tournoi. Tout le monde a envie de passer du temps avec moi, avant que ça se termine. Alors forcément, il y a pas mal de sollicitations. Cela étant, ça reste un tournoi dont je suis l’ambassadeur et pour moi, c’est hyper important d’être présent sur le terrain et de pouvoir jouer.
N’est-ce pas rassurant aussi, de se dire que votre dernier tournoi va se dérouler dans des conditions optimales, loin des restrictions sanitaires qui ont perturbé les deux dernières éditions ?
Bien-sûr ! Ces dernières années, ce fut très compliqué. Le tournoi a beaucoup souffert du Covid. Alors pour nous, c’est une aubaine de pouvoir être en full capacité et de pouvoir accueillir les spectateurs le mieux possible.
Avez-vous craint que le tournoi disparaisse ?
Évidemment ! Il ne faut pas oublier que ça reste un jeune tournoi, même si pour un très jeune tournoi, on a eu de très beaux vainqueurs. Je m’exclus par humilité (rires), mais on a eu Dominic Thiem, Stéfanos Tsitsipas, qui sont aujourd’hui sur le devant de la scène mondiale. On peut donc considérer que le meilleur du tennis mondial vient à l’Open Parc. Pour autant, ça reste économique, et si on n’a pas d’argent pour continuer, forcément, le tournoi disparaît. Le Covid n’a pas aidé. Il n’a pas fait fuir que des spectateurs (rires), mais aussi des sponsors. On se considère comme chanceux de pouvoir continuer l’aventure.
« AMÉLIORER LES STRUCTURES, L’ACCUEIL DES SPECTATEURS ET DES VIP, C’EST NOTRE PROCHAIN DÉFI »
Vous l’avez dit, l’Open Parc a toujours su attirer des stars du tennis dès sa première édition. Quel est votre secret ? Je vais être honnête, il n’y a pas de recette magique (rires). Le seul moyen d’avoir des grands champions, c’est encore une fois le système économique. Après, il y a aussi l’attractivité du tournoi, le fait d’être une surface qui se rapproche de Roland-Garros, de jouer avec les mêmes balles, d’avoir une hospitalité sympa, un lieu agréable. Ce sont tous ces éléments qui poussent les très bons

joueurs à venir à l’Open Parc. J’espère par la suite, que l’on pourra monter en puissance et être capable d’attirer encore plus de bons joueurs.
À ce sujet, que reste-t-il à améliorer pour que le tournoi gagne en renommée ?
De mon point de vue, je dirais peut-être les infrastructures. Aujourd’hui, on a la chance que la Ville de Lyon nous mette à disposition le Vélodrome, mais finalement, les années précédentes, lorsque l’on était sur des jauges complètes, on était rapidement complet. On aimerait offrir l’accès à encore plus de spectateurs. La Région AURA est une belle région de tennis, il y a beaucoup d’amateurs de tennis, alors améliorer les structures et l’accueil des spectateurs et des VIP, pour nous, ce sera le prochain défi.
Faut-il quitter le Parc de la Tête d’Or ?
C’est une bonne question. C’est forcément une question que l’on se pose régulièrement. L’objectif est de faire le plus beau tournoi possible. Aujourd’hui, on considère qu’en ayant un tournoi qui se passe au centre du Parc de la Tête d’Or, c’est exceptionnel ! Il n’est pas exceptionnel dans la capacité de recevoir. En revanche, il est quand même extraordinaire dans son charme et dans son environnement très naturel, ce qui correspond très bien au jeu sur terre battue. Après voilà, si on veut grandir, si on veut avoir de plus grands joueurs, il faudra songer à augmenter la capacité. En attendant, cette édition 2022 sera forcément spéciale, du fait de l’annonce de la fin de votre carrière. Allez-vous en profiter pour attirer de nombreuses vedettes ? (Rires) On essaye ! Dans un tournoi français, on essaye toujours d’attirer les joueurs français. Cette année, on aura Gaël Monfils, ce qui pour nous, est hyper important, mais également Ugo Humbert et plein d’autres jeunes prometteurs. Notre objectif, sur ce genre de tournoi, c’est d’avoir les meilleurs français qui viennent jouer chez eux, devant leur public, puis d’avoir quelques belles têtes d’affiche. Jusqu’à la fin, on peut avoir de belles surprises.
On peut donc espérer quelques membres du Top 10 ?
Pour l’instant, on en a qu’un (Cameron Norrie, ndlr), on aimerait en avoir plusieurs. Mais encore une fois, ça reste une catégorie

de tournoi où ce n’est pas facile de faire venir les plus grands joueurs. On sort d’une période compliquée. Si ce n’est pas cette année, on espère que dans les années à venir, on sera encore plus riche en termes de Top 10.
Pour finir, qui dit dernier tournoi, dit souvenirs. S’il faut n’en retenir qu’un, lequel choisiriez-vous ? La victoire en 2017 ?
Sans aucun doute ! A l’époque, on était plusieurs à avoir eu l’idée de remonter un tournoi à Lyon, notamment Thierry Ascione et Jean-François Caujolle. Alors pour nous, c’était un peu le scénario idéal. C’est le seul tournoi que j’ai gagné sur terre battue, le tout, en battant de très bons joueurs qui se sont révélés par la suite. Je bats Berdych en finale, Karen Khachanov, Basilashvili, c’est pas mal !
C’est aussi la preuve et vous l’avez dit, que l’Open Parc a toujours attiré de très bons joueurs…
Oui, oui, on peut s’estimer chanceux d’avoir toujours eu des beaux plateaux. Ce fut un peu le dilemme de savoir si avec une telle date, ce ne serait pas trop compliqué d’attirer de bons joueurs et finalement, on se rend compte avec Thiem ou Tsitsipas que l’on a des joueurs qui se retrouvent en finale à Roland-Garros quelques jours plus tard. Alors je pense que le tennis de haut niveau est bien présent à l’Open Parc !
Open Parc 2022 Du dimanche 15 au samedi 21 mai 2022 Vélodrome Georges Préveral du Parc de la Tête d’Or - Lyon 6e > Plus d’infos et billetterie sur www.openparc.com

Samuel Lathuile, Marie Perrier et Jacques Larpent (Cap Gemini)


Marie-Charlotte Lamard et Clémence Cawassa (Sioou)

Alexandre Duflot, Filou, la mascotte du LOU et Anaïs Gorse (Temperly)

Faustine Sarda et Stéphanie Hospice (Technivap)

Maitre Denis Di Leonardo et Roland Tchenio (TT Investissements) Félix et la team de la boutique du LOU
LOU RUGBY - RC TOULON
Les tribunes VIP
Texte : Jean-Marie Nauleau - Photos © Fabrice Schiff
Triste après-midi hivernale pour les 16 500 spectateurs présents dans la marmite du Matmut Stadium de Gerland. Venus assister au naufrage collectif du LOU face au RC Toulon, ces derniers auront alors suivi avec peine, la débâcle des Lyonnais, écrasés à domicile sur un score sans appel de 43 à 10. Une défaite lourde de conséquences pour les partenaires de Baptiste Couilloud, alors que ce succès bonifié permet aux adversaires du jour de se relancer dans la course aux phases finales. Difficile de comprendre cette défaite, tant ce match s’est déroulé à sens unique, avec en point d’orgue, ce cinglant 32 à 0, encaissé lors du deuxième acte. Un camouflet que n’a que très peu goûté l’entraîneur, Pierre Mignoni, particulièrement irrité en fin de match. “Je n’ai pas reconnu mon équipe et je ne sais pas si c’est mon équipe”, a-til lâché, regrettant également “avoir grillé plus qu’un joker”. Rien n’est perdu pour autant, à l’heure de briguer une place dans le Top 6.

Franck Isaac-Sibille, vice-président du LOU Rugby et Jean-Marie Nauleau (Lyon People)

Rémi Myard (Remex), Serge Degletagne et Thomas Cretin (Société Générale)

Antony Peschaud (Bastide Bondoux), Eric Sadok et Frédéric Armitano (Ingebeton)

Jo Mallen, son épouse Claudia (Restaurant Ô 64) et Didier Courbon (LOU Rugby)

Maître Joseph Aguera, Yann Roubert, président du LOU Rugby et Bernard Lemaitre, président du RC Toulon

Pierre Maillot (LOU Rugby) et Maitre Richard Brumm

Yvan Patet (EM2C), Catherine Arbaud (LOU Rugby) et Guy Mathiolon (Serfim) Marc-Antoine Ginon (GL Events Sports), Marc Fraysse, président de France Unie et Bernard Pellier-Cuit (Orange)


Renaud Pfeffer, maire de Mornant, sa maman Madeleine et ses enfants, Louis, Leonard et Augustin

Marie Lasherme (Implid) et Romain Mallet (Mallet Emballages) Maitre Julien Fremont (Fremont Notaires), son épouse, Hafsatou et Franck Chopard (Eiffage)


Georgina Allen, Julien Decherf-Mathiolon (HSBC), Sophie Anaf (La Belle Bouse) et Marc-Antoine Ginon (GL Events Sports)

Catherine Arbaud (LOU Rugby), Guillaume Delore (Byblos Group) et Candice Augugliaro (Elle’s Challenge)

Le cabaret Le Lyon Rouge


La championne de tennis Caroline Garcia, Jean-Michel Aulas, président Olympique Lyonnais, Laure Boulleau (Canal+ Sport), Gaëtan Muller, président délégué ASVEL et Tony Parker, président ASVEL


Europa League LES TRIBUNES VIP D’OL – WEST HAM
L’OL jouait gros pour son quart de finale retour au Groupama Stadium contre West-Ham. A la traine en championnat, l’Europa League était le dernier coin de ciel bleu des gones cette saison, mais la rencontre a vite tourné à l’orage. Coté Président Box, la soirée a été beaucoup plus brillante. Autour des buffets de C Gastronomie, le clan Parker était quasiment au complet (Tony, TJ et Pierre) accompagné par le souriant Gaëtan Muller (président délégué de l‘ASVEL), Caroline Garcia (la tenniswoman) et Laure Boulleau l’ancienne défenseur du PSG reconvertie consultante au Canal Football Club. Vincent Labrune, président de la LFP, avait amené avec lui le journaliste le plus redouté des politiques : Jean-Jacques Bourdin. Enfin une surprise de taille avec la présence d’un fan des Hammers (West Ham) en la personne du présentateur star de la télé américaine, le truculent James Corden (Carpool Karaoké). Aussi improbable de le voir en ce lieu que rafraichissant.
Texte : Franck Girardet - Photos © Saby Maviel
Alain Potiron (Champagne Mumm) et Pierre Baudhuin (Bretonne de Volaille) Gérard Collomb, ancien maire de Lyon et Nicolas Jacquet, procureur de Lyon


Valentin Fontenit (Chapoutier) et Alban Berard (Vinatis.com)




Olivier Bernardeau (OL) et Gerald Truffier-Blanc (GF38)



Emmanuel Imberton, ancien président de la CCI de Lyon et Olivier Blanc (OL Féminin)
Julie et Sébastien Le Guillou (Sébastien Le Guillou Habilleur) Hugues Deloche, François Lhoux et Gérault Verny (Besacier)

Franck Girardet (Lyon People) et le journaliste Jean-Jacques Bourdin
Thierry Sauvage, DG de l’OL, Fabrice Baumgartner (Parsenn Consulting) et Maître Loïc Jeambrun (EY Société d’avocat)
Laurence Bremens, Marco Polisson (Lyon People), Nicole Brun (Adéquat Intérim) et Maître François Bremens, président Groupe Paris Lyon
James Corden, humoriste, acteur, chanteur, scénariste, producteur et animateur de télévision anglais

L’OL s’est imposé 3-2 contre le PSG en demi-finale aller de Champions League au terme d’un match très sympa avec des buts et du suspense. Ambiance très sympa avec les présences de Corinne Diacre, sélectionneuse de l’équipe de France féminine, Caroline Garcia, notre joueuse de tennis, le directeur sportif du PSG Leonardo aperçu en pleine discussion avec Bernard Lacombe et de nombreuses joueuses lyonnaises blessées (mais consolées par Isabelle Bernard) dont Amel Majri souriante, en attente d’un heureux événement. Une très belle journée au Groupama Stadium qui donne « des envies d’encore » tellement ce fut agréable à tous les niveaux. Nous encourageons ceux qui veulent retrouver les vraies valeurs du foot à venir applaudir les lionnes de l’OL féminin. Pour reprendre la formule chère à l’animateur Barth en la modifiant un tantinet « l’OL féminin est une formidable raison d’être heureux ».
Texte : Franck Girardet - Photos © Saby Maviel


Gilbert Barriquand, adjoint au maire de Montluel, Anthony Calvarin (Crêperie le Bouchon Breton) et Stéphane Barriquand (SBM Électricité) Camille Mota-Levy, Jean-Marc Levy (Eiffage) et Sandrine Mota-Levy (Iri de Lyon) Maitre André Soulier, Brigitte et Jacques Mottard (Sword)



Elodie Blanc (Cogedim) et Stéphane Dies (Mc Donalds) Jacques Bondoux (Bastide Bondoux), Nathalie Courtadon (Vicat) et Bertrand Marion (Solipac) Amel Majri (OL) et Isabelle Bernard (OL Féminin)




Olivier Blanc (OL Féminin), Nadine Kessler (UEFA) et Sophie Sauvage (OL)
Nicole Constancias (Ligue AURA du football Féminin), Christian Levarlet, président du CROS et son épouse Myriam L’horloger Jean-Louis Maier et Caroline Garcia, championne de tennis




Stéphanie Perret (Agence L’Uzyne), Achille, l’apiculteur Philippe Michel et Line Lou-Ann Girardet et Elise Goy