Magazine du Club Libre N°6 janv, Fev, Mars 2013

C LUB LIBRE Magazine

Américaines & Anciennes

GIE L A T NOS

CONSEIL PRATIQUE

COMPRENDRE L’ELECTRICITE DE VOTRE AUTOMOBILE

(1ere PARTIE)

NOUVEAU RASSEMBLEMENT MENSUEL à BRIVE la GAILLARDE

DECOUV ERTE

MERCURY MONTEREY 1963

JAGUAR XJS v12 1991

2 AUTOS, 2 MEMBRES - CURE EN VADROUILLE - NOSTALGIE : MYTHIQUE VESPA

REPORTAGES SORTIES - RASSEMBLEMENT MENSUEL - CONSEIL PRATIQUE

EDITO INFO MAG Président

Julien Gomes mail; claeadordogne@aol.fr tél: 06.14.34.57.12

Vice Président (Américaines)

Eric Plailly mail; erwan218@aol.com tél: 06.49.63.32.45

Vice Président (Anciennes) Michel Angelini

tél: 06.26.31.64.68

Trésorier

Eric Cournede tél: 06.84.60.35.86

Secrétaire

Jean Christophe Lareynie tél: 06.81.69.19.72

Secrétaire Adjoint Thierry Dubois

Organisation / staff

Roland Epaule.

Réalisation du Magazine Julien Gomes

Ont collaborés

Michel Angelini, Didier Morel Dominique Dauta, Jean claude Feix

Siege social Club Libre des Américaines & des Anciennes Maneyrol RN89 24120 Pazayac

L’hiver, la neige, la pluie rien de très chaud dans tout ça !!! On profite alors de nos garages bien au chaud afin de préparer nos automobiles pour la saison 2013, saison qui devrait être bien remplie par de nouvelles aventures. Vous découvrirez dans ce magazine un peu « de chaleur » avec l’histoire des pin-up’s au fil du temps, des reportages de membres du Club, les rassemblements mensuel organisé par notre Club a Brive la Gaillarde, la 1ère sortie décrassage sous le soleil …..

Et bien d’autres choses, qui vous ferons patienter au coin du feu si nécessaire, en attendant que le printemps montre enfin le bout de son nez …

Bonne Lecture à tous Julien Gomes

Renseignement Abonnement (Version Papier) Jean Christophe Lareynie tél: 06.81.69.19.72

Impression

Périgord Ressources 24120 Terrasson

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Sommaire 04 HISTOIRE ‘‘ PIN UP ’’ Toutes les convoitises

12 BALADE TOURISTIQUE Voyage au centre de la terre

16 DECOUVERTE 2 Hommes, 2 Autos

28 NOSTALGIE Le Vespa

36 CURE EN VADROUILLE Grand embouteillage de la palisse

38 RASSEMBLEMENT Rassemblement Mensuel

42 JEUNESSE

Automobile & Motocycle

44 REPORTAGE MEMBRE de Dominique Dauta

Voyage aux States

de David Leggett Rassemblement mensuel à Bergerac de Didier Morel Exposition véhicule collection à Groljac

51 CONSEIL PRATIQUE

Comprendre l’électricé de votre auto

48 LE SAVIEZ - VOUS 56 INFO CLUB

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tou

Pin-Up utes les convoitises...

L

a première pin-up fut imprimée dès 1897 dans le magazine américain Life. Dès le début, les pin-up girls connurent un succès auprès des hommes, comme auprès des femmes.

Celles-ci incarnaient en effet une nouvelle représentation de la Femme, sophistiquée et libérée.

La popularité des pin-up augmente au début du 20e siècle, notamment après la première guerre mondiale avec l’apparition des Pulp Fictions, ces romans sur papier bas de gamme dont la couverture mettait souvent en scène des pin-up. Dans les années 30, Alberto Vargas peint à l’aérographe des pin-up pour le magazine Esquire. Il connaît un succès mondial avec ses filles, qui illustraient les articles de ce magazine largement distribué. Mais l’apogée de la pin-up a lieu dans les années 50.

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La deuxième guerre mondiale a permis l’expansion du phénomène grâce aux GI qui emmenaient leurs pin-up préférées dans leur paquetage. Certains pilotes ornaient même leur avion de ces splendides créatures de peinture (nose art).La pinup fit également beaucoup vendre :

calendriers, cartes postales, boîtes d’allumettes…tout support imprimable était bon pour accueillir une demoiselle peu vêtue. Nul doute d’ailleurs qu’une partie du succès commercial de Coca-Cola provient des premières campagnes publicitaires jamais avares de jolies pin-up.

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L’age d’or des Pin-up

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L

eur succès continue d’augmenter et durant les années 1950, commence l’âge d’or des pin-up’s, principalement aux ÉtatsUnis. On peut notamment citer Gil Elvgren, illustrateur emblématique de cette période. À cette époque, elles apparaissent sur des magazines, journaux, posters, calendriers ou des « cartes d’arts », petites vignettes à collectionner qui ont participé à leur popularisation. Plusieurs de ces représentations sont d’ailleurs actuellement recherchées par les collectionneurs. Mais suite à l’apparition des magazines érotiques et pornographiques comme Playboy ou Penthouse, la mode des pin-up disparaît progressivement au profit de photo de femmes nues de plus grande qualité.

les années 50 ....

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e succès des pin-up continue jusque dans les années 1970, où elles sont mêmes utilisées dans la publicité, et même CocaCola les utilise pour faire la promotion de son breuvage.

O

n assiste depuis quelque temps à un regain d’intérêt pour ces égéries des années 50 avec l’arrivée de modèles célébrant cette époque. La mode, les magazines, le Hot Rodding, la Kustom culture, le Rock a Billy, les artistes remettent le style pin-up au goût du jour.

Certaines modèles comme Dita von Teese font d’ailleurs de ce courant leur marque de fabrique.

1er BALADE TOURISTIQU PRINTANIERE ...

Texte & Photos Julien Gomes

31 MARS 2013

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23

équipages se sont retrouvés à Pazayac lieu du départ pour cette 1ère balade touristique printanière de fin Mars, et svp, sous un soleil radieux. Après le café, et les petits gâteaux offerts par le club, tout ce beau monde prit la route par les chemins des écoliers, afin de découvrir une fois de plus notre belle région, rejoignant d’abord Hautefort première étape de la journée, ou un bon déjeuner nous attendait, à la Ferme auberge du cochon gourmant. .....»»»

UE

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es batteries rechargées, direction Tourtoirac, ou un monde souterrain et majestueux nous permit de découvrir une grotte découverte en 1995, ou l’eau au fil des millions d’années, s’est chargée de réaliser cette merveille de la nature, et dont les exploitants de la grotte ont su par des jeux de lumières mettre tout en valeur pour nous émerveiller. La journée commençant à tirer vers sa fin il nous faut repartir, mais avant cela petit tour dans Tourtoirac afin de découvrir une Abbaye vielle de 1000 ans, et un petit pot d’adieu dans le seul « troquet » du coin dont le patron fut certainement surprit d’avoir autant de monde en une seule fois ….

Soleil, Passion, Bonne humeur, la recette d

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d'une belle journee ....

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DECOUVE

MERCURY MONTEREY 1963 DE DIDIER MOREL La marque Mercury était lors de sa création destinée à concurrencer Pontiac, Buick ou Chrysler en proposant des modèles plus haut de gamme que les Ford.

Reportage Julien Gomes

ERTE

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ercury est un constructeur automobile américain de positionnement intermédiaire, fondé en 1939 par Edsel Ford, fils unique d’Henry Ford, le fondateur de la Ford Motor Company.

Ce constructeur était donc une filiale du groupe Ford positionnée entre la marque de masse Ford et la marque de luxe Lincoln, acquise en 1922. Le succès est très vite au rendez-vous. En 1941, la production dépasse 98 000 voitures. Après une chute pendant la guerre, les ventes reprennent et en 1950, Mercury vend 340 000 véhicules, le maximum est atteint en 1978 avec 600 000 ventes, les immatriculations n’ont ensuite jamais cessé de baisser. Le positionnement de Mercury ne se justifie plus, la gamme devenant progressivement une simple déclinaison des Ford rebadgées.

En 2009 Mercury n’a vendu que 92.299 véhicules et sa part du marché américain est tombée en 2010 à 0,8 %. La dernière Mercury est sortie des chaînes de l’usine de St Thomas au Canada le 4 janvier 2011. Il s’agit d’une « Grand Marquis.. » CLAA 18

21 millions de Mercury tous mo

Nouveau dessin avec en particulier la glace inversée style Anglia ou Ami 6 mais ouvrante et appelée «Breezeway».

Le logo représentait l’emblème du dieu du commerce, des voyages et des messagers.

odèles confondus qui auront été produites en 72 ans.

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Mercury Monteyret V8 390 ci 1963 caractéristique d’origine.

Type du moteur 8 cylindres en V Energie Essence Alimentation Carburateur motorcraft quatre corps Distribution Arbre à cames central Nombre de soupapes 2 par cylindre Alésage & Course 102.8 x 96 mm Cylindrée 6384 cm3 / 390 ci Compression 9.6 : 1 Puissance (SAE) 300 ch à 4600 tr/min Tr/min Couple 579 Nm / 427 lb-pi à 2800 tr/min Boite de vitesse automatique Merc-O-Matic Transmission 3 rapports Puissance fiscale 37 chevaux Direction crémaillère assistée Freins AV Disques, Freins AR Tambours Longueur 546.1 cm Largeur 203.2 cm Hauteur 140.9 cm Poids (en charge) 2361 kg Production 18177 Tarif d’époque 2887 $

Question Julien: Comment as-tu connu le club ?

J’ai connu le club à ce moment-là et j’ai vu le club se monter petit à petit avec la passion débordante de julien pour faire plaisir. Je n’ai malheureusement pas trop le temps de venir aux rassemblements car je suis loueur de gites, et j’ai un magasin à Sarlat .mais dès que je peux m’échapper .je

Didier Morel une passion d’un gamin de 8 ans qui deviens réalité 45ans après !!!!

Tout d’abord je voudrais raconter l’achat de cette voiture en

ne rate pas une occasion de rouler avec ma voiture .même pour aller chercher le pain dans mon village de Grolejac

Q J: Que préfères-tu dans le club

2007 à Vierzon. Merci à mon beau-frère Charly du garage BCA .lors d’un passage à son garage .je l’ai aidé à sortir cette américaine restée dans un garage pendant 15 ans sans rouler. Appartenant à un collectionneur parisien qui en possédait une vingtaine, il était prévu quelle parte pour la casse car son moteur était bloqué j’ai tout de suite craqué pour ce véhicule très rare. Nous sommes normalement deux en France à en posséder. Devant l’ampleur du travail pendant trois ans j’ai commencé sa restauration bien compliquée pour moi qui ne suis pas très bon mécano !!! J’ai décidé de ramener cette voiture en Dordogne. j étais passé quelques fois devant le garage de julien quand il ne faisait que de la vente brocante, et vieilles voitures. j’ai tout de suite pensé à lui car je me sentais très seul avec cette voiture .il a tout de suite accepté que je rentre ma voiture dans son garage.et que je bricole avec lui pour participer pleinement à la restauration .je n’ai pas peur de mettre les mains dans le cam-

Dans ce club il n’y a que des passionnés, et fous de voitures anciennes qui aiment rouler. J’ai horreur des voitures musée, qu’on ne sort que quand il fait beau !!!

Je suis très fier de ma Mercury car elle unique. J’ai possédé aussi deux Ford vedette de 51 et 52. J’ai aussi une vespa des années soixante-dix entièrement rénovée, que j’ai importé d’Indonésie ou je vais régulièrement pour mon travail de fabrication d’objets de décoration pour la maison je ne remercierai jamais assez julien pour sa gentillesse, et sa passion pour les anciennes. Et surtout merci à Nelly ma femme qui a supporté mes absences pour la réparation de cette voiture mais qui aime bien aussi rouler en américaine. J’ai donné le virus aussi à mon fils Vincent qui adore rouler en ancienne je pense qu’il en achètera surement une. Mais plus sportive, il adore la Dodge charger.

bouis !!!. Après un an de travaux la voiture roulait enfin.

Elle avançait toute seule !!! Moi qui l’avais poussé pendant 4 ans. Donc un grand merci à julien .sans lui je serai certainement encore en travaux sans avoir fait un tour de roues !

Un très grand plaisir de rouler avec cette Mercury de 1963 .un rêve de gamin enfin réalisé à 53 ans depuis tout petit j’ai toujours rêvé de posséder une américaine, mais la vie fait que nous donnons souvent priorité à la vie professionnelle, et familiale, mais la passion est plus forte, et vous rattrape un jour.

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DECOUVE

JAGUAR XJS V12 1991 DE MICHEL ANGELINI Jaguar a tenu incontestablement le haut du pavé au lendemain de la seconde guerre mondiale et cette primauté, sanctionnée par un impressionnant palmarès sportif, a duré plus d’une décennie. Et puis le déclin est venu... Mais, la vieille marque de Coventry entend, n’avait pas dit son dernier mot, reconquérir ses lauriers de jadis avec la XJS. Reportage Julien Gomes

ERTE

Telle une vrai Lady, l’XJS tire sa révé

La dernière version de l’impressionnante XJ-S V12 - la HE -serait-elle le symbole de cette résurrection? Coté fiabilité et cout d’entretien, l’XJS a tres mauvaise réputation. La réalité, pourtant, n’est pas si sombre. Pour rouler loin sans soucis, il y a deux secrets ; entretenir … et rouler ! Ce fut le 10 septembre 1975, lors de la présentation officielle que Jaguar dévoile son nouveau coupé dénommé XJS. Tache non moins difficile puisqu’elle doit succéder à la légendaire Type E. La Jaguar XJS est d’avantage une GT d’exeption qu’une voiture de sport. Celle-ci sera équipée dans un premier temps du V12 de 5 343 cm3 emprunté à sa grande sœur la Type E. Mais entre le début de sa création en 1975 et 1996 elle subira de nombreuses améliorations principalement mécaniques mais aussi stylistiques. C’est donc 6 ans après sa création en juillet que la Jaguar XJS se voit doter d’un nouveau moteur plus puissant et aura l’appellation de XJS HE pour «Hight Efficiency». Ce nouveau moteur, permis au fauve de se mouvoir non plus avec 285 cv mais 300 cv. Pour réaliser cette modification Jaguar se contenta de modifier les pistons et d’installer une nouvelle culasse appelée «Fire ball». Cette date fut aussi le tournant d’une nouvelle aire, le développement de nouvelle motorisation.

En Juillet 1995, Jaguar décide de ne plus produire de V12, dans leur gamme. Mais celui-ci sera remplacé par un avantageux V8 de 4.2 litres plus puissant en 1998, c’est la fin du mythe du V12 qui a fait toute la gloire de Jaguar.La fin de la production de la XJS se fait de plus en plus proche, il ne

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lui reste plus guère de temps à vivre. Production de l’XJS «célébration», ce modèle est équipé de série, de toutes les options possibles et imaginables de l’époque. Même si la XJS n’a pas eu autant de succés que sa grande soeur la Type E, elle a su se montrer digne, et à la hauteur des espérances de la marque. Elle est l’une des rares voitures à vivre plus de 25 ans, surtout quand nous savons qu’une voiture classique a une espérance de vie guère supérieure à 12 ans. Seul les voitures de prestiges comme Mercedes avec SL500 et quelques autres rares modèles peuvent se vanter de vivre aussi longtemps ... Basse, longue, large la Jaguar XJS n’a nul besoin de montrer de façon tapageuse son agressivité pour imposer le respect, elle dégage une classe immédiate.

L’habitacle luxueux, avec un mélange de bois précieux, de chrome et de cuir nous plonge instantanément dans une atmosphère très enivrante. Une fois au volant, c’est là, que survient un grand problème, nous sommes partagés par 2 envies, soit de se laisser glisser paisiblement sur les routes, dans un petit salon roulant, sois d’écraser l’accélérateur et de profiter pleinement du fabuleux V12 et de ses 300 cv qu’abrite ce cabot dont le fin est interminable ...

Automobile de l’impossible (remplacer Type E, aggravé par un physique «particulier» provenant des retombées de custodes assez étranges) elle fut tour à tour, honnie des puristes, décevante pour ses acquéreurs, née au pire moment possible (premier choc pétrolier,

érence avec tous les honneurs ... période British Leyland/Lucas avec un V12 glouton comme seul et unique moteur), Evidemment, en France, les clients et passionnés sont donc quelque peu critiques d’autant qu’à sa sortie, la Jaguar XJ-S était commercialisée à partir de 115 500 francs lorsque la Jaguar Type E V12 valait 67 490 francs avec un pedigree bien supérieur… Puis à partir des années 80 petit à petit appréciée, voire carrément adulée. Pour finir sa carrière en beauté avec des séries fiabilisées, reliftées, particulièrement attachantes. Finalement, les chiffres de production reflètent assez bien les paradoxes de cette auto : 115.000 unités produites en donc vingt ans de carrière.

Soit 5750 autos par an en moyenne. Cela fait à la fois beaucoup au total ; et très peu à l’année.

Cet acharnement, on le doit à Sir John Egan, qui a toujours crû à ce coupé dans sa définition GT so british... et a tenu bon face aux gens de British Leyland.

Maintenant, sa petite sœur XK 8 vient de prendre la suite, sera-t-elle digne de prendre sa succession...

Telle une vrai Lady, l’XJS tire sa révérence avec tous les honneurs ...

115.000 unités produites en vingt ans de carrière...

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Jaguar XJS V12 HE 1991 caractéristique d’origine constructeur Type du moteur 12 cylindres en V Energie Essence Alimentation Injection Electronique Lucas Distribution par 2 Arbres à cames Nombre de soupapes 2 par cylindre Alésage & Course 90 x 70 mm Cylindrée 5345 cm3 Compression 11.5 : 1 Puissance (SAE) 289 ch à 5750 Tr/min Couple 420 Nm (42.8 mkg) à 3150 tr/min Boite de vitesse automatique GM400 3 rapports Puissance fiscale 29 chevaux Direction crémaillère assistée Freins AV Disques, Freins AR Disques Longueur 476.4 cm Largeur 179.3 cm Hauteur 124.7 cm Poids (vide) 1750 kg Tarif d’époque 230000 F environ

que je vous adresse (moi mes spécialités, c’est organisation, et mécanique, je ne peux pas tout faire (lol)) et j’en profite pour le remercier, de s’investir autant dans la vie du club, (même si des fois il doit souffler !! vu le paquet de mails que je lui demande de mettre en forme ), mais je suis sûr qu’il aime ça !!!

Question Julien: que préfères tu dans les sorties du club ?

Michel une passion pour l’anglaise cachée, pas vraiment !!!

Michel a intégré le CLAA début 2010 par l’intermédiaire de son ancien collègue de travail, Daniel Gaston Carrère (Triumph Spitfire 1973) lui-même mordu de « brocantes, et de voitures anglaises ».

J’ai fait sa connaissance lors d’une sortie du club, son rêve à l’époque (et encore d’actualité, m’a-t-il dit), posséder une Citroën traction 15/6, et pourtant quelle ne fut pas ma surprise de le voir un jour débarquer dans une Jaguar XJS de 1991, était-ce une passion ancienne qui remontait à la surface pour les anglaises ?. Eh oui, Michel n’en est pas à sa 1er anglaise, dans sa jeunesse il a déjà eu, une Austin 850, une MGA, une MGB, une Ford Anglia, et le GRAAL, une jaguar Type E, un véhicule mythique de la marque. Peut-être l’anglaise est en lui !!!. Je sais Michel passionné par les « grosses cylindrées », il aimerait bien aussi posséder une américaine, mais une seule trouve grâce à ses yeux « le coupé DeSoto Fireflite ». Michel à son arrivée dans le club s’est très vite intégré, et lorsque je lui ai demandé de donner un coup de main lors des sorties, ou organisation il n’a pas hésité à me dire oui. Il participe également activement dans la préparation de notre magazine, à mettre les textes en forme, je lui ai confié la mission de correcteur en chef, et je peux vous dire que je le sollicite beaucoup lors des préparations de notre revue, et aussi des courriers

J’apprécie particulièrement les randonnées dans des sites découvertes, genre châteaux, grottes, lieux historiques, mais j’apprécie également, les grands rassemblements de véhicules anciens, et exotiques, avec de surprenantes, manifestations musicales, ou autres, et bien sur nos étapes gastronomique !!!

Q J: si tu devais proposer une sortie très originale quelle serait-elle ?

Là ma réponse est spontanée, car déjà réfléchie, grand circuit découverte, le plus simple un petit tour de France sur nos routes de référence ex : parcourir toute la N7 en plusieurs étapes, et plus audacieux « les US » route 66, idées à creuser auprès de tous ??

Q J: en dehors du club fais-tu des escapades avec ton véhicule, si oui peux-tu nous dire où ?

Et bien avec Fabienne nous avons déjà pas mal de sorties avec la jaguar, en bord d’océan « Bordeaux, Lacanau, Royan, la rochelle » également des sorties vers les châteaux de la Loire « Chambord, Chenonceau, Blois, Cheverny, Amboise, et bien d’autres » plusieurs milliers de kms très agréable de belles visites et le plaisir de rouler dans cette voiture d’allure sportive, et confortable à la fois.

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Mythe mondiale

Modèle pré-série d

à l’Italienne Enquette Julien Gomes Photo internet

Premier prototype

Une légende exemplaire...

1946 : LA NAISSANCE D’UN MYTHE C’est en 1946, dans une Italie d’après guerre en pleine reconstruction que naquit la Vespa. L’idée originelle en revient à un industriel Enrico PIAGGIO et à son ingénieur Corradino d’ASCANIO qui, voulant offrir au plus grand nombre un véhicule utilitaire, propre, esthétique et surtout bon marché, imaginèrent ce premier modèle.

Mettant à profit leurs connaissances de l’aéronautique, ils décidèrent d’utiliser leurs atouts industriels afin de mettre à jour leur projet : une coque en tôle utilisant le même procédé de fabrication que les carlingues d’avion, une suspension à balancier et des roues de petit diamètre issues des trains d’atterrissage, et un petit moteur qui à l’origine servait de démarreur sur les gros 8 cylindres aéroportés. La Vespa est sans aucun doute le scooter le plus célèbre du monde. Et même, pendant plusieurs décennies, au moins jusqu’à la fin des années 1980, période où la concurrence japonaise s’est faite très agressive, sa réputation était telle que dans l’imaginaire collectif le nom propre Vespa, a progressivement prévalu sur le nom commun scooter. Depuis sa naissance officielle, en avril 1946 dans les ateliers Piaggio de Pontedera, elle n’a subi que très peu de modifications. Aujourd’hui encore, la plupart de sescaractéristiques esthétiques, et mécaniques sont celles d’origine. Après le succès obtenu en Italie dès la fin 1947, elle pénètre rapidement les marchés étrangers : France,

VESPA 98CC TYPE 98 SÉRIE II 1947

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VESPA 125CC CIRCUITO 1949

Espagne, Allemagne, Grèce, États-Unis, Asie et Amérique du Sud. Après la guerre, elle joue un rôle central dans la motorisation de masse de tous ces pays où – comme en Italie – les automobiles étaient encore trop coûteuses pour les classes populaires. En même temps, elle se distingue également comme un bien de consommation doté de propriétés plus « immatérielles ». Le scooter italien devient le symbole du « miracle économique », véhiculant des images de liberté, de séduction, de sportivité et de jeunesse. En 1945, quand le crayon de l’ingénieur Corradino D’Ascanio dessine le profil esthétique de la Vespa, l’histoire du scooter n’en est pas à ses débuts. Des styles et des techniques ont été expérimentés pendant la guerre.

Le scooter se distingue de la moto par une série de caractéristiques figurant dans n’importe quel dictionnaire : les roues généralement petites, le châssis ouvert et plus ou moins caréné, la conduite confortable avec les pieds sur une plate-forme et non pas à califourchon Au fil du XXe siècle, ces spécificités vont progressivement constituer la règle. En 1948, le concept et le nom « scooter » existent déjà. La revue spécialisée Motociclismo définit ainsi la spécificité de ce curieux deux-roues : « On considèrecomme scooter, un véhicule à moteur sans pédales pour la propulsion humaine », constitué d’un châssis ouvert,

TYPE MP5 PAPERINO 98cc de 1943 à 1944

de deux roues d’un diamètre maximal de 17 pouces, caréné ou non ; le moteur doit avoir une cylindrée de 125 cm3 au maximum. En termes économiques, la Vespa peut être définie comme une innovation de produit. L’entreprise Piaggio décrit elle-même cette innovation comme une nouveauté révolutionnaire sans précédent, et surtout comme le résultat d’une synergie unique entre le propriétaire-entrepreneur Enrico Piaggio et l’ingénieur aéronautique Corradino D’Ascanio. Le premier à l’intuition dès la fin de la guerre du besoin d’un vélomoteur économique, le second dessine en quelques mois le prototype, qui est immédiatement inséré dans la chaîne de production de l’usine. La Vespa est née de la rencontre de deux histoires : celle d’un secteur industriel dans lequel s’insère l’entreprise de Pontedera, et celle de la trajectoire sociale de l’inventeur.Qui au premier trimestre 1945, D’Ascanio est chargé de dessiner quelque chose de nouveau.

L’homme aux inventions et à l’esprit brillant fait mouche, en intervenant sur un prototype de scooter réalisé à Biella quelques mois auparavant : le MP5. Il serait faux de présenter le MP5comme un avorton négligeable par rapport à son

L’ambition de 2 hommes...

élé gante grande sœur, la Vespa, à qui le succès a souri.

En réalité, le premier scooter Piaggio arbore plus d’une caractéristique significative. Son vrai nom, au-delà du sigle de fabrication, est Paperino (Donald), en référence au Topolino (Mickey) Fiat. Ce nom contient donc déjà intrinsèquement un projet entrepreneurial : de même que le Topolino entend motoriser le pays avec des quatre roues, le Paperino se propose de le faire avec deux. Le premier scooter Piaggio possède aussi d’intéressantes options technico-esthétiques qui se retrouvent dans la Vespa, comme sa carrosserie portante en tôle d’acier emboutie. Ce choix révèle la profonde connexion existant entre l’usine de guerre et l’usine de paix, dans la mesure où il est la conséquence

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physiologique de la disponibilité des processus de travail achetés à la Budd de Philadelphie depuis les années 1930. Les ingénieurs, habitués à manier l’acier, mettent ces ressources en valeur en misant sur la carrosserie portante entièrement réalisée en tôle emboutie. Parmi les profilages originaux de cette tôle, le bouclier avant du MP5 se distingue car d’un côté il révèle une parenté lointaine avec l’Unibus, de l’autre il sera greffé sur la Vespa, de même que le phare monté sur le carénage de la

roue. Le réservoir d’essence est placé sous la selle, dotée d’amortisseurs à ressorts, comme la Vespa. Enfin, le moteur est un monocylindre à deux temps, et l’une de ses versions est à deux vitesses avec refroidissement de l’air et transmission par chaîne. Dans ce cas, la commande du changement de vitesse, comme pour sa grande sœur, est montée sur le guidon. L’histoire interne de l’entreprise veut que ce modèle soit snobé par Enrico Piaggio en personne, qui fait appel à l’ingénieur de Popoli pour faire d’autres propositions début 1945. D’Ascanio élabore un nouveau modèle qui, en mélangeant des critères aéronautiques, automobilistiques et motocyclistiques, donne naissance à la fin de l’année au MP6, qui sera plus tard rebaptisé Vespa. En situant ce modèle dans le champ du scooter, on distingue mieux les éléments de rupture par rapport à la tradition et les éléments de continuité. Cela permet aussi d’identifier clairement la contribution spécifique de D’Ascanio, indépendamment de la construction du mythe auquel l’entreprise travaille sans relâche. La Vespa est sans aucun doute un véhicule très accessible : elle s’enfourche facilement, comme une bicyclette, parce que l’espace entre la selle et le guidon est laissé libre.

Elle garantit donc le confort maximal d’une conduite assise, et non à cheval sur le châssis comme pour les motos classiques. En plus, la possibilité de poser les pieds sur la plate-forme inspire un sentiment de sécurité, y compris aux femmes. Les principaux scooters précédents, comme l’Unibus, le Salsbury, le Cushman, le MotoScoot, le Crocker ou encore le mystérieux Fiat, ont déjà fait ces mêmes choix. La Vespa se manie simplement et sans effort. À la différence du modèle Fiat et du Volugrafo, sur lesquels le levier de commande de la boîte de

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Evolution insp vitesse est situé plus bas que le guidon et directement sur la carrosserie, D’Ascanio a placé toutes les commandes sur le volant, y compris le changement à trois vitesses qui consiste en une poignée tournante. Une solution analogue, sans parler de son adaptation aux motocyclettes, avait été adoptée en Amérique par le Cushman 14, en Belgique par le Ner-e-car, par La Mondiale au début des années 1920 et enfin, ne l’oublions pas, par l’une des versions du Paperino.

Le fait que toutes les parties du moteur sont recouvertes et que le bouclier avant est en tôle, et donc protégé des agents atmosphériques et des chocs, fait apparaître la Vespa comme un véhicule propre et sûr. Le moteur recouvert est presque une insulte aux conceptions motocyclistes de l’époque, mais pas à l’esthétique des scooters, déjà autonomes par rapport aux deux-roues plus agressifs et exubérants. Isoler le moteur pour parer aux éventuelles éclaboussures est désormais

VESPA 98CC TYPE 98 MOTOLEGERA UT de 1945 à 1948

considéré comme un signe distinctif stable, une sorte de règle d’or canonisée depuis Salsbury. Certes, les carénages en circulation sont un peu grotesques et font penser à des moulins à café. La Vespa, elle, a un profil aérodynamique et élancé, surtout à l’arrière. Cependant, cette « taille de guêpe, qui, selon la légende, a tant plu à Enrico Piaggio, caractérisait déjà le Crocker, avec son style doux en forme de « goutte d’eau ». En plus, la tendance à intégrer le plus possible de parties dans la carrosserie, notamment les parechocs, est courante dans l’industrie automobile de l’époque.

Le bouclier, en revanche, est plus rare. Malgré tout, il existait déjà sur le pionnier Unibus et avait par la suite été repris et agrandi par Spolti et Casini sur le Paperino :

piré de l’aéronautique ...

les deux boucliers sont identiques, et l’innovation doit donc être attribuée au plus malchanceux des deux. Le moteur est un monocylindre à deux temps de 98 cm3, avec un refroidissement à air, monté – comme le levier de vitesse – directement sur la partie droite de la roue arrière, de manière à osciller avec elle. Cela permet d’éliminer la chaîne-courroie de transmission et de réaliser une transmission directe du piston à la roue grâce à un bloc compact. Des expériences similaires ont déjà été menées, en France par Lumen, en Grande-Bretagne par l’Unibus en 1920 et, selon François-Marie Dumas et Didier Ganneau, également en Russie en 1936 par le PMS. La Vespa, en inventant un système complet de pièces et d’engrenages originaux, surclasse et dépasse les précédentes tentatives.

Comme pour les voitures, la roue avant est maintenue par un bras unique, clairement inspiré de l’aéronautique.

Ce mécanisme ingénieux permet de changer très facilement un pneu crevé et se distingue de la fourche habituellement utilisée pour les motos et les autres scooters.

Au final, la Vespa sera construite dans treize pays et commercialisée dans cent quatorze, dont l’Australie, l’Afrique du Sud, l’Iran, le Maroc et la Chine.

Dans le monde entier, la Vespa est devenue un produit typiquement italien, synonyme de liberté, de mobilité et de convivialité.

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Histoire du Vespa en quelques dates • 1946 : création de la première Vespa • Années 1950 et 1960 : immense succès de la Vespa, immortalisée dans une centaine de films dont Vacances romaines et La Dolce Vita • Années 1970 : ventes en perte de vitesse.

• 1988 : dix millions de Vespa vendues dans le monde depuis sa création • Années 1990 : nouvel essor du scooter.

• 1996 : lancement d’une Vespa dotée d’un moteur quatre-temps pour le cinquantenaire de la marque • 2006 : après soixante ans, seize millions d’exemplaires vendus • 2007 : fin de la vente et de la fabrication en Europe du modèle phare, la Vespa PX, suite à la législation européenne sur les moteurs deux-temps trop polluants • 2011 : Piaggio relance la Vespa après lui avoir fait passer les tests de la norme Euro 3 ; deux modèles sont lancés : le PX 125 et le PX 150

Une Vespa sur 4 roues !!!

Développée par Piaggio, le célèbre constructeur des scooters Vespa des années 1950, et sortie en 1957, la Vespa 400 est une voiture compacte comme les affectionnent les Italiens. À l’instar de la Fiat 500, sa compacité, son petit moteur et son encombrement réduit en font une citadine idéale.

Propulsée par un moteur deux cylindres de deux temps consommant du mélange, elle permet d’atteindre une vitesse maximale de 80-90 km/h.

Cette voiture était construite en France par l’ACMA (Atelier de Construction de Motocycles et Automobiles) à Fourchambault. Environ 34 000 exemplaires sont sortis de ses ateliers de 1957 à 1962.

Traction • Moteur positionné à l’arrière.

• Propulsion.

Moteur • 2 cylindres, 2 temps ; • Double bobine ; • Refroidissement à air à ventilation forcée ; • Course et alésage : 63 mm x 63 mm (392 cm³).

• Taux de compression : 6,4 à 1.

Suspension • Quatre roues indépendantes ; • Suspension (avec quatre amortisseurs hydrauliques) : • bras tirés à l’avant avec barre de torsion et ressorts hélicoïdaux • arrière avec ressorts hélicoïdaux.

Transmission • 3 vitesses (avec 2nde et 3e synchronisées).

• 3 vitesses sur le marché américain.

• flectors caoutchouc Dimensions • Longueur : 2,85 m, largeur : 1,27 m, hauteur : 1,25 m.

• Poids : 385 kg.

Performances • Puissance : 18 chevaux DIN. • Vitesse maximale : 80-90 km/h (atteinte en 25 secondes).

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Religieux en vadrouille sur Texte Julien Gomes et Pére Jean claude Feix - Photo Pére jean Claude Feix

Richard le pompiste de la nationale 7 en train de négocier son admission au purgatoire

12, 13,14 Octobre 2012 nos religieux, sœur Anna, et père Jean (membres du club) étaient présents à la Palisse dans l’allier, sur cette route mythique que tout le monde connait la national 7, route du soleil reliant Paris à Menton, tristement célèbre dans les années 60 à cet endroit par, les « fameux bouchons de la Palisse ». Nos religieux nous font découvrir cette manifestation qui se déroule tous les 2 ans depuis 2006, ou près de 850 véhicules des années 50 à 60, recréent un des plus grands embouteillages de l’histoire de la RN7. Prochain rendez-vous en 2014, peut être que notre club y participera !!! L’appel est lancé aux possesseurs de véhicules des années 50 à 60.

Pére Jean déguste

C’est Soeur Anna qu’on embarque ..

Sœur Anna et père Jean y Père Jean en train de confesser une jeune mariée.

r la RN7

Nos religieux dans Auto Rétro de Décembre 2012

Concours d’élégance nos religieux primés !!!

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y étaient ....

Quelle charme soeur Anna ...

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L

e 1er rassemblement Mensuel du Club Libre des Américaines & des Anciennes sur le Parking du Centre Leclerc à Brive La Gaillarde (19) de 9h à 13h, a permis aux nombreux visiteurs d’ admirer le magnifique parc autos de collection, de prestige, et de motos de toutes provenances, Europe, US, Asie.

Texte Julien Gomes Photos Jean Christophe Lareynie & Stéphane Thurbert

1er Rassemblement Mensuel

Club Libre des Américaines & des Ancie

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ennes

Brive la Gaillarde (19) 17 février 2013 Ce rendez-vous mensuel, a pour but de réunir tous les passionnés d’automobiles de notre région, mais également de toutes provenances géographique, (un mordu, Vincent est même venu de Bordeaux avec une Chevrolet Bel Air 56 « bravo l’artiste »). Des Club régionaux ce sont aussi joint à cette belle journée du 17 Février.

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R

ien n’aurait pu arrêter une trentaine de véhicules, et plusieurs motos de venir se réunir à nouveau ce dimanche 17 Mars, bravant les intempéries, afin de participer au 2eme rassemblement mensuel organisé par le Club Libre des américaines & des Anciennes sur le parking du centre Leclerc de Brive la Gaillarde, de 9h à 13h.

Que ce soit les membres de notre club, de clubs amis, ou des passionnés tout simplement. Et certain n’ont pas hésité à parcourir une centaine de kilomètres pour nous faire un petit coucou. « Chapeau » les gars !!!!.

Texte Julien Gomes Photos Stéphane Thurbert

Rien n’empêche les venir, même pas le m

Bonnet de rigueur pour Eric le trésorier du club ..

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s passionnĂŠs de mauvais temps .....

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Votre jeunesse Automobile ou Motocycle, Steven Jackson Studebeker Champion 1951 Harley ElectraGlide de 1972 prise en 1985

Lincoln Continental de 1958 prise en photo en 1985

Claude Arnou (Chevrolet caprice Classic 1979)

Citroën Traction 15/6 Familiale 1956, petit travaux chez ma mère Simone et mon beau père Serge à Montreuil région parisienne c’était en 1965

Citroën D19 1968 chez mon beau-frère à Chartres en 1971

Fernand Chaigne (Buick Delta 88 1967) La Chrysler impérial le baron 1968 est un modèle rare 1837 exemplaires : c’est Nadia qui me l’a achetée dans un garage parisien, avec ses sous ! C’est la 1ère qui est venue à voutezac.

Vous vous imaginez l’effet qu’elle a fait dans un village comme Voutezac la grosse bagnole et les deux gros chiens en 1978

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La Chevrolet Bel air 1955 c’est celle ou on s’est mariés, Nadia et moi le chien lui, il était en pension chez nous. La Bel air 55 est la 3 ème que j’ai eu à Champeret autos région parisienne en 1964

Richard Cadio (allias Ritchie) Volvo Coupé 480 ES 1992

Avec ma Peugeot 203 1954 à Collonges la rouge en 1987

Lors de la vente de ma Peugeot 403 et l’achat le même jour de la Simca Aronde montlhery 1962 a Brive la Gaillarde en 1990

Jean Christophe Lareynie (Chevrolet Camaro 1998) Ma 1er auto à 18 ans une Renault 5 GTL de 1983, photo prise chez mes parents à Terrasson (24)

1er Mobylette à 15 ans que j’ai gardé jusqu’à mes 18 ans, une Peugeot 103 MVL. (Fière de sa 1ère mob …)

Jean Maurice Dessart Oldsmobile Cutlass Convertible 1972 Ma première moto quelques mois après mes 16 ans une Honda 125 XLS toute neuve.

Suite à l’article très sympa sur le solex dans le dernier numéro, photos du solex de mon père qu’il m’avait donné à 14 ans et repassé ensuite à mon frère (sur la photo) qui l’a «achevé» au début des années 1980.

Continuez à m’envoyer pour la nouvelle rubrique, « Votre jeunesse automobile & motocycle » Vous avez des photos du passé, concernant le thème de l’automobile, ou de la moto, qu’elles soient de votre jeunesse, de vos parents, ou grands parents, envoyez-les moi avec une petite légende. à ; claeadordogne@aol.fr , seule condition des photos de bonne qualité.

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Voyage aux ‘States’ les 14 et 15 avril 2012 à AUSTIN Texte & photos Dominique Dauta

Dominique Dauta , nous fait découvrir le « 11th annual lone star round up « auquel il a assisté avec ses fils lors d’un voyage aux ‘States’ les 14 et 15 avril dernier à AUSTIN capitale du Texas, et capitale mondiale de la musique ! Ou se déroule le plus important rassemblement de véhicules anciens, hot rods, tuning et bikers du Texas. Pendant 3 jours les véhicules défilent sur South Congress Avenue, l’avenue la plus importante d’Austin, avec un grand parc à la sortie de la ville où sont accueillis les participants avec camping, concerts, stands etc. Le seul regret, nous dit-il, est que la circulation ne soit pas coupée.

le « 11 th annual lone star round up » 14 & 15 Avril 2012

South Congress est le quartier sud d’Austin, branché et très cool, avec de nombreux bars, clubs resto, boutiques, où, en dehors du «round up» nous avons pu voir dans les rues au cours d’une autre visite, un nombre impressionnant de old cars.... Dominique précise : « Nous avons terminé au «Continental Club » ou nous avions passé la soirée avec un concert de James BURTON, ancien guitariste d’Elvis, Dale Hawkins & Ricky Nelson ». « Petit bémol, il a oublié son iPhone dans le taxi qui les ramenait du « continental club » (il n’a pas du être perdu pour

tout le monde !!!) Ou vidéo et photographie de son séjour étaient en mémoire, mais heureusement ses fils avaient également stocké des images, dont il nous fait ici profiter ». Dominique nous fait aussi découvrir un musée et des lieux magiques avec des « caisses » que j’aimerais bien avoir au garage. L’avantage du Texas c’est que même à l’abandon, elles sont très peu touchées par la corrosion, donc le rêve.

Voilà encore une découverte des States , mais Dominique nous réserve encore plein de surprises afin de nous faire découvrir des lieux ou musique et Classic Cars font bon ménage…..

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n de nos membres David Leggett (Rolls Royce Silver Spirit 1981) et sa femme Denise ont fait une petite escapade lors d’une sortie dominicale le 03 Mars, et svp !! par une très belle journée ensoleillée. Ils nous font profiter de quelques photos du rassemblement mensuel de Bergerac réalisé par les chevaliers de l’Arbre à Came. Un très beau parc de véhicules de collection et quelques autres merveilles, de quoi ravir tous les passionnés présents.

Petite balade d’un de nos membre à Bergerac.

Texte Julien Gomes, Photos David Leggett

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Soleil radieux à Grolejac pour leur 1er rassemblement Reportage & photo Didier Morel

U

n soleil radieux à Grolejac en Dordogne autour du plan d’eau, ou s’est déroulé le 1er rassemblement de véhicules de collection, de motos, ainsi que des antiques machines agricole. Une bourse d’échange était aussi organisée ce jour-là, permettant aux nombreux chineurs de venir fouiller dans les vielles ferrailles, ou de découvrir une bonne vielle plaque déco, pour mettre dans le salon. Le 15 Septembre 2012 restera une grande réussite, et ceci au-delà des espérances de l’organisateur Philippe Clerc, qui est aussi un grand passionné de voitures anciennes. Pour résumer, bourse de pièces, exposition de véhicules collection, repas champêtre, et démonstration de machines agricole, on va dire un très bon cocktail … Donc rendez-vous à Grolejac le 15 Septembre 2013, pour la 2eme édition. Nous leur souhaitons les meilleurs succès à venir. Le Club libre des Américaines & des Anciennes fera certainement une apparition, pour les autres contactez Philippe 06.81.12.55.25.

LE SAVIEZ VOUS ...

Rubrique de Michel Angelini, Photos weeb

Pourquoi..... les Mercedes de F1 sont-elles argen

L’histoire des Mercedes de compétition commence en 1901. Pour faire connaître la marque, Wilhelm Maybach, ingénieur chez Daimler, construit un bolide conçue pour la performance : un gros moteur à l’avant, qui peut amener la voiture jusqu’à cent kilomètres/heure. Avec une moyenne de 58,2 km/h, elle gagne aisément la course Nice-Salon-Nice, la première où elle est engagée.

Les années suivantes voient la suprématie des Daimler-Mercedes (du nom de la fille de Gottlieb Daimler, lui-même décédé en 1900). Passe la première guerre mondiale.

Daimler-Benz a créé un nouveau modèle encore plus performant : moteur huit cylindres en ligne avec compresseur, et technologie quatre soupapes, suspensions indépendantes, freins à tambours hydrauliques...

Nous sommes en 1934. Cette année-là une nouvelle règle a vu le jour. L’AIACR (agence internationale du sport automobile) impose désormais une norme de poids : les voitures ne doivent excéder 750 kg.

Nous voici le 3 juin 1934, la veille de la grande course du Nürburgring. Et c’est la catastrophe dans le stand Mercedes : elle pèse un kilo de trop ! Comment faire? Toutes les pièces ont déjà allégées. Toutes sauf une : la déco. La peinture blanche, réglementaire alors chez les voitures allemandes.

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Alfred Neubaueur (qui a dirigé le team de 1926 à 1955) tente un coup audacieux : poncer la voiture pour l’alléger laissant apparaitre sa coque en aluminium. Pari gagné ! Non seulement l’auto respecte le règlement, mais en plus elle remporte la course (avec von Brauchitsch au volant)! Neubaueur réalise que l’argent frappe davantage les esprits que le blanc. Il décide que dorénavant, toutes Mercedes de course porteront cette robe. « Pour la Flèche », il est à noter que ces voitures ont établi des records de vitesses allant chatouiller les 400 kilomètres par heure, et il faudra plus de 20 ans pour battre certains de ces records de vitesse. Il faudra également attendre près de 50 ans pour voir des Formules 1 à moteur turbocompressés surpasser la puissance des Silver Arrows.

ntées ?

La légende de la flèche d’argent est née.

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E U Q I T A R P L I E S N CO

E

t si on comprenait mieux l’électricité ou organe électrique dans votre automobile, plusieurs sujets seront réalisés au fil des prochains numéros, mais commençons par un élément important dans votre automobile « la batterie ».

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Comprendre l’électricité de votre automobile Enquete Julien Gomes

Un peu d’histoire La batterie moderne a été inventée en 1800 par Volta. Elle était composée de disque en zinc et argent séparés par du papier humide.

Il s’agissait d’une des premières méthodes de génération de l’électricité, avant l’utilisation des champs magnétiques. L’accumulateur au plomb a été inventé en 1859 par le français Gaston Planté. Il a été en effet le premier à avoir mis au point la première batterie rechargeable. En 1859, il met au point l’accumulateur plomb/acide la première batterie électrique rechargeable. Son premier modèle se compose d’un rouleau spiralé de deux feuilles de plomb pur séparées par un tissu en lin, plongé dans un récipient en verre contenant une solution d’acide sulfurique.

L’année suivante, il présente une batterie au plomb de neuf cellules à l’Académie des sciences. En 1881, Camille Alphonse Faure développera un modèle plus efficace et plus fiable qui connaîtra un grand succès dans les premières voitures électriques. Ce type de batterie permettra en 1899 à une voiture électrique, «la Jamais contente»,(voir article dans le magazine N°4) de franchir la vitesse de 100 km/h. Par la suite, ce type de batterie est devenu le premier type de batterie rechargeable commercialisé. Les batteries de nos voitures actuelles fonctionnent toujours essentiellement selon le même principe.

1er Batterie de Gaston Planté

Gaston Planté

1899 la Jamais contente

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Performance La batterie au plomb est celle qui a la plus mauvaise énergie massique 35 Wh/kg, après la batterie Nickel-Fer. Mais comme elle est capable de fournir un courant de grande intensité, utile pour le démarrage électrique des moteurs à combustion interne, elle est encore très utilisée en particulier dans les véhicules automobiles. Elle présente aussi l’avantage de ne pas être sensible à l’effet mémoire.

Caractéristiques techniques Une batterie au plomb est composée de plusieurs éléments d’accumulateurs montés en série. La tension d’une batterie au plomb est toujours multiple de 2 volts environ.

La batterie d’un véhicule (automobile, motocyclette) actuel , comporte six éléments, elle a donc une tension électrique de l’ordre de 12 volts. Pour les poids lourds, les bus et les bateaux on trouve plutôt des batteries de 24 volts, pouvant, dans le cas des bateaux et des bus permettre la vie à bord, ainsi que la génération de 220 V par l’intermédiaire d’un onduleur.

En réalité, une batterie 12 volts chargés affichera une tension de 12,8 à 13,2 volts ; si la tension d’une batterie chargée est inférieure à 11,4 volts, la batterie sera en fin de vie. Même non branchée, une batterie au plomb se décharge lentement du fait de diverses réactions chimiques parallèles présentes, qui peuvent conduire à la « sulfatation » de la borne positive (poudre blanchâtre). La capacité d’une batterie est donnée en Ah (ampère.heure).

Utilisation Cette batterie sert à alimenter les composants électriques des véhicules à moteur à combustion interne, particulièrement le démarreur électrique. Lorsque le moteur fonctionne, elle est rechargée par une dynamo ou un alternateur.

Historiquement, les batteries de voitures ou de motocyclettes faisaient le plus souvent 6 volts (3 éléments). À l’époque moderne, les batteries à 12 volts (6 éléments) sont généralisées sur les voitures et motocyclettes, alors que les véhicules lourds ou militaires utilisent le 24 volts.

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Construction d une batterie 1 : Grille.

2 : Séparateur.

3 : Plaque positive.

4 : Plaque négative.

5 : Barrette.

6 : Faisceau négatif.

7 : Elément complet.

8 : Pont.

9 : Rampe de bouchons.

10 : Borne.

11 : Bac.

Chaque élément est constitué d’un bac rempli d’acide sulfurique (H2SO4) dilué entre 30 et 38 % (concentration de l’ordre de 5M), dans lequel baignent des plaques constituées d’un composé de plombalvéolé : Chaque élément est constitué d’un bac rempli d’acide sulfurique (H2SO4) dilué entre 30 et 38 % (concentration de l’ordre de 5M), dans lequel baignent des plaques constituées d’un composé de plombalvéolé :

• Les alvéoles procurent une plus grande surface de contact avec l’électrolyte (augmentation de la capacité).

• Les plaques négatives sont en litharge.

• Les plaques positives sont en minium.

• Afin d’assurer la position des plaques, des entretoises ou des séparateurs faits d’un matériaux poreux, résistant à l’acide et neutre, garantissent l’espacement des plaques.

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INFO CLUB

Dates à retenir 17 Fevrier Rassemblement mensuel véhicules Anciens & Américains, parking centre Leclerc de Brive, 9h / 13h.

17 Mars Rassemblement mensuel véhicules Anciens & Américains, parking centre Leclerc de Brive, 9h / 13h.

31 Mars Balade touristique, sortie décrassage Découverte, Sensation (journée non défini) Véhicules Américains & Anciennes.

14 Avril Passion automobile, rassemblement mensuel Trelissac (24) et Bourse d’échange St Yrieix la Perche (87) 21 Avril Rassemblement mensuel véhicules Anciens & Américains, parking centre Leclerc de Brive, 9h / 13h.

04 & 05 Mai Exposition au Classic Days Magny cours (58) Véhicules américains & Anciennes 19 Mai Rassemblement mensuel véhicules Anciens & Américains, parking centre Leclerc de Brive, 9h / 13h.

25 Mai Exposition à Terrasson, au 1er Festival des vieux Métiers (24) Véhicules américains & Anciennes 26 Mai Balade touristique Printanière (journée non défini) Véhicules Américains & Anciennes 01 & 02 Juin Rock & Cars, Rassemblement Américaines & Collections, Festival Country, Blues, rock à Lavaur (81) Véhicules Américains & Anciennes 08 & 09 Juin Exposition Festival Country de Beynat (19) Véhicules Américains & anciennes 16 Juin Rassemblement mensuel véhicules Anciens & Américains, parking centre Leclerc de Brive, 9h / 13h.

23 Juin Exposition grand rassemblement Auto, Moto Anciennes & Balade touristique à Saint Yrieix la Perche (87) Véhicules Américains & Anciennes

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Présentation du nouveau logo du Club libre des Américaines & des anciennes, il a été réalisé comme sollicité sur internet par notre club, le concour s’est clôturé comme prévu le 31 Mars 2013. Le grand gagnant de ce jeu intitulé « création du nouveau logo du Club » (validé aux voix, par le bureau du club) est: « Stéphane Tubert » (Cox verte 1966).

Bravo !!!

Continuez votre participation active dans notre magazine concernant notre passion commune « L’AUTOMOBILE », sous toutes ses formes. Faites savoir ce que vous aimeriez faire partager à l’ensemble du Club, en publiant des photos et vos commentaires pour insertion dans le magazine.

N’hésitez pas à m’envoyer pour la nouvelle rubrique, « Votre jeunesse automobile & motocycle » vos photos du passé, concernant le thème de l’automobile, ou de la moto, qu’elles soient de votre jeunesse, de vos parents, ou grands-parents, à claeadordogne@aol.fr , avec une petite légende.

Votre Président Julien Gomes

Le Club Libre des Américaines & des Anciennes organise un nouveau rassemblement Mensuel à partir du 20 Janvier 2013. Il aura lieu tous les 3emes dimanche de chaque mois, de Janvier à Novembre, et se tiendra sur le parking du Centre Leclerc de Brive la Gaillarde (19) de 9h à 13h.

Tous les passionnés seront les bienvenus, qu’ils soient possesseurs de véhicules de Collection, d’américaines, Hot Rod, Custom, Véhicules de Prestige, Motos Anciennes ou Harley Davidson, et pourront bien sur partager leur passion commune. « Les véhicules ne respectant pas le thème du rassemblement ne pourront être exposés sur la zone d’exposition. » Merci de votre compréhension Renseignements Club Libre des Américaines & des Anciennes Julien

06 14 34 57 12

Eric 06 49 63 32 45

Michel 06 26 31 64 68

NSUEL

RASSEMBLEMENT ME

Le 3eme Dimanche de chaque mois de Janvier à Novembre

BRIVE LA GAILLARDE

Partenaires

de 9h à 13h

Parking Centre Leclerc

Ouvert à tous les passionnés Entrée Gratuite

Véhicules de Collection Véhicules Américain, Hot Rod, Custom Véhicules de Prestige Motos Anciennes, Harley Davidson

http://lemoulindemaneyrol.e-monsite.com

Les véhicules ne respectant pas le thème du rassemblement ne pourront être exposés sur la zone d’exposition.

Merci de votre compréhension

Organisé par le Club Libre des Américaines & des Anciennes Renseignements

En Partenariat

Julien 06 14 34 57 12 Eric 06 49 63 32 45 Michel 06 26 31 64 68 ne pas jeter sur la voie publique

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MAGAZINE DU CLUB

Enfin en ve

Magazine N°01

Magazine N°02

MAGAZINE DU CLUB LIBRE

NEWS

AMERICAINES & ANCIENNES

MAGAZINE DU CLUB LIBRE

NEWS

AMERICAINES & ANCIENNES Jan / Fev / Mar 2012 - N° 2

Oct / Nov / Dec 2011 / N° 1

BALADE TOURISTIQUE EN DORDOGNE Un monde de Découverte

REPORTAGE Quand le réve devient ....By Thierry Dubois Sur la route 66 .... By Jean Maurice Dessart

RASSEMBLEMENT MENSUEL Musée des Armes de Tulle 100 ans de l'aviation

RETROSPECTIVE 2011 En images.....

RASSEMBLEMENT FIN D'ANNEE

1ERE BALADE TOURISTIQUE Découverte de la correze CONSEIL PRATIQUE INFO CLUB

Au travers de l'automobile du cinéma, de la publicité de 1960 à 1980

DECOUVERTE RENAULT Fuego une Yougtimer des années 80

Magazine N°03

DECOUVERTE 2 Autos, 2 Membres Magazine N°04

MAGAZINE DU CLUB LIBRE AMERICAINES & ANCIENNES

Avril / Mai / Juin 2012 N° 3 Reportage ; week end sur le circuit mythique de Magny cours

Enquete debut de l'automobile electrique (1er partie)

REPORTAGE decouverte Ritchie un personnage hors norme vacances by robert nardot " route 66 "

ENQUEtE ; L'huile de votre ancienne

DECOUVERTE 2 Autos, 2 Membres

J

Magazine N°05

ersion papier !!!

C LUB LIBRE Magazine

IE

G TAL NOS

Américaines & Anciennes

CONSEIL PRATIQUE COMPRENDRE VOTRE CARBURANT

NOUVELLE RUBRIQUE LES VEHICULES DE VOTRE JEUNESSE

Le Magazine N°5 du Club Libre des Américaines & des Anciennes en version papier, enfin !!!!. Et je peux vous dire il est superbe, je suis assez fier de mon « bébé » Le magazine sera proposé en abonnement de 12 mois (soit 4 numéros payables à l’abonnement) sous 2 tarifs.

1er tarif préférentiel réservé aux membres du club.

DECOUV ERTE

2e plein tarif, pour les personnes hors club.

Dans les 2 cas ;

a) remis en main propre, (au magasin, ou lors d’un rassemblement)

b) expédié par la poste, avec frais de port en supplément.

2 AUTOS, 2 MEMBRES - LA POMPE ESSENCE - NOSTALGIE : VELO SOLEX

BALADES TOURISTIQUES - REPORTAGES SORTIES - FESTIVITE FIN D’ANNEE

Magazine N°06

Tarif et condition ; Prendre contact avec le Secrétaire Jean Christophe Lareynie, chargé de la gestion des abonnements, et de la distribution.

Tel : 06.81.69.19.72 Mail : jcl1971@orange.fr Pour les anciens numéros, les impressions pourront se faire uniquement sur réservation (merci aux intéressés de me faire connaître leurs intentions, et les numéros qu’ils désirent auprès de Jean Christophe).

ATTENTION TIRAGE LIMITE FAITES EN VITE LA RESERVATION N’oubliez pas tous ces magazines sont des « collectors » et en édition limité ….

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