CÉLINE DUMERC
UNE MÉDAILLE POUR UN ADIEU
N°837- JUILLET2017 - WWW.FFBB.COM
CÉLINE DUMERC
Photos Julien Bacot / FFBB
14 ans après son arrivée chez les Bleues, Céline Dumerc tire sa révérence sur une sixième médaille internationale. Avec 262 sélections elle est désormais seule au sommet, devançant Paoline Ekambi chez les femmes (254) et Hervé Dubuisson chez les hommes (259). Blessée juste avant les Jeux Olympiques de Rio, la meneuse de Basket Landes avait différé sa retraite pour disputer une dernière campagne et tenter de partir sur un podium. Elle rêvait d’or, à l’image de ce qu’avait réalisé sa future coach et grande amie Cathy Melain, en 2009. Elle est repartie de Prague avec une médaille d’argent et peu de regrets, consciente de la supériorité espagnole lors de la finale et satisfaite d’avoir livré un ultime Euro plus que solide individuellement : 8,0 points, 4,5 rebonds, 4,2 passes décisives.
14 BASKETBALLMAGAZINE
JUILLET2017 15
CÉLINE DUMERC
Photos Julien Bacot / FFBB
14 ans après son arrivée chez les Bleues, Céline Dumerc tire sa révérence sur une sixième médaille internationale. Avec 262 sélections elle est désormais seule au sommet, devançant Paoline Ekambi chez les femmes (254) et Hervé Dubuisson chez les hommes (259). Blessée juste avant les Jeux Olympiques de Rio, la meneuse de Basket Landes avait différé sa retraite pour disputer une dernière campagne et tenter de partir sur un podium. Elle rêvait d’or, à l’image de ce qu’avait réalisé sa future coach et grande amie Cathy Melain, en 2009. Elle est repartie de Prague avec une médaille d’argent et peu de regrets, consciente de la supériorité espagnole lors de la finale et satisfaite d’avoir livré un ultime Euro plus que solide individuellement : 8,0 points, 4,5 rebonds, 4,2 passes décisives.
14 BASKETBALLMAGAZINE
JUILLET2017 15
ENDY MIYEM Elle n’a que 29 ans mais possède déjà le plus beau palmarès international du basket français. Florent Pietrus, Boris Diaw, Mickaël Gélabale ont remporté cinq médailles chez les masculins. Miyem en possède désormais six, tout comme Céline Dumerc. Mais avec la perspective d’en ajouter quelques-unes avant de tirer sa révérence chez les Bleues. L’intérieure de Schio est toujours incontournable dans la raquette et sa régularité une donnée capitale pour un groupe. Meilleure marqueuse et meilleure évaluation à l’Euro du groupe, elle a été élue dans le cinq idéal de la compétition. A la rentrée, elle retrouvera dans son club son ancien entraîneur en Équipe de France, Pierre Vincent.
16 BASKETBALLMAGAZINE
DIANDRA TCHATCHOUANG Elle avait un instant caressé l’espoir de participer aux Jeux Olympiques de Rio après avoir connu la préparation de ceux de Londres en 2012. Mais victime d’une deuxième rupture des ligaments croisés du genou à 24 ans, Diandra Tchatchouang avait dû se résoudre à se concentrer sur sa rééducation. Un an plus tard, l’ancienne étudiante de Maryland était aligné dans le cinq de départ au coup d’envoi de l’Euro. Une première victoire sur les blessures et une première étape vers un retour au plus haut niveau après une saison passée à chercher à retrouver l’intégralité de ses immenses moyens physiques.
OLIVIA EPOUPA Propulsée meneuse numéro un aux Jeux Olympiques et véritable révélation de la compétition brésilienne, Olivia Epoupa a retrouvé son rôle de doublure, peut-être pour la dernière fois, en République Tchèque. Pas à son top physiquement en préparation, elle est peu à peu montée en puissance et son influence sur le jeu, même avec un temps de jeu limité, demeure exceptionnelle. La future meneuse de Galatasaray a ainsi terminé meilleure intercepteur du tournoi, à égalité avec Sancho Lyttle, alors qu’elle jouait 14 minutes de moins que l’Américaine naturalisée espagnole.
JUILLET2017 17
ENDY MIYEM Elle n’a que 29 ans mais possède déjà le plus beau palmarès international du basket français. Florent Pietrus, Boris Diaw, Mickaël Gélabale ont remporté cinq médailles chez les masculins. Miyem en possède désormais six, tout comme Céline Dumerc. Mais avec la perspective d’en ajouter quelques-unes avant de tirer sa révérence chez les Bleues. L’intérieure de Schio est toujours incontournable dans la raquette et sa régularité une donnée capitale pour un groupe. Meilleure marqueuse et meilleure évaluation à l’Euro du groupe, elle a été élue dans le cinq idéal de la compétition. A la rentrée, elle retrouvera dans son club son ancien entraîneur en Équipe de France, Pierre Vincent.
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DIANDRA TCHATCHOUANG Elle avait un instant caressé l’espoir de participer aux Jeux Olympiques de Rio après avoir connu la préparation de ceux de Londres en 2012. Mais victime d’une deuxième rupture des ligaments croisés du genou à 24 ans, Diandra Tchatchouang avait dû se résoudre à se concentrer sur sa rééducation. Un an plus tard, l’ancienne étudiante de Maryland était aligné dans le cinq de départ au coup d’envoi de l’Euro. Une première victoire sur les blessures et une première étape vers un retour au plus haut niveau après une saison passée à chercher à retrouver l’intégralité de ses immenses moyens physiques.
OLIVIA EPOUPA Propulsée meneuse numéro un aux Jeux Olympiques et véritable révélation de la compétition brésilienne, Olivia Epoupa a retrouvé son rôle de doublure, peut-être pour la dernière fois, en République Tchèque. Pas à son top physiquement en préparation, elle est peu à peu montée en puissance et son influence sur le jeu, même avec un temps de jeu limité, demeure exceptionnelle. La future meneuse de Galatasaray a ainsi terminé meilleure intercepteur du tournoi, à égalité avec Sancho Lyttle, alors qu’elle jouait 14 minutes de moins que l’Américaine naturalisée espagnole.
JUILLET2017 17
MARIELLE AMANT La première rotation intérieure de l’Équipe de France se spécialise dans le travail de l’ombre : défense, rebond, pose d’écran. Et sans faire de bruit Marielle Amant a su s’imposer dans une raquette en pleine reconstruction. Elle flirte désormais avec la barre mythique des 100 sélections. Une montée en puissance qu’elle a reproduit en club depuis son départ de Bourges en 2012 et qui a culminé cette saison avec la conquête du titre de champion de France avec Villeneuve d’Ascq.
HELENA CIAK En l’absence de Sandrine Gruda et avec la retraite internationale d’Isabelle Yacoubou, le statut d’Helena Ciak allait radicalement changer. Son temps de jeu a ainsi triplé par rapport aux Jeux Olympiques de Rio. La jeune femme qui s’est longtemps interrogée sur son avenir professionnel a incontestablement franchi un palier en s’exilant à Koursk, avec qui elle a remporté l’Euroligue. Si son gabarit n’est pas adapté à tous les adversaires et si les problèmes de fautes l’handicapent parfois, bien utilisés ses mouvements près du cercle sont une arme qui peut s’avérer fatale. 18 BASKETBALLMAGAZINE
GAËLLE SKRELA Voilà, c’est fini. Après 15 saisons professionnelles, dont 13 à Montpellier, Gaëlle Skrela a décidé de raccrocher. La finale de l’Euro était le dernier match d’une carrière atypique qui l’a vu débuter en Équipe de France à 30 ans. Une longue attente ponctuée de trois médailles d’argent européennes et d’une participation aux Jeux Olympiques. Si la perspective de ne plus fouler les parquets a pesé émotionnellement lors des remises des médailles, Miniskrelle pourra se consoler en se projetant vers une reconversion pensée de longue date. Après quelques mois d’arrêt, elle débutera une deuxième vie, celle de kinésithérapeute à Lattes.
SARAH MICHEL Elle aura mis quelques années à s’imposer au plus haut niveau, choisissant notamment de privilégier ses études. Mais depuis ses débuts officiels en Équipe de France en mai 2015, Sarah Michel s’est vite révélée indispensable au système de Valérie Garnier. En sortie de banc sa polyvalence, son énergie et son sens de l’anticipation en défense sont des atouts appréciés. A 28 ans, elle compte déjà 13 saisons professionnelles à son actif et s’apprête à franchir un nouveau cap en rejoignant Bourges à la rentrée. JUILLET2017 19
MARIELLE AMANT La première rotation intérieure de l’Équipe de France se spécialise dans le travail de l’ombre : défense, rebond, pose d’écran. Et sans faire de bruit Marielle Amant a su s’imposer dans une raquette en pleine reconstruction. Elle flirte désormais avec la barre mythique des 100 sélections. Une montée en puissance qu’elle a reproduit en club depuis son départ de Bourges en 2012 et qui a culminé cette saison avec la conquête du titre de champion de France avec Villeneuve d’Ascq.
HELENA CIAK En l’absence de Sandrine Gruda et avec la retraite internationale d’Isabelle Yacoubou, le statut d’Helena Ciak allait radicalement changer. Son temps de jeu a ainsi triplé par rapport aux Jeux Olympiques de Rio. La jeune femme qui s’est longtemps interrogée sur son avenir professionnel a incontestablement franchi un palier en s’exilant à Koursk, avec qui elle a remporté l’Euroligue. Si son gabarit n’est pas adapté à tous les adversaires et si les problèmes de fautes l’handicapent parfois, bien utilisés ses mouvements près du cercle sont une arme qui peut s’avérer fatale. 18 BASKETBALLMAGAZINE
GAËLLE SKRELA Voilà, c’est fini. Après 15 saisons professionnelles, dont 13 à Montpellier, Gaëlle Skrela a décidé de raccrocher. La finale de l’Euro était le dernier match d’une carrière atypique qui l’a vu débuter en Équipe de France à 30 ans. Une longue attente ponctuée de trois médailles d’argent européennes et d’une participation aux Jeux Olympiques. Si la perspective de ne plus fouler les parquets a pesé émotionnellement lors des remises des médailles, Miniskrelle pourra se consoler en se projetant vers une reconversion pensée de longue date. Après quelques mois d’arrêt, elle débutera une deuxième vie, celle de kinésithérapeute à Lattes.
SARAH MICHEL Elle aura mis quelques années à s’imposer au plus haut niveau, choisissant notamment de privilégier ses études. Mais depuis ses débuts officiels en Équipe de France en mai 2015, Sarah Michel s’est vite révélée indispensable au système de Valérie Garnier. En sortie de banc sa polyvalence, son énergie et son sens de l’anticipation en défense sont des atouts appréciés. A 28 ans, elle compte déjà 13 saisons professionnelles à son actif et s’apprête à franchir un nouveau cap en rejoignant Bourges à la rentrée. JUILLET2017 19
ALEXIA CHARTEREAU L’ascension est fulgurante. Entrée au Centre Fédéral en 2013, championne d’Europe U18 et MVP de la compétition en 2016, première sélection en Équipe de France A et médaille d’argent européenne en 2017. A 18 ans seulement, Alexia Chartereau ne perd pas son temps. Elle incarne la volonté des entraîneurs fédéraux de continuer à responsabiliser rapidement les meilleures prospects. A Prague elle aura participé à toutes les rencontres avec 10 minutes de temps de jeu en moyenne. Cette intérieure au tir soyeux a sans doute signé un très long bail en Bleu.
MARINE JOHANNES Peut-elle être encore considérée comme une jeune ? Son état civil en atteste (22 ans) mais sa place dans la rotation, ses éclairs de génie et ses déjà 37 sélections la classent dans une autre catégorie. Celle des surdouées incontournables. Troisième marqueuse des Bleues à Prague, Marine Johannes a l’extraordinaire pouvoir d’attirer au basket féminin un nouveau public bluffé par son aisance technique et ses inspirations soudaines à la passe ou au shoot. En larmes sur le podium elle était réconfortée par Céline Dumerc, sans doute consciente qu’elle laisse l’Équipe de France entre de bonnes mains. 20 BASKETBALLMAGAZINE
HHADYDIA MINTE Appelez là Kadi. Une rookie avec les A mais pas avec l’Équipe de France. Issue comme Olivia Epoupa et Diandra Tchatchouang de la structure du Paris 18, Hhadydia Minte aura été internationale U18, U19, U20, en 3x3 et chez les A’ avant d’accéder à la sélection cet été. Elle a gagné sa place lors de la préparation grâce à une mobilité et des qualités athlétiques au-dessus du lot. Si offensivement la joueuse de Charleville est encore perfectible, son impact au rebond est spectaculaire pour une ailière. En témoignent ses 10 prises en 23 minutes face aux championnes d’Europe en titre serbes.
VALÉRIANE AYAYI Elle avait été la toute première représentante de la nouvelle vague bleue à intégrer les A à l’occasion de l’Euro 2013 en France à tout juste 19 ans et alors qu’elle sortait de sa saison rookie en LFB. Depuis, Valériane Ayayi n’a pas totalement imposé son formidable talent offensif en sélection et a dû composer avec quelques soucis physiques à Prague. Elle n’en demeure pas moins une joueuse d’avenir. Déjà sacrée à deux reprises championne de France avec deux équipes différentes, elle va désormais tenter de ramener Bourges au sommet de la hiérarchie hexagonale. JUILLET2017 21
ALEXIA CHARTEREAU L’ascension est fulgurante. Entrée au Centre Fédéral en 2013, championne d’Europe U18 et MVP de la compétition en 2016, première sélection en Équipe de France A et médaille d’argent européenne en 2017. A 18 ans seulement, Alexia Chartereau ne perd pas son temps. Elle incarne la volonté des entraîneurs fédéraux de continuer à responsabiliser rapidement les meilleures prospects. A Prague elle aura participé à toutes les rencontres avec 10 minutes de temps de jeu en moyenne. Cette intérieure au tir soyeux a sans doute signé un très long bail en Bleu.
MARINE JOHANNES Peut-elle être encore considérée comme une jeune ? Son état civil en atteste (22 ans) mais sa place dans la rotation, ses éclairs de génie et ses déjà 37 sélections la classent dans une autre catégorie. Celle des surdouées incontournables. Troisième marqueuse des Bleues à Prague, Marine Johannes a l’extraordinaire pouvoir d’attirer au basket féminin un nouveau public bluffé par son aisance technique et ses inspirations soudaines à la passe ou au shoot. En larmes sur le podium elle était réconfortée par Céline Dumerc, sans doute consciente qu’elle laisse l’Équipe de France entre de bonnes mains. 20 BASKETBALLMAGAZINE
HHADYDIA MINTE Appelez là Kadi. Une rookie avec les A mais pas avec l’Équipe de France. Issue comme Olivia Epoupa et Diandra Tchatchouang de la structure du Paris 18, Hhadydia Minte aura été internationale U18, U19, U20, en 3x3 et chez les A’ avant d’accéder à la sélection cet été. Elle a gagné sa place lors de la préparation grâce à une mobilité et des qualités athlétiques au-dessus du lot. Si offensivement la joueuse de Charleville est encore perfectible, son impact au rebond est spectaculaire pour une ailière. En témoignent ses 10 prises en 23 minutes face aux championnes d’Europe en titre serbes.
VALÉRIANE AYAYI Elle avait été la toute première représentante de la nouvelle vague bleue à intégrer les A à l’occasion de l’Euro 2013 en France à tout juste 19 ans et alors qu’elle sortait de sa saison rookie en LFB. Depuis, Valériane Ayayi n’a pas totalement imposé son formidable talent offensif en sélection et a dû composer avec quelques soucis physiques à Prague. Elle n’en demeure pas moins une joueuse d’avenir. Déjà sacrée à deux reprises championne de France avec deux équipes différentes, elle va désormais tenter de ramener Bourges au sommet de la hiérarchie hexagonale. JUILLET2017 21
3X3 TOURNOI >
Pour suivre l’actualité des clubs et des équipes de France, revivre les moments historiques du basket ou encore retrouver des conseils techniques et pratiques.
POURQUOI FAIRE HOMOLOGUER UN TOURNOI 3X3 ? Avec l’arrivée des beaux jours, la saison de 3x3 bat son plein et connaîtra son apogée le 29 juillet à Lyon. Les organisateurs de tournois s’interrogent souvent sur l’intérêt de faire homologuer leur évènement par la FFBB. N’hésitez plus, la démarche est simple et les intérêts nombreux.
56 Photos Philippe Gigon
La constitution du dossier d’homologation est rapide : les documents demandés permettent de vérifier que toutes les règles de sécurité soient respectées, c’est l’assurance d’un tournoi qui se déroulera dans les meilleures conditions possibles pour les joueurs et les bénévoles. Grâce à l’homologation, les organisateurs vont non seulement recevoir une dotation matérielle (ballons, t-shirts, chasubles et sacs), mais le tournoi va également intégrer la pyramide 3x3. Le but ? La qualification pour les vainqueurs à un Tournoi Central, avec en ligne de mire une participation à l’Open de France 3x3. Pas encore convaincu ? La FFBB apporte son soutien au niveau de la communication, avec la possibilité de créer une affiche 3x3, et avec la diffusion d’une annonce et d’un compte rendu du tournoi sur le site Internet fédéral et les réseaux sociaux. Une belle visibilité en perspective. Besoin d’aide au niveau de l’organisation ? La FFBB vous accompagne en vous guidant dans l’utilisation gratuite de l’Event Maker, outil performant dans la préparation, la gestion et le suivi de l’évènement.
Que votre structure soit ou non affiliée à la FFBB, n’hésitez plus et demandez l’homologation de votre tournoi en téléchargeant et retournant le dossier d’homologation sur la page www.basket3x3.com (contact : 3x3@ffbb.com / 01-53-94-26-06). Outre l’homologation, cette page permet également la création d’un profil 3x3. Débutant, joueur occasionnel, ou bien acharné de 3x3, voici trois bonnes raisons de créer gratuitement un profil officiel 3x3 et de rejoindre une communauté en pleine expansion : Vous ne serez plus seul : le profil permet d’intégrer le classement français, européen et même mondial du 3x3. Et ce quel que soit votre niveau de jeu.
28 BASKETBALLMAGAZINE
Vous allez devenir le numéro 1 français, ou au moins essayer : grâce au profil, vous compilez des points sur chaque tournoi progressez dans le classement individuel 3x3. Vous ne raterez aucun évènement : via le profil, vous serez au courant des tournois 3x3 près de chez vous, et partout ailleurs. En prime, vous aurez aussi la possibilité de gagner une tenue 3x3 offerte par la FFBB dans le cadre du jeu concours "Active ton profil 3x3". Motivé ? Cinq minutes seulement suffisent pour s’inscrire gratuitement.
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