LE GRAND RETOUR AU PAYS DE LA BIBLE

Le Grand Retour au Pays de la Bible

Pierre Despagne

Le Grand Retour au Pays de la Bible 3e édition revue et complétée d’un questionnaire important sur l’Israël d’aujourd’hui

© Pierre Despagne Présenté par www.israelinprophecy.org

Edition La Maison de la Bible, 1984, 2011 Ch. de Praz-Roussy 4bis CH-1032 Romanel-sur-Lausanne E-mail: info@bible.ch Internet: www.maisonbible.net Couverture: Fredy Boesch Photos: J.H. Alexander – Len Sirman Press ISBN édition imprimée 978-2-8260-3224-3 ISBN format epub 978-2-8260-0204-8 ISBN format pdf 978-2-8260-9929-1 Imprimé en UE sur les presses de Lightning Source et sur papier FSC

Table des matières

Préface Introduction 1. Ombres et lumières sur Sion 2. Israël ne reste pas sans espérance 3. La dispersion d’Israël et le retour au pays de ses pères 4. Les premiers débuts du grand Retour 5. Un Foyer national juif 6. Persécutions et douleurs de l’enfantement 7. La résurrection du nouvel Etat d’Israël 8. Texte de la proclamation de l’indépendance 9. Le développement du pays 10. Opération Qadesh - La campagne du Sinaï 1956 11. La guerre des six jours - 1967 12. La résolution du Conseil de sécurité 13. La guerre du Kippour - 1973 14. Qui remportera la bataille diplomatique?

15. Opération «Cèdres du Liban» pour la paix en Galilée 16 Un peuple indestructible 17. Rassemblement des douze tribus 18. Délivrance finale de Sion 19. Le grand Retour dans la perspective du millénium

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20. Expressions soulignant un accomplissement final pour Israël dans l’avenir 21. Le peuple, le pays, Jérusalem et le temple désignés dans la Bible 22. Chronologie des événements concernant Israël et le Moyen-Orient.

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Quelques notes documentaires Près de quarante ans après L’Israël d’aujourd’hui Questions et réponses Conclusion

Note 1 Note 2 Note 3 Note 4 Note 5 Note 6 Note 7 Note 8 Note 9 Note 10 Note 11 -

Découverte des premiers manuscrits de la mer Morte L’origine du nom de la Palestine L’hymne national «Hatikva» Les principales cultures du Neguev et les villes du désert Les ressources minérales de la mer Morte Le drapeau israélien Au sujet de la dispersion des douze tribus d’Israël Les frontières du grand Israël La population juive à Jérusalem et dans le pays L’immigration juive au pays d’Israël Différents lieux d’où Israël rentre de la captivité

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Préface

A la suite de plusieurs voyages en Israël, l’auteur de cet ouvrage a cru bon de faire part de quelques réflexions sur ce pays étonnant, tout en rappelant les dates des principaux faits qui ont marqué depuis moins d’un siècle l’histoire du peuple juif manifestant à nouveau son désir de vivre au pays de ses pères.

Assurément la main du Dieu d’Israël a préparé et aplani par étapes successives ce long et périlleux chemin du retour vers Sion, et cela d’une manière remarquable, de telle sorte que nous ne pouvons taire ces événements, d’autant plus qu’ils se déroulent en grande partie dans notre génération.

Nous vivons des faits importants qui mettent en évidence une époque sans précédent dans tous les domaines. Mais s’il existe un réveil dont les conséquences sont les plus imprévisibles et les plus inquiétantes, c’est bien celui qui s’opère actuellement en Israël.

Ce nouvel ouvrage fait suite aux précédents: Israël dans la prophétie, ainsi que Le Moyen-Orient et les choses qui doivent arriver bientôt, où l’auteur a surtout souligné la place d’Israël au milieu des pays arabes et, en même temps, le miracle permanent de la prophétie biblique dans cette partie du monde.

Ces pages viennent compléter et confirmer par des points précis que la prophétie devient désormais de l’histoire contemporaine, amenant aussi le lecteur à considérer les dernières prophéties qui doivent encore s’accomplir dans ce pays et au sein du peuple d’Israël dont l’existence ne cesse d’être menacée.

Si de fréquentes mentions sont faites en rapport avec l’hostilité des pays arabes, c’est que le contexte des récits historiques y oblige; cependant l’auteur n’est animé d’aucun esprit raciste, assuré que Dieu a un plan de salut pour tous les peuples de la terre, y compris les nations arabes. Et cela en vertu de la rédemption accomplie à Golgotha par le sacrifice de «l’Agneau de Dieu» qui a ôté le péché

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du monde, rachetant pour Dieu par son sang «des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation».

Israël n’est que le canal par lequel la bénédiction de Dieu doit couler et se répandre en faveur de toutes les familles de la terre.

Laissons aux politiciens le soin de juger de l’histoire. Quant à nous, il suffit d’affirmer qu’en dépit des circonstances paraissant parfois cruelles et injustes de part et d’autre, la Parole de Dieu s’accomplit encore aujourd’hui, comme autrefois à l’époque de Josué ou de David. Elle redit que tout converge immanquablement vers un ordre nouveau après lequel l’humanité soupire, et que Dieu dans son amour instaurera bientôt ici-bas son royaume de paix et de justice, par Celui qu’il a établi héritier de toutes choses, Jésus-Christ, le Messie d’Israël et le Prince des rois de la terre.

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Introduction

«Ainsi parle l’Eternel des armées: Si la chose paraît étonnante aux yeux du reste de ce peuple en ces jours-là, sera-t-elle de même étonnante à mes yeux? dit l’Eternel des armées.

Ainsi parle l’Eternel des armées: Voici, je délivre mon peuple du pays de l’orient et du pays du soleil couchant. Je les ramènerai, et ils habiteront au milieu de Jérusalem; ils seront mon peuple, et je serai leur Dieu avec vérité et droiture.» Zacharie 8:6-8.

Israël, le peuple de la Bible, une nation qui ressuscite au milieu des nations; Israël, le pays de la Bible, un désert qui refleurit au centre du monde; voilà bien le double miracle qui s’opère avec le grand Retour en ce XXe siècle, provoquant à la fois l’étonnement et l’angoisse de notre planète secouée par tant de bouleversements liés à Israël.

Notre génération assiste au plus grand réveil de l’histoire, devant lequel pâlissent tous les autres réveils, qu’ils soient politiques, idéologiques, culturels, etc. Car aucun d’eux n’aura de prolongement aussi durable pour les peuples de la terre que pour celui dont nous allons nous entretenir tout au long de cet ouvrage.

Ecouter la parole de l’Eternel et la publier en tous lieux afin de faire connaître au monde ce que Dieu fait en faveur d’Israël, son peuple, en cette ère de grâce qui avance rapidement vers sa fin, telle est notre responsabilité!

Parler ainsi n’est nullement faire preuve de favoritisme ou de partialité, car s’il n’existe aucun juste sur la terre, pas même un seul homme qui fasse le bien, tout ne peut qu’être grâce devant Celui «qui a les yeux trop purs pour voir l’iniquité».

En choisissant Israël, Dieu a agi par pure grâce, par amour pour ce peuple, afin qu’il lui appartienne entre tous les peuples et qu’il révèle

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alors sa grâce et son amour au monde tout entier. Deutéronome 7:68; 1 Rois 10:9.

Comment ne pas aimer celui que Dieu «aime d’un amour éternel» et qu’il a «gravé sur ses mains»? Jérémie 31:3; Esaïe 49:16.

«Comment maudirais-je celui que Dieu n’a point maudit?» disait Balaam devant Balak. Nombres 23:8. Ce dernier persistant dans son mauvais dessein devait répondre à Balaam: «Ne le maudis pas, mais du moins ne le bénis pas.» Nombres 23:25.

Quelle ruse subtile de l’ennemi de Dieu qui ne peut que l’être aussi du peuple élu! Et nous, hésiterions-nous à bénir le peuple duquel naquit le Sauveur du monde et par qui la rédemption de l’humanité a été accomplie?

Ce peuple existe à cause de nous, à cause de notre péché, de notre culpabilité devant le Dieu trois fois saint. Sans Israël, l’humanité serait irrémédiablement perdue de génération en génération.

Dieu ne voulant pas la mort du pécheur, mais son salut, a juré que de tous temps un reste d’Israël subsisterait; et c’est ce résidu sorti de la fournaise des nations persécutrices que nous voyons rentrer dans le pays qui lui a été donné en héritage pour toujours.

Il est impensable que Dieu ait mis à part un peuple sans lui donner en même temps une terre où il puisse s’établir et obtenir tout ce qui doit contribuer à son existence; les promesses de Dieu à cet égard sont formelles et irrévocables.

Si les peuples admettent bien ces droits et privilèges pour euxmêmes, n’est-il pas frappant de remarquer qu’à l’égard d’Israël, tout est sans cesse remis en cause? L’attitude agressive, adoptée aujourd’hui par bien des nations, n’est en somme qu’une répétition du passé, car depuis l’origine d’Israël, l’antisémitisme occupe une place tenace dans le cœur des hommes, même religieux.

Fait paradoxal, le nouvel Etat d’Israël existe à cause de cette vague d’antisémitisme russe et hitlérien en particulier, qui a précédé les deux guerres mondiales et provoqué, comme au temps du Pharaon d’Egypte, un exode massif vers la terre promise.

Le grand Retour au pays de la Bible, dont nous distinguons les premiers signes, est une preuve certaine que la prophétie est en marche et que rien ne saurait l’arrêter.

Il s’agit bien du grand retour, car aucun retour ne s’est produit sur une échelle aussi étendue. La simple raison en est qu’Israël n’avait jamais encore été si longtemps dispersé parmi toutes les nations au cours de son histoire. Il a fallu attendre jusqu’à ces derniers siècles

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pour que la dispersion d’Israël soit totale, c’est-à-dire jusqu’aux extrémités de la terre.

Les deux grands pôles de la prophétie: dispersion et retour, sont soulignés dans plusieurs textes nous aidant à considérer l’intervalle écoulé entre eux. Voir Esaïe 6:11-13 où, à trois reprises l’expression «jusqu’à» est employée pour annoncer le temps où «une sainte postérité renaîtra de ce peuple».

Ainsi, contrairement aux exils précédents, Israël a émigré dans la plupart des pays du monde, et de ce fait, des centaines de milliers de Juifs sont rentrés de plus de cent nations. Esaïe 43:5, 6; Ezéchiel 34:12; 37:21. L’édit de Cyrus, en 535 avant Jésus-Christ, n’avait attiré qu’environ cinquante mille Juifs de la Babylonie à Jérusalem.

Voir Néhémie 7:66, 67. Mais ce retour ne contribua jamais pour Israël à retrouver son identité nationale, même si plusieurs tentatives eurent lieu dans le passé. Jamais également, il ne put retrouver de véritables frontières, puisqu’il a occupé surtout la province de Judée, et non la totalité de la terre promise.

Certains considèrent que les prophéties sur le retour et le réveil d’Israël se sont accomplies dans la période intercalaire de quatre cents ans entre l’Ancien et le Nouveau Testament, période au cours de laquelle aucune voix prophétique ne s’est fait entendre.

Il suffit de connaître quelque peu l’histoire profane pour constater rapidement que les prophéties touchant la venue du Messie n’ont eu qu’un accomplissement partiel à l’époque. C’est à son retour en gloire qu’elles trouveront leur achèvement. Notons ces deux aspects bien différents l’un de l’autre et décrits par exemple en Zacharie 9:9, 10 et Esaïe 61:1, 2.

A deux reprises, le temple fut rebâti à Jérusalem: sous Zorobabel et Hérode, mais la nation ne reconstitua pas son unité d’autrefois, d’autant plus que le retour des dix tribus déportées en Assyrie bien avant Juda ne s’opéra que d’une manière très fragmentaire et espacée.

Pour ces raisons et d’autres encore, le retour de Babylonie n’a pas pu permettre la réalisation totale des promesses messianiques. Par contre, le retour commencé il y a un siècle, devançant même le mouvement sioniste de Théodore Herzl, n’a cessé de s’intensifier jusqu’à nos jours, et il fut dès le début une préparation à l’existence nationale des Juifs dans leur pays.

Il en vient de l’orient et de l’occident, du septentrion et du midi, des pays lointains, des quatre extrémités de la terre, du pays de leurs

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ennemis, selon Jérémie 30:10; Ezéchiel 39:271. Nul doute que Dieu accomplit dans notre génération sa bonne parole annoncée en Amos 9:14, 15: «Je ramènerai les captifs de mon peuple d’Israël; ils rebâtiront les villes dévastées et les habiteront, ils planteront des vignes et en boiront le vin, ils établiront des jardins et en mangeront les fruits. Je les planterai dans leur pays, et ils ne seront plus arrachés du pays que je leur ai donné, dit l’Eternel, ton Dieu.»

L’histoire nous révèle la manière dont Israël a été constamment banni de son territoire, mais aujourd’hui les signes du retour définitif sont manifestes pour quiconque y prête une véritable attention.

Esaïe 11:11 déclare: «Dans ce même temps, le Seigneur étendra une seconde fois sa main, pour racheter le reste de son peuple, dispersé en Assyrie et en Egypte, à Pathros et en Ethiopie, à Elam, à Schinear et à Hamath, et dans les îles de la mer.»

L’Ecriture ne révèle pas que Dieu doit étendre une troisième fois sa main. C’est pour délivrer Israël en tant que nation, lors de la sortie d’Egypte, que cette main s’étendit une première fois. Et cela ne se renouvellera plus jusqu’à nos jours. Ainsi, la prophétie d’Esaïe 11 trouve son accomplissement à la fin des temps avec le dernier retour de la nation au pays de ses pères.

Nous lisons en Jérémie 16:14, 15: «C’est pourquoi voici, les jours viennent, dit l’Eternel, où l’on ne dira plus: L’Eternel est vivant, lui qui a fait monter du pays d’Egypte les enfants d’Israël! Mais on dira: L’Eternel est vivant, lui qui a fait monter les enfants d’Israël du pays du septentrion et de tous les pays où il les avait chassés! Je les ramènerai dans leur pays, que j’avais donné à leurs pères.»

Cette prophétie est également rappelée en Jérémie 23:7, 8.

La préservation miraculeuse dont bénéficièrent à la fois la race, le peuple, la nation et le pays d’Israël, selon ce que Dieu avait annoncé par la bouche des prophètes, est remarquable. Quelques-unes de ces prophéties ont été proclamées il y a plus de 2500 ans: «Voici, je les ramène du pays du septentrion, je les rassemble des extrémités de la terre... C’est une grande multitude, qui revient ici.» Jérémie 31:8.

«Je vous retirerai d’entre les nations, je vous rassemblerai de tous les pays, et je vous ramènerai dans votre pays.» Ezéchiel 36:24.

«Des boiteux je ferai un reste, de ceux qui étaient chassés une nation puissante; et l’Eternel régnera sur eux, à la montagne de Sion, dès lors et pour toujours.» Michée 4:7.

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Voir chapitre 23, note 11.

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«En ce temps-là, je vous ramènerai; en ce temps-là, je vous rassemblerai; car je ferai de vous un sujet de gloire et de louange parmi tous les peuples de la terre, quand je ramènerai vos captifs sous vos yeux, dit l’Eternel» Sophonie 3:20.

Ces quelques textes suffisent à déterminer l’époque de ce Retour, les lieux d’où reviennent les enfants d’Israël et vers quel pays ils se dirigent.

Fait également prodigieux: Israël retrouve en même temps sa langue maternelle, véritable ciment qui unit le peuple après sa longue dispersion dans des pays étrangers.

De plus, avec la résurrection nationale, Israël occupe une grande partie de son territoire, et même sa capitale: Jérusalem. Israël n’a d’ailleurs pas attendu la libération de l’ancienne ville pour décréter que Jérusalem serait la capitale de son Etat moderne et souverain.

En effet, dès le 13 décembre 1949, il procéda à l’installation du Parlement et des principaux ministères qui se trouvaient auparavant à Tel-Aviv et, dès le 23 janvier 1950, il proclama Jérusalem capitale du nouvel Etat.

Comment ne pas reconnaître, dans cette succession d’événements, l’intervention divine? Ces événements ont aussi contribué à réveiller les Juifs de la Diaspora désireux de coopérer non seulement par un appui moral ou financier, mais surtout en s’intégrant dans la vie même du pays.

Cela est déjà une réalité pour plus de trois millions d’entre eux vivant actuellement en Israël. Ce que nous allons essayer de souligner et de développer n’est ni plus ni moins qu’un des plus grands miracles de l’histoire des peuples, et nous croyons que Dieu, le Dieu d’Israël, en est seul l’Auteur. Esaïe 41:20. * Le plus grand réveil de notre temps est en marche; ne manquons pas de demander à Dieu qu’il se poursuive jusqu’à sa parfaite et complète réalisation pour la gloire de son nom, à la fois sur Israël et sur la terre tout entière.

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13 Race d’Israël, son serviteur, Enfants de Jacob, ses élus!

14 L’Eternel est notre Dieu; Ses jugements s’exercent sur toute la terre.

15 Rappelez-vous à toujours son alliance, Ses promesses pour mille générations, 16 L’alliance qu’il a traitée avec Abraham, Et le serment qu’il a fait à Isaac; 17 Il l’a érigée pour Jacob en loi, Pour Israël en alliance éternelle, 18 Disant: Je te donnerai le pays de Canaan Comme l’héritage qui vous est échu.

19 Ils étaient alors peu nombreux, Très peu nombreux, et étrangers dans le pays, 20 Et ils allaient d’une nation à l’autre Et d’un royaume vers un autre peuple; 21 Mais il ne permit à personne de les opprimer, Et il châtia des rois à cause d’eux: 22 Ne touchez pas à mes oints, Et ne faites pas de mal à mes prophètes!

23 Chantez à l’Eternel, vous tous habitants de la terre!

Annoncez de jour en jour son salut; 24 Racontez parmi les nations sa gloire, Parmi tous les peuples ses merveilles!

25 Car l’Eternel est grand et très digne de louange, Il est redoutable par-dessus tous les dieux; 26 Car tous les dieux des peuples sont des idoles, Et l’Eternel a fait les cieux.

27 La majesté et la splendeur sont devant sa face, La force et la joie sont dans sa demeure.

1 Chroniques 16.13-27 [Louis Segond]

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