Savoir aimer (extrait)

PAR LES RÉALISATEURS DE FIREPROOF

SAV IR AIMER

STEPHEN ET ALEX KENDRICK

STEPHEN & ALEX KENDRICK

AVEC LAWRENCE KIMBROUGH

SAVOIR AIMER

LE DÉFI DU COUPLE

Titre original en anglais: The Love Dare, Stephen & Alex Kendrick

With Lawrence Kimbrough

Copyright © 2008 by Stephen Kendrick & Alex Kendrick

Published by B & H Publishing Group

Nashville, Tennessee, USA

www.BHPublishingGroup.com

French edition © 2009 Ourania

Les textes bibliques sont tirés de la version Segond 21

Traduction: Sabine Bastin

© et édition: Ourania, 2009

4e édition 2023

CP 31, CH-1032 Romanel-sur-Lausanne

info@ourania.ch

www.ourania.info

ISBN 978-2-940335-39-8

Imprimé en France par Sepec numérique

AVERTISSEMENT

Ce voyage en quarante étapes ne peut pas être pris à la légère. Il s’agit d’un défi qui se présente comme un processus ambitieux et souvent ardu, mais extrêmement gratifiant. Pour le relever, vous devrez faire preuve d’une grande détermination.

Ce défi doit être considéré dans son ensemble; ceux qui se contenteraient d’essayer juste quelques étapes ou d’y renoncer avant terme se priveraient de ses plus grands bénéfices. Si vous décidez de vous engager une étape à la fois sur ce parcours qui en compte quarante, les fruits que vous en tirerez pourraient bien changer magnifiquement votre vie et votre mariage.

Ce défi, d’autres l’ont relevé avant vous, et ils en ont récolté des fruits merveilleux.

Il vous est lancé…

CE QUE DISENT LES É CRITURES

Selon la Bible, le mariage tel qu’il a été conçu et institué par Dieu est une bonne chose, un don merveilleux et inestimable. Dieu donne le mariage pour nous aider à vaincre la solitude, multiplier notre efficacité, créer des familles, élever des enfants, jouir de la vie et nous bénir dans l’intimité relationnelle.

Au-delà de ces aspects, le mariage nous montre aussi notre besoin de grandir et de nous attaquer à nos problèmes personnels et à notre égocentrisme, avec l’aide d’un partenaire pour la vie. Si nous acceptons de nous plier à son école, le mariage nous enseignera la chose la plus importante de la vie: aimer. Cette union puissante trace une voie devant nous pour nous apprendre comment aimer inconditionnellement un autre être imparfait tout comme nous. C’est tout simplement merveilleux. C’est difficile aussi. Le mariage transforme la vie.

Ce livre parle d’amour. Il vous invite à apprendre et à oser mener une vie remplie de relations empreintes d’amour, et ce parcours commence par la personne la plus proche de vous: votre conjoint. Que Dieu vous bénisse alors que vous vous lancez dans cette aventure.

Soyez toutefois certain qu’il vous faudra du courage. Si vous relevez ce défi, vous devrez renoncer au principe à la mode consistant à suivre son cœur et plutôt choisir de le diriger. La société nous pousse à écouter notre cœur, mais si nous ne le dirigeons pas, quelqu’un ou quelque chose d’autre le dirigera. La Bible dit que «le cœur est tortueux plus que tout» (Jérémie 17.9) et, par nature, il suit toujours les émotions du moment.

Ce livre vous met donc au défi de penser différemment. Choisissez plutôt de diriger votre cœur vers ce qui est préférable pour vous à long terme. Cette décision revêt une importance cruciale pour connaître des relations durables et épanouissantes.

Le voyage auquel vous convie ce livre ne vise pas à changer votre conjoint pour le rendre conforme à vos désirs. Vous avez probablement déjà constaté que tous les efforts pour changer votre mari ou votre femme se soldent par l’échec et la frustration. Ce parcours consiste plutôt à explorer et à manifester un amour authentique, même si vous n’en éprouvez plus ni le désir ni la motivation. La vérité, c’est que l’amour est une décision et pas seulement un sentiment. L’amour est désintéressé, il se sacrifie et il transforme. Et quand l’amour est vraiment manifesté en vertu du but pour lequel il a été créé, votre relation conjugale est davantage susceptible d’évoluer pour le mieux.

Chacune des quarante étapes qui composent ce voyage comporte trois éléments très importants.

Premièrement, nous aborderons un aspect particulier de l’amour. Lisez chacun de ces aspects attentivement et préparezvous à revoir complètement votre façon d’envisager ce que signifie aimer sincèrement et de façon authentique une personne.

Deuxièmement, nous vous donnerons pour chaque étape un défi précis envers votre conjoint. Certains défis seront faciles, d’autres très ambitieux. Relevez chacun d’eux avec sérieux et faites preuve d’une créativité et d’un courage suffisants pour les aborder. Ne soyez pas découragé si des circonstances extérieures vous empêchent d’accomplir un défi spécifique. Revenez-y dès que possible puis poursuivez le cours du voyage.

Troisièmement, un espace est prévu pour vous permettre au fil des étapes de tenir le journal de vos découvertes, de vos défis et des réactions de votre conjoint. Il est important que vous saisissiez l’occasion de mettre par écrit ce qui se passe entre vous et votre

conjoint, de noter ce qui a trait à l’évolution de votre relation. Ces notes retraceront vos progrès et devraient s’avérer inestimables pour vous à l’avenir.

Souvenez-vous que vous avez la responsabilité de protéger et de guider votre cœur. Ne renoncez pas et ne soyez pas découragé. Décidez de diriger votre cœur et de tenir bon jusqu’au bout. Apprendre à aimer véritablement est l’une des choses les plus importantes que vous puissiez accomplir dans la vie.

Maintenant donc ces trois choses restent: la foi, l’espérance, l’amour; mais la plus grande des trois, c’est l’amour.

(1 Corinthiens 13.13)

Si je parle les langues des hommes, et même celles des anges, mais que je n’ai pas l’amour, je suis un cuivre qui résonne ou une cymbale qui retentit. Si j’ai le don de prophétie, la compréhension de tous les mystères et toute la connaissance, si j’ai même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, mais que je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. Et si je distribue tous mes biens aux pauvres, si même je livre mon corps aux flammes, mais que je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien.

(1 Corinthiens 13.1-3)

1

L’AMOUR EST PATIENT

En toute humilité et douceur, avec patience, supportez-vous les uns les autres dans l’amour.

Ephésiens 4.2

amour fait des merveilles. C’est la source de motivation la plus puissante dans la vie. L’amour a une profondeur et un sens bien plus grands que ne le pensent généralement la plupart des gens. L’amour fait toujours ce qu’il y a de meilleur pour les autres et il peut nous donner la capacité d’affronter les problèmes les plus graves. Nous venons au monde avec une soif d’amour que nous éprouverons toute notre vie. Notre cœur en a besoin aussi désespérément que nos poumons ont besoin d’oxygène. L’amour change nos motivations et le but de notre vie. Il donne du sens à nos relations avec les autres. Aucun mariage ne peut réussir sans l’amour.

L’amour est fondé sur deux piliers qui définissent parfaitement sa nature: la patience et la bonté. Toutes les autres caractéristiques de l’amour découlent de ces deux attributs. C’est donc par là que débutera notre défi, en commençant par la patience.

L’amour nous motive à devenir une personne patiente, à cultiver la patience. Lorsque nous choisissons d’être patients, nous réagissons de façon positive au milieu de situations négatives. Nous choisissons de ne pas nous emporter, de nous montrer

lents à la colère. Nous décidons de ne pas répondre à l’emportepièce, en étant irascibles. Au lieu de laisser place à l’agitation, l’insatisfaction et la frustration, l’amour nous aide à nous calmer, à manifester de la bonté et à offrir de la clémence envers notre entourage. La patience apporte le calme intérieur même au milieu d’une tempête extérieure.

Personne n’aime être en présence d’une personne impatiente. L’impatience provoque en nous des réactions excessives et nous pousse à agir de façon colérique et insensée, ce qui est toujours regrettable. Le comble de la colère déclenchée par une mauvaise attitude est qu’elle engendre à son tour de nouveaux désordres, de nouvelles mauvaises réactions. La colère ne contribue pratiquement jamais à améliorer la situation. Au contraire, elle produit généralement de nouveaux problèmes. La patience, par contre, arrête les conflits sur leur lancée.

La patience nous pousse à marquer un temps d’arrêt, à prendre quelque distance. Elle nous invite à prendre une profonde inspiration. Elle détend l’atmosphère. Elle nous évite de tomber dans le piège fou qui consiste à décocher des flèches empoisonnées tout autour de nous. Au lieu de laisser nos émotions nous contrôler, nous devons choisir consciemment de les maîtriser et de nous montrer circonspects et réservés plutôt que de rendre le mal pour le mal.

Si votre conjoint vous blesse, êtes-vous prompt à lui rendre la pareille ou restez-vous maître de vos émotions? Pensez-vous que la colère est votre point faible émotionnel lorsque vous êtes traité injustement? Si c’est le cas, vous propagez probablement du poison au lieu d’un remède.

La colère est souvent le résultat d’une frustration mêlée de déception et de chagrin lorsqu’un désir très fort n’est pas satisfait. Nous n’obtenons pas ce que nous voulons et nous nous énervons peu à peu, jusqu’à bouillir à l’intérieur. Cette réaction émotionnelle est souvent alimentée par notre propre égoïsme, notre stupidité ou nos mauvaises intentions. En revanche, la patience nous rend sages,

avisés. Elle ne pousse pas à juger à la hâte, mais elle nous encourage à écouter l’autre. Alors que la colère est prête à exploser, la patience, elle, s’interpose et attend d’avoir tous les éléments en main avant de se prononcer sur la situation. La Bible dit: «Celui qui est lent à la colère fait preuve d’une grande intelligence, tandis que celui qui s’énerve facilement proclame sa folie» (Proverbes 14.29).

S’il est certain que l’impatience transforme un foyer en champ de bataille, la pratique de la patience engendre la paix et le calme. «Un homme violent pousse au conflit, tandis que celui qui est lent à la colère apaise les disputes» (Proverbes 15.18). Des affirmations telles que celles-ci, extraites du livre des Proverbes dans la Bible, sont des principes clairs d’une portée éternelle. La patience est là où l’amour et la sagesse se rencontrent. Chaque mariage a besoin de cette combinaison pour rester viable et en bonne santé.

La patience nous aide à permettre à notre conjoint de se montrer humain, à être imparfait. Elle nous aide à comprendre que chacun de nous peut échouer. Si notre conjoint commet une erreur, la patience nous donne de choisir de lui accorder plus de temps qu’il n’en mérite pour y remédier. Elle nous permet de tenir bon pendant les périodes difficiles de notre relation au lieu de quitter le navire sous la pression d’une situation critique.

Notre conjoint peut-il compter sur nous comme étant une personne patiente à ses côtés? Peut-il savoir s’il verrouille les portes de la voiture après avoir oublié les clés à l’intérieur, qu’il obtiendra notre compréhension plutôt qu’une leçon humiliante qui lui donnera l’impression d’être un(e) enfant? Peut-il savoir qu’il peut s’enthousiasmer bruyamment devant un match de foot sans pour autant avoir droit à une avalanche de récriminations sur la façon dont il devrait passer son temps? En fait, les personnes impatientes figurent parmi les personnes les plus difficiles à vivre.

Quelle serait l’atmosphère de notre foyer, si nous décidions d’appliquer cette approche biblique: «Veillez à ce que personne ne rende à autrui le mal pour le mal, mais recherchez

toujours le bien, soit entre vous, soit envers tous les hommes» (1 Thessaloniciens 5.15)?

Rares sont ceux qui pratiquent la patience de façon convenable et aucun d’entre nous ne la pratique naturellement. 1 Cependant, les hommes et les femmes les plus avisés choisissent de faire de la patience un ingrédient indispensable de leur relation conjugale. La patience est un bon point de départ pour manifester un amour véritable.

Ce défi de l’amour est un processus, un cheminement, et la première qualité que nous devons décider d’exercer est la patience. Considérons ce voyage en forme de défi comme un marathon et non comme un sprint. C’est une course qui en vaut vraiment la peine.

1 La patience fait partie du fruit de l’Esprit (Galates 5.22).

LE DÉFI DU JOUR

La première partie de ce défi est relativement simple. Bien que l’on puisse exprimer son amour de diverses manières, nos paroles reflètent souvent l’état de notre cœur. Pendant la prochaine journée, décidez résolument de manifester de la patience et de ne rien dire de négatif à votre conjoint. Si la tentation se présente, choisissez de vous taire. Mieux vaut tenir votre langue que tenir des propos que vous regretteriez.

Quelque chose est-il arrivé aujourd’hui qui a déclenché votre colère envers votre conjoint?

Avez-vous été tenté d’entretenir des pensées de désapprobation envers lui et de les exprimer à haute voix?

Que chacun soit prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère.

(Jacques 1.19)

L’AMOUR EST PLEIN DE BONTÉ

Soyez bons et pleins de compassion les uns envers les autres; pardonnez-vous réciproquement comme Dieu nous a pardonné en Christ.

Ephésiens 4.32

La bonté, c’est l’amour en action. Si la patience est la façon dont l’amour réagit pour minimiser des circonstances négatives, la bonté est la façon dont l’amour agit pour maximiser des circonstances positives. La bonté, c’est l’amour traduit en actes. La patience évite le problème; la bonté crée la bénédiction. L’une est préventive, l’autre proactive. Ces deux facettes de l’amour sont les pierres angulaires sur lesquelles s’appuient et se construisent beaucoup d’autres attributs que nous aborderons.

L’amour nous rend bons, et la bonté nous rend aimables. Lorsque nous agissons avec bonté, les autres apprécient notre compagnie. Ils voient en nous une personne remplie de bonté envers eux et qui leur fait du bien.

La Bible souligne l’importance de la bonté: «Que la bonté et la vérité ne t’abandonnent pas: attache-les à ton cou, écris-les sur la table de ton cœur. Tu trouveras ainsi grâce et bon sens aux yeux de Dieu et des hommes» (Proverbes 3.3-4). Ceux qui manifestent cette

bonté trouvent grâce partout où ils vont, à l’extérieur comme à l’intérieur de leur foyer.

Cependant la bonté peut paraître une notion un peu floue lorsqu’on essaie de la définir plutôt que de la mettre en pratique. Nous pouvons toutefois la scinder en quatre éléments de base.

La douceur. Si notre attitude est dictée par la bonté, nous veillons à la façon dont nous traitons notre conjoint, n’étant jamais inutilement durs. Nous nous montrons sensibles, tendres. Même si nous devons transmettre un message difficile ou dur, nous nous efforçons de le faire avec une certaine retenue, de telle sorte qu’il soit le plus facile possible à entendre. Nous exprimons la vérité dans l’amour.

La serviabilité. Agir avec bonté implique que nous désirons satisfaire aux besoins du moment. S’il s’agit d’entretien de la maison, nous nous y attelons. S’il s’agit de prêter une oreille attentive, nous l’accordons. La bonté pare la femme de la capacité de servir son mari sans s’inquiéter de ses propres droits et de les revendiquer. La bonté encourage un mari à être curieux de découvrir les besoins de son épouse et le motive ensuite à agir pour s’assurer qu’ils sont satisfaits, même si les siens sont mis temporairement de côté.

La bonne volonté. La bonté nous inspire à être agréables. Au lieu d’être obstinés, réticents ou entêtés, nous coopérons, nous nous montrons flexibles. Plutôt que de nous plaindre et trouver des prétextes, nous cherchons le moyen de trouver des compromis et des arrangements. Par sa bonté, un mari met fin à des milliers de disputes potentielles en manifestant d’abord sa volonté d’écouter au lieu de vouloir imposer sa vision.

L’initiative. La bonté nous pousse à anticiper les choses et à faire le premier pas. Elle ne nous laisse pas inactifs et assis dans l’attente

d’être sollicités ou poussés à nous lever du canapé... Le conjoint qui exerce la bonté est celui qui salue et accueille le premier, qui sourit le premier, qui sert le premier et qui pardonne le premier. Il ne demande pas que l’autre se reprenne ou agisse convenablement pour lui manifester son amour. Lorsque nous agissons avec bonté, nous discernons le besoin et nous passons le premier à l’action.

Dans la Bible, au chapitre 10 de l’Evangile de Luc, Jésus décrit de façon éloquente la bonté de l’amour véritable dans sa parabole du bon Samaritain. Un Juif agressé par des brigands est laissé pour mort sur un chemin isolé. Deux chefs religieux, respectés parmi le peuple, voient cet homme et passent leur chemin sans s’arrêter, trop pressés et tout importants qu’ils sont; ils ne souhaitent pas se salir les mains. Puis, un homme ordinaire, originaire d’un peuple détesté, les Samaritains (dont l’aversion envers les Juifs est à la fois amère et réciproque), voit cet étranger à terre, dans le besoin et s’en émeut de compassion. Il franchit alors toutes les barrières culturelles au point d’en risquer le ridicule: il s’arrête et décide de venir en aide à cet homme sérieusement blessé. Il le soigne, panse ses plaies, le hisse sur son âne et l’amène en lieu sûr en prenant à sa charge tous les frais liés aux soins.

Là où des années de racisme ont provoqué heurts et divisions, un seul acte de bonté rapproche deux ennemis. Avec gentillesse, douceur, serviabilité, empressement, initiative, cet homme manifeste à tous égards envers ce blessé une bonté véritable.

La bonté n’est-elle pas l’un des ingrédients clés qui vous a attiré vers notre conjoint au début de la relation et réciproquement? Lorsque vous l’avez épousé, ne vous attendiez-vous pas à être l’objet de sa bonté pendant le reste de votre vie? Votre conjoint n’éprouve-t-il pas la même chose à votre égard? Même

si les années peuvent émousser ce désir, le bonheur conjugal reste lié au niveau de bonté exprimé chaque jour par chacun des conjoints.

La Bible donne la description d’une femme bénie et louée par son mari et ses enfants. Parmi ses nobles qualités figurent celles-ci: «Elle ouvre la bouche avec sagesse et un enseignement plein de bonté est sur sa langue» (Proverbes 31.26). Qu’en est-il de nous? Mon conjoint dirait-il que je me montre généralement bon et gentil? Faisons-nous preuve de dureté? Suis-je doux et serviable? Attendons-nous d’être sollicités ou prenons-nous l’initiative d’aider? N’attendons pas que notre conjoint fasse preuve de bonté le premier. Il est difficile de manifester de l’amour quand nous ne ressentons que peu de motivations, voire pas du tout. Mais l’amour, dans son sens le plus vrai, n’est pas fondé sur les sentiments. En fait, l’amour décide d’accomplir des actions réfléchies et appropriées même en l’absence de gratification apparente ou de récompense. Nous n’apprendrons jamais à aimer si nous n’apprenons pas d’abord à exercer la bonté.

STEPHEN ET ALEX KENDRICK

SAV IR AIMER

Voici le livre qui donnera un nouveau souffle à votre couple!

L’amour toujours… aimer pour la vie…

Facile à dire, moins facile à mettre en pratique au quotidien, quand la routine s’installe, que les conflits surgissent!

La vie de couple met souvent à mal les attentes romantiques du début. Mais – telle est la conviction des auteurs – ce n’est pas une fatalité. Même lorsque tout semble avoir été essayé, l’amour n’a pas dit son dernier mot…

Comme ils l’écrivent: «La seule façon d’aimer toute la vie est d’aimer inconditionnellement. En réalité, l’amour n’est pas déterminé par l’être qui est aimé, mais par celui ou celle qui choisit de l’aimer.»

N’abandonnez pas! Osez relever le défi de l’amour!

Producteurs, cofondateurs de la firme cinématographique Sherwood Pictures, scénaristes (acteur même pour Alex), maris, pères de famille et pasteurs: voilà, sommairement brossé, le portrait des frères Stephen et Alex Kendrick. Un mélange explosif pour un livre marquant.

CHF 24.90 / 20.90 €

ISBN 978-2-940335-39-8