SOMMAIRE Sommaire…………………….………………… p. 1 Éditorial…………………………………….…… p. 1 Un aperçu historico-religieux de la fête de Noël à sa description sommaire au Cameroun…………………………………….... p. 2 Espoir et Espérance……………..………... p. 3
Nos activités communautaires………… p. 4 La Famille Africaine………………..……….. p. 6 Proverbes africains…………………………. p. 7 Tourisme au Cameroun…………………… p. 8 Humour et jeux ……………………………… p. 10
Chers amis, Nous nous approchons de vous en ce temps de Noël, temps qu’a beaucoup de significations pour nous. On a commencé par fêter l’Immaculée, en rappelant la dernière messe que le P. Manyanet a célébrée. Après notre grande fête, Saint Joseph Manyanet, nous continuons avec Noël et la fête de la Sainte Famille. On peut dire que le mois de décembre c’est le mois de la Congrégation et nous voulons vivre profondément tous les moments qui nous approchent de Nazareth. C’est là-bas qu’on se trouvera, aux pieds de Jésus, Marie et Joseph, en faisant compagnie au Père Manyanet et à tous nos frères. Joyeux Noël, Bonne entrée d’année et que la Sainte Famille nous bénisse.
P. José María, SF *******
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« Au ciel les étoiles par milliers car, l’enfant Jésus est arrivé » C’est à la suite de ces propos ô combien émouvants que nous voulons introduire cette étude. De ceci il va sans dire que Noël est une fête importante pour l’homme. Face à tout ceci, nous pouvons nous interroger : qu’est-ce que Noël ? Comment la célèbre-t-on au sens liturgique du terme ? Comment le citoyen camerounais l’intériorise ? Mais avant d’y arriver essayons de faire l’historique. Au sujet de l’historique, nous pouvons dire que la naissance du Christ est salvifique pour l’humanité car celle-ci s’ombrait dans l’obscurantisme. La venue du Christ est donc signe de lumière pour l’humanité. Cette lumière a une connotation particulière avec une mythologie qui attribuait à une divinité le qualificatif de lumière. C’est donc dire que le 25 décembre était consacrée à une fête païenne notamment la fête du dieu lumière. En lien avec cela et vu que le Christ « Lumière du monde » (Jean 8, 12) est venu pour le salut de toute l’humanité, l’Eglise a donc trouvé nécessaire de se l’approprier. C’est dans cette suite logique qu’au VIe siècle la première célébration eu lieu à l’église Sainte Marie Majeure à Rome pendant la nuit du 25 décembre. Cette célébration marque la manifestation du Christ sauveur sur la terre « Dieu s’est fait homme en Jésus Christ et s’est abaissé jusqu’à nous ». A fin de la rendre plus attrayante et plus parlante, Saint François d’Assise va créer en 1223, l’une des premières crèches. Cette tradition de crèche va se perpétuer dans les familles. Cette crèche est d’une importance capitale en ce sens où elle est une occasion pour tout chrétien de se recueillir, mais aussi de prier en famille. A la suite de ceci, que dire au sujet de Noël vécu à proprement parlé dans le cadre de la liturgie ? La liturgie est comprise comme la commémoration du mystère de la vie du Christ et principalement le mystère pascal. La liturgie met en exergue la présence effective du Christ au sein de son peuple. Laquelle présence visible tire sa source de l’incarnation. Cette naissance semble être la plus ignoble en ce sens où le Christ nait dans les conditions les plus déplorable qui puissent exister : dans une étable. Il aura donc pour berceau la mangeoire. A travers cette situation nous pouvons décrire la personne Christ : pauvre, simple, humble qui vient à notre rencontre. Le Messie voudrait une fois de plus nous interpeller en ce sens où il est venu non pas pour les biens portants, mais les malades. Au point de vue liturgique cette sainte célébration commence par la sainte veillée. Pendant cette célébration les ministres de la liturgie revêtent le blanc signe de pureté et de joie. Cette joie se veut manifeste avec l’exécution du gloria
« Gloria in excelsis Deo » en souvenir de la sainte nuit où les anges exaltaient la naissance du sauveur. Afin de mieux vivre cette fête prenons à cœur les propos suivants du Pape François : « En cette sainte nuit, tandis que nous contemplons l’Enfant Jésus qui vient de naître et d’être déposé dans une mangeoire, nous sommes invités à réfléchir. Comment accueillons-nous la tendresse de Dieu ? Est-ce que je me laisse rejoindre par lui, est-ce que je me laisse embrasser, ou bien estce que je l’empêche de s’approcher ? ‘‘Mais je cherche le Seigneur’’ – pourrions-nous rétorquer. Toutefois, la chose la plus importante n’est pas de le chercher, mais plutôt de faire en sorte que ce soit lui qui me trouve et qui me caresse avec amour. Voici la question que nous pose l’Enfant par sa seule présence : est-ce que je permets à Dieu de m’aimer ? A la suite de tout ceci, comment les camerounais conçoivent-ils cette fête ? Le Cameroun ne demeure pas en reste quant aux festivités de la Noëlle. Cette importance accordée à cette fête chrétienne s’observe dans la cité camerounaise à travers la fermeture des bureaux : c’est un jour férié. Dans les familles en plus des crèches et des sapins décorés, l’attention est aussi portée vers les enfants car, selon les adultes « cette fête est beaucoup plus pour les tout-petits. » Ces derniers reçoivent de leurs parents nombreux présents. Ce jour généralement c’est la fête en famille en ce sens où le repas se prend ensemble. En plus de cela les voisins même les musulmans sont invités pour partager le repas ; c’est donc tout cet ensemble qui constitue la famille. C’est d’une quelconque manière le vécue même de l’idéale voulu par saint Joseph Manyanet « dans chaque foyer un Nazareth ». Ce partage marque d’une quelconque manière la solidarité africaine où la famille est élargie. Cette solidarité va de pair avec l’idéal de Saint Guido Maria CONFORTI qui est celui « de faire du monde une seule famille. » Faisant un tour dans la cité camerounaise, nous assistons à de nombreuses décorations de part et d’autre, les carrefours sont embellis bref les artères des différentes villes sont éblouies par les jeux de lumière accompagnés de certains messages telle que joyeux noël. Au demeurant, nous pouvons dire de façon générale que la fête de Noël non loin d’être une célébration statique au sujet de son jour (25 décembre) doit être un moment primordial pour le chrétien de faire une rencontre personnelle avec le Christ. Cette rencontre ne doit pas se limiter seulement à la Noëlle mais doit se faire au quotidien. Puissions-nous quotidiennement nous approcher du Christ le cœur vide de nos différents maux afin d’en être comblé par le doux Jésus. Dès lors nous pouvons comme les anges rendre gloire à Dieu dignement parce qu’il est bon, il est fidèle, il est miséricordieux. JOYEUX NOËL ; BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2018
Éric TCHUENTE *******
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L’espoir et l’espérance sont deux mots qui prêtent à confusion, ce qui nous amène généralement à
projection personnelle et cognitive libre vers un avenir potentiel, qui ne peut exister que pour s’épanouir. Cependant, l’acte de l’espérance ne peut être
les placer au même pied
voulu
d’égalité.
comme donné
L’espoir est le fait
que
par
Dieu, sous la
d’attendre
forme de la
quelque chose avec confiance ; alors que l’espérance est
grâce qui la
une vertu théologale et vise le bien divin. L’espoir repose
fera mériter ;
sur la confiance à agir, il est un sentiment éphémère, il est
la béatitude
nécessaire à l’homme afin qu’il surmonte les épreuves
est
d’espérer,
donc
l’objet de l’espérance mais en tant que « Don de Dieu ».
que la vie lui impose. L’espoir a donc une dimension humaine, relatif à son existence matérielle, émotionnelle, intellectuelle. Quant à l’espérance, elle est d’ordre religieuse, il s’agit ici d’espérer
la
réalisation
des
promesses
divines ;
elle est plus profonde que l’espoir, et plus ancrée et constante car
non
lié
aux
évènements immédiats. L’objet de l’espérance est le Christ lui-même, car les chrétiens espèrent le salut. L’espoir est une passion, car centré sur une personne, et est le principe moteur de la perfectibilité illimité de l’homme. L’espoir a une philosophie que se place sous le signe d’une herméneutique du temps et qui fonde l’ontologie du devenir et du changement ; c’est une
Michel-Kevin ETCHIKE * * * * * * ** * * * * * *
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Présente au Cameroun il y a trois ans, la congrégation des Fils de la Sainte Famille Jésus, Marie et Joseph s’est officiellement assise en accueillant les jeunes dont l’objectif est de se consacrer à la VIE RELIGIEUSE en vivant selon le charisme Manyanetien. La maison Saint Joseph Manyanet et un scolasticat en charge de la formation des étudiant tant en philosophie qu’en formation professionnelle elle compte en son sein onze membres soit deux pères et neuf formés, tous comme une famille et à l’exemple de la Sainte Famille participent sans complexe de supériorité aux différentes activités de la maison. La rentrée dans la communauté pour le compte de l’année 2017-2018 eu lieu le dimanche 27 Aout 2017 du fait que certains devaient commencer les études de la langue espagnole le lendemain. En voici quelques-unes : L’organisation des tâches est faite de façon objective et déterminante favorisant ainsi la formation aussi au plan humain, social et spirituel. En prélude nous avons les rencontres communautaires qui se tiennent chaque semaine en vue de favoriser la bonne marche de la maison et des activités à travers une évaluation critique et constructive. Au second plan se situent les tâchent et responsabilités telles que : -
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Les Jardiniers qui assurent le maintien de l’espace vert et aussi veillent au maintien des véhiculent en bon état et propreté. Les Domund chargés des biens matériels et du maintien de la maison afin de refacturer en cas de panne. Les Coordonnateurs du groupe MANYANET SOLIDAIRE, qui est une organisation non gouvernementale dont la mission consiste à porter aux enfants dont la vie familiale est difficile
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et que les parents ne peuvent pas de leurs propres forces souvenirs à tous les besoins des siens voire s’acquitter des frais de scolarités des enfants. Pour une première à Yaoundé, le groupe s’exerce dans la paroisse Saint Vincent PALLOTI de Nlongkak où près de cent cinquante jeunes sont pris en charge. Les Sacristains qui en plus de la sacristie veillent à ce que soit bien fait la liturgie et des heures et aussi de la messe. Les Intendants assurent la gestion globale de la maison en assurent le ravitaillement général. Pour grandir il faut faire connaître la congrégation à l’extérieur en valorisant son charisme. Voilà pourquoi le groupe en charge de la vocation se joint chaque mois au Matinées Vocationnelles (MAVO) afin de se former pour bien former. Les activités pastorales sont menées tous les mercredi après-midi à travers la catéchèse dispensée au collège de la Retraite pars tous et aussi très bientôt à l’école Saint Joseph par les étudiants de l’ENIEG. En plus du collège, nous menons les activités dans deux paroisses où nous participons activement aux messes de 9 heures et de 11 heures célébrées par nos pères. Au programme, figure la catéchèse à la paroisse SAINTE THERESE DE L’ENFANT JESUS de SIMBOK effectuée par un groupe d’aspirants constitué de : Éric, Charles, Firmin, Michel et Valentin ; ils sont accompagnés par le père Emilio BERBEL, formateur. Le second groupe dirigé par le père José Maria, supérieur de la communauté, constituée de : Edmond, Louis Fabrice, Christian et Theodore, s’exerce dans la paroisse SAINT ESPRIT D’ABOBO par l’accompagnement des jeunes dans les groupes et mouvements. Dans le but de rendre agréable nos liturgies, nous participons à la chorale au FOYER LA SOURCE tous les mercredi soir pour une classe de chant bien faite, dirigée par un maestro de qualité.
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C’est ainsi que nous pouvons parler de la vie dans la communauté des fils de la Sainte Famille, Jésus, Marie et Joseph formant la communauté du Cameroun.
Fête de Saint Joseph Manyanet à Nkozoa
Journée vocationnelle à l’Institut Pallotti, Nkolbisson
Fête de Saint Joseph Manyanet, prestation de la chorale à Mvolyé
Fête de Saint Joseph Manyanet, prestation de la chorale à Mvolyé
Photo de famille avec la mère générale Montserrat Del Pozo, aux vœux perpétuels de trois sœurs Missionnaires Filles de la Sainte Famille de Nazareth
Match de football contre les Claretains
Edmond NDZENDA
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parole
dans
la
D’emblée, la notion de la famille est en soi extensive,
communauté et dans les
et ses caractéristiques diffèrent légèrement d’un milieu et d’une
évènements tels que la
époque à l’autre. Toutefois, il ne saurait avoir une réflexion sur
dot, le deuil etc. Outres
la famille qui ne passe par une réflexion concomitante sur le
aspects et caractéristiques
mariage, étant donné que les deux réalités sont connexes. Ainsi,
dominantes de la famille
c’est le mariage traditionnel ou mieux coutumier qui fondait
africaine est les usages
l’union familiale traditionnelle africaine.
fidèles
En Afrique, la famille comme partout d’ailleurs est une institution fondée sur la parenté et le lien marital, sa structure voire sa forme originale et authentique
est
élargie,
patrilinéaire
jusqu’à
et
le
recours
fondamentaux aux rites, initiations, festives, traditions et cultures. La famille africaine en général permettait le mariage entre les individus du même village, clan ou famille et celle
la
égyptienne royale en particulier permettait le mariage entre
tendance à être patriarcale,
membre de famille immédiate pour garder la royauté. La famille
car elle inclut les grands-
traditionnelle africaine était aussi marquée par le lévirat.
parents, les oncles, tantes,
Jusqu’alors l’africain trace toujours son lignage de ses aïeuls : les
cousins
les
ancêtres. Et l’enfant qui naît est chéri de tous, ce qui justifie le
serviteurs, et même leurs enfants comme chez les Baganda en
proverbe Gikuyu qu’une fois l’enfant naît, il n’est l’enfant du
et
tantôt
Ouganda. Ce lien dans la société traditionnelle précoloniale
noyau
familial
regroupait aussi les gens familiaux et familiers mais naguère,
seulement,
elle est composée de nombreuses personnes issues de liaison
tous les membres de la
des relations sanguines et de polygamie. C’est le premier socle
communauté. Bref, la
sur lequel se base la société africaine, d’autant qu’elle est la
famille africaine est une
première école des valeurs ayant une place prépondérante pour
communauté de vie et
l’Africaine et son éducation souvent sous « l’arbre à palabre »,
de fraternité où l’africain doit son plein enracinement et
sa socialisation et son intégration de base fondée sur
épanouissement originel.
mais
« Ubuntu » qui met en exergue l’interdépendance et la
Un regard kaléidoscopique sur la famille africaine
solidarité fraternelle (africaine) d’où l’un de fondement de la
aujourd’hui expose sa difficulté et la recherche d’une
philosophie africaine : « nous sommes, donc je suis ».
justesse et harmonie entre ses trois formes de mariages : le
Dans la famille traditionnelle africaine, le chef de famille est
mariage coutumier, religieux et judiciaire, et face aux
le gardien de la tradition et celui qui détient le « Ofo » : objet et
mutations socio-culturelles et l’influence de la civilisation
symbole sacré chez les Igbo au Nigéria, et cette position ou
contemporaine, qui remettent en cause des valeurs
privilège selon la tradition revient au plus âgé et surtout le
familiales traditionnelles africaines. Que peut-on espérer ?
premier fils qui a aussi le devoir d’assurer l’harmonie et la
Puisse la Sainte Famille continuer à inspirer et à
discipline dans toute la famille. Ce dernier est muni d’une
protéger nos familles pour qu’elles ne cessent de refléter
certaine autorité ; chez les Beti, les Bamiléké, les Haoussas-
l’image de la Famille Nazaréenne.
Foulanis, les Zulu et d’autres ethnies africaines, il est le porte-
de
Loué soit la Sainte Famille : JESUS, MARIE ET JOSEPH. CHARLES OKOROIGBO
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6)
« Le proverbe est une figure de style, une mine d’or pour convaincre, conseiller et éduquer. Il fait partie de la litote et de la civilisation orale. Il est aussi une pensée qui a une expérience et un poids millénaires ; la pensée du vieillard qui inocule la sagesse, l’intelligence et le génie. Le proverbe est comme une luciole qui éclaire les humains. Il faut le décoder pour découvrir le sens de ce mot de passe. » Voici quelques proverbes : 1)
« Dee hanŋa fummu , jƐsƐ ga no a kam » (Dendi du Bénin)
Trad. Français : Si l’oreille pourrit, elle tombe sur l’épaule. Explication : les conséquences touchent tout le monde dans l’ordre normal des choses. 2)
« Odo ti o ba gbe igi ni ubulubu, ko ni fi ara rere ṣan » (Yoruba du Nigéria)
Trad. Français : Un cours d’eau qui transporte un tronc d’arbre à contre-courant ne pourra pas bien couler. Explication : en cherchant à faire du mal à autrui, on se fait aussi du mal indirectement. 3)
« Man amawubi a fitom fi seŋi » (Bafia du
Cameroun) Trad. Français : L’enfant ne meurt jamais là où ses pères l’ont envoyé. Explication : on doit obéissance aux parents car ils ne peuvent pas vouloir du mal à leurs enfants 4)
« Ting elé biyon bi fey afan ndzang » (Ewondo
du Cameroun) Trad. Français : Si tu te retrouves deux fois sous le même tronc d’arbre en forêt, tu es égaré.
« O baba mod mèbong à dzala wô ài mbil» (Ewondo du Cameroun)
Trad. Français : Si tu masses les genoux d'un homme, il t'exténue a la course Explication : l'ingrat combat son bienfaiteur par ses propres bienfaits. 7)
« mè alédè wo a zen à adàdàng osoê» (Ewondo du Cameroun)
Trad. Français : Si l’on t'accompagne sur le chemin, ne traverse pas la rivière. Explication : L'entraide n'oblige pas à des efforts excessifs. 8)
« Ki ba tömb bé wa lihon, öngo tomb bé nanga li mbii» (Bakoko du Cameroun)
Trad. Français : Si l’on ne cesse de te poursuivre, alors n’arrête pas la course. Explication : il ne faut jamais capituler face à l’épreuve : toujours tenir bon jusqu’au bout 9)
« Nøø gà n tora dúura yiire» (Bariba du Bénin)
Trad. Français : Si la bouche pèche, c’est le genou qui se plie. Explication : L’auteur d’une erreur n’est pas toujours celui qui demande pardon. 10)
« Ti igi ba wo lu igi, ti oke rẹ ni a kọkọ gbe» (Yoruba du Nigéria)
Trad. Français : Lorsque des arbres tombent les uns sur les autres, on commence toujours à les dégager par celui qui est au-dessus. Explication : En toute chose, il faut de la logique.
Explication : celui qui commet deux fois la même faute, c’est qu’il manque de sagesse. 5)
« öloo vi laam sig vi bièè asösön » (Bakoko du
Cameroun) Trad. Français : Tout bon bois a des fourmis Explication : il y a, en toute chose, du bon et du mauvais, des qualités et des défauts.
Firmin EYENGA *******
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Bienvenue au Cameroun !!! Le Cameroun est un pays d’Afrique situé de manière plus précise en Afrique centrale dont il est le pays plus peuplé et le plus établit dans moult domaines parmi lesquels la culture, l’économie, le tourisme etc… De l’Océan Atlantique aux confins du Lac Tchad dont il s’étend, le Cameroun a dix régions constituantes chacune d’elle une destination idoine et opportune pour des recherches, des études, du tourisme etc…
nature, les parcs et la vie sauvage. A titre illustratif, voici selon les régions quelques sites en image : •
Région de l’Adamaoua
Terre de Ngaoundéré 3e
Pays de montagnes, de pleines, de vallées et de hauts plateaux ; des climats chauds, froids et tempérés ; pays des Pygmées, des Tikhars, bref de 200 Tribus presque, le Cameroun présente en son sein une mosaïque de paysage et de cultures. Nul doute, c’est la meilleure porte d’entrée pour découvrir le continent Africain.
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En effet, la diversité tant de sa Faune, de sa Flore, de son relief, que de son climat, fait que le Cameroun représente à lui seul et de manière miniaturisée toute la richesse du continent Africain : c’est en cela qu’il mérite son titre d’« Afrique en miniature ». Cette diversité s’illustre également à travers sa population constituée des ressortissants de tous les continents et de toutes les races : C’est une véritable terre Hospitalière. Il ne serait donc nullement faux que de croire que le Cameroun est un véritable « El dorado » touristique à visiter absolument. Sans doute faudra-t-il pour les sceptiques et les curieux, apporter quelques éléments en plus de ceux sus évoqués, en guise d’apéritif à leur futur festin touristique au Cameroun. Bien avant, nécessaire est-il de préciser que l’activité touristique n’échappe pas diversité multidimensionnelle qui Caractérise le Cameroun. Ses centres d’intérêts sont : l’Architecture, les musées, la
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Chutes de Tello à Ngaoundéré
Région du centre
Monument de la Réunification à Yaoundé
Région de l’Est
Réserve de faune du Dja
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Rivière du Dja
Région de l’Extrême-Nord
Mont Rhumsiki Case Obus Mousgoum
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Région du littoral
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Région du Sud
Réserve de faune Douala-Edéa •
Région du Sud-Ouest Plage de Kribi
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Région du Nord-Ouest
Lac Barombi Mbo à Kumba •
Région du Nord
Centre touristique de Nkolandom Chutes de Mencham à Wum Autres sites touristiques
Park national de la Bénoué à Garoua •
Région de l’Ouest
Chefferie Bafou à Ménoua
Bon séjour au Cameroun !!!
Louis Fabrice *******
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Indice : suivre la direction de la flèche
Trouver le nombre de « F », si jamais il y en a !
Nous sommes désolés de vous informer que la fête de noël n'aura pas lieu cette année. Marie est fatiguée de donner naissance au même bébé chaque année ; donc elle a décidé de faire le planning familial et adopter l'espacement de naissance de 02 ans. Alors cette année elle n'accouchera donc pas !! SVP informer ceux qui se préparent pour la fête de Noël qu'elle est renvoyée pour 2020. Toutes nos excuses et merci pour votre compréhension...
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