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Peu importe les dangers et l’augmentation ponctuelle des tâches — comme récemment, le ramassage de milliers de sacs remplis de feuilles mortes —, nos travailleurs sont de véritables forces de la nature. Que nous ayons maintenu le service avec courage, sans blessures graves et sans éclosions de COVID-19, c’est un peu ce que vient souligner aussi cet EnviroLys qui nous rend tous fiers
ÉRIC DAOUST ET SON ÉQUIPE RECONNUS POUR LEURS SERVICES ESSENTIELS
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Par Guy Des Rochers
Le rassurant slogan « Ça va bien aller ! », qui a envahi l’espace public depuis le début de la pandémie, comme pour calmer l’inquiétude de la population québécoise face aux affres de la COVID-19, Éric Daoust et son équipe s’en sont emparés, tels des héros du quotidien ayant la responsabilité immense d’offrir un service essentiel. Et depuis le 13 mars 2020, c’est chaque jour mission accomplie.
La pandémie a paralysé des rouages importants de notre société, fragilisé l’économie et suscité une flambée de craintes (fondées) face à cet insidieux coronavirus.
Les premières lignes de défense de notre société se sont mises en place rapidement, les travailleurs de la santé n’hésitant pas à aller au front parce qu’ils assurent un service essentiel. À leurs côtés, une autre armée s’est levée pour éviter que tout sombre dans l’insalubrité publique : un bataillon formé d’éboueurs et de chauffeurs de camions chargés de la collecte des matières résiduelles, fiers que l’on reconnaisse dorénavant qu’ils fournissent eux aussi un service essentiel.
« Quand la pandémie a débuté, les risques de contamination à la COVID-19 par contact d’objet soulevaient beaucoup d’inquiétudes, relate Éric Daoust, directeur des opérations chez Enviro Connexions Laval. Mais même si tout cela était préoccupant, notre équipe a relevé ce défi à bras le corps et n’a jamais cessé depuis ! »
Un EnviroLys pour ces maestros de la collecte
Quand Éric Daoust parle de son équipe, c’est avec émotion et beaucoup de fierté qu’il évoque ces 145 chauffeurs, 70 éboueurs, une dizaine de superviseurs, trois répartiteurs et un superviseur en chef. « Ce sont eux, les maestros de la collecte : des éboueurs capables de courir un demi-marathon par jour et des chauffeurs précis comme des métronomes, peu importe les conditions météorologiques ! La population n’a pas idée à quel point notre équipe a fait des pieds et des mains pour assurer ce service vital ! »
Le travail magistral d’Éric Daoust et de son équipe n’a d’ailleurs pas manqué d’être remarqué par le Conseil des entreprises en technologies environnementales du Québec (CETEQ) et son directeur général, Richard Mimeau, puisqu’un prix EnviroLys leur a été décerné : le nouveau prix Reconnaissance des services essentiels. Présentée dans une formule spéciale virtuelle à cause de la pandémie, la soirée EnviroLys 2020 fut l’occasion de remettre trois prix, dont celui octroyé aux travailleurs d’Enviro Connexions. Richard Mimeau raconte : « Comme toute la société québécoise, Éric Daoust et son équipe d’Enviro Connexions ont vu leur quotidien bouleversé par la pandémie. Toutefois, à titre de travailleurs d’un secteur essentiel, ils n’ont pas hésité à risquer la contamination en accomplissant leurs tâches avec rigueur, en dépit d’une somme de travail accrue causée par une plus grande quantité de déchets générés à la maison par les citoyens en confinement ou en télétravail. Ils ont aussi été solidaires des autres travailleurs des services essentiels en organisant un impressionnant hommage, rempli d’émotions, au personnel soignant et aux employés de soutien de l’hôpital Pierre-Le Gardeur, à Terrebonne. Bravo ! »
Cet honneur, bien sûr, a rejailli sur toute la grande famille Enviro Connexions, entité canadienne composée de plusieurs districts et faisant partie de
la multinationale américaine Waste Connections, une importante société de gestion intégrée des matières résiduelles en Amérique du Nord.
« Peu importe les dangers et l’augmentation ponctuelle des tâches — comme récemment, le ramassage de milliers de sacs remplis de feuilles mortes —, nos travailleurs sont de véritables forces de la nature, confie Michel Binette, directeur principal, relations gouvernementales et développement des affaires de Waste Connections Canada. Que nous ayons maintenu le service avec courage, sans blessures graves et sans éclosions de COVID-19, c’est un peu ce que vient souligner aussi cet EnviroLys qui nous rend tous fiers. »
Et Michel Binette d’insister sur le fait qu’Enviro Connexions est dorénavant une entreprise reconnue comme offrant un service essentiel : « Lorsqu’on pense à un service essentiel de première ligne, l’engagement d’Éric Daoust et de son équipe de chauffeurs et d’éboueurs mérite d’être porté à l’attention de tous. »
PANDÉMIE OU PAS ENVIRO CONNEXIONS, AU SERVICE DES EMPLOYÉS
Notre époque est certes déstabilisée par la COVID-19, mais certaines approches que met en œuvre une entreprise dans l’orchestration de ses ressources humaines et matérielles peuvent encore mieux briller dans un tel contexte.
C’est le cas chez Enviro Connexions, dont le style de gestion, loin de manquer d’originalité, donne manifestement des résultats impressionnants. Ici, on ne trouve nulle quête personnelle du pouvoir et du prestige visant à satisfaire l’ego d’un dirigeant.
« Nous avons une culture d’entreprise unique, basée sur le principe du “servant leadership” [leadership attentif]. L’équipe de direction est donc au service des employés et les aide à atteindre leurs objectifs. Le respect, la sécurité, l’intégrité ainsi que le travail d’équipe sont au fondement même de notre façon de travailler », explique John Snelling, vice-président Est du Canada de Waste Connections Canada.
Ce concept de servant leadershipa été popularisé dans les années 1970 par Robert K. Greenleaf, un chercheur alors en quête d’un modèle différent du leadership autoritaire courant dans la gestion de grandes entreprises. Cette approche innovante explique sans doute les efforts d’Enviro Connexions pour permettre à tous ses employés de traverser la crise sanitaire et économique sans rencontrer trop d’obstacles.
Des employés exemplaires
Pour le directeur général d’Enviro Connexions Boisbriand, Jean-François Pelchat, qui aime rappeler à quel point les employés ont un comportement exemplaire et participatif en dépit
John Snelling, vice-président Est du Canada de Waste Connections Canada, Jean-François Pelchat, directeur général d’Enviro Connexions Boisbriand, Michel Binette, directeur principal, relations gouvernementales et développement des affaires de Waste Connections Canada, André Beausoleil, directeur général d’Enviro Connexions Laval et Jean-Marc Viau, directeur général du Complexe Enviro Connexions (CEC-Terrebonne)
« Nous avons une culture d’entreprise unique, basée sur le principe du “servant leadership”. » - John Snelling, vice-président Est du Canada de Waste Connections Canada
de la pandémie, il est essentiel que l’entreprise déploie le plus d’efforts possible pour favoriser ses travailleurs tout comme sa clientèle. « Dès le début de la pandémie, il nous a fallu réagir rapidement et mettre en place des mesures et des restrictions en fonction de la crise sanitaire, précise-t-il. D’autant plus que chez Enviro Connexions, les valeurs de santé et de sécurité sont primordiales. »
Ainsi, pour respecter le protocole de protection, des salles où les employés se partageaient des pauses de travail ont été fermées ; les chauffeurs ne pouvaient plus entrer à l’intérieur du bâtiment principal pour se changer ; les va-et-vient ont été éliminés entre les services ; et les gens ont été autorisés à manger à leur bureau. « Et c’est sans parler des équipements de protection, de la distanciation et de la désinfection des mains, des lieux et des cabines des camions », ajoute Jean-François Pelchat.
Par ailleurs, comme l’entreprise de Boisbriand évolue dans le secteur commercial (elle dessert les industries, commerces et institutions [ICI]), la COVID-19 a aussi eu des effets sur ses revenus. « Les répercussions sont énormes, explique Jean-François Pelchat, et les revenus en baisse substantielle. À titre d’exemple, nous desservons le centre-ville de Montréal et nous sommes un récupérateur de papier. Pensez seulement que dans les tours à bureaux presque vides, on récolte 90 % moins de volume de papier, ce qui risque d’engendrer, à terme, des pénuries de produits fabriqués à partir de papier recyclé. »
Une explosion des coûts
On entend un son de cloche similaire chez Enviro Connexions Laval. Son directeur général, André Beausoleil, évoque toutefois quelques particularités propres au service résidentiel offert : « Nos revenus sont demeurés les mêmes, mais nos dépenses ont explosé, explique-t-il. Produits sanitaires, équipements et collectes accrues ont augmenté la charge de travail et les coûts. » Dans son langage coloré, il cerne cette problématique en quelques mots : « Parce que monsieur et madame Tout-le-Monde restent à la maison, que ce soit pour le télétravail, à cause de la quarantaine ou grâce à la PCU, tous se sont occupés à nettoyer leur cabanon, à refaire leur patio, à se fignoler de beaux parterres et de fabuleuses cours arrière, contribuant ainsi à grossir le volume de matières résiduelles à collecter. Et que dire de M. Amazon, qui a livré beaucoup de boîtes? Donc le travail sur le terrain a explosé de 20 à 30 %, mais la main-d’œuvre n’a pas pour autant poussé dans notre cour arrière… » Il est vrai que les problèmes de main-d’œuvre auraient pu devenir cruciaux, d’autant plus qu’il existe à l’heure actuelle une pénurie de travailleurs qu’aurait pu accentuer la pandémie.
Mais l’entreprise a bichonné ses employés, en favorisant des mesures incitatives comme des primes salariales de deux dollars de l’heure et un boni de 800 $ pour tous. Elle n’a pas non plus lésiné sur de l’aide ciblée, comme en témoigne Jean-Marc Viau, directeur général au Complexe Enviro Connexions de Terrebonne (CEC-Terrebonne). « Pour nous, la priorité, c’est qu’aucun employé ne souffre d’un manque de revenus, spécifie-t-il, et quelques programmes ont été mis en place pour offrir une rémunération d’urgence. Nous souhaitons que personne ne se sente obligé de venir travailler malade, malgré des symptômes de la COVID-19 ou une obligation de quarantaine, par crainte de perdre des revenus et d’en souffrir sur le plan familial. »
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Crédit photo : CEC-Terrebonne MÖBIUS, POUR DIRE QUE TOUT NE VA PAS DANS CE BAC-LÀ
Depuis 25 ans, André Chulak est responsable du programme Möbius, qu’il anime de main de maître, rencontrant quelque 12 000 écoliers et étudiants chaque année, ainsi que de nombreux groupes d’adultes qui s’intéressent à la valorisation des ressources.
« André sensibilise et éduque nos enfants au recyclage, explique le directeur principal Michel Binette. Que doit-on mettre ou pas dans un bac ? Que fait-on des matières organiques, des matières résiduelles et du déchet ultime? En général, notre milieu a mauvaise presse, précise-t-il. Pourtant, le Complexe Enviro Connexions de Terrebonne est une entreprise de très haute technologie, à cent lieues du simple dépotoir où l’on jette des vidanges… Et cela constitue une formidable plate-forme pour éduquer et sensibiliser les citoyens, grands et petits, grâce au programme Möbius, lequel démontre également qu’Enviro Connexions est une entreprise socialement responsable. »
Une mathématique des matières résiduelles
August Ferdinand Möbius est un mathématicien allemand du 19e siècle dont la plus célèbre invention, le ruban de Möbius, a connu une utilisation et une popularité grandissantes dans plusieurs champs d’application. « Le ruban de Möbius est aussi devenu un symbole omniprésent dans le domaine du recyclage, où il représente la transformation des matières résiduelles en ressources utiles, précise de son côté André Chulak. Et c’est exactement ce que je cherche à enseigner dans le programme que j’anime. » Grosso modo, André Chulak donne des conférences sur le développement durable et sur l’économie circulaire en plus d’offrir des activités, comme celle sur la biodégradation des matières. Lors d’une année habituelle, il peut rencontrer environ 8 000 jeunes du milieu scolaire, tant du primaire que du secondaire, tout en donnant des conférences devant des étudiants collégiaux et universitaires. D’autre part, ils sont autour de 5 000 jeunes — et moins jeunes — à venir chaque année au CEC-Terrebonne pour visiter les installations.
« En 2020, à cause de la COVID-19, il n’y a pour ainsi dire pas eu d’activités du genre, à l’exception de quelques rares visites. Mais nous comptons bien nous reprendre en 2021! », explique André Chulak.
Le fait de sensibiliser les jeunes à une gestion complète des matières résiduelles, laquelle commence par la réduction à la source et se termine par une élimination sécuritaire, passionne plus que jamais le responsable du programme Möbius. « Les plus jeunes adhèrent facilement à la nécessité de maximiser les premières étapes de la valorisation des déchets, comme la réduction à la source et le réemploi. Pour eux, faire une gestion plus soutenable de nos ressources devient rapidement un acquis qu’ils appliqueront toute leur vie durant », affirme-t-il.
Un programme offert gratuitement
André Chulak se défend bien d’animer le programme Möbius dans le seul but de procurer à l’entreprise une image d’engagement social. « Je m’occupe de ce programme depuis 25 ans et nous l’adaptons en fonction de la demande du milieu scolaire. Nous offrons aussi Möbius à des groupes de citoyens, comme des regroupements écologiques, des Cercles de Fermières ou les Chevaliers de Colomb ; nous avons même reçu des courtiers immobiliers. Et tout cela est offert gratuitement. »
Michel Binette évoque avoir passé une journée complète en compagnie d’un et mieux éduqués sur ce qui va ou non dans un bac, le résultat serait beaucoup plus efficace, pour finalement se rapprocher du fameux objectif du zéro déchet. « Actuellement, ajoute-t-il, il se trouve encore des gens pour mettre des choses dans un bac qui ne devraient pas y être. L’objectif premier, avec Möbius, c’est de croire qu’en éduquant les enfants, ceux-ci, en plus de devenir des citoyens responsables, pourront éventuellement sensibiliser les adultes à la maison… Aussi, en ayant ce contact privilégié avec les citoyens, nous espérons déboulonner l’image de “ramasseurs de vidanges” qui vont enfouir tout cela
chauffeur de camion pour découvrir que, si les citoyens étaient plus sensibilisés quelque part dans la nature… »
LE COMPLEXE ENVIRO CONNEXIONS : UN MODÈLE À SUIVRE
Il est certain que dans un monde idéal, il faudrait cesser de transformer nos déchets en ressources pour plutôt arrêter de produire des déchets avec nos ressources. Mais ce n’est pas encore demain la veille…
« Nous ne sommes pas contre l'objectif zéro déchet, mais en attendant qu’il n’y en ait plus, il est impératif de les traiter adéquatement afin d’avoir le moins de répercussions sur l’environnement », proclame avec justesse Michel Binette.
« Le CEC-Terrebonne est un lieu d’enfouissement technique unique. C’est le boutde la chaîne où arrive le déchet ultime. Nous y faisons certes de l’enfouissement, mais aussi beaucoup d’autres choses, déclare-t-il fièrement. Il s’agit d’un complexe environnemental d’avenir où, grâce aux matières résiduelles qui y sont gérées, nous produisons du gaz naturel renouvelable (GNR) et du compost, en plus de récupérer des matières (bois, métaux, etc.). » Le CEC possède la plus grande usine de valorisation de biogaz au Québec, ayant mis au point une technologie efficace pour traiter et capter les biogaz s’échappant du site d’enfouissement. « Et nous obtenons un taux de récupération de presque 100 %. C’est merveilleux, car nous avons déjà un pied dans l’avenir », s’enthousiasme Michel Binette.
Crédit photo : CEC-Terrebonne
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LA BONNE APPROCHE Plus qu’un équipementier, Sherbrooke O.E.M. est un véritable intégrateur de solutions innovantes pour les centres de tri de CRD, et ce, depuis plus de vingt ans. Grâce à son expertise analytique en conception et à sa vaste expérience, l’entreprise maximise la performance des équipements pour des rendements inégalés. Ses centres de tri de nouvelle génération et hautement automatisés vous permettront de trier l’ensemble de vos résidus de CRD à partir de 1/8 pouce. C’est donc plus de matières et plus de vitesse pour une plus grande rentabilité. Contactez-nous dès maintenant pour discuter de votre projet.
Une approche intégrée pour une meilleure gestion
Le CEC-Terrebonne a aussi été parmi les premiers à exploiter une centrale électrique. « Notre première centrale produisait des kilowattsheures, mais ne valorisait pas l’ensemble des gaz en amont. Toutefois, il y a plus de cinq ans, le processus de traitement a été bonifié et nous avons élevé le rendement à un niveau supérieur de performance, remarque Michel Binette. Avouons que de produire une énergie verte avec des déchets, c’est quand même innovateur ! À elle seule, l’usine de biométhane aura coûté 44 millions de dollars. »
Avec le compostage, l’électricité, le biogaz et même une déchetterie — laquelle permet le réemploi, le recyclage et la valorisation d’une partie des matières et des objets collectés —, ce ne sont pas les débouchés qui manquent pour les matières résiduelles.
« Enviro Connexions s’appuie sur cinq grandes valeurs d’entreprise : la première est la sécurité de nos employés, de notre clientèle et du public ; la deuxième est l’intégrité, c’est-à-dire le respect de nos promesses et de nos engagements envers nos clients, nos employés et nos actionnaires ; la troisième est le service à la clientèle, empreint de courtoisie et de respect envers ceux que nous avons la chance de servir ; la quatrième, c’est de faire de l’entreprise un endroit formidable où travailler, en fournissant un environnement où les gens aiment ce qu’ils font et sont fiers de leur travail. Et finalement, notre cinquième valeur, mais non la moindre : viser l’excellence en allant toujours plus loin. »
Crédit photo : CEC-Terrebonne