Musée dauphinois 2017•2018
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Le programme
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saison 2017-18
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ermettre à l’ensemble des Isérois d’accéder à la culture sous toutes ses formes, tel est l’un des principaux engagements que j’ai pris à la tête de la collectivité départementale. Nous disposons pour ce faire d’un formidable outil : un réseau exceptionnel de dix musées – avant l’ouverture d’un onzième établissement, le Musée Champollion à Vif en 2020. Attaché à la politique de gratuité, je souhaite renforcer les liens que la population de notre territoire – et en particulier les plus jeunes – entretient avec l’ensemble de ces maisons. Parmi ces établissements, le Musée dauphinois et sa vue remarquable sur Grenoble occupe une place particulière par son ancienneté – il fut ouvert en 1906 ! – , la diversité culturelle qu’il défend et sa volonté d’associer les Isérois à l’ensemble de ces projets. Cette programmation en est une nouvelle fois le reflet. Elle fait la part belle au patrimoine et à l’histoire régionale comme elle permet de découvrir des cultures d’autres horizons par des expositions, des concerts, des contes, des films ou encore des animations dédiées aux enfants.
En couverture : « Barbara. L’automne », Miléna Csergo et Grégoire Letouvet en résidence de création au Musée dauphinois, septembre 2017. © Denis Vinçon
François de Bonne, duc de Lesdiguières, miniature du manuscrit de Loys Papon, Discours à M. F. B. de L’Esdiguières, 1597. © Coll. British Library
Parmi les temps forts de cette saison, le musée, à l’occasion de l’Année Lesdiguières que nous avons initiée en 2017, a choisi de retracer par une exposition le parcours exceptionnel du dernier connétable de France dauphinois de naissance. Personnage illustre au XVIIe siècle, François de Bonne, duc de Lesdiguières, est tombé dans un quasi oubli. La mémoire des Jeux olympiques de Grenoble est quant à elle bien vivace. Quelle plus belle occasion que les cinquante ans de cet événement en 2018 pour rappeler combien il contribua à faire entrer notre territoire dans l’ère moderne ? Les sports d’hiver sont décidément à l’honneur cette année avec l’ouverture d’un nouvel espace dédié aux pratiques de glisse des plus anciennes aux plus contemporaines pour rappeler s’il le fallait encore notre relation forte à la montagne iséroise. Jean-Pierre Barbier Président du Département de l’Isère
CHANTEURSSAUVETEURS
De mai à décembre 2017
Première résidence de création au musée
La reprise, une seconde chance pour les chansons populaires
Dans le cadre de l’exposition Si on chantait ! La, La, La, La
Suivez les résidences d’artistes sur le blog residencesmuseedauphinois. blogspot.com
* Centre national du patrimoine de la chanson, des variétés et des musiques actuelles www.lehall.com ** à découvrir sur le blog
Camille Plocki et Joachim Machado, deuxième opus Olivier Hussenet et Vladimir Médail, premier opus
Le Musée dauphinois initie une résidence en partenariat avec Le Hall de la chanson* à la Villette (Paris), dont la mission première est de sauver de l’oubli ou de l’obsolescence les œuvres de chanson et de les valoriser. Parmi ses nombreuses activités, des spectacles, des cours proposés en partenariat avec le Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique et le Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris, des conférences chantées et des journées de formation, Le Hall anime chaque semaine un atelier d’interprétation de chansons. Au Musée dauphinois, dans ce même esprit, des comédiens-chanteurs et des musiciensarrangeurs créent en duo de nouvelles interprétations de chansons du patrimoine francophone, au cours de cinq « opus ». En janvier 2018, un concert donné par les artistes rendra compte de leurs créations, en présence de Serge Hureau, directeur du Hall de la chanson.
Premier opus du 3 au 10 mai ** « Les eaux sauvages » autour du répertoire pour adultes d’Anne Sylvestre. Avec Olivier Hussenet (comédien-chanteur) et Vladimir Médail (guitariste). Mise en scène : Olivier Hussenet, artiste “permanent” au Hall de la chanson. Deuxième opus du 22 au 28 juin ** « Quand les chansons se souviennent de la Shoah » pour commémorer les 75 ans de la Rafle du Vel’-d’Hiv’. Avec Camille Plocki (comédiennechanteuse) et Joachim Machado (guitaristearrangeur). Mise en scène : Olivier Hussenet, artiste “permanent” au Hall de la chanson. Troisième opus du 7 au 13 septembre ** « Barbara, l’automne » avec Milena Csergo (comédienne-chanteuse) et Grégoire Letouvet (pianiste-arrangeur). Mise en scène : Serge Hureau, directeur du Hall de la chanson. Quatrième opus du 11 au 17 octobre « Bourvil, du rire aux larmes » autour du répertoire de Bourvil. Avec Jean Chevalier (comédien-chanteur) accompagné par un jeune musicien-arrangeur. Mise en scène : Olivier Hussenet, artiste “permanent” au Hall de la chanson. Répétition publique : dimanche 15 octobre à 17h.
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Cinquième opus du 31 octobre au 6 novembre « C’est vrai » autour de l’œuvre de Casimir Oberfeld, compositeur de nombreux succès de Fernandel, Mistinguett et Arletty. Avec Isis Ravel (comédienne-chanteuse) et Pierre Cussac (accordéoniste-arrangeur). Mise en scène : Serge Hureau, directeur du Hall de la chanson. Répétition publique : dimanche 5 novembre à 17h.
si on chantait !
la, la, la, la...
Exposition présentée jusqu’au 30 juin 2018 Publications Si on chantait ! La, La, La, La... Éditions du Musée dauphinois
Journal des expositions n°26 Journal du Musée dauphinois
Elle ne demande qu’une voix pour exister. Pour autant, de la chansonnette à l’hymne, de la comptine à la ballade, de la berceuse au chant révolutionnaire, la chanson véhicule nos sentiments, exprime notre pensée et ponctue nos mémoires comme une formidable madeleine de Proust. Elle nous ressemble, nous rassemble et fait œuvre dans l’immense répertoire de la littérature orale. « Si on chantait ! La, La, La, La... » propose d’écouter la chanson populaire dans cet universel lien social. L’exposition s’ouvre sur un mur de sons où l’oreille attentive reconnaît des airs cent fois entendus qui symbolisent chacun un genre ou une époque différente. Puis, d’accords en désaccords, des voix de chanteurs, d’écrivains ou d’universitaires s’entremêlent pour
« Chantons tous », recueil de chansons, Éditions S.E.M.I & Méridian
esquisser un portrait de la chanson dans ses dimensions artistiques, sociales, économiques et psychologiques. Un autre couplet de l’exposition rappelle le lien fondamental forgé par le chant entre l’enfant et ses parents. L’installation sonore Berceuses* propose de revivre l’expérience des toutes premières relations au chant et offre un refuge intime et sensible. Si la chanson est omniprésente, c’est chez soi qu’elle accompagne nos tâches quotidiennes. C’est à la maison qu’on écoute et réécoute nos airs préférés ! L’appartement dans lequel pénètre le visiteur recrée l’ambiance d’une cuisine, d’un séjour, d’une chambre à coucher, d’un garage… autant d’espaces baignés des thèmes permanents de la chanson populaire : le souvenir, le quotidien, le travail, la révolte, l’exil, la vie et bien sûr et avant tout l’amour ! Enfin, la dernière séquence montre que, contrairement à une idée reçue, la pratique de la chanson est toujours vivante, qu’on s’essaie au bel canto, qu’on prête l’oreille ou qu’on pousse la chansonnette ! L’exposition propose l’écoute d’une soixantaine de chansons, provenant de collectes anciennes et de répertoires les plus contemporains. Archives, disques, partitions complètent ce portrait de la chanson populaire et nous invitent à rencontrer des auteurs, des compositeurs et des interprètes de la scène locale ou nationale. Alors ? Si on chantait ? La La La La !
Collection privée
* Berceuses et les documentaires de la dernière séquence sont des créations de Péroline Barbet, ethnologue-documentariste.
Vue de l’exposition, dans l’espace de la « cuisine »
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Pop
Portraits d’artistes 1967 – 2017
en France
Exposition présentée du 24 novembre 2017 au 30 JUIN 2018 en partenariat avec le Centre du graphisme
Cette exposition propose de raconter à travers quatorze portraits en textes et en images une petite histoire de la musique pop en France. Une sélection qui permettra de découvrir ou de redécouvrir celles et ceux qui ont marqué les dernières décennies par leur inventivité musicale et le contenu de leurs textes. Bien avant que la French Touch ne déferle sur le monde, les artistes français ont exploré des sonorités très variées, puisant leurs influences dans le rock, la chanson française et les musiques du monde. De Françoise Hardy à « M »,
toutes les générations pourront retrouver la bande son de leur vie quotidienne et les albums qui ont marqué l’histoire de la pop française. À quelques exceptions près, la plupart de ces artistes chantent en français et font la démonstration que notre langue se prête aussi aux rythmes syncopés de la musique pop. Portrait biographique et discographique de Françoise Hardy, Serge Gainsbourg, Téléphone, Alain Bashung, Etienne Daho, Indochine, Vanessa Paradis, Rita Mitsouko, Noir Désir, Les Négresses Vertes, Manu Chao, Air, Calogero, “M”. Proposée par le Centre du graphisme dans le cadre de l’exposition Si on chantait ! La, La, La, La…, Pop en France, 1967 – 2017 prolonge l’exposition éponyme présentée au Centre du graphisme d’Echirolles durant la même période.
Vanessa Paradis, Love Songs, 2013. © M/M (Paris)
Les Rita Mitsouko, The No Comprendo, 1986. © Virgin
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Lesdiguières
Dans le cadre de l’année de Lesdiguières
le prince oublié
Exposition présentée du 21 octobre 2017 au 16 juillet 2018 en partenariat avec le service du patrimoine culturel de l’Isère Publications Lesdiguières : prince des Alpes et connétable de France par Stéphane Gal, Éditions Les Presses Universitaires de Grenoble, collection La pierre et l’écrit, novembre 2007
Lesdiguières. Un prince pour les Alpes par Stéphane Gal, Éditions Le Dauphiné Libéré, collection Les Patrimoines, janvier 2017
Journal des expositions n°27 du Musée dauphinois
Dans le cadre de “2017, année Lesdiguières” initiée par le Département de l’Isère. Retrouvez le programme des manifestations organisées en Isère, dans les Hautes-Alpes et au-delà sur www.lesdiguieres2017.fr
En Isère, Lesdiguières évoque une rue, un lycée hôtelier ou un stade de rugby. Qui se souvient de cet acteur majeur de l’histoire du Dauphiné et de la France ? Reconnu en son temps, aux XVIe et XVIIe siècles, mis à l’honneur jusqu’au XIXe siècle, il est en effet aujourd’hui inconnu du public. Pourquoi est-il tombé dans l’anonymat ? L’exposition “Lesdiguières, le prince oublié” invite à redécouvrir ce personnage et son héritage. Issu de la petite noblesse du Champsaur, François de Bonne (1543 – 1626), duc de Lesdiguières, connaît une ascension fulgurante. Chef de guerre des protestants du Dauphiné au temps des guerres de Religion, il contribue à la toute fin du XVIe siècle à la pacification de la province et à l’application de l’édit de Nantes. Militaire, fin politique, proche d’Henri IV, il concentre les pouvoirs au début du XVIIe siècle tel un « prince » dans la capitale dauphinoise. Bâtisseur, il modifie considérablement la physionomie urbaine de Grenoble à cette époque. Sensible aux arts et aux lettres, il fait appel à des artistes français et étrangers pour ses propriétés dauphinoises et son hôtel particulier à Paris.
Marie Vignon, seconde épouse de Lesdiguières, XVIIe siècle Huile sur toile, anonyme Coll. Musée dauphinois
François de Bonne, duc de Lesdiguières, lithographie d’Alexandre Debelle, XIXe siècle.
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Au soir d’une longue existence, il obtient en 1622, contre sa conversion au catholicisme, la charge suprême des armées avec le titre de connétable de France, dont il sera le dernier titulaire. Il laisse un patrimoine considérable à sa descendance, dont les premiers héritiers mâles jouissent du titre de duc de Lesdiguières. Des collections exceptionnelles constituées de peintures, d’objets usuels, militaires et religieux, d’ouvrages sont autant de témoignages invoqués pour lui rendre vie. Les expositions Les Alpes de Jean de Beins, des cartes aux paysages (1604 – 1634) au Musée de l’Ancien Évêché et Lesdiguières, le prince oublié au Musée dauphinois, sont inaugurées conjointement le 21 octobre. Au Domaine de Vizille - Musée de la Révolution française, l’exposition La splendeur des Lesdiguières, le Domaine de Vizille au XVII e siècle est présentée jusqu’au 12 mars 2018.
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GRENOBLE 1968
50e anniversaire des Jeux de Grenoble
Les Jeux olympiques qui ont changé l’Isère Exposition présentée du 6 février 2018 au 7 janvier 2019 Publications Grenoble 1968, les Jeux olympiques qui ont changé l’Isère Éditions Glénat
Journal des expositions n°28 du Musée dauphinois
Dans le cadre de
Le Département de l’Isère célèbre en 2018 le 50e anniversaire des Jeux olympiques de Grenoble. En février 1968, en effet, Grenoble accueillait les Xe Jeux olympiques d’hiver. Les exploits des équipes françaises sont demeurés célèbres. Au-delà de l’événement sportif, la physionomie de la ville et de son territoire environnant ont considérablement changé à la faveur de cette manifestation qui marque aussi l’installation du Musée dauphinois à Sainte-Marie d’en-Haut, son emplacement actuel. Tout en revenant sur la dimension sportive, l’exposition analyse les conséquences multiples de cet événement pour la région grenobloise.
Poupée d’hôtesse de station des Jeux olympiques de Grenoble, en tenue officielle. Coll. Musée dauphinois
Cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Grenoble, photographe anonyme. Coll. Musée dauphinois
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Ces deuxièmes jeux des Alpes françaises, après Chamonix (1924) et avant Albertville (1992), symbolisent un tournant dans l’histoire de l’olympisme moderne. Ils sont une démonstration des avancées techniques et participent au développement du territoire. Ils permettent à Grenoble de combler son retard en matière d’infrastructures, d’étendre son offre culturelle et favorisent l’essor des sports d’hiver en Isère. Ils ont laissé derrière eux des routes, des bâtiments et bien d’autres aménagements intégrés à la vie des Isérois aujourd’hui. Le Musée dauphinois et les Éditions Glénat prolongent l’exposition par un livre. Destiné au public le plus large, très illustré, cet ouvrage collectif aborde à la fois la candidature et la préparation de Grenoble, les impacts nombreux sur le territoire isérois, l’événement sportif en tant que tel, mais aussi la mémoire et l’héritage de ces Jeux. De nombreux acteurs isérois, publics et privés, ont participé à la réalisation de l’exposition, mais aussi, bien sûr, le Comité international olympique et le Musée national du Sport.
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Deuxième résidence de création
EN ALTITUDE(S)
Création de la compagnie 47.49 François Veyrunes
Dans le cadre de l’exposition Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changé l’Isère
Dans le cadre de
Renseignements au 04 57 58 89 01 Toutes les informations sur la programmation Paysage➔Paysages www.paysage-paysages.fr
Jeremy Kouyoumdjian et Sylvère Lamotte ©Valérie Joly-Malevergne
Une création en trois temps forts dans trois lieux qui ont marqué l’histoire des Jeux olympiques de Grenoble. Au Musée dauphinois Sisyphe Altitudes Répétitions publiques Jeudi 8 février 2018 de 10h à 15h30 Représentation publique Vendredi 9 février 2018 de 19h à 20h François Veyrunes, chorégraphe Christel Brink Przygodda, dramaturge et assistante à la chorégraphie François Veyrunes et Stracho Temelkowski, bande son originale Marie-Julie Debeaulieu, Francesca Ziviani, Sylvère Lamotte et Jérémy Kouyoumdjian, interprètes.
Dans le cadre de sa résidence au Musée dauphinois, la Compagnie 47.49 François Veyrunes envisage un temps d’immersion et de partage de l’écriture chorégraphique. Les visiteurs sont invités à découvrir et à partager le travail de répétition engagé par le chorégraphe et les danseurs. Une représentation publique se déroulera ensuite dans la chapelle de Sainte-Marie d’en-Haut. Grande figure mythologique, Sisyphe interroge et interpelle la puissance du vivant. Symbole universel du courage et de l’engagement, ce héros convoque et questionne nos dynamiques intérieures en tant qu’êtres et acteurs de nos vies. Avec une recherche chorégraphique axée sur la calligraphie des corps, d’une poétique du mouvement, d’un art qui cisèle l’espace, le chorégraphe nous
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amène vers des forces intérieures de construction entre sujet et collectif. Acte par acte, sans rien lâcher, œuvrer, retrouver, reprendre, revisiter ... Après le Musée dauphinois à Grenoble, la compagnie rejoindra le haut du Signal à L’Alpe d’Huez puis la Croix de Chamrousse, au cœur de l’hiver.
Le 11 février 2018 SISYPHE ALTITUDES - QUATUOR au restaurant d’altitude Signal 2108 à L’Alpe d’Huez Le 10 mars 2018 Au plus près du monde ALTITUDES, DUO au restaurant d’altitude à La Croix de Chamrousse 2225 m
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Les sports d’hiver [Titre provisoire] dans les Alpes Nouvelle présentation permanente à partir du 17 mars 2018 (date à confirmer)
Planche de mode, Aquarelle de Joumard, 1932 Coll. Musée dauphinois
Carte postale “la montée en ciseaux” Coll. Musée dauphinois
Après vingt-cinq ans de présentation au Musée dauphinois et le constat d’un discours qui n’est plus en adéquation avec l’actualité, La Grande histoire du ski devait être réécrite. Inaugurée en 1994, cette exposition retraçait 4 000 ans de conquête de l’homme chaussé de skis, une longue épopée allant de la préhistoire aux pratiques de glisse des années 2000. Illustrée par les collections du Musée dauphinois cette approche s’articulait surtout autour de l’évolution technique des équipements.
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Cependant, si les sports d’hiver répondent toujours à des aspirations de loisirs et de pratiques sportives, l’enjeu majeur reste le maintien d’une population en altitude et la garantie du développement d’un territoire. Mais de nouvelles techniques, la mondialisation ainsi que le changement climatique imposent une adaptation par la diversification de l’offre touristique. L’or blanc doit emprunter de nouvelles pistes ! « Les sports d’hiver dans les Alpes » est la nouvelle présentation permanente du Musée dauphinois qui sera inaugurée en mars 2018. Elle dépassera l’usage multiséculaire du ski pour approfondir la notion du « sport d’hiver » dans ses dimensions sportive, sociale, économique et environnementale. Des considérations économiques à la construction d’un imaginaire, en passant par les codes de reconnaissance propres à chaque type de glisse, l’exposition illustrera l’histoire et la sociologie riche et complexe qui lient les populations montagnardes aux touristes d’une saison. Pérenniser les Alpes comme le « terrain de jeu » de l’Europe est bien la prochaine victoire à remporter ! Autour des collections du Musée dauphinois, de témoignages, de films d’animation et autres créations documentaires, une nouvelle muséographie propose l’immersion sur cette planète blanche.
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Les collections du Musée dauphinois
GENS de l’Alpe Exposition de longue durée
La Machine à contes Visite scolaire © Denis Vinçon
Il y a plus de trois millénaires, des hommes s’installent sur les hauteurs de la montagne alpine. Ils affrontent l’altitude, la pente, le froid et l’isolement. Rien n’est laissé au hasard dans l’organisation de la communauté où chacun et chaque chose a sa place, où la rondeur des jours d’hiver succède aux durs labeurs des mois d’été. L’équilibre et l’harmonie atteints par les gens de l’alpe ont perduré durant des siècles avant d’être bouleversés par les temps modernes.
L’exposition du Musée dauphinois dresse le portrait de ces hommes qui, à force de ténacité, de mobilité et d’ingéniosité ont réussi à domestiquer les espaces difficiles de la haute montagne. Les collections les plus prestigieuses du musée rythment les trois parties de l’exposition consacrées au territoire, à la communauté, et enfin au voyage et à l’ailleurs.
Nouveau !
La machine à contes Depuis toujours, les gens aiment à se raconter des histoires. À défaut de livres et même souvent de savoir lire, c’est par la mémoire transmise d’une génération à l’autre depuis des siècles que s’est développée une littérature orale. La machine à contes permet de découvrir de nombreux récits légendaires des Alpes, collectés pendant plusieurs décennies par Charles Joisten, ancien conservateur au Musée dauphinois. Elle vous propose aussi d’enrichir ce corpus en enregistrant à votre tour un conte traditionnel ou inventé, créé seul ou à plusieurs voix à partir de mots clés proposés.
Portée par la direction de la culture et du patrimoine du Département de l’Isère, le Centre des Arts du Récit en Isère et Radio France bleu Isère, la machine à contes est inspirée d’un dispositif prototypé lors de Museomix Rhône-Alpes 2013 au Musée dauphinois.
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Parcours muséographique
Le couvent de Sainte-Marie d’en-Haut Publications Sainte-Marie d’en-Haut à Grenoble Quatre siècles d’histoire Éditions du Musée dauphinois
Claude-François Ménestrier, les Jésuites et le monde des images PUG, collection La pierre et l’écrit
Extrait du film d’animation « Il était une foi… la Visitation » Le Cloître
Classé Monument historique, le couvent de Sainte-Marie d’en-Haut a été fondé au début du XVIIe siècle par François de Sales et Jeanne de Chantal pour abriter la quatrième maison de l’ordre de la Visitation. L’atmosphère religieuse des lieux a été préservée, la sérénité du cloître et de l’ancien chœur des religieuses en témoigne. On se laissera volontiers surprendre par l’étonnante chapelle qui a conservé son décor baroque et ses peintures murales. Mais ces pierres conservent aussi la mémoire d’une histoire mouvementée : le couvent a successivement servi de prison, de pensionnat religieux, de caserne, puis de logements pour une centaine de familles d’origine italienne. En 1968, à la faveur des Jeux olympiques de Grenoble, le Musée dauphinois s’installe dans ce bâtiment entièrement rénové.
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Organisé autour des anciennes cellules des nonnes, le cloître permet de faire une première halte. Il est agréable de s’attarder sous les arcades, fraîches en été et abritées en hiver, avant de poursuivre son chemin vers les terrasses qui s’étagent à l’est du couvent. Depuis la roseraie ou l’ancien séchoir, le panorama sur l’Isère, la ville ancienne et les massifs de Belledonne ou du Vercors offre de superbes perspectives.
Il était une foi… la Visitation. Dispositif interactif Le récit illustré de l’union spirituelle de François de Sales et de Jeanne de Chantal. La chapelle baroque de l’ancien couvent de Sainte-Marie d’enHaut est décorée de scènes religieuses, dont les symboles délivraient un message spirituel aux fidèles du XVIIe siècle. Le sens de ces images créées par ClaudeFrançois Ménestrier et Toussaint Largeot pour célébrer la canonisation de François de Sales, s’est égaré au fil du temps. Au cœur même de la chapelle un nouveau dispositif multimédia interactif donne les clés de lecture du récit de la fondation de l’ordre de la Visitation et du rôle de ses créateurs, François de Sales et Jeanne de Chantal. De courts films d’animation restituent de façon originale les secrets de cette histoire codée.
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Autour des expos
septEMBRE
Journées européennes du patrimoine
DU JEU.7 SAM. AU MER.13 16sept. résidence decréation 11hà13h
SAM. 16sept. 16hà17h
Si on chantait ! La, La, La, La...
RENCONTRE
Gens de l’alpe
CHANTEURS-SAUVETEURS La reprise, une seconde chance pour les chansons populaires
Rendez-vous avec l’équipe du Musée dauphinois
Performance contée
Opus 3 « Barbara, l’automne » Avec Milena Csergo (comédiennechanteuse) et Grégoire Letouvet (claviériste-arrangeur). Mise en scène : Serge Hureau, directeur du Hall de la chanson.
Pour faire vivre et revivre la chanson, le Musée dauphinois initie une résidence en partenariat avec Le Hall de la chanson* à Paris. Au cours de cinq opus répartis de mai à décembre 2017, des chanteurscomédiens et des musiciens créent en duo de nouvelles interprétations de chansons du patrimoine francophone.
Ils vous présenteront leur métier, qu’ils accomplissent avec passion pour conserver les collections, concevoir les expositions, programmer des événements culturels, …. Qui ? Les conservateurs, le photographe, le personnel d’accueil et de direction, la bibliothécaire, la chargée de médiation, le peintre, le menuisier, l’électricien, la chargée de communication, la responsable des collections, …
Laissez libre cours à votre imagination pour inventer un récit légendaire à partir d’un coffre de charité, d’un coffin, d’une planche de colporteur ou d’un rouet … et venez l’enregistrer dans la Machine à contes ! Quelques recommandations : votre récit de trois minutes au maximum doit s’inscrire dans un contexte, un lieu et une époque ; le personnage principal, héros ou héroïne, est entouré de seconds rôles bienveillants ou maléfiques qui l’accompagnent dans sa mission. Va-t-il réussir ou échouer ? À vous de choisir ! http://www.musee-dauphinois.fr/3782-lamachine-a-contes.htm
Répétition publique : Dimanche 10 septembre à 17h. *Centre national du patrimoine de la chanson, des variétés et des musiques actuelles
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• Agenda
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Toutes les manifestations proposées sont gratuites, sauf mention contraire.
16 et 17 septembre 2017
DIM. 17sept. 11hà13h
DIM. 17sept. 15hà17h
DIM. 17sept. 15h30à16h30
Gens de l’alpe
RENCONTRE
Alpes là !
Performance contée
Rendez-vous avec l’équipe du Musée dauphinois
Visite guidée de l’exposition par l’artiste
Ils vous présenteront leur métier, qu’ils accomplissent avec passion pour conserver les collections, concevoir les expositions, programmer des événements culturels, …. Qui ? Les conservateurs, le photographe, le personnel d’accueil et de direction, la bibliothécaire, la chargée de médiation, le peintre, le menuisier, l’électricien, la chargée de communication, la responsable des collections, …
Carnet de marche Éric Bourret – 2015 /2016 Belledonne, Dévoluy, Oisans, Vercors.
Laissez libre cours à votre imagination pour inventer un récit légendaire à partir d’un coffre de charité, d’un coffin, d’une planche de colporteur ou d’un rouet … et venez l’enregistrer dans la Machine à contes ! Quelques recommandations : votre récit de trois minutes au maximum doit s’inscrire dans un contexte, un lieu et une époque ; le personnage principal, héros ou héroïne, est entouré de seconds rôles bienveillants ou maléfiques qui l’accompagnent dans sa mission. Va-t-il réussir ou échouer ? À vous de choisir ! http://www.musee-dauphinois.fr/3782-lamachine-a-contes.htm
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À la demande du Musée dauphinois, Éric Bourret est parti redécouvrir les massifs emblématiques des Alpes durant deux saisons hivernales. Ses photographies livrent une lecture profonde et poétique, dont la force expressive dépasse la valeur documentaire et témoigne de sa sensibilité d’artiste. Le photographe marcheur expérimente un mouvement créateur de flou et de devenir. Il invente ainsi une singularité qui prend forme et donne au paysage traversé une différence supplémentaire, une vitalité, un souffle.
octobre
SAm. 7ocT. à partiR de 8h45
DU11 AU17ocT. résidence decréation
Alpes là ! (HORS LES MURS)
Si on chantait ! La, La, La, La...
Rencontre à Mens
Résidence de création CHANTEURS-SAUVETEURS La reprise, une seconde chance pour les chansons populaires
Escapade en Trièves Ils ont quitté le Musée dauphinois mais ils nous donnent rendez-vous à Mens. Les habitants du Trièves, dont quelques-uns sont les figurants de l’exposition d’Emmanuel Breteau Trièves. Tournant de siècle. 20 ans de photographie avec les habitants, nous invitent à une journée conviviale de découverte. Au programme : le marché de produits locaux, le musée du Trièves et son exposition Trièves, terre d’échanges, une balade patrimoniale, un « repas de la chèvre » sous chapiteau, … À l’espace culturel de Mens, nous découvrirons l’exposition Échanges de regards, composée de leurs photographies légendées prises lors de leur venue au musée le 30 avril dernier. Départ en bus à 8h45, place de la Valette à Grenoble. Retour à 17h de Mens. Tarifs : bus : 5 € – le « repas de la chèvre » (facultatif) : 18 €. Inscription obligatoire au 04 57 58 89 11 Rencontre proposée pour prolonger l’exposition d’Emmanuel Breteau Trièves. Tournant de siècle. 20 ans de photographie avec les habitants présentée du 24 mars au 4 septembre 2017. Organisée avec la Communauté de communes du Trièves, l’association Écoute Voir et Boucherie • Charcuterie • Photographie.
Opus 4 : « Bourvil, du rire aux larmes » Avec Jean Chevalier (comédienchanteur) accompagné par un jeune musicien arrangeur. Mise en scène : Olivier Hussenet, artiste “permanent” au Hall de la chanson.
Pour faire vivre et revivre la chanson, le Musée dauphinois initie une résidence en partenariat avec Le Hall de la chanson* à Paris. Au cours de cinq opus répartis de mai à décembre 2017, des chanteurscomédiens et des musiciens créent en duo de nouvelles interprétations de chansons du patrimoine francophone.
Répétition publique : dimanche 15 octobre à 17h *Centre national du patrimoine de la chanson, des variétés et des musiques actuelles
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Paisage de Grenoble Jean de Beins, non daté © The british Library, Londres
SAMEdi 21OCTOBRE à 10H30 événement
Inauguration des expositions
Les Alpes
de Jean de Beins Des cartes aux paysages (1604 – 1634) au Musée de l’Ancien Évêché
Vacances au musée
22 octobre - 5 novembre
meR. 25 VEN. &JeU. 26 27OCT. de 14hà 16h à partiR de 9h à 11H30 Lesdiguières
Lesdiguières, le prince oublié
Lesdiguières, le prince oublié
Atelier pour les 10 – 14 ans
Colloque
Design ton cadre baroque !
Quelle mémoire pour les Lesdiguières ?
Animé par Jean-Jacques André, designer d’Esprit Carton.
Modérateur : Jean Guibal
Inspiré d’un modèle, chacun réalise son cadre et le personnalise à la manière baroque avec dorures, peintures et vernis ! Présence obligatoire aux deux séances Tarif : 10 € Inscription au 04 57 58 89 01
Le Prince oublié au Musée dauphinois
Dans le cadre de « 2017, année Lesdiguières » initiée par le Département de l’Isère.
9h30 : Chantal Spillemaecker – Le retable de Lesdiguières de Ste-Marie d’en-Haut. Entre gloire de Dieu et bienfaiteurs. 9h50 : Myriam Gilet – Le cœur du connétable de Lesdiguières : de la mort d’un grand à l’autopsie d’une mémoire nobiliaire sous les premiers Bourbons. 10h10 : Gérard Bourgin – Lesdiguières : itinéraire d’une mémoire (XVIe – XXIe). 10h30 : élodie Vaysse – À propos des portraits de ducs de Lesdiguières. Le peintre protestant au service de la haute noblesse. 10h50 : Thomas Delvaux – Les conditions d’une fusion dynamique : convergence de stratégies matrimoniales, héritages matériels et symboliques. 11h10 : Échanges. 11h40 : Conclusion du colloque – Marianne Clerc et René Favier. 12h : Déjeuner/buffet. 13h : Visite de l’exposition du musée Dans le cadre du colloque international Le Siècle des Lesdiguières : territoires, arts et rayonnement nobiliaire au XVIIe siècle organisé le 25 octobre à l’Université Grenoble Alpes-MSH-Alpes, le 26 octobre au Musée de la Révolution française et le 27 octobre au Musée dauphinois
Programme des manifestations à consulter sur www.lesdiguieres2017.fr
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Programme complet sur www.lesdiguieres2017.fr
Vacances au musée
22 octobre - 5 novembre
Mar. 31OCT. à partiR de 14h30
Mar.31ocT. Dim. >JEU. 6 NOV. 5Nov. résidence decréation 11hà 12h
Lesdiguières, le prince oublié
Si on chantait ! La, La, La, La...
Lesdiguières, le prince oublié
Déambulation historique dans le Grenoble protestant
CHANTEURS-SAUVETEURS La reprise, une seconde chance pour les chansons populaires
Visite guidée de l’exposition
Rendez-vous au Musée dauphinois à 14h30 Inscription au 04 57 58 89 01
Animée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble-Alpes Métropole.
Opus 5 : « C’est vrai » Autour de l’œuvre de Casimir Oberfeld, auteur des succès de Mistinguett et de Maurice Chevalier. Avec Isis Ravel (comédienne-chanteuse) et Pierre Cussac (accordéonistearrangeur). Mise en scène : Serge Hureau, directeur du Hall de la chanson.
Pour faire vivre et revivre la chanson, le Musée dauphinois initie une résidence en partenariat avec Le Hall de la chanson* à Paris. Au cours de cinq opus répartis de mai à décembre 2017, des chanteurs-comédiens et des musiciens créent en duo de nouvelles interprétations de chansons du patrimoine francophone.
Répétition publique : dimanche 5 novembre à 17 h
*Centre national du patrimoine de la chanson, des variétés et des musiques actuelles.
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Tarif : 3,80 € - gratuit pour les moins de 12 ans
novEMBRE
À l’occasion des 500 ans de la Réforme protestante, François Boulet, professeur d’histoire et chercheur et Olivier Cogne, directeur du Musée dauphinois, proposent de découvrir le Grenoble protestant. En partenariat avec l’église protestante unie de Grenoble et le Comité d’organisation «Luther et les 500 ans de la Réforme»
Lun.&MaR. Mer. 13& 14NOV. 15NOV. de 9hà 18h à partiR de 18h30
Ven. 24nov. 18h
Si on chantait ! La, La, La, La...
Lesdiguières, le prince oublié
événement
Journées d’étude
Soirée étudiante
La chanson, source et récit pour l’histoire
Informations et réservation : Université de Grenoble – Un Tramway nommé culture.
Inauguration officielle de l’exposition
La chanson dans toutes ses dimensions - individuelle, collective, populaire, savante, politique, emblématique, régionale ou mondialisée, écoutée, fredonnée ou chantée à pleine voix, a capella ou accompagnée - appartient pleinement à la vie des sociétés dont elle écrit aussi l’histoire. Ces dimensions musicales, sociales, politiques et culturelles seront abordées au cours de deux journées d’étude organisées conjointement par le LARHRAUMR 5190 et le Musée dauphinois. À partir d’entrées spécifiques sera analysée la place de la chanson comme source et récit, pour et sur l’histoire des sociétés contemporaines.
Entrée libre et gratuite sur inscription préalable (visite réservée aux étudiants) : jeveuxdelaculture@univ-grenoblealpes.fr ou 04 56 52 85 22
Pop en
France Portraits d’artistes 1967 – 2017 Présentée en partenariat avec le Centre du Graphisme d’échirolles
Ces journées de formation pour les masters et les doctorants d’histoire de l’UGA (Université Grenoble Alpes), sont également ouvertes au public intéressé.
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SAm. 25nov. à 17h
VeN. 120hàerDéC. 21h
Dim. 3DéC. 15hà 16h
Lesdiguières, le prince oublié
Musique au musée
Lesdiguières, le prince oublié
Visite guidé thématique
Concert
Visite guidé thématique
Réforme protestante et Contre- Réforme catholique en Dauphiné
Facteurs Chevaux
Réforme protestante et Contre-Réforme catholique en Dauphiné
Visite conduite par Olivier Cogne, directeur du Musée dauphinois.
Présentation de l’ouvrage
Protestants en Dauphiné édité aux Presses Universitaires de Grenoble, collection La Pierre et l’Écrit.
Sammy Decoster et Fabien Guidollet façonnent leurs chansons épurées avec une guitare et des harmonies vocales. Leurs textescontes en français convient les esprits de la forêt ou les légendes des montagnes. Un peu comme si les Everly Brothers se hissaient dans « L’arbre noir » de Nino Ferrer. À l’instar de l’illustre Facteur Cheval, Sammy et Fabien se font maçons d’édifices fragiles, triturent une glaise musicale faite d’argile harmonieuse pour en faire un palais idéal.
DécEMBRE
à 18h
Sammy Decoster, guitare, chant Fabien Guidollet, chant
Dans la limite des 120 places disponibles. Retrait des billets à 19h30. Entrée dans la chapelle à 19h45.
Programmé dans le cadre des Allées chantent, un tour d’Isère en 80 concerts. À l’initiative du département, Les Allées chantent sont portées par l’Agence Iséroise de Diffusion Artistique (A.I.D.A) qui inscrit ses missions dans le cadre d’un service public de la culture.
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Visite conduite par Olivier Cogne, directeur du Musée dauphinois
Vacances
22 déc.-8 jan.
mER. 6DéC. 21h
meR. 27 &JeU. 28 de 14hà 16h
Grenoble 1968 (hors les murs)
Lesdiguières, le prince oublié
Projection et débat à Autrans
Atelier pour les 10 – 14 ans
Film Treize jours en France Documentaire, en version restaurée, réalisé par Claude Lelouch et François Reichenbach sur les Jeux olympiques de Grenoble, sorti en juillet 1968.
Au cours de cette soirée de célébration, la discussion s’engagera sur la contribution des Jeux à l’essor d’Autrans et plus largement sur l’aptitude de tels projets à sortir les zones de montagne de l’isolement.
Design ton cadre baroque ! Animé par Jean-Jacques André, designer d’Esprit Carton
Inspiré d’un modèle, chacun réalise son cadre et le personnalise à la manière baroque avec dorures, peintures et vernis ! Présence obligatoire aux deux séances Tarif : 10 € Inscription au 04 57 58 89 01
En partenariat avec le Festival International du film de Montagne d’Autrans. 34e édition du 6 au 10 décembre 2017, 2 rue du Cinéma à Autrans. Informations sur www.festival-autrans.com
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Vacances au musée
22 décembre - 8 janvier
meR. 3 & Dim. JeU. 4 Jan. 7Jan. de 14hà 17h 15hà 16h
Dim. 7Jan. 16h30à 17h30
Lesdiguières, le prince oublié
Lesdiguières, le prince oublié
Lesdiguières, le prince oublié
Atelier pour les 12 – 14 ans
Visite guidée de l’exposition
Mobile baroque
Animée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble-Alpes Métropole.
La Renaissance en musique et en danses
Animé par Marie-Lorraine Peignier, plasticienne
Création d’un mobile inspiré des décors végétaux qui composent en partie les peintures murales de la chapelle baroque de l’ancien couvent de Sainte-Marie d’en-Haut. L’atelier permet de s’initier à des techniques de modelage et de dorure à la feuille, utilisées au temps de Lesdiguières.
Tarif : 3,80 € - gratuit pour les moins de 12 ans
Inscription au 04 57 58 89 01
Présence obligatoire aux deux séances Tarif : 15 € Inscription au 04 57 58 89 01
janvier
Voulez-vous danser la pavane et la gaillarde au son de la harpe celtique, de la flûte à bec, de la flûte traversière, du tympanon et autre bendir ? Les amateurs passionnés de l’association Les Dam’Oiseaux, en partenariat avec le Conservatoire à rayonnement communal (le CRC) d’Eybens, vous invitent à découvrir les pas de danses de la Renaissance.
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Dim. 14Jan. 11hà 12h
en DU20. Janvier AU31Jan. dateà préciser Enjournée
Lesdiguières, le prince oublié
Si on chantait ! La, La, La, La...
Grenoble 1968 (hors les murs)
Visite guidée thématique
Restitution publique de la première résidence de création CHANTEURS-SAUVETEURS
Muséobus olympique à Chamrousse pendant La Course des légendes
Un homme de pierres Conduite par Anne Cayol-Gerin, commissaire de l’exposition
Comme Auguste qui laissa Rome de marbre, Lesdiguières fut l’initiateur de très nombreuses constructions et le protecteur de très nombreuses autres. Un riche patrimoine bâti qui fleurit durant l’essentiel du XVIIe siècle et que la visite incite à découvrir au-travers de l’exposition et au-delà.
La reprise, une seconde chance pour les chansons populaires Pour faire vivre et revivre la chanson, le Musée dauphinois a initié en 2017 une résidence en partenariat avec Le Hall de la chanson à Paris. Au cours de cinq opus, des chanteurs-comédiens et des musiciens ont créé en duo de nouvelles interprétations de chansons du patrimoine francophone. En présence de Serge Hureau, directeur du Hall de la chanson, ces dix artistes qui se sont succédé de mai à décembre 2017 au Musée dauphinois : Olivier Hussenet & Vladimir Médail / Camille Plocki & Joachim Machado / Milena Csergo & Grégoire Letouvet / Jean Chevalier & Antoine Dutaillis / Isis Ravel & Pierre Cussac, interprètent des extraits de leurs reprises lors d’un concert qui marque la fin de leur résidence musicale au musée.
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Version itinérante de l’exposition Une version itinérante de l’exposition du Musée dauphinois circule de janvier à avril 2018 dans toute l’Isère. Équipé de panneaux d’expositions, de vitrines, mais également de dispositifs interactifs pour visionner archives et films, le Muséobus olympique revient sur l’histoire des Jeux olympiques d’hiver de 1968. Une mise en scène originale et pédagogique permet au public de découvrir les thèmes majeurs développés dans l’exposition du Musée dauphinois, notamment les sites olympiques, l’aménagement de la montagne et le rôle des stations. En partenariat avec le Labex ITEM et l’Université Grenoble-Alpes.
Le bus sera stationné sur le front de neige 1650 (départ télécabine)
Sam. 27Jan. 20hà 21h30
DU1er AU 5Fév. Enjournée
Dim. 4Fév. 11hà 12h
Musique au musée
Grenoble 1968 (hors les murs)
Lesdiguières, le prince oublié
Concert
Muséobus olympique à Autrans pendant La Foulée blanche
Visite guidée thématique
Violon, Viola, Viola d’amore au 17e siècle Les Musiciens du Louvre : Thibault Noally, violon, viole d’amour ; Catherine Puig-Vasseur, alto, viole d’amour ; Elisa Joglar, violoncelle ; Mathieu Dupouy, clavecin. Programme : Anonymes, Schmelzer, Nicolai, Merula, Sonates en trio du Manuscrit Rost : violon, alto ou violon, viole d’amour ; Heinrich Biber, Passacaille pour violon seul, L’annonciation violon et continuo (extrait des sonates du Rosaire), Harmonia Artificiosa Partia VII pour 2 violes d’amour.
Ce programme met à l’honneur la musique instrumentale de cour au 17e siècle et la viole d’amour. Apparue au milieu du 17e siècle, probablement inspirée par les instruments orientaux qui circulaient sur la route des Indes avec le poivre et les épices, elle a la particularité de faire entendre des résonances « par sympathie » : certaines cordes entrent en vibration sans être frottées. Présentation de la viole par Catherine Puig-Vasseur. Inscription obligatoire au 04 57 58 89 01
Les Musiciens du Louvre sont subventionnés par le Département de l’Isère, la Région Auvergne- Rhône-Alpes, le Ministère de la Culture et de la Communication (DRAC Auvergne-Rhône-Alpes).
Version itinérante de l’exposition Une version itinérante de l’exposition du Musée dauphinois circule de janvier à avril 2018 dans toute l’Isère. Équipé de panneaux d’expositions, de vitrines, mais également de dispositifs interactifs pour visionner archives et films, le Muséobus olympique revient sur l’histoire des Jeux olympiques d’hiver de 1968. Une mise en scène originale et pédagogique permet au public de découvrir les thèmes majeurs développés dans l’exposition du Musée dauphinois, notamment les sites olympiques, l’aménagement de la montagne et le rôle des stations. En partenariat avec le Labex ITEM et l’Université Grenoble-Alpes.
Le bus sera stationné dans le centre du village, sur le parking de la place de la fontaine.
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Lesdiguières, un prince à ne pas oublier ? Conduite par Stéphane Gal, maître de conférences HDR en histoire moderne, Université Grenoble Alpes.
Le premier duc de Lesdiguières, dernier connétable de France, fut un personnage au destin exceptionnel. L’exposition reflète son incroyable parcours, entre guerre et paix, et l’œuvre importante qui fut la sienne dans la France de la Renaissance et du Grand Siècle.
LUNDI 5FeVRIER 18h30 événement
Inauguration officielle de l’exposition
Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changé l’Isère et présentation du livre édité chez Glénat
Pour marquer l’ouverture de cette exposition, le Musée dauphinois invite, tout au long du mois de février : - à venir assister à une retransmission en direct des XXIIIe Jeux d’hiver de PyeongChang (Corée du Sud) sur Olympic Channel, en accord avec le Comité international olympique, - à tester en extérieur les épreuves du biathlon, en partenariat avec le service jeunesse et sports du Département de l’Isère, - à découvrir des vidéos de réalité virtuelle 360° qui vous immergeront dans les compétitions des Jeux olympiques de 68 et d’aujourd’hui.
DU6 AU 11Fév. Enjournée Grenoble 1968 (hors les murs)
Muséobus olympique à Grenoble
Version itinérante de l’exposition Une version itinérante de l’exposition du Musée dauphinois circule de janvier à avril 2018 dans toute l’Isère. Équipé de panneaux d’expositions, de vitrines, mais également de dispositifs interactifs pour visionner archives et films, le Muséobus olympique revient sur l’histoire des Jeux olympiques d’hiver de 1968. Une mise en scène originale et pédagogique permet au public de découvrir les thèmes majeurs développés dans l’exposition du Musée dauphinois, notamment les sites olympiques, l’aménagement de la montagne et le rôle des stations. En partenariat avec le Labex ITEM et l’Université Grenoble-Alpes.
Le bus sera stationné place Saint-André à Grenoble (sous réserve).
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Vacances scolaires d’hiver
mer. 7Fév. 20h
Jeu.8 & 12AU Ven. 9 FEv. 16FEv. résidence decréation Enjournée
Grenoble 1968 (hors les murs)
Grenoble 1968
Grenoble 1968 (hors les murs)
Projection (Lieu de projection à définir)
Création de la compagnie 47.49 François Veyrunes
Muséobus olympique sur le campus universitaire de Grenoble
Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changé l’Isère Documentaire réalisé par le COLJOG (Conservatoire observatoire laboratoire des Jeux olympiques de Grenoble) et le Collectif Le fil rouge. 30 min, 2017.
Ce film relate la genèse et la mise en œuvre d’un événement sportif qui a contribué à transformer une ville et sa région. Nous revivrons cette histoire grâce aux témoignages d’acteurs qui ont participé à la construction et au déroulement du projet, aux épreuves sportives. Par des images poétiques, nous prendrons la mesure des équipements et des infrastructures existant aujourd’hui encore et de l’apport à la ville et à son environnement. Par l’image photographique d’archives, nous évoquerons la dimension humaine de ce moment historique, les coulisses des épreuves sportives, les bénévoles, mais aussi les chantiers et ceux qui y ont travaillé.
SISYPHE ALTITUDES Grande figure mythologique, Sisyphe interroge et interpelle la puissance du vivant. Symbole universel du courage et de l’engagement, ce héros convoque et questionne nos dynamiques intérieures en tant qu’êtres et acteurs de nos vies.
Répétitions publiques : Jeudi 8 février 2018 de 10h à 15h30 Représentation publique : Vendredi 9 février 2018 de 19h à 20h Toutes les informations sur la programmation Paysage➔Paysages : www.paysage-paysages.fr
Version itinérante de l’exposition Une version itinérante de l’exposition du Musée dauphinois circule de janvier à avril 2018 dans toute l’Isère. Équipé de panneaux d’expositions, de vitrines, mais également de dispositifs interactifs pour visionner archives et films, le Muséobus olympique revient sur l’histoire des Jeux olympiques d’hiver de 1968. Une mise en scène originale et pédagogique permet au public de découvrir les thèmes majeurs développés dans l’exposition du Musée dauphinois, notamment les sites olympiques, l’aménagement de la montagne et le rôle des stations. En partenariat avec le Labex ITEM et l’Université Grenoble-Alpes. Le bus sera stationné sur le parvis de la Bibliothèque universitaire Droit-Lettres du campus, à Saint-Martin-d’Hères
lun.12FÉVRIER à 14h
Séminaire : la mémoire des JO organisé par le LabexITEM, avec une intervention de l’historienne Anne-Marie Granet-Abisset.
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er
Lun. 12FEV. 14hà 16h
11 - 25 février
Me.14 & JEU. Je. 1 5FEv. 15FEv. 14hà 17h 15hà 17h
Grenoble 1968
Grenoble 1968
Grenoble 1968
Divertissement
Atelier pour les 8 - 10 ans
Atelier familles
À vous de jouer ! Animé par Histoires de…
Petits et grands, chacun peut s’amuser avec le Jeu des Jeux qui invite à découvrir le patrimoine sportif et culturel des Jeux olympiques d’hiver de 1968 à Grenoble, Chamrousse, l’Alped’Huez, Autrans, Saint-Nizier-duMoucherotte et Villard-de-Lans. Jeu créé par Histoires de... avec le concours d’enfants et d’habitants de Grenoble et des stations olympiques. Inscription au 04 57 58 89 01
Affichiste, un sport olympique !
Clin d’œil à la Corée du Sud
Animé par Mickael Blanc, graphiste
Animé par l’association FrancoCoréenne, Grenoble-Isère (AFCGI)
Les enfants dessinent des éléments graphiques représentant les disciplines sportives des Jeux olympiques ainsi que des caractères typographiques… qui seront transformés en tampons pour réaliser des affiches. En partenariat avec le Centre du Graphisme d’Échirolles. Présence obligatoire aux deux séances. Tarif : 15 € Inscription au 04 57 58 89 01
Création d’éventails en papier henji et initiation à l’écriture coréenne. Tarif : 5 € Inscription au 04 57 58 89 01
et à 18h30
Grenoble 1968
Soirée étudiante Visite de l’exposition Informations et réservation : Université de Grenoble – Un Tramway nommé culture. Entrée libre et gratuite sur inscription préalable (visite réservée aux étudiants) : jeveuxdelaculture@univgrenoble-alpes.fr ou 04 56 52 85 22
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© Yannick Perrin
Vacances scolaires d’hiver
17AU 23FEv. Enjournée
Dim. 18FEv. 11h
Lun. 19FEv. 14hà 16h
Grenoble 1968 (hors les murs)
Grenoble 1968
Grenoble 1968
Muséobus olympique À Villard-de-Lans
Visite guidée
Divertissement
Conduite par Olivier Cogne, directeur du Musée dauphinois.
À vous de jouer !
Version itinérante de l’exposition
Animé par Histoires de…
Petits et grands, chacun peut s’amuser avec le jeu des Jeux qui invite à découvrir le patrimoine sportif et culturel des Jeux olympiques d’hiver de 1968 à Grenoble, Chamrousse, l’Alped’Huez, Autrans, Saint-Nizier-duMoucherotte et Villard-de-Lans. Jeu créé par Histoires de... avec le concours d’enfants et d’habitants de Grenoble et des stations olympiques.
Une version itinérante de l’exposition du Musée dauphinois circule de janvier à avril 2018 dans toute l’Isère. Équipé de panneaux d’expositions, de vitrines, mais également de dispositifs interactifs pour visionner archives et films, le Muséobus olympique revient sur l’histoire des Jeux olympiques d’hiver de 1968. Une mise en scène originale et pédagogique permet au public de découvrir les thèmes majeurs développés dans l’exposition du Musée dauphinois, notamment les sites olympiques, l’aménagement de la montagne et le rôle des stations.
Inscription au 04 57 58 89 01
En partenariat avec le Labex ITEM et l’Université Grenoble-Alpes.
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11 - 25 février
Jeu. 22FEv. 15hà17h
24AU 28FEv. Enjournée
1erAU 4MArs Enjournée
Grenoble 1968
Grenoble 1968 (hors les murs)
Grenoble 1968 (hors les murs)
Atelier familles
Muséobus olympique à L’Alpe d’Huez
Muséobus olympique à St-Nizier-du-Moucherotte
Version itinérante de l’exposition
Version itinérante de l’exposition
Une version itinérante de l’exposition du Musée dauphinois circule de janvier à avril 2018 dans toute l’Isère. Équipé de panneaux d’expositions, de vitrines, mais également de dispositifs interactifs pour visionner archives et films, le Muséobus olympique revient sur l’histoire des Jeux olympiques d’hiver de 1968. Une mise en scène originale et pédagogique permet au public de découvrir les thèmes majeurs développés dans l’exposition du Musée dauphinois, notamment les sites olympiques, l’aménagement de la montagne et le rôle des stations.
Une version itinérante de l’exposition du Musée dauphinois circule de janvier à avril 2018 dans toute l’Isère. Équipé de panneaux d’expositions, de vitrines, mais également de dispositifs interactifs pour visionner archives et films, le Muséobus olympique revient sur l’histoire des Jeux olympiques d’hiver de 1968. Une mise en scène originale et pédagogique permet au public de découvrir les thèmes majeurs développés dans l’exposition du Musée dauphinois, notamment les sites olympiques, l’aménagement de la montagne et le rôle des stations.
En partenariat avec le Labex ITEM et l’Université Grenoble-Alpes.
En partenariat avec le Labex ITEM et l’Université Grenoble-Alpes.
Clin d’œil à la Corée du Sud Animé par l’association FrancoCoréenne, Grenoble-Isère (AFCGI)
Création d’éventails en papier henji et initiation à l’écriture coréenne. Tarif : 5 € Inscription au 04 57 58 89 01
mars
Le bus sera stationné sur l’Agora du Palais des sports et des congrès.
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Le bus sera stationné devant l’Office de tourisme.
SAm. 3mars 18h
DIM. 4mars 11hà 12h
Grenoble 1968 (hors les murs)
Grenoble 1968
événement
Projection
Visite guidée thématique
Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changé l’Isère
La mutation du territoire
Inauguration de l’exposition
Documentaire réalisé par le COLJOG (Conservatoire observatoire laboratoire des Jeux olympiques de Grenoble) et le Collectif Le fil rouge. 30 min, 2017
Ce film relate la genèse et la mise en œuvre d’un événement sportif qui a contribué à transformer une ville et sa région. Nous revivrons cette histoire grâce aux témoignages d’acteurs qui ont participé à la construction et au déroulement du projet, aux épreuves sportives. Par des images poétiques, nous prendrons la mesure des équipements et des infrastructures existant aujourd’hui encore et de l’apport à la ville et à son environnement. Par l’image photographique d’archives, nous évoquerons la dimension humaine de ce moment historique, les coulisses des épreuves sportives, les bénévoles, mais aussi les chantiers et ceux qui y ont travaillé. À l’Office de tourisme de Saint-Nizierdu Moucherotte
Conduite par Pierre Frappat, ancien professeur d’économie et journaliste.
Quand Grenoble obtint les J.O. (en janvier 1964), la ville était en plein boom économique, démographique, urbanistique. Mais l’agglomération qui allait bientôt avoir 300 000 habitants avait les infrastructures et les équipements d’une petite ville de 80 000 habitants au développement complètement anarchique. Les Jeux furent une formidable opportunité pour rattraper un énorme retard et amorcer un urbanisme organisé et volontariste. Mais tout était à faire, tout en même temps et très vite. En trois ans des dizaines de chantiers modifièrent profondément le paysage grenoblois.
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SAm. 17mars horaireà préciser Les sports d’hiver dans les Alpes [Titre provisoire]
Week-end Télérama
SAm. 24mars 16hà 17h
Festival #8 Détours de Babel
Dim. 25MarS 11hà 17h
15 mars - 6 avril 2018
Dim. 117hàer2hDumat Avril
sports d’hiver dans les Alpes
Musique au musée
Musique au musée
Visite guidée
Brunch musical
Brunch dominical en nocturne
de l’exposition
Concerts, spectacles, performances, installations
Pour ce week-end pascal, le festival transforme son traditionnel brunch dominical en « nocturne » au musée. Les concerts s’enchaînent jusque tard dans la nuit, dans tous les espaces intérieurs et extérieurs (prévoir des vêtements chauds) du musée. Boissons, repas, braseros... à déguster sur place.
se répartissent tout au long de la journée dans les différents espaces. À vous de cheminer selon vos envies dans les parcours musicaux proposés. Retrouvez l’ambiance des brunchs des Détours de Babel au musée !
Le tarif de la nocturne est “libre”, il est laissé à l’appréciation de chacun.
Le tarif du brunch est “libre”, il est laissé à l’appréciation de chacun.
Avril
Animée par Franck Philippeaux, commissaire de l’exposition.
Programmation du Festival en cours, sur le thème du « Retour aux sources »... à consulter début 2018 sur www.detoursdebabel.fr
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Vacances de printemps
Jeu. 5Avril à partiR de 18h
meR. 11 & Me.18 & JeU. 1 2AVR. Je. 1 9AVR. de 14hà 17h 14hà 17h
Lesdiguières, le prince oublié
Lesdiguières, le prince oublié
Grenoble 1968
Soirée étudiante
Atelier pour les 12–14 ans
Atelier pour les 8 - 10 ans
Thème à définir
Mobile baroque
Soirée de clôture de la semaine thématique du 30 mars au 6 avril 2018.
Animé par Marie-Lorraine Peignier, plasticienne
Affichiste, un sport olympique !
Informations et réservation : Université de Grenoble – Un Tramway nommé culture. Entrée libre et gratuite sur inscription préalable (visite réservée aux étudiants) : jeveuxdelaculture@univ-grenoblealpes.fr ou 04 56 52 85 22
Création d’un mobile inspiré des décors végétaux qui composent en partie les peintures murales de la chapelle baroque de l’ancien couvent de Sainte-Marie d’en-Haut. L’atelier permet de s’initier à des techniques de modelage et de dorure à la feuille, utilisées au temps de Lesdiguières. Présence obligatoire aux deux séances Tarif : 15 € Inscription au 04 57 58 89 01
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Animé par Mickael Blanc, graphiste
Les enfants réalisent au stylo des éléments graphiques sur les sports des Jeux olympiques et des typographies… qui seront transformés en tampons pour réaliser des affiches. En partenariat avec le Centre du Graphisme d’Échirolles Présence obligatoire aux deux séances. Tarif : 15 € Inscription au 04 57 58 89 01
Musées en fête / Nuit des musées
8 - 22 avriL
JeU. 19AVR. 14hà 18h
DU10 AU13MAi Enjournée
Sam.19 Mai àconfirmer 16hà 17h
Lesdiguières, le prince oublié
Les Arts du Récit
sports d’hiver dans les Alpes
Atelier en famille
Festival
Visite guidée
Design ton cadre baroque !
Les Arts du récit s’installent au Musée dauphinois !
Animée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble.
Animé par Jean-Jacques André designer, d’Esprit Carton
Inspiré d’un modèle, chacun réalise son cadre et le personnalise à la manière baroque avec dorures, peintures et vernis ! Tarif : 10 € Inscription au 04 57 58 89 01
Des conteurs(es), musiciens (nes) et autres amoureux (ses) du verbe enchanteront cette année encore celles et ceux qui aiment les contes, les récits, les mythes... Chaque jour seront proposés plusieurs spectacles pour petits et grands, des balades et des brunchs contés, la découverte de la Machine à contes . Mais aussi : À 9 h : atelier d’initiation, de sensibilisation et de pratique à l’art du conte animé par Angélina Galvani, suivi à 11h de l’enregistrement des récits créés dans la Machine à contes installée dans l’exposition Gens de l’Alpe. À 11h30 : présentation et démonstration de la Machine à contes pour tous (entrée libre)
MAi
Ateliers : inscription au Centre des Arts du Récit 04 76 51 21 82 ou sur info@artsdurecit.com. Tarif : 5€ par atelier de 2h Programme détaillé du Festival en avril 2018 sur www.artsdurecit.com
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En partenariat avec le Labex ITEM et l’Université Grenoble-Alpes.
Accès aux expositions jusqu’à 23 h
Musées en fête / Nuit des musées
Sam.19 Dim.20 Sam. Mai à confirmer Mai à confirmer 26Mai 20hà 22h 11hà 12h 9hà 17h Lesdiguières, le prince oublié
Grenoble 1968
Lesdiguières, le prince oublié
Nuit des Musées
Visite guidée
Journée d’échanges
Bal de la Renaissance
Animée par un guide de l’Office de tourisme de Grenoble-Alpes Métropole.
Tolérance et paix religieuses (XVIe – XXIe siècle)
Animé par l’Ensemble Boréades
Venez danser au son d’instruments anciens étonnants, comme la viole de gambe, le cistre ou le nyckelharpa, accompagnés de percussions et de flûtes-à-bec. Instant de fête et de convivialité, ce bal sera l’occasion pour tous, enfants, parents et grands-parents, de voyager dans le temps à la rencontre d’une époque pleine de vie et d’allégresse. Peu à peu, vous serez entraînés au rythme des contredanses anglaises et de danses folk.
L’exposition du Musée dauphinois fait une place importante à l’histoire des guerres de religion et de la paix religieuse qui s’en est suivie. François de Bonne, duc de Lesdiguières, fut en effet un acteur majeur de cette période en Dauphiné et sur le plan national en tant que militaire, mais aussi en tant qu’artisan de la paix. Cette journée à destination du plus large public a pour objectif de présenter différents « modèles » de coexistence religieuse qui ont parcouru notre histoire, afin d’interroger la notion de tolérance aujourd’hui.
Inscription au 04 57 58 89 01 Accès aux expositions jusqu’à 23 h
En partenariat avec Sciences Po Grenoble, le Cercle Bernard Lazare, l’église protestante unie de Grenoble, le Centre théologique de Meylan et l’association Amal.
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Sam. 2Juin à 17h & à 19h Rendez-vous aux jardins
Dim. 3Juin 11hà 13h Rendez-vous aux jardins
Danse aérienne et musique
Décou’verte
Feuillage, performance arborée
Les jardins de Sainte-Marie d’en-Haut
Par La Compagnie Du O des branches
Profitez d’une visite guidée par Driss Bouffart-Toccat, jardinier et Patricia Kyriakidès, chargée de la médiation, pour découvrir autrement les espaces paysagers du couvent. Vous seront expliqués les choix en matière d’architecture des jardins, de sélection des plantes, de gestion de l’eau depuis l’époque des premières occupantes du couvent, les Visitandines au XVIIe siècle.
Dimitri Porcu (clarinette), Philippe Petitcolin (saxophone), Nadège Billièmaz (danseuse d’arbre)
Juin
Un arbre, une danseuse et deux musiciens se rencontrent pour une performance dansée dans un espace arboré. De courts tableaux improvisés où le corps aérien voltige, se niche au cœur des branches, se faufile entre les feuilles comme si l’arbre et la danseuse ne faisaient plus qu’un. Témoin de ce moment de suspension, le public vit l’arbre différemment, accompagné par les mélodies entraînantes de la clarinette et du saxophone des musiciens.
La visite se poursuivra au jardin collectif des Cairns, dédié à la pratique de l’agro-écologie, commentée par les membres de l’association Amca (Atelier multidisciplinaire des cairns).
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Par Anne Cayol-Gerin, responsable du service du patrimoine culturel du Département de l’Isère. Ouvragé édité par le Département de l’Isère, juin 2017, 96 pages, 10 €. Au XVIIe siècle, les ducs de Lesdiguières ont transformé sur plusieurs générations un site de château ruiné, entouré d’une plaine marécageuse, en une résidence luxueuse à la mesure de leur ascension sociale. Avec son architecture si caractéristique et son décor princier, elle surplombait un vaste domaine qui était bien plus qu’un simple jardin. L’histoire de cet ensemble, créé et porté à son apogée du règne d’Henri IV à celui de Louis XIV, n’avait jamais été détaillée. Elle permet de mieux comprendre le Domaine de Vizille actuel, propriété du Département de l’Isère et siège du Musée de la Révolution française.
LES Publications
Commande en ligne sur www.musee - dauphinois.fr
La splendeur des Lesdiguières Le Domaine de Vizille au XVIIe siècle
Les Alpes de Jean de Beins. Des cartes aux paysages (1604-1634) Perrine Camus sous la direction de Stéphane Gal et Isabelle Lazier, Éditions Musée de l’Ancien ÉvêchéDépartement de l’Isère, octobre 2017, 120 pages. Retour sur l’œuvre de Jean de Beins, ingénieur et géographe du roi, qui dressa, entre 1604 et 1634, une cartographie détaillée du Dauphiné. À travers la présentation de près de soixante cartes, l’ouvrage donne à voir des paysages de l’ancienne province : vues de villes, de vallées, de sites fortifiés… Ces œuvres témoignent aussi des enjeux militaires de la maîtrise du territoire et rappellent que Jean de Beins figure parmi les pionniers de la cartographie moderne.
Lesdiguières Un prince pour les Alpes Par Stéphane Gal, Éd. Le Dauphiné Libéré, collection Les Patrimoines, janvier 2017, 50 pages, 7,90 €. Lesdiguières, maréchal, duc, pair du roi et connétable de France, connut un parcours et une ascension extraordinaire. Son image, cependant,
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en resta à jamais brouillée. à travers l’histoire singulière de cet homme et de ses contradictions, c’est aussi l’histoire d’une société en quête de stabilité et de paix avec elle-même qui se dessine, dans une France alors en pleine régénérescence après le traumatisme des guerres de Religion (15621598). Cette trajectoire, tant individuelle que collective, évoque également la promotion d’un territoire alpin, le Dauphiné, que Lesdiguières fit entrer dans une géopolitique européenne, entre France et Italie, SavoiePiémont et Suisse.
Lesdiguières : Prince des Alpes et connétable de France Par Stéphane Gal, Éd. Les Presses Universitaires de Grenoble, collection La pierre et l’écrit, novembre 2007, 429 pages, 35 €. Né sous François Ier, mort sous Louis XIII, François de Bonne, seigneur de Lesdiguières (1543-1626) connut sept rois successifs.
Rebelle aux uns, fidèles aux autres, il dut à son extraordinaire faculté d’adaptation de traverser indemne, et même grandi, le chaos des guerres de Religion qui ébranlèrent la France au tournant des XVIe et XVIIe siècles. Maréchal, duc et pair, connétable… la fortune de Lesdiguières fut exceptionnelle !
Protestants en Dauphiné Ouvrage dirigé par François Boulet, Olivier Cogne et Stéphane Gal. Éd. Les Presses Universitaires de Grenoble, collection La Pierre et l’Écrit. À l’occasion du 500e anniversaire de la publication des thèses de Luther et de la naissance du protestantisme, il est passionnant de reprendre l’importante histoire des Protestants en Dauphiné, du XVIe siècle à nos jours. Prenant appui sur les travaux menés par l’historien Pierre Bolle, qui fut le grand spécialiste du thème, l’ouvrage rassemble les contributions de quatorze spécialistes de l’histoire du protestantisme. Des enquêtes historiques récentes, inédites, permettent de revenir sur cinq siècles de présence protestante en Dauphiné,
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Si on chantait ! La La La La...
13 €
978-2-35567-122-7
Musée dauphinois
De la chansonnette à l’hymne, de la comptine à la ballade, de la berceuse au chant révolutionnaire, la chanson véhicule nos sentiments et notre pensée. Si elle appartient au patrimoine immatériel de l’humanité, la chanson populaire ne cesse de jouer un rôle majeur dans notre société contemporaine. Cet ouvrage rend compte de l’exposition Si on chantait ! La La La La... en rassemblant textes, documents et chansons diffusées ou citées tout au long du parcours. Au fil des pages, une esquisse de la chanson populaire se dessine autour des fonctions que nous lui assignons : exprimer le souvenir, le quotidien, la révolte, l’exil, la vie et, avant tout, dire l’amour ! En s’appuyant sur de nombreux exemples, Serge Hureau, directeur du Hall de la chanson, et Olivier Hussenet, comédien, chanteur et formateur, analysent la chanson, dans la relation qu’elle instaure avec l’intime et le politique, comme un art à réinterroger. La réalisatrice Péroline Barbet témoigne de la collecte conduite en Isère. Portant son regard sur la pratique et la réception contemporaine de la chanson, elle crée une installation sonore et des portraits filmés d’habitants-chanteurs de la Villeneuve à Grenoble, de choristes et d’auteurs-compositeurs-interprètes professionnels de la scène locale. Franck Philippeaux, commissaire de l’exposition, et Pierre-Vincent Fortunier, scénographe, partagent leur expérience de création d’un parcours expographique articulé autour de cet objet singulier immatériel qu’est la chanson.
Si on chantait ! La La La La... Musée dauphinois
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des coteaux de la Drôme à la Suisse, du Trièves au palais de Lesdiguières. Cinq siècles de cohabitation plus ou moins heureuse avec la majorité catholique, d’action protestante au cœur de la société, jusqu’à la naissance du planning familial, en passant par le sauvetage de la population juive pendant la Seconde Guerre mondiale. On y croisera les différents lieux, personnages et événements qui gardent en mémoire la « petite musique » spirituelle d’une minorité religieuse fort active en Isère, Drôme, Hautes-Alpes.
Grenoble 1968. Les Jeux olympiques qui ont changé l’Isère Ouvrage dirigé par Olivier Cogne. Éd. Glénat. Le Musée dauphinois et les Éditions Glénat prolongent l’exposition par un livre. Destiné au public le plus large, très illustré, cet ouvrage collectif aborde à la fois la candidature et la préparation de Grenoble, les impacts nombreux sur le territoire isérois, l’événement sportif en tant que tel, mais aussi la mémoire et l’héritage de ces Jeux
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L’Alpe n° 78 Climat, sale temps pour les glaciers Éditions Glénat/Musée dauphinois, 96 pages. Automne 2017, 15 €. Ceux qui vivent aujourd’hui en montagne visualisent les dégâts causés en temps réel. Au fond, ce ne sont pourtant pas tant les glaciers qu’il faut sauver. Pas davantage (n’en déplaise aux environnementalistes) que la planète, laquelle se débrouillera très bien (et même probablement mieux) sans nous. L’humain, en revanche, a quelque souci à se faire pour sa propre survie. Il y a soixante-cinq millions d’années, les dinosaures ne savaient pas. Et n’y étaient pour rien. Nous, si. Non seulement nous savons, mais en plus, nous en sommes (au moins partiellement) responsables. Et pas uniquement collectivement. Mais aussi et surtout individuellement. Tel est le constat qu’il faut dresser : les chercheurs, glaciologues, géographes et autres écologues sollicités pour écrire des articles sur l’état du monde, la neige, les sports d’hiver, l’alpinisme ou la végétation alpine sont unanimes. De même pour le grand historien Emmanuel Le Roy Ladurie qui en témoigne au cours d’un long entretien.
Carnet de marche. Éric Bourret 2015/2016
Belledonne, Dévoluy, Oisans, Vercors Olivier Cogne, Chantal Spillemaecker, Élisabeth Chambon, Pierre Padovani (textes), traduction (anglais) par Gila Walker Arnaud Bizalion Éditeur, 265 x 164 mm, 256 pages, relié cartonné, 138 reproductions couleur, 33 €. L’œuvre d’Éric Bourret, « artiste marcheur », s’inscrit dans la lignée des Land-Artists anglais et des photographes-arpenteurs de paysages. Dans ses images, Éric Bourret exprime les transformations sensorielles et physiques profondes que provoque la marche. L’expérience du trajet parcouru exacerbe la perception et la réceptivité au paysage. En réponse à l’invitation du Musée dauphinois, animé par la découverte de nouveaux espaces, il a consacré les hivers 20152016 à arpenter, photographier les montagnes situées en Belledonne, Dévoluy, Oisans et Vercors, quatre massifs emblématiques de l’Isère. Nées de cette collaboration, ses images transcrivent cette nature remarquable. 45
Si on chantait ! La, La, La, La... Ouvrage sous la direction de Franck Philippeaux, conservateur du patrimoine au Musée dauphinois. Éd. du Musée dauphinois, décembre 2016, illustré couleur, 80 pages, 13 €. De la chansonnette à l’hymne, de la comptine à la ballade, de la berceuse au chant révolutionnaire, la chanson véhicule nos sentiments et exprime notre pensée. Formidable lien, elle nous rassemble et enrichit l’immense répertoire de la littérature orale. Les auteurs de cet ouvrage qui accompagne l’exposition présentée au Musée dauphinois, questionnent les fonctions sociales des œuvres musicales. De nombreux exemples locaux illustrent leurs réflexions, qui dépassent les frontières iséroises.
Le Centre de ressources documentaires
Le musée
Centre de ressources documentaires du monde alpin, le Musée dauphinois est ouvert aux chercheurs, aux étudiants ainsi qu’aux amateurs d’histoire et de patrimoine. Il est constitué d’une bibliothèque, d’une iconothèque, d’une photothèque et d’une phonothèque. L’iconothèque et la photothèque réunissent des dizaines de milliers de dessins, estampes, affiches, cartes et plans, cartes postales, photographies …. Plus de deux mille films, deux mille cinq cents enregistrements sonores et près de vingt-cinq mille ouvrages complètent ce fonds. Depuis une quinzaine d’années des campagnes de numérisation complètent l’étude des collections et favorisent leur valorisation auprès des chercheurs, des établissements culturels et du public. À ce jour, près de 70 000 objets et documents confondus ont pu en bénéficier, dont une partie est visible sur une base en ligne à la rubrique Ressources & Collections sur le site internet du musée : www.musee-dauphinois.fr/148-collections.htm La consultation des documents est possible uniquement sur place (pas de prêts de documents). L’accès aux Centre de ressources documentaire se fait sur rendez-vous du lundi au vendredi. Renseignements au 04 57 58 89 01
Venir au musée Accès piétons Par la montée de Chalemont : accès place de la Cymaise, fontaine au lion. Attention : fermeture de la passerelle Saint-Laurent à partir d’octobre 2017, pour une durée d’une année. Par les sentiers de la Bastille : la carte des sentiers reliant la Bastille au Musée dauphinois est disponible sur www.bastille-grenoble.fr/sentier.htm
En véhicule • Accès depuis l’autoroute Lyon-Grenoble ou Valence-Grenoble : prendre la sortie Grenoble-Bastille • Accès depuis l’autoroute ChambéryGrenoble : prendre la sortie Grenoble-Centre-ville • Accès par la rue Maurice Gignoux : passer sous le porche du quai Perrière, stationnement à 30 m • Parkings : Philippeville, Office de tourisme, Musée de Grenoble, Esplanade (gratuit).
Accueil des personnes à mobilité réduite Le musée est partiellement accessible aux personnes à mobilité réduite. Renseignements au 04 57 58 89 01
Le Musée dauphinois fait partie du réseau des 10 musées départementaux dont l’entrée est gratuite, avec : la Maison BergèsMusée de la Houille blanche, le Musée archéologique Grenoble Saint-Laurent, le Musée de l’Ancien Évêché, le Musée d’art sacré contemporain Saint-Hugues-de-Chartreuse, le Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère, le Musée de la Révolution française-Domaine de Vizille, le Musée de Saint-Antoine-l’Abbaye, le Musée Hébert et le Musée Hector Berlioz.
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LES SPORTS D’HIVER DANS LES ALPES Exposition permanente
Exposit
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NIVEAU 2 GENS DE L’ALPE Exposition permanente
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➤ SI ON CHANTAIT ! LA, LA, LA, LA... jusqu’au 5 février 2018
➤ LESDIGUIÈRES, LE PRINCE OUBLIÉ du 21 octobre 2017 au 16 juillet 2018
Espace découverte
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REZ-DE-CHAUSSÉE ➤ GRENOBLE 1968, LES JO QUI ONT CHANGÉ L'ISÈRE
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du 6 février 2018 au 7 janvier 2019
➤ PHOTOGRAPHIES D’ÉRIC BOURRET Jusqu'au 23 octobre 2017
Cloître
Cour d’entrée
Rotonde Cloître
Terrasses
ACCUEIL
Séchoir
Boutique
Jardin des Cairns
➤ POP EN FRANCE du 27 novembre 2017 au 30 juin 2018
Chœur des religieuses
NIVEAU -1 PARCOURS MUSÉOGRAPHIQUE DU COUVENT
CHAPELLE
Roseraie Administration
Chaque week-end, une restauration vous est proposée au Musée dauphinois. Pour prolonger votre visite agréablement et profiter de la beauté des lieux.
L’entrée est gratuite pour tous
www. musee-dauphinois.fr Le musée est ouvert tous les jours sauf le mardi, et les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre de 10 h à 18 h du 1er septembre au 31 mai et de 10 h à 19 h du 1er juin au 31 août Musée dauphinois 30 rue Maurice Gignoux Grenoble 04 57 58 89 01 musee-dauphinois@isere.fr
Conception graphique : Hervé Frumy assisté de Francis Richard - 2017 / Toutes photos prises au Musée dauphinois : Denis Vinçon
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