Le vitrail

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| Culture | Musée départemental des Antiquités à Rouen Exposition « Le vitrail, chefs-d’œuvre cachés du musée » Du 28 mai 2013 au 5 janvier 2014 En 2013, le Musée Départemental des Antiquités a souhaité programmer une exposition temporaire consacrée aux vitraux et cartons de vitraux de sa collection. Celle-ci présente des pièces issues du sol archéologique de Notre-Dame de Bondeville, de Jumièges ou de la cathédrale de Rouen mais également des œuvres inédites sorties spécialement de ses réserves. L’exposition propose en premier lieu un parcours dans le musée grâce auquel le visiteur pourra ainsi porter un nouveau regard sur 2 les quelque 80 m de verrières des galeries du cloître, en admirant avec une attention particulière les grisailles et les représentations de deuxième plan. Il y fourmille quantité de détails, comme autant de trésors cachés évoquant la vie et les coutumes de la société des siècles passés, les modes et les monuments. La seconde partie de l’exposition reproduit l’intimité et l’atmosphère si particulières des églises et cathédrales pour présenter documents, croquis, fragments et cartons de vitraux. Il est à noter que Le vitrail, chefs-d’œuvre cachés du musée prend toute sa place dans l’actualité culturelle rouennaise qui verra se dérouler le colloque international de l’association Verre et Histoire, à Rouen et dans la vallée de la Bresle, du 4 et 6 avril 2013. Au même moment se tiendra à l’Hôtel de Région une exposition sur les collections de verre de l’ensemble des musées de HauteNormandie. Enfin, l’association des Amis des Musées Départementaux a participé à cette année consacrée au verre, en organisant un cycle de conférences sur « Le verre dans tous ses éclats ».

Exposition ouverte du 28 mai 2013 au 5 janvier 2014, tous les jours sauf le lundi, de 10h à 12h15 et de 13h30 à 17h30. De 14h à 18h le dimanche.

Tarifs : 3,50 € / 2,50 € (personne de plus de 65 ans, famille nombreuse, groupe de plus de 15 personnes) / Gratuit pour les moins de 18 ans, les étudiants et les demandeurs d’emploi Musée départemental des Antiquités 198, rue Beauvoisine 76000 Rouen Tél : 02 35 98 55 10 / musee-des-antiquites@cg76.fr www.museedesantiquites.fr Département de Seine-Maritime Direction des Sites et Musées / Contact : Sophie Cabot Tél : 02 35 15 69 22/ Mail : sophie.cabot@cg76.fr

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Historique du vitrail

Le vitrail est une composition décorative formée de plusieurs pièces colorées, assemblées par des baguettes de plomb. Cet art existe depuis les époques les plus reculées. Les Romains l’utilisent ainsi pour fermer les vides, des claustra et les ouvertures de leurs maisons. En France, le plus ancien vitrail recensé à ce jour, daté du IXème siècle, a été retrouvé dans l’ancien cimetière picard de Séry-lès-Mézières. Il est malheureusement détruit lors de l’incendie du musée de Saint-Quentin en 1918. C’est au XIIème siècle que le vitrail commence sa remarquable ascension. Si les murs épais des églises romanes de taille modeste sont percés de petites fenêtres, les ouvertures des édifices religieux de plus grande taille sont clôturées de vitraux historiés à médaillons. Ces derniers renferment des scènes de la Bible, mais aussi de la vie quotidienne. C’est en Allemagne, dans la cathédrale d’Augsbourg, que l’on trouve le plus ancien ensemble de vitraux admirablement conservé représentant cinq prophètes de l’Ancien Testament : David, Moïse, Daniel, Osée et Jonas. L’architecture gothique, avec ses larges fenêtres baignées de lumière, favorise l’épanouissement de l’art du vitrail. La palette du peintre-verrier se diversifie et les premières grandes rosaces fleurissent dans les cathédrales. Le XIVème siècle, riche en découvertes techniques, permet de faire évoluer l’art du vitrail. Ainsi, le jaune d’argent, mélange de sels d’argent et de cément, permet d’obtenir une large gamme de tons transparents, allant du jaune pâle au jaune orangé. Il peut colorer partiellement un verre et ne nécessite pas de soudure au plomb. Le verre doublé est une autre innovation majeure. Il permet, en superposant deux couches de verre d’épaisseur et de teinte différentes, de rendre les couleurs plus éclatantes et lumineuses. Enfin, le putoisage, une nouvelle technique picturale née vers 1380, donne un aspect granuleux à un aplat de peinture. La France est alors le pays qui abrite les plus importants ensembles de vitraux. Les ateliers de verrerie les plus fameux sont situés en Normandie où des œuvres, comme celles de l’église Saint-Ouen, sont réalisées. Le XVème siècle est une période de transition où dominent les ateliers de verriers flamands. Ce siècle est caractérisé par l’abandon des grandes baies et des vitraux à médaillons et par un vif intérêt pour la figure humaine. La grisaille et le jaune d’argent sont largement utilisés ainsi que les fonds damassés d’inspiration orientale. La perspective et une gamme de couleurs enrichie rendent les vitraux plus réalistes et lumineux. Par ailleurs, ces derniers deviennent une spécialité des peintres qui désirent dissimiler les plombs et augmenter la taille des pièces de verre. En France, au XVIème siècle, les formes et styles venus de Flandres inspirent les artistes verriers. Les XVII et XVIIIème siècles sont synonymes de déclin. Les guerres et les conflits religieux, lors desquels des fabriques de verres de couleur sont détruites, l’art Baroque qui réclame davantage de verre blanc, concourent à cette décadence du vitrail. L’intérêt pour le vitrail s’éteint ainsi que l’élan créateur. Au XIXème siècle, le vitrail de même que son ancienne technique de fabrication renaissent. Ainsi, l’architecte français Viollet-le-Duc lance un vaste programme de restauration de vitraux endommagés. L’Art nouveau redonne ses lettres de noblesse au vitrail dont les réalisations sont de plus en plus personnelles. Durant le premier tiers du XXème siècle, les verriers adoptent de nouveaux matériaux tels que le béton afin de perfectionner leurs techniques et de laisser s’exprimer leur créativité. En France, de grands peintres contemporains comme Fernand Léger ou Marc Chagall participent au renouveau de l’art du vitrail. De nos jours, de nouvelles générations de verriers, diplômés d’écoles d’art ou d’arts appliqués, utilisent des moyens techniques modernes et continuent d’insuffler la vie à cet art ancestral. Sources : Le vitrail, Pere Valldepérez, Gründ, Paris, 2001 Le vitrail français, J. Lafond, Paris, 1958. http://www.centre-vitrail.org/fr/le-vitrail-au-xxe-siecle,27.html

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Les étapes de la fabrication d’un vitrail

1-Souffler le verre a- Le verre est obtenu par la fusion de la silice, comme le sable, d’éléments fondants, comme des cendres de plantes marines ou terrestres. La silice est le composant principal. Plus elle est en quantité importante, plus le verre sera dur. Afin de colorer le verre dans la masse, des oxydes métalliques sont ajoutés dans la pâte bouillante. Au Moyen-âge, le manganèse était ainsi utilisé pour obtenir du violet. b- Coulé sur table, c'est-à-dire versé et étendu sur une table de bois ou un lit de sable, le verre plat ou verre à vitre fut obtenu dès le XIIe siècle selon les deux techniques de soufflage suivantes :  La technique du verre soufflé en manchon (ou tableau) : le verrier souffle une bulle cylindrique dont il coupera les deux extrémités avant de la fendre sur toute sa longueur. Le cylindre ouvert est ensuite placé dans un four de recuisson pour être complètement déroulé.  La technique du verre soufflé en plateau (ou cive) : le verrier souffle une bulle qu'il ouvrira à une extrémité pour obtenir, par un mouvement très rapide de rotation, un disque plat. 2-Dans l’atelier du peintre-verrier a- L’esquisse ou maquette On réalise un premier projet en général à l'échelle 1/10 en suivant les désirs des commanditaires : iconographie, couleurs, formes… b- Le carton Le carton est l'agrandissement de la maquette à la grandeur d'exécution, sans indication de couleur. Il doit préciser, entre autres, le réseau de plomb qui reliera les pièces de verre entre elles. C’est l’équivalent du patron chez la couturière... Le dessin est réalisé au fusain ou au lavis. Les plombs sont marqués à l'encre de chine. c- Le calque, le tracé et le calibrage Le calque du carton est à son tour reporté à l'aide de feuilles de carbone sur un papier bulle assez fort appelé tracé. Le dessin obtenu est une sorte de puzzle, le calibrage, dont chaque élément est numéroté pour en faciliter l'assemblage une fois découpé. Le découpé se fait à la lame ou au ciseau. d- Le choix et la coupe du verre Les calibres sont posés sur la feuille de verre et les formes sont découpées en suivant les contours à l'aide d'un diamant (dès la fin du XVe siècle). Les irrégularités sont ensuite corrigées à l’aide d’une pince nommée grugeoir. e- La peinture et la cuisson Si le vitrail comporte de la peinture, on procède à un assemblage des pièces à peindre. On applique des couleurs vitrifiables ou de cémentation: le verre se colore et devient plus ou moins translucide par la cuisson. Jusqu’au début du XIVe siècle, le peintre verrier ne dispose que d’une peinture vitrifiable appelée grisaille. Au cours des siècles, des innovations, tel l’usage du jaune d’argent, de la sanguine et des émaux, offriront un plus large choix. Pour fixer cette peinture, il faut porter les pièces peintes à une température de 500 à 600 degrés. f- Le sertissage (ou mise en plomb) et le soudage Cela consiste à assembler définitivement les morceaux de verre en encastrant chaque pièce dans des baguettes de plomb en forme de H. Les points d'intersection sont enfin soudés à l'étain. g- La pose Les panneaux sont alors prêts à être posés dans la fenêtre où le serrurier aura installé l’armature. Celleci est composée de barlotières destinées à recevoir les panneaux maintenus par un feuillard (cf. glossaire). Sources : www.ecomusee-broceliande.com Vitrail, Art de lumière, F. Perrot et Anne Granboulan, Rempart, Paris, 1998.

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Petit Glossaire du Vitrail Barlotière : barre de fer placée entre les panneaux servant à les maintenir dans la baie. Blaireau : pinceau pour peindre ou pour dorer. Cale à égriser : pierre ou papier abrasif permettant d'égriser, c'est-à-dire de polir les morceaux de verre découpés. Calibre : patron en papier d'une pièce de verre d'un vitrail. Carnation : nom donné à une couleur blanc rose utilisée pour peindre les chairs. Carton : agrandissement grandeur nature de la maquette, dessiné sur papier fort. Chef d’œuvre : pièce de verre sertie au milieu d'une autre pièce de telle sorte que le plomb qui l'entoure ne se joint pas au réseau de plomb du panneau. Clavette : pièce métallique amovible qui bloque le feuillard contre le panneau de vitrail pour le maintenir en place. Clous de sertissage : pointes métalliques qui maintiennent en place les pièces de verre et les baguettes de plomb au cours de la mise en plomb. Damassé : décor régulier et répétitif dont les motifs sont d’inspiration orientale. Diamant contourneur : outil servant à couper le verre (utilisé seulement à partir du XVIème siècle), constitué d'un diamant monté sur sabot et d'un manche. Email : couleur vitrifiable autre que la grisaille utilisée pour peindre sur le verre des tons vifs comme le vert ou le violet. Feuillard : barre en lame placée sur la face du panneau pour le serrer contre la barlotière. Grisaille : peinture vitrifiable composée d’un fondant et d’oxydes métalliques. Sa couleur est souvent noire ou brune. Jaune d’argent : couleur de cémentation variant du jaune pâle au jaune orangé. La couleur apparaît pendant la cuisson. Marteline : petit marteau utilisé lors de la coupe des pièces. Panneton : pièce métallique soudée perpendiculairement à la barlotière sur laquelle repose le panneau. Petit-gris : pinceau permettant d’obtenir une grande finesse d’exécution. Pince à gruger : outil servant à rogner les bords des pièces de verre. Putois : brosse dure en poil de putois qui permet de réaliser un aspect granité dit « putoisé ». Roulette : instrument utilisé pour la coupe des pièces. Sertissage ou mise au plomb : assemblage des verres et des plombs afin de former un panneau. Treillis : armature métallique maintenant les différents panneaux qui composent le vitrail. Vergette : tige métallique qui renforce la solidité d’un panneau.

Schéma explicatif 1 Barlotière 2 Feuillard 3 Panneton 4 Clavette 5 Attache 6 Vergette

Source du schéma : http://www.prisme-vitrail.com

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Grisaille et jaune d'argent

Source de l’image : http://www.infovitrail.com

Bibliographie RISON-PELLEN Evelyne, L’inconnu du donjon, Gallimard, Paris, 1997. Les routes de Bretagne sont peu sûres en cette année 1354. Le jeune Garin se trouve pris dans une bagarre entre Français et Anglais, et enfermé au château de Montmuran. Son compagnon de cellule est un drôle de prisonnier, un homme dont personne ne sait le nom. Garin découvre son identité. Hélas, cela ne va lui causer que des ennuis, surtout lorsqu'on s'aperçoit que le prisonnier s'est mystérieusement volatilisé... GROUSSET Alain, La citadelle du vertige, Le livre de poche jeunesse, 2007. Simon est tailleur de pierres. Il vit au sommet de la cathédrale mais rêve de voir le monde "d'en bas", d'aller toucher le sol. Le jour où son père meurt dans d'étranges circonstances, il décide d'emprunter l'escalier interdit... NOGUES Jean-Come, Le faucon déniché, Pocket jeunesse, 2003. Un faucon ! Martin adorerait en avoir un. Hélas, seuls les seigneurs ont ce droit. Et le jeune garçon est un serf... Malgré les lois féodales, Martin déniche un jour un oisillon... "Personne, jamais, ne nous séparera. Personne !", murmure Martin à son nouvel ami. Mais dans l'ombre de la forêt, l'impitoyable fauconnier du château veille... Il veut faire du rapace l'oiseau le plus féroce, le plus avide et le plus cruel de la fauconnerie...

Sitographie http://www.monuments-nationaux.fr/fr/conservation/monuments/les-grands-chantiers/bdd/chantier/14 http://www.monuments-nationaux.fr/fr/conservation/monuments/les-gestes-du-patrimoine/ http://www.centre-vitrail.org/fr/le-vitrail-au-xxe-siecle http://www.ecomusee-broceliande.com http://www.infovitrail.com

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Animations pour les scolaires

Visite libre de l’exposition : sur réservation préalable auprès du service des publics, selon disponibilité des lieux. Tarif : gratuit Visite commentée de l’exposition : sur réservation préalable auprès du service des publics, selon disponibilité des lieux et des conférenciers. Tarifs : 18€ par classe pour les maternelles et les primaires, 26€ par classe pour les collèges et les lycées. Durée : de ¾ d’heure pour les plus petits à 1h. Atelier « Vitrail » : sur réservation préalable auprès du service des publics, selon disponibilité des lieux et des conférenciers. Tarifs : 26€ par classe pour les maternelles et les primaires, 34€ par classe pour les collèges et les lycées. Durée : 1h30. Service des Publics et de la Communication 02 35 15 69 11 Musees.departementaux@cg76.fr Du lundi au vendredi.

Animations pour les scolaires pouvant être associées à la découverte de l’exposition :  Cycles 1 Visites commentées (durée 45 minutes à 1h) Découverte de la matière et de la couleur Présentation de tous les types de matériaux et des couleurs qui forment les œuvres du musée. Une mallette contenant des échantillons de matériaux permet aux enfants de toucher et de ressentir les sensatiosn liées à ce sens. Objectifs pédagogiques : mettre un nom sur les matériaux, réviser les couleurs. Essayer de faire des associations matériaux / couleurs.

 Cycles 2 et 3 Visites commentées (durée 45 minutes à 1h) Le temps des abbayes et des cathédrales La Normandie s’est très tôt couverte de monuments liés à la diffusion du christianisme dans la région. Haut lieu de la religion chrétienne, elle a vu se multiplier les ensembles conventuels et édifices religieux, dont un certain nombre d’éléments de décoration sont présentés au musée Objectifs pédagogiques : resituer le développement du christianisme dans le Moyen Age, comprendre son importance dans la multiplication des œuvres d’art.

La vie quotidienne au Moyen Age Eléments de décor des habitations, mobilier, vaisselle et habillement sont les principaux thèmes abordés au cours de cette visite. Objectifs pédagogiques : connaître le cadre de vie du Moyen Age, avoir une idée de la vie quotidienne pour se représenter de manière plus concrète cette période.

L’art au Moyen Age Sculptures, vitraux, tapisserie et orfèvrerie sont les supports de l’art du Moyen Age, et permettent souvent de faire passer informations et connaissances. Objectifs pédagogiques : découvrir les différents supports de l’art au Moyen Age, essayer de voir les grandes lignes directrices et les principaux courants.

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Le vitrail : technique et iconographie Les collections de vitraux du musée permettent de retracer l’histoire de cette technique dans notre région. On expliquera aux élèves les techniques d’obtention, de coloration, de façonnage et d’assemblage du verre, ainsi que les principales sources d’inspiration iconographique. Objectifs pédagogiques : approfondir les connaissances dans une technique particulière, acquérir un vocabulaire spécifique.

 Collèges et lycées Visites commentées (durée 1h) L’art au Moyen Age Evocation des différentes techniques représentées au musée : tapisserie, vitrail, émaux, joaillerie, orfèvrerie, sculpture sur bois et sur pierre….Eléments d’analyse stylistique, iconographie. Objectifs pédagogiques : avoir un aperçu des différentes formes d’expression artistique, comprendre les sources d’inspiration. Acquérir quelques notions techniques et un peu de vocabulaire.

Le vitrail : technique et iconographie Techniques de fabrication : obtention du verre et des différentes couleurs, technique de la grisaille, les plombs. Iconographie. Evolution de la technique. Objectifs pédagogiques : acquérir des notions de vocabulaire et de technique, savoir désigner les différents éléments par leur nom. Cerner le processus de fabrication, avoir des notions quant aux maîtres verriers.

Les débuts du christianisme en Normandie Les premières abbayes, leur implantation, éléments décoratifs provenant des monuments religieux de la région. Influence sur les arts au Moyen Age, choix iconographiques. Objectifs pédagogiques : découvrir les éléments de décoration des premiers édifices chrétiens, comprendre l’importance des établissements conventuels dans la diffusion du christianisme.

L’univers des romans de chevalerie Parcours défini à partir de Lancelot, le chevalier de la charrette et Yvain ou le chevalier au lion de Chrétien de Troyes. La liste des textes à travailler en classe au préalable peut vous être fournie au moment de la réservation. Objectifs pédagogiques : pouvoir associer un environnement, une époque et un mode de vie à des textes étudiés en classe, faire le lien entre le texte et les objets du quotidien.

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Table des matières

Communiqué de presse

p.2

Historique du vitrail

p.3

Les étapes de la fabrication d’un vitrail

p.4

Petit glossaire du vitrail

p.5

Bibliographie et sitographie

p.6

Animations pour les scolaires

p.7

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