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New Security et Alia Security Day reprennent le service en présentiel !

L’année dernière, l’Alia Security Day avait dû être annulé. Mais en 2021, l’association professionnelle belge de la sécurité électronique a décidé de mettre le paquet. Après avoir organisé plus tôt cette année un événement virtuel, le Security Day est «physiquement » de retour à l’automne, avec le salon New Security. Nous avons tendu notre micro au nouveau secrétaire général, Patrick Van Liempt.

Informations pratiques

Où ?

Brabanthal Leuven

Quand ?

• New Security o Mercredi 17 novembre de 10 h à 21 h o Jeudi 18 novembre de 10 h à 18 h • Alia Security Day : mercredi 17 novembre de 9 h 30 à 12 h 30.

Comment s’inscrire ?

Inscription obligatoire et gratuite sur www.newsecurity.be Patrick Van Liempt est depuis le 1er juin 2021 le nouveau secrétaire général d’Alia Security. Bon nombre d’entre vous le connaissent probablement déjà. Son engagement dans le secteur de la sécurité ne date en effet pas d’hier. Il a déjà été actif au sein d’AIA et a souvent participé à des groupes de travail. « Le but du Security Day by Alia Security est d’organiser une rencontre annuelle, afin de fournir des informations novatrices et pertinentes aux installateurs et parties prenantes comme des administrations, bureaux de consultation, conseillers en prévention, services de police, pompiers, pouvoirs publics », ajoute-t-il. « Au travers des interventions de nos différents orateurs, nous aborderons des thèmes d’actualité comme les nouvelles technologies, la sécurité, les normes et la législation. »

Security @ your service

Au début de cette année, un événement virtuel dédié à la cybersécurité a été organisé. « Ce prochain événement portera sur Security@your service », explique Patrick Van Liempt. « Lors des conférences, nous approfondirons le sujet de l’évolution du marché de la sécurité. La profession d’installateur de sécurité électronique change sans cesse : les nouveaux produits et technologies se succèdent à un rythme effréné. Intelligence artificielle, cyberattaques, législation, formation, business model, etc. Ajoutez-y le marché de la consommation changeant, et l’on peut se poser à juste titre la question : comment rester à la page et éviter les pièges ? Cette nouvelle édition de l’Alia Security Day est là pour nous et vous tenir à jour. »

Salon New Security

L’Alia Security Day a lieu le premier jour du salon New Security. Ce salon annuel est un rendez-vous incontournable pour tous les acteurs du secteur de la sécurité. Les inscriptions ont débuté le 9 septembre, et à la grande satisfaction de l’organisateur, FCO Media, les visiteurs se sont rapidement manifestés. « Le besoin d’un événement professionnel après la longue absence due au COVID-19 est évident », explique Filip Cossement, de FCO Media. « Nous proposons un salon professionnel complet, avec exposants de qualité, conférences captivantes et ambiance conviviale. Nous mettons en outre l’accent sur la sécurité de tous : New Security est placé sous le signe du Covid Safe Ticket. »

 Linda Claeys

 Patrick Van Liempt : « L’Alia Security Day sera cette année dédié au thème Security@ your service, avec des conférences sur l’évolution du marché de la sécurité. »

Y a-t-il encore moyen de réparer les outils professionnels?

En tant qu’installateur, vous avez certainement toutes sortes d’outils électriques, avec ou sans fil, dans vos boîtes à outils. Il s’agit bien souvent d’appareils coûteux. Mais peut-on encore les faire réparer? Et pendant combien de temps les pièces de rechange seront-elles disponibles? Et qu’en est-il des batteries? Pendant combien de temps seront-elles disponibles? Nous avons interrogé différents fabricants pour connaître leur politique en la matière, mais rares sont ceux qui étaient disposés à répondre à nos questions. Heureusement, Makita a accepté de s’exprimer et le distributeur spécialisé Lecot a pu nous en dire plus.

«On répare encore les machines professionnelles», nous annonce d’emblée Tom Van Biervliet, product manager Machines & Accessoires chez Lecot. «Tout dépend évidemment du coût des réparations : la réparation reviendrait-elle plus cher que la valeur résiduelle de l’appareil ou qu’un appareil neuf? Il y a parfois aussi des raisons techniques de ne pas réparer : la machine n’est plus réparable, les pièces de rechange ne sont plus disponibles...» Makita nous confirme qu’on répare encore les outils. Comme l’explique Peter Bossens, product assistant chez Makita : «Oui, bien sûr qu’on fait encore des réparations de machines. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui devraient pousser à choisir une marque fiable, possédant de préférence son propre service de réparation en Belgique. Chez Makita, nous réparons presque toutes les machines dans notre propre atelier, même les anciens modèles. Dans les cas où la réparation d’une machine d’un certain âge reviendrait trop cher, nous en discutons évidemment avec le client et celui-ci peut parfois bénéficier de conditions avantageuses à l’achat d’un nouvel appareil.»

Disponibilité des pièces de rechange?

Se pose ensuite la question : pendant combien de temps les pièces de rechange sont-elles disponibles? Qu’est-ce qui constitue un délai raisonnable? Y a-t-il des dispositions légales? «À notre connaissance, il n’existe pas de dispositions légales strictes applicables à cette catégorie d’appareils, comme c’est le cas par exemple pour les produits blancs», affirme Tom Van Biervliet. «Le délai de disponibilité peut donc varier d’un fabricant à l’autre, mais, dans les gammes professionnelles, nous constatons que les pièces de rechange restent disponibles entre 7 et 10 ans après la fin de la production d’un appareil.» Chez Makita, ce délai dépend de l’appareil : «Les pièces de rechange restent en principe disponibles pendant 7 ans. Ce délai peut être plus long pour certaines machines actuelles.»

Sans fil?

Les appareils sans fil ont la cote depuis longtemps auprès des consommateurs. Mais sont-ils aussi utilisés dans un contexte professionnel? Ils sont de plus en plus populaires, cela ne fait aucun doute», nous explique Peter Bossens. «Grâce aux technologies les plus récentes, les machines nécessitant une grande puissance – comme les découpeuses, par exemple – peuvent être proposées dans leur version sans fil et tenir la dragée haute aux versions sur secteur ou à moteur thermique.» Chez Lecot également, on constate leur popularité croissante, qui s’explique par leur flexibilité et le grand nombre d’appareils disponibles. «Au fil des années, la capacité des batteries a connu une telle évolution que de plus en plus d’applications (y compris des applications lourdes) sont possibles au moyen d’appareils sans fil», affirme Tom Van Biervliet. «À l’heure actuelle, le chiffre d’affaires des plus grandes marques se compose de 60-70 % de machines sans fil contre 30-40 % de machines sur secteur. Mais toutes les marques n’évoluent pas à la même vitesse, et certaines ne réalisent que 30 % de leur chiffre, voire moins encore, avec les machines sans fil.»

Disponibilité des batteries?

Et qu’en est-il du remplacement des batteries? Sont-elles disponibles suffisamment longtemps? «Si vous optez pour une marque fiable, cela ne devrait pas poser problème», souligne Peter Bossens. «Au cours des premières années de la technologie des batteries, nous avons effectivement connu des évolutions très rapides qui font que les batteries étaient dépassées au bout de quelques années. Mais la situation s’est stabilisée depuis l’arrivée de la technologie Lithium-ion. Au sein d’une plateforme de batterie donnée, nous observons encore de lentes évolutions vers une plus grande capacité ou une plus grande densité énergétique, par exemple, mais nous essayons toujours de garantir une compatibilité maximale. Les anciennes et nouvelles batteries restent donc utilisables sur les machines neuves comme sur les anciennes. Si une plateforme de batterie venait à ne plus être prise en charge, la technologie aura probablement tellement progressé que le client aura de toute façon intérêt à passer à la nouvelle technologie.»

 Linda Claeys

Françoise Chombar:

« Les STEM sont un moyen d’arriver à un meilleur équilibre entre les genres »

Début août, Françoise Chombar a démissionné de ses fonctions de CEO de Melexis, une entreprise dont elle est cofondatrice. Elle en est maintenant la présidente, ce qui lui laisse plus de temps pour s’impliquer davantage dans ses autres engagements. L’une de ces activités est la présidence de la plateforme STEM, un groupe d’experts indépendant qui conseille le gouvernement flamand et propose des priorités dans le domaine des STEM (Science, Technology, Engineering, Mathematics). Les étudiants restent trop peu nombreux à opter pour des filières STEM, et l’implication dynamique de Françoise Chombar est donc la bienvenue. Dans un entretien avec notre conseillère de direction Fallon Declerck, elle explique d’où vient son engagement actuel et comment elle compte soutenir les STEM à l’avenir.

Qui l’aurait cru ? Françoise Chombar, ancienne CEO de l’entreprise de semiconducteurs Melexis, n’a pas reçu de formation technique. Elle a décroché une licence en interprétation. D’où vous est venu ce choix d’études, et comment avez-vous malgré tout terminé dans une entreprise technologique ? « J’étais douée pour les langues », se souvient-elle. « Et mes parents, comme beaucoup à l’époque, trouvaient que les formations scientifiques n’étaient pas vraiment faites pour les jeunes filles. C’est un préjugé contre lequel nous luttons encore aujourd’hui. C’est ainsi que j’ai choisi des études d’interprète alors que je m’intéressais déjà à la technologie, et surtout à la mécanique. Pendant mes études à Gand, deux événements m’ont quand même poussée vers la technologie. Il y a eu tout d’abord le grand salon Flanders Technology International, qui m’a fait une très forte impression. L’image iconique de cette poignée de main entre un robot et un humain m’a marquée à jamais. Et puis il y a eu l’amour. » (sourire) Il ne fait aucun doute que ce dernier élément a été déterminant : l’époux de Françoise Chombar, Rudi De Winter, a fait des études à orientation technologique et a su transformer cet intérêt déjà présent pour la technologie en une véritable passion. Ils ont fait ensemble la connaissance de Roland Duchâtelet, ils ont fondé le précurseur de Melexis... Et on peut trouver la suite de cette histoire réussie sur le site web de Melexis et dans les nombreux articles parus depuis lors dans la presse.

Une militante du libre choix

Parallèlement à son emploi du temps bien chargé à la tête de Melexis, Françoise Chombar plaide la cause des STEM depuis 2016. « Il y a actuellement une énorme pénurie de profils techniques », précise-telle pour expliquer son choix. « Dans notre pays, il y a nettement moins de jeunes qui entament et qui terminent des formations STEM que chez nos voisins. L’une des causes possibles, selon moi, est que les jeunes doivent souvent choisir leurs études sans connaître à fond toutes les possibilités. Ils n’ont pas conscience du fait qu’ils peuvent faire la différence dans la société dans un métier technique ou scientifique. Si on leur dit, par exemple, qu’ils peuvent contribuer à régler le problème du climat ou faire une réelle différence dans les soins de santé, on a tout de suite toute leur attention. Les jeunes filles, en particulier, y sont sensibles. Il y a un énorme travail d’information à faire, et c’est l’une des choses auxquelles je souhaite me consacrer. » « Et lorsque les jeunes choisissent finalement leurs études, il ne s’agit pas d’un choix personnel, ils sont guidés par leurs parents, par leur environnement, par la société... J’en suis la preuve vivante. Malheureusement, les métiers techniques n’ont pas bonne réputation. On leur attribue à tort moins de valeur, et c’est un préjugé qu’il faut faire disparaître également. C’est un combat que je mène avec plaisir, car je suis sincèrement convaincue que chaque enfant doit pouvoir choisir librement ses études en fonction de ses propres talents. Les jeunes qui ont la possibilité de développer leurs talents se lassent moins rapidement de l’école, ils sont plus heureux à long terme et ils apporteront une grande valeur ajoutée à la société à l’avenir. »

Que faut-il améliorer ?

Et qu’en est-il de la qualité des filières STEM dans l’enseignement ? Françoise Chombar : « L’un des plus grands défauts est la tendance au cloisonnement, cette attitude

Françoise Chombar en bref

Cofondatrice et CEO pendant 18 ans de l’entreprise de semi-conducteurs Melexis. À présent présidente du conseil d’administration Administratrice indépendante d’Umicore. Administratrice indépendante de Soitec (spécialiste des semi-conducteurs). Présidente de la plateforme STEM. Lauréate du Vlerick Award en 2016 et du BNP Paribas Global Prize for Women Entrepreneurs en 2018. rigide qui sépare chaque spécialité de toutes les autres et qui ne s’efforce pas de créer des liens entre elles. Et pourtant, c’est précisément cette association de différents domaines de connaissances qui permet de mieux comprendre l’objectif ultime des études : ce qu’elles permettent de faire, les objectifs réalisables, comment elles peuvent faire la différence pour l’humain, la société ou l’environnement... » Françoise Chombar plaide aussi pour une meilleure collaboration avec le monde de l’entreprise. « J’ai récemment discuté

avec un installateur HVAC qui avait découvert que son stagiaire travaillait d’une manière complètement dépassée. Il est inimaginable que les écoles continuent d’enseigner des techniques désuètes alors que de nombreuses entreprises piétinent d’impatience de faire découvrir les dernières possibilités aux élèves. » Dans ce cadre, il est recommandé que les enseignants suivent régulièrement de nouvelles formations. « L’apprentissage tout au long de la vie n’est pas vraiment populaire dans notre pays, mais c’est indispensable pour certains métiers », précise encore Françoise Chombar. « Et ce n’est pas un luxe non plus pour les enseignants ! Il faut absolument qu’ils suivent l’évolution de la technique, qu’ils renouvellent leurs connaissances et qu’ils puissent faire découvrir les dernières innovations à leurs élèves. Ce n’est certainement pas une sinécure sur un marché technologique en constante mutation, mais c’est indispensable. » Même s’il reste encore beaucoup de pain sur la planche pour l’enseignement des STEM, on observe un certain nombre d’aspects positifs. Ce terme est désormais bien reconnu, et jouit d’une perception favorable. La « marque » STEM est solide.

L’apprentissage tout au long de la vie n’est pas vraiment populaire dans notre pays, mais c’est indispensable pour certains métiers.

Meilleur équilibre entre les genres

Françoise Chombar se qualifie elle-même de STEMiniste : une féministe qui plaide pour un meilleur équilibre entre les genres dans les sciences, la technique et la technologie. Cet engagement est ancré dans une vision sociétale mûrement réfléchie : « J’aspire à l’équilibre entre les genres dans le cadre d’une société inclusive. Le déséquilibre n’est d’ailleurs pas bon pour le monde : il est démontré qu’aussi bien les hommes que les femmes sont plus heureux dans un contexte de bon équilibre entre les genres. À l’examen du rapport « Global Gender Gap » (ndlr : le rapport annuel sur les inégalités entre les genres dans plus de 140 pays, publié depuis 2006 par le World Economic Forum), on découvre que l’écart le plus important ne concerne pas l’accès à l’enseignement ou à la santé, mais bien la participation à la vie économique et politique. Les profils techniques sont rares, et ils offrent donc la garantie d’une bonne rémunération. Une augmentation du nombre de femmes à ces postes améliorerait donc la situation économique des femmes et, étant donné que la politique suit l’économie, elle entraînerait aussi automatiquement un meilleur équilibre entre les genres en politique. Pour moi, les STEM sont donc un bon moyen d’arriver plus rapidement à un meilleur équilibre entre les genres. »

Et l’avenir ?

À côté de sa présidence de la plateforme STEM, Françoise Chombar souhaite également utiliser son expertise au niveau européen. « L’année dernière, la Commission européenne a lancé le Pacte sur les compétences de l’UE dans le cadre de la stratégie européenne en matière de compétences en faveur de la compétitivité durable, de l’équité sociale et de la résilience dans trois secteurs stratégiques. Je dirige le groupe de travail consacré à la diversité, à l’égalité et à l’inclusion pour l’un de ces secteurs, celui des semi-conducteurs. » Cet engagement européen n’empêchera cependant pas Françoise Chombar de poursuivre son action au niveau local pour guider les réformes nécessaires de l’enseignement en vue de favoriser l’évolution positive des branches STEM aussi longtemps que cela sera nécessaire. En effet : « Ce n’est que quand le mouvement STEM sera devenu superflu que nous aurons atteint notre objectif ultime : une valorisation suffisante des branches techniques et scientifiques pour tous les genres ! »

 Linda Claeys

Appareils électroménagers intelligents : où en sont les fabricants?

Notre société évolue petit à petit vers un paysage d’éléments interconnectés. Cela présente de nombreux avantages pour le consommateur, notamment une consommation énergétique moindre et un plus grand confort d’utilisation. De nombreuses initiatives et innovations vont dans le sens de cette évolution, parmi lesquelles l’apparition des compteurs numériques. Nous nous sommes demandé si les appareils électroménagers étaient prêts, et nous avons recueilli l’avis de plusieurs marques importantes. Certaines nous ont dit ne pas encore être (tout à fait) prêtes, mais chez Liebherr et Bosch/Siemens, les appareils intègrent déjà une grande intelligence.

Liebherr, prêt pour le SmartGrid

Chez Liebherr, on prépare le terrain depuis longtemps déjà : «Depuis 2014, de nombreux appareils Liebherr sont compatibles SmartGrid», nous explique Thibaut Sohier, marketing manager de Cinem/Liebherr. «SmartGrid est une possibilité de réduire à l’avenir la facture énergétique individuelle à l’aide d’un compteur électrique intelligent du fournisseur d’énergie. En période d’excédent d’énergie, en raison de l’alimentation en énergie régénérative par exemple, les ménages seront alimentés en électricité à un prix avantageux. Les congélateurs armoires compatibles SmartGrid sont déjà prêts à adopter cette technologie d’avenir. La plupart de nos congélateurs et de nombreux réfrigérateurs en sont équipés.» À cela s’ajoutent les appareils Liebherr avec entrée SmartDeviceBox. Ces appareils peuvent être rendus intelligents. Thibaut Sohier : «Un réfrigérateur ou congélateur Liebherr avec SmartDevice veille aux aliments de l’utilisateur en permanence et partout. Par exemple, ces appareils envoient une notification si quelqu’un a laissé la porte ouverte par accident. Ou bien le réfrigérateur baisse en température lorsque l’on rentre des courses, afin que les aliments restent frais le plus rapidement possible Le réfrigérateur ou congélateur peut aussi être commandé à distance, il envoie des alertes ainsi que des rappels pour le remplacement du filtre FreshAir. Il existe également toute une série de fonctionnalités qui améliorent le confort d’utilisation, comme la réduction de la facture énergétique grâce à une diminution automatique de la température aux heures creuses.» Il existe environ 250 appareils pouvant être équipés de la SmartDeviceBox.

Bosch/Siemens : commande au moyen d’une appli

Chez Bosch/Siemens également, on se prépare aux maisons intelligentes sous l’appellation «Home Connect». Cette technologie est déjà présente sur de nombreux appareils et permet à l’utilisateur de gérer ses appareils électroménagers de manière connectée. Avec l’appli Home Connect, l’utilisateur commande ses appareils électroménagers compatibles wifi depuis son smartphone. Le consommateur bénéficie ainsi d’un grand nombre d’applications supplémentaires sur ses appareils ménagers Bosch et Siemens et différentes opérations se font automatiquement. L’Auto Control permet par exemple de relier la hotte à la plaque de cuisson pour que la hotte s’active dès que l’on commence à cuisiner. On peut aussi décider de maintenir la ventilation un certain temps une fois la plaque de cuisson désactivée. Les possibilités offertes par ces applications sont sans limite : jeter un coup d’œil rapide dans le réfrigérateur pendant que l’on fait ses courses, lancer le café avant de quitter son lit ou préchauffer le four à distance, etc.

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