Magic Cannibal dans la Sound Balzaal Stage Prairie System
DOUR D'HIER
14:40-15:20
The Computers
Team Me
14:30-15:10
Sexion d’Assaut
16:55-17:45
Chairlift
16:05-16:55
15:40-16:20
Givers
Broussaï
16:55-17:45
Dub Syndicate
15:30-16:20
15:55-16:55
Dope D.O.D.
Ufomammut
IT! DES FESTIVALS H S L L U LE GUIDE NO B 2 15 JULY 201 12 13 14
17:45-18:45
The Abyssinians
Disiz
17:45-18:45
Baxter Dury
18:45-19:45
Cerebral Ballzy
18:45-19:45
Amenra
Tiken Jah Fakoly
19:45-20:45
21:45-23:00
Orelsan
22:00-23:00
22:00-23:00
Suicidal Tendencies
The Flaming Lips
The Subways
20:45-21:45
The Skatalites
20:45-21:45
Assassin
20:00-21:00
Baroness
20:45-21:45
Suicide Silence
20:40-21:30
Mathieu Golinvaux
Wallace Vanborn
13:20-14:00
14:40-15:20
Red Fang
Pablo Andres
Turbowolf
Rohan Lee Rod Taloy & Band 14:00-15:00
13:00-13:30
The K.
18:45-19:45
Crowbar
19:20-20:10
The Rapture
23:00-00:00
Max Romeo
23:00-00:00
Dj set
00:00-01:30
The Bloody Beetroots
C2C
23:45-00:45
Kvelertak
01:30-02:30
Switch
04:00
NoBullShit! sélection
03:00-04:00
02:45-04:00
Devilman & Dj Scotch Egg
03:00
Atari & PmpDj Teenage Riot Grems 02:45-04:00
01:30-02:30
Rich Aucoin
02:00-02:45
02:00
Feed Me... With Teeth
Kentaro
01:00-02:15
00:45-01:45
The Ex & Getatchew
Machine Gun
23:00-00:00
Bulls On Parade
01:00-02:15
Plays AC/DC
23:30-00:30
Tribute Rage Against...
01:00 De
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16:55-17:45
Deez Nuts Lofofora
17:00-17:40 18:10-18:50
00:00
Outre le supplément gratuit Moustique NoBullshit! que vous tenez dans les mains, retrouvez chaque semaine dans Moustique nos deux pages spéciales Festivals et notre agenda des concerts. L'actu des festivals, les comptes rendus, les interviews et les potins du backstage, c'est aussi sur www.moustique.be
23:00
BACKSTAGE
15:20-16:10
Textures
Rise of the Northstar
15:50-16:30
22:00
Gardiens du hip-hop old school, les Californiens de The Pharcyde, qui viennent de fêter leurs 20 ans d’existence, nous prouvent (si c’était nécessaire) qu’ils n’ont rien perdu de leur fougue. Accompagnés d’un (imposant) live band et d’un DJ, les deux MC’s ont occupé la scène avec classe à grands renforts de sautillements, de sourires, de gestes parfois lascifs, parfois énervés et d’encouragements à l’ancienne “When I say “Oh”, you say “Shit”. Oh, shit! Soit la recette parfaite pour enflammer un public venu nombreux pour en découdre avec les beats de la West Coast. Enchaînant les morceaux, piochés dans l’entièreté de leur répertoire, les membres de groupe nous ont offert un très bon cru de hip-hop, de quoi requinquer avant d’entamer le dernier jour du festival.
13:00-13:30 14:00-14:40
Komah
13:50-14:20 14:50-15:20
21:00
CLUBCIRCUIT MARQUEE
CLUBCIRCUIT MARQUEE
Maigre comme un fil (Spector), le chanteur a chipé les lunettes de Jarvis Cocker et doit sans doute n’avoir que des chansons de Pulp dans la liste “Les 25 titres les plus écoutés” de son iPOd. Aux influences britpop parfaitement assumées, Spector ajoute un jeu de scène et des sons de guitares empruntés aux Weezer de l’époque Buddy Holly. A défaut d’être révolutionnaires, leurs compositions mâtinées de synthés putassiers sont assez efficaces. On pense nommant à What You Wanted, Grey Shirt, Chevy Thunder ou encore Celestine. Spector aurait mérité de jouer devant un peu plus de monde.
20:00
SPECTOR
THE PHARCYDE
19:00
Valeureux public Dourois qui a suivi la prestation intimiste de Bon Iver en équilibre précaire sur une gigantesque mer de boue. Pas vraiment les conditions idéales, d’autant que Doom balançait son flow envoûtant à quelques dizaines de mètres de là. Magicien du spleen, Justin Vernon a mis tout son talent pour emmener le public dans un voyage intérieur et tourmenté. Mais pour apprécier son univers, il y avait peut-être meilleure scène que celle de The Last Arena. Honte à nous, mais nous ne sommes pas restés jusqu’au bout.
CANNIBAL STAGE
18:00
BON IVER THE LAST ARENA
MIDNITE
Non, ceux-là, ils ne viennent pas de Jamaïque mais de Sainte-Croix dans les Iles Vierges, une terre qui fournit son lot d’artistes intéressants (on espère toujours que Dezarie atterrira un jour sur une scène belge). Active depuis 1989, la formation des frère Benjamin - Ron à la basse et Vaughn au chant - développe un son entre reggae et dub avec une basse profonde et une guitare électrique laidback. Les influences des groupes des années 70, Ijahman Levy en tête, servent de fil rouge à leurs dix albums et vingtaine de collaborations. Sur scène, cela donne une heure de concert très très calme, presque méditatif, en rupture avec l’ambiance effervescente du site du festival. Une aire de repos, en somme. Si, du moins, on a rien contre la fumée.
17:00
Qui a dit que l’on n’inventait plus rien en musique? Avec son premier album Give you the Ghost, le groupe de Minneapolis prouve le contraire. Pour Bon Iver, il s’agit “du meilleur groupe qu’il ait jamais entendu” et même Jay-Z est fan. Ca sent la hype, tout ça. Heureusement sur scène, la chanteuse Channy Leaneagh, le bassiste et les deux batteurs confirment tout le bien que l’on pense de ce premier album. Avec cette disposition, renforcée par des programmations électroniques, Poliça délivre une musique spectrale et introspective qui plonge ses racines dans la cold-wave, la dream-pop mais aussi, à l’occasion, le dub ou même le R&B. La voix de la chanteuse, du genre à vous remuer l’âme, et la double batterie, qui amène un côté tribal, transforme le concert en célébration si pas vaudoue en tout cas envoûtante. Pendant 40 minutes, nous n’étions plus à Dour mais dans un autre espace-temps.
16:00
LA PETITE MAISON...
Le refrain de Popular a beau être l’un des plus fédérateurs des années 90, le public ne se prive d’ailleurs pas de le reprendre en choeur, la carrière de Nada Surf n’a jamais vraiment atteint les cimes. Quinze ans déjà, et un septième album à la rentrée, que les Américains promène leur college rock sur les scènes des deux côtés de l’Atlantique. Il a sans doute manqué un peu d’ambition aux New-Yorkais pour vraiment percer, mais cela fait aussi tout le charme de leur rock indé et “low profile”. Quand, en fin de concert, ils haussent le ton pour retrouver la “power pop” de leurs débuts, le groupe démontre toutefois qu’il est toujours capable d’envoyer du bois. Le groupe idéal pour ce créneau de programmation, en début de soirée sur la scène principale, juste avant les gros noms.
15:00
POLIÇA
NADA SURF THE LAST ARENA
14:00
LA PETITE MAISON...
Club The Dance Circuit Last Hall Marquee Arena
MAGIC SOUNDSYSTEM
13:00
FRANÇOIS & THE ATLAS MOUNTAIN
La diffusion de bonnes vibes n’est pas une exclusivité reggae. François le Charentais et ses amis en ont aussi à revendre. Enfin non, il a l’air tellement gentil ce type qu’il est plutôt du genre à les distribuer gratuitement et généreusement. En festival, il aurait pu privilégier les morceaux les plus remuants de son répertoire mais c’est plutôt à un concert aérien et rêveur que l’on a assisté. Les instruments et sonorités que ce romantique baroudeur a recueilli aux quatre coins du monde sont tout de même là pour apporter ce petit côté tropical qui fait que l’on adore se dandiner devant ce groupe. Quand ce ne sont pas de gros beats électros qui finissent le travail en fin de gig. Un petit moment de soleil dans notre journée.
DOOM
Il a fallu un bon quart d’heure au rappeur masqué pour vraiment entrer dans le vif du sujet. Alors qu’on s’était résigné à regarder les projections - un film de son visage en gros plan et des planches de BD tirées du “comic” dont sort son personnage -, histoire d’avoir quelque chose à faire, Daniel Dumile et son “homie” ont progressivement élevé leur niveau. Bien aidés par les morceaux issus de l’excellent album "Born like this", il est vrai. Toujours est-il qu’on a alors vu à l’oeuvre un duo impliqué qui a enchaîné les morceaux avec intensité. Comme s’ils avaient voulu d’abord tester le public avant de se lâcher. Mais de ce côté-là, les festivaliers de Dour ne sont jamais pris en défaut.
Petite Magic LaMaison Red Bull Sound dans la Cannibal Elektropedia System Prairie Stage Balzaal
CLUBCIRCUIT MARQUEE
Elektropedia
The Club Last Circuit Dance Arena Marquee Hall
THE BOTS
On vous l’avait tout dit, promis. Le duo frère/ frère de Los Angeles allait nous mettre une claque ce samedi après-midi sur le site de La Machine à Feu. Et c’est bien ce qui est arrivé. Looké comme un basketteur des Harlem Globetrotters version XX Small, Aniah Lei, 14 ans, cogne sur sa batterie comme un éreinté, tandis que son frangin Mikaiah, 18 ans et sourire jusqu’aux dents, joue de la gratte dans un style qui n’est pas sans rappeler celui de Tom Morello de Rage Against The Machine. Côté influences musicales, The Bots évoque plutôt un mélange, à la sauce Simpsons, du MC5, des Bad Brains et The White Stripes. Ça reste encore perfectible, notamment dans les enchaînements, mais les deux brothers possèdent déjà ce petit plus qui les distingue du lot. Maman Lei, qui leur sert de manager et qui a dansé comme une folle sur les côtés de la scène, peut être fière de sa progéniture. Après Dour et avant le Pukkelpop, The Bots assurera la première partie des dates en salle de Blur au mois d’août. L’avenir du rock and roll? Non, le présent.
La Petite Maison
De
Red Bull
THE RAPTURE
C LU B C I R C U I T M A R Q U E E - 2 3 : 0 0
15/07/12 13:19