La Petite Maison
De
Red Bull
Cannibal dans la Balzaal Stage Prairie
Elektropedia
dour d'hier
Robbing Millions
! No Bullshit des festivals
18 | 19 | 20 | 21
juillet 2013
15:25-16:10
Piano Club
16:10-17:00
Scylla
16:10-17:00
Electric Electric
16:10-17:00
Hippocampe Fou
Jacco Gardner
14:40-15:25
Exsonvaldes
Coely
15:20-16:10
14:40-15:25
Feini-X Crew
14:00-14:40
Bishop Dust
14:40-15:25
17:00-18:00
La Coka Nostra
Odezenne
17:00-18:00
20:00-21:00
Darwin Deez
18:00-19:00
Sx
20:00-21:00
Danko Jones
19:00-20:00
The Van Jets
Superlux
Hatebreed
21:00-22:00
Mark Lanegan Band
22:00-23:00
Superpoze
21:45-23:00
The Vaccines
23:45-00:45
00:45-02:00
Rusko
Sub Focus live
UZ
LFO live
01:15-02:15
NoBullShit! sélection
Eptic
SCNTST
03:30-05:00
Surfing Leons dj set
03:00-04:30
Nathan Fake
02:30-03:30
Dj Slow
03:45-05:00
The Jupiler Last x Dance Arena Marquee Hall
Rustie
01:00-02:30 02:30-03:45
Boom Box
02:00-03:00 03:00-04:00 04:00-05:00
Karenn live Jets live Cupp Cave
00:15-01:30 01:30-03:00
Cyril Hahn
23:45-01:00
Four Tet
Mujeres
02:00-04:00
Dave Clarke
01:30-02:20
00:45-02:00
Amon Tobin presents Two Fingers (dj set)
Ben UFO
23:30-00:45
23:00-00:00
Fantastic Mr Fox
22:15-23:15
Converge J.C.Satàn
23:00-00:00 00:20-01:00
Forma.T Chuck Surfing Leons Cashmere Rockwell feat. Inglish Roses Gabor & Miss Eaves Cat MC Mantmast
Darkstar
21:00-22:00
AmenRa
21:30-22:30
19:00-20:00 20:15-20:45 20:45-21:15 21:15-22:30 22:30-23:45
Dan Deacon
19:35-20:35
Torche
20:10-21:00
18:00-18:45
Com Truise
18:00-18:55
Pelican
18:50-19:40
00:30-02:00
Carl Craig (dj set)
Red Bull Maison Cannibal Elektropedia Stage Balzaal Prairie dans la
La Petite
De
Photos: AVPRESS
13:20-14:00
Unik Ubik
13:20-14:00
Skindred
17:20-18:20
Len Faki
yeah yeah yeahs the last arena Mais quel moustique a bien pu piquer Karen O? Propulsée frontstage en short et veste blanche à paillette, tantôt affublée d'un voile bleu électrique, tantôt d'une lampe frontale, la chanteuse excentrique des Yeah Yeah Yeahs a tout de suite mis tout le monde d'accord. Le trio newyorkais le plus hype de l'année martelant ses basses hypnotiques, ses riffs postpunk, ses vocalises bluesy et ses nappes électro vintage devant une Last Arena noire de monde. Avant de lâcher une version particulièrement saturée de leur hit dantesque Heads will roll. Et de faire tourner la tête aux quelques milliers de festivaliers déchaînés. Yeah!
22:30-00:30
TrentemØller n'est décidemment pas de ceux qui se reposent sur leurs lauriers. A mille lieues de ses sets calibrés, le DJ qui vient du froid se présente devant la Jupiler X Marquee avec ses synthés old school, un bassiste, deux guitares et une batterie. De quoi déconcerter ses aficionados? Rien n'est moins sûr. C'est que le dandy de l'électro se prête à toutes les contorsions possibles, produisant un savant mélange de riffs saturés, de claviers organiques et de boucles acides aussi envoutantes qu'entraînantes. Le multi-instrumentiste danois se fendant même d'une version électrisante du tubesque Miss You sous un chapiteau blindé à craquer et médusé. Avant que le papillon de nuit ne prenne son envol devant trois chrysalides géantes. Hallucinant.
21:00-22:30
"J'avais déjà essayé de venir jouer dans votre beau pays il y'a quelques années mais ça ne s'était pas concrétisé. Mais je suis enfin là, en pleine forme." lâche Action Bronson au début de son set. Et clairement, le MC du Queens a assuré le show. Formation réduite, un DJ et mister Arian Asllani, le rappeur XXL si souvent comparé à Ghostface Killah (avec raison) a retourné le chapiteau de son flow acéré sur le prodigieux Strictly 4 My Jeeps ou encore sur The Rockers, son duo avec Wiz Khalifa. Sneakers sur le gâteau, Riff Raff qui jouait un peu plus tôt dans l'après-midi s'est invité sur scène. Un concert hors du temps, opulent, sans trop parler de prostituées asiatiques pour une fois. Dire qu'il se destinait à être cuistot. La perte aurait été... énorme.
jupiler x marquee
Nina Kraviz
boombox
TrentemØller
19:30-21:00
Collectif énigmatique et emblématique d’un renouveau du rock français, Fauve s’est installé au cœur de l’actualité en disséminant au compte-gouttes ses chansons sur la toile. En quelques clips et sans album, l’affaire tient du phénomène. A Dour, on se presse donc sous La Petite Maison dans la Prairie pour apercevoir l’animal. Avec son doigt tendu vers une société carbonisée par les convenances et le capitalisme, Fauve chante la révolte adolescente et le malaise d’une époque. Les paroles sont crues, parfois cuculs. Elles sont débitées à toute vitesse par un chanteur speedé comme un litron de café. ça ressemble vaguement aux débuts de Saez, un peu à la fin de Téléphone. Sur scène, le chef de Fauve cause sans arrêt. Il raconte qu'il "parle pour affronter la vie". Visiblement, il en chie. C'est dur pour lui. Et un peu trop mou pour nous...
18:00-19:30
La Petite Maison...
16:45-18:00
Fauve
Dire que Mike Patton est un habitué des lieux est un euphémisme. Après avoir foulé la Plaine de la Machine à Feu avec Faith No More, Fantômas ou encore Peeping Tom, le californien a défendu corps et âme le nouvel opus de Tomahawk. Formation désormais composée de Duane Denison, John Stanier mais aussi du bassiste Trevor "field mouse" Dunn qui retrouve le leader après leur collaboration au sein, entre autre, de Mr. Bungle. Porté par des compositions résolument plus métal que les précédentes et flanqué de riffs hypnotiques, de synthés psyché, de mixe de boîte à rythme minimaliste et de batterie tonitruante, le chouchou de ces dames hurle, sautille, se prosterne et assène une solide coup de tomahawk dont il a le secret devant le public de la Last Arena. Provoquant quelques jolies montées de pogo et l'une ou l'autre portée de fan par une armée de bras tatoués. Hug!
Compuphonic Fritz Kalkbrenner Paul Woolford
De retour pour leur deuxième Dour, mais bien plus tard dans la journée cette fois-ci, les Bruxellois de BRNS confirment une fois de plus qu'ils sont l'une des valeurs (ultra)montantes de notre plat pays. D'ailleurs, après Dour, c'est au festival mythique des Vieilles Charrues qu'ils se produiront. Décontractés, pieds nus et marcels, le quatuor fait danser les filles et sourire les garçons de leurs mélodies catchy et doucement dingues comme Deathbed où résonne, sans romantisme, "I love you so, I loathe you so,...". Passés maîtres du flux tendu, ils livrent un set intense où chacun aime à donner de la voix pour fonder toujours plus de couches sonores. Bonus aux mimiques géniales du batteur. On en redemande!
Marvin Horsch
Tomahawk the last arena
jupiler x marquee
Action Bronson
La dernière fois qu’on a croisé The Horrors à Dour, le chanteur Faris Badwan se promenait avec un pavé dans la main. Il était un peu fou. Il sautait partout. Les autres musiciens se défonçaient comme des corbeaux énervés. En 2013, terminés les riffs psychotiques, le cuir et les mines blafardes : The Horrors joue pleinement la carte new wave et s’abandonne aux mélodies éthérées. Sous la Jupiler X Marquee, le groupe anglais se concentre sur ses deux derniers albums (“Primary Colours” et “Skying”). Moins rock’n’roll, plus atmosphérique, leur musique voit toujours la vie en noir: pas beaucoup d’espoir, mais un beau coup d’un soir.
Issa Maïga
BRNS
jupiler x marquee
14:45-15:45 15:45-16:45
Poète urbain, dandy citadin, Veence Hanao vient de sortir Loweina Laurae, un des meilleurs albums belges de l'année. Entre chanson, slam et hip-hop, le garçon manie habillement les mots, malaxe les syntaxes et livre sa vision du monde. Ennui profond, biscotos, poésie et violence: Veence chante le banal de notre quotidien avec l'originalité qu'on lui connaît. Sur papier, son univers intimiste ne se prête pas forcément à un concert en plein après-midi sur une scène de festival. Pourtant, sous la Boombox, le Bruxellois assure comme une bête et fait danser les brebis. Un parasol multicolore s'agite au premier rang. Il fait chaud, on hallucine. Excellente entrée en matière pour cette 25ème édition. Mention Kick, Snare, Bien.
the horrors
14:00-14:40
boombox
juillet
The Black Adept Heart Rebellion Maybeshewill 15:00-15:40 16:10-16:50
Veence Hanao
18
Jupiler The x Last Dance Hall Marquee Arena LE GUIDE
13:00 14:00 15:00 16:00 17:00 18:00 19:00 20:00 21:00 22:00 23:00 00:00 01:00 02:00 03:00 04:00
jeudi
Boom Box
the vaccines the l ast arena - 23:00
vu du bar
rL�
focus
Torse-circle. Ce festivalier remporte-t-il la palme? Si l'on a
croisé quelques brit' girls fans de drum & bass drapées dans leur Union Jack, l'un ou l'autre métalleux tatoué et une poignée de rastas tricolores, la grosse tendance de cette édition anniversaire est sans conteste le port du logo Dour. Façon peinture de guerre, dessiné à la crème solaire sur le torse ou même, comme ici, taillé à l'épilation! Qui dit mieux? Magic Mushroom. La chasse aux champignons est ouverte. Si
vous comptiez vous désaltérer au Bar du petit bois, ne zappez pas le trône maquillé en amanite tue-mouches (photo). Le premier festivalier assis se voyant offrir une bière par le tenancier. Santé.
Mark Lanegan
Le dernier empereur
Collectionnite. On a croisé un gars qui conserve soigneusement
ses tickets de concerts. Il s'appelle Vincent et est un peu collectionneur. Si on en croit ses 8. 000 tickets : il n'a pas loupé un seul festival de Dour, a vu Blur 22 fois et pas une seule fois le Grand Jojo. Vincent expose ses plus belles pièces sur le site du festival jusque dimanche soir. Juste à côté de la Boombox.
S'il y en a un qui sait comment faire rebondir une as-
semblée, c'est bien Mathieu Fonsny! Organisateur des soirées Forma.T, il se cache également derrière Surfing Leons. Et ce soir, c'est en compagnie de la rappeuse américaine Miss Eaves (avec qui il a sorti le titre Banga) que le Spadois vient nous faire kiffer la vibes dans la Boombox à 20h45. On vous prévient, ça va faire mal! Grosse tête. On a croisé le rappeur Riff Raff. Il est un peu
vénère. Il veut coller un procès au réalisateur du film "Spring Breakers". Il l'accuse "d'avoir planté un arbre dans sa propriété". En gros, le héro du film (James Franco) lui ressemble un peu. Pas content, Riff Raff exige une compensation : entre 8 et 10 millions de dollars. Il hésite encore.
LA MINUTE PONPON
Soixante-deux piges et toujours la méga forme, Jacques
de Pierpont a enfilé sa tenue d'été -son célèbre short en jeans- pour présenter les groupes phare de Dour. Et des anecdotes sur le festival, il en a des tonnes. "Comme ce mec hier midi qui se pointe sur le site avec l'allure de Gaston Lagaffe... Il avait déjà un peu trop bu je crois. Et pas regardé la météo. Il avait enfilé des bottes, un gros k-way et il se trimballait avec son parapluie ouvert au dessus de la tête alors qu'il faisait bien trente degrés. Jusqu'à ce qu'il comprenne, enfin, que c'était l'année passée qu'il s'était trompé d'année. En 2013, Dour rime avec four. Un conseil? Buvez de l'eau!"
L
chacun son dour
à l’affiche
e dernier rempart du rock débarque sur la Plaine de la Machine à Feu. Aux origines, Mark Lanegan naviguait dans les eaux troubles du grunge, du rock psychédélique et du stoner.
Compagnon de débauche d’un certain Kurt Cobain, Lanegan traînait son teint pâle derrière le micro des Screaming Trees. Une fois son groupe enterré, le corps tatoué du chanteur s’est déplacé vers d’autres projets. Intérimaire de luxe chez les Queens Of The Stone Age (période “Songs For The Deaf”) ou équipier de Greg Dulli (The Afghan Whigs) au sein du supergroupe The Gutter Twins, le grand ténébreux a arpenté les routes du rock américain sans frein à main. Ce n’est donc pas un petit comique qui débarque chez nous cette nuit, mais bien un monstre sacré du rock: un de ses derniers empereurs. Fossoyeur de l’amour en compagnie d’Isobel Campbell (Belle & Sebastian), Lanegan a posé sa voix d’outre-tombe dans toutes les chapelles. Son chemin de croix, son virage solitaire aux portes de l’enfer, s’est d’abord glissé entre les cordes d’une guitare acoustique et le goulot d’une bouteille de whisky (les excellents albums “Whiskey For The Holly Ghost” et “I’ll Take Care Of You”) avant de se déporter vers l’électricité avec la complicité d’un groupe. Depuis 2004, Mark Lanegan et ses musiciens semblent inébranlables. Puissant comme une explosion de dynamite dans une station-service, son dernier album (“Blues Funeral”) a encore enflammé nos tympans à coups de riffs flamboyants. Cela étant, par temps calme, l’artiste peut aussi apaiser son chant d’ogre affamé. Sa récente collaboration avec le guitariste Duke Garwood en témoigne. Dernièrement, on a de nouveau croisé la voix de Lanegan dans les couloirs du dernier album des Queens Of The Stone Age (“… Like Clockwork”). On s’est retrouvé projeté contre le mur. Et on en a tremblé de bonheur. Rendez-vous à la Marquee, Mark.
The
Vaccines
Comment qualifier l’évolution entre votre premier album et “The Vaccines - Come Of Age”?
Justin Young (chanteur) – Légère en surface, mais énorme en profondeur! Si nous sonnons encore souvent très pop, ce disque contient aussi des chansons plus rugueuses. Je pense par exemple à Ghost Town. Je ne veux donc plus entendre que nous sonnons à la manière des Strokes ou de je ne sais qui. Mais plutôt que nous faisons du Vaccines, point à la ligne!
Dans Teenage Icon, vous chantez “Pas question d’être un poster dans une chambre d’ado”.
J.Y. – Sans vouloir me montrer trop arrogant, je dirais que nous méritons de toucher un plus large public que ça. Justement parce que notre nouvel album ouvre des perspectives plus larges. Les plus jeunes nous ont aidés à grandir car ce sont eux qui ont véhiculé notre musique sur les réseaux sociaux et l’ont fait connaître à leurs potes. Maintenant, nous voudrions nous baser sur cette fondation solide pour aller voir plus loin.
Par quel moyen?
J.Y. – Grâce aux concerts! C’est là que nous pouvons montrer ce dont nous sommes capables. à la fois en donnant plus de profondeur à des chansons purement pop sur disque.
Quels souvenirs gardez-vous de vos concerts en première partie de Red Hot Chili Peppers?
J.Y. – Quand tu ouvres pour un groupe aussi énorme, tu sers juste de musique d’ambiance pour faire patienter les gens qui font la file au stand de hotdogs. Ils ne viennent que pour leurs favoris et te crachent généralement dessus avant même d’avoir entendu une note. Alors que dans un festival, le public est souvent plus ouvert aux découvertes. Et, modestement, pour une majorité du public, nous sommes encore une découverte à faire.
Jupiler X Marquee - 22h00
The Last Arena - 23h00
Tout l'été, les festivals sont dans
Rédaction: Nicolas NicolasAlsteen, Alsteen, Marie MarieFrankinet Frankinet,etLuc Lorfèvre Nottetgraphique: - Conception graphique: Delphine Doeranegratuit - Promotion: Haumont. gratuit édité par Moustique - éditeur responsable: Jean-Luc Cambier, Stationsstraat 55, 2800 Mechelen. Rédaction: Harold Nottetet -Harold Conception Delphine Doerane. Supplément édité parCéline Moustique - éditeurSupplément responsable: Jean-Luc Cambier, Stationsstraat 55, 2800 Mechelen.
I
Antoine du groupe BRNS nvité à partager le gâteau du 25ème Dour Festival, BRNS souffle les bougies et ressort ces bons souvenirs sur le site de la Machine à Feu: cosmonautes chinois, métalleux et nuit à la belle étoile.
C’est ton premier festival de Dour ?
C’est mon troisième. Je suis déjà venu deux fois en tant que festivalier: en 2004 et 2007. La première fois à 17 ans et la seconde à 20 ans.
Meilleur concert jamais vu à Dour ?
Un groupe de rock qui s’appelle Islands. C’est une formation canadienne. Ce jour-là, elle était accompagnée d’une troupe de Chinois. Les mecs étaient tous déguisés en cosmonautes. En voyant ce concert, j’ai compris qu’il n’y avait pas que des trucs mainstream dans la vie.
Tu te souviens de ta première fois au camping de Dour ?
Ma première fois, c’était dur. J’étais jeune et frêle. J’étais dans ma petite tente entouré de métalleux qui avaient apporté leur sono dans le camping. Il faisait chaud. Bien plus chaud que cette année. Au départ, j’étais parti pour rester les quatre jours. Mais à la fin du troisième jour, j’ai fait une fringale. J’ai craqué.
En dehors du Dour Festival, tu fais quoi cet été ?
Je suis en tournée avec BRNS. On part sur les routes. On fait le festival des Vieilles Charrues en France, le Boomtown à Gand,
le Pukkelpop et le Paléo en Suisse. Récemment, on a joué à La Réunion. Et aussi en Allemagne, au Festival Fusion. ça se passe sur une ancienne base militaire. Mais c’est un événement anti-militariste. Il y a dix scènes. On fait plein de découvertes. C'est une bonne adresse.
Qu’est-ce que tu aimes à Dour ?
L’ambiance est vraiment terrible. On boit des bières, c’est cool. Mais ce que je préfère par dessus tout, c’est la programmation. C’est une affiche de fou. Tu dois toujours faire des choix. Tu vois les artistes que t’aimes. Et tu découvres des trucs que tu ne connaissais pas.
Si tu devais faire un duo avec un artiste présent à l’affiche de cette édition, ce serait qui?
Ce serait Action Bronson. Avoir un bon gros showman bien balaise devant nous, ça pourrait le faire. Mais pas sûr qu’il accepterait.
Ta meilleure nuit à Dour ?
A la belle étoile. J’étais traumatisé par les métalleux autour de ma tente. J’ai trouvé un super champ à quelques kilomètres du site. Je me suis installé en plein milieu. C’était beaucoup plus calme. Très agréable.
Contact pub: magali.galoux@moustique.be
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