Imagine ta ville...
Une des contributions des jeunes Yonnais aux manifestations du Bicentenaire fut d’imaginer leur ville “quand ils auront l’âge de leurs parents”
...quand tu auras l’âge de tes parents
Imagination et créativité sont au rendez vous : ce livre haut en couleurs traduit les préoccupations des enfants : loisirs environnement avenir… Textes dessins sculptures d’enfants et d’adolescents
Ce livre est un voyage dans la ville future parfois futuriste toujours sympathique Alors venez découvrir La Roche sur Yon avec des yeux d’enfants
Productions plastiques et littéraires initiées rassemblées et organisées par les étudiants de l’IUT La Roche sur Yon département Information et communication Direction & coordination : Hélène Desfontaines et Marijo Pateau
Ouvrage réalisé avec le soutien de la ville de La Roche sur Yon dans le cadre de la célébration du bicentenaire
prix public €
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IUT La Roche sur Yon département Information et communication
© 2004 - ISBN : 2-915760-01-2 IUT La Roche-sur-Yon, département Information et communication, boulevard Gaston-Defferre, 85000 La Roche-sur-Yon Tous droits réservés. La loi du 11 mars 1957 interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit — photographie, photocopie, microfilm, bande magnétique, disque ou autre — sans le consentement de l’auteur et de l’éditeur est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal.
Imagine ta ville… …quand tu auras l’âge de tes parents
REMERCIEMENTS
N
OUS ADRESSONS nos remerciements à Monsieur l’inspecteur d’académie qui nous a autorisés à solliciter les
établissements scolaires ; ainsi qu’à la municipalité de La Roche-sur-Yon pour son soutien.
Ce livre n’aurait pas vu le jour sans le travail et les contributions des enseignants et de leurs élèves. Qu’ils soient ici vivement remerciés. Ce livre s’inscrit dans le programme du département Information et communication de l’IUT de La Roche-surYon. Merci au chef du département des moyens matériels mis à la disposition des enseignants et des étudiants pour la poursuite du projet. L’apprentissage de la gestion éditoriale, de la mise en page et du travail de l’image s’est fait sous la direction de Marijo Pateau (infographe Tandem SARL et chargée de cours à l’IUT). Son expérience, son savoir-faire, sa disponibilité et son enthousiasme pour l’entreprise ont permis que celle-ci aboutisse. Enfin, cet ouvrage reflète le travail des étudiantes et étudiants de deux promotions. Rien ne se serait fait sans leurs bonnes idées et leur persévérance ; nous pouvons nommer ici Julie, Charly, François, Laëtitia, Paméla, Stéphanie, Alexandra, Julie, Ludovic (seconde année, option communication des organisations, promotion 2001-2003), puis Virginie, Agathe, Ludovic, Thomas et Anne-Cécile (seconde année, option métiers du livre, promotion 2002-2004). Un remerciement particulier à Céline Bordère, stagiaire à l’entreprise Tandem SARL, pour la mise en page de cet ouvrage.
L'ENFANT EST LE CITOYEN DE DEMAIN
A
U MOMENT où la ville de La Roche-sur-Yon fête son bicentenaire, des écoliers et des collégiens ont décrit ou
dessiné la ville dans laquelle ils vivront, quand ils auront l'âge de leurs parents : un avenir proche, celui d'une génération. En accompagnant les élèves dans leur démarche de réflexion, d'anticipation et de création, les enseignants ont fait œuvre d'éducation à la citoyenneté : imaginer sa ville dans trente ans, c'est poser les questions de la ville d'aujourd'hui. Au fil de la lecture, vous découvrirez que les enfants aiment leur cité : les couleurs vives, la gaieté qui se dégage des dessins et des textes illustrent leur attachement à La Roche, leur bonheur d'y vivre. Ils traduisent une envie de fête. Vous percevrez aussi les thèmes qui questionnent : l'omniprésence de la voiture, l'environnement dans son volet négatif de la pollution mais aussi dans son rêve d'une ville à la campagne, les aménagements urbains, la citoyenneté. Les préoccupations sociales ne sont pas absentes de l'imaginaire des enfants : la question des coûts, de la pauvreté, les sans-abris, les Restos du cœur sont évoqués. Elles renvoient aux adultes l'image des problèmes qu'ils ne parviennent pas à résoudre. Somme toute, les jeunes restent raisonnables. Je voudrais remercier les étudiants du département Information et communication de l'IUT réunis autour d'Hélène Desfontaines pour cette réalisation. Rendez-vous dans trente ans, au pied de la statue de Napoléon bien évidemment, pour une relecture de cet ouvrage. Quelle ville aurons-nous réalisée ? Gérard PRODHOMME Inspecteur d'académie de la Vendée
DEMAIN LA ROCHE-SUR-YON
du Bicentenaire de la ville est un moment privilégié pour la prospective et l’imaginaire, avec l’ambition de favoriser le croisement des regards des petits et des grands. Comment imaginer l’avenir de notre ville, tel est l’objectif de cet ouvrage, dans le prolongement de la réflexion menée sur l’histoire de la ville et de son appropriation par ses habitants.
L
A CÉLÉBRATION
C’est bien dans cette démarche que s’inscrit ce livre qui laisse toute sa place au rêve, à l’utopie, à l’expression artistique et créative, en permettant aux enfants d’imaginer leur ville demain… quand ils auront l’âge de leurs parents. De la même manière que les ingénieurs des Ponts et Chaussées en 1804, les enfants ont organisé l’espace tel qu’ils l’imaginent : demain la ville devra être sûre, colorée, gaie et conviviale. Ce projet a été conçu et réalisé par des étudiants du département Information et communication de l’Institut universitaire de technologie de La Roche-sur-Yon. Deux promotions successives d’étudiants et d’étudiantes ont suscité l’imagination des jeunes et accompagné leur vision de la ville demain, soulignant ainsi la vocation universitaire de la ville. Je tiens à les remercier vivement. Je vous invite à découvrir les préoccupations et les désirs exprimés par ces enfants, qu’il s’agisse de l’environnement, des moyens de transports ou de l’implantation d’aires ludiques place Napoléon, lieu emblématique de notre ville. Pierre REGNAULT maire de La Roche-sur-Yon
Tu es à l’école à La Roche-sur-Yon, tu y habites, tu y fais des activités. Tu connais donc bien ta ville. Imagine-la quand tu auras l’âge de tes parents ! Ses transports, ses lieux de travail, ses écoles, ses sports et loisirs, tu peux tout représenter. Laisse tes crayons, ton stylo ou tes pinceaux guider ton imagination.
A-TRAITS DE VILLE
“I
MAGINE TA VILLE QUAND TU AURAS L’ÂGE DE TES PARENTS".
Telle est la proposition faite par des étudiants de l'IUT de La Roche-sur-Yon aux élèves des établissements scolaires de leur cité, à la veille de l'anniversaire de sa fondation. Le projet est né d'un partenariat entre la ville et le département Information et communication de l'IUT. Il participe de la célébration du Bicentenaire de La Roche-sur-Yon avec pour ambition de cerner l’image de la ville future auprès des écoliers et des collégiens yonnais. Quelle sera leur ville dans l'avenir ? Comment se la représentent-ils ? La réponse pouvait être plastique ou littéraire, individuelle ou collective. La finalité du projet était l'édition d'un ouvrage reflétant de manière la plus complète possible, leurs visions, leurs souhaits, leurs préoccupations. Soutenus par deux enseignants, les étudiants ont travaillé en autonomie. L’élaboration et la mise en œuvre du concours, la réception des travaux ont été réalisées en 2002-2003 par des étudiants de seconde année, formés à la “Communication des organisations”. Six étudiants de seconde année de l’option “Métiers du livre” ont assuré, durant l’année universitaire 20032004, la sélection des travaux et la gestion éditoriale.
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Quatre écoles et un collège ont relevé le défi : - Laennec, classe de CE2, - Jeanne-d’Arc, classe de CM1, - Flora-Tristan, classe de CM2, - Pont Boileau, classe de CM2, - Saint-Louis collège, classes de 4e. Ce livre est le fruit de leur travail. Les enfants et collégiens ont répondu par des textes écrits, des dessins et des maquettes. Beaucoup ont mobilisé conjointement l’écriture et la représentation graphique. Quelques élèves ont associé les techniques du dessin et du collage d’images. D’autres ont créé une ville en volume, en utilisant des matériaux les plus divers. Quant aux dessins, ils sont réalisés à l’aide de crayons feutres ou de couleurs. D’autres l’ont été aux crayons à papier. On y lit parfois des slogans, des opinions. D’autres textes sont décalés, étonnants, inattendus. La ville dicte une réalité à l’enfant tandis qu’il expérimente celleci quotidiennement. Une part non négligeable de sa socialisation s’effectue dans cette interaction, entre imposition d’un cadre et
s’impose comme le support des pratiques quotidiennes, festives et ludiques de leur ville, actuelle et future. D’autres enfants ont choisi d’assimiler la ville au centre-ville, lequel est associé, là aussi, à l’ancienne place d’Armes dite place Napoléon. Comme une rétractation de la ville en son lieu symbole ! Les enfants ont alors focalisé leurs aménagements sur la place en elle-même. Ils réinventent le kiosque à musique, implantent des aires ludiques et aquatiques. Ils interdisent l’accès aux voitures, construisent un parking souterrain.
expérience de celui-ci. C’est pourquoi chaque dessin, chaque texte, permet en filigrane de tirer quelques hypothèses sur leur vécu de la ville, et dans la ville. Les textes et les travaux plastiques rassemblés pour ce livre donnent à voir leurs désirs, leurs inventions, leurs intuitions. Ils expriment aussi des craintes et des évidences. Côté évidence, citons le caractère prépondérant de la voiture et l’importance de la place Napoléon. Côté crainte, l’environnement recueille l’assentiment général. Quant à leurs souhaits, ils nous ramènent à leur condition d’enfant et nous questionnent sur la place qui leur est faite dans la ville.
D’autres se sont préoccupés de la place et de ses alentours immédiats. Les magasins ne sont pas oubliés dans ce cas là. La ville ne se résume pas pour autant à cette seule place. Les autres espaces et bâtiments ont aussi recueilli l’attention des élèves et collégiens, mais de manière plus diffuse.
La place Napoléon : lieu emblématique de La Roche-sur-Yon Lorsque les enfants ont représenté la ville de manière globale, avec ses quartiers et ses voies de circulation, ils ont très fréquemment dessiné, à un endroit ou à un autre, la place ou la statue équestre de Napoléon. Ceci confirme s’il en était besoin le caractère remarquable du lieu. Son emplacement, sa forme, sa grandeur, sa relative nudité confortent et confèrent à la ville son caractère singulier. Il est vrai que la place se donne immédiatement au regard. La forme se détache aisément du fond. Le vide (que quelques-uns souhaitent d’ailleurs remplir) crée l’espace. Parce qu’au centre des déplacements urbains, les Yonnais sont souvent en contact visuel avec elle, faisant de la place l’un des éléments structurant leur représentation de la ville. Point central de la circulation, au cœur du centre-ville et de ses commerces, son identification ne pose aucun problème. La place Napoléon est ce qui identifie la ville. À la fois lieu de passage et de rencontre, du mouvement et du stationnement, la place Napoléon rassemble une population et condense une identité commune. “Haut-lieu” de la ville, elle est un emblème pour les enfants et
L’évidence de la voiture Pour les écoliers comme pour les collégiens, l’environnement de la ville future est résolument urbain et la voiture omniprésente. Parmi les éléments de l’urbanité, les routes principales et secondaires, les ronds-points et intersections tiennent une place essentielle. Lorsque la représentation est aérienne, l’enfant a saisi les nœuds et réseaux que forment les voies de circulation. Dans le dessin, la route ou la rue est très fréquemment utilisée comme ligne de base. C’est à partir d’elles, en fonction d’elles que sont situés les autres éléments. Rien d’étonnant à cela, car c’est à partir des rues et des routes que s’organisent les usages d’une ville. C’est la pratique de la ville au quotidien qui permet et conditionne sa représentation. Deuxième élément de l’urbanité : les bâtiments, administratifs, commerciaux, d’habitation. Chez l’écolier, l’habitat traditionnel
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Enfin, l’environnement est abordé lorsqu’ils envisagent les solutions pour pallier les catastrophes dites naturelles. Les maisons sont alors, “rétractables en cas de tempêtes” ou “volantes en cas de tremblements de terre”. Pour un trio de collégiennes, La Roche-sur-Yon est devenue une ville flottante : “avec la pollution, le niveau d’eau aurait augmenté et aurait envahi la ville. Les maisons des personnes auraient flotté, ils auraient vécu sur l’eau. Les voitures auraient volé”. La ville future et futuriste se développe dans l’espace. Elle grimpe vers le ciel, elle s’élance “pour prendre le moins de place possible”. Si l’élévation conforte souvent la préoccupation environnementale, elle traduit aussi pour quelques uns une vision urbanistique.
(maison individuelle, toit de tuiles) cohabite avec l’habitat collectif. Si les collégiens ont aussi représenté des immeubles, ceux-ci ont plus fréquemment des formes non conventionnelles, voire futuristes.
Une préoccupation commune : l’environnement Peut-être est-ce justement parce que la voiture semble être pour eux une évidence que l’environnement concentre tant les préoccupations des uns et des autres. Le souci de la nature est représenté “en creux” par les sources d’énergie renouvelable comme les éoliennes ou les panneaux solaires. Elèves et collégiens aménagent aussi des pistes cyclables tandis que quelques uns font abandonner la voiture individuelle en centre-ville au profit des piétons et du transport collectif (que certains veulent gratuit). Pourtant, sans doute est-ce parce qu’ils n’envisagent pas la ville sans locomotion motorisée que la voiture électrique apparaît comme une solution très prisée des écoliers. Lorsque les voitures demeurent, elles sont électriques et reléguées dans les airs et sous les places (de la Vendée, Napoléon). Les jeunes aménageurs en profitent pour réorganiser celles-ci en surface, envisageant des commerces, des habitations, des aires de jeux et de loisirs. Préserver une nature en survie incite Fabien à construire “une muraille qui entourerait la place de la Vendée” et renfermerait “un parc naturel”. D’autres collégiens ont inventé des systèmes circulatoires à l’intérieur de gigantesques tuyaux aériens pour emprisonner les pollutions. Pour Jean, “il y aurait de nouvelles routes, mais dans les airs où l’on prendrait des ascenseurs pour ne plus polluer”. Une translation s’est opérée du sol vers les airs. On peut être surpris de la permanence : ils n’éliminent pas vraiment les pollutions, ils les éloignent, les excluent du regard.
La part de nature Outre les solutions pour préserver la planète, quelques uns ménagent une place à la verdure. Qu’est-ce à dire ? Est-ce une réduction de l’espace géographique dans lequel l’enfant a voulu représenter par des moyens simplifiés l’espace rural qui coexiste à proximité de la ville ? Est-ce encore la volonté de “mettre la campagne à la ville” ? Est-ce enfin, à l’instar des dessins de Josselin et de Lisa, la présentation des multiples univers de travail “voisinant” sur un territoire ? Dans cette Roche-sur-Yon future, plusieurs espaces se côtoient : ceux de l’usine, des travaux agrestes, de la ville, laquelle est symbolisée par le bâtiment de la mairie et son drapeau tricolore. D’autres dessins figurent la campagne par la ferme, les champs et les travaux agricoles. On peut y voir un agriculteur juché sur son tracteur ou encore un enclos renfermant des animaux. Pour autant, la nature est plus souvent imagée par des espaces verts, des arbres, de la pelouse, des fleurs parfois. C’est une nature disciplinée et clairement circonscrite. Elle est “urbanisée”. Elle
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occupe sa place. Elle tient une fonction dans la ville au même titre que les voies de circulation, les magasins ou encore les aires de sport. Des collégiennes, dans un travail collectif, ont pensé un dispositif qui enverrait des parfums de fleurs tandis que la pollution olfactive des voitures serait cantonnée au sous-sol. Un écolier envisage, à l’intérieur de la ville, la création d’un parc “qui servira[it] à cultiver les choux, des tomates, des poireaux, des pommes”. Le haras enfin, devrait être “une prairie en pleine ville” (Léa).
foraines (“qui durent plus longtemps et qui soient moins chères”). Côté collège, La Roche-sur-Yon s’est transformée en une “city game” ! Enfin, les écoliers implantent des marchands de glaces et de crêpes à côté du Manège ou sur la place Napoléon. Léa, après avoir installé un manège dans la cour principale du haras, se plaît à rêver que “pour faire des tours (…), on nous donnera des pièces en chocolat”.
La part du jeu
Une ville colorée
Les écoliers et collégiens n’en oublient pas pour autant leur esprit d’enfant. Les propositions très concrètes et précises traduisent leur actuelle condition et donc la part du présent dans les projections. Les sports urbains font partie de leur futur quotidien : piste de bicross, skate-park, murs pour tagger, sans oublier les “classiques” stade de foot et terrain de basket.
Si la tonalité des travaux est gaie et les teintes employées plutôt vives, ce n’est pas seulement, on ose l’espérer, parce que les enfants sont heureux. C’est aussi parce qu’une grande importance a été accordée aux couleurs de la ville. La couleur n’est pas utilisée de manière débridée, déconnectée de toutes réalités mais participe au contraire de l’intelligence des statuts et des fonctions, des lieux comme des personnes. La couleur faciliterait la vie.
Les espaces de jeux de plein air ne sont pas oubliés : les enfants réclament plus de parcs et de jardins. L’élément eau est plébiscité. Mare, bassin, piscine sont envisagés. Cette dernière est implantée à plusieurs endroits de la ville : sur la place Napoléon, près de la salle du Manège où se côtoieraient “vrai manège gigantesque et vraie piscine à bulles qui tournera” (Rémi), sur L’Yon aussi. Le lac de Moulin Papon se voit gratifier d’une plage et d’une base de loisirs. Quant au “parc des expositions des Oudairies”, François suggère qu’il soit “transformé en aquarium géant avec un cinéma aquatique”. Côté loisirs marchands, les enfants prévoient des magasins de jouets (“un pour les garçons et un pour les filles”), des fêtes
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Des enfants proposent par exemple que les coloris des fauteuils du théâtre soient différents selon les attributs d’âge et de sexe. Dans le même esprit, Léonard suggère que “les couloirs [de l’hôpital] aient une couleur différente selon la saison”. La couleur fait office de code tout en participant de la mise en gaieté de la ville et de certains de ses bâtiments. Pour Salomé, c’est “la façade du théâtre [qui] sera peinte en rouge pour donner encore plus d’éclat à la place”. Un(e) autre enfant imagine que “les écoles auront des murs de toutes les couleurs. Les piscines auront des couleurs bleues, vertes et jaunes et le plafond sera décoré avec des nuages. Les arbres seront illuminés en bleu. La statue de Napoléon aura des guirlandes bleues, blanches et rouges. L’école sera blanche”.
meurs, “aux maisons chauffées”, “aux prix moins chers”. Ils entendent aussi remplacer les travaux pénibles par des robots intelligents. Les enfants et les adolescents ont une préoccupation du “vivre ensemble”, pensant organisation de la ville, coexistence des différentes personnes et des fonctions.
Une ville du quotidien L’image donnée de la ville est dynamique. L’espace représenté est vivant, en mouvement. Les enfants envisagent les situations quotidiennes où voitures et personnages sont en action. Leurs mises en scène donnent à voir ce que devraient être la ville et leurs vies futures. Pas de surprises : les enfants devenus adultes conduisent, jouent au football, au basket, travaillent. Daphné ou Marine sont mères de famille et femmes actives ! Ils projettent aussi la condition de leurs futurs enfants devenus écoliers. Les situations ressortent là, de l’imagination, du rêve, de l’envie. Les écoliers auraient des chaises à roulettes “comme celles des maîtres d’aujourd’hui”, “le tableau [écrirait] tous les mots qu’on lui demande”. Théo considère la fin de “l’écriture à la main” au profit de l’usage de l’ordinateur portable. Pour Thomas, “l’école serait un endroit où les élèves aimeraient travailler, faire des bricolages et apprendre des choses intéressantes”.
Pour conclure. Leur ville de demain : urbaine et conviviale Les suggestions faites par les écoliers et les collégiens quant à La Roche-sur-Yon “lorsqu’ils auront l’âge de leurs parents” autorisent une extrapolation sur la ville en général et sur ce qu’ils en attendent. Qu’est et que doit être alors la ville pour ces futurs adultes ? À y regarder de près, la ville future ne change pas radicalement de l’actuelle. Elle témoigne surtout des désirs d’urbanité et de convivialité. Leurs travaux confirment que la ville est un espace de circulation, de flux, d’échanges. Mouvement, proximité, relations : de la circulation naît la rencontre. Les écoliers et collégiens assimilent urbain et convivialité, surtout les derniers. Tous veulent que leur ville future soit moderne, animée, festive, vivante, gaie, “pleine d’idées et d’ambiance”. Elle est un lieu des plaisirs, “un endroit de vie”. Leur vision conforte alors pleinement une caractéristique essentielle et première de la ville ; être un cadre matériel et une unité de vie, un cadre de proximité exposant l’individu au maximum de contacts possibles.
Sur cet aspect, on note une différence entre les écoliers et les collégiens. Contrairement aux plus jeunes qui disent ce qu’ils sont et ce qu’ils font dans la ville, les collégiens donnent eux, une image de ce que devrait être la ville. Les scènes de vie quotidienne sont alors moins systématiques. La ville y est plus statique, peut-être plus abstraite.
La préoccupation de l’Autre Bien que moindre par rapport à la préservation de la planète et aux aspects ludiques et conviviaux d’une ville, la préoccupation sociale est présente. Les écoliers et les collégiens pensent aux hôpitaux, aux orphelinats, aux associations caritatives, aux chô-
Hélène DESFONTAINES sociologue, chef du projet
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vision globale
Éric, collège Saint-Louis 4 18
e
Théo, école Flora-Tristan, CM2 Antoine, école Flora-Tristan, CM2
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vision globale
La Roche-sur-Yon en 2023 : la statue de Napoléon sera taguée et les jeunes lui auront mis un bonnet. Le kiosque sera remplacé par un bureau de tabac de quinze étages. Il n’y aura pas un passage piéton sans policier. Les voitures ne pollueront plus que de la vapeur d’eau et pourront se conduire dès l’âge de quinze ans (non accompagné). Les portables auront des fonctions extravagantes : chauffage, télévision, tondeuse (à cheveux, je vous rassure) et même rasoir électrique ! Il n’y aura plus beaucoup d’espaces verts, ils seront remplacés par des buildings (dommage !). Dans les écoles, chaque élève aura un ordinateur portable à sa disposition. Eh oui ! Plus d’écriture à la main ! Les chapeaux, eux, seront normaux quand il fera beau. Quand il pleuvra, un parapluie sortira du chapeau. Plus besoin de tous ces parapluies encombrants ! Par contre, quand il y aura de l’orage, un paratonnerre s’installera. Plus besoin de s’abriter ! Et, quand quelqu’un tombera, un airbag se déploiera (il sera installé sur les habits). Les hommes d’affaires, maires, présidents, Premiers ministres, seront habillés en marques. Pour ce qui est de la météo, il n’y aura plus d’erreurs de temps. Cool ! Tous les objets de maintenant seront des antiquités (ordinateurs, télévisions, stylos...). Quand on aura chaud, les vêtements nous aspergeront d’eau. Quand on aura froid, les portables feront le chauffage. Mais les voitures volantes, c’est pas pour 2023 !
Elliot, Romain, Simon, collège Saint-Louis, 4e
Une ville avec beaucoup d’espaces verts, des murs pour faire des tags et des immeubles avec des éoliennes et des cadrans solaires pour économiser l’énergie et beaucoup d’espaces de détente. Une ville est un endroit avec des maisons où l’on peut vivre et se détendre, s’amuser et apprendre dans des lieux éducatifs et culturels. J’attends de la ville qu’elle soit belle, que l’on puisse y vivre bien, qu’on puisse se détendre, s’amuser mais aussi travailler.
Romain, collège Saint-Louis, 4e
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vision globale Eddy, ĂŠcole Flora-Tristan, CM2
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Adèle, école Flora-Tristan, CM2
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Mathilde, ĂŠcole Flora-Tristan, CM2 23
Le CHD et le Pont Rouge Dans trente ans, les malades seront opérés par des lasers. Il y aura plus de chambres, une centaine de plus qu'aujourd'hui. L'hôpital proposera des spectacles pour les malades hospitalisés et pour les personnes âgées. Les couloirs auront une décoration en fonction de la saison. En fin d'année, il y aura une grande fête qui permettra à tous les résidents et malades de se retrouver avec le personnel soignant. Léonard école Jeanne-d’Arc, CM1
Lisa, école Flora-Tristan, CM2 24
Il y aura des hôpitaux avec vingt-cinq étages. À tous les étages, il y aura un café avec un petit magasin de jouets pour les enfants malades. Il y aura aussi des magasins que pour les filles ou que pour les garçons avec des choses bien pour les enfants. Il y aura des écoles où les enfants auront des ordinateurs portables pour travailler. Il y aura des ascenseurs pour aller dans la salle de science physique et des laboratoires de chimie. Il y aura, comme sports et loisirs, du foot avec un ballon en caoutchouc signé par les joueurs de foot. Les stades seront avec de l’herbe, mais le terrain sera deux fois plus grand que les autres. En loisirs, il y aura la ludothèque mais les jeux seront gratuits et on les gardera plus longtemps que maintenant. Mylène, école Pont-Boileau, CM2
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J’imagine qu’il n’y aurait plus de voitures à la place Napoléon et qu’il n’y aurait que des cars à la place Napoléon. J’espère qu’il n’y aura plus de voitures à essence, mais des voitures électriques pour que cela pollue moins. Qu’il y ait plus d’animations dans les rues. Que les bus soient gratuits. Il faudrait qu’il y ait un aéroport. Qu’on invente de nouveaux sports ou des sports qui existent déjà, mais pas en France. J’espère qu’il y aura la fête foraine pendant un mois ou plus et que les manèges soient moins chers. Qu’il y ait un terrain de bicross ou plusieurs. Qu’il y ait plus de magasins de jouets. J’espère que ce sera comme ça plus tard. Eddy, école Flora-Tristan, CM2
vision globale
Je vois La Roche-sur-Yon avec plus d’espaces verts et des espaces de jeux. Il faudra aussi rajouter des choses pour limiter au maximum la pollution d’aujourd’hui (à la surface). Une ville c’est un endroit où l’on peut habiter, vivre, jouer, circuler en toute liberté et travailler (bureau, café...). Dans une ville, on doit pouvoir faire toutes sortes d’activités sans risquer un accident, être “libre” et que la ville accueille tout le monde (comme les SDF). Jean-Noël, collège Saint-Louis, 4e
Mylène, école Pont-Boileau, CM2 26
L'école Jeanne-d'Arc Le 26 juin 2004, l'école fêtera ses cent ans. Il m'est difficile d'imaginer notre école trente ans plus tard. J'imagine le porche de l'école décoré au fil des saisons. La garderie sera agrandie de 50 m2. Il y aura beaucoup plus de jeux. À la place des escaliers, il y aura des ascenseurs. À la récré, les goûters seront distribués par des machines. Dans la cour, il y aura un toboggan, des cordes à sauter pour les filles. La BCD sera plus importante avec davantage de livres à dévorer. Les ordinateurs seront plus importants, une vingtaine environ et surtout plus performants qu'aujourd'hui. Céline, école Jeanne-d’Arc, CM1
La maison d'arrêt Comme elle est plutôt en mauvais état, la ville de La Roche aura dans trente ans une prison très moderne. Elle sera construite tout en métal avec davantage de cellules. La prison sera surveillée par des robots blindés et non plus par des gardiens humains. Il y aura en permanence trois surveillants armés dans des petites tours sur le toit de la prison. Des petites caméras seront installées dans chaque cellule. Les barreaux ne seront plus en acier, mais pour empêcher les détenus de sortir, ce seront des barreaux laser. Pour faire réfléchir les plus grands criminels, on aura installé une Bible électronique. Pour ceux-ci également, il y aura une pièce où ils seront surveillés par un gardien et un chien. Simon, école Jeanne-d’Arc, CM1
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vision globale
Les Terres Noires Dans trente ans, j'imagine le complexe sportif différent. En effet, dans les salles de tennis, il y aura un bar et une cafétéria où l'on pourra consommer gratuitement. Dans les salles de squash, il y aura deux terrains dans une même salle, ce sera plus pratique ! À l'entrée des Terres Noires, il y aura une pancarte qui indiquera les endroits où l'on pourra aller. Sur cette pancarte, on aura mis des fers à chevaux, du foin, des raquettes de tennis et de ping-pong avec des balles collées dessus. Marion et Claire, école Jeanne-d’Arc, CM1
Enora, ĂŠcole Pont-Boileau, CM2
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Nous sommes le 1er janvier 2033 et, dans La Roche, tout a changé ! Les écoles sont de grands immeubles de dix étages en forme de rond. Les peintures sont des carreaux de couleurs et les enfants travaillent sérieusement. Les lieux de travail sont complètement différents d’avant, ils ont
J’imagine que, dans quelques années,
des sortes de grands bureaux à quatre personnes ;
les transports se feront par métro,
à l’intérieur on travaille sur tout. Le sport est sur
que les lieux de travail seront plus
la plage installée à côté de Moulin Papon. Il y a des
robotisés. Les écoles seront de plus
terrains de basket, volley, foot, tennis… Des nou-
en plus modernes (ordinateurs…).
veaux transports apparaissent. La voiture roule
Les loisirs seront plus basés sur les
toute seule, tu lui dis où tu veux aller et la voiture
jeux vidéos. Il y aura plus de centres
t’y emmène. Toutes les personnes ont des sortes
de loisirs pour les enfants et plus
de bracelets qui, dès qu’on arrive, ouvrent les portes, les lumières, les fenêtres. Les loisirs, n’en parlons pas, car il y a beaucoup plus de discothèques, bibliothèques, médiathèques (il y en a une par quartier) et les piscines sont agrandies avec des toboggans souterrains pour s’amuser ! Enora, école Pont-Boileau, CM2
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d’accueil. Manon, école Laennec, CE2
Honorine et Carole, Saint-Louis, 4e
Dans quelques années, La Roche-sur-Yon sera plus grande que maintenant. Par exemple, certains magasins vont changer. De nouveaux parkings vont être construits. De nouveaux terrains de jeux vont être installés dans les écoles. De nouvelles pistes cyclables vont être mises. Et voilà comment j’imagine La Roche-sur-Yon dans le futur. école Laennec, CE2
Alexis, école Flora-Tristan, CM2 30
vision globale
Le haras J'imagine que dans trente ans, il y aura de nouvelles écuries construites avec des fleurs. Des chevaux circuleront dans la ville grâce à la création de pistes équestres sur les boulevards du Pentagone. On aura créé une nouvelle sellerie avec des selles en paille. Les chevaux auront des grelots aux pattes et des fleurs à la crinière et à la queue. Le haras possèdera de nouveaux attelages avec des couleurs bien différentes de celles d'aujourd'hui. En effet, les charrettes seront de couleur bleu et jaune fluo. Les murs seront peints en vert et jaune et sur les box des chevaux, on aura installé des volets roulants électriques. On aura essayé de mettre le plus de verdure possible pour faire que les haras soient une prairie en pleine ville. Pour visiter le haras, ce sera gratuit pour tout le monde. Dans la contreallée à l'entrée du haras, il y aura un manège avec les bords garnis de verdure. Sur le sol, ce sera des fleurs. Pour faire un tour de manège, on nous donnera des pièces en chocolat. Léa, école Jeanne-d’Arc, CM1
Le Manège Près de la salle du Manège, il y aura un vrai manège gigantesque : une vraie piscine à bulles qui tournera, un marchand de glaces et de crêpes, un hôtel et une piste d’atterrissage pour hélicoptères. Rémi, école Jeanne-d’Arc, CM1 La place de la Vendée La place de la Vendée sera constituée d’une boulangerie et le dentiste n’y sera plus. Entourée d’une muraille autour, ce sera un parc naturel avec un parking souterrain. Elle sera beaucoup plus grande avec son cinéma de centre ville. Dans trente ans, ça aura changé. J’en serai le propriétaire et les voitures voleront audessus. Fabien, école Jeanne-d’Arc, CM1
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école Jeanne-d’Arc, CM1
vision globale
L'Yon En 2034, ce ne sera plus une simple rivière comme aujourd'hui, mais un fleuve. Beaucoup plus profond, il pourra fabriquer de l'électricité car à la Vallée verte, on aura construit un barrage. En plus, près de Rivoli, on aura créé un petit port de pêche avec une cinquantaine de pêcheurs qui vendraient du poisson au marché des Halles. Le Parc des expositions des Oudairies sera transformé en aquarium géant avec un cinéma aquatique. François, école Jeanne-d’Arc, CM1
Le théâtre En 2034, la façade du théâtre sera peinte en rouge pour donner encore plus d'éclat à la place. Il y aura des escalators pour accéder aux places situées au balcon. Le confort des fauteuils aura été amélioré. Ainsi, les sièges seront alternés en bleu pour les filles et en rouge pour les garçons. Pour les femmes, les fauteuils seront jaunes et pour les hommes, verts. Des places seront attribuées devant pour les personnes âgées pour qu'elles puissent mieux entendre et mieux voir les spectacles. Pour reconnaître ces emplacements réservés à ces personnes, les sièges seront orange. Les rideaux seront violets. Deux niveaux supplémentaires auront été ajoutés afin de permettre à plus de monde d'y venir. Pour permettre aux adultes de venir plus facilement, il y aura une garderie pour les enfants. Salomé, école Jeanne-d’Arc, CM1
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fête et loisirs
Dans trente-cinq ans, la ville de La Roche-sur-Yon sera belle comme en Suisse : à presque tous les balcons, il y aura des fleurs. Il ne pleuvra jamais. Les voitures changeront de forme : petites pour aller en ville, grandes pour partir en vacances. Elles seront de plusieurs couleurs. Les meubles auront des jambes ou des roulettes qui rentrent et qui sortent. Tous les gens de la terre pourront faire ce qu’ils veulent. Les enfants ne seront pas toujours obligés d’aller à l’école. France, école Laennec, CE2
Tous les jours dans le bus, il faut s’attacher avec la ceinture. Les voitures volent, les gens courent à cent kilomètres à l’heure. Les magasins chantent “petit papa Noël”, les vaches parlent fort, les gens appellent avec une banane, les fruits dansent, les roues des voitures sautent, les oiseaux jouent à la pétanque, les pieds jouent de la guitare, les maisons mangent de la viande et les cheveux jouent aux Barbies. Mélissa, école Laennec, CE2
Thomas, école Flora-Tristan, CM2
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fête et loisirs Jérémy, école Flora-Tristan, CM2
Il y aura peut-être un gros stade de football si La Roche-sur-Yon passe en Ligue 2 ou Ligue 1. La Roche-sur-Yon, premier club de France en BMX. La huitième plus grande ville de France. La pollution est limitée. Un nouveau quartier où il y aura une école. Il y aura une zone de travail. Jérémy, école Flora-Tristan, CM2 35
À La Roche-sur-Yon, j’espère qu’il y aura de nouveaux loisirs pour les jeunes. Il faudrait aussi qu’il y ait des maisons d’accueil pour les SDF car il y en a trop. J’aimerais que toutes les voitures, anciennes et nouvelles, aient un système anti-pollution car je sais qu’il n’y a pas beaucoup de pollution à La Roche-surYon, mais comme ça, il y en aura encore moins. En cas d’inondation, même si ça n’arrive pas souvent, il faudrait que les maisons soient bien protégées. Tout devrait aller pour le mieux si on fait ces modifications. Mathilde, école Flora-Tristan, CM2
La Roche-sur-Yon sera grande. La population augmentera. Il y aura plus de transports, des aéroports, des lycées, des facultés, des trains rapides reliant les grandes villes. Des grandes tours. Plus de centres de loisirs, culturels. Les routes seront larges. Adam, école Laennec, CE2
L’école serait un endroit où les élèves aimeraient travailler, faire des bricolages et apprendre des choses intéressantes. Les lieux de travail seraient beaucoup plus confortables et vastes que maintenant. Les transports seraient le plus souvent des fusées construites pour nous transporter au moins à vingt mètres au-dessus du sol et nous faire redescendre sur le lieu que nous avons souhaité. Les loisirs donneraient aux enfants beaucoup de plaisir. La ville serait aménagée pour les piétons et les cyclistes et il y aurait beaucoup de parcs ombragés. Léonie, école Laennec, CE2
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Thomas, ĂŠcole Pont-Boileau, CM2
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Nous avons mis de l’herbe pour faire un peu un parc et des arbres différents pour faire original. Il y a des maisons, une église, pour faire comme un petit quartier sur la place Napoléon. On a fait un petit plan d’eau avec du sable pour les activités. On a fait un pont avec Napoléon dessus car on voulait préserver Napoléon. On a choisi de faire la place Nap’ car c’est un endroit que tout le monde connaît. Malvina, collège Saint-Louis, 4e
Notre idée était de refaire de la place Napoléon un parc d’attraction pour les jeunes. C’est pour cela que nous avons mis de la verdure,un petit étang au centre et des magasins pour les jeunes. Charles, collège Saint-Louis, 4e
Cassiopé, Charles, Malvina et Pauline Croquis. collège Saint-Louis, 4e
Nous avons reconstruit la place Napoléon avec plus de végétation et une mare au centre de la place avec un port où est situé Napoléon. Pour nous, dans plusieurs années, il y aura peut- être des voitures volantes... La ville est un endroit où vivent des gens. Où beaucoup de magasins existent et y sont regroupés. Il y a énormément de bâtiments administratifs. La ville est bien comme elle est. Mais il manque des activités et des loisirs pour les jeunes. Cassiopé, collège Saint-Louis, 4e
À la place Napoléon, on a voulu plus particulièrement faire un parc d’attraction pour les jeunes et des maisons. Au centre, on a fait une mare avec un port et on a préservé Napoléon. Autour de ça, on a mis un peu de végétation et construit des bâtiments pour la remplir un peu. Le port au centre sert à faire passer les petits bateaux des enfants pour qu’ils s’amusent. Pauline, collège Saint-Louis, 4e
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fête et loisirs Je suis dans le futur à La Roche-sur-Yon. La place Napoléon est en bronze, les vitrines des magasins sont électroniques. Il y a un tramway qui va à 280 km/h. Je fais du football sur glace. Demain, je vais m’acheter une voiture qui a une télévision sur le tableau de bord, deux ordinateurs portables à l’arrière et deux pots d’échappement. Mon fils Thomas va dans une école où il y a un tableau qui écrit tous les mots qu’on lui demande. Mon portable est magique : il fait traitement de texte et me parle. Ma maison est en fer. Voilà La Roche-sur-Yon. Ludovic, école Pont-Boileau, CM2
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La Roche-sur-Yon city game est la ville des jeux. C’est une ville où les habitants n’ont jamais aucun souci et où ils ne pensent qu’à jouer, à faire la fête et à se détendre. C’est aussi une ville non polluée. Marie-Astride, collège Saint-Louis, 4e
Notre idée : réaliser une place Napoléon avec plus de jeux, plus moderne et plus belle.
Paul-Antoine, David et Mathieu, Saint-Louis, 4e
environnement
J’imagine la ville avec des immeubles partout avec aucune zone verte. Les loisirs seront devenus géants et les jeunes iront de moins en moins au travail car il y aura des machines pour les remplacer, alors il y aura encore plus de chômage. Peut-être des voitures qui pollueront moins ou pas du tout. Un zoo, bibliothèque, pourraient être construits pour plus de culture et d’animations. Plus de grandes surfaces, moins d’élevage. Avec le réchauffement de la terre, les glaciers auront peut-être fondus. Si c’est la condition, il y aura plus d’eau et moins de terre. Tout cela environ en 2026 et un Napoléon avec un chapeau.
Martin, école Flora-Tristan
Gaëlle, Nicolas et Valérie, collège Saint-Louis, 4e
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environnement Solène, collège Saint-Louis, 4e
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Nous sommes en 2035 et les pistes cyclables se sont multipliées. Il y a beaucoup de tramways à énergie solaire et les voitures polluantes n’existeront plus. Moi je suis paléontologue et hockeyeur avec Benjamin. L’Yon a été nettoyé pour servir de piscine. Les éboueurs ont été remplacés par des robots. J’ai aussi un oiseau (car en 2002, le 11 décembre à 9 h 52 minutes) et un boxer (un chien). Et voilà, je vous ai tout raconté. Valentin, école Pont-Boileau
La ville changera en vingt ans. Les écoles auront des murs de toutes les couleurs. Les piscines auront des couleurs bleues, vertes et jaunes et le plafond sera décoré avec des nuages. Les arbres seront illuminés en bleu. La statue de Napoléon aura des guirlandes bleues, blanches et rouges. L’école sera blanche. école Laennec
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immeuble. Bon, je descends. Je vais aller chez ma copine. Oh ! Ma voiture volante n’est plus là. Bon, j’y vais à pieds. Ah ! J’y suis. Ma voiture volante est là, je suis sûre qu’elle m’a fait une blague. Regarde : avec sa tête, elle joue au bowling. Bon, ce n’est pas tout, mais il faut que j’aille au foot. Ouf ! Je ne suis pas en retard. Salut M. Comille. Que fait-on aujourd’hui ? Aujourd’hui, on va tirer le ballon avec les mains et c’est parti. C’est terminé, je vais chercher ma fille à l’école. Oh ! Moi je n’aime pas beaucoup ces écoles où ils leur apprennent à peindre avec des pattes de poules, à faire de la pâte à modeler avec les pieds. Je vais la chercher. Salut ma chérie, ça va bien ? Oui ! Écoute, je vais te laisser avec Papa ce soir, je travaille. Je vais prendre l’ascenseur. Oh ! Il est bloqué. Que je suis bête, on est jeudi, j’avais oublié qu’il n’y a pas de travail le jeudi. Bon, je n’ai plus qu’à rentrer à la maison. Je prends la voiture. Et je rencontre un vieillard qui me dit : faites attention à l’enfer qui vous attend. Ce soir-là je ne l’ai pas écouté mais plus tard il m’arriva des malheurs et maintenant tous les soirs, je l’écoute et je suis heureuse. Daphnée, école Pont-Boileau, CM2
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environnement
Salut, je m’appelle Daphnée. Je suis dans ma chambre au-dessus de la ville, je suis au 130e étage de mon
On roulera avec des voitures à batteries rechargeables pour éviter la pollution. Les voitures en question seront interdites au centre-ville. Elles seront garées autour pour se recharger. Manon, école primaire Flora-Tristan
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Josselin, école Flora-Tristan, CM2
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environnement
J’imagine la ville de La Roche-sur-Yon avec beaucoup d’immeubles, beaucoup de circulation. Il y aurait peut-être plus d’autoroutes. Il n’y aurait que des bâtiments, des hôtels, des magasins, plus de commerces. Moins de pollution. Plus de fêtes. Beaucoup de fleurs, plus d’arbres, de l’eau pure. Beaucoup d’herbe. Moins d’incidents. Plus de lacs et plus d’étangs. Plus d’écoles, moins d’usines.
AurÊlie, Manon, Matthieu et Pierre, collège Saint-Louis, 4 48
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Mon idée est de faire une tour sur la place Napoléon avec des tobboggans qui descendent de la tour au magasin et chaque rue a un tobboggan à elle et la place Napoléon serait recouverte d’une bulle et il y aurait des plages et des piscines. Alicia, collège Saint-Louis, 4 e
Aurélie, Manon, Matthieu et Pierre, collège Saint-Louis, 4e
Alicia et Claire, croquis, collège Saint-Louis, 4e
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environnement
Notre idée était d’inventer une ville assez bizarre et drôle car nous avions du mal à imaginer La Rochesur-Yon plus tard. Pour nous une ville est un endroit plus ou moins grand où y résident des personnes, les habitants de la ville et aussi des habitations, des maisons, des lieux de travail et bien sûr de la végétation. Nous attendons d’une ville qu’elle propose des activités, des distractions et du travail. Mais il faut aussi trouver des sports et des endroits pour le shopping.
Marine, ĂŠcole Flora-Tristan, CM2 50
environnement
La Roche-sur-Yon en 2035 Bonjour ! Nous sommes en 2035. J’habite au 13 rue Charlot. Je m’appelle Marine, j’ai trente et un ans. J’ai une voiture qui se laisse faire quand j’appuie sur un bouton. Il y a des écoles magnifiques avec une cour de cent-cinquante-trois mètres. Il y a moins de circulation, moins d’accidents et plus de fleurs… Les collèges sont grands et on peut se servir à manger, c’est-à-dire du pain, du fromage, des frites et du steack haché. J’ai deux enfants. Il y a des maisons chauffées. Je vais travailler dans un hôpital ou je vais faire patineuse. Moi, j’habite dans une maison chauffée. C’est super… Au revoir !
Marine, école Flora-Tristan, CM2
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Lucie et Valérie, collège Saint-Louis, 4e
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environnement Lucie et Valérie, collège Saint-Louis 4e
Ma vision de La Roche-sur-Yon est une ville plus colorée, plus agréable, plus pratique (avec ses parkings souterrains), plus originale (formes des maisons), plus sympathique (piscines, etc.) et avec plus de verdure. Les voitures ne polluent pas (voitures volantes). Pour moi, une ville est un espace occupé par l’homme, qui a détruit la nature, qui est très urbanisé, un endroit renfermé et pollué. J’attends d’une ville qu’elle soit pratique et originale.
Mon idée était de refaire la place Napoléon avec deux étages. Un étage souterrain qui servirait de parking et un étage extérieur avec plusieurs piscines, des arbres, des maisons avec des animaux.
Lucie, collège Saint-Louis 4e
Valérie, collège Saint-Louis 4e
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vision futurist
Fabien et Florian, collège Saint-Louis, 4e
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vision futuriste J’ai d’abord voulu réaliser une très grande ville sur une feuille en utilisant des revues sur les prototypes, les moyens de transport, les gratte-ciel du futur puis, en mettant Napopléon isolé du reste et aussi beaucoup d’avions du futur dans le ciel. Fabien, collège Saint-Louis, 4e
J’ai voulu réaliser une ville sur une petite feuille, afin de voir la ville en totalité. Je ne voulais pas faire La Roche-surYon beaucoup trop évoluée. Pour pouvoir reconnaître la ville, j’ai voulu mettre en relief la statue de Napoléon. Je voyais la ville assez haute comme des gratte-ciel avec de la fumée en bas pour montrer leurs hauteurs. Florian, collège Saint-Louis, 4e
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Alexis, Clément et Jean, collège Saint-Louis, 4
L’architecture évolue sans cesse et grimpe vers le ciel pour prendre le moins de place possible. Dans cette Roche-sur-Yon futuriste, nous avions imaginé que tout soit regroupé selon des catégories. J’attends d’une ville qu’elle soit un endroit de vie où on peut résider agréablement et sans soucis. Elle doit avant tout évoluer, changer et s’adapter par rapport aux habitants. Clément, collège Saint-Louis, 4e
Notre idée consiste à représenter en 3D deux gratteciel à écrans solaires, avec des routes qui seront à l’intérieur de tuyaux afin que la pollution reste à l’intérieur et ne s’échappe pas à l’extérieur. A l’arrière-plan, on peut voir toutes sortes d’immeubles imaginés par l’homme. Une ville c’est un endroit où vivent beaucoup de gens. Il sont comprimés et il y a beaucoup de pollution. Une ville doit être grande, spacieuse et non polluée. Alexis, collège Saint-Louis 4e
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vision futuriste
À La Roche-sur-Yon, il y aura de nouvelles routes mais, dans l’air, on prendra des ascenseurs pour circuler pour ne plus polluer. Pour moi, une ville est un endroit où l’on doit prendre du plaisir et non avoir les contraintes qu’elle entraîne. C’est un endroit où l’on doit respirer et non être enfermé. Il faut se faire plaisir dans la ville. C’est un endroit de vie. Jean, collège Saint-Louis, 4e
La Roche-sur-Yon en 2034 On a voulu mettre en évidence une animation particulière avec des objets originaux, un changement de structure de la place et des voitures volantes.
Pour les transports, il y aura des voitures volantes, des bus de dix mètres de long et de cinq mètres de haut. Les trottinettes seront transformées en trottinettes pour deux. Mais les scooters resteront comme ils sont aujourd’hui. Il n’y aura plus de violence et de kidnappeurs, etc. Les gens seront mis en prison par des robots et des policiers. Dans les écoles, les enfants écriront avec des craies sur leurs “tables tableaux”, c’est-à-dire que les tables seront transformées en tableaux avec des pieds. Les fenêtres s’ouvriront automatiquement lorsqu’on appuiera sur un bouton. Les chaises des enfants seront des chaises à roulettes comme celles des maîtres d’aujourd’hui. Les ouvriers ne travailleront plus dans les abattoirs car ce seront des machines qui travailleront à leur place.
On a voulu remplacer la place Napoléon par un lac où toute la ville est autour. Pour nous, une ville est une ville active avec de bonnes animations et une ambiance agréable (commerces). Une ville, c’est un endroit où vivent des gens et où il y a de la circulation ainsi que des commerces. On a voulu représenter une ville agréable avec une place originale. On attend que ce soit une ville pleine d’idées et d’ambiances.
Yasmina, pont Boileau, CM2
Emmanuel, Maxence et Rémi, collège Saint-Louis, 4e
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vision futuriste Emmanuel, Maxence et Rémi, collège Saint-Louis, 4e
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La Roche-sur-Yon en 2030 Nous sommes en 2030 à La Roche-sur-Yon. La ville a beauoup changé :de nouveaux transports, une nouvelle piscine-patinoire, de nouvelles écoles, la médiathèque BenjaminRabier, de nouvelles maisons ont été construites. Les maisons sont plus grandes et lors des tempêtes les maisons rentrent dans la terre, elles sont en verre incassable sauf avec un instrument spécial que les pompiers possèdent. Les maisons peuvent voler lors des tremblements de terre. Les transports sont des petits cars conduits par des machines. Ce sont des cars publics et c’est gratuit. La médiathèque a chargé maintenant : on marque le titre du livre et le livre descend de l’étagère. Pour se déplacer plus vite, les dames sont en espèce de fauteuil qui flotte en l’air. La piscine-patinoire a changé. Du côté piscine, il y a un bassin qui fait des vagues pour faire du surf. Sinon la zone ludique est plus grande, ça ressemble vraiement à une rivière. Du côté patinoire, il y a un terrain réservé pour le hockey, une zone ludique qui fait des bosses des tournants froids , au milieu il y a un bar sans alcool. À Moulin-Papon, il y a un côté avec une plage. La police, le samu et les pompiers se déplacent sur une voie qui leur est réservée. Les écoles sont équipées de surveillant robot. Benjamin, école Pont-Boileau, CM2
Il y aura des voitures volantes et des camions volants. Il y aura aussi des vêtements avec des sèche-linge à l’intérieur. On aura des vélos volants et des chaussures volantes. On aura des ceintures avec des mécaniques dedans. Des lunettes de soleil rouges avec des radars dedans pour voir si on ne s’est pas fait voler sa voiture. Mehdi, école Laennec, CE2
À La Roche-sur-Yon, il y aura des voitures volantes, des trains sur les murs, des maisons, des skate-boards automatiques, des cinémas, à l’extérieur, des maisons et des appartements de 1 200 m, des animaux qui parlent, des gens qui ont des pouvoirs magiques. Zoé, école Laennec CE2
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vision futuriste La ville flottante On a voulu expliquer que dans trente ans, avec la pollution, le niveau d’eau aurait augmenté et aurait envahi la ville. Ainsi, les maisons des personnes auraient flotté, ils auraient vécu sur l’eau. Les voitures auraient volé... Anna, Cladie et Justine, collège Saint-Louis, 4e
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TABLE DES MATIÈRES A-traits de ville Vision globale
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p. 13
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p. 18
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p. 34
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p. 42
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Fête et loisirs Environnement
Vision futuriste
Mise en page : étudiants IUT La Roche-sur-Yon, département Information et communication Achevé d’imprimer en octobre 2004 (Vendée)
Imagine ta ville...
Une des contributions des jeunes Yonnais aux manifestations du Bicentenaire fut d’imaginer leur ville “quand ils auront l’âge de leurs parents”
...quand tu auras l’âge de tes parents
Imagination et créativité sont au rendez vous : ce livre haut en couleurs traduit les préoccupations des enfants : loisirs environnement avenir… Textes dessins sculptures d’enfants et d’adolescents
Ce livre est un voyage dans la ville future parfois futuriste toujours sympathique Alors venez découvrir La Roche sur Yon avec des yeux d’enfants
Productions plastiques et littéraires initiées rassemblées et organisées par les étudiants de l’IUT La Roche sur Yon département Information et communication Direction & coordination : Hélène Desfontaines et Marijo Pateau
Ouvrage réalisé avec le soutien de la ville de La Roche sur Yon dans le cadre de la célébration du bicentenaire
prix public €
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IUT La Roche sur Yon département Information et communication