Sais¢n 15.16
grandi¢se la plus m¢numentale des symph¢nies de bruckner
grandiose Direction yoel levi Violon supersoliste ann-estelle médouze Violon supersoliste co-soliste alexis cardenas
ant¢n bruckner Symphonie n°8 en ut mineur Version Haas 1890
Paris (75) Vendredi 9 octobre Philharmonie de Paris Ce concert est soutenu par
ant¢n bruckner (1824-1896) Symphonie n°8 en ut mineur 1. Allegro moderato 2. Scherzo. Allegro moderato. Trio. Langsam 3. Adagio. Feierlich langsam, doch nicht schleppend 4. Finale. Feierlich, nicht schnell Date de composition 1884-1892 Date de création le 18 décembre 1892, à Vienne par l’Orchestre Philharmonique sous la direction de Hans Richter Durée 80 minutes
Sans cesse Bruckner a remis sur la table de travail ses œuvres les plus grandioses, les plus magistrales. Commencée en 1884 dès l’achèvement de la Septième Symphonie, la Huitième passe par plusieurs étapes dans la composition avant d’être créée en 1892 : une première version voit le jour en 1887 ; l’adagio bénéficie de nombreuses transformations en 1888, avant qu’une deuxième version ne soit établie en 1890. Quelques mois après la création viennoise de l’œuvre, le chef d’orchestre et ami du compositeur, Franz Schalk, publie la Huitième Symphonie sans qu’on sache vraiment dans quelle mesure les changements qu’il opère dans la partition furent approuvés ou non par le compositeur. En 1939, Robert Haas propose à l’édition une version mixte, tentative de synthèse entre les deux versions (1887 et 1890) de Bruckner. Selon les versions, la durée de l’œuvre oscille entre 75 et 85 minutes : un monument par sa dimension donc, mais également par ses ressources instrumentales (grand orchestre comprenant les bois par trois, huit cors dont quatre jouent des tubas wagnériens, harpe…) et par l’ampleur des développements. L’enchaînement de l’adagio au finale n’est pas sans contribuer à la sensation de grandiose qui s’impose à nous lors de l’écoute de cette page dédiée à l’empereur François-Joseph 1er d’Autriche.
« Avec son éclat rude et, parfois, aveuglant, avec son humilité et sa ferveur, son élan symphonique, sa sincérité et son recueillement, Bruckner occupe une place unique dans la musique du XIXe siècle : elle y incarne une fusion harmonieuse des traditions, baroque et romantique, de la musique germanique. » Henry-Louis de La Grange
réception... « Les symphonies de Bruckner émergent toujours d’un mystérieux et chatoyant murmure, évocateur des premiers instants de la Neuvième Symphonie de Beethoven ; ce sont là les soubresauts originels d’une sorte d’immense cathédrale harmonique dans laquelle va se déployer, tel un squelette de pierre, une imposante structure tonale. Elles ne présente aucun programme et relèvent davantage d’une analyse objective. Pourtant, sept symphonies contiennent des thèmes issus des trois grandes messes, du Te Deum et du Requiem ; du reste, le Benedictus de la Messe en fa mineur est manifestement très proche de ce que devait être pour Bruckner la sonorité idéale d’un mouvement lent de symphonie. Par certains côtés, la facture en est habitée par les principes rituels de la messe, ainsi que par les multiples registrations permises par l’orgue de Saint-Florian. À cela s’ajoute un orchestre en lui-même captivant, chauffé jusqu’à l’incandescence par des cuivres rougeoyants, soutenus par le quintette des cordes et les bois, étoffe soyeuse que viennent traverser des cors évocateurs. Tout ceci constitue, une fois intégré dans la conception symphonique, une expérience sonore difficilement descriptible. »
¢ En 1892… * Consécration de l’église Heinävesi, la plus grande église en bois de Finlande conçue par l’architecte et ingénieur finlandais Josef Stenbäck (longueur de 40 mètres, largeur de 30 mètres, hauteur de 45 mètres, capacité de 2000 sièges). * -67,8° C est la plus basse température jamais enregistrée officiellement sur Terre, hors Antarctique, à Verkhoïansk en Sibérie. * Le photographe et professeur de sciences Émile Reynaud présente au musée Grévin à Paris ses pantomimes lumineuses à l’aide de son théâtre optique, un système artisanal très proche du cinématographe : il réalise ainsi les premiers dessins animés du cinéma qu’il projette devant un public payant assemblé dans une salle, accompagnés par une musique spécifiquement composée pour l’occasion.
Philip Barford, Les Symphonies de Bruckner, 1978 textes sélectionnés par corinne schneider
en miroir... « Unissant, comme l’art, les dimensions physique, sensible et immatérielle, la grandeur est aussi une catégorie esthétique. C’est elle qui part à l’assaut du ciel, depuis les ziggourats babyloniennes jusqu’aux cathédrales gothiques, elle qui déploie les 300 000 vers du Mahabharata, la plus longue épopée jamais conçue, elle qui, en seize heures de musique, enclôt dans L’Anneau du Nibelung l’histoire du monde ; il n’y a pas de totalité en art sans grandeur, et tout désir de grandeur, même en dehors de l’art, est un désir de totalité. Certes, l’histoire de l’art ne s’y résume pas : l’art est aussi – d’aucuns diraient surtout – l’attention de l’imperceptible, la noblesse du détail, la touche, la nuance, le trait. D’ailleurs, entre le grand et l’infime, des passages ont été aménagés, et il se pourrait que le maniérisme, déjà repéré comme médiateur entre la totalité expressive du baroque et la totalité synthétique du romantisme, fût l’un de ces passages. En outre, le grandiose, qui est l’exacerbation de la grandeur, sombre aisément dans le ridicule et laisse souvent le dérisoire comme la trace de son échec. Néanmoins, il existe un bon usage de la répétition, celui, en particulier, de l’architecture sublime qui parvient à donner l’illusion d’un infini créé. » Christian Godin, La Totalité. Volume 4 « La totalité réalisée : les arts et la littérature », 1997
yoel levi direction Né en Roumanie, Yoel Levi a grandi en Israël où il étudie à l’Académie de Musique de Tel-Aviv et de Jérusalem avant de se perfectionner avec Franco Ferrara à Sienne et Rome, Kiril Kondrachine aux Pays-Bas et à la Guildhall School of Music and Drama de Londres. À la suite de son premier prix au Concours international de direction d’orchestre à Besançon en 1978, il devient pendant six ans l’assistant de Lorin Maazel à l’Orchestre de Cleveland. Directeur musical de l’Orchestre Symphonique d’Atlanta de 1988 à 2000, ils triomphent ensemble lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques en 1996 et à l’occasion d’une tournée européenne unanimement acclamée en 1991. Le prix de « meilleur orchestre de l’année » leur est attribué pour la saison 1991-92. Le magazine anglais Gramophone a résumé ces années en quelques mots : « Yoel Levi s’est bâti une grande réputation et son orchestre n’a plus rien à envier aux cinq grandes formations américaines (New York, Philadelphie, Cleveland, Boston et Chicago) ». Entre 2001 et 2007, Yoel Levi rejoint l’Orchestre de la Radio Flamande (aujourd’hui Brussels Philharmonic) et le hisse à un niveau international reconnu de tous.
De 2005 à 2012, Yoel Levi a été chef principal de l’Orchestre national d’Île-de-France qu’il a dirigé très régulièrement à Paris, en région parisienne, mais aussi à l’étranger (Espagne, Londres, Europe de l’Est…). Il a été fait Chevalier des Arts et Lettres en 2001. Ses différents engagements en qualité de chef invité l’ont conduit à diriger les meilleures formations (Londres, Paris, Berlin, Prague, Budapest, Rome, Francfort, Munich, Copenhague, Stockholm, Israël, Corée ou bien encore Japon). En Amérique du Nord, il a été à la tête des orchestres de New York, Boston, Philadelphie, Cleveland, Chicago, Los Angeles, Pittsburgh, San Francisco, Washington, Minnesota, Toronto, Montréal… Yoel Levi consacre aussi au répertoire lyrique une grande part de ses activités, et ce depuis ses débuts dans la fosse en 1997 au Teatro Communale de Florence avec La Fiancée de l’Ouest de Puccini. Il a dirigé des opéras dans le monde entier (Carmen à Chicago, L’Affaire Makropoulos de Janácek à Prague, Edgar de Puccini à Paris, La Flûte enchantée, L’Enlèvement au Sérail, Le Château de Barbe-Bleue de Bartók à Atlanta, Tosca, Traviata, Madame Butterfly avec le Brussels
Philharmonic, Tosca au Festival de Torre del Lago…). Yoel Levi a dirigé Nabucco au Stade de France et Dialogues des Carmélites à l’Opéra de Massy avec l’Orchestre national d’Île-de-France. Yoel Levi a réalisé plus de quarante enregistrements pour différentes firmes avec de nombreux orchestres (Cleveland, Philharmonique de Londres, Philharmonia, Vlaams Radio Orkest, Orchestre national d’Île-de-France…). En janvier 2014, Yoel Levi a été nommé directeur musical de l’Orchestre symphonique KBS (Korean Broadcasting System) à Séoul en Corée du Sud. Il est également principal chef invité de l’Orchestre philharmonique d’Israël, premier israélien à occuper ce poste.
¢rchestre nati¢nal d’Île-de-France ¢RCHESTRE ASS¢CIé à la philharm¢nie de paris Un orchestre symphonique au cœur de l’Île-de-France L’Orchestre national d’Île-de-France est créé en 1974 à l’initiative de Marcel Landowski qui en deviendra président d’honneur fondateur. Il est financé par le Conseil régional d’Île-de-France et le ministère de la Culture. Sa mission principale est de diffuser l’art symphonique sur l’ensemble du territoire régional et tout particulièrement auprès de nouveaux publics. L’orchestre compte parmi les formations nationales les plus dynamiques et figure au top 10 des orchestres les plus engagés au monde du fameux mensuel Gramophone. les merveilles du grand répertoire classique à la portée des franciliens Composé de quatre-vingt-quinze musiciens permanents, l’Orchestre donne chaque saison une centaine de concerts, offrant ainsi aux franciliens une grande variété de programmes sur trois siècles de musique, du grand symphonique à la musique contemporaine, du baroque aux diverses musiques de notre temps. L’orchestre innove et a créé, depuis une quinzaine d’années, une centaine de pièces contemporaines, un festival, Île de découvertes et un concours de composition, Île de créations.
2012 : Enrique Mazzola, directeur musical En septembre 2012, Enrique Mazzola - chef dynamique et novateur est nommé directeur musical. Son arrivée apporte de nouvelles ambitions artistiques pour la formation. Une action culturelle riche et engagée L’action culturelle est à l’Orchestre un véritable laboratoire qui développe des actions éducatives ambitieuses : ateliers, rendez-vous avec les artistes, concerts éducatifs et spectacles musicaux. Ces actions visent à donner le goût et la connaissance du répertoire symphonique au plus grand nombre, tout en favorisant les rencontres avec les musiciens et la découverte du spectacle vivant. L’Orchestre produit des spectacles jeune public : L’Enfant et les sortilèges, Zazie, Céleste ma planète... Parus en livre-CD chez Gallimard Jeunesse, La première fois que je suis née de Marc-Olivier Dupin, Vincent Cuvellier et Ronan Badel ainsi que Le Ré-si-do-ré du prince de Motordu du même compositeur sur un livret de Pef ont tous deux été distingués par l’Académie Charles Cros.
directeur musical depuis 2012 Enrique Mazzola
Résidence principale Partout en Île-de-France et à la Maison de l’Orchestre (Alfortville - 94) pour les répétitions. Résidence sec¢ndaire La Philharmonie de Paris où il est orchestre associé.
¢RIGINE Créé en 1974, financé par le Conseil régional d’Île-de-France et le ministère de la Culture, l’Orchestre vient de fêter ses 41 ans ! C¢MP¢SITI¢N 95 musiciens permanents 130 concerts par saison
traits de caractère R¢utard Part à la rencontre de tous les publics sur l’ensemble du territoire francilien. Aucune salle ne lui fait peur, pourvu que vive la musique. Militant Ateliers pédagogiques, concerts avec des enfants sur scène, concerts éducatifs, publics empêchés… L’Orchestre s’engage auprès de tous les publics. M¢deste Tous ses musiciens sont diplômés des plus grands conservatoires nationaux et internationaux.
Sp¢rtif 726 515 795 324 578 214 588 125 doubles croches jouées par saison P¢pulaire 80000 spectateurs/an Généreux De Haydn, Mozart et Beethoven à Clyne et Saariaho en passant par Rossini, Bizet, Tchaïkovski, Mahler, Debussy, Stravinski, Gershwin, Adams et les autres... Pas de prosélytisme, pas de chapelle: il aime, il joue. Éclectique Un DJ, du sarod, du oud, des kazoos et du public, du public qui chante en chœur...
Espiègle Adore les enfants plus de 12 500 spectateurs aux concerts jeune public ! 32 concerts éducatifs, 35 ateliers «découverte» des œuvres, des instruments et des métiers de la musique. Créatif Zazie, La première fois que je suis née, Céleste, ma planète, Émile, Alice au pays des merveilles… Autant de contes musicaux créés par et pour l’Orchestre. J¢ueur C’est avec plaisir que l’Orchestre partage la musique. L’Orchestre joue partout, pour tous !
L’¢rchestre Directeur musical
Pierre-Emmanuel Sombret Justine Zieziulewicz
Enrique Mazzola
Altos Premiers violons supersoliste Ann-Estelle Médouze co-soliste Alexis Cardenas
Violons solos Stefan Rodescu Bernard Le Monnier
Violons Jean-Michel Jalinière, chef d’attaque Flore Nicquevert, chef d’attaque Maryse Thiery, 2e solo Yoko Lévy-Kobayashi, 2e solo Virginie Dupont, 2e solo Grzegorz Szydlo, 2e solo Jérôme Arger-Lefèvre Marie-Claude Cachot Marie Clouet Émilien Derouineau Isabelle Durin Domitille Gilon Bernadette Jarry-Guillamot Léon Kuzka Marie-Anne Pichard-Le Bars Mathieu Lecce Jean-François Marcel Laëtitia Martin Delphine Masmondet Diana Mykhalevych Julie Oddou Anne Porquet Marie-Laure Rodescu
Muriel Jollis-Dimitriu, 1er solo Renaud Stahl, 1er solo Sonia Badets, 2e solo David Vainsot, 2e solo Anne-Marie Arduini Benachir Boukhatem Raphaëlle Bellanger Frédéric Gondot Catherine Méron Lilla Michel-Peron François Riou ...
Flûtes Hélène Giraud, 1er solo Sabine Raynaud, co-soliste Pierre Blazy
Piccolo Nathalie Rozat
Trompettes
direction
Yohan Chetail, 1er solo Nadine Schneider, co-soliste Pierre Greffin ...
Fabienne Voisin directrice générale Alexis Labat administrateur
Trombones
Sophie Decroix assistante de direction
Patrick Hanss, 1er solo Laurent Madeuf, 1er solo Matthieu Dubray Sylvain Delvaux
Hautbois Jean-Michel Penot, 1er solo Jean-Philippe Thiébaut, co-soliste Hélène Gueuret
Contretuba / tuba-basse André Gilbert
Timbales Cor anglais Clarinettes
Frédéric Dupuis, 1er solo Anne-Marie Rochard, co-soliste Bertrand Braillard-Eberstadt, 2e solo Jean-Marie Gabard, 2e solo Béatrice Chirinian Natacha Colmez-Collard Renaud Déjardin Camilo Peralta Raphaël Unger Bernard Vandenbroucque
Jean-Claude Falietti, 1er solo Myriam Carrier, co-soliste
Georgi Varbanov Pascal Chapelon Didier Keck
Clarinette basse
Harpe
Benjamin Duthoit
Florence Dumont
Petite clarinette
Contrebasses Philippe Bonnefond, 1 solo Didier Goury, co-soliste Pierre Maindive, 2e solo Jean-Philippe Vo Dinh, 2e solo Florian Godard Pierre Herbaux Pauline Lazayres Robert Pelatan
L’ÉQUIPE
Bassons Henri Lescourret, 1er solo Frédéric Bouteille, co-soliste Gwendal Villeloup
président
Jérôme Impellizzieri
Cyril Exposito
trésorier Cors Robin Paillette, 1er solo Tristan Aragau, co-soliste Marianne Tilquin Jean-Pierre Saint-Dizier Annouck Eudeline
Adeline Grenet responsable de la diffusion des concerts, des relations extérieures et du mécénat
Comptabilité Isabelle Rouillon responsable-comptable Christelle Villain, assistante-comptable
Alice Nissim chargée de production et d’administration Xavier Bastin chargé de production
Bibliothèque
Action culturelle
Stéphane Darmon délégué général du personnel artistique
Vanessa Gasztowtt responsable de l’action culturelle et programmation jeune public Violaine Daly-de Souqual chargée de l’action culturelle
Jean-Pierre Farandou
vice-président Contrebasson
Audrey Chauvelot chargée des relations avec les publics et des partenariats Consuelo Senis assistante de communication et des relations avec les publics
Production
Violoncelles
Vincent Michel
Relations avec les publics
diffusion
Florian Cauquil
Marianne Legendre
Percussions
er
Anne-Marie Clec’h conseillère artistique
Mélanie Chardayre chargée des éditions et responsable Internet
médiation et création Camille Villanove chargée de médiation et de création
Hervé Burckel de Tell
Communication Emmanuelle Dupin responsable de la communication
David Stieltjes bibliothécaire
personnel artistique
Régie François Vega directeur technique Didier Theeten régisseur adjoint Jérémy Petit régisseur technique
Service intérieur et bâtiment Bernard Chapelle régisseur général du bâtiment
sais¢N 15.16 / abonnez-V¢US ! PETITE RUSSie
R¢Mé¢ & JULIETTE
Clyne/Rachmaninov/ Tchaïkovski Direction Enrique Mazzola Piano Jean-Efflam Bavouzet jeu. 19 nov. à 20 h 30 Philharmonie de Paris 1
Liadov/Prokofiev Direction Stanislav Kochanovski Violon Alissa Margulis dim 31 janv. à 16 h 30 Philharmonie de Paris 1
AM¢UREUSES
LE CH¢C DES TITANS
Haydn / Mozart Direction Jonathan Cohen Soprano Sandrine Piau mar. 1er déc. à 20 h Salle Gaveau
Beethoven/Mahler Direction Enrique Mazzola Piano Cédric Tiberghien mar. 9 fév. à 20 h 30 Philharmonie de Paris 1
IL éTAIT UNE F¢IS
FéeRIES
Leoncavallo/Mahler/ Humperdinck/ prokofiev Direction Enrique Mazzola Baryton Markus Werba Récitant Laurent Papot mar. 15 déc. à 20 h 30 Philharmonie de Paris 1
Wagner/Copland/ Ravel Direction Case Scaglione Clarinette Jean-Claude Falietti mar. 15 mars à 20 h Salle Gaveau
AMERICAn DREAM FRENCH T¢UCH Debussy/Dutilleux/ Ravel Direction Shao-Chia Lü Violoncelle Xavier Phillips dim. 17 janv. à 16 h 30 Philharmonie de Paris 1
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Adams/Copland/ Gershwin Direction Nathan Brock Violon Chad Hoopes vendr. 25 mars à 20 h 30 Philharmonie de Paris 2
SACRE DU PRINTEMPS Schubert/Milhaud/ Stravinski Direction Enrique Mazzola Pianola Rex Lawson ven. 8 avril à 20 h 30 Philharmonie de Paris 1
VERTIGES
(valses) Weber-Berlioz/ Tchaïkovski/ Chostakovitch... Direction Ainars Rubikis Violon Alexandra Soumm mar. 17 mai à 20 h 30 Philharmonie de Paris 1
En famille
ÉMILE Cuvellier/Dupin/Badel Direction Marc-Olivier Dupin Récitant Guillaume Marquet dim. 29 nov. à 11 h Philharmonie de Paris 2
ALICE AU PAYS DES MERVEILLES Signolet/ Franceschini Direction Jean Deroyer Chœur d’enfants sam. 28 mai à 11 h Philharmonie de Paris 1
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J¢UEZ ! Un ticket gagnant – et un seul – a été glissé, au hasard, dans l’un des programmes de salle du concert parisien… Celui (celle) qui trouvera ce ticket gagnera deux places en première catégorie pour un prochain concert parisien de l’Orchestre. Bonne chance !
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