Éditions Autonomes Dossier de presse Gwel Daniel Molinier
Dans ce nouvel opus de la collection 29200
les Éditions Autonomes nous livrent le récit photographique inattendu d’une Brest libre et gracile. Qui aime cette ville la reconnaîtra d’un battement de cils. Brest ville voltige, ville en équilibre se dessine sur ces images énergiques, décadrées avec une fraiche violence et une douce poésie.
Le photographe arpenteur multiplie les points de vue et épuise les nuances urbaines et maritimes de sa palette monochrome: Brest la blanche écrasée de soleil sur la jetée d’où sautent des adolescents pasoliniens, Brest la grise du bas de Siam étincelante sous la bruine venue d’Ouessant ou dans la nacelle du téléphérique qui se balance au-dessus de l’arsenal, Brest anthracite vue du ciel sous l’œil falot d’un goéland moqueur, Brest la noire au plus près des pavés mouillés sous les roues des skateurs du Parc Kennedy ou les doc Martens des
étudiants contestataires. Brest de mon cœur, Brest trébuchante et terminale. Brest aux cieux transpercés de lumières entre deux averses a aussi ses heures noires, « mais sur le pont de Recouvrance, Elle est si belle à voir » ; comme dans une chanson de Miossec, comme sur une photographie de Daniel Molinier.
Emmanuelle Hascoët
Éditions Autonomes
Dossier de presse Gwel
Daniel Molinier
Nous avons apporté le plus grand soin à sa conception éditoriale, la méthode d’impression, ses différents papiers et son façonnage :
• Format 168x213mm
• Couverture souple
• 76 pages
• Dos carré cousu collé
• Jaspage tranche colorée noire
• Images : Daniel Molinier
• Conception éditoriale : Nathalie Bihan & Daniel Molinier
• Texte : Morgane Le Rest
• Conception graphique : Nathalie Bihan
• Impression : Gráfica Maiadouro S.A.
• ISBN : 978-2-490487-21-9
• Dépôt légal : 4e trimestre 2022
• 300 exemplaires en décembre 2022
• Sortie de l’édition le vendredi 16 décembre 2022. Rencontre, dédicace en présence de Nathalie Bihan, Daniel Molinier et Morgane Le Rest à partir de 18h chez kuuutch & Badseeds recordshop, 17 rue Fautras, 29200 Brest
• Pré-commandes sur le site www.editionsautonomes.com dès aujourd’hui : https://editionsautonomes.bigcartel.com/product/gwel-daniel-molinier
Contact presse : Nathalie Bihan, éditrice, 06 82 56 52 62 Éditions Autonomes, 17 rue Fautras, 29200 Brest, France editionsautonomes.com
info@editionsautonomes.com
Contact artiste : Daniel Molinier, 06 79 50 28 70 daniel_molinier@hotmail.fr brestlablanche.com
Éditions Autonomes
de presse Gwel Daniel Molinier
Dossier
Éditions Autonomes Dossier de presse Gwel Daniel Molinier
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Dossier de presse Gwel Daniel Molinier
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Éditions
Éditions Autonomes
Dossier de presse Gwel Daniel Molinier
www.arpeditions.org
joel.arp2editions@gmail.com
SYNCHRONICITÉS Photographies de SOPHIE AARON
À la première image, j’esquisse un sourire. Une jeune femme blonde se tient face à une toile de Gerhard Richter dans un musée de Baden-Baden. Elle porte une veste ou un manteau (le cadrage ne permet pas de le préciser) dont les lignes verticales et multicolores ressemblent à s’y méprendre à celles qui composent le tableau qu’elle admire.
S’agirait-il là d’une forme inédite de mimétisme, de symbiose entre le regardé et le regardeur, entre l’art et l’humain ?
Serait-ce trop beau pour être vrai ?
Depuis plusieurs années et désormais au fil des pages qui vont suivre, Sophie Aaron s’emploie à nous démontrer le contraire. Sophie mène une vie bien rangée, soucieuse du bonheur de ses proches. Elle voyage beaucoup, toujours par monts et par vaux. Un vrai courant d’air. Je ne lui connais qu’un vice, mais de taille. Sophie est droguée à l’art. Elle en veut toujours plus, en demande toujours plus. Par la force des choses, musées, galeries et foires constituent autant de salles de shoot...
(Alain D’Hooghe)
168 pages - 140 x 180 mm - 30 euros
400 exemplaires
160 photographies en quadrichromie
Couverture cartonnée
Commandes > www.arpeditions.org
ISBN 978-2-930115-84-9
© 2022 ARP2 Editions / Sophie Aaron
Avec
de la
le soutien
Fédération Wallonie-Bruxelles
@sophieseesart Diffusion PAON Diffusion (BE, FR, CH)
14 15 Menil
2021 Menil
TX, 2021
Collection, Houston, TX,
Collection, Houston,
24 25
Grand Palais, Paris, 2019 Hayward Gallery, London, 2018
26 27
Musée national d’art moderne, Centre Pompidou, Paris, 2018
Ludwig Museum, Köln, 2019
Frieze, New York, 2019 34 35
Lehmann Maupin Gallery, Unlimited, Basel, 2021
Musée du Louvre, Paris, 2020
36 37
Centre Pompidou, Paris, 2017
Tate Britain, London, 2019 Sotheby’s, New York, 2018 38 39
Bozar, Bruxelles, 2020
70 71
Barbara Gladstone Gallery, Brafa, Bruxelles, 2020
BLINK BLANK
19,5x24,7 cm à la française
160 pages illustrées en couleurs couverture souple
EAN 9782493524065
parution : 07 avril 2023
prix de vente public 20€TTC
imprimé par Dupliprint (53)
NOUVEAUTÉ AVRIL 2023
ARTS • CINÉMA • CINÉMA D’ANIMATION
Numéro 7
printemps/été 2023
DOSSIER : L’ENFANCE DANS LE CINÉMA D’ANIMATION
Entretiens avec Joe Dante, réalisateur (Gremlins), Joanna Quinn, réalisatrice (Rêves et désirs), Jean-François Laguionie, réalisateur (Slocum), Alberto Mielgo, réalisateur (The Windshield Wiper, Oscar du court métrage d’animation 2022), Céline Devaux, réalisatrice (Tout le monde aime Jeanne), Yoshiura Yasuhiro, réalisateur (Sing a Bit of Harmony), Patrick Bokanowski, réalisateur (L’Envol), Eric Goldberg, animateur chez Disney, Liane-Cho Han, réalisateur (La Métaphysique des tubes)…
FILMS & SÉRIES
Entre articles et entretiens, aperçus de l’actualité de la création.
PASSÉ PRÉSENT
Dossier consacré à un sujet historique trouvant une résonance dans l’actualité de la création.
FOCUS SUR L’ANIMATION MEXICAINE
Pays invité à Annecy 2023
EN CHANTIER
Travail de longue haleine, le cinéma d’animation permet qu’on porte un regard attentif sur des œuvres en cours.
PASSÉ PRÉSENT
Dossier consacré à un sujet historique trouvant une résonance dans l’actualité de la création.
LA FABRIQUE DE L’ANIMATION
Le cinéma d’animation a des métiers, des questionnements et des écritures spécifiques. >Portfolio Theodore Ushev
VOIX OFF
Des personnalités livrent ici témoignages et réflexions à propos du cinéma d’animation.
BLINK BLANK c’est :
Deux fois par an, 160 pages, un dossier thématique, des entretiens inédits, des points de vue critiques sur l’actualité, une incursion dans les coulisses de la création, un éclairage historique…
Éditions WARM 9 rue d’Aubert 53000 Laval warm-ed.fr
Diffusion-distribution Serendip Livres
21 bis rue Arnold Géreaux 93450 L’île Saint-Denis
Tél. : 01 40 38 18 14
contact@serendip-livres.fr
gencod dilicom : 3019000119404
La revue donne la parole aux critiques, historiens, chercheurs, observateurs attentifs de la vie des formes animées et aux artistes eux-mêmes.
www.revue-blinkblank.com
Revue de référence indispensable aux étudiants, professionnels et amateurs de l’animation
Parlez-en à vos partenaires (écoles de cinéma, bibliothèques, salles, associations et festivals de cinéma…).
Tous les numéros parus sont disponibles auprès de SerendipLivres (sauf le n°1).
Blink Blank#2
Blink Blank#3
Blink Blank#4
Blink Blank#5
Blink Blank#6
Blink Blank#1 Épuisé
Blink Blank#6
Revue de presse (extraits) :
« To blink, en français, c’est cligner de l’œil, et blank c’est un vide, un blanc, dans le son ou l’image… D’où le titre de ce célèbre court métrage de Norman McLaren, Blinkity Blank (1955), qui jouait sur le temps de perception le plus bref de l’œil, cinq minutes de graffitis contrôlés sur pellicule - où un Truffaut en transe vit « toute la fantaisie de Giraudoux, la maîtrise d’Hitchcock et l’imagination de Cocteau » ! Ce petit bijou a inspiré le titre de cette nouvelle revue entièrement consacrée au cinéma d’animation. (…) L’ensemble est vraiment remarquable et devrait vite s’imposer comme indispensable aux cinéphiles en général étant donné l’importance qu’a pris l’animation dans le 7e art »
Bernard Génin, Positif n°711, 2020
« Rétrospectivement, il est remarquable de constater que cette revue a trouvé sa cohérence dès son premier numéro qui imposait un chemin de fer précis entre un gros dossier thématique, des entretiens avec les réalisateurs qui signaient les films d’animation les plus importants du moment, des analyses de films récents, la découverte d’un métier de l’animation, des longs métrages qui ne sont pas encore terminés, une réflexion exclusive de Michael Dudok de Wit en philosophe des images et Michel Chion en analyste passionné de la fabrication du son dans le cinéma d’animation mainstream. Voilà déjà un programme ambitieux à la hauteur de l’effervescence de la production contemporaine du cinéma d’animation dans sa large diversité d’esthétiques et de récits (…) »
Cédric Lépine, Médiapart, 2021
« Riche, variée, Blink Blank propose une approche très dynamique du cinéma d’animation – des auteurs les plus connus aux plus originaux –, nous faisant découvrir, avec une grande joie avouons-le, des univers plastiques, des formes de narration puissantes, vives, nécessaires. On y découvre une actualité plurielle en même temps que des pratiques, emportés par une revue qui est tout à la fois généraliste, informative, didactique, militante aussi, en ne renonçant pas à un discours savant et informé. Après l’avoir lue, on est surtout pris par des envies de cinéma, poussés par le désir de découvrir et de se plonger dans des univers très variés qui nous rappellent l’importance et la nécessité d’une forme de cinéma propre, d’un discours qui réarticule nos imaginaires et nos mémoires, les stimule, les incarne autrement, leur offre une voix puissante ! »
Hugo Pradelle, Ent’revues, 2021
Blink Blank#6
THE DERAILMENT OF THE USUAL
A project by Paul Devens, edited by Eline Kersten
As the title suggests, The Derailment of the Usual aims to destabilise normality. Deregulation and disruption are used to make the reality behind the façade audible. The Derailment of the Usual invites us to enter into the dialogue about sound being anchored in a social, activist and political reality, and, above all, challenges us to look and listen with an open mind to the things we usually take no notice of and take for granted.
Comme le suggère le titre, The Derailment of the Usual vise à déstabiliser la normalité. La dérégulation et la perturbation sont utilisées pour rendre audible la réalité qui se cache derrière la façade. The Derailment of the Usual nous invite à participer au dialogue sur l’ancrage du son dans une réalité sociale, militante et politique et, surtout, nous met au défi de regarder et d’écouter avec un esprit ouvert les choses dont nous ne tenons habituellement pas compte et que nous considérons comme acquises.
Artists : Paul Devens, Eline Kersten, Niamh Mcdonnell, Melle Jan Kromhout, Brandon Labelle, Caroline Claus, Raviv Ganchrow, Peter Kiefer.
Language : English
Prix public : 16.00 €
N° de pages : 128 pages, B&W
Format : 16.5 × 24 cm
Reliure : Softcover
Poids : 250 g.
Tirage : 600 exemplaires
Impression : SNEL, Vottem.
Editorial and graphic design : NNstudio.
Diffusion : Paon Diffusion
44 Rue Auguste Poullain, 93200 Saint-Denis, France +33 7 88 97 35 80 contact@paon-diffusion.com
Distribution : Serendip Livres (Belgique, France, Europe) et Servidis (Suisse)
Dépôt légal : D/2022/14941/02
ISBN : 978-2-9602558-9-8
© 2022 Hématomes
Hématomes Éditions
2, Quai de la Dérivation
4020 Liège
Belgique
+32 (0) 4 277 01 75
info@hematomes.be
Nouveau titre 2022 Communiqué
9 782960 255898
The Derailment of the Usual
Any derailment of the usual potentially reveals perspectives that allow us to look at our surrounding reality with new eyes. When we leave the beaten track, we need to navigate again, examine positions and question qualities. Art has this ability to pave the way for us in order to experience a shift in attitudes and positions. In the essay The Destructive Character Dick Raaijmakers shows that through catharsis, destruction or explosion, room can be made because something disappears. That could, for example, be the established order moving away, allowing something else to come into being. The established is not only a feature of our environment - past or present - it lives also within ourselves in the form of conventions and biases that disallow for a sharper, broader vision.
In The Derailment of the Usual sound is used as an intrusive means to address consciousness, to disrupt balance and to re-establish a new one. The artworks in the exhibition part of the project (that, next to this, also consists of a symposium, various workshops and performances, as well as this publication) are specifically related to how sound becomes significant—also to moving images, historical references, architecture and the choreography of the exhibition. The loud, growling soundtrack of Lis Rhodes’ optical sound work Light Music, and the telephone voices of the Egyptians during the Arab Spring in Heba Y. Amin’s work Project Speak are the audible testimonials that make us break with our daily humdrum. They expose new perspectives about tragedy and failure, evoke kind-heartedness, address the human condition, and ultimately present a mirror to ourselves.
In this publication, various essays can be found that cover the spectrum of aspects that are applicable to sound, space, history and human behaviour, as well as how these can be understood within our culture. We hope this offers a voice to a pleasant derailment.
Preface (Traduction)
The Derailment of the Usual
Tout déraillement de l’habituel révèle potentiellement des perspectives qui nous permettent de regarder la réalité qui nous entoure d’un œil nouveau. Lorsque nous quittons les sentiers battus, nous devons naviguer à nouveau, examiner les positions et remettre en question les qualités. L’art a cette capacité de nous ouvrir la voie afin de nous permettre d’expérimenter un changement d’attitude et de position. Dans l’essai The Destructive Character, Dick Raaijmakers montre qu’à travers la catharsis, la destruction ou l’explosion, on peut faire de la place parce que quelque chose disparaît. Il peut s’agir, par exemple, de l’ordre établi qui disparaît, permettant à quelque chose d’autre de voir le jour. L’ordre établi n’est pas seulement une caractéristique de notre environnement - passé ou présent - il vit aussi en nous-mêmes sous la forme de conventions et de préjugés qui nous empêchent d’avoir une vision plus nette et plus large.
Dans The Derailment of the Usual, le son est utilisé comme un moyen intrusif d’aborder la conscience, de rompre l’équilibre et d’en rétablir un nouveau. Les œuvres d’art de la partie exposition du projet (qui comprend également un symposium, divers ateliers et performances, ainsi que cette publication) sont spécifiquement liées à la manière dont le son devient significatif - ainsi qu’aux images en mouvement, aux références historiques, à l’architecture et à la chorégraphie de l’exposition. La bande sonore bruyante et grondante de l’œuvre sonore optique Light Music de Lis Rhodes et les voix téléphoniques des Égyptiens pendant le printemps arabe dans l’œuvre Project Speak de Heba Y. Amin sont les témoignages audibles qui nous font rompre avec notre quotidien. Ils exposent de nouvelles perspectives sur la tragédie et l’échec, évoquent la bonté d’âme, traitent de la condition humaine et, en fin de compte, nous renvoient un miroir de nousmêmes.
Dans cette publication, on peut trouver divers essais qui couvrent le spectre des aspects applicables au son, à l’espace, à l’histoire et au comportement humain, ainsi que la façon dont ils peuvent être compris dans notre culture. Nous espérons que cette publication offre une voix à un agréable déraillement.
Preface
Quelques pages issues du livre