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Malgré la menace d'un virus informatique qui transforme les corps dans un vacarme métallique, des êtres de tous horizons poursuivent leurs activités. Les adolescents aspirent à une vie plus libre et plus sauvage en marge des pavillons. Au loin, derrière une haute muraille, un petit groupe disparate tente tant bien que mal de vivre en communauté, cultivant des plantations bio certifiées entre ses habitats de fortune. La mer fait rêver tout un chacun, échappatoire à l'atmosphère écrasante de ce monde qui semble à bout de souffle.
Interactivité
À la fin de chaque morceau d'histoire un choix est proposé. Va-t-on suivre tel personnage, ou bien s'intéresser à telle question ? À première vue, ce que crée l'auteur n'est pas une trame linéaire dans laquelle il a tout décidé et où il dirige le lecteur. Ce dernier va créer un montage unique, réécrire l'ordre des séquences à sa guise. En coulisse pourtant, Yannis La Macchia fabrique une architecture subtile, invisible, dans laquelle chaque décision conditionnera des routes de lecture. On suivra un ou plusieurs personnages et on en abandonnera peut-être d'autres. L'auteur nous interroge. Jusqu'où devenonsnous maîtres de ce récit ? Et jusqu'où le créateur de cet ouvrage morcelé, duquel il semble vouloir nous donner le volant, brouille-t-il les pistes de l'autorité de l'auteur ?
Il existe de nombreuses manières de faire naufrage en mer. Intempéries, pannes de toutes sortes et monstres des profondeurs ne sont que quelques exemples parmi les affolantes quantités de complications que l'on peut rencontrer sur un bâtiment flottant. À moins que l'on ne soit un peu en retrait, observant tout ça par le petit bout de sa lorgnette, confortablement installé dans un phare au milieu de l'océan. Même là, pourtant, on n'est pas à l'abri de quelques ennuis, la marée noire n'étant pas des moindres...
À travers une alternance de points de vue soigneusement orchestrée, des dizaines de mini-récits s'entremêlent dans cet ouvrage incroyablement riche. On navigue à vue dans des réseaux de longs scrolls panoramiques jusqu'à ce que se constitue un tableau d'ensemble. Peu à peu émerge une cartographie de drames iodés, toujours teintés d'une légère ironie. Mais les nombreuses pistes que propose Tangage et roulis ne se parcourent pas en une seule lecture. Ainsi les finalités fluctuantes de ce périple se révéleront pleinement en s’y replongeant encore et encore. Nul doute qu'avec le noir et blanc ultra efficace de Matis Monvoisin, on se laissera volontiers entraîner de la surface aux profondeurs et inversement, au cœur d'un formidable tourbillon d’événements.
Avec une énergie absurde inépuisable, Antoine Marchalot s’attaque à tous les genres et toutes les époques dans cette série d’Histoires croûtes à l’humour infini.
Ainsi vous saurez tout sur les liens entre le Pôle Emploi et les oiseaux exotiques, sur l’élaboration des goûters dans un laboratoire scientifique, l’avantage et les inconvénients de ne pas aimer le poisson, ou vous apprendrez différentes techniques pour dessiner des loups.
Interactivité
Utilisant exclusivement des galeries d’images pour ses histoires, Antoine Marchalot pose un dispositif simple qu’il va explorer avec une inventivité sans limites. Jouant des effets de superposition propre au turbomédia, il se tient à distance des travers de ce format pour en faire un allié goguenard dans une ribambelle de gags colorés. Avec cette série de récits, initialement publiés dans la défunte revue numérique Professeur Cyclope, Antoine Marchalot construit une écriture de la bande dessinée remplie d’astuce. Les lecteurs qui ont déjà découvert ce recueil dans l’adaptation papier aux Requins marteaux se raviront de découvrir ici un récit additionnel utilisant astucieusement les gifs.
Devant une petite maison, Cabèle charge des cartons dans sa camionette puis s’en va seule sur les routes en chantonnant. C’est le début d’un long chemin, dont l’objectif ne nous est pas livré d’entrée de jeu. D’étranges petits cambrioleurs se faufilent le long de sa route. Elle rencontre une autostoppeuse, fait une halte dans une casse. Au fil de ce voyage, que l’on suspecte d’être initiatique, des bribes d’une vie passée nous parviennent pour nous ramener à notre questionnement initial : mais où va-elle avec ses cartons?
Interactivité
Démontrant une nouvelle fois que le Road Trip est un genre parfaitement taillé pour la bande dessinée numérique, Aude Barrio joue avec le format de ses planches pour poser une atmosphère aussi contemplative que dynamique. Elle utilise une succession de galeries d’images et de scrolls horizontaux pour dérouler une histoire pleine de finesse et d’énergie.
Avec cet ouvrage, qui est aussi son premier long récit publié, l’autrice donne libre court à son trait vivant et expressif, qui saute de la colère à la tendresse en passant par le kawaii. Elle use de dialogues réalistes et subtils au service de personnages sauvages pour poser une écriture de la bande dessinée affirmée et savoureuse.
Une bande de vacanciers plus idiots et farfelus les uns que les autres s’arrêtent dans la même stationservice, au grand désespoir d’un pompiste qui voudrait jutes qu’on lui fiche la paix. Tout ce petit monde s’entrechoque n’importe comment et les vacances deviennent bientôt une absurde coursepoursuite pleine de rebondissements. Sur la road fonce à 200 à l’heure sur les chemins de la rigolade bebête. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer ? Absolument tout.
Pierre Schilling opte pour une approche de la narration sur écran qui utilise intelligemment les différents formats qu’offre ce support. En faisant se succéder des séquences en scroll horizontal puis vertical et des portions d’images en turbomédia il plonge le lecteur, à la suite de ses personnages, dans un récit riche en surprises. Durant un moment à la temporalité un peu suspendue, il nous propose de choisir l’ordre dans le quel on va rencontrer les différents protagonistes du récit lors de deux passages où apparaissent des images cliquables (indiquées par des petits gifs). Passé ce moment de choix, les éventements emportent les personnages et le lecteur avec. + +
« L’Épopée » et son équipage de choc parcourent le fond des mers à la recherche de la cité perdue. Mais très vite, le sous-marin et ses occupants s’égarent. Incapables de s’orienter avec leur carte au trésor rudimentaire ils feront face aux périls d’une mer infestée de brigands. Reprenant les grands thèmes du roman de piraterie, L’épopée à la dérive ramène avec astuce ce genre vers l’époque contemporaine. Ici, les corsaires sont des scientifiques, les galions sont des paquebots rouillés et des îlots de déchets forment d’improbables radeaux.
En nous proposant de cliquer toujours sur le même point qui se déplace au sein d’une carte, Jehan -Kho dl nous fait évoluer dans un récit linéaire, mais qui suggère l’idée de l’exploration et la possibilité d’une forme de choix à venir. Nourris de cette promesse d’un éventuel surplus de liberté, avec notre petite bande d’aventuriers qui évoluent sur une carte aux trésors, on baigne dans des thèmes et un imaginaire propres au roman de piraterie. Ce que l’auteur amène avec son utilisation de l’interactivité c’est la sensation de participer à la recherche, avec l’opportunité, peut-être, de découvrir de petits trésors.
à la dérive ramène avec astuce ce genre vers l’époque contemporaine. Ici, les corsaires sont des scientifiques, les galions sont des paquebots rouillés et des îlots de déchets forment d’improbables radeaux.
En nous proposant de cliquer toujours sur le même point qui se déplace au sein d’une carte, Jehan Khodl nous fait évoluer dans un récit linéaire, mais qui suggère l’idée de l’exploration et la possibilité d’une forme de choix à venir. Nourris de cette promesse d’un éventuel surplus de liberté, avec notre petite bande d’aventuriers qui évoluent sur une carte aux trésors, on baigne dans des thèmes et un imaginaire propres au roman de piraterie. Ce que l’auteur amène avec son utilisation de l’interactivité c’est la sensation de participer à la recherche, avec l’opportunité, peut-être, de découvrir de petits trésors.
L’Usine est un grand bâtiment, un lieu autogéré que Buster Yañez hante avec ses copains. Ce bâtiment mythique de la contre-culture genevoise, il l’observe depuis son atelier, le bistrot d’en face, chez le disquaire ou les backstages. Il chasse et parfois même provoque des instants bêtes, drôles, gênants, effrayants, voire franchement scandaleux, pour nous les rapporter aussi sec.
Dans cette vue urbaine cisaillée, on va chercher des fragments de récits dissimulés qui feront apparaître des histoires cachées. Rassemblant tous les éléments d’une sorte de chasse au trésor citadine, Buster Yañez se garde d’un ludisme superflu et nous emmène dans la lecture d’un petit comix évoquant la belle époque de l’underground américain, en version cliquable.
L’évolution de la vie sur Terre a depuis longtemps été démystifiée, rationalisée et scrupuleusement mesurée par les scientifiques. Pourtant, certains originaux tentent encore de nous faire croire à d’étranges histoires. Antoine Fischer est assurément de ceux-là. Quoique plus inspirées du fait scientifique que du récit religieux, ses tribulations terriennes sont une réécriture de l’évolution des espèces, teintée d’humour, faite de détails étranges et d’images magnifiques.
Interactivité.
L’objet numérique prend la forme d’une longue fresque extrêmement détaillée, un scroll horizontal dans lequel on va chercher de petits éléments cliquables qui feront apparaître des histoires cachées. Avec cette œuvre dans laquelle chaque coup de scroll représente des millénaires, Antoine Fischer nous propose de nous aventurer dans des sauts temporels contemplatifs et vertigineux.
Le supermarché, ce labyrinthe saturé de produits multicolores, peut aussi devenir un incroyable lieu de vie. Ce postulat, qui pourrait très bien inspirer un slogan destiné à rendre attractif l’un de ces hangars éclairés au néon, est repris ici sur un ton légèrement dissonant. Car la vie qui grouille entre les rayons et le carrelage glacé du lieu de travail de Sylvie est un peu débordante : homards mal ficelés et cultures bactériennes, management feng shui et salariés sous pression... Dans les rayons du supermarché, on ne voit pas que des produits. On y observe aussi des choses qui n’étaient pas faites pour être vues.
Dans cette longue fresque horizontale on trouve de petits éléments cliquables qui feront apparaître des histoires cachées. Sans jamais nous sortir de notre position de lecteur, Oriane Lassus évoque parfois le souvenir des point-and-click des années 90.
Trois petites cellules découvrent un microcosme étrange mais accueillant où la vie semble pouvoir prospérer. Des cyclopes bagarreurs, des vifs à trompe et de doux anthropophages prolifèrent ou luttent pour leur survie. Conan le borgne, Roger Le Malformé et un oracle psychédélique apparaissent sur la carte de notre minuscule univers tandis qu’ une civilisation plus belliqueuse menace de coloniser le petit monde. les aventures de la vie deviennent une épopée pour la survie. Une mythologie colorée qui retrace les vies de plusieurs générations de petits organismes.
Interactivité
L’univers unicellulaire d’Alex Chauvel est aussi minimaliste que foisonnant. Dans ce monde fait de toutes petites choses et avec une économie de moyens remarquable, l’auteur nous emmène dans une contrée vivante et pleine de surprises. Une carte évolutive du microcosme permet d’aller voir ce qui se passe dans différents lieux et chez différentes espèces. Au fur et à mesure de notre progression dans les trois chapitres de cette histoire, la carte se dévoile, se transforme, laissant apparaître les modifications du territoire et les déplacements de nos héros.
Interactivité Adapter en bande dessinée numérique Le Triangle d’or un texte du créateur d’Arsène Lupin paru en 1918, est en soi un pari assez osé. Benoît Preteseille s’y prête avec malice, multipliant les pas de
y côtoieront le plus célèbre des gentlemen cambrioleurs et finiront par se découvrir des affinités insoupçonnées.
André est un amoureux dévoué qui ne demanderait rien de mieux que de porter secours à l’élue de son cœur. Mais son infirmière, Cendrine, n’a pas pour habitude de crier à l’aide. Mariée à un étrange énergumène et aux prises avec les pires bandits, elle n’est pas du genre à se laisser impressionner. Au lieu de s’embarquer pour une romance, les deux tourtereaux se retrouvent bien vite au centre d’un triangle plus crapuleux qu’amoureux. Ils y côtoieront le plus célèbre des gentlemen cambrioleurs et finiront par se découvrir des affinités insoupçonnées.
Adapter en bande dessinée numérique Le Triangle d’or , un texte du créateur d’Arsène Lupin paru en 1918, est en soi un pari assez osé. Benoît Preteseille s’y prête avec malice, multipliant les pas de côté et les clins d’œil à l’œuvre originale. Enchaînant des scrolls contenant des images cliquables avec des séquences de turbomedia, il utilise l’œuvre de Maurice Leblanc comme point de départ pour un travail de défrichage du langage et des formats de la lecture sur écran. Usant des intrigues et des mystères du récit original, il nous propose des séquences de point-and-click mettant en scène une enquête participative entièrement frauduleuse. Un geste purement gratuit, ou peut-être pas? Cela nous révèle au moins que chez Benoît Preteseille comme chez Maurice Leblanc, quelqu’un d’autre est secrètement à la manœuvre. Et tout le reste n’est qu’illusion.
Titre : Cosmicomix #8 Larvae
Auteur : Florian Huet Editeur : La Poinçonneuse Format : 16,25 x 25 cm Nombre de pages : 20 Impression : Couleur prix : 6 € ISBN : 9782931176085 date de sortie : Avril 2023
Victoria Koto a attrapé la lèpre mentale. Cette maladie lui balance des fragments de vies lointaines, des images de temps inconnus qui grignotent pas à pas ses perceptions et sa conscience. Parmi le flot de souvenirs étrangers reviennent sans cesse ceux du Dr Meubrac, inventeur de la machine à voyager dans le temps. Jour après jour, ces visions remplacent le quotidien de Victoria et l’entravent alors que la Civilisation du Temps prend possession de la région et y détruit implacablement les structures collectives.
Larvae est le 8e chapitre de Cosmicomix, il marque la moitié de l’histoire et la conclusion d’un premier mouvement.
Florian Huet est auteur de bande dessinée. Il vit et travaille à Bruxelles. Depuis 2016, il publie son travail via la maison d’édition La Poinçonneuse. Dans ses bandes dessinées il mêle littératures de genre, politique, luttes sociales et recherches graphiques.
• Science-fiction
• Saga divisée en 16 chapitre
• 1 chapitre = 1 fascicule de 20 pages
• Expérimentation graphique
• Maladie
• Cyberpunk
• Privatisation
• Agonie
Titre : Cosmicomix #7 Mara Auteur : Florian Huet Editeur : La Poinçonneuse Format : 16,25 x 25 cm Nombre de pages : 20 Impression : Couleur prix : 6 € ISBN : 9782931176023 date de sortie : Avril 2022
Cosmicomix est une bande dessinée de science-fiction divisée en 16 chapitres. Chaque chapitre possède une ambiance graphique et narrative qui lui est propre.
Dans le monde de Cosmicomix, une machine à voyager dans le temps est inventée, son usage produit des uchronies en cascade, des réécritures successives de l’histoire qui génèrent une multitudes de réalités exploitables jusqu’à l’os.
Cosmicomix raconte des histoires de voyage temporel mais aussi celles de personnages a priori extérieurs à ces expérimentations et explorations qui en subissent les chamboulements et les conséquences.
Mara, le septième chapitre, s’intéresse à Didi Reverse, elle recueille des victimes de la peste mentale pour explorer leurs visions d’outre-temps. Dans ces cauchemars, elle cherche des indices.
Florian Huet est auteur de bande dessinée. Il vit et travaille à Bruxelles. Depuis 2016, il publie son travail via sa maison d’édition La Poinçonneuse en prenant en charge l’impression et le façonnage de ses livres. Dans ses bande dessinées il mêle littératures de genre, politique, luttes sociales et recherches graphiques.
• Science-fiction
• Saga divisée en 16 chapitre
• 1 chapitre = 1 fascicule de 20 pages
• Expérimentation graphique
• Cauchemars
• Horreur / Fantastique
• Rouge
Titre : Cosmicomix #6 Kairos Auteur : Florian Huet Editeur : La Poinçonneuse Format : 16,25 x 25 cm Nombre de pages : 20 Impression : Couleur prix : 6 € ISBN : 9782931176016 date de sortie : Avril 2022
Cosmicomix est une bande dessinée de science-fiction divisée en 16 chapitres. Chaque chapitre possède une ambiance graphique et narrative qui lui est propre.
Dans le monde de Cosmicomix, une machine à voyager dans le temps est inventée, son usage produit des uchronies en cascade, des réécritures successives de l’histoire qui génèrent une multitudes de réalités exploitables jusqu’à l’os.
Cosmicomix raconte des histoires de voyage temporel mais aussi celles de personnages a priori extérieurs à ces expérimentations et explorations qui en subissent les chamboulements et les conséquences.
Kairos, le sixième chapitre, se passe à bord d’une mission d’exploration spatiale qui fait route vers l’étoile Bételgeuse. D’intenses perturbations émanent de cette zone, la cartographe Kali Voor est censée les démêler mais ça n’est pas gagner.
Florian Huet est auteur de bande dessinée. Il vit et travaille à Bruxelles. Depuis 2016, il publie son travail via sa maison d’édition La Poinçonneuse en prenant en charge l’impression et le façonnage de ses livres. Dans ses bande dessinées il mêle littératures de genre, politique, luttes sociales et recherches graphiques.
• Science-fiction
• Saga divisée en 16 chapitre
• 1 chapitre = 1 fascicule de 20 pages
• Paradoxes temporels
• Space opera
• Expérimentation graphique
• Bleu
Titre : Cosmicomix #5 Wù Auteur : Florian Huet Editeur : La Poinçonneuse Format : 16,25 x 25 cm Nombre de pages : 20 Impression : Couleur prix : 6 € ISBN : 9782931176009 date de sortie : Avril 2022
Cosmicomix est une bande dessinée de science-fiction divisée en 16 chapitres. Chaque chapitre possède une ambiance graphique et narrative qui lui est propre.
Dans le monde de Cosmicomix, une machine à voyager dans le temps est inventée, son usage produit des uchronies en cascade, des réécritures successives de l’histoire qui génèrent une multitudes de réalités exploitables jusqu’à l’os.
Cosmicomix raconte des histoires de voyage temporel mais aussi celles de personnages a priori extérieurs à ces expérimentations et explorations qui en subissent les chamboulements et les conséquences.
Wù, le cinquième chapitre, montre le Dr Meubrac, et ses acolytes Didi et Dudu, se délecter des images du passé au milieu des ruines variables d’Hadagoville. Les réponses qu’il cherche pourrait le décevoir et ses plaisirs provoquer des réactions… opiniâtres.
Florian Huet est auteur de bande dessinée. Il vit et travaille à Bruxelles. Depuis 2016, il publie son travail via sa maison d’édition La Poinçonneuse en prenant en charge l’impression et le façonnage de ses livres. Dans ses bande dessinées il mêle littératures de genre, politique, luttes sociales et recherches graphiques.
• Science-fiction
• Saga divisée en 16 chapitre
• 1 chapitre = 1 fascicule de 20 pages
• Post-apocalyptique
• Expérimentation graphique
Titre : Cosmicomix #4 Doppelgänger
Auteur : Florian Huet ISBN : 9782955980552
Nombre de pages : 20 Couleur prix : 6 €
Cosmicomix est une bande dessinée de science-fiction divisée en 16 chapitres. Chaque chapitre possède une ambiance graphique et narrative qui lui est propre.
Dans le monde de Cosmicomix, une machine à voyager dans le temps est inventée, son usage produit des uchronies en cascade, des réécritures successives de l’histoire qui génèrent une multitudes de réalités exploitables jusqu’à l’os.
Cosmicomix raconte des histoires de voyage temporel mais aussi celles de personnages a priori extérieurs à ces expérimentations et explorations qui en subissent les chamboulements et les conséquences.
Doppelgänger, le quatrième chapitre, met en scène le voyageur temporel Dick Reverse lancé à la poursuite de James Du Rebours à travers les dimensions plurielles, prétexte à de multiples variations graphiques. En parallèle, Danielle Emmett nous partage son histoire et comment la machine temporelle a fait basculer son existence.
Titre : Cosmicomix #3 Yamabushi Tengu
Auteur : Florian Huet
ISBN : 9782955980545
Nombre de pages : 20 Couleur prix : 6 €
Cosmicomix est une bande dessinée de science-fiction divisée en 16 chapitres. Chaque chapitre possède une ambiance graphique et narrative qui lui est propre.
Dans le monde de Cosmicomix, une machine à voyager dans le temps est inventée, son usage produit des uchronies en cascade, des réécritures successives de l’histoire qui génèrent une multitudes de réalités exploitables jusqu’à l’os.
Cosmicomix raconte des histoires de voyage temporel mais aussi celles de personnages a priori extérieurs à ces expérimentations et explorations qui en subissent les chamboulements et les conséquences.
Yamabushi Tengu, le troisième chapitre, nous présente Dick Reverse, fringant voyageur du temps au nez exceptionnel, parti à la recherche d’un mystérieux signal. Son enquête le mène dans un Buenos Aires de 1930 post-voyage-dans-le-temps où travaille la détective privée Danielle Emmett
Titre : Cosmicomix #2 ‘Alam Al-mithâl
Auteur : Florian Huet
ISBN : 9782955980538
Nombre de pages : 20
Couleur prix : 6 €
Cosmicomix est une bande dessinée de science-fiction divisée en 16 chapitres. Chaque chapitre possède une ambiance graphique et narrative qui lui est propre.
Dans le monde de Cosmicomix, une machine à voyager dans le temps est inventée, son usage produit des uchronies en cascade, des réécritures successives de l’histoire qui génèrent une multitudes de réalités exploitables jusqu’à l’os.
Cosmicomix raconte des histoires de voyage temporel mais aussi celles de personnages a priori extérieurs à ces expérimentations et explorations qui en subissent les chamboulements et les conséquences.
‘Alam Al-Mithâl, le second chapitre, nous propulse dans le monde intermédiaire où Flint s’est retrouvé catapulté. En effet, la machine l’a projeté dans l’entre-monde, dans l’interstice indéfini et indicible qui sépare le maintenant du non-maintenant, l’ici du non-ici. Dans cette absence ambiguë de temps et d’espace, il ne cesse de se métamorphoser en lignes indescriptibles qui dessinent et tissent une couture entre cet anti-lieu et l’espace-temps.
Titre : Cosmicomix #1 Medlle
Auteur : Florian Huet
ISBN : 9782955980521
Nombre de pages : 20 Noir et Blanc prix : 6 €
Cosmicomix est une bande dessinée de science-fiction divisée en 16 chapitres. Chaque chapitre possède une ambiance graphique et narrative qui lui est propre.
Dans le monde de Cosmicomix, une machine à voyager dans le temps est inventée, son usage produit des uchronies en cascade, des réécritures successives de l’histoire qui génèrent une multitudes de réalités exploitables jusqu’à l’os.
Cosmicomix raconte des histoires de voyage temporel mais aussi celles de personnages a priori extérieurs à ces expérimentations et explorations qui en subissent les chamboulements et les conséquences.
Meddle, le premier chapitre, nous projette dans une ville lointaine, Hadagoville, où le Dr Meubrac dirige, entre deux déambulations, le programme clandestin de fabrication de la machine temporelle. Pour le premier essai, il s’est dégoté un cobaye du nom de Flint sorte de renégat de salon, aussi fat que crypto-libéral. Mais les choses ne sont pas si simples
HADAGOVILLE s’étend sur une grande surface. Elle se divise en régions, puis en secteurs, puis en cantons, puis en blocs, puis en zones, puis en faubourgs, puis en tranches.
Il y a cinq régions principales : Brado au nord, Kraftming à l’ouest, Prupl au sud, Zozz à l’est, et Centrum au centre.
Les différences entre les cinq régions sont peu marquées et changeantes.
Il est à noter néanmoins que le Zozz profond (niveau -5) est réputé depuis quelques décennies pour ses estaminets qui servent une décoction de chrysalide bon marché et de qualité.
Bonnes adresses : - Tyrollien à l’encre éclaboussée
- Vita Coetia
- Mildred Mildred
Les régions sont traversées par un métro composé de 16 lignes.
La ligne « » est la plus rapide et la plus fréquentée, elle court de la banlieue du Prupl jusqu’en marge de Kraftming. Elle traverse le Centrum en desservant notamment le Ministère de la Mécanique (ex-Musée de l’Éternelle, et avant cela Palais Consulaire).
Le Ministère de la Mécanique est peut-être le bâtiment le plus important de la ville, tant sur le plan économique, politique qu’en terme de dimensions. Le nombre exact de salles est inconnu, certains secteurs n’ont jamais été achevé pourtant des constructions continuent à germer dans les souterrains. Depuis la tentative initiale de Champour Bhroi, une délégation active de géographes tentent d’éditer des cartes et plans
exacts et correctement mis à jour, néanmoins jusqu’à maintenant les résultats ne sont pas à la hauteur des ambitions.
Les trois gouvernements de la ville - c’est à dire la Chancellerie, la Théocratie (fondée d’après la pensée de Saint Kreminger), et le Réseau (se réclamant du Rhizome Psychanalytique) - y siègent.
En marge de ces structures étatiques, des groupuscules révolutionnaires, contre-révolutionnaires, réactionnaires et contre-réatctionnaires subsistent. Le plus consensuel est incarné par la figure d’Ingmar (ou Drumbog, ou Bandzo, ou Dadokian selon les sources) Flint. Son portrait est abondamment affiché sur les murs de la ville. Des slogans tels que IL EST DE TOUTE PREMIERE URGENCE QUE NOUS CONFIGURIONS NOS IDEES ou LES SIGNES NE SONT PLUS « LES SIGNES » se trou-
vent en règle générale sous le portrait de l’activiste.
Le libertaro-cryptobordurisme dont se réclame Flint est depuis longtemps combattu par la Chancellerie. Cette dernière lui a octroyé le titre officiel d’Ennemi d’Etat, les deux autres gouvernements gardent un silence poli, préférant la matraque ou la torture aux titres officiels.
Renaud Farace et Olivier Philipponeau, tous deux auteurs confirmés, commencent leur collaboration dans plusieurs fanzines. Inspiré par l'OuLiPo et l'OuBaPo, le duo multiplie les expérimentations, et crée Détective Rollmops, édité par The Hoochie Coochie et sélectionné au Festival d'Angoulême. Renaud illustre des livres jeunesse et n'oublie pas son goût pour le grand romanesque en bande dessinée, signant, en 2017, Duel, chez Casterman. Également illustrateur, Olivier Philipponneau grave sur bois la plupart de ses créations. Les éditions The Hoochie Coochie sont le lieu de ses expérimentations en bande dessinée, où il développe un univers décalé, à base de jeux de lecture et d'étranges petits personnages. Il est cofondateur de la maison d'édition 3œil.
La
Les
ISBN 978-2-940700-32-5
Le marcheurDans un monde post-apocalyptique, on suit d’abord les pérégrinations d’un robot humanoïde qui explore les détritus de l’humanité avant d’être saisi par un rapace. Ailleurs, dans un Paris en ruine, un explorateur qui ressemble à Jean Rochefort tente d’échapper à des zombies, c’est-à-dire des gamers qui portent un casque de réalité virtuelle. La suite est une digression fantastique qui conduit les protagonistes et les lecteurs à travers des mondes fantasmés, inquiétants et chamaniques où le sens, fondamentalemenet spirituel et contemporain, est à chercher dans la perception du moment de lecture et donc, à mesure qu’on relit Le marcheur, des sens alternatifs surgissent. C’est dire si ce livre ouvert s’ouvre et se rouvre.
9782940700325
Le marcheur est un récit contemplatif, sans parole, servi par le trait particulier, reconnaissable et libre de Krum qui, pour le coup, contrairement à son habitude, emploie la couleur pour servir et peindre son imaginaire. Le découpage, en gauffrier (3 vignettes verticales) et le format, à l’italienne pour une publication cartonnée, font un écrin original et de qualité.
Hélice Hélas Editeur
Rue des Marronniers 20 CH-1800 Vevey Tél. : ++41 21 922 90 20 bd@helicehelas.org www.helicehelas.org
Diffusion Suisse : Servidis Chemin des Chalets 7 CH-1279 Chavannes-de-Bogis Tél. : ++41 22 960 95 10 www.servidis.ch
Représentants :
Julien Delaye(BD et livres d’artiste) > jdelaye@servidis.ch Pascal Cottin (littératures) >cottin.pascal1@gmail.com
Diffusion France, Belgique : Serendip-Livres 21 bis, rue Arnold Géraux F-93450 L’Île-St-Denis Tél. : ++33 14 038 18 14 www.serendip-livres.fr
Né en 1979, Krum se tourne très tôt vers les arts graphiques. En 2003, il reçoit le Prix des Nouveaux talents au festival BD de Sierre et crée Absurdostudio son propre studio d’illustration. En 2004, il publie L’Au-Dessus, son premier album (adapté sur scène en 2022). Pour promouvoir le livre, il dessine seize affiches géantes disséminées dans Vevey, étant ainsi à l’origine du fabuleux festival Pictobello. Depuis, il illustre notamment des magazines ou des jeux de rôle en passant par le jeu vidéo. En 2015 il publie O2. Il est aussi le rédacteur en chef de la revue LePorte-Rêve,consacrée aux mondes imaginaires illustrés.
Collection : Ellipse et laps Genre : Bande dessinée muette et récit imaginaire Sujets abordés : post-apocalyptique, fin de l’anthropocène, dystopie, rêves, chamanisme
Format : 23x19.6 cm 88 pages ISBN 978-2-940700-32-5 CHF 30/EUR 25
Parution 1er avril 2023
Un rêve qui a pour toile de fond la ville de Vevey
Un scaphandrier contemple la photo d’un arbre mystérieux puis émerge et part à sa recherche. C’est le début d’une quête initiatique. Là-haut il croise les habitants rétro de la ville rêvée de Vevey qui le mènent auprès d’un ange aux ailes bandées. Plus tard, un arbre géant surgit du sol, un petit gavroche fait des songes qui le transportent chez un vieux magicien et un dictateur qui veut être artiste-peintre s’attaque à coups de canon à l’arbre, obscénité géante dans le paysage urbain.
Publié une première fois en 2004 chez Castagniééé et une deuxième en 2012 chez Hélice Hélas, L’Au-dessus ne cesse de trouver un public qui se renouvelle et connaît un succès certain. La troisième édition est préfacée par Stefano Stoll et ajoutée de nouveaux tableaux.
Sur l’auteur : Né en 1979, Krum se tourne très tôt vers les arts graphiques. Après deux ans à l’école des beaux arts du Valais, il se lance dans une série d’expositions de 1999 à 2001. En 2003, il reçoit le Prix des Nouveaux talents au festival BD de Sierre et crée Absurdostudio son propre studio d’illustration. En 2004, il publie L’Au-dessus, son premier album. Pour promouvoir le livre, il dessine seize affiches géantes disséminées dans Vevey, étant ainsi à l’origine du fabuleux festival Pictobello. Il publie en 2015 O2 chez Hélice Hélas et dirige la revue Le Porte-rêve, créée en 2017.
Hélice Hélas Editeur
Rue des Marronniers 20 CH-1800 Vevey
Tél.: ++41 21 922 90 20 litterature@helicehelas.com www.helicehelas.org > litterature@helicehelas.com
Collection: Ellipses et laps
Genre : bande dessinée fantastique Sujets abordés : Vevey, monde imaginaire
Format 23 x 32.5, 120 pages ISBN 978-2-940522-82-8 CHF 30.00 / EUR 25.00
Parution janvier 2020
Synapses is a collection of short stories by Ivo Puipo. You can jump from story to story, there is a strong ever-changing voice that leads through this graphically sophisticated and refreshing narrative book.
"It’s truly a book made of people, communicating, unfolding and touching one another, transposing bridges, connecting yet unknown possibilities."
- Fabio ZimbresIvo Puiupo (*1996, Lisbon) is a Brazilian/Portuguese visual artist based in São Paulo. His research dialogues with comics and its various ways of unfolding and intersecting with studio production. Puiupo is part of the zine collective Pepito Corp and the artistic collective BASA.
Format: A5, 116 pages, full-colour, perfect bound, printed on high quality and environmentally friendly Munken paper.
ISBN: 978-9934-581-59-5
Price: 18 EUR
Special issue edited by Stripburger with artists from the Balkans to the Baltics and beyond As usual a wild mix of alternative comics.
Cover: Miha Perne (Slovenia) Contributors: Adrijan Praznik (Slovenia), Agata Lučić (Croatia), Agate Lielpētere (Latvia), Akinori Oishi (Japan), Alex Potts (UK), Andrej Štular (Slovenia), Apolonija Lučić (Croatia), Bruno Borges (Portugal), Cecilia Valagussa (Italy), David Krančan (Slovenia), Gabri Molist (Spain), König Lü. Q. (Switzerland), Léo Quiévreux (France), Lizz Lunney (UK), Marin Remić (Croatia), Miha Perne (Slovenia), Rebeka Lukošus (Latvia), Roberto Masso (Spain), Serena Schinaia (Italy), Sorina Vazelina (Romania), Stefan Hahn (Germany), Tanja Komadina (Slovenia), Till Lukat (Germany), Viviana Maria Stanislavska (Latvia)
Format: A6, 164 pages, full-color, perfect bound, printed on high quality and environmentally friendly Munken paper.
ISBN: 978-9934-581-60-1
Price: 10 EUR
International indie comics magazine Special issue edited by kuš!, Guest editor: David Schilter Publisher: Forum Ljubljana (Slovenia), released December 2022, 19 x 27 cm, 96 pages + supplement Malcy Duff: The Sphinx (24 pages), language: English-Slovene, offset printed locally in Slovenia
ISBN: 9771408988009-80 Price (in France): 12 €
COVER: Harukichi (JP) SOAPBOX: David Schilter (kuš!) PROFILE: Malcy Duff (SCT) INTERVIEW: Kutikuti (FI) COMICS: Disa Wallander (SE), Ana Margarida Matos (PT), Evangelos Androutsopoulos (FI/GR), Bohdana Zaiats (UA), Oskars Pavlovskis (LV), Akvile Magicdust (LT), Maira Dobele & Rebeka Lukošus (LV), Pauls Rietums (LV), Harukichi (JP), Tommi Musturi (FI), Andrej Štular (SI), Nuka Horvat (SI), Powerpaola (CO), Lukas Weidinger (AT), König Lü. Q. (CH), Christopher Sperandio (US), Malcy Duff (SCT)
The 80th issue of Stripburger brings a plethora of amazing new discoveries as well as familiar names from the international comics scene. All that, mixed in the refreshing comics cocktail by kuš! editor David Schilter. Japanese artist Harukichi joined our party as well by creating the cover. Not to mention that his famous DJ Cat Gosshi had finally travelled to Slovenia! The interviewees in this issue are Kutikuti artist collective from Finland and Malcy Duff, prolific & passionate experimental artist from Scotland.
More info & visual material here
International comics anthology
Publisher: Forum Ljubljana (Slovenia), released January 2023, 19 x 27 cm, 300 pages, language: EnglishSlovene, offset printed locally in Slovenia
Price: 27 €
The 300-pages thick comics anthology Stripburger's Dirty Thiry will present the history of the one and only Slovenian contemporary comics magazine through its 80 first issues. The anthology consists of a colourful range of republished Stripburger comics by Slovenian artists and international artists from 1992 2022.
The anthology aims to provide the international public with a glimpse of the diverse and exceptional contemporary comics and graphic production of artists gathered around the Stripburger magazine.
Stripburger is an international comics magazine, founded in 1992 in Ljubljana (Slovenia).
For already 30 years Stripburger has been maintaining its recognisable concept and distinctly international character: uncovering independent local comics scenes and featuring an eclectic selection of comics by established names alongside new and upcoming comics talents from all over the world.
Being bilingual (Slovenian & English), it has evolved into an important resource on the international independent comics scene and is also the most important source of information for foreign followers of the Slovenian comics production. Two issues of the magazine are published annually, featuring works by both Slovenian and international comics artists, and complementing them with news and reflection on the comic art & medium. https://www.stripburger.org/en/ instagram.com/stripburger/ facebook.com/stripburgercomix/
International comics anthology Special edition of Stripburger comics magazine
Publisher: Forum Ljubljana (Slovenia), released January 2023, 19 x 27 cm, 300 pages, language: English-Slovene, offset printed locally in Slovenia
Release date: 30 january 2023
ISBN: 978-961-7087-24-6 Price: 27 €
The 300-pages thick comics anthology Stripburger's Dirty Thiry presents the history of the one and only Slovenian contemporary comics magazine through its 30 first years and 80 issues. The anthology consists of a colourful range of republished Stripburger comics by around 70 international and Slovenian artists from 1992 2022 and aims to provide the international public with a glimpse of the diverse and exceptional contemporary comics and graphic production of artists gathered around the Stripburger magazine.
Artists: Aleksandar Zograf (RS), Max Andersson (SE), Matti Hagelberg (FI), Stefano Zaterra (IT), Mary Fleener (US), Atak (DE), Jason (NO), Pakito Bolino (FR), Lars Sjunesson (SE), Caroline Sury (FR), Anke Feuchtenberger (DE), Rutu Modan (IL), M.S. Bastian (CH), Nicolas Mahler (AT), Daniel Žeželj (HR), Igor Hofbauer (HR), Gunnar Lundkvist (SE), Filipe Abranches (PT), Mawil (DE), Marcelo d'Salete (BR), Tomaž Lavrič (SI), Jyrki Heikkinen (FI), Marcel Ruijters (NL), Julie Doucet (CA), Capucine Latrasse (FR), Nicolas Presl (FR), Bruno Borges (PT), Till Lukat (DE), Olaf Ladousse (ES), Peter Kuper (US), Samplerman & Leo Quievreux (FR), Matej Stupica (SI) and many others
HISTOIRES EN IMAGES POUR APPRENDRE À REGARDER, IMAGINER ET RACONTER
Simone Berti et Alessandro Sarra
31,8x 23,5x 0,3 cm + couv ou box exemplaires 2019
Laracamallo est l'histoire d'une rencontre entre deux types de peinture différents, mais aussi entre deux créatures différentes qui prouvent que même deux mondes apparemment éloignés peuvent se rencontrer, malgré les obstacles et les apparences. Grâce au chevauchement et au dialogue entre les deux modes de représentation, l'un figuratif et l'autre abstrait, Laracamallo fusionne les styles de deux artistes : celui de Simone Berti, dont l'œuvre est caractérisée par la représentation de figures (humain, animal ou inanimé) sur un fond blanc sur lequel ils se détachent de manière emblématique, et celle d'Alessandro Sarra, un peintre abstrait dont les peintures sur toile représentent une réflexion sur la peinture en tant que "temps" qui devient espace et langage.
Tout comme sur les feuilles d'album, les deux types de peinture alternent, se rencontrent, s'éloignent, il en est de même pour les deux personnages de l'histoire. Une poule et un cerf se rencontrent, tombent amoureux, seuls entre les pages du livre ils se désirent et tentent de se rejoindre sans y parvenir jusqu'à ce qu'un stratagème leur permette de se rencontrer et de s'aimer ! 31,8x 23,5x 0,3 cm
les cerises / contact@lesceriss.net / www.lescerises.net
les cerises / contact@lesceriss.net / www.lescerises.net
ISBN : 9782953074284
Format/Size : 20 pages, 9 x 11,5 cm
Papiers/Papers : Papier Munken Print Cream 90g et Papago Moutarde 170g 4 tons directs
Tout petit livre à destination des enfants, Élémentaire se lit dans les deux sens, à l’endroit et à l’envers. Sur les 20 pages se succèdent des formes simples qui sont une chose quand on les regarde dans un sens, et une autre quand on retourne le livret !
Titre : Artiste : Graphisme : Éditeur : Format : Langues : Tirages : Impression : Prix: L’autrice : L’éditeur :
Cinquante-deux
Aline Zalko Oscar Ginter
Quintal Éditions Français 1500ex Offset Quadri (Média-Graphic - Rennes) 25€
Son s’articule entre dessin et peinture. L’éphémère et la métamorphose en sont les éléments centraux, avec une prédilection pour la représentation de l’imagerie féminine dans la culture pop et pulp, les portraits d’enfants et d’adolescents, les objets obsolètes, la représentation d’une nature puissante, ainsi qu’une certaine fascination pour les flammes.
Aline présente régulièrement son travail en galeries et dans les salons d’art contemporain. Elle collabore également de façon soutenue avec des maisons d’édition, des maisons de luxe, la presse française et internationale.
Quintal Éditions est un studio de créationet une maison d’édition d’œuvres imprimées crée par Oscar Ginter en 2018. Quintal s’efforce de mettre en synergie le travail artisanal et manuel des artistes et les processus automatiques de création liés aux nouveaux outils numériques.
En utilisant des techniques d’impressions diverses et inventives, Quintal Éditions cherche à démultiplier le champ des possibles en encourageant les expérimentations formelles et typographiques sans jamais négliger la dimension ludique de son activité.
52 cartes, 52 femmes.
Certains diront qu’il s’agit là d’un jeu de cartes érotique, et ils n’auront peut-être pas tout à fait tort. Pourtant, si les corps et les nudités sont apparents, voire revendiqués, ils ne sont peut-être qu’un leurre, certainement pas une promesse.
Portant un regard fixe sur celui qui les contemple, ces femmes partagent avec nous davantage qu’ne vision érotique : leurs vies, leurs émotions, leurs histoires.
Fascinée par l’imagerie pulp des années 70 et 80, s’amusant, soulignant et détournant les clichés de ces représentations féminines, souvent issues de fantasmes masculins, Aline Zalko convoque ses propres souvenirs et son imagination pour enrichir ses dessins comme autant de fragments de sa propre vie.
On y croise ses artistes préférés : Kate Bush, Botticelli, Virginia Woolf, David Bowie, Stevie Wonder, Roland Topor, dans l’ordre que vous voudrez ; aussi on se perd sous la clarté d’un croissant de lune caribéen, ou dans le regard d’une amie érigée en Roi de Pique.
Ce sont à chaque fois des allégories, des cartes-monde, chaque dessin étant comme une page de journal intime de l’artiste. Ces femmes sont un miroir dans lequel Aline Zalko se voit, mais dont le reflet finit par prendre son autonomie avec un air de défi.
Non contente d’avoir dessiné ces 52 femmes (et deux jokers), Aline Zalko, amatrice de Poker, décide avec Quintal éditions d’éditer un véritable jeu de cartes, et d’inviter chacun à devenir à son tour un personnage de ce jeu de regard.
Sur le Spin off du FIBD d’Angoulême, en mars 2022, le travail de Chloé Vanderstraeten a surgi telle une révélation. Soigneusement conservé à distance de la libre consultation, le précieux exemplaire unique de Cartographies n’attendait là que de dévoiler sa précision esthétique, sa richesse conceptuelle et sa puissance manipulatoire. Dans ce livre d’artiste (édité aujourd’hui sous la forme d’un fac similé), cinq blocs de papier autonomes et complémentaires répondent chacun à un déploiement en cinq gestes, pris dans le suspens de leur mise au jour, pour dévoiler de savantes constructions diagrammatiques, offertes à une appréhension tant sensorielle qu’intellectuelle. Se joue là une analyse figurale de l’engagement du corps autour d’actions aussi évidentes qu’essentielles, dont l’habitude tend à nous laisser négliger leur complexité : dormir / respirer / jouer / écouter / cultiver. Dégagé de tout texte, des motifs géométriques référencés au dessin technique s’affichent comme parties d’un processus ambigument articulé entre le mécanique et l’organique, et voient leur force d’évocation décuplée par une ornementation attentive et codifiée, usant d’une gamme resserrée de crayons de couleur.
« Pratiquer le dessin me permet de questionner la tension entre le corps et la technique. Autrement dit, de penser les techniques du corps. » En envisageant le dépassement des usages scientifiques du dessin manuel et outillé (« habituellement univoques et effi-caces, faits pour informer. »), attentive à la part charnelle de toute pratique, la geste artistique de Chloé Vanderstraeten nous offre avec Cartographies une percée salvatrice pour un abord sensible et réflexif de notre être au monde.
Diplomée des Beaux-Arts de Paris et de l’ESAD en Image Imprimée, la pratique de Chloé Vanderstraeten se déploie essentiellement autour du dessin. Dessins techniques d’urbanistes, croquis médicaux du xvie siècle ou cartes astronomiques de mathématiciens du xviie, constituent une matrice graphique et sensible détournée pour saisir les recoins poétiques du monde.
30 pages couleurs (avec pliages,rabats et découpes) 14 x 30 cm, 25 € 979-10-95922-53-7 — mars 2023 Vente ferme
Un coffret de 4 flip-books dessinés & animés par Marjorie Caup. Impression intérieure sur offset bouffant Munken 115 g. et façonnage par les Impressions Modernes (07). Coffret et couvertures composées au plomb mobile (Olive, Caravelle, Helvetica et Flash) et imprimées sur les presses typographiques des éditions Draw-Draw. 66 pages intérieures. 200 exemplaires pour cette première édition.
Marjorie Caup se consacre depuis toujours au dessin. Elle suit des études aux Beaux Arts de Toulouse et à l’école de La Poudrière où elle réalise Transhumance son film de fin d’études. Toujours soucieuse de profiter du dessin sous toutes ses formes, elle alterne des projets animés et des projets dessinés tous supports, tels que dans des pièces de théâtre et en édition. Elle réalise deux court-métrages de 2014 à 2016, Le petit hérisson partageur, intégré dans un programme cinéma pour tous petits, et Le pont Mirabeau, pour la série « En sortant de l’école », une adaptation du poème de Guillaume Apollinaire. Suite à une rencontre fortuite avec un membre du groupe Gablé elle conçoit le clip How Long. En 2019, elle crée la partie graphique de «Mon papa», une pièce théâtrale destinée aux enfants. Aujourd’hui, elle planche sur un projet de BD qu’elle espère faire éditer prochainement.
Est-ce qu’on peut vraiment rire de l’état de la planète ? «L’éco-terrorisme» n’aurait-il pas besoin d’un peu d’humour ?
Le rire, l’absurde, peuvent-il être une réponse à la folie du monde actuel ? Même si ce n’était pas forcément sa première intention, Marjorie pose la question, l’air de rien, montrant qu’absolument tout pourrait prendre feu.
Même un glaçon.
auteur: Fernand Deroussen illustrateur: Paatrice titre: CALENDRIER SONORE DE LA VOIX DES ANIMAUX EN FRANCE format : 24 x 16 cm pages: 32 prix : 25 € tirage : 1500 ex. isbn : 978-29555626-9-7 Quand on lui demande, Paatrice dit qu’il sait « parler et dessiner un grand nombre de langues imaginaires. » Il a ici réalisé une série d’illustrations réalistes et délicates, sur un grand poster 40 x 60 cm, imprimé en deux couleurs, en risographie, à l’atelier Quintal.
(Ceci est une maquette)
Cet ouvrage propose de faire entendre 68 espèces d’animaux qui nous côtoient : batraciens, mammifères, oiseaux et insectes.
Pour chaque animal, une ligne de calendrier montre, très simplement, les périodes de chants et le type de chants (territoire, accouplement...)
Il contient :
- un poster A2 (40 x 60 cm) illustré par Paatrice Marchand, imprimé en risographie par l’atelier Quintal.
- Un livret pratique, entièrement composé à la main et imprimé sur presse typographique en 6 couleurs.
- Un CD, dont la composition a été réalisée par Fernand Deroussen à partir de sa fantastique banque de données sonores personnelle.
- Un lien de téléchargement pour les malheureux qui n’ont plus de lecteur CD.
« La composition et la création audio-naturaliste consistent à utiliser le microphone comme un stylo, un pinceau ou des crayons, et ensuite, à recomposer à l’aide des enregistrements de terrain une création artistique comme une œuvre sonore la plus réaliste possible, offrant à l’écoute toute l’émotion que procure un pur moment de nature. » On peut entendre Fernand Deroussen parler de son travail dans l’émission La tête au carré, sur France Inter (22/04/2021). Ou s’immerger dans la série de podcasts PUR - que dit la nature, produits par France télévision.
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Journal intime dessiné durant l'été 2015 en bordure du Saint Laurent à Montréal : des instants captés par les crayons decouleur.
"Laconfrontation delalourdeurimmobiledufleuveavec la légèreté du Hula hoop, lumineux, qui tournoyait autour de son corps, donnait un coté astral à ces chaudes journées de juillet, un monde intermédiaire à nos deux vies. Ce bref moment de repos nous projetait comme deux étoiles dans la nuit profonde, on essayait d'ignorer qu'elles allaient disparaitre en même temps que l'été."
Tom de Pekin n'est pas vraiment de Pékin mais de Savoie. Artiste militant, graphiste, réalisateur, performeur, il s'intéresse au rapport texteIimage, détournant dans une veine érotico-ludique une iconographie souventglanée augréde sespérégrinations antipodistes. Il travaille pour des revues d'élite, des magazines à la pointe et a co-fondé les défuntes éditions des 4 mers. Son travail graphique est publié chez de nombreux éditeurs. Depuisplusieursannéesilréalise aussidesfilms, dont Haldernablou Quadriflore, inspiré d'Alfred Jarry, et présenté à L'Etrange Festival à Paris en septembre 2017.
Tom de Pekinvitet travaille la plupartdu tempsà Paris.
genre : art, dessin, livre d'artiste
distributionSuisse SERVIDISS.A. chemindesChalets, 7 CH -1279Chavannes-de-Bogis
format 20 x 27 cm, 36 pages, agrafé collectionchipiron isbn978-2-919289-33-2 euro15 poids 130gr environ parutiondu second tirage : 7 mai 2021, 150 ex (1ère parution 2016) impressionAdlis, 59174 Templemars- France
solo ma non troppo, édition d'artistes- 12 rue de la barrière blanche, 75018 Paris- France www.solomanontroppo.fr/ contact@editions-solo.fr- Geneviève Hergott - 33 (0)68329 12 70
Le Cosmos nous envoie un message : prenez garde aux femmes
rebelles de Caroline Tschumi ! Leur chaîne mobile et chatoyante a raison des souffles du vent… Tout vibre, tout est renversé ! Fluant et refluant, bondissant d’une ville à l’autre, leur cortège farouche et fantastique éblouit.
C’est pour ainsi dire par accident qu’a débuté, pour Caroline Tschumi, le travail sur leporello. Face à une page unique de deux mètres de long, peut-être davantage, soigneusement pliée en accordéon, elle s’est tout de même mise à dessiner, et cette longue feuille de papier lui a alors permis de déployer une narration complétement débridée, sorte d’écriture automatique par le trait. Alors qu’elle investissait ce nouveau terrain graphique, un souvenir d’enfance lui est revenu. Celui d’une longue bande de papier, punaisée dans toute sa longueur à une plinthe en bois, sous le plafond du bureau de son grandpère. Un dessin à l’encre d’une espèce de procession de monstres et autres créatures extraordinaires accrochait le regard en hauteur de la pièce remplie de livres et d’un fatras indescriptible. Enfant, elle a passé beaucoup de
temps à regarder ce dessin, fascinée. Elle se souvient encore de l’attraction qu’il a exercé sur elle, convaincue qu’il a contribué à son désir de créer. On dirait même qu’elle tente de reconstituer ce souvenir qui, chaque année, à la fois s’effrite et s’enlumine de l’aura de légende que la mémoire confère aux souvenirs que nous chérissons. En 2016, elle a entamé de dessiner Femme Ville, forte de l’expérience acquise avec un premier leporello intitulé Tomorrow Never knows en hommage aux Beatles. Elle a ainsi décidé de poursuivre dans la même ligne, dans une totale liberté narrative, mais cette fois-ci avec une donnée simple qui puisse tenir de fil conducteur. Spontanément, sans idée préconçue, un premier personnage féminin est apparu… Elle tenait son thème ! Une procession loufoque de femmes a surgi. Femmes géantes, femmes animales, femmes hélicoptères, femmes dans tous leurs états. Ce travail sur carnet papier japonais a ainsi permis à Caroline Tschumi un véritable déploiement géographique de l’imaginaire. Celle-ci conserve depuis lors cette pratique dans son travail artistique.
genre livre d’artiste rayon beaux-arts thèmes femmes dans tous leurs états, procession, villes fantastiques, hybridation, archétypes textes de Julie Enckell livres connexes La série Sailor Moon de la mangaka Naoko Takeuchi, les mangas de Junji Itõ
collection Varia format 21 x 13 cm, 48 pages, relié isbn 978-2-88964-053-9 prix CHF 32 / € 24
Née en 1983, Caroline Tschumi dessine dès l’enfance de manière obsessionnelle. À la faveur de ses études à la HEAD–Genève, dont elle sort diplômée en 2009 et 2018, cette pratique intime et quotidienne s’est déployée sur différents formats et médiums, jusqu’à la peinture à l’huile et l’installation immersive.
Son approche spontanée met en scène un imaginaire très personnel, sorte de dégorgement graphique d’une culture hybride traversée de figures archétypales, magnifiées ou déformées selon la narration choisie.
Son travail est exposé notamment aux Musée d’art moderne et contemporain/MAMCO (Genève), Musée cantonal des beaux-arts/MCBA (Lausanne), Musée des Beaux-Arts de la Chaux-de-Fonds, Willumsens Museum (Frederickssund, DK), Musée régional d’art contemporain de Sérignan/MRAC (FR), Kunsthalle Palazzo (Liestal), Circuit (Lausanne), Palais Athénée (Genève), Smallville Space (Neuchâtel), Abstract (Lausanne), Ferme la Chapelle (Grand-Lancy/Genève), Manoir de la ville de Martigny, Château de Chillon et Analix Forever (Genève).
Defaitsnécessairesetvitauxhorsdugrandmodernisme
Format:21,5x15,5cm 72pages–couverturerempliée-broché Impriméenbleuoutremer
prixpublic:22€ Disponiblejuin2023 ISBN:979-10-95625-22-3
PhilippePeyronestoriginairedeVisandansleVaucluse.Aprèsavoirbeaucoup voyagédanslemonde,ilestrevenudanssamaisonnatalepratiquerl’agriculture,le maréchageetcontinuersontravaild'artiste.
Celivre,constituéde32dessinsoriginauxréalisésl’hiver1980-81enAllemagneet reproduitsàl’identique,restituelaviequotidienne«horsdugrandmodernisme».
Harpo & 16, impassedu PortailNeuf 84820Visan tel : 06 29 308758
6+ | adultes isbn 978-2-930941-58-5 format 16 x 20 cm broché, couverture souple avec rabats 136 pages 22€
Techniques d’illustration : • dessin aux crayons de couleur et tablette graphique
Thèmes • cuisine japonaise • culture japonaise
traduit de l’italien par Laetitia Cordonnier sortie le 3 avril 2023
Livre de recettes japonaises Parfaits pour le déjeuner ou le goûter, faciles à cuisiner et à emporter, les onigiris sont le plat de réconfort par excellence ! Ils peuvent être préparés de mille et une manières, à commencer par celles que nous vous proposons dans ce livre, né de la plume de deux autrices japonaises ayant fait de l’Italie leur nouvelle maison.
• coup de cœur pour les illustrations de Yoshiko Noda ; • des recettes simples et ludiques ; • anecdotes et conseils émaillent le livre, rendant le tout compréhensible et facile à reproduire.
Née à Tokyo en 1986, Aya Yamamoto est arrivée à Milan à l’âge de cinq ans. Après un cursus universitaire à Londres, ville où elle travaille pendant onze ans dans le domaine du marketing, elle choisit de retourner s’installer à Milan. C’est là qu’elle crée “ Gastronomia Yamamoto ” avec sa mère. Elle a commencé à collaborer avec Yocci en 2019, en dévoilant quelques-unes de ses créations dans Le menu de Yocci. Carnet de recettes japonaises.
Yoshiko Noda, Yocci de son nom d’artiste, est née en 1980 à Osaka, au Japon. Diplômée en peinture de l’université des beauxarts d’Osaka et de l’académie des beaux-arts de Bologne, elle vit et travaille en Italie. Avec l’humour et la spontanéité qui la caractérisent, elle fait dialoguer les cultures japonaise et italienne en mettant en scène les curiosités linguistiques, les habitudes culinaires et autres traditions des deux pays. Elle collabore depuis de nombreuses années avec Corraini Edizioni, auprès de qui elle a publié plusieurs livres.