Ça fourmille ici !
ClémenceG.
Genre : Album
A partir de : 3 ans
Prix : 16,50 €
Format : 23 x 30 cm
40 pages
Sortie : mai 2023
ISBN : 9782930787893
Une fourmi qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez entreprend un grand voyage. Elle découvre au fil de ses déambulations les bruits et les odeurs du monde qui l’entoure : les vers de terre, les insectes autour de la mare, les écureuils, les oiseaux et bien d’autres animaux.
Dans ce livre « cherche et trouve » la narration poétique décrit l’errance de la fourmi, et offre quelques indices pour démarrer la recherche. Mais l’essentiel se cache dans les détails des situations surprenantes, amusantes, touchantes
« Et toi que vois-tu ? »
L’enfant est invité à observer attentivement chacun des univers développés sur les doublepages et à verbaliser ce qu’il a repéré dans l’illustration.
ClémenceG. est illustratrice et enseignante en arts appliqués. Depuis 2004 ses illustrations sont diffusées sur de nombreux supports : tableaux, cartes postales, stickers. Amoureuse du papier, elle développe un travail autour du découpage/collage et du pop-up. Elle vit près de Paris. Elle a précédemment publié Aahhouuuu , As-tu vu mon doudou et c’est ce soir !
Edition A pas de loups • Laurence Nobécourt • contact@apasdeloups.com •www.apasdeloups.com Diffusion & Distribution Serendip-Livres 21 bis, rue A. Géraux 93450 L'Île-St-Denis • + 33 (0) 1 40 38 18 14 • www.serendip-livres.fr
C’est ici que débute le grand voyage de cette petite fourmi curieuse, baroudeuse et un peu bigleuse, qui voulait découvrir le monde. Elle vit sous la terre, au royaume des vers de terre. Elle connait bien la chaleur et la moiteur de cet endroit. Elle aime beaucoup toutes ses odeurs. Mais cette petite fourmi n’a pas une très bonne vue, habituée à la pénombre, elle ne voit pas plus loin que le bout de son nez.
Mais toi ? Regarde bien ! Tu vas pouvoir lui dire tout ce que tu vois, lui raconter tout ce qui se passe autour d’elle.
Alors, dis-moi que vois-tu ?
Quand elle sort de sa petite galerie, c’est le jour, il fait très clair sur la Terre. Elle voit à peine une petite lueur. Elle sent toutes les odeurs de l’herbe, des petites mousses, même celle de belles fleurs.
Elle entend des bourdonnements de l’abeille, des stridulations de la cigale, des petites vibrations des minuscules moucherons.
Mais elle ne voit rien !
Et toi, dis-moi que vois tu?
Petits riens
Marion Pédebernade
alias *waii-waii*
sortie le 1er juin 2023
Dans le bac, du sable, des seaux, des pelles, et surtout... de jolis petits riens !
3+
isbn 978-2-930941-61-5
[couverture souple ; reliure écolière]
format 22 x 22 cm
32 pages
[15,50]
Techniques d’illustration :
•crayons de couleur
•aquarelle
Thèmes
•nature / écologie
•apprentissage de la vie
•cinq sens
•bac à sable
•collection
•imagination
Au creux de la paume, quelques grains de sable. Gorgés de soleil. Autant de mondes minuscules à portée de doigts.
Installée depuis 2017 en haut du Mont Cassel où s’étend un ciel immense jusqu’à la Mer du Nord, Marion Pédebernade, dit •Waii-Waii•, développe dans son atelier une démarche spontanée autour des images qui l’obsèdent, comme des réminiscences.
Sa pratique se promène entre dessins, micro éditions, animation, peinture murale, installations et petits objets.
• Waii-Waii, c’est d’abord une claque graphique et une écriture qui mêle le précieux à l’inutile, le tangible à l’imaginaire.
• Elle nous emmène, dès le bac à sable, dans son univers poétique, décalé, un brin philosophe.
Elle doit son surnom •Waii-Waii• à une marque de nouilles asiatiques dévorée compulsivement pendant ses années étudiantes à l’ESAD d’Orléans. Diplôme en poche, elle a signé ses premiers dessins ainsi. Le nom est resté collé à son palais comme un traduction thailando-népalaise de notre « miam-miam » français.
En dehors de l’atelier, elle est Marion Pédebernade.
Petits riens
Marion Pédebernade alias *waii-waii*
sortie le 1er juin 2023
J’ai fait une découverte incroyable. Là dans le parc. Tous les enfants jouaient autour, mais personne n’a rien vu.
Assise dans le grand bac à sable, j’en ai pris une poignée. Il faisait soleil, j’ai senti les grains tièdes réchauffer mes mains. Je les ai laissés couler entre mes doigts comme une petite cascade. Il en restait un peu au creux de ma paume.
C’est alors que j’ai regardé de plus près, tout près, encore plus près.
Ce n’était plus du tout le sable que je connaissais.
Sous mes yeux : de minuscules mondes,
infimes planètes, trésors de fourmis, insignifiantes pépites, étincelantes paillettes.
De si jolis petits riens, dans ma main.
J’ai récupéré des boîtes d’allumettes pour les ranger et c’est comme ça que ma collection a commencé. Il faut beaucoup de temps pour choisir mes spécimens, les classer, imaginer d’où ils proviennent. J’entends parfois rire les gens qui m’observent (très concentrée dans mon travail.)
Mais moi j’aime bien les trucs qui ne servent à rien.
l’amorce du texte...
esquisses 1/2
esquisses 2/2
L’univers de Waii-Waii 1/2
L’univers de Waii-Waii 2/2
19 x 21 cm
40 pages
ISBN 979-10-94908-34-1
13,50€
À partir de 2 ans
Sortie prévue le 6 juin
Thèmes : diversité, nature, dessin, apprentissages
Dessine-moi
Milvia & Simji Park
«S’il te plaît, tu peux me dessiner un insecte ?» demande une voix anonyme à un petit garçon en train de dessiner.
Mais il est trop difficile pour l’enfant de dessiner un seul insecte, tant il en existe une variété presque infinie. Alors il pourrait dessiner un coquillage à la place ? Mais non, encore une fois, c’est impossible : il en existe plus de cent mille différents, et en plus leur couleur change dans l’eau !
À chaque demande, toujours la même réponse : il en existe trop de différents. Et c’est ainsi qu’on apprend qu’il y a immensité de races de chien, de sortes de roses, de fruits rouges, etc.
C’est à se demander si cet enfant fait des efforts pour comprendre !
Alors finalement, et les filles ? En existe-t-il aussi une infinité ? Même lorsqu’on a un modèle en face de soi ?
Un album doux et subtil pour célébrer la diversité sous toutes ses formes.
Milvia, autrice italienne Autrice de deux romans publiés en italien
Simji Park, illustratrice coréenne résidant aux Pays-Bas
Dessine-moi est son premier album
Nouveauté juin 2023
le diplodocus
rue du docteur Rocheblave
Quissac
06 88 30 62 02 Diffusion & Distribution Serendip-livres 21 bis rue Arnold Géraux 93450 L’île St Denis 01 40 38 18 14 gencod dilicom : 3019000119404
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30260
www.le-diplodocus.fr floriane@le-diplodocus.fr
- S’il te plaît, tu peux me dessiner un insecte ?
- Il y a les cafards, les mouches, les hyménoptères (fourmis, abeilles, guêpes),
et les araignées, qui sont en fait des arachnides et non pas des insectes, parce qu’elles ont huit pattes au lieu de six, et aussi huit yeux.
homoptères (cigales), trichoptères (vers velus),
lépidoptères (papillons),
Les scorpions sont aussi des arachnides.
Et les mantes religieuses, n’oublions pas les mantes religieuses !
Dessine-moi Nouveauté juin 2023
- Sans compter que, pour dessiner un insecte, je devrais l’examiner de très près ou alors sous un microscope.
- Il y a plus de cent milles coquillages dans le monde.
Les cônes, les spirales et les bivalves.
Car certains sont vraiment très petits.
Mes préférés sont ceux avec des taches de léopard.
les épineux
Nouveauté juin 2023
Et
! Dessine-moi
- Et encore, si les coquillages sont secs ou humides, leur couleur change complètement…
- il y a plus de quatre cents races de chiens. Et ils peuvent être vraiment différents les uns des autres…
Peut-être que tu penses au lévrier ou au teckel ?
Veux-tu que je te dessine un chihuahua ou un grand danois ?
Un bouledogue ou un cocker ?
Un chien de berger ou un berger allemand ?
Ou préfères-tu un croisé ?
Avec des grandes oreilles et un corps trapu, ou un chien maigre avec une queue enroulée, ou, je ne sais pas… avec la peau froissée et les yeux tristes ?
- Ohhh, tu es vraiment impossible ! Et si.. je te demandais de dessiner… une fille ?
- Une fille ?
Ce n’est pas facile de dessiner une fille…
LA SENTINELLE
Autrice : Claire CLEMENT
Illustrateur : ALCA
ROMAN
COUVERTURE A RABATS
à partir de 10-11 ans
format : 150 / 190 mm
nombre de pages : 64
prix : 9.50 €
Mai 2023 / ISBN : 979-10-92353-81-5
Un plongeon dans une réalité guyanaise, la détresse de ses ados amérindiens qui peuvent aller jusqu’au suicide
Aïku et Tutti grandissent ensemble dans la pure tradition amérindienne, à Antecum-Pata, au cœur de la forêt amazonienne, là où quitter son village pour aller au collège est, pour tous, une épreuve...
POINTS FORTS
L’histoire de la vie de minorités amérindiennes au sein même de notre République
Des illustrations qui rythment un récit sous forme de scènes comme au cinéma
Une histoire d’exil et de détresse pour toucher les ados
Je m'appelle Claire Clément Je suis née à Paris, et suis la cadette d'une fratrie de cinq enfants. Ma mère était bibliothécaire, mon père était artisan chauffagiste. J'ai été entourée de livres toute mon enfance, et j'adorais lire. Mon père, lui, avait ce talent rare de savoir raconter des histoires. En l'écoutant, on vivait les scènes qu'il nous décrivait, et ma mère avait beaucoup de mal à nous envoyer au lit. J'habite la région parisienne, sur un bateau. J'ai 4 enfants, deux filles et deux garçons. Je suis auteur jeunesse depuis 1989, date à laquelle j'ai écrit ma première histoire : " la fille qui ne voulait pas se marier". Elle a été publiée à Bayard Presse, dans le magazine Les Belles Histoires. Depuis j'ai publié une centaine d'histoires ! Certains pensent que l'imagination est une source qui peut se tarir...Moi je crois que tant qu'on reste les yeux grands ouverts sur le monde, et les oreilles tendues au moindre bruissement, l'imagination a de quoi se nourrir,et de source,elle deviendra rivière, fleuve ou océan !
ALCA (Léo ALCARAZ) signe pour l’occasion son 1er projet d’édition. Jeune talent passé par l’ESAL-site d’Epinal. Il multiplie les techniques et les expérimentations armé d’une plume ou crayon, passe de l’aquarelle à la peinture, à la sérigraphie et la gravure". Aujourd’hui Léo est un homme heureux qui a découvert une autre matière : graver du bois, une autre manière d’exprimer tout son talent
NOTE D’INTENTION DE L’AUTRICE
C’est en regardant une photo que l’envie et l’urgence d’écrire ce livre « La sentinelle » m’a saisie. Cette photo, couverture d’un livre intitulé « Les abandonnés de la République » chez Albin Michel, représentait une jeune fille amérindienne au regard triste, si triste. J’ai appris depuis qu’elle s’était suicidée.
Et j’ai découvert ce drame silencieux qui se jouait en Guyane, dans les villages amérindiens, sur le Haut Maroni.
Les enfants wayanas se suicident à partir de 12 ans !
Quelle société pousse des enfants si jeunes au suicide ?
Là-bas, le collège est si loin que les enfants doivent aller en internat ou en famille d’accueil durant toute leur scolarité. L’essence est trop chère pour qu’ils rejoignent leur famille en pirogue. Si bien qu’ils perdent peu à peu leurs racines, leur langue, et l’avenir leur parait si fermé, si noir, qu’ils perdent tout espoir d’être heureux un jour.
Cette histoire raconte l’amitié de deux jeunes Wayanas et leur départ plus tard en famille d’accueil. L’un supporte mieux « l’exil » que l’autre.
Car c’est bien un exil et en cela, ce livre rejoint l’histoire universelle de ceux qui vivent loin de chez eux, la solitude à laquelle ils sont confrontés qui les amène souvent à se sentir étranger partout, et le sentiment dévastateur de perdre son identité, voire son âme.
Pourquoi ce titre « la sentinelle » ? Il fait référence à un programme de prévention contre les suicides qui instaurait la mise de place de « sentinelles » dans chaque village du Haut Maroni. Hélas, ce projet est resté sans suite.
J’aimerais que ce livre qui parle d’un ailleurs sans doute inconnu du lecteur l’invite aussi à devenir une sentinelle, là où il vit.
Claude Clément
À deux ans, mon grand-père, qui est Grand Man, chef coutumier du village, m’a emmené au grand carbet, une case ouverte où tout le monde se réunit.
J’étais sur ses genoux, et des femmes, des hommes se sont approchés de nous en s’exclamant:
—Regardez! C’est tout le portrait de son grand-père!
Ces visages qui se penchaient sur moi m’ont e rayé.
Alors mon grand-père m’a mis sur ses épaules:
—Là, Aïku, m’a–t–il dit, tu es un géant, aussi grand qu’un bananier, il ne peut rien t’arriver.
C’est alors que j’ai aperçu Tutti, qui, lui, était sur les épaules de son père, les cheveux si emmêlés que des pics se dressaient sur sa tête.
Ça lui donnait l’air d’un lutin malicieux.
J’ai pointé un doigt vers lui.
Mon grand–père ne s’y est pas trompé, il a annoncé:
—Ces deux–là seront amis, je vous le prédis!
Et c’est ce qui s’est passé. Tutti et moi, nous ne nous sommes plus quittés.
Comme sa maison est à côté de la mienne, nous avons grandi ensemble. Dans la journée, nous dormions dans le même hamac.
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N’empêche que quelque temps après, un nouveau maître est venu. Il a remplacé le nôtre, durant deux heures, chaque semaine. Il nous racontait des légendes wayanas.
Par exemple, comment Kuyuli et Mopo avaient créé les forêts, les montagnes, les fleuves et les mers, ainsi que tous les animaux. Celle aussi de la chenille géante, ou de l’anaconda, ma préférée, une couleuvre qui peut mesurer plus de 7mètres de long. Et puis bien sûr, il y avait l’histoire de Kailawa, la préférée de Tutti. Ce guerrier chaman, qui avait mis fin aux guerres entre clans dans la région des Tumuc Hamac, et avait créé le peuple Wayana. Grâce à lui, nous connaissions la paix depuis plus de 4 siècles. Tutti et moi, on se souriait.
—Finis, les gaulois! a-t-il chuchoté.
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Je le suivais, confiant.
Quand soudain un pécari a déboulé devant moi.
J’ai armé mon fusil et j’ai tiré. Je l’ai eu.
Peu après, Tutti a tué un toucan.
Nous avons allumé un feu, et nous les avons boucanés. Puis seuls tous les deux, entourés des cris de singes et d’oiseaux, nous nous sommes régalés. Tutti a dit:
c’est la vie.
J’ai hoché la tête:
—Oui, c’est notre vie.
Les vacances de la Toussaint sont arrivées. Enfin !
Avec Tutti, nous avons pris nos fusils, et nous sommes allés à la chasse. Nous avons marché
pendant des heures dans la forêt. L’air était chaud et humide. Tutti savait où trouver le toucan.
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—Ça,
Quinze jours, ça passe vite. Il fallait bien retourner dans notre collège, à Maripasoula. Les semaines, les mois ont passé. Rythmés par nos vacances, que nous attendions avec de plus en plus d’impatience.
Nous comptions les jours qui nous séparaient des grandes, où là, nous aurions deux mois. Deux mois pour réapprendre à vivre.
Mon grand-père est venu nous chercher le matin de très bonne heure. Ses yeux pétillaient de joie.
Nous sommes montés dans la pirogue, contemplant la brume qui montait du fleuve et s’accrochait aux arbres, percée ici et là de lueurs orangées annonçant le soleil.
Nous avons fait escale à Twenké, pour ravitailler une cousine de ma mère dont le mari était mort. En échange, elle nous a tendu de la friture, dont on s’est régalés en écoutant le tapage venant de la forêt: les cris des perroquets, et des toucans, les branches qui cassaient, les animaux qui ivres de liberté se poursuivaient.
42
25 x 20 cm
48 pages
ISBN 979-10-94908-19-8
14,50€
À partir de 5 ans
Sortie prévue le 1er septembre
Réimpression septembre 2023
L’enfant fleuve
Cécile Elma Roger & Ève Gentilhomme
Tout à l’heure, devant tout le monde, Abel a déclaré fièrement : « Moi, quand je serai grand je serai un fleuve. » Et malgré les autres enfants qui tentent de saccager son rêve insensé, il persévére, la tête haute, dans son optimisme.
S’il était un fleuve, il n’aurait peut-être plus de jambes, mais pourtant il galoperait plus vite que jamais et traverserait des continents entiers. Et on pourrait le croire seul, mais il serait accompagné de poissons, de crustacés... et même de sirènes... Jusqu’au moment où l’évocation de la pollution ne laisse plus place à l’optimisme ! Heureusement, tous les enfants décident de nettoyer ces eaux souillées pour rendre à Abel toute la beauté de son rêve.
Et finalement, s’il n’y a absolument aucun problème à devenir un fleuve, pourquoi ne pas devenir à notre tour un désert, une montagne, un arbre... ?
L’enfant fleuve est une fable sur le pouvoir de l’imagination qui s’offre le luxe de nous sensibiliser à l’écologie. Portée par le dessin puissant et coloré d’Éve Gentilhomme, la langue prophétique de Cécile Elma Roger nous transporte dans un monde fantastique : celui de l’imagination sans borne d’un enfant
Thèmes : écologie, imagination, rêves, avenir .....................................................................................................................................................
Cécile Elma Roger autrice et comédienne
Il y a un loup dans la chambre de mamie (les 400 coups), Une nuit à pas de velours (Seuil Jeunesse)
Ève Gentilhomme illustratrice et graphiste
La nuit tombe, maman rêve (la tête ailleurs), Cher corps (Delcourt)
L’enfant fleuve est initialement sorti fin octobre 2020. Sélectionné au prix Danielle Grondein, au prix des p’tits loups, au prix Jérôme Main et au prix Lire et faire lire. Il a également été présélectionné au prix des Incorruptibles.
Traduit en 3 langues (anglais (USA), italien et turque), il a également séduit la presse :
« Une fable écologique pleine d’allant, poétique mais bien ancrée dans le réel. » Télérama
« En plus de raconter la force infinie et incorruptible de l’imagination, le récit se colore d’une teinte écologiste, dans un appel discret et sincère au respect de l’environnement. »
France inter
« Un travail minutieux, audacieux, abouti, pour un merveilleux album de deux jeunes créatrices talentueuses et novatrices : à suivre ! » Ricochet
le diplodocus
14 rue du dr Rocheblave
30260 Quissac
www.le-diplodocus.fr
floriane@le-diplodocus.fr
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Tél.
gencod dilicom : 3019000119404
06 88 30 62 02
& Distribution
Diffusion
Serendip-livres
: 01.40.38.18.14
Réimpression septembre 2023 L’enfant fleuve Réimpression septembre 2023 L’enfant fleuve Tu n’aurais plus de jambes ! Tu ne pourrais plus du tout parler. Il
ça.
n’y aurait personne avec toi pour partager tout
Tu serais tout seul…