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© Yann Morrison
Concerts / Musique / Agenda / Actus / Culture 1SP -PJʼn?LQ CR QML ?EEJM k +CLQSCJ %0 23'2 Juin 2013 #3
Juveniles
Ļ"'2Très chers lecteurs, je note le démarrage très réussi des événements festifs et estivaux : Baule d’Airs, Festivox, Excentrique qui commence sa tournée, etc. ! Mais j’espère que le ciel tiendra car de grands festivals approchent et ce serait malheureux de les voir, comme Parcours et Jardins, annulés pour cause de mauvais temps… Et je vous pose la question, organisateurs : un repli en intérieur est-il prévu ? Je l’espère pour vous car cette météo ! Non en vrai, j’espère vraiment que le soleil s’imposera, non de non ! Et si vous voulez mon avis c’est la faute à HADOPI, moribond, qui frétille tel un poisson sur la berge, “ Puisque c’est comme ça, vous téléchargerez aussi vos festivals ! Na ! ”… Pour ma part, puis-je rebondir, s’il y bien une chose que l’on ne piratera jamais c’est la prestation live d’un artiste. Pourquoi le théâtre ne souffre-t-il pas de ce “ fléau ” qui met à sac les maisons de disque, hein ? (C’est ce qu’ils disent, oui !) … On n'a jamais vu un type dire “ ‘Tain, je viens de télécharger le dernier Romeo Castellucci Inferno il est mortel, quoi ! ” ou encore, “ La vache, je viens de recréer La Vénus De Milo sur mon imprimante 3D, ça tue trop ! ”… Eh oui ce sont les œuvres enregistrées qui sont touchées, d’ailleurs le cinéma en souffre sans doute beaucoup plus…
En concert au festival Les Ingrédients le 7 juin
Mais restons “ musique ” ! J’y vois une sorte d’avantage : on pourrait imaginer une sorte de “ tri naturel ” : ceux qui ne savent que faire des disques et zéro live : “ Out ! Sur le champs ! ” : Jordy, par exemple ? Imaginez en 92 si on n'avait que téléchargé illégalement son skeud Dur dur d’être un bébé ? … Papa et maman n’auraient même pas eu l’idée, je crois ! Voilà : le live d’abord ! Montre ton talent sur scène, on achète ton album ensuite ! Et inversement “ j’ai piraté ton album (c’est mal !) mais comme j’ai kiffé, je raque une place pour te voir et pourquoi pas, j’achète le CD ”, pour son package, pour l’objet et surtout la qualité, le Mp3 ne vaut pas et de très loin, un enregistrement CD, encore moins un Vinyle !!! ... Bon je m’égare donc je clôture ici : RIP HADOPI. Je voulais dire en premier lieu et en-tout-et-pour-tout, à tous les festivals à venir, j’ai nommé : Festicolors, Les Ingrédients, le Grand Unisson, Balade en Musiques, Excentriques, Orléans Jazz, Festiv’Halles, le tout nouveau Plain(e)Air, MusiKair, Jour J et aux autres, à tous : “ BANZAÏ ! ”
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Face A
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'LRCPTGCU (STCLGJCQ En concert au festival Les Ingrédients
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!MSN BbţGJ QSP JC DCQRGT?J JCQ 'LEPʼnBGCLRQ Concrete Knives The Herbaliser My Name Is Nobody
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&?JD +MML 0SL &WNFCL &WNFCL En concert au festival Jour J
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0CRMV En concert à l'Astroclub +WK?LKGIC En concert à l'Astroclub
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%GCBPʼn En concert au festival Le Grand Unisson
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Divine Paiste / Success En concert au festival MusiKair
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Concerts en bref -M- / au Zénith-Orléans Obian & The Freaky Family / à la Ferté St Aubin Les Vendeurs d'Enclumes / au festival Balade en Musiques Pryapisme / au 108 L'orchestre du Projet Aléatoire / au 108
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Orléans'Jazz en bref Kassav / au Campo Santo
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Agenda des concerts
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Agenda des festivals Festicolor / Fête de Chalette / Excentrique / Scén'O'Live / Les Ingrédients / Le Grand Unisson / Hey Gamins ! / Festiv'Halles / Ballade en musiques / Plain(e) Air / MusiKair / Jour J / Orléans'Jazz
0Ļ" !2'-, PapierVinyle est une publication des Éditions la Porte du 3ème (!EURL au capital de 4000!€ - n° SIRET 792 211 559 00010 - RCS Orléans!!) / 2 rue Xaintrailles 45000 Orléans / 06 47 28 04 36 / Directeur de publication - rédaction : Fabien Grégoire (!aka Tifa!) / Conception Graphique!! : Marine Delgove : marinedelgove@hotmail.fr / Remerciements à Marine Delgove, Guillaume Coquand, Camille Rousseau, Amandine Porcu, Isabelle Vallet, Victor Jorge, Camille Rousseau / Imprimé en France par RotoCentre Orléanais / 8 000 exemplaires / Dépôt légal à parution n°3 Juin 2013 / Éditions la Porte du 3ème n’est pas responsable d’erreurs ou d’omissions / ©PapierVinyle est une marque déposée, toute reproduction intégrale ou partielle, quelle qu’en soit la forme, est interdite. / Pour nous contacter : papiervinyle@gmail.com
Papier Vinyle : Juveniles ? Mais êtes vous si jeunes qu’on le dit ? Jean Sylvain : J’ai 25 ans. Thibault : Moi, 28. JS : Mais on doit faire plus vieux à cause de la tournée (rires)…
Lors de mes péripéties à Bourges pour son Printemps, je me suis arrêté plus précisément sur un très joli groupe, lors des Made In France au 22 d’Auron. Mais commençons par le début. Dans cette soirée, il y avait dans l’ordre Baden Baden, Granville, Aline, Juveniles, La femme et Concrete Knives. 6 groupes rock, folk, pop, un peu punk, un peu électro… Vraiment, me suis-je dit : “ Quelle belle soirée ! ” La relève du rock frenchy est bien là ! Et bien dans les starting-blocks, voire certains sont déjà dans la “ course ” (s’il y a “ course ” ?). Pour faire court et puisque c’est Made In France, allons jusqu’au bout et soyons chauvin à mort, allez, dégustation de pinard (avec modération, comme toujours) ! Le nectar de Baden Baden se boit à température ambiante, un rouge long en bouche, légèrement acide avec des retours boisés et de fruits à coque, délicieux en apéritif. Granville est un rosé jeune encore pétillant, à boire très frais, à affiner, le temps fera son affaire. On a ressorti ensuite un vieux vin oublié de la cave pour Aline, mais fausse surprise plutôt bouchonné, un rouge tannique et poussiéreux, monotone. Chez Juveniles, on a goûté un Côtes du Rhône corsé, énergique cuvée 2011, jeune et déjà plein de saveur, acidulé avec justesse, mes préférés. Pour La Femme, bouchée double ! On sort du Blanc. Sec, fruité et acide, suave et dynamique, électrique et festif, idéal sur les fruits de mer. Enfin pour clôturer Concrete Knives fait péter les bouchons de Champagne, cuvée prestige des grands noms, pas de ceux qui font mal au crâne non, les autres qui nous font tenir jusqu’au bout de la nuit, oui ceux-là ! Voilà pour la partie chauvinisme ! Et estimons-nous heureux, j’avais commencé avec du fromage ! Je disais au début m’arrêter sur un groupe en particulier, le fameux Côtes du Rhône. De qualité remarquable, avec une grosse énergie synth-pop, sombre et gluante, pompée sur les sons des années 80, la voix ténébreuse de JeanSylvain rappelle un peu celle de Morrissey. Le show commence et ne s’arrêtera qu’à la dernière note sans temps mort : Through the night ; Ambitions ; Black out ; Strangers ou Fantasy (featured pour l’occasion avec leurs copains Concrete Knives) donnent, avec d’autres, un groove à user ses Stan Smith on the dancefloor, sur les incessants rythmes synthé-batterie. Juveniles, gros coup de cœur. Je les ai rencontrés quelques heures avant le concert, quelques minutes avant leurs balances. Dans leurs loges, derrière une porte qui ne fermait pas, entre une assiette jetable de bonbecs et une autre de cacahuètes, m’attendait le duo souriant, Jean-Sylvain et Thibault, fondateurs de Juveniles… On a commencé par se saluer, j’ai pris la dernière chaise en plastique disponible. Le ton est clairement à la détente ! Bien dans leurs baskets .
Pv : Ou plutôt c’est le groupe qui est jeune ? Puisque vous vous êtes formé en 2011. Qu’en est-il de votre parcours musical et comment s’est formé Juveniles? JS : En fait moi j’habitais avec Pierre, “ l’ancien troisième ” (au démarrage Juveniles était un trio), qui jouait avec Thibault dans un groupe de….“ pop punk dance disco ? ”… T: Voilà, je jouais avec Pierre dans un groupe qui s’appelait The Russian Sex Toys, un groupe de ? … “ pop punk disco ”… JS : … Je ne vois pas comment le définir ! T : Et à l’époque, JS jouait avec les Wankin’Noodles, groupe de rock garage qui existe toujours. De mon coté The Russian Sex Toys s’est arrêté. Et… Ben, la suite c’est plutôt à toi de raconter ! JS : À partir de là, on a monté en parallèle avec Thibault et Pierre, le projet Juveniles, commencé l’écriture des premières chansons We are young, Ambitions etc. et quand Juveniles a vraiment démarré, j’ai quitté les Noodles, parce que je voulais passer à autre chose. Mais, Pierre a ensuite quitté le groupe, nous laissant que Thibault et moi à se dire “ bon qu’est-ce qu’on va faire de ce truc là ? ”. C’est à ce moment-là que Kitsuné a proposé de sortir un premier EP, les Transmusicales nous sont tombées dessus et nous ont vraiment mis sous les projecteurs, puis on est partis tous les deux à prendre une troisième personne (Christophe), puis une quatrième (Ousseynou)… Tout ça en se disant que quoiqu’il arrive on allait se jeter là-dedans et qu’on verra après… Mais pour le coup, si on va creuser un peu plus loin dans le temps, quelles bases avez-vous ? JS : Moi j’ai une base classique, conservatoire, très jeune, mon père est luthier “ classique ”, il fait des contrebasses, des violoncelles, etc. Et j’ai fait cinq ans de contrebasse quand j’étais “ gamin-gamin ”. T : Autodidacte depuis l’adolescence. Je résume : vous n’êtes plus si jeunes, et vous vous êtes déjà forgé une bonne aisance sur scène et en composition, avec les Wankin’Noodles ou Russian Sex Toys, ce qui vous rend plutôt matures musicalement, du coup comment avez vous choisi ce nom? Envie de perpétuer l’adolescence ? JS : Alors ce qui est bien, du coup ! Vu que Pierre n’est plus là et que c’est lui qui avait trouvé le nom, ça nous fait une bonne excuse pour ne pas répondre à cette question ! (rires) T : (rires) JS : Non, mais, je ne sais pas si beaucoup de groupes le font, mais on avait déjà pas mal composé de morceau avant de se dire il faut qu’on trouve un nom. À l’époque les Popopopops nous avaient proposé un premier concert avec eux dans un bar et du coup il a fallu qu’on trouve un nom, Pierre a proposé ça. C’est pas mal en rapport de manière générale avec les textes du groupe. En plus, pour le coup on savait que Kitsuné allait sortir We are young et du coup ça colle !...
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Š Tifa/Papier Vinyle
Ah oui ça colle ! Et ça colle mĂŞme bien : ça reste en tĂŞte, gros titre ! On trouve par ailleurs, dès les premiers titres, une belle signature Juveniles et aussi un tas de rĂŠfĂŠrences, que je dirais “ post-natales â€?. Parmi elles : new wave, cold wave, post punk, annĂŠes 80, etc. On peut penser très vite Ă Depeche Mode, Taxi girl, New Order, parfois Joy Division, etc. Ou mĂŞme Ă des musiques de films genre : les thèmes musicaux de Washed Away ou Elisa colleraient très bien dans certaines scènes d’un film SF de ces annĂŠes, comme Blade Runner ou Rollerball. JS : Ah ? Ouais, je n’avais pas vu ça comme ça mais en effet on retrouve l’ambiance, ça pourrait coller‌ ‌ En fait, si j’avais du me contenter des albums sortis après ma naissance, j’aurais eu les pires New Orders, les pires Bowie, etc (rires)‌
qui ont ĂŠtĂŠ jeunes dans les annĂŠes 90 vont tout de suite reconnaĂŽtre et dire que cela les fait penser Ă quelque chose‌ T : Ce n’Êtait pas forcĂŠment une volontĂŠ de “ revival â€?, mĂŞme si c’est sĂťr qu’on est fans de l’ambiance qu’il y avait tout dĂŠbut 80, le romantisme, le post punk qu’il y avait dans Joy Division, tout ça. Et C’est vrai que y’a tout ça dans l’album mais aussi d’autres choses, on est, de manière gĂŠnĂŠrale, fans de synthĂŠ, donc de synth-pop et d’Êlectropop qui par dĂŠfinition empruntent les bases qui se sont faites Ă cette ĂŠpoque-lĂ .
Qu’est ce qui vous a donnĂŠ envie de replonger un peu dans le passĂŠ, de travailler ces ÂŤ vieilles Âť sonoritĂŠs ? JS : En fait, on ne se posait pas trop la question, Pierre avait tout le temps ĂŠcoutĂŠ ce genre de musique, nous aussi, et on s’est lancĂŠ lĂ -dedans. Moi j’Êtais assez “ pop â€?, en fait, je suis plutĂ´t amoureux des synthĂŠs, des sons de l’Êpoque, des textures, et mĂŞme finalement de toutes ces textures de voix hyper intĂŠressantes, car c’Êtait l’Êpoque oĂš des effets de voix et de sons bizarres commençaient Ă arriver, portĂŠs par des chanteurs avec une ĂŠnorme personnalitĂŠ, si bien qu’aujourd’hui, on rĂŠsume The Cure Ă Robert Smith ou The Smith Ă Morrisey, etc. Et globalement c’est venu de ça. Ensuite, on ne s’est pas dit “ on va faire une voix extrĂŞmement reconnaissable, on va utiliser les synthĂŠs de l’Êpoque â€? ça s’est fait parce qu’on aime leurs sons. En fait ça c’est presque auto-rĂŠfĂŠrencĂŠ. Sans vouloir faire un pastiche, il y avait de toutes façons des trucs oĂš les gens un peu plus vieux allaient ĂŠcouter et se diraient “ ah je connais ça ! â€? parce que ça leur parle. C’est comme si tu mets une “ 909 â€? (Roland TR-909, boĂŽte Ă rythme fĂŠtiche de Technotronic, entre autres) dans un nouveau titre, ceux
Outre les sonoritĂŠs, on a des textes ĂŠvidemment, souvent assez courts, mais directs. On y retrouve le thème de la jeunesse (ĂŠvidemment !) mais quels autres thèmes abordezvous ? Qu’est-ce que vous cherchez Ă partager ? JS : On parle pas mal de nos parcours personnels‌ We are young Ă la base parle de ça et c’est un peu ce qui nous a ‌ En fait je ne sais pas trop comment dire ‌ Par exemple nous quand on s’est lancĂŠs dans la musique on avait le sentiment de se dire ben voilĂ tu laisses tout derrière toi, tu laisses mĂŞme l’idĂŠe de mener une vie “ normale â€?, tu fais un trou dans tes ĂŠtudes, tu fais un trou mĂŞme dans tes relations avec les gens , parce que finalement t’es un peu tout le temps soit sur la route, soit un peu dans ta bulle, et ce titre c’est vraiment ce que cela reprĂŠsente, et mĂŞme globalement notre album parle vraiment de ça‌ Parce que nous on vit ça aujourd’hui avec la musique, mais ça s’applique aussi Ă tous les gens qui vivent de leur passion et qui font des trucs bizarres et qui sont un peu Ă cotĂŠ des standards. T : C’est vrai les thèmes sont plutĂ´t : “ on sait pas oĂš on va â€?, “ avenir incertain â€?, “ on est jeune â€? tout ça‌ JS : (rires) en trois mots, c’est ça ! (rires) Votre album sort le 10 juin chez AZ (filiale d’Universal), avec l’imparable single Fantasy dĂŠjĂ dans les bacs.
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On trouve 13 titres qui s’ouvrent sur le We are young, titre phare que l’on vient d’Êvoquer, et se termine sur Void et son outro transe-hypnotique. Entre tout cela on retrouve les puissants Strangers et Through the night puis on navigue avec des titres qui collent aux oreilles comme Summer Night ou Adriatique. Mais cet album se fait sans Ambitions ni Black Out qui sont deux gros titres de vos dĂŠbuts, pourquoi !?! JS : Ben, ouais, on aimait bien le fait de les garder uniquement dans le dernier EP. Comme Hard working girl aussi ! En fait Ambitions c’est toujours un truc très intense, c’est un titre qu’on aime faire en live. T : Quand tu fais un album tu cherches aussi une couleur et‌ Effectivement Ambitions on l’a sorti, on est très content, on le joue toujours sur scène, mais il n’apparaĂŽt pas dans le premier album. JS : Et puis j’aime bien le laisser sur un EP, comme aussi Black out... T : En fait pour nous, un EP ce n’est pas seulement qu’un essai, c’est un “ petit â€? album Ă part entière avec ses cinq titres‌ Après on ne peut pas tout mettre sur un album‌ JS : Et Ambitions est dĂŠjĂ sorti en single, il a pas mal ĂŠtĂŠ remixĂŠ aussi‌ Ambitions a foulĂŠ les scènes et continuera ! Depuis 2011 et les premiers concerts de Juveniles avec les Popopopops dans les bars, puis les Transmusicales, les DĂŠcouvertes de Bourges‌ Et ce soir les Made In France. Quels sont les bons souvenirs de scènes? T : Oh plusieurs, il y en a plein ! JS : The Great Escape, Ă Brighton. GĂŠnial ! Eurosonic. Le Canada, c’Êtait chouette‌ T : Ouais, carrĂŠment tout le voyage, on est partis pratiquement dix jours pour faire deux dates‌ JS : Toutes les fois oĂš on est allĂŠs en Angleterre, globalement ! T : Et Les Trans’ qui ĂŠtait notre 1er vrai gros concert, c’Êtait vraiment fou ! JS : Les Trans’ c’Êtait vraiment magique ! La salle ĂŠtait blindĂŠe, les gens qui attendaient devant‌ En plus c’Êtait chez nous, Ă l’Ubu‌ L’Ubu c’est une deuxième maison, on y traĂŽne tout le temps, pour des concerts ou des rĂŠsidences. On y ĂŠtait hier d’ailleurs, tiens ! Et concernant les futurs souvenirs ? Ceux Ă fabriquer ? JS : Il y a toute la tournĂŠe de cet ĂŠtĂŠ. Et en plus ce qui va ĂŞtre gĂŠnial, c’est que le “ nouveau â€?, Ousseynou, qui a 20 ans, n’a pas beaucoup fait de scène dans sa vie, et il a, Ă chaque fois, les yeux grands comme ça, c’est drĂ´le !... Non parce que nous, tu vois on est des vieux routiers Ă cĂ´tĂŠ ! (rires) T : C’est vrai, c’est drĂ´le, il garde cette fraĂŽcheur, en dĂŠcouvrant les scènes et il est fan de croiser des gens un peu connus, genre “ oh mais, c’est machin ! â€?, c’est chouette (rires)‌Mais ouais on a plein de dates ! On fait un bel ĂŠtĂŠ lĂ , mai juin juillet aoĂťt !... JS : EurockĂŠennes, Vieilles Charrues, PalĂŠo, Montreux, Les IngrĂŠdients (c'est chez nous ça), Solidays, Beauregard, Musilac, Jardin du Michel‌1
Que les ĂŠnormes festivals en fait ! T : Ouais on se fait les festivals d’ÊtĂŠ cette annĂŠe ! JS : Cela dit, on s’y ĂŠtait dĂŠjĂ essayĂŠ l’an dernier, Ă Liège avec Les Ardentes, et Ă Dour‌ C’est assez cool ! Et mĂŞme quand tu joues dans l’aprèm’ dans une salle de 6000 ou 8000 personnes et que t’en a 3500, c’est dĂŠjĂ blindĂŠ, c’est assez rigolo ! Tu sais, quand tu as l’habitude de jouer dans des clubs oĂš tu as juste Ă tendre le bras pour toucher ton pote, et lĂ -bas au final, tout le monde est super loin !... Ce soir c’est les Made in France au 22 d’Auron, Ă Bourges, avec les copains ! Car vous vous connaissez bien. Concrete Knives, La Femme, Aline, Granville qui ont pour beaucoup cette mĂŞme inspiration synthĂŠ 80’s ou l’influence de cette dĂŠcennie. Comment vous situez-vous par rapport Ă cette “ nouvelle vague de nouvelle vague â€? ? T : Ouais c’est vrai qu’on se connaĂŽt bien, on a dĂŠjĂ partagĂŠ la scène avec eux, Concrete Knives ce sont de très bons potes‌ JS : La Femme, on a jouĂŠ deux ou trois fois avec eux. Granville c’est pareil on a jouĂŠ avec eux au tout dĂŠbut, Ă nos et Ă leurs dĂŠbuts‌ T : Aline, on apprĂŠcie beaucoup ce qu’ils font, voilĂ on ne les connaĂŽt pas trop‌ JS : Aline on les a vus au Bars en Trans, cette annĂŠe, c’Êtait vachement bien‌ T : Et rapport Ă ta question, en fait, chacun a son identitĂŠ, c’est ça qui est cool. On est respectueux de tous ces projets lĂ , et donc c’est cool de se retrouver lĂ -dedans ce soir ! Entre potes‌ On papote encore un peu musique, goĂťts de chacun, je rencontre le fameux quatrième Ousseynou, lookĂŠ Ă la Gbenga Adelekan (bassiste de Metronomy). On ĂŠvoque le hip hop de Jay Rock, comme le son du moment dans les oreilles de Jean-Sylvain, on ĂŠvoque aussi Rhye et son titre The Falls‌ Morgane, des Concrete Knives, prend aussi le temps d’envoyer quelques bisous volants Ă travers la porte qui ne ferme pas, et me voilĂ reparti vers l’extĂŠrieur, filtrĂŠ par le gorille qui agrippe mon pass : ÂŤ Z’avez rien Ă faire lĂ , monsieur ! - Ah ? Pourtant on m’a laissĂŠ rentrer‌ Mais justement je m’en vais ! - Vous n’auriez pas dĂť entrer ! - Euh, du coup je peux sortir ? - Non mais lĂ , mĂŞme avec votre pass, vous n’auriez pas dĂť entrer. - Ben je m’en vais alors ? C’est ce qui est prĂŠvu ? - Bon, allez-y Âť termine-t-il la conversation, comme s’il me faisait une fleur‌ Juveniles se produira sur la grande scène du festival Les IngrĂŠdients, avec Concrete Knives, The Herbaliser, The Skints, et tant d’autres‌
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JUVENILES JC HSGL Ĺ N?PRGP BC F Festival *#1 ',%0ĝ"'#,21 .?PA CJ GP 'LEPʼn 8!₏ la soirÊe 12!₏ le pass 2 jours
1. Toutes les dates sur www.juvenilesmusic.com et leur www.facebook.com/juvenilesmusic.
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!-3. "bŒ'* 130 *# $#12'4 * *#1 ',%0Ļ"'#,21 ///////////////////////////////////////////////// LCQ CR HSGL ı 'LEPʼn Concrete Knives
En 5 secondes, dès les premières notes, les premières mesures, on sait que les 5 Normands vont nous séduire. Ils sont jeunes et terriblement efficaces dans la création de riffs et refrains fédérateurs, avec une pêche incontrôlable. De Greyhound Racing à New Brand Start d’un premier EP You can’t blame the youth, en 2011, au 1er Album Be your own king, en octobre dernier, les Trans’, Bourges, Taratata, la tournée anglaise et européenne, le groupe mené par Nicolas Delahaye prend la couronne et devient roi de sa propre histoire, en de nombreux chapitres, j’en suis certain. Sur scène, on ne peut que constater le talent de Concrete Knives à produire des hymnes entêtants qu’il est impossible de ne pas chanter avec eux, et ensuite les fredonner en buvant son café. Concrete knives nous servent un rock pop et ultra coloré, positif, festif et communicatif. Imparable rencontre de la lame et du béton pour de grosses étincelles !
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Le come back des pionniers de la fusion funk, hip hop et acid jazz ! Le collectif de Londres forge depuis 95, date du 1er album, une musique chaloupée (j’aime pas ce mot, je le trouve moche !) disons ultra dansante avec un groove qui en inspire plus d’un ! Jake Wherry et Ollie Teeba se rencontrent en 84 tandis que l’un “ gibolinnisé ” au jazz et au funk bossait la basse et que l’autre affûtait ses doigts sur les platines, se perfectionnant dans l’art du scratch. Que peuvent bien faire alors deux gars comme ça quand ils se rencontrent ? Eh bien, 7 albums semés comme de petites bombes d’intense groove, de gros jazz hip hop, bien ponctués, diablement dosés et sérieusement entraînants. Menées par l’inséparable duo, de nombreuses collabora-
tions se joignent au 7ème album, There Were Seven, album épique où l’on peut imaginer sept électro-troubadours fendant une fumée des ténèbres, pour nous coller un show remarquable à grandes vagues de cuivres, de beats et de flow ! Évènement !
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Vincent Dupas a un CV long comme le bras et, pourtant “ peu ” connu, il tourne et tourne dans le monde entier sous différentes couvertures, sans jamais sembler s’arrêter. Plus de 200 concerts rien que sous l’étiquette “ My Name Is Nobody ”, il évolue aussi au sein de Fordamage, sans parler des autres plus ponctuels avec Le Feu, Dark Dark Dark ou The Missing Season. Et du monde, il en croise ! De Bruno Green (Santa Cruz) à Herman Dune, Mansfield TYA, Pillars & Tongues, Faustine Seilman, The Patriotic Sunday, et encore tant d’autres… Long comme le bras je vous dis ! Vincent Dupas est un voyageur, même s’il ne le dit pas. En tout cas, le van roule et absorbe les kilomètres. C’est là, loin de son regretté divan, qu’il compose une folk voluptueuse, tels des carnets de voyages mélancoliques et même nostalgiques, pour son deuxième album The Good Memories, un LP “ road-music ” façon Into the Wild, avec une voix qui rappelle étrangement Eddie Vedder (eh oui la comparaison ne vient pas pour rien !). Si je dois dire ce que cela m’inspire, je réponds : Le p’tit moment dans un voyage où l’on pose la tête contre la vitre qui vibre sur la route, entre deux sommeils, on ferme un peu les yeux, à cet instant on sait vraiment où on va…
Concrete Knives
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Š Celine Rodriguez
harmonies de Conner Molander aux guitares, Êchantillonneurs et chœurs. Nous voilà tombÊs dans un nord-amÊricain psychÊdÊlique, harmonieux et mÊlancolique. Le 10 juin, date de sortie française de leur premier album Dark Eyes, et le 4 juillet, au festival (gratuit !) Jour J, seront à marquer d’une pierre blanche ! Pour les impatients que vous êtes, vous pouvez d’ores et dÊjà acheter en ligne la version numÊrique de l’exceptionnel 1er opus (ou l’Êcouter sur leur Bandcamp). 11 titres pointus dotÊs de la douceur d’une lame affutÊe qui nous scalpe sans douleur. Tout l’album est une tuerie brassÊe par la folk, le rock indÊ, des soupçons Êlectro, des Ênergies tribales, et des chœurs aÊriens. Pointez de Full Circle à 21 Gun Salute, en passant par Judgement, tout est surprenant. Un lÊger bÊmol (encore que‌) sur Need It slow glamour un poil trop kitsch, perdu dans les 90’s‌ Nerve pour le coup est bien mieux rÊussi ! Un groupe incroyable à l’aube d’un grand parcours, à suivre encore et encore. Et hâtez-vous, c’est une chance pour nous de les voir au Festival Jour J.
&7.&#, &7.&#, ///////////////////////////// Tous les mĂŠdias “ rĂŠfĂŠrences â€? en disent du bien, (Inrockuptibles, Tsugi, Modzik, Le Mouv', OUI FM, etc.) alors au risque de paraĂŽtre ringard, je vais quand mĂŞme faire pareil ! Des dĂŠcouvertes de Bourges 2012, en passant par diffĂŠrents prix (DĂŠtours ADAMI 2013, Fair 2013) et de grandes scènes comme Marsatac, Rock en Seine ou Solidays, en 4 annĂŠes d’activitĂŠ rock ĂŠlectro puissante et profonde mais surtout intelligente, Hyphen Hyphen se forge un joli palmarès et conquiert le public Ă chaque apparition. On a pu les voir Ă l’astroclub qui aura pris une grosse claque, en mars 2012 ! GavĂŠs de grooves cosmiques affĂťtĂŠs et terriblement efficaces, les niçois s’emparent du public et dĂŠgainent une ĂŠnergie digne d’une sulfateuse Ă laser qui tire sur tout ce qui bouge ! Des ovnis surrĂŠalistes assiĂŠgeant la terre entière. Pour rĂŠsumer : grande rĂŠvĂŠlation rock electro de la scène française, encensĂŠ par la critique, le quatuor va faire trembler les planches et compte bien s’insinuer dans nos oreilles, sans dĂŠtour. De grosses dates en prĂŠvisions cet ĂŠtĂŠ : Sakifo, Terres du Son, EurockĂŠennes, les Nuits Botaniques etc‌
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HALF MOON RUN / HYPHEN HYPHEN JC HSGJJCR Äą N?PRGP BC F Festival (-30 ( !?KNM 1?LRM %P?RSGR
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Š John Londono
Les 3 gamins de Half Moon Run nous prouvent encore une fois qu’il n’y a pas d’âge pour le talent. Ils viennent d’Outre Atlantique, quelque part au Canada, entre Ottawa et Comox, rĂŠunis dans un studio de MontrĂŠal oĂš en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, pondent un extraordinaire album. Après avoir sĂŠvèrement buzzĂŠ (traduire par “ sĂŠduit unanimement et profondĂŠment â€?, car leur prestation scĂŠnique est plus qu’à la hauteur), le trio (+1) vient chatouiller les grandes scènes europĂŠennes qui, Ă coup sĂťr, se rĂŠjouiront de les avoir programmĂŠs. Le Printemps de Bourges, La Maroquinerie, cette annĂŠe, La Flèche d’Or et le Divan du Monde, l’an passĂŠ pour le festival des Inrocks, et mĂŞme The Great Escape, ne me contrediront pas. Et le public prĂŠsent non plus. Ils ont pourtant Ă peine dĂŠpassĂŠ la vingtaine mais, Ă les voir sur scène, on ne peut que constater la maturitĂŠ de leur musique, de leurs arrangements et productions, dans un live fulgurant, doux, timide, percutant, intime et poignant Ă la fois, avec la très imposante identitĂŠ Half Moon Run. FormĂŠ depuis un peu plus de deux ans, nous avons lĂ un trio hors du commun, constituĂŠ de jeunes prodiges. Dylan Philips, Ă la batterie et claviers, rythme les envolĂŠes de Devon Portielje au chant, guitare et percussions, dont la voix nous accroche immĂŠdiatement, perchĂŠe entre Thom Yorke et Jeff Buckley (un vrai bonheur), soutenue par les
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La musique californienne n’exhale pas forcÊment le soleil, Retox, froid et hurlant, en est la preuve. Ses musiciens, engagÊs dans divers groupes, se rÊunissent ici dans une Êmulation de passion, de provocation et de rock bien trempÊ dans l’acide. On sent que leurs oreilles ont baignÊ dans les fondements du punk et que leurs textes criÊs dans le micro attendaient juste de sortir sur des guitares bien bourrines.
D’origine lituanienne, elle arrive en France Ă 7 ans et vit Ă la capitale, on pourra Ă l’occasion noter un lĂŠger accent charmeur. 20 ans plus tard, on connaĂŽt GiedrĂŠ Ă travers ses chansons travaillĂŠes simplement guitare-voix et peu d’arrangements. “ Encore une â€? me direz-vous, eh bien non, justement, elle est “ Autre â€?. On n’avait encore jamais vu ça et pour le coup, la presse se fait un bonheur de chercher des rĂŠfĂŠrences et des comparaisons. Des trucs du genre : faire manger Pierre Perret par Johnny Roten, ou Axelle Red bouffĂŠe par feu-Les Wriggles, ou encore Carla Bruni habitĂŠe par Gilles de la Tourette, etc. Alors oui, on peut penser Ă plein de choses, mais GiedrĂŠ est vraiment GiedrĂŠ et je crois qu’il deviendra inutile de parler des moustaches de Brassens, des pulls rayĂŠs de Boby Lapointe, de la contrebassine des VRP (mais sans les oublier, bien sĂťr). DĂŠsormais, on parlera de PQ, de robes roses Ă fleurs ou “ tissustorchon â€?, de boucles d’oreille Ă cerises ou crottes de chien, et d’anus avec les doigts.
Leur riffs puissants et entêtants sont jouÊs dans le bruit et l’excitation, un vrai bonheur punk. Retox s’inspire du passÊ en regardant clairement vers le futur pour un rock revendiquÊ par ses membres comme simple, efficace et fun. Et on en redemande. En live, ils explosent telle une bombe atteignant au passage, et avec une haine non contenue, les mÊdias de masse, la vie de bureau et la condition humaine dans le monde actuel.  Quit reaching for the stars because you will never be one , cette ligne de Modern Balls (de l’album YPLL sorti le 6 mai) cynique à souhait est on ne peut plus claire. Avant Retox c’est le punk de Severe Gouine, un tout nouveau groupe tourangeau hyper prometteur, et le mÊtal de Dewey qui rÊveilleront l’Astrolabe. Le punk n’est dÊcidÊment pas mort et va faire mal. (Camille Margan)
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RETOX / DEWEY / SEVERE GOUINE JC HSGL Äą F 120-!*3 De 4 Ă 11!â‚Ź
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Mais comment en est-elle venue Ă grimper sur scène ? Pour commencer, vers la vingtaine, elle ĂŠcrit des chansons par-ci par-lĂ . En 2010, après ses “ Cours Florent â€?, elle ne dĂŠcrochait pas tellement de contrats et ne savait pas trop quoi faire de ses dix doigts. C’est en passant dans son quartier et devant les bars qui proposaient des concerts, qu’un dĂŠclic vint ! Elle leurs proposa ses chansons, et lĂ , il se passa quelque chose qui se passe encore aujourd’hui : un public d’abord aux yeux ĂŠcarquillĂŠs et les oreilles tremblantes, outrĂŠ d’entendre de tels mots, mais la jeune dame transforme vite son auditoire en bouches grandes ouvertes, dĂŠploiements hilares et claquements de mains approbateurs. De fil en aiguille, elle vient piquer les fesses de son public, l’œil ouvert sur les petits tracas et les petits
Les trois mecs de MyManMike sont amÊricains, français et corÊens et ont basÊ leur fastcore à SÊoul. Les nationalitÊs et les cultures de chacun ont influencÊ les compos de ce groupe fondÊ en 2011. C’est suite à un album enregistrÊ au Bubblegum Sound à SÊoul en dÊbut de l’annÊe 2013 que MyManMike s’engage dans une tournÊe europÊenne de deux mois, la première du groupe. Comme quoi il n’y a pas que la k-pop qui s’exporte de CorÊe du Sud, et tant mieux. Pour leurs dates françaises, ils sont accompagnÊs d’Escarres  4 trous du cul dÊcidÊs à faire du bruit ensemble  et de leur hardcore chaotique tout droit dÊbarquÊ de Lorraine. Après 9 tournÊes et 150 shows en Europe et en Asie, ils connaissent la scène par cœur promettant ainsi des gros mosh dans la petite salle de L’Astro.
plaisirs de la vie, en abordant des thèmes aussi variĂŠs que croustillants !... Mais mieux vaut en parler en ĂŠcoutant son Premier album vendu dans les vrais magasins elle parle avec lĂŠgèretĂŠ et une ĂŠtonnante candeur des choses dites “ horribles â€? ou un peu crades, avec l’humour comme moyen et non comme but. Sont dĂŠpeints dans le dĂŠsordre, pĂŠdophilie, scatophilie, du sexe bizarre, suicide, infanticide etc. Je dois avouer que voici des sujets qui sur le papier ne font pas rire, mais en grand fan d’humour noir, les vannes du “ congelo bĂŠbĂŠ Ă bord â€? parmi les cĂ´nes glacĂŠs et le rĂ´ti du dimanche, moi ça me fait rire‌ Pourtant elle ne veut pas se dĂŠfinir comme chanteuse humoriste : ÂŤ Je ne fais que regarder. Je n’ai que des yeux et un stylo. ArrĂŞtez de dire que c’est drĂ´le ou farfelu. C’est la rĂŠalitĂŠ. Je n’arrive Ă voir que ça. Âť Alors chanteuse rĂŠaliste ?... La classe de la reine Elisabeth, le trash de Didier Super ! GiedrĂŠ se produira sur la grande scène du festival Le Grand Unisson Ă St Jean de la Ruelle, festival totalement gratuit, avec pour les grands noms : les inĂŠtiquetables Will and the people, les chansons blues rock de Saule, l’incroyable tendre poète Barcella, la tĂŠnĂŠbreuse mais douce Lisa Portelli. Mais aussi une scène Talents Unissoniques : Max Livio, Karma Balour, Rozz Jack, Chris2bar, Crimet et Les Fils Canouche‌ Sans oublier son traditionnel final pyrotechnique par Phosphore.
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GIEDRÉ JC HSGL Ĺ N?PRGP BC F $CQRGT?J *# %0 ," 3,'11-, 1R (C?L BC J? 0SCJJC
La soirĂŠe sera ouverte par Boris Viande (ex-Necrofist, Fuck Off Fur) pour du grind/crust oldschool et par le grindcore des quatre nanas dĂŠjantĂŠes de Porno Panda. (Camille Margan)
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Š ClÊment Halborn
MYMANMIKE / ESCARRES / BORIS VIANDE / PORNO PANDA JC HSGL Äą F 120-!*3 6-8!â‚Ź
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-@G?L 2FC $PC?IW $?KGJW
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4CLBCSPQ Bb#LAJSKCQ
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Š Anne-Laure Etienne
Matthieu Chedid abandonne ses crâneries “ Machistadoriques â€? et ses gĂŠmissements nĂŠoromantiques pour un Rock plus Rock ! Mais la transformation de l’essai touche le poteau et on reste rĂŠsolument dans une Pop plus Pop, qui, bien que très tonique et ponctuĂŠe d’entĂŞtants refrains, est loin des grooves sexy-funky qui firent son succès. Bien qu’un show de -M- reste toujours un show incomparable‌ L’hĂŠsitation est de mise.
Divine Paiste
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Divine Paiste a conçu son dernier album, Crystal Waves on a frozen lake, comme un scenario oÚ s’entremêlent musique et textes pour un rock onirique aux sonoritÊs franchement anglo-saxones. Quatre ans que les garçons de Divine Paiste jouent ensemble et ont ainsi ÊvoluÊ vers une musique lÊchÊe à l’esthÊtique sophistiquÊe. Leur premier album sorti le 13 mai est à cette image, notamment le superbe Dust in the wild qui donne des envies de grandes Êtendues parcourues dans un rêve à demi ÊveillÊ.
Success est une pÊpite rock boostÊe à l’Êlectro, menÊe par Mister Eleganz et ses acolytes, prêcheurs de bonne parole musicale. Pour leur musique, Success a fait simple : ils ont pris le meilleur du rock, du hip hop et de l’Êlectro, les ont savamment dosÊs et mÊlangÊs et ont ainsi donnÊ naissance à un son dansant et hystÊrique. Un cocktail dÊtonnant, normal pour des musiciens qui se revendiquent des Stooges, AC/DC mais aussi Run DMC, Da# Punk et les Beasties boys.
Ce projet d’album-concept de 12 chansons s’accompagne d’ailleurs d’un moyen-mÊtrage pour deux lectures de cette histoire, poÊtique par la musique et plus rÊaliste par le film. Pour l’histoire, les cagoules qu’ils portent dans leurs vidÊos ont affolÊ les passants du village corrÊzien dans lequel ils tournaient, qui ont prÊvenu la police, par peur du terrorisme. RÊaction sÝrement exagÊrÊe qui donne d’autant plus envie de se pencher sur eux. La musique des Divine Paiste sort de sa rêverie en concert oÚ la voix de Pierre-Yves, le chanteur, impose sa puissance. C’est eux qui ouvriront les festivals Aucard de Tours et MusiKair avec tout le savoir-faire scÊnique qu’ils ont gagnÊ au cours de plus de 150 concerts dont des premières parties de Two Doors Cinema Club et The Cribs. De quoi commencer divinement bien. (Je suis dÊsolÊe pour ce divinement :) ) (Camille Margan)
Après une avalanche de concerts jusqu’en Asie et l’apparition de leur titre Hard to Come Back sur la B.O du blockbuster hollywoodien Zombieland, ils dÊbarquent à nouveau sur scène pour la sortie de Social Network Junkies. Ce dernier album est Êlectrisant, à l’image du titre Êponyme qui arrive à allier rÊfÊrences 80s et grande modernitÊ, ou de Nasty Baby dont le refrain ferait jumper un cul de jatte. A chaque concert, Success est une claque balancÊe avec la classe de types bien sapÊs qui savent oÚ ils vont et ce qu’ils font, comme une bande de braqueurs ou de tueurs à gages. Success chauffera le public de MusiKair en deuxième partie de soirÊe, histoire de le rendre bien dingue avant le set electro de DJ Drunken master. ‌ Dans le cadre du festival MusiKair, à Montargis !
(Camille Margan)
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RAGGASONIC / SUCCESS / TAMBOUR BATTANT / LA MATHILDE / DIVINE PAISTE / DJ DRUNKEN MASTER JC HSGL Äą N?PRGP BC F $CQRGT?J +31') '0 16!â‚Ź en prĂŠvente - 20!â‚Ź sur place
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Ces OrlÊanais se veulent reprÊsentatifs de styles musicaux aussi divers que variÊs, tels le reggae, le swing, le hip-hop, la world, le jazz, le zouk, la pop et bien d'autres styles qu’on se plairait à ÊnumÊrer et ajouter, pour un meltingpot colorÊ et gÊnÊrÊ à des fins positives. Le tout balancÊ sur des formules semi acoustiques, rehaussÊes de textes atypiques dans la langue de Molière. Les quatre instrumentalistes, influencÊs par le rap, le reggae de Groundation ou la plume de Batlik, entre-mêlent joyeusement beat box, gratte classique, djembÊ et tout le tas des autres instruments possibles et imaginables et chantent l’envie de faire de la musique et ses valeurs libÊratrices, et s’interrogent sur les questions de sociÊtÊ, mais aussi les traditionnels questions de cœur.
Incontournables de la Scène OrlĂŠanaise, le sextet de “ Chansons Maximalistes â€? embrasera la scène de Balade en Musiques, Ă la Chapelle St Mesmin, menĂŠ par un charismatique ValĂŠrian Renault, pour des prestations scĂŠniques horspair. MĂŞlant jazz, rock, chanson, les Vendeurs d’Enclumes sont exigeants dans l’Êcriture et la construction de leurs morceaux, toujours pointus, toujours intelligents, entre folie et poĂŠsie, perchĂŠs sur un fil, en ĂŠquilibre, les sentiments Ă fleur de peau.
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KikipĂŠdia : ÂŤ Le priapisme (du grec, ÂŤ ĂŠrection Âť) est une situation pĂŠnible et potentiellement dangereuse dans laquelle le pĂŠnis, après l'ĂŠrection ne retrouve pas sa flacciditĂŠ normale au bout de quatre heures. Le priapisme est une urgence mĂŠdicale et a besoin d'ĂŞtre traitĂŠ par un mĂŠdecin qualifiĂŠ. Âť ‌VoilĂ ! Ici Pryapisme, avec un “ Y â€?, nous secoue la tronche avec leur ĂŠlectro noise expĂŠrimentale totalement dĂŠjantĂŠe. DĂŠcadent, irrĂŠvĂŠrencieux, incongru, scatologique, irrationnel, grotesque, frĂŠnĂŠtique, dĂŠlurĂŠ, excitant, dĂŠglinguĂŠ etc. etc. Un RĂŠgal.
-PAFCQRPC BS .PMHCR Jʼn?RMGPC
 Entre dÊflagrations sonores et climats feutrÊs, entre machines et instruments acoustiques, le Projet AlÊatoire travaille une matière imprÊgnÊe de folie et de sensualitÊ, poursuit une recherche de l'informel, explore le rapport brut au son. 
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PRYAPISME / O.P.A. / THE SMOCKING BIRDS JC HSGL Äą F 3 5!â‚Ź
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-MJC HSGL Äą F 8Äť,'2&Âą-0*Äť ,1 32 Ă 59!â‚Ź
OBIAN & THE FREAKY FAMILY ¡!!JC HSGL Ĺ N?PRGP BC F #0%#0'# "# * .#2'2# $#0+# ¹ la FertÊ St Aubin Participation libre ¡!!JC HSGL Ĺ N?PRGP BC F 3 %P?RSGR
VENDEURS D’ENCLUMES JC HSGL Ĺ N?PRGP BC F * "# #, +31'/3#1 *? !F?NCJJC 1R +CQKGL %P?RSGR
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%#," 1?KCBG er Juin
Kassav
Kassav a plus de trente ans ! Depuis 1979, première mouture “ amateur â€? du groupe, qui ĂŠvolue alors sous diffĂŠrents combos jusqu’en 84, date Ă laquelle le groupe prend sa forme dĂŠfinitive, avec les cinq que l’on connaĂŽt. Ils produiront alors, ensemble, 15 albums (sans compter les albums solo de chacun), façonnant plus qu’une musique, plus d’une mode, ou une idĂŠe, ils crĂŠent une vĂŠritable culture au sein des CaraĂŻbes, le zouk. Immanquablement, la fraĂŽcheur et le soleil s’Êtendent au reste du monde, tant leur ĂŠnergie est sanguine, immĂŠdiate, addictive, communicative et dansante ! Kassav dĂŠbarque Ă OrlĂŠans après trois jours de ZĂŠnith de Paris ! Une grande soirĂŠe pour OrlĂŠans'Jazz, avec (en plus !) Thibault Renou Trio, Tricia Evy, Roberto Burgos. Bien que ce soit une curiositĂŠ dans un festival de Jazz, c’est un privilège tout de mĂŞme, pour le public qui se sera dĂŠplacĂŠ en masse (j’imagine) pour les voir !
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THIBAULT RENOU TRIO / TRICIA EVY / KASSAV / ROBERTO BURGOS JC HSGL Äą N?PRGP BC F Festival OrlĂŠans'Jazz ! +.- 1 ,2- ('LRCPL?RGML?J (?XX 9 Ă 26!â‚Ź DĂŠtails des forfaits et tarifs QSP UUU MPJC?LQH?XX DP
k HIGHLANDS FREEDOM / TOMIA / FROM DUST TO NOWHERE Sonik Party de Polysonic *C F F %P?RSGRĂť
k MIX DJ VHATFER SoirĂŠe “!sois ta rock star!â€? * 'LDP?PCB F %P?RSGR
k MARCEL ET SOLANGE INVITENT STEVAN KOVACS TICKMAYER Jazz au Moulin +MSJGL BC J? 4?NCSP F de 6 Ă 12!â‚Ź
Mardi 11 Juin
k SERGE LAMA Varièt’ 8ʼnLGRF -PJʼn?LQ F BC Ĺ ÝĨ
k 6 A.M. ON THE MOON / MORDIBAZ New wave - Électro indÊ * 'LDP?PCB F %P?RSGR
Mardi 4 Juin k NIGHTS BEATS ExpĂŠrimental R&B * RCJGCP F %P?RSGR
Jeudi 6 Juin k WEIRD OMEN 50's savage sound Le 5e TCLSC F ÝĨ
www.goodby.fr - Mairie d’OrlÊans - DIC 2013
k NEHL AËLIN / AKPHAEZYA Pop - MÊtal "CJGPGSK !?Dʼn F %P?RSGR k NEMO Dj Set ?RC?S *?TMGP F %P?RSGR k JUNE & THE SOUL ROBBERS Folk Rock * RCJGCP F %P?RSGR
4CLBPCBG (SGL k -MPop 8ʼnLGRF -PJʼn?LQ F BC Ĺ ÝĨ k STRONG COME ONS / HEARTBEEP Rock’n’roll *b'@GX? F .?PRGAGN?RGML JG@PC
1?KCBG (SGL k MYMANMIKE / ESCARRES / BORIS VIANDE / PORNO PANDA Fastcore - HXC - Grind QRPMAJS@ F ÝĨ ÝĨ
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k NI QUEUE NI TETE Chanson! * RCJGCP F %P?RSGR
k BUBBLE BOUM : RRRRRR ! Big party ! QRPMJ?@C F F %P?RSGR
k REWINDER Garage grunge *b'@GX? F .?PRGAGN?RGML JG@PC
www.orleansjazz.fr
k ROBBER BARON BAND / ILLNESS FOR DINER Trash - Deathcore Le 5e TCLSC F ÝĨ
k SEXTET PROJECT Jazz - ExpÊ Association Musique et Équilibre * RCJGCP F %P?RSGR
Jeudi 13 Juin k CABARET JULIETTE ARMANET / DJ SET! -LXC +ŊRPCQ !S@CQ F %P?RSGR k ANNA C. ET BARBICHE Chanson burlesque! GQRPMR BC J? ?QASJC F %P?RSGR k TEREBENTHINE / TOMIA Rock progressif - pop! Le 5e TCLSC F ÝĨ
4CLBPCBG (SGL k BE FOR DÉFI / FÊTE DU GARDIEN *C F F %P?RSGR
1?KCBG (SGL k THIMOTEE LEVIS Chanson * 'LDP?PCB F %P?RSGR
Mardi 18 Juin k FOR EVER FORTUNE (Les Musiciens de St Julien) Musique ancienne d’Écosse 1?JJC ?PP?SJR 2FʼnĪRPC B -PJʼn?LQ F BC ÝĨ Ĺ ÝĨ
Mercredi 19 Juin k NU-PIPING (Erwan Keravec) PIBROCH (Barnaby Brown) Musique contemporaine pour cornemuse 1?JJC 4GRCX 2FʼnĪRPC B -PJʼn?LQ F de 5!₏ à 18!₏
Jeudi 20 Juin k PATRICK BRUEL Chanson - Varièt’ 8ʼnLGRF -PJʼn?LQ F BC Ĺ ÝĨ
4CLBPCBG HSGL k SUKO� FEVER / LAZY DRAKE ISLAND / JAZZ BAND Rock - Folk - Jazz Maison de la Musique *? $CPRʼn 1R S@GL F %P?RSGR k TAYAZABEU Reggae Ska .GRFGTGCPQ F %P?RSGR k ZIKAC / OBIAN & THE FREAKY FAMILY / PANDAMONIUM / NOVEMBER AVENUE k PROGRAMMATION DÉFI / MUSIQUE ET ÉQUILIBRE *C F %P?RSGR k INFERNALS TROUBADOURS / PLUS DE 15 GROUPES SURPRISES Place de Loire, Place de la Bascule // Ĺ N?PRGP BC F %P?RSGR
1?KCBG (SGL k MIX DJ CUKK OYU SoirĂŠe “!rock t’as vu ?!â€? * 'LDP?PCB F %P?RSGR
"GK?LAFC (SGL k RETOX / DEWEY / SEVERE GOUINE Punk Hardcore - Trash QRPMAJS@ F ÝĨ Ĺ ÝĨ
Mardi 25 Juin k THIS LIFE / TWO MINUTES FOR Hardcore Le 5e TCLSC F ÝĨ
Jeudi 27 Juin k RANDOM SELECTA Mix (Kevineurone & Oliver) *C 4GCSV !MKNRMGP F %P?RSGR
4CLBPCBG (SGL k BENJAMIN THIMEL / OBIAN & THE FREAKY FAMILY Chanson - Reggae Avec une expo d'ÉlÊonore Dougnac CPECPGC BC *? .CRGRC $CPKC J? $CPRʼn 1R S@GL F .?PRGAGN?RGML JG@PC
1?KCBG (SGL k WHODUNIT Punkrock *C .CRGR ?PACJMLC F Participation libre k PRYAPISME / O.P.A. (ORCHESTRE DU PROJET ALEATOIRE) / THE SMOCKING BIRDS MÊtal Electro - Noise *C F ÝĨ k CHIBROLLE PARTY #2 * 'LDP?PCB F %P?RSGR
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4CLBPCBG +?G
k UNE TOUCHE D’OPTIMISME / LES FATALS PICARDS / BIGA*RANX / LAZY DRAKE ISLAND
k ORCHESTRE NATIONAL DE BARBÉS / NI QUEUE NI TÊTE / ANIMATIONS *?A BC !F?JCRRC Ĺ N?PRGP BC F %P?RSGR
"GK?LAFC (SGL
1?KCBG er Juin
UUU TGJJC AF?JCRRC DP
Musiques actuelles
k KAPS / ÉCOLES DE MUSIQUES / HARMONIES / ORCHESTRE / ATELIER TRAD’ / ANIMATIONS Parc du centre de loisirs +CSLE QSP *MGPC F %P?RSGR k FANF’À POUET / ZINNYA / JEANFRANCOIZE / DEBOUT SUR LE ZINC / NAUGHTYBRIGITTE.COM / MADLY’S ET VAZA-BE Parc du centre de loisirs +CSLE QSP *MGPC F BC Ĺ ÝĨ JC Q?KCBG ÝĨ N?QQ HMSPQ LGK?RGMLQ EP?RSGRCQ JC K?RGL UUU DCQRGAMJMP LCR
k #6!#,20'/3# *? ,CSTGJJC 1SP #QQMLLC Installations - Cirque - Concerts
1?KCBG er CR "GK?LAFC (SGL
k LES POTES AU FEU / KARIN SERRES + LES MINUITS / LAURE BRISA / CIE LES OMBRES PORTÉES / GODARVILLE ASBL"" "/ CIRKAS GAYA 2FʼnĪRPC BCQ +GLSGRQ CR QML H?PBGL Ĺ N?PRGP BC F JC Q?KCBG F JC BGK?LAFC %P?RSGR k TRILOGIE DE SPECTACLES PAR LA CIE 2 RIEN MERCI (!cirque forain!) Place de l’Êglise // plusieurs reprÊsentaRGMLQ QSP JC UCCI CLB ÝĨ JC QNCAR?AJC 12 les trois UUU ASJRSPCMACLRPC DP
1?KCBG er Juin
k *#1 ',%0#"'#,21
Musiques actuelles - Installations - Tremplin
4CLBPCBG (SGL
k DEMAIN VERTIGE / SCARECROW / PEROX / CONCRETE KNIVES / JUVENILES .?PA CJ GP 'LEPʼn Ĺ N?PRGP BC F
1?KCBG (SGL
k HELL’S KITCHEN / MY NAME IS NOBODY / DJ TAGADA / THE SKINTS / THE HERBALISER + INSTALLATIONS / VILLAGE ASSOCIATIF / TREMPLINS .?PA BC CJ GP 'LEPʼn %P?RSGR BC F Ĺ F 1MGPʼnC Ĺ N?PRGP BC F 8 ₏ la soirÊe - 12 ₏ pass 2 jours UUU JCQGLEPCBGCLRQ AMK
k *# %0 ," 3,'11-, Musiques actuelles - Spectacles
Jeudi 13 Juin
k LA MUSIQUE DE LÉONIE 1?JJC +GJJGML F
4CLBPCBG (SGL
k CHORALE ARIOSO / CHORALE ENSEMBLE ÄťEJGQC 1R (C?L ?NRGQRC F k KARMA BALOUR / MAX LIVIO / TIMOTHEE LEVIS / GIEDRE / WILL AND THE PEOPLE / SAULE 1R?BC BC J '0#1" Äą N?PRGP BC F
1?KCBG (SGL
k 1!#, - *'4#
Rock - Blues - Chanson
1?KCBG er Juin
k MOURAD / RUE DES ANGES #QNJ?L?BC B 7TPCKMLR -JGTCR F %P?RSGR k LENOIR & BLUES PROJECT / CHILLIDOGS !CLRPC ASJRSPCJ B 7TPCKMLR -JGTCR F %P?RSGR UUU MJGTCR DP
k CIE LE PETIT PIANO SANS BRETELLE +ʼnBG?RFĹŠOSC LL? +?PJW F k CONSERVATOIRE MUNICIPAL ÄťEJGQC 1R (C?L ?NRGQRC F k SCĂˆNE DE DANSE 1?JJC +GJJGML F k LES FILS CANOUCHE / CHRIS2BAR / ART DE LA RUE : CRIMET / LISA PORTELLI / BARCELLA / FEU D’ARTIFICE BY PHOSPHORE 1R?BC BC J '0#1" Äą N?PRGP BC F 1RPSARSPCQ KSQGA?JCQ B ÄťRGCLLC $ 40# CL AMLRGLS QR?BC BC J '0#1" 2MSQ JCQ QNCAR?AJCQ QMLR EP?RSGRQ FRRNQ UUU D?AC@MMI AMK EP?LBSLGQQML
- 16 - 16 -
Concerts - Lectures - Jeux - Installations
k JEUX GEANTS / FREEFRIISPRAY / CONCOURS DE CRIS DE GAMINS ?QC BC JMGQGPQ !FʼnAW Ĺ N?PRGP BC F %P?RSGR UUU ?QRPMJ?@C MPE UUU AFCAW DP
k $#12'4 & **#1
Humour - Musique - ThÊâtre - Burlesque
Mercredi 19 juin
k QUATUOR MEGAMIX .J?AC BC J? &?JJC F %P?RSGR k UN ROI ARTHUR &?JJCQ SV %P?GLQ F ÝĨ
Jeudi 20 juin
k FREDERIC FROMET &?JJCQ SV %P?GLQ F ÝĨ
1?KCBG HSGL
k ANIMATIONS / THÉÂTRE DE RUE .J?AC BC J? &?JJC Ĺ N?PRGP BC F %P?RSGR k 12-0 #2 * . 20-,,# "( .J?AC BC J? &?JJC F %P?RSGR UUU J?DCPRCQ?GLR?S@GL AMK
k ** "# #, +31'/3# World - Rock - Chanson
4CLBPCBG (SGL
k DEAMBULATION DE L’HARMONIE MUNICIPALE / Pot de l’amitiÊ .?PA BC J &ŔRCJ BC 4GJJC F %P?RSGR
1?KCBG (SGL
k SON DEL SALON / LIZ VAN DEUQ / LAS VARGAS / VENDEURS D’ENCLUMES .J?AC BCQ %PŊTCQ *? !F?NCJJC 1?GLR +CQKGL Ĺ N?PRGP BC F %P?RSGR
"GK?LAFC (SGL
k LE NEZ DE COCHON DE CYRANO / C’EST BEAU UN CRAPAUD / BIDON E VOUS / TRIO TRANSATLANTICO / ZORÉOL / SOUL DEALERS + ANIMATIONS. .J?AC BCQ %PŊTCQ *? !F?NCJJC 1?GLR +CQKGL Ĺ N?PRGP BC F %P?RSGR UUU TGJJC J?AF?NCJJCQ?GLRKCQKGL DP
k .* ',²#³ '0
k -0*# ,1 ( 88
1?KCBG HSGL
1?KCBG (SGL
Expos - ThÊâtre - Fanfares k LA CARNA / TOILE DE FOND / TERRITOIRES / LES TÊTES D'AFFICHE / PAN! / LE GRAND ORCHESTRE / FANFARE DE L'ATELIER LA CASSEROLE / BODEGA BANDA + PROJECTIONS DE COURT-MÉTRAGES 0C@PʼnAFGCL EWKL?QC CR CQNJ?L?BC F %P?RSGR FRRN UUU AA DMPCR DP DCQRGT?J=NJ?GLC=?GP
NFN
k +31') '0
Musiques actuelles
1?KCBG (SGL
k RAGGASONIC / SUCCESS / TAMBOUR BATTANT / LA MATHILDE / DIVINE PAISTE / DJ DRUNKEN MASTER 4ʼnJMBPMKC +MLR?PEGQ Ĺ N?PRGP BC F ÝĨ CL NPʼnTCLRC ÝĨ QSP NJ?AC
k #6!#,20'/3# C?SECLAW cÝ*CQ 4ʼnJMQ #VACLRPGOSCQÝn Installations - Balades contÊes CinÊ-concerts.
"GK?LAFC HSGL
k LES VÉLOXENTRIQUES/ RICOCHETS/ PANOSCOPE / LE MANĂˆGE Ă€ JIPÉ / MANUEL, LAVEUR DE MAINS / MAGIC MOMENTS / LA TĂŠTE DANS LE GUIDON ATELIER DE GRAVURE MOBILE SUR TRICYCLES k JAULIN EN SCĂˆNE Balade contĂŠe F CR F Ăť k FANTAISIES CYCLOPÉDIQUES F CR F @?J?BC RFʼnĪRP?JC k LES VÉLOXENTRIQUES F 4CLRC ?SV CLAFĹŠPCQ /S?G BC *MGPC C?SECLAW Äą N?PRGP BC F CL AMLRGLS %P?RSGR Q?SD cĂť RCJGCPQ BC %P?TSPC +M@GJC QSP 2PGAWAJCQĂťn Ĩ UUU ASJRSPCMACLRPC DP
k (-30 (
Musiques actuelles
Jeudi 4 Juillet
k BIRDY NAM NAM / ODEZENNE / HYPHEN HYPHEN / HALF MOON RUN / MERMONTE / HAVE THE MOSKOVIK / MANIGANCE / DJ BRASKO !?KNM 1?LRM -PJʼn?LQ Ĺ N?PRGP BC F %P?RSGR
Jazz - World
"0#11#1 32'*#1 "GK?LAFC HSGL
k SERGE AMBERT & ARNAUD MÉTHIVIER ] Le 108 2CKNJC NPMRCQR?LR F 108 rue de Bourgogne
"GK?LAFC (SGL
k '+.#0' * /3 02#2 *'1 ! 2 #00- 45000 OrlĂŠans e ,', 22 * -#3$ !" ] 5 Avenue !?KNM 1?LRM F 11 avenue de Paris
Mercredi 19 Juin
] Salle Alain Corneau k TONY TIXIER TRIO / PIERRICK PÉDRON rue du Pont TRIO KUBIC’S MONK / TOONS 45130 Meung Sur Loire !?KNM 1?LRM F
k DURIO ZIBETHINUS +ʼnBG?RFŊOSC B -PJʼn?LQ F k ROBERTO NEGRO TRIO SBGRMPGSK BS +SQʼnC BCQ C?SV PRQ F k KINDERGARTEN / ÉLISE CARON & EDWARD PERRAUD DUO (?PBGL BC J &ŔRCJ %PMQJMR F k 0- "1 /3 02#2 (# , ( !/3#1 RUHLMANN QUINTET .J?AC BC *MGPC F
Jeudi 20 Juin
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k OUVERTURE ! (?PBGL BC J &ŔRCJ %PMQJMR F k *#1 2#*'#01 "# +31'/3# Ţ/3'*'0# + 31'/3# . -30 . -3 #**# "#1+301 *#3 "3- 0 '*1 (?PBGL BC J &ŔRCJ %PMQJMR F k - 7 "'0,',%#0 d * 0-32# DU BLUES  .J?AC BC *MGPC F k !-,!#02 130.0'1# 2 127 %0 ,,7 7%0 ,) .J?AC BC *MGPC F
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k GUYLĂˆNE CHARMETANT & ÉRIC AMROFEL +ʼnBG?RFĹŠOSC %CLCTMGV F
45000 OrlĂŠans Lundi 24 juin
] Astrolabe / Astroclub
Mardi 25 juin Avisse 1 Rue Alexandre
45000 OrlÊans k PIERRE ET LE LOUP... ET LE JAZZ PAR ] L’Atelier 203 KEYSTONE BIG BAND THE AMAZING 203 rue de Bourgogne !?KNM 1?LRM F 45000 OrlÊans
k ( 88 #2 !',#+ . 0 2&# + 8',% ] Salle Bernard Million )#712-,# '% ," +-32', 0#3 27 Rue Bernard Million ,'-, /3 02#2 + 22#- . 12-0',- 45140 Saint Jean de la Ruelle QUARTET ] Bibliothèque d’Olivet !?KNM 1?LRM F 365, rue du GÊnÊral de Gaulle 45160 Olivet26 juin Mercredi
] Le Bouillon k ATELIER JAZZ ÉCOLE DE MUSIQUE rueSARAN de Tours DE / SANDRA NKAKE / CHIC 45067 OrlÊans FEAT. NILE RODGERS ] Delirium CafÊ !?KNM 1?LRM F place de Loire dÝ 'LRCPL?RGML?J (?XXÝ o 45000 OrlÊans
Jeudi juin Sologne ] Espace27 Madeleine
Rue desALLA PrÊs TURCA Verts PROJECT / CHICK k JAZZ 45240 La&FertÊ Saint /Aubin COREA THE VIGIL PAOLO FRESU ] L’Infrared DEVIL QUARTET 37 place du Châtelet !?KNM 1?LRM F 45000 OrlÊans dÝ 'LRCPL?RGML?J (?XXÝ o ] Maison des Arts et de la Musique 4CLBPCBG HSGL 10 cours Victor Hugo
k DUO MARCEL LOEFFLER ET GILLES CO45000 OrlÊans QUARD / LAVOLLEE DUBREUIL LARMI] MÊdiathèque Anna Marly GNAT COPIE ZÉRO"  / MARCUS MILLER 61 rue "Charles Beauhaire 45140 Saint-Jean de la Ruelle !?KNM 1?LRM F dÝ 'LRCPL?RGML?J (?XXÝ ] Meeting potes cafÊ o 185 Faubourg de Bourgogne 1?KCBG HSGL 45800 Saint-Jean-de-Braye
k JARDIM ! ] Moulin de la Vapeur +ʼnBG?RFŊOSC %CLCTMGV F 127 rue Marcel Belot
k 1-'0Ţ# (-&, %0# 4#1 (?PBGL BC J &ŔRCJ %PMQJMR F
k '+.#0' * /3 02#2 *'1 ! 2 #00- 45160 Olivet ,', 22 * -#3$ !" ] Museum 6, rue Marcel Proust +ʼnBG?RFŊOSC B -PJʼn?LQ F 45000 OrlÊans k HIBAULT RENOU TRIO / TRICIA ] La Passerelle EVY 22H30 KASSAV / ROBERTO 57, boulevard de Lamballe BURGOS 45400 Fleury-les-Aubrais !?KNM 1?LRM F ] Le petit Barcelone o dÝ 'LRCPL?RGML?J (?XXÝ
k +--,2 ,) 20'- #* 1 , SYLVIA HOWARD & THE NITE WATCHERS .J?AC BC *MGPC F
2MSQ JCQ QNCAR?AJCQ QMLR EP?RSGRQ Q?SD 45000 OrlĂŠans dĂť 'LRCPL?RGML?J (?XXĂť AMLACPRQ ?S !?KNM ] Le petit Bouchon deola lionne 19 rue de Santo, du la 26Lionne juin au 29 juin
k % 2&# '0 !#+ 0 8'*' , +31'! ," %3'** 3+# .#00#2 2&# #*#!20'! #.'! ,-2# $-0%#2 2&# .0-(#!2 !?KNM 1?LRM F
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118 rue de Bourgogne
45000 OrlĂŠans
] ThÊâtre d’OrlÊans Boulevard Pierre SÊgelle 45000 OrlÊans ] ThÊâtre de la Tête Noire 144 Ancienne Route de Chartres 45770 Saran ] ZÊnith d’OrlÊans 1 Rue du PrÊsident Robert Schuman 45160 Olivet
PA PIER VI NYLE
Culture / Musique / Concerts / Agenda / Actus 1SP -PJʼn?LQ CR QML ?EEJM k +CLQSCJ %0 23'2 Juin 2013 #3
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%?ELCX vos places pour 2CPPCQ BS 1ML
Ļ"'2« J'ai touché le fond de la piscine Dans le petit pull marine, Tout déchiré aux coudes Qu'j'ai pas voulu recoudre, Que tu m'avais donné. J'me sens tellement abandonnée… » Gainsbourg nous avait offert ces vers (et ceux qui suivent bien sûr) écrits pour Isabelle Adjani, sortis en 1983, et bien que hyper “ gnangnan ”, je dois le dire, ce texte est très joliment écrit et bien interprété, Gainsbourg excelle là, dans l’écriture et la direction de chanteuses qui ne savent pas chanter, quel talent ! En revanche, le clip, lui, nous noie façon Grand Bleu grâce à Luc Besson qui nous tient la tête sous l’eau (…blopblop). La musique, à l’instar du clip, nous plonge dans ce qu’il y a de presque plus mauvais dans les années 80. Mais bon on s’en fout, grâce à ça, on est au top de l’actualité ! C’est génial ! Marine a, elle aussi, touché le fond de la piscine ! Pour d’autres raisons que l’amour c’est certain (ce n’est pas son fort l’amour!)… Flûte alors ! Ce n’est pas drôle se casser la gueule comme ça dans une piscine vide, en faisant du jardinage, tout cela pour des haricots verts (verts mais Français, monsieur !) en plus
qu’elle s’est fait mal ! M’enfin, comme j’évite de trop parler des cons, je m’arrête là, et reviens sur cette photo, plutôt amusante. C’est alors que je m’apprêtais à diffuser une autre couverture toute différente (bien qu’elle soit aussi avec un vinyle de Gainsbourg et visible plus loin dans les pages) que celle-ci me tomba dans les mains ! Incroyable, on retrouve le pull marine, la jupe en voile blanc, la piscine à boudins (pas le modèle, la piscine !) gonflés (pas le modèle, la piscine !) et vide (pas le modèle, la piscine ! On l’aura compris), et même si sont absents l’ambiance intérieure bateau, hublot en carton et le trou au coude, j’aime cette prise de position insolente… Et drôle ! Et, pour les jeux de mots on peut dire que le modèle ne s’est pas tellement mouillé, il y n’avait pas d’eau dans la piscine bleu marine, tout le monde le sait ! Fumer sous l’eau ne tue pas… Mais fumer sous l’eau ne sert à rien.
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0CNMPR?EC NFMRM BC .?NGCP 4GLWJC ” Retour sur la saison musicale
p. 6
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p. 7
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!GLʼnK? Khaos, d'Ana Dumitrescu Matrix : la triologie au Bouillon
p. 8
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&CW %?KGLQ ” Un festival pour les enfants à ChÊcy
p. 9
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2FʼnĪRPC Manuel le laveur de mains, au festival Excentrique Coup d'œil Agenda
p. 10 â—?
#VNMQ Fleuves, de Tung-Wen Margue Sculptures sonores‌ au fil de l'eau, par le collectif PHILÊMOI Livres d’artistes, de Michel Butor et Bertrand Dorny SacrÊ/Profane, au Quai 56 Carnet de Voyage en Asie du Sud-Est, de CÊcile Hurbault
p. 11 â—?
La Carna Une exposition au festival Plain(e) Air
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GPRFB?W 0CRPM N?P 4GARMP (MPEC Fugazi, In On the Kill Taker
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Cheek Mountain Thief, Astroclub, le 19 mars
Swann, Salle Bernard Million, Saint Jean de la Ruelle, le 24 mai
Circa Tsu誰ca, festival Baule d'Airs, Baule, le 11 mai
Louis Aguilar and The Crocodiles Tears, Astroclub, le 30 avril
Marissa Nadler, l'Atelier 203, le 16 avril Rover, Salle Bernard Million, Saint Jean de la Ruelle, le 24 mai
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Taraf Goulamas, festival Baule d'Airs, Baule, le 11 mai
Perox, Be For Defi, au 108, le 8 mars
La Femme, " Made In France ", 22-Ouest, Bourges, 23 avril
Concrete Knives, " Made In France ", 22-Est Bourges, 23 avril
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ClĂŠment (ex-leader de Ronin Side) cherche son nouveau groupe (influences : Blessthefall, Crown Cardinals, Sleeping With Sirens, Pierce the Veil....) oĂš officier comme frontman (ou co-frontman) en Ile de France ou Ă OrlĂŠans. J'ai 15 ans d'expĂŠrience au sein de groupes et souhaite aller le plus loin possible. Mon investissement pour le groupe sera entier. Je peux chanter, raper et backer en scream. Merci de me contacter par mail Ă l'adresse suivante : c_perault@orange.fr.
"MASKCLR?GPC $P?LAM %PCA F KL 4-12$ C’est un ĂŠtat des lieux brut et brutal ! Un portrait peint sans fard ni fioriture, un constat sec et sans sommation : l'Europe va mal ! En première ligne : la Grèce, frappĂŠe de plein fouet et vampirisĂŠe par les politiques de finances menĂŠes par les Hauts Dignitaires EuropĂŠens. La Grèce oui, car c’est elle qui paie le lourd tribut de notre beau nĂŠo-libĂŠralisme, mais pas que, tous les pays mĂŠditerranĂŠens sont utilisĂŠs comme fusibles, mais voilĂ les plombs ont fondu, le court circuit fĂťt inĂŠvitable. Voici la plus vieille dĂŠmocratie du Monde qui ouvre le bal et la gangrène s’Êtend‌ Constatations alarmantes : plus 21% de chĂ´mage, des jeunes qui quittent le pays, des ouvriers en lutte, des distributions de repas en pleine rue, des pĂŞcheurs sur la brèche, des salaires mensuels entre 600 et 900 euros Ă peine‌ ÂŤ Les visages humains de la crise grecque Âť point de dĂŠpart de ce documentaire d’Ana Dumitrescu, photographie d’un instant T. De routes en chemins, de ports en ĂŽles, Panagiotis Grigoriou, historien et blogueur de guerre ĂŠconomique, va Ă la rencontre de ces hommes et femmes qui n’ont rien demandĂŠ Ă personne, si ce n’est de quoi continuer de bouffer. Le documentaire se balade genre “ road movie â€? et donne la parole Ă ces visages en crise, chĂ´meurs, rĂŠsistants, dĂŠbrouillards‌ Leur quotidien nous est exposĂŠ lĂ , sans dĂŠtours, dĂŠmunis face Ă cette rĂŠalitĂŠ provoquĂŠe par nos funambules de la finance‌ On nous raconte dans cette situation instable quasi inextricable, comment boire un cafĂŠ dans un troquet devient compliquĂŠ, comment les bibliothèques ferment, et comment (aussi, hĂŠlas) un effrayant groupuscule nĂŠonazi grandit lĂ -bas‌ Comme le nuage de Tchernobyl, la crise (la vraie, ici c’est du pipi de chat) s’arrĂŞtera-t-elle Ă nos frontières ?
3LC ?LLMLAC Ĺ LMSQ RP?LQKCRRPC 3L KCQQ?EC Ĺ LMSQ D?GPC N?QQCP Tant que c’est culturel : c’est gratuit dans Papier Vinyle ! DÊposez votre annonce sur papiervinyle@gmail.com, on s’occupe du reste.
Khaos, G $QD 'XPLWUHVFX /H MHXGL MXLQ Âż K &LQĂ’PD /HV FDUPHV
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Le Bouillon propose de replonger dans la matrice, pendant trois soirĂŠes, pour redĂŠcouvrir la trilogie culte et visionnaire de Lana et Andy Wachowski, Ă la charnière de nos deux siècles. 3 soirĂŠes pour revivre le phĂŠnomène Matrix et sa conception unique, sa rĂŠflexion politique et engagĂŠe sur ce monde robotisĂŠ qui reprĂŠsente notre avenir, et soulève les questions : “ oĂš la vie l’homme se terminet-elle ? Et oĂš commence celle des machines ? â€? Questions existentielles de nos courtes destinĂŠes‌ Mais aussi de la bagarre, des flingues, du Kung Fu,des effets spĂŠciaux, de l’amour, des trahisons, et surtout : l’Agent Smith ! Plein d’agents Smith... Plus de 6h bouillonnantes de films, au Bouillon bien sĂťr, et en VOST s’il vous plait ! Avec : Keanu Reeves, Laurence Fishburne, Carrie-Anne Moss , Hugo Weaving, Joe Pantoliano, Gloria Foster, etc. Suivez le lapin blanc‌ c’est gratuit ! Quelle pilule choisiras-tu ? La bleue ou la rouge‌ $X %RXLOORQ 2UOĂ’DQV /D 6RXUFH Gratuit, dans la limite des places disponibles ] 0DUGL MXLQ K Matrix K ] 0HUFUHGL MXLQ K Matrix Reloaded K ] -HXGL MXLQ K The Matrix Revolutions K
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&#7 % +',1 ” //////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// 2ème ĂŠdition de cette belle et bonne journĂŠe, Ă l’initiative de l’Astrolabe et de ChĂŠcy, dĂŠdiĂŠe Ă nos chĂŠrubins ou autres chiards, mioches, mĂ´mes, rejetons et gamins. Ă€ partir de midi, dimanche 16 juin, plutĂ´t que d’emmener vos gosses dĂŠjeuner chez Mamie, emmenez-les piqueniquer et s’Êclater Ă ChĂŠcy, et rien n’empĂŞche que mamie vienne, cela va de soi, bien que le concours international de cri d’enfants ne soit pas ultra compatible avec son sonotone, quand bien mĂŞme : cela se dĂŠbranche ! Et roulez jeunesse ! Une après-midi dĂŠlirante dĂŠdiĂŠe aux moins d’un mètre trente (pour la rime). Jusqu’à 19h, diverses animations se succèderont, d’autres seront en continu, comme l’espace “ jeux en bois gĂŠants â€? pour dĂŠcouvrir un univers ludique et disproportionnĂŠ. L’espace de graff numĂŠrique “ FreeFriispray â€? proposĂŠ par LaboMedia et animĂŠ par UrbanColors. De quoi leur donner des idĂŠes pour repenser la dĂŠco des murs de leur chambre. RĂŠveillez le street art qui sommeille chez le petiot ou la petiote ! Sur une toile s’affichera le mur de votre choix, un wagon SNCF, c’est Gamin qui dĂŠcidera, ensuite il choisit son spray, taille, forme et couleur. Les maĂŽtres Banksy et MrChat n’ont qu’à bien se tenir ! Au programme des animations ponctuelles : des lectures : Virginie Martins et Martine Augusto conteront aux plus attentifs des histoires Ă faire peur, rire ou rĂŞver, faites de dragons, sorcières, animaux, princes et princesses, bouffons ou crapauds gluants. Au hasard des chemins par Kristof Le Garff, conteur marionnettiste et comĂŠdien, accompagnĂŠ en musique par Florent Gateau. De 14h Ă 15h et de 16h Ă 17h
ne respire et ne pense qu’en rythme‌Une planète oĂš bien sĂťr le singe descend de l'homme ! ‌ Ce spectacle complètement frappĂŠ et secouĂŠ est interprĂŠtĂŠ par des non-ploucs de la batterie, Yann Coste (No One Is Innocent) et SĂŠbastien Rambaud (JMPZ), duo “ drumoristique â€? ou “ humorythmique â€? selon les points de vue. De quoi faire sonner les cymbales sur la tĂŞte d’un toon, se taper sur les cuisses, se dĂŠrider les peaux et recharger nos batteries‌ Et comme un jeu MB c’est de 7 Ă 77 ans ! Après cette bonne mise en jambe, allons nous les dĂŠgourdir sur le dancefloor de la boum pour gamins ! Et faire danser nos petits !... Emportez votre pique-nique et goĂťter, et pour les plus ĂŠtourdis qui l’auraient oubliĂŠ, ou pour ceux qui auront encore faim ou soif, friandises, grillades, bar Ă vins, bars Ă jus et houblonnerie seront ĂŠvidemment sur place. ÂŤ Papa, on peu’y’allĂŠ ? ‌ Hey Gamins ! /D Ĺ ]LF SRXU OHV PáPHV -HX[ *Ă’DQWV )UHHIULLVSUD\ &RQFRXUV GH FULV GH JDPLQV /HFWXUHV /D YLH GH &KĂ WHDX /HV )LOO V 0RQNH\V /H GLPDQFKH MXLQ Âż SDUWLU GH K %DVH GH ORLVLUV &KĂ’F\ *UDWXLW
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Qui s’est dĂŠjĂ fait laver les mains ? Effectivement, cela n’arrive pas tous les jours, et pour ma part ce fut la première fois ! J’en fis l’expĂŠrience Ă une FĂŞte de la musique de CrĂŠteil. Oui je sais, ça sonne un peu comme “ la fĂŞte du boudin de Ozouer-Le-Voulgis â€?, mais c’est une très belle fĂŞte de la musique ! Bref, c’est lors de celle de 2009 que je dĂŠcouvre cet ĂŠtrange OVNI non-volant mais roulant, le VĂŠlovabo. Non, ce n’est pas la dernière machine Ă remonter le temps, inventĂŠe par Mac Lesggy. C’est un engin un peu ĂŠtrange je dois avouer, on dirait mĂŞme un bric Ă brac sur roulettes. Toutefois, cette drĂ´le de bestiole nous transporte, elle et son capitaine-poète (en tout cas il en a la casquette), dans une magie imaginaire, sortie tout droit du gĂŠnie crĂŠatif de Manuel, LE laveur de main ! Manuel m’a fait fondre avec son numĂŠro dĂŠambulatoire surprenant, drĂ´le, touchant et mĂŞme parfois sensuel. Difficile de dĂŠcrire ce moment si unique sans trop en dĂŠvoiler, car ce moment doit rester une dĂŠcouverte, alors un conseil, laissez-vous caresser (au propre et au figurĂŠ). Le festival Excentrique, dĂŠdiĂŠ cette annĂŠe Ă la petite reine, fait une ĂŠtape Ă Beaugency et nous invite Ă vivre l’expĂŠrience, unique en son genre, du VĂŠlovabo. Car c’est sans doute de la plus simple des choses que naĂŽt la poĂŠsie‌ (Amandine Porcu) Manuel le laveur de mains /H MXLQ )HVWLYDO ([FHQWULTXH %HDXJHQF\ Âż SDUWLU GH K HQ FRQWLQX
Coup d'Ĺ“il Agenda ] La fiancĂŠe de Barbe Bleue ( jeune public ), par Pierre Yves Chapalain
] Spectacles ateliers Fabrika
'X PDL DX HU MXLQ KRUDLUHV VXU VLWH 6DOOH $QWRLQH 9LWH] &'1 2UOĂ’DQV ZZZ FGQ RUOHDQV FRP
] Tous les chemins mènent au jardin, par la Cie ThÊâtre du Chemin
] Les Beaux Orages (qui nous ĂŠtaient promis), par le Collectif Petits Travers /H -HXGL MXLQ Âż K 6DOOH 7RXFKDUG 7KĂ’Ă WUH GĹ‚2UOĂ’DQV Âż Ĺ™
] Lecture Serres Chaudes : La putain de l'Ohio, d'Hanokh Levin
La Vie de Château de Pascal Parisot : un concert dĂŠjantĂŠ, pour les mĂŠlomanes en herbe de plus de 6 ans, mais pas que ! Les grands aussi pourront venir car rigoler un coup est ouvert Ă tous. Oyez Oyez ! Ce serait l’histoire d’un chevalier, au temps de jadis sous le règne de son altesse “ N’importe quoi premier â€?, souverain du royaume de l’absurde. Sous ses lunettes noires et son look de dandy zarbi, le conteur chanteur nous emmène dans un univers musical abracadabran, drĂ´le et farfelu, oĂš le “ n’importe quoi â€? rebondit sur la nonchalance. Ă€ 15h
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] Tigrella, la sorcière de la dÊchetterie, (spectacle jeunes public), par la Cie de l’Escapade /H 'LPDQFKH MXLQ ¿ K 3DUF )ORUDO 2UOÒDQV OD 6RXUFH GH ¿ ř
En exclusivitÊ mondiale ! A 15h30 ! Grand concours international de cris de gamins ! Enfin papa et maman encourageront la descendance à hurler, crier, brailler, rugir et autant le dire gueuler le plus fort possible ! Dimitri Hatton, (comÊdien, metteur en scène, expert dans l’art hurleur ou comment amener quelqu’un à hurler) animera cette folle compÊtition, jusqu’à la grande finale oÚ seuls les plus grands crieurs monteront sur le podium. Sur inscriptions le jour même avant 15h. Attention, s’entrainer à la maison (ou dans le jardin, ou au parc) est vivement recommandÊ. A 17h, les Fill’sMonkey tambourineront leur spectacle très original à grands coups de percussions et de chamaillerie autour de la batterie.  Ce sont deux sales gosses en culotte courte qui tapent sur n'importe quoi avec n'importe quoi, ce sont deux moines Shaolin qui ont troquÊ leur sabres contre des baguettes gÊantes. Tantôt poètes rêveurs, tantôt batteurshÊros, les Fill’s sont tombÊs d'une planète ou l’on ne s’exprime,
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Livres d’artistes
Mais qu’est-ce que ces objets ? Une exposition sonore interactive à toucher et à jouer à la frontière des arts plastiques, de la musique, de la science et de la poÊsie. PHiLÊMOi, à travers la mise à disposition d’une exposition sonore interactive, invite tous les publics (de tous âges) à venir toucher et explorer ces installations curieuses et originales. Une dÊcouverte culturelle au croisement des arts, des techniques et des cultures‌ Et de la musique ! Tant par la qualitÊ visuelle presque extra-terrestre que par la sonoritÊ d’un monde parallèle, le collectif nous plonge dans une sorte de 4ème dimension, troublante mais ludique.
L’œuvre de Bertrand Dorny, peintre graveur, auteur de nombreux livres d’artistes qu’il a crÊÊs avec Michel Butor, est retracÊe dans une rÊtrospective de plus de quarante livres. Cette exposition fait dÊcouvrir le constant renouvellement de son travail et la fidÊlitÊ sans faille qu’il porte à ses amis poètes.
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Sculptures sonores‌ au fil de l'eau ,QDXJXUDWLRQ SXEOLTXH HQ SUÒVHQFH GX FROOHFWLI OH MHXGL PDL ¿ K -XVTXłDX MXLQ (VSDFH &XOWXUHO OD 0RQQD\H 0HXQJ VXU /RLUH
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Marionnettiste et comÊdienne de la Cie Jeux de Vilains, l’artiste nous invite à dÊcouvrir le thÊâtre d’ombres et de marionnettes de l’Extrême Orient. Carnet de Voyage en Asie du Sud-Est 'X DX MXLQ 0ÒGLDWKÑTXH 'HQLV 3RLVVRQ 3LWKLYLHUV
Fleuves
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Tung-Wen Margue est nÊ au Luxembourg, en 1959, son parcours le mène dans le Marais Poitevin oÚ se forgent sa perception de l’environnement et son sens de l’espace, si caractÊristiques de sa peinture. En perpÊtuel questionnement sur ses origines, Tung-Wen Margue nous offre sa propre vision de la Chine. L’artiste nous incite à repenser le paysage comme une expÊrience intime mais aussi, au cœur de la matière, comme un motif d’exploration picturale. Ce peintre de la suggestion et de la mouvance invite nos sens à la dÊrive entre brume et flou. Entre traversÊe maritime et errance poÊtique, les Fleuves de Tung-Wen Margue nous embarquent dans leur sillage comme dans un songe. Couleurs mates, superposition de strates successives, nous dÊcouvrons une peinture tout en finesse, pleine de mystères. Fleuves 'X MXLQ DX HU VHSWHPEUH (VSDFH &XOWXUHO OD 0RQQD\H Meung sur Loire 9HUQLVVDJH SXEOLF OH YHQGUHGL MXLQ ¿ K
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Livres d’artistes, par Michel Butor et Bertrand Dorny -XVTX DX DX MXLQ 6DOOH GłH[SRVLWLRQ GH OD 0ÒGLDWKÑTXH 2UOÒDQV
SacrĂŠ!/!Profane
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Initiative proposĂŠe par la comĂŠdienne, metteur en scène et chanteuse, Anouck Hilbey et de Manon Malmèj, graphiste, jusqu’au 30 juin, SacrĂŠ/Profane invite chaque semaine un artiste rĂŠgional pour exposer ses Ĺ“uvres une semaine durant au Quai 56, donnant lieu Ă des performances connexes sur diffĂŠrents lieux voisins. SacrĂŠ/profane a dĂŠbutĂŠ le 23 mai, on a dĂŠjĂ pu observer RĂŠmy Chabreyrou, artiste-peintre tourangeau Pop-SurrĂŠaliste, qui Ă partir d'un mix de symboles empruntĂŠs Ă la publicitĂŠ, la politique, les jeux vidĂŠos dans lesquels nous baignons, cherche Ă dĂŠnoncer les ĂŠcueils de la sociĂŠtĂŠ de consommation dans laquelle nous vivons. Stek expose depuis le 30 mai, touche Ă tout, graphiste de formation, il sĂŠvit aussi bien dans l’aquarelle, la bombe ou la musique. CrĂŠation et Expression comme figure de proue. L’orlĂŠanais Franek prendra le relais dès le 6 juin, ou comment ĂŞtre illustrateur pour enfants et tatoueur. Il prĂŠsentera une sĂŠrie de dessins dĂŠtournant les images religieuses, en tenant compte ĂŠvidemment de sa condition de “ tatoueur pour enfant â€?. Enfin, le cycle sera bouclĂŠ avec Mademoiselle Bulle, Manon Malmèj et Anouck Hilbey, Ă partir du 13 juin. Dans l’ordre, elles nous prĂŠsenteront, pour la première : dessins, typographies et photographies, oĂš nature, fictif, burlesque et tendresse composent un univers onirique et colorĂŠ. La seconde, ÂŤ en attendant de percer dans les claquettes Âť, produit des sĂŠrigraphies handmade sur diffĂŠrents supports. Et la dernière exposera ses Monades, sculptures de vierges dans des os de seiches ! SacrĂŠ / Profane /HV MRXUV GH YHUQLVVDJH OHV MHXGLV GHV %RQXV VHURQW SURSRVĂ’V ] OH MXLQ WDWRXDJH /LYH &DGDYUH H[TXLV JĂ’DQW GĹ‚LOOXVWUDWHXUV '- 6HW E\ 1(02 Âż K DX %DWHDX /DYRLU ] /H OHFWXUH GĹ‚$VWULG 0RQHW 'Ă’PR GHV 6LPRQHV 5ROOHU 'HUE\ sur les quais de Loire &DEDUHW -XOLHWWH $UPDQHW '- 6HW Âż K DX 2Q]H PĂ‘WUHV FXEHV -XVTXĹ‚DX MXLQ 4XDL 2UOĂ’DQV
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* ! 0, //////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////// Cette exposition est une histoire Ă part entière. NĂŠ 2012, le projet La Carna est crĂŠĂŠ de toutes pièces, de A Ă Z. Son intention est de nous balader dans un hĂ´tel des annĂŠes 40, avec son personnel et son patron, Richard Lacarna, arnaqueur de renom, dont la richesse ĂŠtait convoitĂŠe par tous, jusqu’à ses propres employĂŠs. Le point de dĂŠpart de l’expo ? C’est justement ce jour oĂš ils passent Ă l’action, Lacarna rentrant Ă l’hĂ´tel constate le hold-up qui vient de se dĂŠrouler ! On dĂŠcouvre cela dans le court mĂŠtrage d’animation, servant de bande-annonce au projet, signĂŠ Bam (Corentin Lorillard), porteur de projet, artiste peintre et musicien, et Benjamin Foulny. 3 minutes 39 oĂš majordomes et femmes de mĂŠnages se disputent le butin. Ici nous entrons en scène, si je puis dire‌ L’association BB&C nous fait dĂŠcouvrir grandeur nature le hall de rĂŠception de l’hĂ´tel et ses 5 chambres communicant par un couloir. Dans un dĂŠcor mĂŞlant 2D et 3D, conçu pour accueillir les productions personnelles de ses exposants, toute la scĂŠnographie s’articule autour de ce scĂŠnario noir, digne des vieux films de la Prohibition. Pour une immersion totale, les artistes ont crĂŠĂŠ jusqu’au mobilier en carton peint, des trompe l’oeil, des anamorphoses et des pancartes de personnages en 2D qui viennent donner vie Ă ces diffĂŠrents espaces, le tout renforcĂŠ par un dispositif sonore de musiques et bruitages‌ De chambre en chambre, nous dĂŠcouvrons l’histoire de ces personnages fictifs, dans cet univers soignĂŠ. Et, Ă la clef du parcours, le dĂŠnouement attendu de l’histoire‌ Le Projet La Carna est un projet tout Ă fait particulier rĂŠunissant de nombreux corps de mĂŠtier artistiques comme artisanaux. ÂŤ Elle regroupe deux artistes peintres (exposants/porteurs de projet), un artiste plasticien, deux ĂŠlectriciens et un ingĂŠnieur son. Nous dĂŠsirons vous proposer une exposition riche et de qualitĂŠ, interactive, sollicitant la vue, l’ouĂŻe et le toucher. Nous aspirons Ă prĂŠsenter une sĂŠlection d’oeuvres variĂŠes, touchant Ă diverses techniques artistique comme la peinture, le dessin, l’illustration, la pyrogravure, le design volume et sonore, sur divers supports tels que le bois, le papier, le carton, la toile‌ Âť Une exposition plus que rĂŠussie avec un style graphique qui pourrait rappeler Le Petit Magasin des Suicides de Patrice Leconte ou la griffe de Sylvain Chomet dans Les Triplettes de Belleville. Tout est fabriquĂŠ “ maison â€? en bois et carton, entièrement dĂŠmontable, un travail titanesque mais tellement rĂŠussi ! Ă€ voir impĂŠrativement ! La Carna est proposĂŠ dans le cadre d’un festival tout nouveau tout neuf, la 1ère Ă’GLWLRQ GH 3ODLQ H $LU Âż 5HEUĂ’FKLHQ Âż OĹ‚LQLWLDWLYH GH OD &RPPXQDXWĂ’ GHV &RPPXQHV GH 1HXYLOOH $X %RLV DYHF VSHFWDFOHV FRQFHUWV H[SRVLWLRQV SURMHFWLRQV GH FRXUW PĂ’WUDJHV HWF
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'02&" 7 0#20- ////////////////////////////// Fugazi, In on the Kill Taker 1MPRGC JC HSGL *?@CJ "GQAFMPB 0CAMPBQ
Il y a vingt ans pile-poil sortait In on the Kill Taker, troisième album du groupe Fugazi. Formation punk hardcore originaire de Washington D.C., Fugazi jette dès la fin des annÊes 80 les bases d’un style expÊrimental et puissant qui influencera un bon nombre de groupes punk et/ou grunge de la dÊcennie suivante. Ce troisième opus n’est sans doute pas le meilleur, car Fugazi fait partie de ces rares groupes qui ont su se renouveler et progresser d’un album à l’autre. En comparaison, The Argument, sixième et dernier album paru en 2001, offre un son plus affinÊ, des structures plus complexes et une harmonie plus prÊsente. Au demeurant, In on the Kill Taker est dÊjà très bon. Il compile dans un ordre appropriÊ des morceaux riches et variÊs. Pour l’anecdote, le nom de l’album provient d’une inscription sur un bout de papier trouvÊ sur un trottoir par Guy Picciotto, un des deux guitaristes chanteurs. Autre anecdote : l’enregistrement Êtait prÊvu à Chicago avec Steve Albini, le cÊlèbre producteur de Nirvana, Pixies, PJ Harvey, Breeders, Mogwai et bien d’autres. Après quelques dÊmos, le groupe n’Êtant pas satisfait du rÊsultat dÊcide de tout refaire chez eux, à Washington D.C., avec le producteur Ted Niceley. Fugazi applique à la lettre l’Êthique punk du Do It Yourself. Tous les albums du groupe sont sortis sur son propre label Dischord Records et le prix de vente est toujours raisonnable, environ 10 dollars US. Le groupe refuse en bloc tout merchandising et ne vend par consÊquent aucun produit dÊrivÊ. Aucun tee-shirt, aucune affiche, pas un seul mug avec la tronche d’Ian MacKaye imprimÊe dessus. Frustrant mais classieux. Enfin, affiliÊs à la sous-culture straight edge (entendez : ça sonne toujours mieux quand on est sobre !), les membres du groupes ne se dÊfoncent qu’au son de leurs instruments et renvoient les paradis artificiels dans les cordes. In on the Kill Taker ouvre sur deux titres rÊsolument punk. Le refrain du deuxième, Public Witness Program, n’est pas
sans rappeler ce que fera plus tard The Offspring dans ses propres refrains, soit une progression mĂŠlodique super entraĂŽnante et facilement mĂŠmorisable. On change d’ambiance avec Returning the Screw, un troisième morceau qui commence calmement et qui finit en une vĂŠritable explosion stoner rock avec des guitares bien liĂŠes et toujours ces fameux breaks de caisse claire incisifs qu’affectionne Brendan Canty. La chanson suivante, Smallpox Champion est un standard hardcore avec une des deux guitares qui pimente chaque fin de refrain de gros slides stridents. Le style Thurston Moore n’est pas loin et reviendra tout au long de l’album nous agresser gentiment les feuilles. Sur Rend It, la voix lead frise plus que jamais. Heureusement, quelques backs ĂŠnergiques viennent rapidement la corriger. D’ailleurs, globalement, on regrettera la raretĂŠ des chĹ“urs sur cet album. LĂ oĂš la voix ne convainc pas, les guitares y parviennent. Et force est de constater que cette fin de Rend It, jouĂŠe en parfaite complĂŠmentaritĂŠ, est un vrai dĂŠlice : une des six-cordes prend la tonique, l’autre la quinte ou la tierce, et, par l’entremise d’un frappĂŠ absolument synchrone, la magie opère‌ Un accord parfait, constituĂŠ de deux sons de gratte diffĂŠrents, englobe toute la stĂŠrĂŠo et donne une patate incroyable au morceau. Cela pourrait s’appeler “ De l’optimisation du son rock Ă deux guitares ĂŠlectriques â€?. Dans Fugazi, en effet, il n’y a pas d’un cĂ´tĂŠ la guitare principale et de l’autre celle qui accompagne, mais plutĂ´t une seule grille orchestrĂŠe par deux zicos hyper raccords, MacKaye et Picciotto. On est dans la quintessence du jeu en groupe. Remarquable ! Rend It enchaĂŽne nickel avec 23 Beats Off. On reste dans la mĂŞme tonalitĂŠ. Signalons la fin impressionnante de ce sixième titre : sur plus de trois minutes, une caisse claire toute simple est jouĂŠe Ă contretemps, prise dans un crescendo de larsens maĂŽtrisĂŠs Ă mort. Le tout vaut sans conteste les meilleurs passages noise de Sonic Youth. EsthĂŠtique du feedback qui claque ! Le morceau se termine et il nous faut encore un petit moment pour redescendre‌ Nous libĂŠrer de cette phrase qui, comme un slogan, tournicote encore dans la frogne (Cf, le doublage français de l’Êpisode 6035 de Stargate oĂš le colonel O’Neill s’injecte volontairement la bibliothèque des Anciens dans la frogne) :ÂŤ He was fighting some war somewhere, now everything depends on fighting some war Âť. Contre-pied du clichĂŠ tenace de l’insurgĂŠ punk‌ Le septième titre de l’album est une instrumentale exĂŠcutĂŠe Ă la perfection. Hyper groovy, Sweet and Low continue de nous rappeler la facture Sonic Youth, surtout au niveau de son pont, lequel est structurĂŠ autour d’une basse jouĂŠe en legato, d’un question/rĂŠponse propre et logique entre les gratteux, ainsi que d’une ride Ă cinq cent boules US qui englobe le tout. Sobre et splendide. On change de registre avec Cassavetes qui sonne davantage comme un titre de Rage Against The Machine. Les guitares, effectivement, y sont jouĂŠes Ă la Tom Morello (sauts de cordes techniques et compagnie). La voix est plus syncopĂŠe que sur les autres titres et la section rythmique est sacrĂŠment ĂŠnergique, quasi hip hop. Notons Ă son sujet cette ligne de basse sur la première partie qui ressemble Ă s’y mĂŠprendre Ă celle du couplet de Nausea, fameux morceau de Beck sorti en 2006 sur l’album The Information. Et tant qu’on y est, insistons sur ce jeu de basse fantastique de Joe Lally (faut dire qu’avec un nom comme ça tu ne peux QUE jouer d’la basse !). Le bonhomme aurait avouĂŠ avoir
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ÊtÊ profondÊment marquÊ par la quatre cordes minimale et percussive de Joy Division. Soit‌ Avec Great Cop, Fugazi revient sur du bon vieux punk. Autrement dit tout à balle ! MacKaye et Picciotto, après un Êpatant passage en harmoniques naturelles, concluent en braillant :  Tu ferais un bon flic ! . Foutage de gueule‌ D’un pote à coup sÝr. Les deux titres suivants restent dans la même lignÊe. Cependant le second, Instrument, sonne davantage noise atmo que punk tradi. Enfin, le douzième et dernier titre d’In on the Kill Taker est vraiment un fat morceau : Last Chance for a Slow Dance. Pur nom et pur son. Cette chanson est comme qui dirait le clou de l’album. Elle adjoint à deux couplets sombres et entêtants un refrain explosif aux accords Êminemment bien placÊs dans le temps. Sans doute avons-nous là le meil-
leur titre de l’album, qui plus est, franchement emo. Et ici, le qualificatif signifie quelque chose, n’oublions pas que cette “ dernière chance â€? est interprĂŠtĂŠe par des musiciens qui, au sein de formations antĂŠrieures Ă Fugazi (Rites of Spring, Minor Threat), ont appartenu Ă la première vague de l’emotive hardcore, celle de la scène de Washington D.C. du milieu des annĂŠes 80. Bah ouais, ces gars-lĂ ne donnent pas dans l’mĂŠlo Ă la MaĂŠ : eux, ils connaissent la chanson‌ Lui, il s’y connaĂŽt davantage en chapeaux. Victor Jorge
1Äť*#!2'-, !" "# . .'#04',7*# /////////////////////////////////////////////////////////////////// VoilĂ , lĂ oĂš je suis très embĂŞtĂŠ c’est que, sur juin, j’ai peu d’albums dans le viseur. Ă€ croire que juin se rĂŠserve pour ne pas trop se mouiller “ on verra â€? plus tard les bons albums. Ah oui ! Me direz-vous, j’aurais pu chroniquer le nouveau Jenifer Ma DĂŠclaration (dĂŠdiĂŠ Ă France Gall) eh bien, non, je le ferai pas ! Star Ac’, the Voice, France Gall, hou-ouh le haut du paquet ! Bon, la suite‌ Aussi le futur Black Sabbath, 13, menĂŠ par mon pote Ozzy Osbourne et leur 35 ans de carrière sur le dos, 35 ans de riffs mĂŠtal, respect ! Mais j’ai peur qu’on soit un poil vieillot dans l’humeur et les intentions‌ Par contre technique et production au rdv ! Ça pète, les fans du genre vont kiffer ! (Moi j’en ai fini avec le heavy mĂŠtal et le hard-rock‌ Ai-je seulement commencĂŠ ?) Important aussi, un nouveau Christophe MaĂŠ, les filles ! Et Joyce Jonathan, Caractère, whouahou, la grosse pĂŞche ! Pas envie non plus ! Après il y a bien les premiers albums de Juveniles et Half Moon Run, qui sont plutĂ´t prometteurs, mais ils ont dĂŠjĂ eu leurs pages, alors ça suffit bien donc place aux autres ! Mais, qui donc sont ces autres ? Et ben pas grand monde‌
Marvin, Barry
Sortie 3 juin / Africantape Produit par Vincent Robert (Electric Electric) Barry est paradoxalement leur disque le plus heavy et le plus ambient, le plus rock et le plus pop. Il combine parfaitement l’Ênergie qui a fait le succès de Marvin en concert et une palette sonique de plus en plus riche et innovante. Beaucoup des rÊfÊrences du groupe, issues des annÊes 70 (Led Zeppelin, Black Sabbath‌) sont rÊinvesties par la dextÊritÊ du rock le plus exigeant des annÊes 90 (Trans Am, the Jesus Lizard‌), leur musique est dÊsormais unique. Complexe et immÊdiat, Barry est assurÊment leur album le plus abouti.
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1MPRGC JC HSGL !MJSK@G? PCAMPBQ  InspirÊ par Aphex Twin et la house music ‌ Disent-ils, ça promet ! Mais n’en diront pas plus‌ le  ?  signifie bien l’interrogation, pas de nom pas de pochette, et pas de dates‌
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Juveniles, Juveniles
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EMPLACEMENT PETIT ENCART HORIZONTAL - 10 -
Pit que quis ex et molestrum sandi offictus sant fugia nis simus, aut ad quo et omnis repero earumquam, officiur suntia non conseque veribus ent ut abores minulpa runtis poritia none la pra esed quibusam que enis idi ipicimilita doloribea corrum voluptatus expliqu idemolupta suntinverae ellaccae soluptatem ipis dio. Lenis aliqui cum, occuptia pedit, utem lignatur alic tent eiur? Mus dolupta nisin est resti cor aditatem re nossimagnate liqui vidis sitisci andandam evendae porepellique veribea quaerae liqui core nonse omni ipsamusam, ideliquis serum fuga. Ut earitaquatem illorior ad earum fugitessimus ipicius, que nimi, temquibus coreptate doluptat ipsapicit voloreh enturi imoluptas nati conest veniscimint lant ut lique preped moleni berati blaccus tistrum es sam ipidentius estrum esedi ut volorporessi ium, autessequam aut mod eum conserspedis que con et eum ex eos eum idessi nonsequos eostoreped moluptat ut volupta vendempor as derchic testrum quodis autem quiam, qui ut vent. Hiciisto istrupt atusam as sunt volorem fuga. Quam, sit ma nimodi nulpa cusdant, ipsam nihic tem. Et et re seque consedit ad magnihil iuntibus, ut hiti voloruptur? Estionserum consectatis est, corem sunt labore occum cum qui aut volectium velist quo excepe eaque ipsande mporat as dolorib usandia dolupta tatiatiam quae ni aut quis molum volupturio. Unt volorepre nosam volupti iscitatis eum ipsamus nullut dipsapici to dit, cusciuscimi, ilibus et moluptas utatio. Et laccatum quibeatur, seque cus doluptatur modissitas quamendem nihicillut ius possimu sciatur, conempos quis re consequ aeperum harchillest ditiume perum aboria voluptae. Et res quid qui repersp erepresciis doluptis dem fugias ut quatem dis veniet ommodi ommolup tament lis as excepror mi, to et essequatem derro temque eatur, officiasi te rem fugita im ut lique lacepe dolesciis nonsed quis repeditatem id qui con necto oditem is aut exceritam quat et volorionsed ut dicatiume sumquae audis niandel inction nus eum
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EMPLACEMENT COLONNE
AGENDA
EMPLACEMENT GRAND ENCART HORIZONTAL
TITRE DE CONCERT le ** mars Ă 18h30 LIEU Gratuit
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