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Le mensuel qui vous informe à Cap-Rouge, Pointe-de-Sainte-Foy et les Bocages

crédit photo : Pierre Joosten

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Élections municipales À Cap-Rouge

chaude lutte en vue

Jean Guilbault

Laurent Proulx

PAGES 2-3

David Lemelin

... et Statu quo à saint-AUgustin Marcel Corriveau

Le 100e du Tracel Toute La programmation page 8

100

Simon Bastarache

Retour triomphal de David Veilleux page 4

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Élections municipales du 3 novembre

Chaude lutte à prévoir dans Cap-Rouge-Laurentien Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

Une chaude lutte est à prévoir dans le district Cap-Rouge – Laurentien lors des élections municipales le 3 novembre prochain alors que le chef de Démocratie Québec tente de faire élire son colistier Conrad Verret, que l’Équipe Labeaume présente l’un de ses candidats vedettes Laurent Proulx et que l’indépendant Jean Guilbault se présente. Par contre, du côté de Saint-Augustin-de-Desmaures, tout indique, pour le moment, que l’équipe de Marcel Corriveau, Horizon Saint-Augustin, sera le seul parti à briguer la mairie.

politique », souligne-t-il. C’est d’ailleurs le cas du colistier Conrad Verret qui se présente justement avec M. Lemelin dans le district CapRouge-Laurentien. Ce dernier a été conseiller municipal à la Ville de Québec de 2005 à 2009 et de 1997 à 2001. Pour sa part, M. Verret voit Démocratie Québec d’un très bon œil son rôle de colistier. « Cette – David Lemelin/ mesure permet de garder les bons joueurs Conrad Verret Ce parti est le seul à utiliser en politique municipale. Selon moi, David le système du colistier adopté par l’adminis- (Lemelin) en est excellent », insiste-t-il. tration Labeaume en 2009. Question de bien comprendre le fonctionnement du colistier : Équipe Labeaume si David Lemelin est élu à la mairie et que – Laurent Proulx Conrad Verret est élu dans le district CapLaurent Proulx est une figure Rouge-Laurentien, les deux gardent leur poste connue de la population puisque respectif. Toutefois, si David Lemelin perd la ce dernier a été le porte-parole et membre mairie, mais que M. Verret est élu dans le dis- du comité exécutif du Mouvement des étutrict 12, M. Lemelin prend automatiquement la diants socialement responsable du Québec place de M. Verret et devient ainsi le conseiller lors du conflit étudiant en 2012. Présentemunicipal de Cap-Rouge-Laurentien. ment étudiant au baccalauréat en droit à D’entrée de jeu, le chef de Démocra- l’Université Laval et résident de Cap-Rouge, tie Québec et ancien journaliste, David il souhaite insuffler de la jeunesse dans la Lemelin, insiste pour dire que le choix campagne et dit ne pas souhaiter se lancer de Cap-Rouge-Laurentien n’en est pas un dans une guerre d’attaques personnelles. stratégique. « J’ai délibérément choisi de me « Si je me suis lancé dans cette campagne, présenter avec le colistier Conrad Verret c’est tout d’abord parce que je crois fondadans ce district puisque je connais bien le mentalement à la démocratie. Je crois aussi secteur, ses enjeux ainsi que les préoccu- qu’il est important que des jeunes de mon pations des citoyens. Cap-Rouge, c’est un âge soient représentés à la mairie parce morceau historique majeur de la Ville de que je considère que nous avons notre mot Québec, c’est une pierre précieuse», men- à dire dans les enjeux qui se décideront à tionne celui qui souhaite mener une cam- l’Hôtel de Ville. Je crois en la justice entre pagne dynamique, positive et sans coups en les générations », mentionne le candidat bas de la ceinture. S’il est élu comme maire qui avoue qu’il aura de grandes chaussures de la Ville ou comme conseiller, le candidat à chausser advenant le cas qu’il soit élu. et auteur du livre Labeaume, la dictature « La conseillère municipale actuelle, soit amicale promet un style de gestion en mode Denise Tremblay-Blanchette, est très appréécoute et ouverture envers les citoyens. ciée des citoyens. Ces derniers ont beaucoup Conscient que la course n’est pas gagnée confiance en elle. Elle m’a d’ailleurs donné tant au niveau du district que de la mairie, son appui et m’a assuré qu’elle m’aiderait à M. Lemelin signale que son parti est formé préparer la transition si j’étais élu. Je m’engage de gens qualifiés et très terre-à-terre. « Nous à terminer les dossiers qu’elle a commencés », sommes très réalistes. Je ne suis pas assis indique le candidat. « C’est vraiment une avec un club de rêveurs, mais avec des gens femme extraordinaire », renchérit-il. qui sont très lucides, cohérents et qui sont Questionné sur les enjeux qui toupassionnés par leur ville. Parmi eux, plu- chent le secteur de Cap-Rouge, M. Proulx sieurs possèdent beaucoup d’expérience en répond que pour lui les phases 3-4 du Parc

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Les candidats

David Lemelin tentera de faire élire son colistier Conrad Verret.

Laurent Proulx souhaite miser sur la jeunesse et la nouveauté.

L’indépendant Jean Guilbault misera sur l’expérience dans sa campagne.

diviser le vote. Par contre, j’ai bien confiance au jugement des citoyens. Dans un premier temps, ils me connaissent bien. J’ai de l’expérience. Je ne suis pas un étudiant. En ce qui concerne M. Verret et M. Lemelin, ce sont des gens que je respecte, mais la population ne connait pas M. Lemelin. Ensuite, je suis très empathique envers les citoyens. Peu importe les circonstances, je les ai toujours aidés », mentionne M. Guilbault.

Même s’il se présente comme indépendant, M. Guilbault rassure les citoyens du disJean Guilbault trict : selon lui il aura autant de poids que les – indépendant Le conseiller municipal indé- autres conseillers dans la balance lorsque ce pendant Jean Guilbault se lance sera le temps de défendre les décisions et les lui aussi dans la course des prochaines enjeux en lien avec Cap-Rouge-Laurentien. élections municipales. Pour cette dernière, « Pour moi, mon parti ce sont les citoyens. il misera sur l’expérience. « J’habite dans En plus, je suis libre de pouvoir dire ce que le district depuis 33 ans. Je connais bien le j’ai à dire puisque je n’ai pas de ligne de parti Je peux 14:47 donc exprimer librement secteur etMarchandGiguère_AnnonceÉchoCap-Rouge.pdf ses problématiques », souligne-t-il. à suivre.

1 2013-07-29 « C’est sûr qu’à trois dans la campagne, ça va ma pensée et dire la vérité telle qu’on la voit.

nautique sont une priorité de même que d’assurer un soutien aux organismes du milieu. « Je crois que ma jeunesse est un atout puisqu’elle me permettra d’apporter des idées nouvelles. J’ai les mêmes points de vue que M. Labeaume. La politique m’a toujours intéressé, mais je souhaitais me joindre à une équipe avec laquelle je partagerais la même vision. C’est le cas avec l’équipe Labeaume », conclut le candidat.

Le maire Corriveau sera de la course pour les prochaines élections.

Pour moi, la Ville doit être au service de la population et non l’inverse », mentionne-t-il.

Lorsqu’on lui demande pourquoi vouloir retravailler avec M. Labeaume après les évènements qui sont survenus au cours des dernières années, M. Guilbaut dit avoir eu la piqure. « J’aime m’occuper des citoyens et d’être capable de dire certaines vérités.

D’ailleurs, je suis rigoureux, je me tiens en forme parce que pour moi c’est important d’être en santé afin de bien représenter les citoyens. Comme j’aime le dire : je suis peut-être âgé, mais je ne suis pas vieux. »

Horizon Saint-Augustin Marcel Corriveau Pour l’instant, tout porte à croire que du côté de Saint-Augustin-de-Desmaures, l’équipe du maire Marcel Corriveau, Horizon Saint-Augustin, sera seule à briguer

Deuxième paire

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la mairie de la Ville puisque pour le moment, aucune autre équipe n’est inscrite au registre du directeur général des élections du Québec.

Questionné sur les raisons l’ayant poussé à vouloir un nouveau mandat, le maire Corriveau avoue qu’au départ, il aurait souhaité passer le flambeau à un autre membre de son équipe. « Avant d’accepter, j’ai demandé aux gens de mon équipe si quelqu’un souhaitait prendre le relai. Ils m’ont tous dit qu’ils n’étaient pas encore prêts. C’est entre autres pour cette raison que j’ai décidé de me représenter, d’autant plus que plusieurs d’entre eux m’ont mentionné qu’obtenir un nouveau mandat me permettrait de recueillir le fruit de mon travail. Je me suis donc laissé convaincre » laisse tomber M. Corriveau tout en mentionnant que ce sera à la population de juger s’il est toujours l’homme de la situation.

Pour M. Corriveau, l’obtention d’un nouveau mandat lui permettra de finir des dossiers qui lui tiennent à cœur, soit les travaux d’agrandissement dans le parc industriel, le complexe sportif, la quote-part de l’agglomération et le développement domiciliaire. « J’aime faire de la politique et faire avancer des dossiers qui amélioreront la qualité de vie des citoyens. C’est beaucoup plus qu’un passe-temps, c’est une passion. Je n’ai pas la prétention de dire que je fais l’unanimité », indique l’avocat de formation, faisant ainsi allusion aux accusations de l’ex-directeur des travaux publics de la Ville, Jean-Claude Desroches, de présumées irrégularités. « Ce que j’ai à offrir aux citoyens de SaintAugustin-de-Desmaures, c’est de la stabilité et de l’expérience. Je souhaite compléter ce que j’ai commencé au cours des dernières années pour les citoyens. J’aime ma Ville et pour moi, il me reste encore des dossiers à régler. »

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Jeune personnalité Retour triomphal pour le cycliste de Cap-Rouge

David Veilleux, source d’inspiration Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

C’est un David Veilleux visiblement fatigué, mais heureux qui s’est présenté devant les médias le 23 juillet dernier pour un point de presse. Fraichement revenue de France, l’heure était déjà au bilan pour le jeune cycliste carougeois. fier puisqu’il l’a fait sans transgresser ses valeurs. « Je voulais me rendre au bout de ces trois semaines en donnant le meilleur de moi-même et j’ai réussi à le faire tout en respectant mes valeurs. Et c’est ce qui me rend fier », a mentionné l’athlète de CapRouge en faisant ainsi référence aux propos controversés du champion cycliste déchu, Lance Armstrong, qui de France qu’il était impossible de gagner avait affirmé la veille du départ du Tour cette épreuve sportive sans dopage.

D’ailleurs, David Veilleux a mentionné en riant n’avoir presque perdu aucun poids durant sa participation à l’évènement sportif. Il faut dire que le Groupe Fleury Michon, qui était partenaire nutrition de l’équipe Europcar, veillait au grain afin de s’assurer que l’apport calorique des cyclistes était optimal pour traverser cette épreuve physique. Évidemment, le Tour de France n’est vraiment pas le genre de course à laquelle on se prépare du jour au lendemain. « Ça se prépare en plusieurs années. Mes 15 ans de sacrifices sont récompensés. J’ai dû m’entrainer en Europe, je me suis éloigné de SAVEUR - FRAîCHEUR - VARIÉTÉ ma famille et de mes proches, mais maintenant je vois mes efforts récompensés.

Rien n’est impossible quand l’on croit en ses objectifs », a mentionné le jeune athlète dont tout le parcours de vie a été teinté de cette fameuse phrase : tout est possible.

Avant même de parler de son expérience, le jeune homme a tenu à remercier les gens qui avaient pris la peine de lui envoyer des messages d’encouragements. « Ces messages m’ont fait du bien à lire, surtout quand c’était plus difficile », a-t-il laissé tomber humblement.

Une fois cela dit, le Carougeois est tombé dans le vif du sujet : son expérience au 100e Tour de France. Ce dernier a d’ailleurs été très impressionné par l’ampleur de l’évènement. « C’est vraiment une course unique !

Il y a des spectateurs tout au long du trajet qui sont là pour nous encourager. C’est vraiment impressionnant», a-t-il mentionné.

Très heureux des résultats qu’il a obtenus, David Veilleux s’est dit d’autant plus

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David Veilleux était heureux d’être de retour au bercail après avoir réalisé son rêve.

Motiver les gens à croire en leurs rêves les plus fous D’ailleurs, motiver par son incroyable expérience au Tour de France et fier par l’atteinte de son rêve qu’il qualifie de plus fou, le jeune homme de 25 ans souhaite désormais inspirer et motiver le plus de gens possible dans l’atteinte de leurs objectifs, si hauts soient-ils. «Pour moi, le Tour de France était avant tout un objectif personnel. Il n’y avait pas d’idole pour me montrer le chemin. Je serais content si je pouvais motiver les gens à entreprendre un objectif. Tout est possible avec de la persévérance et de la discipline », a mentionné celui qui, au début de sa carrière, s’entrainait avec un maillot jaune commandé sur Internet par son père.

Questionné sur ses projets à venir en cyclisme, David Veilleux a répondu vouloir laisser retomber la poussière, passer du temps en famille et se concentrer sur les derniers préparatifs de son mariage qui aura lieu à la fin du mois d’aout.

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so-cho.com Le journal L’Écho de Cap-Rouge

est publié et édité par Les Éditions Prime inc.

940, boulevard du Lac,

Québec (Québec)

G2M 0C9

Publicité : Brigitte Landry 418-580-2744 Information : Carole Roy 418 580-0537

ÉDITEUR : Alain Têtu DIRECTEUR GÉNÉRAL :

Dominic Simard

DIRECTRICE DE L’INFORMATION :

Carole Roy

DIRECTEUR PRODUCTION ET CRÉATION : Éric Monette

COORDONATRICE aux opérations et SERVICE CLIENTÈLE :

Annik Gauthier

JOURNALISTES : Carole Roy et

Marie-France Simard

COLLABORATEURS : André Juneau, Nicole St-Hilaire, Jocelyne Vien, Andréanne Martin, Martine Hudon, Conseil de bassin de la rivière du Cap-Rouge et Clinique physiothérapie pédiatrique

PRODUCTION GRAPHIQUE :

Éric Monette

IMPRESSION : Transcontinental TIRAGE : 13 550 exemplaires DÉPÔT LÉGAL : Bibliothèque nationale du Québec

*Veuillez noter que pour être publiée, l’opinion du lecteur doit être signée.

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PErsonnalité du mois Notre personnalité « rentrée »

Pierre Robitaille : bien plus qu’un chauffeur d’autobus Par Marie-France Simard m f @ l eseditionsprime.ca

Il y a 32 ans, Pierre Robitaille débutait sa carrière comme chauffeur d’autobus. Aujourd’hui encore, il est animé par la même passion et la même rigueur, c’est-à-dire, de reconduire de façon sécuritaire tous les enfants qui embarquent dans son autobus. Comme chaque année, il est conscient que la première semaine du retour en classe en est une bien remplie. « Les débuts d’année sont toujours de grosses périodes », mentionne le sympathique homme. « Durant cette semaine, il y a plusieurs ajustements au niveau des parcours. On doit entre autres s’assurer que les jeunes embarquent du bon côté de la route pour éviter qu’ils traversent la rue, surtout dans des endroits passants. Également, il y les petits qui entrent à la maternelle. Souvent, ils pleurent, ils ne veulent pas embarquer dans l’autobus ou encore les parents les prennent en photos, ce qui provoque un retard dans notre horaire », mentionne M. Robitaille en souriant.

Malgré ces petits éléments, M. Robitaille aime beaucoup son travail. « En tant que chauffeur d’autobus, j’ai la chance de voir les jeunes grandir. Souvent, je les conduis de la maternelle au secondaire cinq. Je peux donc les voir changer à travers les années. Je dois l’avouer : ça me fait de la peine quand j’en vois un qui tourne mal. Heureusement, ça n’arrive pas trop

souvent », mentionne avec beaucoup de sincérité ce père de famille. « Ce qui me touche aussi, c’est lorsque je transporte les enfants de certains jeunes que j’ai vus grandir ou que certains, maintenant devenus adultes, viennent me serrer la main chaleureusement en me disant qu’ils se rappellent bien de moi », renchérit-il.

Des règles à suivre Transporter soirs et matins entre 35 et 40 jeunes n’est pas toujours de tout repos.

C’est pourquoi dès la rentrée, M. Robitaille établit des règles strictes dans son autobus. « Habituellement, ceux en 5e et 6e année ont la priorité pour les places en arrière.

Les petits qui entrent à la maternelle s’assoient en avant. Lorsqu’il y a une chicane, je les sépare et les fautifs doivent faire leur temps, c’est-à-dire, s’asseoir en avant pendant un petit bout de temps. Mais je dois dire qu’en général, je m’entends très bien avec les jeunes. Habituellement, je leur

Dr Simon Gauthier & Dre Marie-Ève Lamoureux

propose de choisir une place qu’ils conserveront une bonne partie de l’année. Évidemment, les jeunes choisissent une place avec un ami. Il faut dire que les jeunes à problèmes dans l’autobus le sont aussi généralement à l’école. L’important, c’est de toujours avoir la même ligne de conduite.»

Selon M. Robitaille, en plus d’aimer conduire, certaines qualités humaines sont requises pour effectuer ce travail. Pierre Robitaille est un chauffeur d’autobus passionné par « Ça prend une bonne dose de son travail. patience, posséder une bonne écoute, avoir une bonne capacité d’adapta- enfants. « Personne ne veut être derrière tion, car on doit être capable de s’adapter un autobus scolaire donc plusieurs autoaux changements d’itinéraires et au groupe mobilistes manquent de courtoisie à notre égard et parfois au détriment de la sécurité que nous avons et être ponctuel. » M. Robitaille souligne également l’im- des enfants », mentionne-t-il tout en insisportance de la collaboration des autres tant sur le fait que le transport scolaire est automobilistes pour assurer la sécurité des très sécuritaire.

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Une grande âme s’est éteinte

Dernier salut au Père Boulé Par Marie-France Simard et Carole Roy

mf@leseditionsprime.ca et carole@lechodecaprouge.ca

« J’ai terminé mon secondaire en 1988. Le père Boulé a été pour moi une personne très significative dans ma vie, puisque c’est lui qui a célébré mon mariage et qui a baptisé mon premier enfant. Après mon secondaire, je suis toujours demeurée en contact avec lui », raconte Mme Côté.

« Durant mon secondaire, je me rappelle combien il était impliqué auprès des élèves et de l’établissement. C’était un homme rigoureux, discipliné et qui nous disait qu’avec du travail, il était possible de réali- Le père Jean-Marc Boulé faisant son ultime body surfing avec ses chers étudiants. ser nos rêves. C’était une personne extrêmement humaine. Lors de ses funérailles, une lui rendre un vibrant hommage. J’étais alors jeune étudiante de secondaire 4 est venue en compagnie d’autres personnes qui ont

« Quand j’ai constaté que ça y était, j’ai vite dégainé mon appareil afin d’immortaliser le cliché; je savais que ça ne durerait que quelques secondes. Après coup, en regardant la photo, qui n’est pas de la meilleure qualité malheureu­sement, je n’ai pu m’empêcher d’y voir un symbole, celui du père Boulé porté par ses étudiants qu’il aimait tant vers le ciel en direction de la lumière... » - Bryan Hamilton

DÉCOUVRE TES FORCES.

fini sensiblement dans les mêmes années que moi. Lorsqu’on écoutait la jeune fille, nous étions très touchés : elle exprimait ce que nous avions nous-mêmes vécu plusieurs années auparavant avec le père Boulé.»

Présentement bien impliquée au sein du conseil d’administration de la Fondation du Séminaire Saint-François, Mme Côté relate ses derniers moments auprès de lui. « Je l’ai vu au mois d’avril et il m’apparaissait encore bien. Mais avec la force de caractère qu’il avait, il pouvait très bien rien laisser paraitre. J’ai appris son décès lorsque j’étais à l’extérieur du pays. Ça m’a attristée. D’ailleurs, mon plus vieux, qui souhaite lui aussi aller dans cet établissement scolaire lorsqu’il ira au secondaire, a pleuré lorsqu’il a appris qu’il nous avait quittés. Il était triste à l’idée de ne pas pouvoir le côtoyer durant ses années au secondaire », mentionne celle qui demeure convaincue que malgré cette énorme perte la mission du père Boulé continuera à vivre dans l’établissement scolaire.

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Une image qui vaut mille mots Lors du récent bal de graduation au printemps dernier, le père Boulé n’a pas failli à la tradition de faire du body surf avec ses étudiants. L’un des parents présents, Bryan Hamilton, père de Matthew, finissant de cette cohorte, se tenait tout près de l’assemblée afin de croquer sur le vif ce moment intense. Le père Boulé était au SSF ce qu’Albus Dumbledore était à l’école de Poudlard », conclut M. Hamilton.

Bryan Hamilton

Des milliers de personnes ont été attristées d’apprendre le décès du père Jean-Marc Boulé, directeur général du Séminaire Saint-François, le 15 juillet dernier. Figure de proue du sport étudiant, ce dernier a succombé à un cancer de la prostate à l’âge de 73 ans.

Ce sont d’ailleurs près de 1 500 personnes qui se sont rendues sur les terrains de l’établissement scolaire pour lui rendre un dernier hommage. Dans la foulée de cet évènement, une ancienne élève qui est désormais membre du conseil d’administration de la Fondation du Séminaire Saint-François, Pascale Côté, a accepté de partager ses souvenirs en lien avec cet homme que plus d’un qualifie d’exceptionnel.

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La dentiste Geneviève Lafrance, passionnée de son métier Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

Depuis un peu plus d’un an, les clients de chez Tran et associé, chirurgiens-dentistes, côtoient un nouveau visage au sein de l’équipe; il s’agit de Geneviève Lafrance, diplômée de la faculté de médecine dentaire de l’Université Laval. La jeune femme, originaire de Rivière-du-Loup, est en train de se frayer une belle place au sein de la clinique grâce à ses nombreuses qualités professionnelles et personnelles. dont la sensibilité et l’écoute des patients figurent parmi ses grandes qualités.

Fraichement diplômée, elle est également au parfum de toutes les nouvelles techniques et tendances dans son domaine d’expertise. « Comme tout autre domaine, la dentisterie évolue. Quelques pratiques ont changé, entre autres l’utilisation de matériel à la fine pointe de la technologie. De plus, j’ai un grand désir d’éduquer les patients afin de les sensibiliser à l’importance d’une saine santé dentaire », mentionne-t-elle.

Courtoisie

Ayant toujours voulu œuvrer dans le domaine de la santé, c’est vers la dentisterie que la femme de 24 ans s’est tournée. « Je suis tombée en amour avec la pratique », se rappelle-t-elle. « Quand on est dentiste, nous n’avons pas le choix de faire preuve de minutie et d’habileté. C’est un métier passionnant qui touche la santé, qui me permet d’être en contact avec le public et de le servir », explique Mme Lafrance.

C’est grâce à un joyeux concours de circonstances que la jeune femme a été engagée par Dre Tran moins d’un mois après l’obtention de son diplôme. « J’avais le gout de travailler dans une clinique dans laquelle ma personnalité cadrerait bien, je me suis donc mise à faire des recherches en ce sens. J’avais eu d’excellents commentaires sur la clinique de la Dre Tran. Je suis donc venue y porter ma candidature.

Au même moment, elle était en période de recrutement. J’ai passé une entrevue et j’ai par la suite eu la chance d’intégrer l’équipe », se remémore Mme Lafrance,

Des conseillers judicieux pour les parents D’ailleurs, elle suggère même aux parents de venir rencontrer un dentiste avec leur bébé dès l’âge de six mois. « Souvent, cette première rencontre en est une destinée à répondre aux questions des parents notamment sur l’utilisation de la suce. C’est aussi une belle façon pour l’enfant de se familiariser avec les dentistes », insiste-t-elle.

Diplômée depuis un an, Dre Lafrance est reconnue pour sa grande écoute. Également, elle indique que parfois la période de brossage de dents des enfants devient un moment durant lequel les parents doivent user d’astuce pour que le tout se déroule convenablement. « Je dis souvent aux parents de mettre une minuterie ou de mettre une chanson

ou encore d’utiliser une brosse à dents électrique dans laquelle une minuterie est intégrée pour rendre ce moment le plus ludique possible. Peu importe l’âge, l’important est de bien intégrer le brossage de dents à la routine quotidienne », conclut-elle.

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Programmation familiale pour le 100 e

Les festivités pour le centenaire du Tracel sont prêtes Par Marie-France Simard m f @ l e s e d i t i o n s p r i m e. ca

La Société historique du Cap-Rouge (SHCR) propose une programmation diversifiée pour souligner en grandes pompes le 100e du Tracel. L’évènement se tiendra dans le Vieux Cap-Rouge, soit exactement sur le même site que l’évènement Découvr’Arts, les 7 et 8 septembre. l’échelle G. Le réalisme et la beauté des ses modèles réduits épateront grands et petits. Être le maitre à bord du pilotage et des manœuvres d’un système miniature complet n’aura jamais été aussi impressionnant.

Vous verrez rouler et entendre les trains dans leur ensemble dans les opérations ferroviaires concrètes, le tout dans un paysage

Courtoisie

« L’objectif de cette fin de semaine est notamment de souligner l’importance de ce monument unique dans le paysage carougeois, mais également de relater l’histoire ferroviaire au Québec. Comme la tragédie de Lac-Mégantic fait désormais partie de cette histoire et que c’est également un sujet d’actualité, les organisateurs ont jugé bon de faire venir un kiosque de la CroixRouge au gymnase de l’école MargueriteD’Youville afin de recueillir des dons pour les sinistrés. Également, un représentant de la compagnie du Canadian National sera sur place afin de répondre aux différentes questions de la population », explique le chargé de projet de la Société historique du Cap-Rouge, François Bouchard.

Outre ces deux kiosques, la population pourra admirer le Réseau G de trains miniatures. « Guy Paré de Beauport est connu pour son réseau ferroviaire miniature à

Les visiteurs pourront entre autres voir des modèles réduits de trains.

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descendants des travailleurs du Tracel.

C’est notre façon à nous de leur rendre hommage. Jusqu’à maintenant, environ 400 personnes devraient être présentes.», explique M. Bouchard.

Il sera de plus possible pour les jeunes et les moins jeunes d’avoir la chance de faire un tour de train miniature sur la plage Jacques-CarLe Canadian National répondra aux questions de la population. tier. D’ailleurs, la harmonieux et complexe », explique Linda programmation a été pensée pour toute la Even, présidente du Centenaire du Tracel. famille, c’est pourquoi il y aura de l’anima«Également, les étudiants en architec- tion familiale avec des clowns, des specture de l’Université Laval profiteront de tacles pour enfants, un pique-nique avec cette fenêtre pour présenter le fruit des un gros gâteau à l’effigie du Tracel, mais nombreuses participations au concours également un spectacle de la chanteuse une 2e vie au Tracel. Ces étudiants ont Chantal Blanchais, qui sera suivi de feux imaginé ce que serait ce site historique d’artifices. Le dimanche aura lieu le défilé national de génie civil après la fermeture de la fanfare des Alouettes de Québec, qui éventuelle du Tracel et des services fer- se tiendra à la plage Jacques-Cartier, dans roviaires. Plusieurs idées très novatrices, une ambiance 1913. Toutefois, le point astucieuses et surtout audacieuses ont été culminant de l’évènement aura lieu le dimanche soir, alors que la chanson thème proposées », renchérit M. Bouchard. de l’évènement sera dévoilée : Un cochon de Cocktail retrouvailles, balade sable au Tracel de Cap-Rouge. La chanson, écrite et composée par André Déry, fils en train et dévoilement de Jean Déry, fondateur de la SHCR, a été de la chanson thème Parmi les nombreuses activités propo- enregistrée par le duo Cyr & Lavoie. À noter sées, un cocktail retrouvailles aura lieu le qu’en cas de pluie les spectacles auront lieu samedi sous invitation seulement. « L’ob- à l’église Saint-Félix de Cap-Rouge ou sous jectif de cette activité est de réunir les le chapiteau rue Provancher.

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ans

PARTENAIRE MAJEUR

DES CÉLÉBRATIONS DU CENTENAIRE DU TRACEL

PARTENAIRE MAJEUR DE

Le

racel de Cap-Rouge 1913-2013

100ans d’histoires

418 651-5487 1111, boul. de la Chaudière

UNE FORCE COLLECTIVE !

Fière de contribuer au mieux-être économique et social de ses membres et de sa collectivité.

caissedecaprouge.com facebook.com/caissedecaprouge

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Éditorial

Privatisation ou abandon André Juneau

Le désir de privatiser certains services municipaux n’est pas né d’hier. Dans la plupart des cas, c’est l’objectif de réduire les coûts qui inspire cette décision. Parfois, la privatisation est dictée par la recherche d’une expertise spécifique ou encore parce que le volume de travaux à exécuter ne justifie pas les investissements requis pour leur réalisation.

Dans la grande ville de Québec, la privatisation de certains services semble dictée essentiellement par le désir d’économiser, puisque sa dimension justifie l’investissement requis pour procéder à ces travaux en régie dans la majorité des cas.

C’est ainsi qu’on vise à privatiser le secteur de l’horticulture qui dans son sens le plus large comprend l’entretien général des parcs et espaces verts. Une observation

sommaire des parcs de Cap-Rouge nous amène à nous demander si l’abandon de l’entretien des parcs n’est pas un prélude à la privatisation.

En effet, la situation dans certains parcs est désastreuse. Par exemple, les Carougeois ont eu honte lorsqu’ils ont amené leurs visiteurs de Chauray dans le parc qui leur est dédié. Le gazon ressemble davantage à un champ en friche, les sentiers sont envahis de

mauvaises herbes, les rosiers bien camouflés par la croissance incontrôlée des essences nuisibles et la plaque commémorative témoignent du manque régulier d’entretien.

Permettez-moi de passer rapidement sur notre célèbre boulevard de la Chaudière. Vous constaterez que rien n’a bougé sauf la croissance des essences indésirables et des arbres dans le fossé qui se dirigent surement vers l’âge de l’exploitation.

Si cet exemple n’est pas satisfaisant,

prenez un cliché de la végétation hétéroclite croissant sur le mur extérieur du garage municipal boulevard de la Chaudière (encore) et surtout, immortalisez le rond de fleurs face à l’entrée du centre communautaire. Jusqu’à la mi-juillet, c’était la plus belle réussite de culture d’herbe à poux. Mais l’administration, soucieuse de notre santé, a enlevé toute cette végétation allergène pour ne laisser qu’un beau rond de terre dénudée.

La privatisation n’est pas mauvaise en

«Par exemple, les Carougeois ont eu honte lorsqu’ils ont amené leurs visiteurs de Chauray dans le parc qui leur est dédié.» soi, mais pour évaluer l’économie réalisée il faut comparer des niveaux égaux de services. À la lumière des exemples qui précèdent pourra-t-on vraiment parler d’économie ?

L’arrondissement a-t-il décidé volontairement de réduire l’entretien des parcs et espaces verts ? L’administration centrale a-telle déjà donné des contrats très limités pour justifier une réduction de couts ? Autrement dit, est-ce que nous sauverions vraiment si nous exigions des entrepreneurs la même qualité de travail que celle du travail en régie dans l’ancienne Ville de Cap-Rouge ?

Compte tenu de la réduction des effectifs préconisés par le maire, peut-être manque-t-on carrément de personnel pour superviser l’exécution du travail déjà confié au privé qui profite allègrement de la situation ?

Cependant, il ne faut pas exclure que ce laxisme dans l’entretien des parcs a peutêtre une autre origine. On connait l’intérêt presque maladif du maire pour le dossier de l’amphithéâtre et son désir de réduire les couts en horticulture. Ne sommes-nous pas en train d’abandonner carrément l’entretien du réseau des parcs de proximité au profit dudit édifice ?

Souvenons-nous de ses craintes en regard des retards anticipés pour la construction de ce denier.

A-t-il manifesté la plus petite inquiétude pour les résidents de l’ouest du territoire qui doivent composer depuis trois ans avec la fermeture de l’accès à Duplessis sur Charest, avec la réduction des voies de circulation sur ce même boulevard et avec la démolition du viaduc du boulevard de la Chaudière ? Et si le conflit dans la construction avait prolongé d’un an le calvaire de la circulation pour ces résidents de l’ouest ?

Alors, imaginez son intérêt pour les parcs et espaces verts si loin de l’amphithéâtre. Pourtant un parc, particulièrement un parc de proximité, c’est celui que l’on utilise, que l’on fréquente parfois quotidiennement, c’est l’image de la ville. Rappelons-nous la promesse du maire lors de la présentation du dernier budget : « Écoutez bien, les gens savent qu’on ne coupera pas dans les services. Ils nous connaissent, ils nous font confiance là-dessus ». Abandonner l’entretien des parcs de proximité n’est-il pas contraire à cet engagement ?

Privatisation ou abandon, un pari risqué à la veille d’une élection ?

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les échos de l’écho Carole Roy c a r o l e @ l e c h o d e c aprouge.ca

La Lunetterie Européenne Toujours la même adresse pour votre Lunetterie au 3695 de l’Hêtrière, mais petit ajout à l’enseigne…

Européenne ! En effet, le vaste choix de montures provenant d’Europe est un signe de distinction cher à la propriétaire Véronique Matteau.

Pour une touche originale ou classique, les produits de la Lunetterie européenne se démarquent. Lors de votre arrêt à cette enseigne de prestige, profitez-en pour féliciter Mme Matteau, elle vient tout juste de donner naissance à un joli garçon.

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(es) entrepreneurs (es)

esse de services on 2013 des Coopératives jeun lancement officiel de la sais de Sainte-Foy/Sillery, Cap-Rouge et au er sist d’as sir plai le eu es J’ai roupent entre autres les jeun entreprise. Cette de l’ouest de Québec, qui reg L’organisme assiste nos jeunes au démarrage de leur e. s. sair ure iver ma ann Des de25e n célèbre son Saint-Augustinjet d’éducation à la coopératio année, ce plus important pro

Merci Père Boulé pour l’ensemble de votre œuvre !

Les Loriots, c’est reparti !

Vous aimez chanter et vous avez une voix juste ? Le groupe vocal Les Loriots de CapRouge est à la recherche de sopranos et de basses, mais peut aussi accueillir d’autres membres. L’année musicale repose sur deux temps forts : le concert de Noël en début décembre et le concert annuel à la fin mai. Les activités reprennent le mercredi 4 septembre à 19 h 30 au Centre communautaire de Cap-Rouge. Aux répétitions hebdomadaires du mercredi soir s’ajoutent une pratique un dimanche par mois et une fin de semaine intensive en novembre pour peaufiner le concert de Noël. Renseignements et informations : Michel Bouchard, président, 418-654-1039. Visitez aussi le www.lesloriots.ca .

Septembre se pointant, le club FADOQ la Moisson d’Or de St-Augustin reprend ses activités. À vos agendas !

4 septembre : épluchette de blé d’Inde et assemblée mensuelle. 13 h 30 à l’érablière Marois, 4537, Notre-Dame. Le coût est de 3$.

10 septembre* : début cours de danse à 8 h 45, avec Mme Lisette Germain : coût 6 $ par cours. début des jeux du mardi à 13 h 30 à l’Hôtel de Ville.

11 septembre *: début mise en forme à 13 h 30. Cout : 1$ par personne 13 septembre : début cours de Tai Chi & Qi Gong Centre Delphis-Marois. 35 $ la session.

19 septembre : début de l’atelier : la gymnastique de la mémoire. 9 h 30 ou 13 h 30 à la Maison Omer-Juneau

Un jeune cadet de Cap-Rouge se distingue au camp des cadets de Valcartier Un peu plus tôt cet été, le cadet et Carougeois Dominic Bacon, du Corps de cadets 2772 Valcartier, a été nommé meilleur cadet de son peloton, lors de la parade de graduation du Cours d’instruction générale au camp des cadets de Valcartier. Jugé sur son dynamisme, sa motivation, ses résultats, son comportement, sa tenue exemplaire et son efficacité en général, le cadet de 14 ans a été aussi remarqué pour son attitude et son respect envers les autres. Sur la photo, Dominic Bacon recevant un cadeau souvenir de la part de Steven Blaney, ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile.

*Activités à l’Hôtel de Ville Info auprès de Louisette Petitclerc : 418 878-2310 ou Monique Janelle : 418-874-1098.

Lieutenant Catherine Dallaire

Le Club FADOQ la Moisson d’Or

Du rêve d’enfant, à la réalité brunet C’est toujours dans le même élan de générosité que s’est déroulée la troisième édition de la Tournée provinciale Brunet/Rêves d’enfants destinée à promouvoir les inscriptions pour l’outil MASANTÉ. Pour chacune des inscriptions, 1 $ était remis à la Fondation Rêves d’enfants. Ainsi, c’est un montant de 14 821,09 $ qui a été récolté pour permettre à la petite Abigaëlle âgée de 5 ans, qui souffre d’une insuffisance cardiaque avec atteinte hépatique, de réaliser son rêve d’aller voir les « vraies » princesses à Disney avec sa maman Natacha, son papa Danny et son petit frère Ludovick.

« Je tiens à offrir mes plus sinc à sa famille et à tous les gen ères condoléances s de le côtoyer. Ce fut un hom qui ont eu le privilège me extraordinaire qui a donné sa vie au monde de l’éducation et plus particulièrement au Séminai re Saint-François.

J’étais heureux en janvier der nier de lui remettre la médaille de l’Assemblée nat participé de façon exceptionn ionale pour avoir elle au développement de notre jeunesse. Pèr e Boulé merci ! »

Nouveau produit de revêtement à Saint-Augustin

Au Parc industriel de Saint-Augustin-deDesmaures, j’ai eu le plaisir de visiter, en compagnie de M. Michel Gaudreau, président et chef de direction, la compagnie Novik qui se spécialise dans le revêtement extérieur en polymère. M. Gaudreau était fier de me présenter son nouveau produit NovistoneMCDS-Pierres sans joints, un revêtement mural au design de pierres empilées de forme allongée et sans mortier. Bonne continuation !

Bonne fin de vacances !

Amusez-vous et soyez prudent.

s la ntenaire dan Une autre ce on de Louis-Hébert... re de circonscripti souligner le 100e anniversaipRouge

Ca x de J’étais heureu adame Yvette Dessence de nationale . ée M bl de e em ss nc sa l’A is de na nt un certificat Madame en lui remetta r et de santé à eu nh bo de ux vœ s ur lle Mei Dessence !!

Vous pouvez toujours compter sur moi !

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Les plans généraux d’urgence au cas par cas

En cas de catastrophe ferroviaire sur le Tracel Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

Rejoint à cet effet par le Journal, le mentionné que des plans généraux exis- les conditions réelles. « La Ville ne porte-parole de la Ville, Jacques Perron, a taient et que ces derniers sont adaptés selon possède pas de plan spécifique pour le tracel de Cap-Rouge puisque plusieurs scénarios peuvent s’y produire. Le personnel est donc formé advenant le cas qu’une catastrophe survienne. Le commandant sur les lieux effectuerait l’intervention selon les processus déjà établis et adapterait son intervention aux conditions réelles », mentionne M. Perron.

Toutefois, M. Perron souligne que les règles du Canadien National sont très strictes. « Il y a très peu de produits pétroliers qui circulent sur le tracel. Le CN a des règles très claires. Si elles sont respectées, il n’y a pas de raison qu’une catastrophe arrive », explique-t-il.

LE CN DIT AVOIR UN PLAN D’URGENCE POUR TOUTES SES STRUCTURES

Selon le CN, le tracel est inspecté au minimum une fois De son côté, le CN abonde dans par année. le même sens que la Ville de Québec et confirme que des règles sont mises produits forestiers, des métaux et minéen place afin d’éviter qu’une catastrophe se raux, des produits céréaliers et engrais, produise notamment en ce qui concerne la des pétroliers chimiques, du charbon et limite de vitesse qui est fixée à de 16 km/h. des biens de consommation. D’ailleurs, M. En ce qui concerne les mesures d’ur- Paquin a souligné que les services d’urgence de l’entreprise, le directeur aux gence des différentes municipalités de leur Communications d’entreprise, Louis- réseau ferroviaire pouvaient avoir accès à Antoine Paquin, a mentionné : « que nos une liste des différentes matières qui cirmesures d’urgence en général au CN sont culent sur leur territoire.

Questionné à savoir si le tracel était établies afin de pouvoir répondre aux exigences à la totalité de notre réseau partout inspecté régulièrement, M.Paquin a menen Amérique du Nord. Elles sont adaptées tionné qu’il l’avait été le 21 novembre aux différentes structures que nous avons 2012. La conclusion de l’inspection était qu’il était en bonnes conditions et en sur notre réseau, incluant le tracel. » Sur l’ensemble de son réseau, le CN mesure de supporter le trafic ferroviaire transporte différent groupe de produits, qui circule. « Comme tous les ponts et des dont 10 % sont catégorisés matières dan- structures du CN, il est inspecté au minigereuses. Les autres catégories sont des mum une fois par année. »

Simon Bastarache

Les services d’urgence de la ville de Québec n’ont pas de plan spécifique d’intervention advenant le cas qu’une catastrophe comme celle qui s’est produite à Lac-Mégantic, dans la nuit du 5 au 6 juillet, survenait sur le tracel de Cap-Rouge.

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Pierre Joosten

HUmanité Réflexion sur Lac-Mégantic

L’impact d’un décès sur les employés Par Martine Hudon C o n s u l t a n t e e n r e s s o u r c e s humaines m a r t i n e l h u d o n @ v ideotron.ca

Hier encore, ils échangeaient sur leurs rêves et leurs projets. Daniel, Michel, Hélène. Nous passons tous beaucoup de temps avec les collègues de travail, souvent plus qu’avec nos propres familles. Savez-vous quel est l’impact d’un décès sur vos employés qui restent ?

Que faire comme propriétaire ou gestionnaire d’entreprise ? Y accorder une grande importance. Le décès inattendu d’un collègue de travail peut provoquer de multiples réactions chez ceux qui restent.

Ce n’est pas étonnant qu’il soit parfois très difficile à accepter, surtout dans le cas d’un évènement soudain et tragique tel que nous venons de le constater au Lac-Mégantic.

Quelquefois, annoncer la nouvelle est superflu, tous en parlent Il m’est difficile de vous parler de ce sujet sans faire référence à l’évènement tragique du Lac-Mégantic. Naturellement, aucun mot ne saurait être à la hauteur dans ces circonstances. Par contre, les mesures prises par la direction d’une entreprise peuvent déterminer la façon dont les employés se remettront rapidement ou seront-ils plutôt submergés de chagrin et désengagés au travail. Vous devez tenir compte de l’onde de choc provoquée dans votre entreprise.

Dans tous les cas, si vos employés étaient étroitement liés à la personne décédée, une attention spéciale sera requise. Il est donc conseillé de planifier une rencontre particulière avec chacun et d’identifier leurs besoins en termes de ressources.

Faire appel à des experts

aux employés de votre entreprise.

Selon la nature du décès, par exemple comme dans cette tragédie ferroviaire, il est important de considérer l’impact majeur qu’aura à court et moyen terme la perte de ces collègues si chers. Comme chef d’entreprise, vous devez observer les baisses de rendement chez vos employés qui ne parviennent pas à composer avec le décès et les encourager à consulter une aide professionnelle. L’idée d’embaucher un conseiller en deuil durant une ou deux journées, selon le nombre de personnes qui connaissent le défunt, est un investissement humain à long terme. Qui plus est, le cout des services d’un professionnel quelques heures par semaine est de beaucoup moindre qu’une baisse de rendement à long terme.

Vous devez, en tant que chef d’entreprise, recommander aux employés de consulter un Le rôle des gestionnaires dans psychologue, un professionnel de la santé ou le retour au travail normal un groupe de soutien et de lire l’information Les professionnels de la gestion sur le deuil fourni par le Programme d’aide devraient reconnaitre les différences

entre un évènement triste et un évènement traumatisant, qui nécessite une attention particulière. Bien sûr, si un collègue décède accidentellement, le chagrin éprouvé sera de nature plus traumatisante qu’un collègue qui décède dans son sommeil.

Retourner au travail et retrouver une routine peut aider certaines personnes.

Il est important de savoir que plus les employés s’absentent longtemps, moins ils sont susceptibles de retourner au travail.

Quelles que soient les circonstances, un décès soudain représente des défis inattendus pour tous les gestionnaires ou propriétaires d’entreprises. La façon la plus appropriée de procéder lors de circonstances inattendues est différente selon l’entreprise et sa culture, mais ce n’est pas une tâche facile pour personne.

Tout doit être considéré pour la mémoire de l’employé, sa famille et ses collègues, afin de s’assurer que tout le monde soit traité avec respect et dignité.

Faites-vous confiance et suivez votre instinct, c’est le plus sage conseil.

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Association de Jumelage de Cap-Rouge – St-Augustin

Visite de nos jumeaux européens Par Carole Roy

carole@lechodecaprouge.ca

amis allemands, dont la guide AutrichienneQuébécoise Gretl Kedl, nous sommes parvenus à communiquer suffisamment avec nos visiteurs germanophones, pour leur assurer un séjour agréable et instructif, ce qui leur donnera sans doute le gout de revenir nous voir, dans les prochaines années », précise-t-il.

monde a visité l’Assemblée nationale, la Relève de la Garde à la Citadelle, sans oublier une rapide tournée de l’île d’Orléans, ainsi qu’une mémorable excursion sur la Côte-Nord jusqu’à la centrale Manic-5 et à l’Archipel-de-Mingan. Arrêt chez les Innus, puis au Manoir Richelieu et dans les boutiques d’art de Baie-St-Paul, copieux repas de fruits de mer. Tout pour laisser aux Une aventure riche voyageurs des souvenirs impérissables. en découvertes Tous auront apprécié le cocktail de Outre les habituelles visites de CapRouge et du Vieux-Québec, tout ce beau bienvenue à l’Atelier du peintre Gérard

Courtoisie

C’est du 25 juin au 10 juillet que l’Association de Jumelage de Cap-Rouge — StAugustin accueillait chez nous ses cousins européens, un jumelage renouvelé à saveur de découverte. « Avec l’accueil dans nos familles de 19 de nos « jumeaux» français de Chauray, en France, accompagnés de 16 de leurs propres amis allemands de Schöffengrund et Langewiesen, nous avons dû relever des défis inédits », nous apprend M. André Martin, membre de l’association. « Mais grâce notamment à la précieuse collaboration de quelques

Boulanger, la conférence sur le Centenaire du Tracel de Cap-Rouge, les activités libres avec les familles-hôtes, les réceptions privées et BBQ en bordure du St-Laurent. Le souper d’au revoir avec échange de cadeaux et petits discours des Maires et Officiers des quatre Associations de jumelage a donné lieu à de merveilleux échanges. « Au terme de 15 jours d’activités variées et d’amusants échanges sur nos « parlures» et coutumes respectives, chacun est reparti chez soi, en se promettant bien de recommencer bientôt les visites commentées et le bon « cousinage», en Europe cette fois… », a conclu M. Martin.

Courtoisie

Nous en avions déjà fait mention en ces pages, l’Association de Jumelage Cap-Rouge — St-Augustin se préparait à recevoir cet été une délégation de la région de Chauray, notre ville jumelle. Les cousins sont venus, accompagnés de leurs jumeaux allemands, ont visité, bien apprécié. Ils ont quitté, mais avec promesse de nous revisiter.

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Première colonie française d’Amérique

visitez le site archéologique Cartier-Roberval Par Carole Roy

carole@lechodecaprouge.ca

Pendant tout le mois de l’archéologie, foulez le sol du site archéologique Cartier-Roberval et découvrez les traces exceptionnelles laissées par la première colonie française d’Amérique. Jusqu’ au 2 septembre, du jeudi au dimanche entre 10 h et 15 h 30, la Commission de la capitale nationale du Québec, en collaboration avec les Musées de la civilisation et de l’Amérique francophone, offre des visites guidées gratuites de cet emplacement unique situé au 4079, chemin Saint-Louis à Québec, sur le promontoire du cap Rouge.

Laissez les guides-archéologues professionnels vous faire découvrir l’épopée méconnue de centaines d’hommes et de femmes qui ont fait battre le cœur de la France de ce côté-ci de l’Atlantique, entre 1541 et 1543. La passionnante découverte d’une page inédite de notre histoire qui a fait vieillir le Québec

Le

de plus de 65 ans ! Ces visites guidées de 45 minutes lèvent le voile sur de nombreux vestiges archéologiques découverts pendant les fouilles menées sur place de 2007 à 2010.

Compte tenu de l’extrême fragilité des vestiges archéologiques, les visites sont annulées en cas de pluie. Puisque le site est aménagé sommairement, il n’est malheureusement pas accessible aux personnes à mobilité réduite. Aucune réservation n’est nécessaire. Pour information, visitez le site Internet ccnq.org.

Exposition La colonie retrouvée Les visites du site archéologique s’inscrivent en marge de l’exposition La colonie retrouvée présentée au Musée de l’Amérique francophone. Cette exposition met en valeur les recherches effectuées au site archéologique Cartier- programme : récits sonores, créations vidéo scénographie multimédia et une centaine Roberval et les artefacts mis au jour. Au uniques, première représentation du fort, d’objets du 16e siècle.

racel de Cap-Rouge 1913-2013

100ans d’histoires

©CCNQ, Véronique Demers

Dans le cadre de l’exposition La colonie retrouvée, profitez de cette occasion unique de visiter le site archéologique Cartier-Roberval.

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Notre rivière : Faites-en votre fierté !

ILOTS DE CHALEUR ET QUALITÉ DE L’EAU, Deux sujets étroitement liés

Avez-vous remarqué que dans nos villes, pendant l’été, il fait parfois très chaud, même la nuit ? Cette sensation intense, typique du climat urbain, a été mise en évidence la première fois au début du XIXe siècle par le pharmacien Luke Howard dans son ouvrage « Le climat de Londres ». Il y souligne une différence de 3,7 °C entre les températures nocturnes du centre de Londres et de sa campagne.

Aujourd’hui, au Québec, on peut constater des écarts de température atteignant jusqu’à 12 °C Plus on se rapproche du centre-ville, plus les immeubles sont denses et hauts et plus la température grimpe. On appelle ces zones des « ilots de chaleur urbain » (ICU).

Les facteurs aggravants L’ i n t e n s i t é de l’ICU dépend tout d’abord du moment de la journée. Comme Howard l’avait déjà remarqué, l’ICU est surtout apparent la nuit lors des minimas de températures.

Cela est directement dû à l’urbanisation, car la chaleur urbaine provient du bâti et du sol, qui restituent pendant la nuit l’énergie emmagasinée dans la journée. Le béton des villes et la densité du bâti sont des éléments fondamentaux dans la formation des ilots de chaleur.

L’eau et la végétation constituent les meilleurs agents de rafraichissement du climat : par évaporation et évapotranspiration, elles rafraichissent l’air dans la journée. L’eau est d’autant plus efficace quand elle est emmagasinée par les sols d’où elle s’évapore progressivement. En ville, toutefois, l’eau ruisselle tellement rapidement vers les rivières à cause de l’imperméabilité du sol qu’elle n’a pas le temps de s’infiltrer pour s’évaporer lentement par la suite. Son rôle est donc réduit.

L’ICU dépend également des vents. Un vent fort favorise la circulation de l’air et empêche la chaleur de s’accumuler près du sol. À l’inverse, un vent faible entraine la stagnation des masses d’air qui ont alors le temps d’accumuler l’énergie du soleil à la surface du bâti urbain.

«Le béton des villes et la densité du bâti sont des éléments fondamentaux dans la formation des ilots de chaleur.»

L’ilot de chaleur urbain et la rivière Les ilots de chaleur sont donc

Saviez que… n les

journées d’orage sont de 20 à 30 % plus fréquentes en ville (Duchêne-Marullaz, 1980) ?

n la gestion individuelle des eaux de pluie améliore l’évaporation qui entraîne un rafraîchissement de l’air ?

à l’origine de transformations de l’atmosphère locale et responsables de certains phénomènes météorologiques. Ils modifient le régime des pluies en faisant diminuer les perturbations en hiver lorsque le temps est stable. Toutefois, lorsque le

temps est instable en été, l’ICU influence fortement les phénomènes violents comme les fortes averses et les orages, provoquant une augmentation de l’intensité des précipitations qui favorise l’érosion des berges et le lessivage des sols et de leurs polluants.

Les choses à faire et ne pas faire L’accumulation de chaleur est due au bâti et à la modification de la surface des sols. En effet, le bâti, selon son albédo (indice de réfléchissement d’une surface), peut absorber ou réfléchir l’énergie solaire. Ce sont donc les surfaces couvertes de végétation et les matériaux de couleurs claires qui sont nos meilleurs atouts, soit celles qui absorbent le moins la chaleur et qui reflètent la lumière du soleil. À contrario, les couleurs foncées et les masses thermiques, comme l’asphalte noir, sont à proscrire. Favoriser la rétention et l’infiltration de l’eau de pluie sur sa propriété permettra aussi de diminuer l’ICU.

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Santé

La posture assise chez l’enfant Par l’ergothérapeute et les physiothérapeutes d e l a C l i n i q u e d e p hy s i o t h é ra p i e pédiatrique

L’importance de la posture assise lors des activités de table (ex. écriture, coloriage, découpage) est souvent négligée. Cependant, une mauvaise posture peut avoir un impact sur la réalisation de ces activités, nuire à la motricité fine, être à l’origine d’inconforts et avoir un impact sur la concentration.

Pour avoir une bonne posture assise, l’enfant doit avoir développé un bon contrôle postural, soit un tonus et une force musculaire adéquats au niveau des muscles du tronc et des articulations proximales (épaules, omoplates et hanches). Si le tronc et les grandes articulations sont stables, l’enfant pourra dissocier plus facilement les mouvements entre son poignet, sa main et ses doigts : l’efficacité et la précision des gestes fins s’en trouvent décuplées. Un bon contrôle postural permet de plus à l’enfant d’avoir une meilleure endurance dans le maintien de la position assise. Ceci lui permet d’éviter d’adopter des postures compensatoires pour supporter le geste fin et de modifier sa posture constamment en raison de la fatigue. Il est donc plus concentré sur sa tâche et sur les consignes. Finalement, une mauvaise posture assise peut entrainer

un déficit postural ainsi que des douleurs au dos, au cou ou des maux de tête.

Pour bien positionner votre enfant lors des activités de table, assurez vous que : n La hauteur de la chaise soit calculée à l’aide de la distance entre l’arrière du genou et la base du pied en position assise. n Les pieds soient à plat au sol ou sur une tablette et les chevilles à 90°. n Les genoux soient à minimum 90° et en ligne avec les hanches. n Que le rebord du siège ne soit pas appuyé derrière les genoux (dégagement de trois doigts) lorsque votre enfant est assis contre le dossier. n Les hanches soient à minimum 90°. L’angle tronc-cuisse recommandé varie de 115° à 135°. Un petit coussin fixe peut être placé sur le siège afin d’éviter le glissement vers l’avant.

n Le dos et les fesses soient bien appuyés au fond de la chaise, n La hauteur de la table soit d’environ 5 à 7 cm au-dessus du pli du coude, lorsque le bras de votre enfant est situé le long de son corps et qu’elle soit suffisante pour que les avant-bras soient supportés lors des activités papier-crayon. n Le plan de travail peut être incliné de 10° à 15°, afin de diminuer la flexion du tronc et du cou qui, de façon prolongée, peut causer des douleurs. n Un coussin peut être placé entre le bas

du dos de l’enfant et le dossier afin d’offrir un support au dos tout en raccourcissant la profondeur de l’assise. n Si votre enfant vous semble avoir une posture inadéquate, qu’il une faible tolérance en position assise ou qu’il se plaint d’inconfort, n’hésitez pas à consulter un ergothérapeute ou un physiothérapeute : ils pourront par le biais de conseils et d’exercices favoriser une meilleure posture chez votre enfant.

Pour consulter nos références, allez sur le site Internet www.physioenfant.com

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NUTRITION

S.O.S boite à Lunch Andréanne Martin, Dt.P. N u t r i t i o n n i s t e e n c h e f c h e z N utriSimple e t a u x C l i n i q u e s m é d i c a les Lacroix C o n f ér e n c i è r e p o u r o ra t e u r. c a - n u t r i simple.com

Monotonie, routine, absence d’originalité, corvée… tant de mots qui sont souvent utilisés par les familles pour décrire les boites à lunch des jeunes pendant la période des camps de jour ou voyant la rentrée scolaire arriver à grands pas. Et si je vous donnais quelques trucs et astuces ?

C’est souvent le manque d’idées ou le manque de variété à cause des contraintes et du temps restreint accordé à la confection des lunchs que l’on déplore. Nous souhaitons offrir à l’enfant un menu original qui lui procurera une bonne dose d’énergie pour suivre ses camarades dans les activités organisées ou tout simplement pour être concentré à la tâche qui lui est attribuée.

Parlons d’abord énergie !

L’enfant est en pleine croissance et dépense beaucoup d’énergie dans une journée. Il lui faut donc des aliments qui permettront une synthèse adéquate de ses nouveaux tissus (augmentation de la masse musculaire, croissance des os, synthèse des hormones, synthèse d’anticorps pour faire face aux rhumes saisonniers). On parle alors de protéines. On retrouve ces protéines dans les viandes, volailles, poissons, fruits de mer, œufs, légumineuses ainsi que dans les produits laitiers et substituts.

Les glucides (sucres), énergie principale du cerveau et des muscles lors d’une activité physique prolongée, doivent accompagner les protéines dans la boîte à lunch. Le défi est ici de choisir des glucides (sucres) contenant des fibres, autrement dit, des glucides de qualité. On en retrouve dans les produits céréaliers de grains entiers, dans les légumineuses, les fruits et dans les légumes.

En dernier lieu, afin d’assurer une santé optimale et de prévenir à long terme tout risque de maladies chroniques, il faut ajouter à la boîte à lunch des aliments colorés soient des fruits et des légumes. On retrouvera ainsi une quantité de fibres impressionnantes qui aideront à étirer l’énergie du sucre consommé dans la journée.

Le modèle de l’assiette santé développée par Harmonie Santé peut être une bonne référence pour s’assurer qu’on a tout ce qu’il faut dans la boîte à lunch. Suffit maintenant d’avoir une hygiène adéquate du sac utilisé et des « ice-packs » pour maintenir le tout au frais afin d’éviter le développement de bactéries nuisibles.

Quelques trucs et astuces !

Le sandwich réinventé :

Choix du pain : Idéalement, choisir un pain de grains entiers et alterner entre le pain tranché, le wrap, le pain Kaiser, le pain sous-marin, le ciabatta, etc.

Choix de la protéine : Limiter les charcuteries ou choisir les moins salées à base de nitrites naturels. Autrement, opter pour une garniture au poulet, aux œufs, au saumon, au thon, à l’hummus, aux crevettes, etc.

Choix de la garniture : Plutôt que d’utiliser une mayonnaise conventionnelle, sortir des sentiers battus et essayer une purée d’avocat, de l’hummus, une mayonnaise faite à base de yogourt nature Grec, du fromage à la crème, du fromage de chèvre, etc.

Les salades : Choix de la base : Il y a une multitude de possibilités à explorer. On peut opter pour une simple laitue-mesclun, des épinards, de la roquette ou y aller pour des pâtes de grains entiers, du couscous, du quinoa, des pommes de terre, de l’orzo, du riz, de l’orge, etc.

Choix de la protéine : Il est possible de conjuguer plus d’une sorte de protéines ou n’en mettre qu’une seule parmi ces suggestions : légumineuses, poulet, fruits de mer, rosbif en tranche, porc, fèves édamames, fromage ferme, noix et graines, poisson, etc.

Choix des accompagnements : On ajoute à cela une belle quantité de légumes coupés en juliennes ou en dés, râpés, de formes diverses et on y ajoute une bonne vinaigrette maison.

C’est quoi le dessert ?

Les fruits, les produits laitiers ou substituts et les desserts maison sont très tendance dans la boîte à lunch et peuvent également servir de collation si l’enfant n’a plus nécessairement faim après le plat principal.

Qu’est-ce qu’on boit ?

Idéalement, la boisson hydratante par excellence devrait être l’eau. Vient ensuite le lait ou la boisson végétale qui hydrate et contient par le fait même du calcium et de la vitamine D, deux éléments essentiels à une croissance optimale. Le jus doit être consommé en quantité modérée et doit porter la mention « Jus à 100 % pur » pour être considéré comme un aliment sans sucre ajouté. On essaie de limiter le plus possible les boissons sucrées et boissons gazeuses qui n’apportent aucun élément nutritif à l’enfant.

Mise en application Menu A : 1 sandwich aux œufs (2 tr pain brun, 2 œufs, 1,5 c. à soupe de ricotta léger, 1c. à thé de moutarde de Dijon, 1 pincée de fines herbes) + minicarotte + tranches de concombre+ 1 pomme + 1 berlingot de lait + 1 barre tendre contenant 2 g et plus de fibres (facultatif) Menu B : Fusillis au thon et légumes (Pâtes de grains entiers, 1 conserve de thon, légumes variés, tomates séchées, olives noires rincées et égouttées, jus d’un demi-citron pressé, 1c. à soupe d’huile d’olive, ciboulette au goût) + 1 berlingot de lait + 1 salade de fruits Menu C : Salade de quinoa aux fraises et épinards + 1 yogourt + 1 poire + 1 muffin maison (facultatif)

Références recettes nutrisimple.com soscuisine.com n metro.ca/art-de-vivre/boite-lunchenfer/101ideeslunch.fr.html n n

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PORTES OUVERTES ET SOIRÉES D’INFORMATION

ÉCOLE SECONDAIRE DE ROCHEBELLE PORTES OUVERTES DIMANCHE 6 OCTOBRE, DE 13 H À 16 H 1095, avenue de Rochebelle, Québec SOIRÉE D’INFORMATION La soirée d’information sur le Programme d’éducation internationale et la concentration Langues et monde aura lieu le mercredi 9 octobre, à 19 h 30 à la salle Simone-MonetChartrand au Pavillon Jacques-Rousseau, 1095, rue de Rochebelle, entrée numéro 5.

TESTS D’ADMISSION Les examens d’admission pour le Programme d’éducation internationale auront lieu les 19 et 20 octobre. Le coût de ces examens est de 60 $.

Pour plus d’information, téléphonez au 418 652-2167, poste 2551, madame Chantal Gagnon.

COLLÈGE DES COMPAGNONS

ÉCOLE DES PIONNIERS

PORTES OUVERTES DIMANCHE 6 OCTOBRE, DE 13 H À 16 H 3643, avenue des Compagnons, Québec

PORTES OUVERTES MERCREDI 16 OCTOBRE, DE 17 H 30 À 20 H 30 130, rue Jean-Juneau, Saint-Augustin-de-Desmaures

SOIRÉE D’INFORMATION La soirée d’information pour les parents des élèves de 6e année pour le programme PROTIC aura lieu le mardi 8 octobre, à 19 h 30, à l’auditorium du Collège.

TESTS D’ADMISSION Les tests d’admission pour le Programme PROTIC auront lieu les 19 et 26 octobre, de 8 h 30 à 11 h 30 et de 13 h à 16 h. Le coût de ces examens est de 50 $. La date limite d’inscription est le 15 octobre.

Pour inscrire votre enfant au tests : www.proticmonchoix.net

SOIRÉE D’INFORMATION La soirée d’information sur les programmes offerts au pavillon Laure-Gaudreault aura lieu le lundi 4 novembre, à 19 h 30.

Pour plus d’information, veuillez téléphoner au 418 878-4551, poste 6714, madame Isabelle Gingras, conseillère d’orientation.

ÉCOLE SECONDAIRE POLYVALENTE DE L’ANCIENNE-LORETTE PORTES OUVERTES DIMANCHE 27 OCTOBRE, DE 10 H À 13 H 1801, rue Notre-Dame, L’Ancienne-Lorette SOIRÉE D’INFORMATION La soirée d’information sur tous les programmes aura lieu le mardi 29 octobre, à 19 h 30, à la cafétéria de l’école.

TESTS D’ADMISSION Les examens d’admission pour le Programme d’éducation internationale auront lieu les samedis 2 et 9 novembre, de 8 h 30 à 14 h.

Le coût de ces examens est de 60 $.

Pour plus d’information, téléphonez au 418 872-9836, poste 5200, madame Linda Grégoire.

100-945, avenue Wolfe Québec (Québec) G1V 4E2 418 652-2121 desdecouvreurs.ca

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Organisation de A à Z «P» comme dans planifier.

pour mieux vivre une rénovation Par Jocelyne Vien Z o n e a t l a n t i s, l ’ o rg a n i s a t i o n de A @ zen w w w. z o n e - a t l a n t i s . c o m v i e n j o c e l y n e @ v i deotron.ca

Août-septembre-octobre… les belles journées ensoleillées sont encore au rendez-vous, mais déjà on pense à la rentrée, les activités sportives, les confitures et les ketchups à cuisiner, tout pour le grand retour au cocooning. On veut se doter d’un beau confort dans notre château fort pour compenser les pieds carrés supplémentaires que nous offrait l’été. Voilà l’élément déclencheur qui nous propulse vers des travaux majeurs. La cuisine, la salle de bain, un foyer à intégrer, etc. Je ne vous présenterai pas une chronique sur l’art de la rénovation, mais quelques petits trucs avant d’entreprendre le chantier et avant même d’aller magasiner. revisiter nos priorités. Alors, on se fait de l’espace en mettant de côté pour un certain temps ces objets qui ne sont pas de notre quotidien. Pour le nécessaire au quotidien, on peut choisir l’option des paniers.

Un pour chaque membre de la famille qui devra au gré des jours, faire sa toilette aux

face gommée et rugueuse. C’est la raison pour laquelle, je pense qu’un bon coup de lavette avant les travaux, nous ramène au point zéro.

Un entretien quotidien après le passage des ouvriers nous rapproche plus rapidement du but visé. Ça nous permet de suivre de près alentours. On fait comme si on était en l’évolution et l’exécution des travaux. La pousvoyage ou en camping. sière de rénovation, c’est comme la neige, personne n’attend la fin de l’hiver pour la pelleter. À ne pas oublier, on souhaite effectuer Ménage avant et durant des avants et après efficaces, mais ça ne les travaux se réalisera pas en 30 minutes comme à la De la poussière sur une surface propre et lisse se nettoie bien mieux que sur une sur- télé… vaut mieux bien planifier la réalité.

© 2013 Porsche Cars Canada, Ltd. Porsche recommande le port de la ceinture de sécurité et le respect du code de la route en tout temps.

L’inspiration Peu importe la pièce à entreprendre, je vous propose de faire le tour du proprio. Prenons exemple de la salle de bain. Plutôt que de passer en magasin et acheter les accessoires qui finaliseront votre projet, contentezvous de sélectionner un élément qui vous inspire pour votre nouvelle décoration. Cet élément pourra vous suivre durant vos travaux et donner une piste aux stylistes qui vous conseilleront : un pot, une serviette, un bibelot ou même une photo. Faites un repérage des tendances déco et revenez dans vos affaires.

L’inventaire En faisant le tour de vos armoires, vous pourrez facilement sélectionner ce qui fait partie de ce nouveau décor et aussi, éliminer ce qui ne fait déjà plus partie de cette nouvelle vie. On peut ainsi mettre de côté, les débarbouillettes et serviettes délabrées, revisiter les accessoires de toilette, jeter ce qui est périmé, désuet, moins propre. Je propose d’éviter de vouloir faire des guenilles avec les vieilles débarbouillettes, il y en a en boutique à peu de frais, propres, sans trous et même agencées aux décors.

La mise en boites & en paniers Avant de commencer toute démolition, prenez soin de mettre en boite ce que vous savez que vous n’aurez pas à utiliser pendant les travaux, pour certaines ce sera le bain de pieds de René, la bouillotte de Charlotte ou les six ou vingt-six bouteilles de vernis à Sophie. Une autre occasion de

Exaucez un de vos rêves.

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Voyage Nouveautés sud 2013-2014

À vos valises, prêts, partez Nicole St-Hil aire Voyages Nicole St- H ilaire / nicole@voyagesnsh.com

Les étés se suivent, mais ne se ressemblent pas ! Heureusement… À l’aube de l’automne, voici déjà que nos grossistes nous offrent des produits exclusifs qui plairont à tous.

VACANCES TRANSAT/NOLITOURS Avec plus de vingt vols au départ de Québec au plus fort de la saison, on ajoute cette année Samana en République Dominicaine, petit paradis tropical encore presque vierge.

On poursuit le développement des produits exclusifs que sont les « Duos » et « Escapades ». En duo, on jumelle deux voyages en un. Passez vos premiers jours à vous faire dorloter sur la plage et enchainez avec un séjour dans une ville aux mille richesses.

Cette année, on ajoute Cancun-Merida au Mexique ainsi que Puerto Plata-Samana aux duos existants, alors qu’en « Escapades », on vous offre encore plus de produits qui vous amèneront pendant deux jours au cœur de la culture locale du pays visité. C’est la façon idéale de joindre l’agréable… à l’agréable !

Chez Vacances Transat, on apprécie particulièrement les collections Distinction et Grand Luxe avec leurs privilèges, parmi lesquels les transferts directs de l’aéroport à l’hôtel et plusieurs réservations garanties aux restaurants à la carte alors que les produits de la collection Famille ont tout pensé pour les tout-petits en incluant entre autres, des complexes hôteliers plus près des aéroports et en réduisant le temps d’enregistrement.

TOURS MONT-ROYAL Du côté de ce dynamique grossiste, on n’a reculé devant rien pour créer des produits adaptés à tous les gouts !

En réservant et payant votre voyage 60 jours et plus avant votre départ, vous bénéficierez du produit « Compagnon » sur certains hôtels sélectionnés. Parmi les privilèges qui vous sont offerts, on insiste

sur la protection annulation avant départ.

Jusqu’à 10 jours avant le départ, vous aurez la possibilité d’annuler votre voyage pour n’importe quelle raison. Un crédit-voyage vous sera remis selon certaines conditions.

Vous pourrez également commencer vos vacances plus tôt, puisqu’on vous offre un transfert direct à votre hôtel.

Tchin tchin : des hôtels animés, des rencontres amicales aisées et certaines excursions réservées aux adultes seulement.

Jet Set : catégories de chambres les plus haut de gamme, plupart en front de mer en y incluant plusieurs privilèges, dont les transferts privés à l’hôtel ainsi qu’une excursion gratuite.

SUNWING/SIGNATURE Avec des produits exclusifs et des promotions de garantie de prix (à certaines conditions), on arrive cette année avec plusieurs nouveautés, dont plusieurs nouveaux hôtels.

Blue Diamond, filiale du groupe Sunwing, ouvrira plusieurs nouveaux complexes dont le majestueux Royalton White Sand en Jamaïque et le Royalton Splash Punta Cana offrant l’accès au plus grand parc aquatique des Caraïbes situé à même le complexe.

La grande nouveauté demeure certainement la collection SPLASH offrant des forfaits très intéressants comprenant trois accès par séjour dans des parcs aquatiques sélectionnés. Si le parc n’est pas à même le complexe, les transferts sont coordonnés sur place.

La collection SMILErevient cette année, un incontournable pour les familles. Des avantages où les enfants sont rois : réductions de prix pour les enfants et pour les ados et privilèges pour la famille.

En fin de compte, il ne manquera que vous sous le soleil !

Bonne rentrée !

Courtoisie

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La Havane

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BUDGET INTELLIGENT

TROIS ÉTAPES FACILES Quand l’argent se fait rare, la meilleure habitude pour assurer votre santé financière, consiste à faire un budget. Vous contrôlerez ainsi vos dépenses en fonction de vos revenus et atteindrez vos objectifs.

FAIRE UNE LISTE DES DÉPENSES ET DES REVENUS La première étape dans l’élaboration d’un budget consiste à calculer votre revenu (mensuel ou annuel) et à déterminer où va cet argent.

RECENSER VOS REVENUS Les revenus sont souvent plus simples à calculer que les dépenses. Sur votre bulletin de paie, retenez le salaire net (après impôts et autres déductions). Si vous touchez d’autres sommes, issues par exemple de placements ou d’une allocation, comptabilisez-les également dans les revenus.

CLASSER VOS DÉPENSES Pour commencer, prenez toutes les factures des 30 derniers jours. Au besoin, vous pouvez utiliser l’outil Mon budget sur votre compte Accès D. Vous disposez d’un historique composé des transactions enregistrées depuis la mise en ligne de l’outil, en juin 2012.

Classez-les selon une catégorie et une contrainte de paiement. Vous pourrez ainsi visualiser rapidement vos dépenses (p. ex. : habitation, alimentation, assurances, télécommunication, transport, loisirs, voyages, etc.). Les contraintes de paiement permettent une gestion optimale des dépenses : • Dépenses fixes reviennent régulièrement.

Elles ont un caractère obligatoire, du fait de la loi (impôts, assurances, etc.) ou d’engagements contractuels (loyer, électricité, remboursements d’emprunt, télécommunication, voiture, etc.).

Lina Poitras

• Dépenses courantes sont quotidiennes et comprennent l’alimentation, l’hygiène quotidienne, le transport, etc. Elles ne sont pas obligatoires, mais elles sont tout de même indispensables. Il est possible d’économiser un peu en les réduisant.

• Dépenses occasionnelles sont irrégulières et variables. Il s'agit de dépenses liées à l'habillement, aux loisirs, aux vacances, à l'aménagement de la maison... Si vous devez faire des ajustements à votre budget, commencez par réduire ce type de dépenses.

ÉTABLIR UN BUDGET PRÉVISIONNEL Comparez vos revenus et vos dépenses. Si vos dépenses sont supérieures à vos revenus, vous vivez au-dessus de vos moyens et devez réduire votre train de vie. L’outil Mon budget sera votre allié lors de votre planification.

Il vous permettra de suivre l’évolution de vos revenus et de vos dépenses.

GÉRER VOTRE BUDGET MENSUEL Respecter un budget demande des efforts et de la persévérance. Avec le temps, vous développerez de bonnes habitudes de consommation et d’épargne. Il deviendra plus facile de respecter vos objectifs et de réaliser vos projets à court et à long terme.

Pour des conseils judicieux, rencontrez l’un des conseillers de la Caisse. Les 25 premières personnes à prendre un rendez-vous recevront l’outil Budget Expre$$ Desjardins

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Cap Femina : direction aventure et aide humanitaire Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

Fille de défis, Mme Labrie n’a pas hésité longtemps avant de plonger dans le projet que sa collègue, Caroline Sauriol, lui a proposé il y a plus d’un an. Il faut dire que la jeune femme de 34 ans a toujours été attirée par l’aventure, puisqu’avant de retourner sur les bancs d’école pour suivre un cours en soins infirmiers, elle était guide en tourisme d’aventures. « Avec ce projet, je souhaitais me donner un défi et me sortir de ma zone de confort. Caroline et moi sommes bien conscientes que chaque jour passé dans le désert sera rempli d’adrénaline. Il y aura des journées très chaudes. Comme ni l’une ni l’autre n’avons déjà conduit dans le désert, nous savons très bien qu’il y a des risques de rester pris dans le sable avec notre Jeep et de devoir pelleter. Ce qui sera certainement très différent de la neige… », mentionne la pétillante jeune femme qui agira à titre de copilote et qui sera, par le fait même, responsable d’orienter la pilote Caroline Sauriol dans le désert.

Heureusement, les deux jeunes femmes

reçoivent des formations, notamment pour la mécanique, en prévision du jour J. « Nous apprenons aussi comment changer les pneus en cas de crevaison. Heureusement, une fois sur place, nous aurons la chance de pouvoir compter sur des équipes médicales et mécaniques qui nous aideront en cas de problèmes », souligne Mme Labrie.

Outre le défi sportif que l’aventure représente, Mme Labrie a décidé de faire Cap-Femina aussi pour le côté humanitaire. « Nous allons consacrer une demijournée à repeindre une école située dans le sud du Maroc. L’objectif est d’offrir aux enfants un environnement pour qu’ils puissent apprendre dans de meilleures conditions », explique Mme Labrie.

Un autre défi : le financement Pour participer à l’aventure, chaque équipe doit débourser 17 000 $. Depuis un an et demi, les deux comparses ont fait preuve de beaucoup d’originalité pour arriver à leur objectif. « Nous avons mis beaucoup d’efforts en vendant entre autres

des savons bio, des fromages.

Nous avons ramassé des canettes pendant le festival western de Stoneham, participé à de nombreux marchés aux puces, donné des cours de spinning et de plongée sous-marine, organisé des ateliers d’initiation aux thés, donné les premiers soins aux blessés lors du Red Bull Crash Ice ainsi que le Vélirium, etc. Nommez-le…

On l’a fait ! La préparation d’un tel projet peut se comparer à un deuxième emploi à temps plein ! » s’exclame Mme Labrie.

Comme l’équipe doit encore amasser 3 000 $ pour atteindre son objectif, Mmes Labrie et Sauriol vendront entre autres des hot dogs au IGA des Sources Christina Labrie et Caroline Sauriol souhaitent inspirer le 30 aout, en plus de tenir un d’autres personnes à se lancer des défis et à se souper-bénéfice le 23 septembre surpasser. au restaurant La VOIE MALTÉE. Vous pouvez d’ailleurs vous procurer des du mois de septembre ou via ce lien : billets directement au restaurant au début facebook.com/events/1380414578851059.

Courtoisie

Du 3 au 12 octobre, Christina Labrie, une résidente de Cap-Rouge, et son amie Caroline Sauriol prendront part à la troisième édition de la compétition internationale Cap-Femina qui se déroulera au Maroc. Ce rallye d’orientation consiste à traverser en Jeep le désert du Sahara, en plus de venir en aide aux populations défavorisées dans le milieu.

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Nouveautés et incontournables à la maison des jeunes

Une programmation diversifiée à La Symbiose Par Marie-France Simard

Pour la nouvelle saison qui s’amène, l’équipe de la Maison des jeunes La Symbiose de Cap-Rouge proposera une programmation bien remplie. Au menu : plusieurs nouveautés, mais également le retour de certains incontournables qui feront certainement le bonheur de nombreux jeunes de notre territoire.

Tout d’abord, inutile de vous dire que les responsables de l’organisme se creusent les méninges chaque année pour garnir leur programmation de nouvelles activités afin de plaire à un maximum d’adolescents.

Le tout, toujours en lien avec la mission de l’organisme, soit d’améliorer la qualité de vie des 12-17 ans en leur offrant des activités de loisirs. « Comme nous avons un volet prévention qui est très important pour nous, nous organisons toujours des soirées destinées à ce volet sur des sujets qui touchent les jeunes. Comme cette activité connait beaucoup de succès, nous la répétons encore cette année. Au cours de l’année, les jeunes pourront donc venir assister à ces soirées de prévention qui se déroulent de façon très informelle puisque ce ne sont pas des conférences, mais bien des moments d’échange avec les intervenants invités durant lesquels les jeunes peuvent poser leurs questions. Bien souvent, nous commençons ces soirées avec un souper, suivi de la discussion avec la personne invitée. Cette année, les sujets de la toxicomanie, la démocratie, la sexualité et la gestion du temps seront entre autres abordés », mentionne Bruno Poirier, intervenant à la Maison Symbiose.

Outre les soirées prévention qui reviennent, le Camps FDS, qui s’adresse exclusivement aux jeunes de 10 à 12 ans, sera de retour ainsi que les Party Night et l’activité hivernale.

Plusieurs nouveautés Toutefois, de nombreuses activités qui étaient récurrentes depuis plusieurs années cèdent désormais la place à des nouvelles.

C’est notamment le cas du MEDJ Talent, qui après avoir roulé pendant cinq ans, sera remplacé par une toute nouvelle formule : celui d’un cabaret destiné aux jeunes âgés entre 12 et 17 ans. « L’objectif demeure le même que le MEDJ Talent Show », rassure M. Poirier. « Nous souhaitons toujours donner l’opportunité aux jeunes de s’exprimer sur scène. La grande différence, c’est que ce dernier s’adressera à un plus grand nombre de jeunes puisqu’il proposera plusieurs numéros de variétés, soit de musique, d’humour, de cirque, de magie, de danse, et j’en passe », explique M. Poirier.

D’autre part, pour mieux faire tomber les préjugés envers les personnes à mobilité réduite, les jeunes pourront pratiquer différents sports en fauteuil roulant avec les élèves de l’école Madeleine-Bergeron à raison de deux fois par mois, pour une période de quatre mois. L’expérience se terminera par des olympiades. « L’objectif est de sensibiliser nos jeunes aux person-

nes qui doivent vivre avec une déficience physique », explique le directeur de la Maison, Michel Boissel.

Toujours dans cette optique de sensibilisation, des soupers thématiques mettant

Courtoisie

m f @ l e s e d i t i o n s p r i m e. ca

Bruno Poirier et Michel Boissel posent fièrement sur le site où aura lieu le Beach party au début du mois de septembre. en vedette des jeunes immigrants de notre milieu auront lieu deux fois par mois. « Le but est que l’invité fasse découvrir sa culture et son pays d’origine », mentionne M. Boissel.

Enfin, les Défis « t’es pas game » vien-

dront se greffer à la programmation de l’organisme. Inspirés des émissions « Moment de vérité », les jeunes seront donc en compétition entre eux afin de relever des défis le plus rapidement possible.

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Les nouveautés de la rentrée

l’École d’arts visuels de Cap-Rouge Par Marie-France Simard m f @ l e s e d i t i o n s p r i m e. ca

pouvoir offrir un service très personnalisé. Également, il sera possible de suivre des formations de trois heures tant le jour que le soir », mentionne Mme Fiset.

En plus de pouvoir s’inscrire directement auprès de l’organisme, les personnes intéressées pourront le faire via Internet sur le site de la Ville puisque les cours offerts par le MAA sont désormais disponibles dans le programme des loisirs de la ville de Québec.

Dorénavant administrée par un nouveau conseil d’administration, cette nouvelle équipe se veut dynamique et à l’écoute des besoins de la population, comme l’explique la vice-présidente de l’organisme, Gertrude Fiset. « Il y a eu beaucoup de chambardements au cours des derniers mois », s’exclame la sympathique dame. « Le conseil d’administration a complètement changé.

Présentement, quatre personnes y siègent, dont trois retraités. Nous cherchons de nouveaux collaborateurs puisque deux postes sont encore à combler », renchérit Mme Fiset. « Comme on le sait, la Maison Blanchette a été vendue l’année dernière.

Elle était en déficit. Suite à cela, il y a eu beaucoup de changement. Le Mouvement d’Animation Artistique a éliminé la galerie ainsi que les ateliers d’artistes. Les camps et les cours ont survécu au déménagement au Centre communautaire de Cap-Rouge», souligne Mme Fiset.

D’ailleurs, les bénévoles engagés au sein de l’organisme l’ont fait pour l’amour de l’art. « Les gens impliqués sur le conseil connaissaient déjà le MAA. Nous savions qu’il était en danger. Nous l’avons donc repris en main dans le but de le faire avancer et de lui donner un second souffle. Évidemment, nous avions aussi le désir que les professeurs puissent poursuivre leur mission d’enseigner les arts », explique la nouvelle retraitée qui a elle-même enseigné les arts pendant 37 ans.

Plusieurs nouveautés et expositions à venir

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Dans cette optique de changement, plusieurs nouveautés ont été apportées à la programmation. « Nous offrons des cours et des ateliers donnés par des professeurs qui détiennent une formation artistique solide.

Chaque groupe sera constitué de cinq à dix personnes. De cette façon, nous allons

La ronde des prisonniers de François Desharnais sera l’une des œuvres présentées au mois de septembre.

Mme Fiset est enthousiasme devant les nombreux projets de l’École d’arts visuels de Cap-Rouge.

Autre nouveauté proposée par l’organisme : des expositions des œuvres des étudiants qui auront lieu dans un tout nouvel endroit : au Centre de la visitation.

De plus, les professeurs exposeront, euxaussi le fruit de leur travail. D’ailleurs, ce

Courtoisie

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Afin de perpétuer la mission de La Maison Blanchette, l’École d’arts visuels de Cap-Rouge, aussi connu sous l’appellation de Mouvement d’Animation Artistique (MAA), offrira à la population carougeoise de nombreuses activités en arts visuels, et ce tant aux enfants qu’aux adultes, qui débuteront cet automne dans les locaux du Centre communautaire de Cap-Rouge.

De même que ce tableau de Michèle Lefebvre. sera une des leurs qui lancera la nouvelle saison. « Du 12 au 15 septembre, une exposition mettant en vedette les créations des professeurs de l’École, dont François Desharnais, Noriko Imaï, Michèle Lefebvre, Andréanne Gaudrault, Anne-Marie Bourguignon et Hélène Bouliane, sera présenté à la Bibliothèque Roger-Lemelin », conclut Mme Fiset.

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Le Carnet des escaliers de Québec

Les escaliers de la Ville mis en dessin Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

Depuis le mois de juin, il est possible de découvrir les nombreux escaliers de la Ville de Québec à travers le regard et les dessins de dix artistes, dont quatre Carougeois, via le magnifique livre Le Carnet des escaliers de Québec. Grâce à cet ouvrage de qualité, parions que vous ne regarderez plus jamais l’escalier de la côte du Cap-Rouge avec le même œil… d’escaliers dans la Ville, mes élèves et moi pouvions donc être inspirés par différents points de vue offerts par ces derniers.

C’était aussi une belle façon de redécouvrir notre Ville », mentionne-t-elle.

Une idée qui fait du chemin Une fois l’idée acceptée, Mme St-Pierre a demandé parmi ses élèves lesquels seraient intéressés à se lancer dans ce beau projet. « Neuf d’entre eux ont répondu positivement.

Dans le cadre d’une rencontre, nous avons mis les noms de tous les escaliers de la Ville dans un grand chapeau et chacun des élèves pigeait au hasard ses escaliers », expliquet-elle. Une fois cette étape franchie, le vrai travail débutait puisque chacun des élèves devait remettre dix dessins des différents escaliers qui avaient pigé. Une fois cela fait, une présélection a eu lieu.

C’est donc deux ans plus tard que les artistes ont pu enfin voir le fruit de leur travail. « Lorsqu’on vu le produit fini, nous étions très heureux du résultat », souligne Mme Grenier. « C’est un projet qui s’est fait dans la bonne humeur et durant lequel nous avons eu plusieurs fous rires », se rappelle Mme Riverin.

Louise Grenier

En effet, l’ouvrage propose de découvrir dessin ainsi que des ateliers de Carnets ou redécouvrir les nombreux escaliers de de voyage, de créer un ouvrage commun.

Québec. Ce dernier s’adresse autant aux « L’idée de mettre en lumière les escaliers touristes qu’aux citoyens de la Ville de de Québec est venue de Pierre Toupin, un Québec puisqu’il nous propose un regard adepte du Défi des escaliers », explique tout à fait nouveau des endroits qui nous Mme St-Pierre. Comme Québec est l’une entourent. D’ailleurs, l’escalier de la côte de des villes en Amérique du Nord qui possède Cap-Rouge a été illustré par Pierre Toupin, le plus d’escaliers, Mme St-Pierre a tout résident de Cap-Rouge. Il présente dans de suite saisi le potentiel artistique de ce ce carnet un point de vue exceptionnel de projet. « Comme il y a une grande variété la rue Provancher et du Tracel, en plus d’y avoir dessiné trois cartes géographiques. Il est aussi possible d’admirer les œuvres de deux autres Carougeoises, soit Louise Grenier et Sylvie Riverin, qui ont respectivement dessiné chacune quatre escaliers. De plus, tous les textes qui accompagnent les illustrations sont signés de la plume de Marie Dagenais, résidente elle aussi de Cap-Rouge.

L’idée de faire ce projet de carnet de voyage collectif est née du désir des élèves de l’artiste Nathalie St-Pierre, professeure et Nathalie St-Pierre entourée de deux des quatre Carouartiste professionnelle qui donne geois qui ont participé à ce magnifique projet : Sylvie des ateliers de peinture et de Riverin et Louise Grenier.

Les artistes se sont impliqués dans le projet, et ce, beau temps mauvais temps. Nous les voyons à la pluie devant l’escalier Frontenac dans la côte de la Montagne.

Le lancement du livre Le Carnet des escaliers de Québec aura lieu le 11 septembre à l’Hôtel de Ville de Québec, sous la présidence d’honneur du maire Régis Labeaume. Il est déjà possible de se procurer un exemplaire dans les librairies ainsi qu’auprès de Mme St-Pierre via son site Internet : www.nathaliestpierre.com.

Devenir cadet au 2600 de Rochebelle, un choix judicieux ! e

La 57 saison des cadets s’amorce CR : Le Corps de cadets 2600 de Rochebelle de Sainte-Foy qui amorce sa 57e saison d’activités cet automne, invite tous les garçons et filles de 12 ans et plus à découvrir les nombreuses activités qui leur sont offertes gratuitement. Les inscriptions auront lieu les vendredis 6, 13 et 20 septembre dès 19 h.

Maintes raisons de devenir cadet : le gout de bouger, relever des défis, découvrir le biathlon et le tir, pratiquer la musique, apprendre l’orientering, la précision, des notions de secourisme et de plein air, sans oublier possibilités de camps d’été et des échanges internationaux.

Les locaux du 2600 sont situés au 1095, rue de Rochebelle à Sainte-Foy au pavillon Félix Numéro de précision haut en couleur Leclerc, porte numéro 3. Pour plus d’informa- présenté lors de la 56e revue annuelle au tion, visitez le www.cadets2600.com. printemps 2012.

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Deux Carougeoises nous racontent leur expérience

Les Filles du Roy revenues de leur voyage mémoriel en France Par Marie-France Simard m f @ l e s e d i t i o n s p r i m e. ca

Alain D’Eer

Alain D’Eer

C’est la tête remplie de beaux souvenirs que les deux Carougeoises Nathalie Dion et Maryse Giard reviennent de leur aventure en France où, pendant près de 15 jours, elles ont effectué un voyage mémoriel en compagnie des autres Filles du Roy. L’objectif de ce voyage était de souligner le 350e anniversaire du départ de France et de l’arrivée en Nouvelle-France des 36 premières filles à marier. Après s’y être préparées pendant près de six mois, c’est avec beaucoup d’émotions que les deux femmes ont relaté leur expérience à l’Écho de Cap-Rouge.

Les Filles du Roy au jardin du Muséeum d’histoire naturelle.

Rappelons que nous leur avions parlé au début du mois de mai alors qu’elles étaient en pleine campagne de financement. Mmes Dion et Giard nous avaient alors confié être toutes les deux emballées par le projet, auquel elles consacraient entre cinq et dix heures lors de différentes activités, dont des conférences.

De plus, les 36 Filles du Roy n’avaient pas hésité à débourser entre 500 $ et 700 $ pour se faire confectionner des costumes d’époque sur mesure, en plus de payer les frais de leur voyage en France. Lorsqu’on écoute les deux femmes, l’investissement en valait absolument la peine. « On a été accueillies comme des reines », s’est exclamée Mme Giard. « À chaque endroit où nous allions, notre arrivée avait été planifiée. Il y avait donc différentes associations pour nous accueillir, de même que des maires et des conseillers municipaux. Chaque fois, ils étaient là pour rendre hommage à ces 36 femmes qui ont fondé une nouvelle nation », explique Mme Giard.

Marcher sur les traces des Mères de la Nation Durant leur périple, les 36 filles du Roy sont allées à la découverte des terres de ces femmes. Divisé en neuf étapes, le voyage a débuté à Paris et ont suivi Rouen, Dieppe et

Niort. « À Paris, nous avons visité la PitiéSalpêtrière, lieu mémoriel de la majorité des quelque 800 Filles du Roy. Ce fut une journée forte en émotions », se rappelle Mme Giard. À La Rochelle, 11 filles ont eu la chance de reconstituer le départ des Filles du Roy, comme il le faisait il y une centaine d’années. Avec des lanternes, les femmes marchaient sur les pas des Mères de la Nation en chantant la chanson de l’époque « Adieu mon coin de pays ». Des villageois, venus voir le spectacle, leur envoyaient la main. L’expérience se terminait lorsque les femmes embarquaient dans les barques, comme ce fût le cas à l’époque.

Tout au long de leur voyage, les 36 Filles du Roy ont suscité beaucoup d’intérêt. D’ailleurs à Dieppe, alors qu’elles se promenaient dans la rue, vêtues de leur costume d’époque, la foule s’est agglutinée autour d’elles provoquant ainsi une parade improvisée sous escorte policière. Partout où elles passaient, elles faisaient la UNE des journaux locaux.

Pour les deux femmes, cette belle visibilité était au-delà de leurs espérances. « Notre objectif avec ce voyage était de faire connaître et reconnaître l’apport de ces femmes dans notre histoire. Nous nous sentons privilégier d’avoir pu participer à ce beau projet », ont-elles conclu.

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Baseball Atome Cap-Rouge — St-Augustin

Tournoi régional de tennis en double

Un doublé pour les Red Sox La Coupe 2013 du Tracel Par Carole Roy

c a r o l e @ l e c h o d ecaprouge.ca

Les Red Sox de CRSA, atome B, connaissent une saison du tonnerre. En effet, ces jeunes de 7 à 9 ans viennent de remporter deux titres provinciaux.

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Rangée du Bas : Mathieu Larochelle, Léo Gagné, Charles Antoine Gauvin, Antoine Grégoire, Jean Chrystophe Cloutier et Thomas Noël. Rangée du Milieu : Élizabeth Gauvin, Olivier Dancause, Olivier Delisle, Félix Morin, Alexandre Bonneau et Charles Dancause.

Les entraineurs : Pierre Gagné, Sébastien Bonneau, Dan Larochelle et Frédéric Noël.

Première rangée : William St-Pierre, Justin Mongeon, Isaac Drolet, William Cazelais, Dominic Giguère. Deuxième rangée : Christopher Rochon, Mathis Salvano, Kalum Gendron, Jérôme Couture. Troisième rangée: Jean-Philippe Cazelais, Benoît Mongeon, François Couture.

Un succès que cette première édition de la Coupe du Tracel qui réunissait 75 joueurs qui ont su présenter quelques confrontations enlevantes et serrées. De fait, plusieurs rencontres ont nécessité trois manches pour Et les gagnants sont… révéler les vainqueurs.

Atmosphère conviviale, esprit sportif Femmes «B» : bien présent et une organisation du ton- Nicole Lefebvre nerre grâce au directeur du tournoi, M. et Cécile Fradette Pierre Samson qui a supervisé le tout de Mixte «B» : mains de maitre.

Stéphanie Biron* et Claude Bazin* Hommes «B» : Luc Demers* et Steeve Pouliot *

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En juin dernier (22-23 juin), lors de la 23e édition du Tournoi provincial Opti-Atome de St-JeanChrysostome, les Red Sox sont devenus la première équipe de CRSA à remporter les honneurs de la classe B. Après avoir trébuché 10-7 en levée de rideau face aux Ambassadeurs #2 de Lévis, nos jeunes joueurs ont remporté leurs quatre matchs suivants pour mettre la main sur le titre. Au final, rien de moins que le trophée de la victoire ainsi que la médaille d’Or. La fin de semaine suivante, ils ont récidivé au Tournoi provincial de Louiseville. Un parcours parfait pour nos jeunes joueurs qui ont vaincu les

CR : Commanditaire majeur de la Coupe 2013 du Tracel qui se tenait du 19 au 22 juin au Tennis du Parc du Plateau, la Caisse populaire Desjardins de Cap-Rouge était heureuse de présenter la première édition de ce tournoi régional de tennis en double.

Seigneurs de Repentigny au compte de 18-9. Bravo à nos Champions !

Les Patriotes Les Patriotes, Atome A, ont eux aussi fait belle figure au Tournoi Opti-Atome où s’affrontaient 24 équipes. Sur cinq rencontres disputées, ils ont remporté les quatre premiers matchs avant de s’incliner 9-4 en grande finale. Toutes nos félicitations !

Denis Bélanger, président du Club de tennis du Tracel, M. Scherrer, président du conseil de surveillance de la Caisse populaire Desjardins de Cap-Rouge partenaire majeur, Sonia Michaud et Guillaume Daguet, les gagnants du double mixte A en plus de Pierre Samson, directeur du tournoi.

Femmes «A» : Isabelle Duchesnau et Raymonde Pépin* Mixte «A» : Sonia Michaud et Guillaume Daguet Hommes «A» : Jean-François Beaudet et Guillaume Daguet *Membres du Club de tennis du Tracel

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Nouveau vélo électrique offert chez Performance Bégin

Différents modèles disponibles sur le marché

Le Solex débarque en Amérique du Nord Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

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Les connaisseurs et les amateurs de vélo électrique seront heureux d’apprendre que la marque Solex fait son entrée en sol nord-américain.

En effet, après avoir été distribués dans plus de dix pays européens ainsi qu’au Japon, il est désormais possible de s’en procurer un ici, et ce, après plus d’un an d’adaptation technique.

Questionné sur les avantages de cette marque de vélo électrique, le propriétaire de Performance Bégin, Stéphane Bégin, en a mentionné plusieurs. Toutefois, ce qui ressort vraiment du lot, c’est le système électrique qui est silencieux. « Pour l’avoir testé lors de son entrée en boutique, je peux dire que comparativement à d’autres marques, cette sorte de vélo électrique a un système électrique silencieux doté d’un moteur puissant qui offre le choix à l’utilisateur de pédaler normalement ou d’utiliser le moteur pour une assistance partielle ou complète. De plus, la compagnie Solex en est une reconnue pour sa fiabilité possédant un historique impressionnant », souligne-t-il.

En effet, lorsqu’on s’attarde sur le site Internet de Solex, on réalise que l’entreprise possède de nombreuses années d’expérience dans ce domaine. Née en 1905, c’est dans les carburateurs pour autobus

Les vélos électriques Solex se démarquent entre autres pour leur moteur silencieux. qu’elle se fit connaitre. En 1940, un premier prototype du vélo électrique a été élaboré.

Ce n’est toutefois qu’après la Deuxième Guerre mondiale que l’entreprise se lance dans la fabrication du VéloSolex. Six ans plus tard, c’est à Paris que démarre sa production. Toujours selon le site Internet de Solex, plus de 8 millions de Vélo Solex ont été vendus entre 1946 et 1988. Évidemment, au cours de cette période plusieurs

modèles ont vu le jour en fonction du marché. Toutefois, en 1988, en raison d’achats successifs, la production s’est arrêtée. C’est en 2004 que le groupe français Cible décida de racheter l’entreprise pour commercialiser l’E Solex, un vélo électrique dessiné par Pininfarina, une entreprise italienne de grande renommée qui œuvre dans la conception et la production de véhicules automobiles.

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Outre sa riche histoire, Solex propose quatre différents modèles de vélos électriques. Il y a tout d’abord le E Solex. En édition limitée, ce modèle à l’allure classique et vintage possède un puissant moteur de 500 watts, une batterie lithium-ion de 13,2 ampères et de 48 volts, offrant jusqu’à 45 km d’autonomie. Ensuite, il y a le Solexity. « Ce modèle est le plus répandu et il s’adresse à monsieur-madame tout le monde. Il est muni d’un moteur de 400 watts et peut atteindre plus de 70 km d’autonomie », mentionne M. Bégin. Un peu plus haut de gamme : Solexity 500 qui est muni d’un moteur de 500 watts et d’une batterie de 13,2 ampères et de 48 volts. Ce dernier peut aussi atteindre jusqu’à 70 km d’autonomie. Troisième version de cette gamme de vélo, le Solexicity 350 se démarque entre autres par son autonomie pouvant atteindre les 105 km ainsi que pour son moteur BionX H-Torque G2, fabriqué au Canada.

Enfin, le dernier, mais non le moindre : le Solex vélo pliable. Facile à transporter, ce modèle possède un moteur de 250 watts.

Il est tout indiqué pour les amateurs de camping ou autres puisqu’il se range très facilement.

Ateliers de baseball

La Caisse populaire Desjardins de Cap-Rouge soutient le baseball local Le samedi 27 juillet était la journée idéale pour cette 5e clinique organisée par Pierre Blais, entraineur de baseball CRSA. L’activité se déroulait de 11 h à 13 h avec dîner et remise de prix de présence.

Supportée par la Caisse, l’activité, qui a réuni une trentaine de joueurs au terrain du Plateau, cadre parfaitement avec

son mandat en soutenant la solidarité et la responsabilité sociale et individuelle.

Le principe d’une telle clinique consiste à élaborer des ateliers, des exercices et des conseils par des joueurs plus expérimentés pour aider et motiver les jeunes à acquérir une nouvelle perspective du jeu et d’en améliorer de nombreux aspects.

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CR : Pour une cinquième année consécutive, les joueurs du CRSA Junior AA et de l’Imédia Senior BB ont offert une clinique de baseball aux jeunes joueurs du baseball Mineur de Cap-Rouge/Saint-Augustin (CRSA).

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