L’Écho de Cap-Rouge - Avril 2014

Avril 2014 • vol. 5 numéro 3

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Une victoire sans équivoque pour Sam Hamad Page 2

Point sur l’avenir du Mail Cap Rouge Page 4

Nouveau complexe sportif multifonctionnel pour Saint-AugustinPage 2 de-Desmaures

rs Amateu de vélzo

Surveillerochaine notre p ! édition

Fermeture du garage municipal Page 3 de Cap Rouge

une caisse ouverte le soir pour mathieu qui fait du 9 à 5

DU MARDI AU JEUDI JUSQU’À 20H. 418 651-5487 1111, boul. de la Chaudière caissedecaprouge.com /caissedecaprouge

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JOURNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUGE

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Élections provinciales du 7 avril

Sam Hamad réélu dans Louis-Hébert Le député libéral Sam Hamad a été réélu pour une cinquième fois le 7 avril dernier dans le comté de Louis-Hébert, récoltant ainsi 18 327 votes, soit 8000 de plus que son plus proche rival de la Coalition Avenir Québec, Mario Asselin.

Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

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encontré à son bureau de comté quelques jours après les résultats, M. Hamad a d’entrée de jeu tenu à remercier les électeurs et les électrices qui ont voté pour lui. « Je suis très heureux et fier que les citoyennes et les citoyens m’accordent encore une fois leur confiance. Pour moi aujourd’hui, le plus important, c’est de pouvoir les en remercier sincèrement. Pour ceux qui n’ont pas voté pour moi cette fois-ci, je tiens à leur dire que je serai le député de tous les électeurs, et ce, peu importe leurs allégeances politiques et leurs votes », a-t-il tenu à dire.

M. Hamad à tenu également à féliciter les autres candidats, soit le caquiste Mario Asselin qui a remporté 25,92 % des votes, Patrice

Dallaire du Parti Québécois qui a récolté 18,37 %, Pascal Minville 4,94 %, Dany Bergeron de l’Équipe Adrien Pouliot-Parti Conservateur qui a eu 0,83 % et enfin Patrick Côté d’Option Nationale avec 0,71 %. « J’ai pris le temps de les appeler personnellement pour les féliciter pour la campagne qu’ils avaient tenue.

Certains étaient surpris de recevoir mon appel, mais pour moi c’était important de le faire », a relaté M. Hamad.

Son comté toujours sa priorité Loin de tenir pour acquis son poste de député, M. Hamad souligne que depuis son arrivée en avril 2003, il a toujours fait de son comté sa priorité numéro un. « Peu importe les fonctions que j’ai occupées, ma priorité a toujours été les électeurs de Louis-Hébert et les organismes du secteur. Même si j’avais d’autres

importantes responsabilités, tous les jours je me disais que ma base ce sont les électeurs de mon comté », a-t-il mentionné. Au cours des prochaines années, il souhaite d’ailleurs poursuivre ce qu’il a commencé, c’est-à-dire continuer à supporter les organismes et aider à l’embellissement des écoles sur le territoire.

Questionné sur l’arrivée de Philippe Couillard comme premier ministre du Québec, M. Hamad a souligné que ce dernier souhaite que les échanges avec les partis de l’opposition soient respectueux, et ce, malgré le ton de la dernière campagne électorale. « M. Couillard a dit qu’il avait pardonné les attaques personnelles auxquelles il a été confronté. Il a décidé d’instaurer un respect et il souhaite donc que les débats d’idées se fassent dans cet état d’esprit. Si l’adversaire a une bonne idée pour les citoyens, pourquoi ne

Destruction prochaine de l’aréna Activital à Saint-Augustin-de-Desmaures

Un bâtiment chasse l’autre

Sam Hamad a tenu à remercier les gens de son comté pour leur confiance. pas aller la chercher? M. couillard souhaite instaurer un climat de respect, d’intégrité et d’écoute. » Tout compte fait, M. Hamad amorce ce cinquième mandat avec autant de ferveur et avec le même désir de service son comté que les années précédentes. propriétaires, la bâtisse pourrait ainsi être remplacée, en conformité avec le règlement du zonage, par un foyer de retraite situé au pied de la Montée du Coteau et à l’angle de la rue de l’Hétrière.

D’une pierre deux coups

Impossible d’en savoir plus pour le moment.

Un processus de signature est en cours avec le groupe privé qui s’est porté acquéreur. Que L’information a été confirmée par le maire Marcel Corriveau au début du mois d’avril : l’aréna Activital les résidents se rassurent cependant : la démoque la ville de Saint-Augustin-de-Desmaures avait acquis en 2009 sera prochainement détruit lition de l’aréna sera bien entendu à la charge de l’acheteur et n’aura pas lieu avant que pour faire place à une résidence pour aînés. Une décision confortée à la fois par la désuétude de tout ait été signé. « Il faut que le projet soit l’établissement et la construction, pour 2015, d’un nouveau complexe sportif multifonctionnel. acceptable par tous ; la ville fait preuve de vétuste, pas assez convivial et ouvert à tous Par Stéphane Ledien conscience citoyenne » les vents glaciaux pendant les rencontres. Cerstephane@leseditionsprime.ca tient à préciser Claire tains s’étaient laissé dire qu’une reconversion Gaudet, Directrice aurait lieu, par exemple en courts de tennis epuis des mois, la rumeur filait des communications bon train : c’en serait bientôt fini ou en gymnase pour le dek hockey. Las ! Au de la municipalité de l’aréna Activital. Motif : un site conseil municipal du début du mois d’avril, de Saint-Augusti n- de -De sm au re s.

Elle ajoute qu’il n’est pas question de « couper les heures de glace. » Si l’on considère que la ville se dotera en 2015 d’un complexe Si l’aréna Activital connaît ses derniers mois d’existence, les Augustinois sportif multifonctionpeuvent se réjouir de la construction imminente d’un complexe sportif nel comprenant deux comprenant deux glaces et une piscine. Ce nouveau complexe, qui devrait glaces pour le patiêtre livré et ouvert en 2015, sera situé à côté de l’hôtel de ville. nage et le hockey, une piscine de 25 mètres le maire Marcel Corriveau a annoncé que la et de nombreuses autres commodités, les ville se départirait bientôt de l’établissement, résidents amateurs de sport ne devraient pas qu’elle avait acheté 7 millions de dollars au y perdre au change. Évalué à 30 millions de propriétaire Gérald Landry en 2009. Un scé- dollars, le coût de cette construction, située nario jugé préférable à l’investissement massif juste à côté de l’hôtel de ville, sera assumé à qu’induirait une rénovation du complexe. Des 50 % par le gouvernement provincial, le reste acquéreurs se sont en tout cas montré intéres- de la facture relevant de la responsabilité sés via une offre « supérieure à l’évaluation du d’un promoteur privé. L’aréna est mort, vive terrain ». Après destruction par ses nouveaux l’aréna ?

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Le journal L’Écho du Lac est publié et édité par Les Éditions Prime inc.

940, boulevard du Lac, Québec (Québec) G2M 0C9

Publicité :

ÉDITEUR : Alain Têtu

Brigitte Landry 418 580-2744

DIRECTRICE GÉNÉRALE : Myriam Guay

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DIRECTEUR PRODUCTION ET CRÉATION : Éric Monette

Coordonnatrice aux opérations et Conseillère Publicitaire : Julie Boissinot JOURNALISTES : Pierre Blais, Geneviève Décarie, Malory Lepage, Marie-France Simard et Stéphane Ledien

COLLABORATEURS : André Juneau, Patricia Deguara, La Clinique de physiothérapie pédiatrique

IMPRESSION : Transcontinental TIRAGE : 15 700 exemplaires DÉPÔT LÉGAL : Bibliothèque nationale du Québec

*Veuillez noter que pour être publiée, l’opinion du lecteur doit être signée.

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Tous les employés et la coordination des services transférés à Sainte-Foy

Fermeture du garage municipal de Cap Rouge C’est maintenant officiel : la trentaine d’employés du garage municipal de Cap-Rouge seront transférés à l’Édifice De Lestres (Division des travaux publics) à Sainte-Foy au cours du mois d’avril, soit à quelques kilomètres plus loin. Cette situation ne devrait pas causer de perte d’emplois a appris l’Écho de Cap-Rouge.

mf@leseditionsprime.ca

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uestionné à cet effet, le conseiller municipal du district de Cap-Rouge Laurentien, Laurent Proulx, a confirmé la nouvelle en mentionnant que le déménagement devrait se faire au cours des semaines à venir. « Lorsque la nouvelle a été ébruitée, il y a eu quelques personnes mécontentes. Après avoir reçu une pétition d’une quinzaine de noms, je suis allé confronter l’administration pour comprendre les raisons de ce déménagement », a raconté M. Proulx. « Sachant que les citoyens et citoyennes économiseraient en coûts opérationnels en déménageant les employés de Cap-Rouge, la décision a été maintenue. Nous avons donc, l’administration et moi, pris soin de répondre à toutes les interrogations des citoyens. Évidemment, nous nous sommes organisés pour que la transition se passe bien. La vaste majorité des cols bleus semblent bien avec la décision », souligne le conseiller municipal, tout en insistant pour dire que les citoyens et citoyennes de Cap-Rouge ne seront pas pénalisés par ce déménagement.

Les cols bleus également satisfaits de la collaboration avec la Ville Rejoint à cet effet, le vice-président du syndicat des cols bleus de la Ville de Québec, Alain Bourassa, a confirmé que les démarches ont été harmonieuses. « C’est sûr que les employés de Cap-Rouge étaient inquiets lorsqu’on leur L’utilisation de la bâtisse de l’actuel garage municipal de Cap-Rouge n’est pas encore déterminée. annoncer cette nouvelle », a-t-il mentionné

courtoisie

Par Marie-France Simard

De Lestres auront lieu en 2015. « Cette annonce a sécurisé bien des employés. » Le 16 avril avait lieu un déjeuner regroupant les cols bleus des deux garages fusionnés afin qu’ils puissent fraterniser entre eux. Pour l’instant, les orientations futures quant à l’utilisation de la bâtisse de l’actuel garage municid’entrée jeu. « Mais la Ville nous a garanti qu’il Les citoyens et citoyennes ne seront pas n’y aurait aucune coupure de poste. » D’ail- pal de Cap-Rouge n’ont pas encore été définies pénalisés par le déménagement En effet, ceux-ci bénéficieront de la même leurs, des travaux d’agrandissement à l’Édifice par le comité exécutif de la Ville de Québec. qualité de service été comme hiver selon M. Proulx. « J’avais le souci de m’assurer que les payeurs de taxes de notre secteur ne sont pas pénalisés par ce changement. Les cols bleus qui travaillaient déjà dans l’arrondissement continueront à le faire encore ici », explique celui qui désirait que la transition se fasse aussi bien pour les cols bleus de Cap-Rouge que ceux de Sainte-Foy. « La nouvelle a bien été accueillie par les employés du garage de Sainte-Foy. Évidemment, il va y avoir un moment d’adaptation, mais j’ai confiance. Le directeur des travaux public, Denis Ferland, a fait un excellent travail dans ce dossier. Tout s’est déroulé dans l’harmonie », rapporte M. Proulx.

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Quel avenir pour le Mail Cap-Rouge ?

Après une vague de fermetures, le Mail Cap-Rouge semble voué à une désertion alarmante.

Propriété du groupe immobilier texan Sandalwood Management Inc., le centre d’achat situé boulevard de la Chaudière n’attire visiblement plus les foules. Au grand dam des commerçants, qui s’inquiètent de le voir de moins en moins achalandé… société a fait son entrée sur le marché canadien Mail Cap-Rouge représente l’un des plus grands Par Stéphane Ledien en 2000 avec l’acquisition de 13 centres commer- centres que possède le groupe dans la région. stephane@leseditionsprime.ca ciaux québécois. Elle est aujourd’hui propriétaire Maintenant que de nombreuses boutiques ont errière le Mail Cap-Rouge, il y a d’abord et gestionnaire de plus de 5 millions de pieds plié bagage (Arteq et ses articles de décoration, le groupe Sandalwood Management carrés de ce type aux quatre coins de la province. ou encore le magasin d’électroménagers Électro- Construit en 1975, rénové entre 1988 et 1994, le Mail Inc. Fondée en 1985 à Austin, cette Avec une superficie brute locative de 97 710 pi2, le vac), rien n’indique que les espaces disponibles Cap-Rouge compte un peu moins d’une vingtaine (10 suites en tout) suscitent la convoitise. de commerces et d’espaces de services et de restauration.

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Inquiétude et stratégie opaque

VOUS MÉRITEZ UN SOIR DE RELÂCHE !

Du côté des commerçants, les avis sont mitigés.

Ceux qui sont établis depuis plus de vingt ans, comme le Nettoyeur Net top, avouent qu’il n’y a plus « assez de commerces ». France Belley, gérante de la boutique de vêtements Globus, ne cache pas sa résignation : « tel quel, le Mail est dissuasif. » Gérant et copropriétaire depuis un an de l’animalerie Boutique Au Poil, Francis Campagna se veut moins fataliste : « l’achalandage est moyen, mais on est heureux ici. » Aucun d’eux, en tout cas, n’a une idée de l’avenir : « on n’entend pas parler de nouveaux commerçants ».

Installé là depuis dix ans, Stéphane Bussières

confie que l’activité de sa Cordonnerie Ultra « se maintient grâce à la clientèle fidèle », même si « voir partir des partenaires d’affaires reste inquiétant ». Indéniablement, l’effet d’exode et de délaissement saute aux yeux du visiteur.

L’appel au numéro indiqué sur le site Internet du Mail ne nous a pas convaincus du contraire : flou informationnel, accueil glacial de l’hôtesse… « Envoyez un courriel, ils vous répondront ! » On attend toujours de recevoir le message qui nous permettrait de comprendre la stratégie des gestionnaires du Mail…

CHOIX DE PLATS SANTÉ PRÊTS EN 5 MINUTES. Rouleaux impériaux ou de printemps, won ton frit ou aux arachides, soupes, poulet général tao, crevettes basilic, poulet gingembre, saumon citronnelle, porc caramel, pad thaï, sauté de légumes et bien plus!

À en croire le site du bailleur et gestionnaire Sandalwood Management, l’achalandage est de « 15 000 personnes par semaine ». Pourtant, aux heures creuses, le centre est de plus en plus désert.

Les commerçants se disent inquiets mais veulent « garder espoir ».

fête à mans!

Bonne utes les ma to 4307, rue Saint-Félix, Cap-Rouge | 418 659-2332 CAP-ROUGE n CHARNY n QUÉBEC

www.maisonthailandaise.com

Vers un nouveau « Provigo Le Marché » ?

Hors du Provigo, point de salut ? Une rumeur de « refonte » court depuis des mois à propos du supermarché. Après vérification, rien ne permet hélas de croire que l’enseigne bénéficiera de la dynamique des nouveaux magasins « Provigo Le Marché ». « Nous n’avons rien à confirmer au sujet de ce magasin pour le moment » déclare Geneviève Poirier, Spécialiste chargée des affaires corporatives et des communications Provigo au sein du groupe Loblaw. Affaire clasée.

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À la recherche du chaland perdu

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La bosse des affaires Par Stéphane Ledien stephane@leseditionsprime.ca

La joaillerie Créations Langis dans le Vieux-Cap-Rouge

Une affaire de famille Si la joaillière Véronique LeBlanc a ouvert sa boutique en 2004, son savoir-faire, hérité de sa mère et de son grand-père bijoutiers, sévit dans le quartier depuis bien plus longtemps. Toute petite déjà, elle regardait sa mère réparer les montres et travailler les métaux précieux. Aujourd’hui propriétaire du commerce « Créations Langis » au Plaza Provancher de Cap-Rouge, elle conçoit des bijoux sur demande et se tient à l’affût de toutes les tendances.

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disparue près du Mail, ensuite au Plaza Provancher. Un parcours logique pour cette Carougeoise de 27 ans : après une enfance et une adolescence immergées dans l’univers de la création et de la réparation de bijoux, elle est tout naturellement entrée à l’École de joaillerie de Québec. L’ « apprentissage de la vie » a fait le reste... Aujourd’hui, les clients franchissent le seuil de sa boutique avec des objets précieux hérités de leurs aïeuls. À leur demande, Véronique LeBlanc crée de nouveaux bijoux à partir des pierres extraites et de l’or fondu. Au préalable, elle s’efforce de bien cerner les préférences, catalogues à l’appui. « Les femmes aiment surtout les bagues », résume-t-elle. Colliers, bracelets et broches connaissent aussi un succès Travail d’orfèvre décliné selon les tendances et l’âge des acquéVéronique LeBlanc a ouvert sa boutique en 2004, d’abord dans une bâtisse aujourd’hui reurs. Face à la diversité des goûts, la joaillière our être sûre de ne pas se tromper dans les chiffres concernant les années d’activité de son grand-père, elle saisit sa calculatrice. « Oui, c’est bien ça : 1950 ! » France Langis, ex-bijoutière à Cap-Rouge et mère de la jeune commerçante, confirme l’information depuis l’arrière-boutique où elle répare des montres pour le compte de sa fille.

Ici, le savoir-faire se transmet de génération en génération, à une nuance près pour Véronique LeBlanc : elle se dit joaillière et a délaissé la vente des montres. Vous ne trouverez dans ses vitrines que des bijoux uniques et sans « tictac » caractéristique.

relève tous les défis de minutie.

Comme pour cette acheteuse qui souhaitait faire reproduire une Harley Davidson en piercing de nombril !

Trésors cachés Venue d’« un peu partout en ville », la clientèle affectionne autant les ornements les plus précieux que « Tombée dedans » quand elle était petite, Véronique LeBlanc (à droite) a les modèles fantaisie. fait de la joaillerie une entreprise aussi créative que lucrative, comme sa mère « La valeur que les France Langis (à gauche) et son grand-père avant elle, tous deux bijoutiers gens accordent à leurs bijoux est d’abord sen- passionnés. timentale. C’est pourquoi je ne refuse aucune commande, même la infini porté autour du cou, la jeune femme réparation d’une bague à cinq dollars. » Dans puise aussi des idées dans les motifs des tissus son atelier, avec des grains d’or et des pierres et les collections de Cartier ou de Van Cleef & achetés à Québec mais des idées (et parfois des Arpels. Les bijoux, c’est toute sa vie : « même perles) ramenées du monde entier, Véronique à la maison, le soir, je cherche l’inspiration ! » LeBlanc s’adonne à toutes sortes de créations.

Et si la mode est au « vintage » des années Création Langis : 1487 rue Provancher. soixante-dix, aux petits animaux et au symbole Téléphone : 418 658-8266.

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à toi de moi Par Stéphane Ledien stephane@leseditionsprime.ca

Le coup de cœur de nos entrepreneurs : le restaurant « Les Boucanes »

Signaux de fumée

Les entrepreneurs locaux continuent leur tournée de coups de cœur ! En mars, Jean-Simon Bégin de l’atelier-boutique « Créations J » nous conviait, en amoureux de l’art culinaire, à la découverte d’une de ses adresses préférées. Nous voici donc attablés au très typique restaurant « Les Boucanes », établissement dirigé par la passionnée Mélanie Boutin. l n’y a pas d’art sans fumée » a un jour écrit l’artiste Ben. Il ne pouvait pas mieux dire s’agissant du restaurant ouvert en mars 2010 dans les locaux, réaménagés avec style, de l’ancien « Chic Alors ! ». Ici, les amateurs se délecteront de viandes et de poissons magistralement cuits au fumoir. Cette cuisine de type barbecue « à l’américaine », la pétillante directrice de l’établissement a été la première à la proposer dans la région de Québec. Après une première année passée à servir des viandes fumées, Mélanie Boutin a décidé de décliner toute une gamme de burgers. Au poulet, au boeuf et au porc

« I

Spécialistes des plateaux À côté de ses activités gastronomiques, notre directrice officie comme régisseur de plateau.

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Serge Bégin

CRÉDIT PHOTO PHILIPPE JOBIN

NOUVEAU Camp de vélo de montagne pour jeunes de 10 à 14 ans

d’affaires, « une gourmande de la vie » qui a su saisir l’opportunité offerte par le déménagement du « Chic Alors ! », où elle avait débuté comme serveuse avant d’en assumer la gérance.

La voilà loin de ses études en musique ! Depuis quatre ans, son associé Hugues Philippin lui laisse en tout cas la liberté de diriger l’établissement comme elle le souhaite. Jamais à court d’idées, elle a intégré à son offre un service traiteur et des boîtes à lunch. Et parce qu’un bon leader se doit de montrer l’exemple, Mélanie Boutin assure « un tiers de la cuisine, un tiers du service et un tiers de gestion ». En clair, elle n’hésite pas à faire la plonge !

Aux Boucanes, viandes et poissons sont fumés à chaud au bois d’érable, à la façon du sud des États-Unis.

Qui la copropriétaire et directrice générale du restaurant, Mélanie Boutin, veut-elle bien gâter avec ce délicieux sandwich au porc effiloché ? Réponse le mois prochain ! effiloché (mention spéciale aux côtés levées).

Une carte également enrichie de salades et de wraps, car il faut « rester à l’écoute de la clientèle ».

Bouchée doubles Villégiature pour gens actifs.

418 704-5031 poste 407

Celle dont la cuisine fait aujourd’hui fureur bien au-delà des limites de l’arrondissement confie qu’elle ne s’est jamais sentie « restauratrice dans l’âme ». Elle se dit plutôt femme

porative qui lui donnent aussi l’occasion d’exprimer ses talents de coordonnatrice. Comme si cela ne suffisait pas (« mon passe-temps, c’est de travailler ! »), elle prépare un certificat en administration à l’Université Laval. Et pas le moindre loisir dans tout ça ? « Oh, si : du ski de fond l’hiver, de la course à pied l’été. » Et puis, elle aime manger. D’ailleurs, c’est à une autre table du quartier que nous mènera son coup de cœur. Laquelle ? Réponse le mois prochain !

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Qui est-ce ?

Par Stéphane Ledien stephane@leseditionsprime.ca

Une femme au service du patrimoine carougeois

Toute une histoire ! mais aussi « profiter de la vue de la maison », marcher et s’entraîner. « Pour rester en forme », stephane@leseditionsprime.ca précise-t-elle et, nous y revoilà, prendre soin a vérité, c’est qu’elle aime prendre soin de sa famille, au Québec comme en Bretagne. Qui peut bien être cette femme impliquée depuis de nombreuses années dans différents projets de valorides autres. Quand elle nous accueille Décidément, il n’y en a pas deux comme elle. sation des patrimoines humain, historique et culturel de Cap-Rouge ? pour une entrevue ce matin-là, elle Mais, au fait, qui est-elle ? nous propose même une paire de pantoufles françaises ! « Mettez-les, le sol est encore froid à ce temps-ci de l’année... » Entre Cap-Rouge et elle, c’est une longue histoire. Installée dans le quartier pendant l’été « des grands voiliers » en 1984, elle a d’abord tenu un commerce d’importations bretonnes rapidement transformé en café-terrasse dans la Maison Jobin. Sise au 1480 rue Provancher, l’antique bâtisse allait devenir un fameux restaurant dont le nom breton renvoyait, non sans inspiration, à ce vent venu du nord-ouest qu’on appelle noroît.

Par Stéphane Ledien

L

Sur tous les plans Capitaine d’un bateau pourvoyant au bonheur de son équipage, notre interviewée mettait aussi un point d’honneur à donner sa chance aux plus jeunes. Pas question, par contre, de les inciter à abandonner l’université pour un travail à temps plein dans son établissement. « Les études, c’est important ! » Après la décès de son mari en 2010, elle a revendu la Maison Jobin aux Chocolats Favoris. Son rôle dans le tissu local ne s’est pas étiolé pour autant. Celle qui s’était déjà illustrée au sein du Comité culturel du Vieux Cap-Rouge, rebaptisé depuis « Festival DécouvrArts », s’apprêtait à cumuler un nombre incroyables d’expériences de mise en valeur et de dynamisation du quartier. Par exemple le comité « Rue principale », dont l’effort d’embellissement physique ne fut hélas jamais suivi de sa phase commerciale.

?

Laisser des traces Qui d’autre qu’elle pouvait alors assumer l’administration d’un anniversaire devenu un événement régional majeur : le centenaire du tracel ? « À travers ce patrimoine, nous avons surtout honoré l’histoire de bâtisseurs. » Un rôle de perpétuation du passé qu’elle assume avec brio, à tel point qu’elle officie désormais comme présidente de l’association qui depuis bientôt 40 ans (autre célébration en vue !) « sensibilise la population au caractère historique de Cap- Rouge ». Et ce n’est pas tout ! Elle est aussi membre du conseil d’administration de la fabrique de la paroisse locale et fait du mentorat auprès d’un jeune entrepreneur. Que peut-il bien lui rester comme temps libre ?

Juste assez, confie-t-elle, pour lire et voyager,

Qui est-ce ?

Découvrez notre personnalité mystère en p. 26

courtoisie

Déjà trente ans qu’elle embellit le quotidien des Carougeois. Tour à tour commerçante, restauratrice, membre et présidente d’associations, notre invitée mystère a toujours cultivé l’initiative entrepreneuriale, couplée à un indéfectible sens de l’engagement citoyen.

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Babillard Jeunesse

Académique

Sport

Loisirs

Communauté

Science

Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

GALA MINI-STARS 2014

Simon Aubé, Pierre-Yves Caron-Ouellette, Sebastian Claros Duarte et William Lawless

Le club optimiste de Cap-Rouge a récemment tenu son Gala Mini-Stars annuel. Ce dernier a connu un vif succès grâce à l’immense talent des 50 jeunes artistes des écoles primaires de Cap-Rouge et de Saint-Augustin-de-Desmaures. Bravo à tous nos gagnants et sincères remerciements à nos généreux commanditaires. – Les membres du club optimiste de Cap-Rouge

Les jeunes ont offert des bons matchs.

N’oubliez pas que vous aussi pouvez nous faire part des réussites, dépassements et projets de vos jeunes.

Parents, enseignants, intervenants et entraineurs, à vos claviers! Une photo, un court texte signé de votre part et voilà que l’Écho propage la bonne nouvelle. Écrivez à myriam@ primemarketing.ca

Les jeunes artistes ont offert de belles performances

Séminaire Saint-François : Cheerleading

Lors de la 11e édition du Championnat régional étudiant de cheerleading qui se tenait les 29 et 30 mars au PEPS de l’Université Laval, le Séminaire Saint-François a terminé au premier rang dans la catégorie Juvénile niveau 4.

Rappelons que l’événement a réuni plus de 2 500 étudiants-athlètes de niveau primaire, secondaire, collégial et même universitaire ! Félicitations pour votre performance !

Ce sont quatre jeunes du Séminaire Saint-François, soit Simon Aubé, PierreYves Caron-Ouellette, Sebastian Claros Duarte et William Lawless, qui ont participé au 22e Tournoi jeunes démocrates les 12 et 13 avril, au collège François-de-Laval. Au cours de ces deux jours, quelque 200 jeunes ont mesuré leurs connaissances sur la démocratie, le parlementarisme et l’histoire politique du Québec. Bravo pour votre participation – des organisateurs du Tournoi jeunes démocrates

30 élèves Collège des Compagnons au Maroc

C’est le 16 mars denier que les 30 élèves Collège des Compagnons qui participaient à un voyage d’éducation à la coopération internationale au Maroc sont revenus en sol québécois. Au cours de leur séjour, les étudiants ont aidé une petite communauté berbère, notamment en enseignant le français aux enfants du village. D’ailleurs, au programme de leur voyage, huit jours étaient consacrés au travail et cinq autres à la visite du pays. Accompagnés de deux enseignants, les élèves ont travaillé pendant près d’un an pour amasser les 2 500 $ nécessaires pour participer à ce projet. Félicitations pour votre magnifique travail Des élèves sur une des collines qui surplombent le – les professeurs village de Flilou accompagnateurs

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Cocktail bénéfice au profit de la Maison des jeunes La Symbiose

Pierre Joosten

Osez le rouge avec le designer Jean-Claude Poitras

Le 8 mai prochain, le glamour s’invite au Centre Jean-Marie-Roy de Saint-Augustin-de-Desmaures pour le Cocktail Osez le Rouge de la Symbiose, organisé au profit de la Maison des jeunes de Cap-Rouge. Sous la présidence d’honneur du réputé designer de mode Jean-Claude Poitras, les convives auront la chance d’assister à sa conférence, en plus de découvrir le travail de jeunes créateurs de mode du Campus Notre-Dame-de-Foy. Pour l’événement, on suggère fortement aux convives de porter une touche de rouge.

Le réputé designer Jean-Claude Poitras est très heureux de participer à cet événement prestigieux. été confiée à Sylvie Corriveau, journaliste de mode réputée à Québec.

Par Marie-France Simard

Des créations originales à découvrir

mf@leseditionsprime.ca

Pierre Joosten

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ouché par la mission de La Symbiose et souhaitant donner au suivant, M. Poitras n’a pas hésité à accepter la présidence d’honneur de l’événement. « J’ai toujours en moi le même feu sacré et la passion de vouloir transmettre aux jeunes attirés par toutes les formes d’art mon message d’espoir rempli de lumière. La mission que s’est donnée La Symbiose m’a profondément touchée, car elle rejoint ma quête d’absolu et ma raison d’exister », a-t-il expliqué.

De son côté, Danielle Roberge présidente du conseil d’administration de la Maison des jeunes, travaille pour que cet événement soit un succès. « Mon comité et moi avons à cœur l’épanouissement de nos jeunes. C’est pourquoi

Jean-Claude Poitras a apprécié les tenues des étudiants présentées lors de la conférence de presse nous promettons une soirée haute en couleur, où le rouge fera Symbiose, non seulement avec le talent de nos jeunes, mais aussi avec l’appui de 150 convives issus principalement du milieu des affaires de Cap-Rouge et des environs qui,

nous l’espérons, répondront à l’invitation.

Croyez-moi, nous voulons faire en sorte que cette soirée soit prestigieuse et un évènement à ne pas manquer ce printemps! », a-t-elle laissé tomber. L’animation de la soirée a d’ailleurs

Pour sa part, Anne Charland, coordonnatrice du programme de Design de mode du CNDF, est très heureuse de voir ses étudiants engagés dans cet évènement. « C’est avec fierté, après trois années de travail assidu, que 16 finissants en Design de mode vous présenteront plus de 40 tenues originales lors de la soirée. Les créations sont à l’image de notre jeune relève : créatives et innovatrices. » Quant à la décoration des lieux, elle sera assurée par les élèves en décoration intérieure du CFP Marie-Rollet.

De nombreuses activités sont au programme de la soirée, dont un encan silencieux et la remise de prix de présence et de bourses.

L’événement se terminera avec la conférence de M. Poitras. Pour acheter des billets, contactez la Maison des jeunes au (418) 651-7780.

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Le VGolf Lounge devient Le Club House

courtoisie

Une nouvelle salle de réception pour l’été L’été coïncide bien souvent avec l’organisation d’événements de toute sorte. Le VGolf Lounge de Cap-Rouge a donc décidé de faire peau neuve pour l’été et offrira désormais une toute nouvelle alternative aux soirées festives. Les citoyens auront donc à leur disposition une salle de réception entièrement conçue pour satisfaire même les plus capricieux.

Par Geneviève Décarie Genevie10@hotmail.com

L

’établissement a rebaptisé sa salle de réception Le Club House pour bien distinguer cette nouvelle offre de services des autres fonctions de l’entreprise. Que ce soit pour un mariage, un anniversaire ou simplement pour souligner un événement d’importance, Le Club House offrira plusieurs forfaits pour faciliter l’organisation de réceptions. Les forfaits varieront en fonction des demandes des clients. La salle de réception avec le service de bar est au coût de 500$ par soirée, à cela il est possible d’ajouter un traiteur variant entre 25$ et 40$ par personne et même un DJ. « Notre salle peut accueillir jusqu’à 100 personnes et nous sommes ouverts à toutes les possibilités. Nous avons de grands écrans géants permettant des projections, du karaoké et même l’opportunité de jouer à des jeux vidéo. Nous offrons aussi des traiteurs proposant des méchouis ou du BBQ directement sur place et nous pouvons même aménager la salle pour permettre d’accueillir des chansonniers ou des groupes de musique », explique Pier-Luc Martel, Directeur du VGolf Lounge Québec.

Qui a dit qu’une familiale devait

ÊTRE SAGE? VOICI LA TOUTE NOUVELLE FAMILIALE SPORT VOLVO V60 2015 Que vous rouliez en pleine ville ou en pleine campagne, ce véhicule métamorphose complètement le concept de la familiale. Avec son profil aérodynamique, un moteur qui vous transportera et les caractéristiques de sécurité primées de Volvo qui voient aussi bien au bien-être du véhicule que celui de ses passagers, la nouvelle V60 vous permettra de laisser la routine loin derrière.

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«

Notre salle peut accueillir jusqu’à 100 personnes (...). Nous avons de grands écrans géants permettant des projections, du karaoké et même l’opportunité de jouer à des jeux vidéo. »

Offrant généralement l’opportunité aux golfeurs de pratiquer leur sport préféré en hiver sur des simulateurs de haute qualité, l’été l’endroit était déserté au profit des terrains de golf extérieurs. Le directeur Pier-Luc Martel a alors décidé d’élargir ses services afin d’offrir plus d’opportunités aux résidents de CapRouge et des environs. « On a l’établissement toute l’année et on désirait pouvoir en faire profiter les gens l’été également. Si ça fonctionne bien nous pourrons continuer de réserver notre salle tout au long de l’année les vendredi et samedi soir», spécifie Pier-Luc Martel.

L’établissement est situé dans le Mail CapRouge et offre à ses visiteurs un stationnement illimité. Un site internet sera mis en ligne sous peu pour faciliter le choix des différents forfaits.

Réservations : 418-802-9248

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les échos de l’écho Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

Spectacle du Groupe Vocal Les Loriots

Quelques-unes des œuvres exposées.

L’école d’arts visuels de Cap-Rouge montre ses couleurs

Ce sont plus de 70 œuvres qui ont été présentées lors de l’exposition annuelle des élèves de l’école d’arts visuels, qui avait lieu du 26 mars au 5 avril, à l’Expo-Théâtre de la Visitation. Le travail des enfants de 3 à 12 ans a également marqué l’espace dédié pour eux. L’école d’arts visuels de Cap-Rouge tient à remercier la Caisse Populaire de CapRouge, l’arrondissement de Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge et la Ville de Québec pour la réalisation de cet événement.

Bazard saisonnier d’articles de bébés

Vous attendez un enfant? Le bazar saisonnier des articles de bébé et maternité du Mouvement à la communauté du Cap-Rouge aura lieu le dimanche 27 avril de 9 h à 12h au Centre communautaire de Cap-Rouge, situé au 4473, Rue Saint-Félix. C’est le moment idéal pour les jeunes familles de se procurer des vêtements et des gros articles indispensables à la venue d’un poupon.

Pour information supplémentaire, n’hésitez pas à contacter directement l’organisme au numéro de téléphone suivant : 418-641-6643

24 heures de science

C’est les 9 et 10 mai qu’auront lieu les 24 heures de science. Pour l’occasion, de nombreuses activités se dérouleront à Cap-Rouge, notamment le 10 mai alors que la Maison Léon-Provancher proposera un atelier familial pour explorer les interactions entre les sciences naturelles et l’art. Une mini expo astro aura également lieu au Centre communautaire présentée par la section jeunesse du club Véga, de même que sa compétition annuelle. Enfin, une initiation à l’observation ornithologique se tiendra au Parc des hauts-fonds. Pour l’horaire complet des activités, consultez : www. science24heures.com.

Le samedi 17 mai prochain aura lieu à 20 h le spectacle du Groupe Vocal Les Loriots de Cap-Rouge à l’auditorium du Séminaire Saint-François. Accompagnés d’un ensemble de cinq musiciens sous la direction du pianiste répétiteur Louis Laprise, les quelques 60 choristes vous promettent une soirée divertissante. En effet, le chef a concocté un programme varié de chansons.

Le prix du billet est de 22 $ pour les adultes et de 14 $ pour les enfants. Pour vous en procurer, contactez Michel Bouchard au 418-654-1039.

Les Loriots en répétition

Les ateliers préscolaires Les Petits Copains sont à la recherche de bénévoles!

Les ateliers préscolaires Les Petits Copains souhaitent se structurer pour devenir un organisme à part entière. Ces derniers existent maintenant depuis plus de 30 ans. C’est un petit milieu de vie et d’amour où les enfants apprennent les bases avant de commencer la maternelle. Si vous êtes intéressés à vous investir pour le démarrage de cet organisme ou pour être dans le futur conseil d’administration ou simplement pour avoir plus d’information, vous êtes invités à contacter Édith Loyer, technicienne en loisir à l’arrondissement Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge au 418-641-6301 poste 2444 avant le début du mois de juin.

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Éditorial Par André Juneau

Mon ami Robert Récemment, j’ai rendu visite à mon ami Robert qui habite une banlieue de Montréal. À travers l’ensemble de notre conversation, deux points ont particulièrement attiré mon attention. En premier lieu, il m’informe qu’il est de plus en plus rare qu’il se rende à Montréal. Comme bien des gens de cette banlieue montréalaise, leur aversion pour la circulation à Montréal les a amenés à développer un mode de vie qui peut ignorer le centre-ville de la métropole.

D

euxièmement, les nombreux travaux routiers en cours et ceux à réaliser rendent cette décision encore plus pertinente et renforcissent la sédentarisation en banlieue. Cette analyse l’amène à conclure : « Vous êtes chanceux à Québec ». On est chanceux? Pas si certain que ça! La situation de

la circulation se dégrade également à Québec notamment à la limite Ouest du territoire.

Notre maire du haut de son hélicoptère a visualisé cette situation, mais son constat : « Mes premières impressions, c’est que quand tu ne vis pas dans la ville de Québec, t’as des problèmes » ne tient pas la route. Les premières victimes

de l’augmentation de la circulation causée par les banlieues éloignées sont les résidents de Cap-Rouge, de Pointe-Ste-Foy et de St-Augustin-de-Desmaures. Ne sont-ils pas tous des résidents de Québec ou de son agglomération?

Cette situation de mobilité restreinte ressemble beaucoup à celle décrite par mon ami

Robert. Aussi, j’ai été mis KO d’apprendre par les médias que le tablier du pont de Québec devra être refait au complet et que la dalle de béton du pont Pierre Laporte aurait besoin d’une mise à niveau. En se remémorant que l’autoroute Henri IV fera également l’objet de travaux majeurs pendant trois ou quatre ans, une conclusion s’impose : on se rapproche du vécu de mon ami Robert. Évidente similitude, nous aussi on développe des habitudes de vies qui visent à fuir le centre-ville encombré et avec une offre de stationnement bien inférieure à la demande. On note déjà une hausse importante de commerces et de services dans le secteur ouest, notamment dans le domaine de la santé, de la restauration et des concessionnaires automobiles. Comment en arrive-t-on là?

De simples observations révèlent des indices qui pourraient nous mener à la solution de l’énigme. Une question fondamentale s’impose. Est-ce que l’on inclut une analyse des besoins en transport en commun et des artères disponibles pour Mes premières assurer la mobiimpressions, lité des futurs résidents ou c’est que quand tu clients, lors de la ne vis pas dans planification des développements la ville de Québec, résidentiels et t’as des problèmes » commerciaux?

Si oui, comment a-t-on pu imaginer que la route de l’Hêtrière et la rue St-Félix allaient suffire à drainer la circulation générée par le développement de St-Augustin-de-Desmaures et au-delà, à la limite Ouest de Cap-Rouge? Paradoxalement, la congestion de la circulation n’est-elle pas en soi, un frein au développement?

Dans une analyse passée, le maire avançait : « Québec devra développer en priorité le transport en commun pour desservir sa banlieue avant de penser à implanter un tramway en haute ville ». Suite à ce constat, pourquoi ne pas tenter une entente de partage des voies ferrées peu utiliser afin de mettre en place rapidement des trains de banlieue au lieu d’attendre un tramway à l’avenir incertain? Pourquoi ne pas profiter de l’arrivée de la firme française KEOLIS au Québec, celle qui gère déjà le train de banlieue à grande vitesse de Londres et celui de Washington? L’affirmation que les problèmes de congestion n’affectent pas les résidents de Québec, mais seulement les résidents des banlieues éloignées, est une opération de camouflage, sans plus.

Il semble y avoir une ambiguïté dans le discours du maire sur sa notion de banlieue.

Puis-je lui rappeler que Cap-Rouge, Champigny et Pointe Ste-Foy font partie de la Ville de Québec et que St-Augustin-de-Desmaures de l’agglomération de Québec et que ce sont les résidents de ces secteurs qui font face chaque jour aux problèmes de congestion générés par une entrée massive de véhicules dans Québec.

Non, on n’est pas chanceux Robert, on est juste un peu en retard.

André Juneau

«

La santé de vos dents dépend de la qualité des soins et de la confiance en celui ou celle qui vous les procure.

Dre N-Thanh Tran

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Un homme visionnaire qui a marqué le paysage carougeois

Léo Petitclerc : hommage à un bâtisseur Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

T

out d’abord, il est impératif de savoir que Monsieur Petitclerc a construit de nombreuses maisons sur les rues suivantes : Gaudias Petitclerc, Place des Berges, Place du St-Brieux, rue du Rosaire-Turcotte, rue Noire-Fontaine, rue Nazaire-Leclerc, rue De Longueval, Place Blanchette, Place Juchereau-Duchesany, Faubourg du Cap et le Domaine des Sœurs. « Les maisons de mon père étaient reconnues pour leur grande qualité », indique d’entrée de jeu Brigitte Petitclerc. « Il avait à cœur la sécurité de son voisinage et la préservation de l’environnement. C’est pourquoi il gardait les arbres matures lorsqu’il construisait une nouvelle rue. Il se faisait un devoir de ne pas tout raser. Évidemment, il avait un souci de l’esthétique derrière son travail », relate Brigitte Petitclerc.

Outre la qualité de ses constructions, l’entrepreneur était également reconnu pour son service à la clientèle impeccable. « Notre père était vraiment dévoué auprès de sa clientèle. En fait, ses clients étaient comme des membres de la famille. Il avait un grand respect pour eux. Il avait le souci de leur offrir le meilleur service possible. Il était très disponible pour eux. Il travaillait tous les jours », se rappelle Line Petitclerc, tout en mentionnant que ses enfants n’ont jamais souffert de ses absences.

Un homme de cœur et de famille Brigitte Petitclerc se souvient d’ailleurs d’un père aimant, qui n’hésitait pas à amener sa progéniture faire des tours de camion et qui aimait réellement les gens. « Mon père avait des bonnes valeurs! Il avait un réel souci des autres. Il avait beaucoup de cœur et il aimait rire. C’était un bon vivant », se rappelle-

t-elle. Il n’était donc pas surprenant pour la famille de voir des centaines de gens défiler au salon funéraire pour lui rendre un dernier hommage au mois de décembre 2012, lorsque celui-ci a rendu l’âme suite à un cancer foudroyant.

En plus d’avoir marqué le paysage carougeois, Léo Peticlerc restera certainement gravé dans le cœur de tous ceux et celles qui ont traversé son chemin. « Mon Léo Petitclerc était un homme apprécié de tous. frère Léo a grandement contribué à faire du petit village de Cap-Rouge place nommée Léo Petitclerc en son honneur une belle petite ville… Peut-être il y aura une un jour », conclut Guy Petitclerc.

courtoisie

L’arrondissement de Cap-Rouge est réputé pour être une banlieue cossue reconnue pour la beauté de ses rues et de ses maisons. Cette réputation enviable elle la doit en grande partie à un homme visionnaire qui n’a pas hésité à y consacrer sa vie et sa carrière : Léo Petitclerc. L’Écho de Cap-Rouge a eu le privilège de s’entretenir avec deux de ses trois filles, Line et Brigitte, ainsi qu’avec son frère cadet Guy pour rendre hommage à cet homme qui a été l’un des grands bâtisseurs de Cap-Rouge, en plus d’avoir été président de l’Association provinciale des constructeurs d’habitations du Québec (APCHQ) provincial et régional.

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10e anniversaire du Conseil de bassin de la rivière du Cap-Rouge

André Demers nommé membre honoraire

courtoisie

SAVEUR - FRAîCHEUR - VARIÉTÉ

Le 27 mars dernier, le Conseil de bassin de la rivière du ap-Rouge a profité de son assemblée générale annuelle pour souligner ses 10 ans d’existence. Lors de l’événement, qui se tenait au Club de golf de Cap-Rouge, un hommage a été rendu à André Demers, devenant ainsi le premier membre honoraire de l’histoire du Conseil de bassin.

André Demers échange une chaleureuse poignée de main avec le président de l’organisme Normand Villeneuve.

Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

M. 3 SUCCU R SAlE S 62 VAR IÉTÉS

Complexe Lebourgneuf | 825, boul. Lebourgneuf Marché du Vieux-Port | 160, Quai Saint-André Sainte-Foy | 3280, chemin Sainte-Foy

so-cho.com

Demers fait partie des membres fondateurs de l’organisation.

Possédant une longue feuille de route tant pour son implication au sein de l’organisme que dans la communauté, les membres du Conseil de bassin de la rivière du Cap-Rouge trouvaient que le 10 e anniversaire était l’endroit tout indiqué pour lui rendre hommage et le remercier pour son apport inestimable. « Au début de 2014, M. Demers, qui agissait à titre de conseiller au président, à signifier son désir de se retirer des affaires. Mes collègues et moi avons donc décidé de nommer des membres honoraires. C’est pourquoi ce soir, nous tenons à souligner sa contribution soutenue auprès de l’organisme », a mentionné le président de l’organisme, Normand Villeneuve.

Un discours émouvant C’est d’ailleurs avec beaucoup d’émotions que M. Demers a accepté son nouveau titre. Devant sa femme et deux de ses quatre filles, il a récité un vibrant discours. « Je savais que ce moment serait teinté d’émotion. Au moment où je

reçois cette belle marque de reconnaissance, je suis habité par des sentiments partagés.

D’une part, la fierté d’avoir contribué à l’implantation d’une démarche de gestion intégrée de l’eau dans le bassin versant de la rivière du Cap-Rouge. D’autre part, la tristesse de m’éloigner de la gestion de l’organisme et des hommes et des femmes qui s’engagent à réaliser sa mission », a-t-il laissé tomber.

M. Demers a également profité de ce moment pour rappeler l’importance de prendre soin de la nature et de l’eau. « La Terre de nos ancêtres et la nature ne nous sont que prêtées.

Nous avons la responsabilité de les protéger pour nos enfants, nos petits-enfants et les générations futures », a-t-il insisté. C’est sous un tonnerre d’applaudissements que M. Demers a reçu une plaque commémorative sur laquelle il est indiqué : « Il a fait de la rivière sa fierté. »

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Sur la piste du sevrage

J’arrête, j’écrase, je le fais pour moi Étudiant en pharmacie, Dave Courchesne doit dans le cadre de sa formation élaborer des projets afin d’éduquer la population en matière de santé. Stagiaire chez Pharmaprix Cap-Rouge, il présente aujourd’hui à notre lectorat un texte sur l’arrêt tabagique.

Place à la plume de M. Courchesne.

I

l est possible que la nouvelle année ait amorcé une réflexion dans vos habitudes de fumeurs, toutefois vous n’étiez pas prêt à joindre le mouvement. Par contre, votre réflexion n’est pas partie en fumée et vous souhaitez réellement faire partie des ex-fumeurs?

Voici des pistes de solution.

Peu importe qu’on soit fumeur depuis quelques mois ou depuis plusieurs années, cesser de fumer aura toujours un impact positif sur votre santé, et aussi sur votre portefeuille!

Dès votre première journée sans fumer, les poumons commenceront à rejeter les résidus de fumée et votre tension artérielle diminuera. Après deux jours, vos sens du gouter et de l’odorat s’améliorent. Après quelques semaines, la marche deviendra plus facile, votre voix deviendra plus claire et la capacité de vos poumons pourrait s’améliorer jusqu’à 30 %. Après 10 ans, votre taux de mortalité du cancer du poumon sera égal à quelqu’un qui n’a jamais fumé. Ceux-ci ne sont que quelques avantages d’arrêter de fumer.

Le grand saut Choisissez un bon moment, avec le moins de stress possible. Il est également important de vous débarrasser de tout ce qui pourra vous faire penser à fumer (cendriers, allume-feux, etc.). Parlez-en avec votre entourage. Ils pourront vous encourager et vous supporter moralement! Parlez-en également avec d’autres fumeurs. Si vous êtes à plusieurs tentatives, ce n’est pas grave! Persévérez!

Il faut en moyenne entre 5 à 7 tentatives à un fumeur pour arrêter définitivement de fumer. Cela veut dire que certains réussiront

du premier coup, mais pour plusieurs, cela lors de votre démarche.

Et n’oubliez pas, il n’est jamais trop tard prendra plus de temps. Le site http://www. jarrete.qc.ca pourra également vous aider pour arrêter de fumer.

Les aides pharmacologiques de courte durée Gommes

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Mâcher quelques secondes une gomme jusqu’à ce qu’elle soit pétillante, puis la coller sur la joue avec la langue pendant 30 secondes Le cycle peut ensuite être recommencé La jeter après une trentaine de minutes

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La mettre dans la bouche et attendre qu’elle fonde

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Inhaler une cartouche au besoin. Chaque cartouche peut durer jusqu’à 20 minutes

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Faire une vaporisation directement sur la langue

Promotion du printemps

Les aides pharmacologiques Les aides pharmacologiques, c’est pour les gros et les petits fumeurs. En plus, cela double les chances de réussir. Les pharmaciens peuvent vous conseiller sur les divers outils disponibles et même les rendre couverts par votre assurance si vous êtes admissibles. Pour vous aider à arrêter, il existe une gamme de produits contenant de la nicotine qui peuvent aider grandement à réduire les effets de sevrage. Ces produits sont utilisés lorsque vous avez une rage, une envie immédiate d’une cigarette (voir tableau).

Seulement la gomme et les timbres sont remboursés par la RAMQ pour un maximum de 12 semaines consécutives, une fois par année. Pour les assurances privées, certaines remboursent d’autres produits. Finalement, il y a le ZybanMC et le ChampixMC qui sont des comprimés qui peuvent également être utilisés pour vous aider à cesser de fumer. Cependant, ils doivent être prescrits par un médecin. Pour ce qui est de la cigarette électronique, cette dernière n’est pas en vente en pharmacie. En effet, son utilisation est remise en question, car aucune étude ne démontre son efficacité pour l’instant. De plus, les composantes retrouvées dans celles-ci ne sont pas toujours totalement connues.

les mardis, mercredis et jeudis.

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* En vigueur du mardi au jeudi du 15 avril au 19 juin 2014.

Dave Courchesne est étudiant en pharmacie et stagiaire chez Pharmaprix Cap-Rouge.

Non monnayable.

Ne peut être combinée à toute autre promotion.

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Dans ma cour Par : Louis-Antoine Gagné

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sans jamais oser le demander

Une piscine en santé pour des baigneurs en santé Impatients, nous sommes plusieurs à regarder notre piscine, toujours prise dans un bloc de glace, en s’imaginant s’y rafraichir lors des chaudes journées d’été. Si cette neige peut fondre, nous pourrons enfin repartir la pompe et effectuer le démarrage printanier de cette précieuse masse d’eau. Surgiront ainsi les mêmes questions que l’on se pose chaque année. Quels produits dois-je rajouter et en quelles quantités ? Afin de répondre à ces questions, L’Écho est allé rencontrer Hélène Hamel, spécialiste de la qualité de l’eau et propriétaire de Piscine Gunite à Cap-Rouge.

L’

entretien de notre piscine peut parfois nous paraitre banal, on ajoute sans trop y penser, tel ou tel produit sans trop se préoccuper de ce qu’on fait, pourvu que l’eau reste limpide. Pourtant, l’eau d’une piscine peut être claire et limpide, mais contaminée par des germes et pathogènes causant des maladies. De l’autre côté, elle peut être turbide, blanchâtre et pas très invitante, tout en n’ayant aucun germe et pathogène.

Une bonne gestion de l’eau requiert la compréhension de trois principaux éléments pouvant influencer la qualité de l’eau d’une piscine.

C’est-à-dire : la filtration, la circulation et la chimie de l’eau. On dit que la force d’une chaine se mesure à celle de son maillon le plus faible, il en est de même pour l’eau de votre piscine.

Si les deux premiers éléments sont bons, mais que le dernier ne l’est pas et que vous tentiez de les corriger indépendamment l’un de l’autre, il

du pH de l’eau peuvent avoir des conséquences énormes sur l’état de l’eau. Quand le pH est trop acide, l’eau est agressive, tant pour les baigneurs que pour les équipements. Quand l’eau est trop basique, elle est corrosive, trouble, elle annule l’action des produits et irrite la peau et les yeux.

La dureté représente la teneur en sels minéraux (calcium et magnésium) d’une eau. y a de fortes chances que Une eau dure est une eau calcaire. Il est indiscela ne vous donne pas les pensable de contrôler également la dureté de résultats escomptés. C’est l’eau, car une eau douce favorise la corrosion pourquoi, avant de caliet une eau dure est source d’entartrage. On brer chimiquement l’eau, peut utiliser un rehausseur de dureté (CAL) il faut s’assurer que votre pour les eaux trop dures. L’alcalinité de l’eau filtre et votre pompe foncquant à elle, indique le pouvoir tampon de tionnent adéquatement. l’eau. Il s’agit de la capacité de l’eau à absorber Par exemple, si le sable des variations de pH. C’est donc une donnée contenu dans votre filtre importante pour la stabilité chimique de l’eau. est trop vieux, il ne filtre Une eau de piscine qui à une alcalinité base probablement plus conveaura un ph instable. nablement l’eau, réduisant Pour vérifier la qualité de l’eau de la piscine ainsi l’efficacité des proou du spa, une visite chez Piscine Gunite est duits désinfectants. indispensable. Elle permet de connaitre en Il y a trois principaux Hélène Hamel, propriétaire de Piscine Gunite. quelques minutes le niveau du désinfectant, le paramètres chimiques on mesure le pH, on voit si l’eau est trop acide pH, l’alcalinité et la dureté de l’eau. Une bonne que vous devez prendre en compte lors du traitement de votre piscine ou trop basique. Le pH idéal se situe entre 7.2 trousse d’analyse à la maison est aussi un outil : le pH, la dureté et l’alcalinité de l’eau. Quand et 7.4. Il faut savoir que de petites variations essentiel. Bonne baignade.

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Dans ma cour Par : Louis-Antoine Gagné

Est-ce le temps d’entretenir l’extérieur de votre maison?

Une maison neuve à peu de frais L’arrivée du printemps nous donne souvent le gout de renouveau. D’ailleurs, n’est-ce pas à ce moment de l’année qu’il se vend le plus d’automobiles. L’arrivée du temps chaud est aussi synonyme de grand ménage ou encore de rénovations.

Pourquoi ne pas s’offrir un rafraichissement complet de la maison. C’est-à-dire une peinture neuve qui donnera un air de jeunesse à votre demeure tout en prolongeant la durée de vie de votre revêtement. Vous pensez sans doute que cette opération requiert un temps considérable ou encore qu’elle s’avère beaucoup trop onéreuse. Détrompez-vous, Katherine Bédard franchisé Collège Pro et peintre d’expérience nous explique qu’au contraire, il est possible à peu de frais et sans tracas de redonner une allure neuve à votre maison.

L

a région carougeoise se caractérise par une multitude de maisons en bois et en crépis. Malheureusement, dans les deux cas, la peinture se défraichit rapidement et n’est plus en mesure de protéger le revêtement de notre résidence d’un vieillissement précoce causé par les intempéries et par le soleil. Selon Katherine Bédard, on devrait peindre nos maisons à tous les 5 ans afin de

La grande inconnue dans ces grands chantiers demeure toutefois la somme que vous devrez investir afin d’effectuer les travaux. On pourrait croire à un montant astronomique, mais rassurez-vous, le tout demeure très abordable. Katherine Bédard nous informe que la moyenne de ses contrats pour une peinture extérieure complète d’une maison est de 1200 $. Évidemment, il existe des maisons

LOCATION D’OUTILS

• Déchaumeuse • Aérateur • Balai mécanique • Laveuse à pression • Etc.

se prémunir d’éventuels problèmes. En effet, le bois étant un matériau poreux, il est très sensible à l’humidité et aux moisissures s’il n’est pas protégé adéquatement. Rajoutons aussi qu’une peinture neuve ne peut qu’embellir votre maison avec des couleurs plus actuelles.

Bien sûr, vous pouvez entreprendre vousmême les travaux, mais désirez vous vraiment passer vos vacances au bout d’un rouleau ?

De plus, il serait décevant de consacrer tout ce temps à peinturer pour des résultats décevants parce que vous n’auriez pas préparé les murs adéquatement ou encore que vous n’auriez pas fait attention aux conditions climatiques ou à l’importance accordée au soleil lors de l’application de la peinture.

plus petites et d’autres plus grandes, ce chiffre est donc donné à titre indicatif seulement.

Vous vous demandez peut-être, pourquoi est-ce que je laisserais un tas d’élèves travailler sur ma maison? Et bien, il y a trois bonnes raisons, pourquoi vous devriez considérer Collège Pro. Tout d’abord, l’équipe de Katherine Bédard est qualifiée, dévouée, minutieuse et sans aucun doute, elle apportera son énergie et sa passion dans un travail efficace pour donner des résultats de haute qualité dont vous serez aussi fiers qu’eux. Deuxièmement, les peintres sont en quelque sorte vos voisins et tout comme vous, ils veulent que leur communauté paraisse bien. Enfin, ils voudront assurément faire un excellent travail pour que vous les recommandiez.

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Dans ma cour Par : Louis-Antoine Gagné

Tout savoir sur l’entretien printanier de vos arbres

C’est le temps de faire le ménage Ça y est, vous êtes décidés, c’est ce matin que vous vous mettez à la tâche. Vous ramassez vos gants et votre râteau et commencez le laborieux ménage de votre terrain. Ce dernier est jonché de branches ce qui vous pousse à lever les yeux vers le ciel pour contempler les majestueux arbres qui règnent sur votre terrain.

On accorde que trop peu d’importance à ces arbres qui enrichissent notre environnement. Devrait-on les entretenir ? La réponse est oui, absolument. Cette réponse nous vient de Jean-Denis Zicat, élagueur et propriétaire de l’entreprise Arbrenaissance que l’Écho a rencontré afin d’en connaitre davantage sur l’entretien de nos arbres.

N

ous sous-estimons trop souvent la valeur de nos arbres et surtout la valeur de remplacement d’un arbre mature sur nos terrains. C’est pourquoi, tout comme pour nos maisons, on doit apporter un soin particulier à ces derniers. Bien sûr, un apprenti élagueur se cache chez plusieurs d’entre nous. Mais soyez vigilant, une taille drastique ou des techniques de taille non conforme peuvent avoir des répercussions irréversibles sur la santé de l’arbre. L’élagage est primordial pour la santé et la sécurité d’un arbre situé en milieu urbain en plus d’améliorer l’esthétisme de celui-ci et de mettre en valeur les bâtiments situés à proximité. Sou-

lignons aussi qu’un arbre non entretenu sera plus susceptible d’avoir des branches mortes qui pourraient endommager votre maison et vos véhicules en tombant.

Laissé un arbre sans entretien peut parfois être lourd de conséquences. En effet, on verra l’apparition de nombreuses fourches souvent fragiles et d’un déséquilibre pouvant entrainer la chute de l’arbre lors de grands vents. Rajoutons aussi que le manque d’aération au centre de l’arbre peut créer un milieu propice aux développements de maladies et à une présence accrue d’insectes nuisibles.

Que ce soit pour des travaux d’élagage ou encore des travaux d’abattage, faire affaire

avec un professionnel s’avère un choix judicieux.

Les arbres en milieu urbain Jean-Denis Zicat à l’œuvre étant souvent près d’infrastructures, au sommet d’un arbre. de réseaux électriques ou de routes, il faut donc utiliser des techniques spécifiques en raison des dangers et de la complexité des opérations. Le recours à un professionnel diplômé qui choisira des méthodes de travail sécuritaires et conformes vous évitera sans doute plusieurs tracas.

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Dans ma cour Par : Louis-Antoine Gagné

Laissez-vous tenter par des bulbes

Pour fleurir votre printemps L’arrivée du printemps coïncide avec la venue des magnifiques fleurs du printemps. Ces petites merveilles qui sortent du sol dès qu’elles le peuvent égayent ces premières journées et accélèrent notre désir de voir enfin l’été s’installer. Le climat québécois demande aux jardiniers d’ici un minimum d’efforts s’ils veulent avoir des platebandes bien garnies dès l’arrivée du temps chaud.

Au printemps, il fait encore trop froid pour les plantes annuelles, fort heureusement, les bulbes à floraison printanière sont la solution!

E

n plantant dès l’automne prochain quelques-uns des bulbes hâtifs les plus précoces, vous serez parmi les premiers à voir votre parterre s’égayer de fleurs. En principe, on ne plante les bulbes que lorsque la température du sol atteint 13 °C ou moins. La date de plantation sera donc plus hâtive dans les régions plus au nord ou à la campagne que dans le sud de Québec ou fortement urbaine. Aussi, d’une année à l’autre, cette date peut varier de plusieurs semaines selon que Tulipes. l’automne soit hâtif ou tardif. En plantant dans un sol trop chaud, les bulbes risquent d’être affectés par des pathogènes nuisibles. De des fleurs. C’est le cas des tulipes, des narcisses, plus, en plantant trop tard, il se peut que les des jacinthes, des iris, des crocus, des alliums bulbes n’aient pas suffisamment de temps pour et de plusieurs autres.

Pour la plantation, une règle bien simple produire de belles racines avant le gel en pros’applique à pratiquement toutes les espèces de fondeur du sol.

La grande majorité des bulbes qui sont bulbes. Plantez tous vos bulbes à une profonvendus en automne ont absolument besoin deur égale à trois fois leur hauteur. Ainsi, un d’une période de froid prononcé pour produire bulbe de tulipes de 4 cm de haut sera planté à

Un bel engouement pour l’avenir du lac St-Augustin !

Le Conseil de bassin du lac St-Augustin (CBLSA) a procédé à des séances de consultations ciblées animées par un professionnel, concernant la vision d’avenir pour le lac St-Augustin et son bassin versant. L’intérêt était au rendez-vous, la réponse a été très positive et les échanges, enrichissants ! Voici les prochaines étapes : se tiendra à l’hôtel de ville de St-Augustin-de-Desmaures, à la salle Jobin, à compter de 19h. À cette occasion, une présentation i-avril 2014 : Le site du CBLSA affi- sera faite aux participants de l’assemblée, laquelle sera suivie d’une chera un sonpériode d’échanges sur dage à remplir des propositions prélien ligne pour que la popuminaires concernant la lation puisse donner ses vision d’avenir, issues des opinions sur les grands consultations ciblées. thèmes qui se dégagent 28 mai prochain : des consultations ciblées L’assemblée générale et, en tout temps, vous annuelle du CBLSA, où pouvez nous écrire par le résultat final de l’exercourriel : cbassin@ cice de la vision d’avenir lacsaintaugustin.com ou tapez simplement CBLSA ou lac st-augustin et vous sera présenté.

Au plaisir de vous voir ou de vous lire ! vous trouverez notre site Internet.

7 mai 2014 : Une consultation publique www.lacsaintaugustin.com Une collaboration du CBLSA

M

12 cm de profond, alors qu’un bulbe de crocus de 2 cm de haut, sera planté à 6 cm de profond. Cette profondeur est généralement suffisante pour protéger les bulbes des effets néfastes des gels et dégels répétés du début du printemps.

Quant à l’espacement entre les bulbes au moment de la plantation, laissez au moins 5 cm de distance entre les petits bulbes (crocus), 10 cm entre les bulbes moyens (tulipe) et 20 cm ou plus entre les gros bulbes (ail géant).

Les bulbes poussent dans plusieurs types de sol, mais ils donneront de moins bons résultats dans les sols secs et acides. Peu importe la nature de votre sol, le plus important est qu’il soit bien drainé. Grâce aux hivers froids du Québec, il n’est pas nécessaire de déterrer les

Crocus. bulbes après leur floraison. Ils reviennent sans peine pendant au moins de trois à cinq ans et plusieurs se naturalisent, c’est-à-dire qu’ils se multiplient avec le temps. Cependant, il faut permettre au feuillage de faner et de s’assécher naturellement. Vous ne désirez pas attendre à l’an prochain avant d’avoir des fleurs dans vos plates bandes dès le début du printemps, vous devrez donc regarder du côté des fleurs annuelles. En effet, quelques variétés d’annuelles tolèrent très bien le froid tel que les pensées, les dianthus et les mufliers. Idéalement, il faut attendre que les derniers risques de gel soient passés (cette date varie selon les régions) avant de planter les fleurs annuelles.

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Le récit inspirant de William et Nadège

À la conquête de l’inconnu William Verge et Nadège Brunelle ont pris deux ans de leur vie pour réaliser un rêve : celui de parcourir le monde, au gré du vent.

640 jours, 28 pays et une multitude d’aventures plus tard, « Le trou dans mon C.V. » a pris forme. La mission première du livre est de démontrer que ce « trou » représente en fait une expérience tangible, et même, un atout pour celui qui a vécu « l’expérience de notre planète ». Coup d’œil sur l’histoire captivante dont témoigne leur carnet de voyage.

malory@leseditionsprime.ca

À

la fin de leurs études, le couple a cumulé les emplois et les heures supplémentaires afin d’amasser la somme nécessaire à leur périple. Le moment venu, les deux voyageurs sont partis sur leur « coup de tête réfléchi », sans itinéraire défini. Un billet d’avion aller simple à la main et un sac à dos, ils ont tout quitté pour conquérir l’inconnu. « C’était maintenant ou jamais : plus on vieillit, plus les obligations s’installent. C’était le moment idéal pour nous de le faire », raconte Nadège.

Prévoir l’imprévisible

Nadège et William en plein cœur du désert Dasht-e Kavir, en Iran. défis permettent d’apprendre beaucoup sur le particulièrement apprécié, précisément pour la pays que l’on explore. liberté d’explorer ce que celui-ci offre. « Avec quelques renseignements et un peu de guts, c’était facile de sortir de la ville et d’aller découFaire vivre l’histoire Parmi les souvenirs les plus marquants, Wil- vrir la nature », explique William.

Le duo a couché ses chroniques sur papier liam mentionne la magnificence de l’Himalaya, tandis que Nadège berce le souvenir de l’île de afin de partager leur expérience, mais aussi par Pâques, pour son caractère unique. « La beauté besoin de créer une œuvre concrète issue de et le silence de ces lieux mythiques sont vraiment ces deux ans. Immortalisant les péripéties du impressionnants » affirme cette dernière. Le couple, « Le trou dans mon C.V. » est un carnet Népal est un pays que les jeunes aventuriers ont de voyage informatif, captivant et inspirant !

Courtoisie William Verge

Voyager de la sorte exige une bonne dose d’instinct. Que mange-t-on lorsque l’on arrive dans un pays inconnu ? « On choisit ce qu’il y a de moins cher ! » s’exclame William, blaguant à peine. Devant des possibilités multiples, mais

un budget à tenir, le duo se rendait généralement dans les marchés publics. « On observait les gens et on choisissait les mêmes choses qu’eux », ajoute Nadège.

Bien sûr, un périple sans itinéraire sous-entend de carburer aux imprévus. Cela comporte également une dose d’anecdotes. Par exemple, après une baignade dans les eaux de l’Amazone, Nadège s’est retrouvée le corps couvert d’irritantes piqures rouges. Pendant qu’elle nageait, des insectes microscopiques ont élu domicile dans ses vêtements de randonnée, défendant leur nouveau territoire lorsqu’elle se rhabilla. Quoique bénignes, ces piqures on laissé des traces sur tout son corps durant plusieurs mois. « J’avais l’air pestiférée ! » s’exclame-t-elle en riant.

Pour le duo, c’est ce caractère inconnu qui donne sa saveur au voyage. « Faciliter le voyage, c’est faire mourir l’aventure » : voilà le mantra de William. Le couple soutient que la rencontre de difficultés et l’accomplissement de

Courtoisie William Verge

Par Malory Lepage

Le couple durant son passage sur le volcan Rinjani, en pleine éruption, à l’île de Lombok en Indonésie.

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Stéphane Ledien publie un deuxième roman

Bleu tout-puissant : quand les mots se font blues Après «Un parisien au pays des pingouins», l’auteur et journaliste pigiste Stéphane Ledien récidive pour notre plus grand bonheur et propose cette fois-ci un roman de fiction intitulé Bleu tout-puissant. L’ouvrage de 216 pages est publié chez Lévesque éditeur et nous plonge dans un univers où le blues, l’harmonica, la fiction, l’humour et les tourments se côtoient.

Par Marie-France Simard mf@leseditionsprime.ca

T

out d’abord, le personnage principal, nommé Gaspard Méricam, est un Parisien qui travaille comme rédacteur publicitaire dans une agence de Québec.

C’est pour vivre en toute liberté sa passion pour la musique blues et pour livrer ses états d’âme à son harmonica qu’il quitte son emploi.

Tout au long des 36 chapitres, le lecteur est ainsi amené à partager les questionnements existentiels et la période de déroute auxquels le personnage est confronté. D’ailleurs, pour bien comprendre l’état d’âme dans lequel se trouve Gaspard, Stéphane Ledien a associé une chanson blues à chacun des chapitres. Tout au long du récit, de nombreux rebondissements arrivent au personnage principal, dont la rencontre avec un gourou de l’art, une sorte de messie du pop art qu’on pourrait comparer

à Andy Warhol, qui a comme don de prendre des clichés des âmes des gens. Cette rencontre chamboulera le cours de sa vie, tout comme celle avec sa voisine Mélanie… Et ça, c’est sans parler des joutes verbales auxquelles se livre le protagoniste avec son patron : des moments savoureux remplis d’audace et d’humour.

Il faut l’avouer: le deuxième roman de notre collègue de l’Écho est magnifiquement écrit.

C’est un excellent roman à découvrir, à lire et à… écouter. En vente dans toutes les librairies, la fin vous surprendra et vous trottera longtemps dans la tête... Bonne lecture !

Extrait de Bleu tout-puissant « – oui, le blues, Antoine. Tu sais, Hoochie Coochie Man, Muddy Waters, B. B. King, Buddy Guy, et toutes ces chansons écrites par des Noirs et que les Blancs ont reprises en faisant fortune… La légende de Cross Road Blues, Robert Johnson qui vend son âme au diable en échange d’un jeu de guitare

L’auteur Stéphane Ledien. autos sophistiquées. L’Internet, les PDF, la musique à télécharger au lieu d’aller l’écouter live, de la vivre, d’acheter le disque au type qui descend de la scène, le front perlé de sueur, la mine éclairée par la joie d’avoir tout donné ce soir pour toi, pour eux… » – T’es donc bien intense, toi… Tu ne voudrais pas en reparler la semaine prochaine, plutôt ? »

Faire entendre sa voix

Bilan

AvAntAgeux pour nous tous

de la distinction coopérative Coopérer pour développer sa communauté

incroyable et du succès en tant que chanteur…

Il a froncé les sourcils, fait mine de rechercher dans sa mémoire des souvenirs d’adolescence bien enfouis, croulant sous une tonne de poussière et de clichés culturels.

– Ah ? Je pensais que c’était Steve Vai et ce gamin de Karaté Kid, là.

– Oublie ça, c’est pas le propos. Je veux promouvoir le genre, jouer avec plein de musiciens, peut-être même me rendre à Chicago ou en Louisiane, faire une sorte de pèlerinage, tu vois…

Il a eu une petite grimace. Dégoût, scepticisme, je n’aurais su dire. […]

– J’ai besoin de toi ici.

J’ai secoué la tête.

— Non, tu n’as pas besoin de moi, j’ai dit. Tu as pris l’habitude de compter sur mes services, ma présence, c’est tout. Comme on s’habitue tous à nos petites commodités, nos téléphones intelligents, nos grosses

A B E

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C

AvAntAgeux pour moi

FONDS D’AIDE AU DÉVELOPPEMENT DU MILIEU 42 000 $ A - éducation B - coopération C - culture D - déVeloppement économique E - communautaire

4 000 $ 9 400 $ 10 500 $

A E

B

D C

6 000 $ 12 000 $

dons et commandites 47 000 $ A - éducation B - santé et HaB. Vie C - culture D - déVeloppement économique E - communautaire

4 500 $ 17 200 $ 12 200 $

la Vie démocratique est un pilier de Votre caisse. elle permet aux memBres de prendre part aux orientations et aux résultats de la coopératiVe, et de poser leur candidature comme dirigeant. pour assurer une relève dynamique, la caisse participe au programme Jeune dirigeant stagiaire desjardins. elle a ainsi accueilli cinq jeunes au cours des sept dernières années. de ce groupe, sophie giroux-Blanchet siège sur le conseil d’administration de votre caisse.

3 000 $ 10 100 $

S’ÉDUQUER EN MATIÈRE DE FINANCES Votre caisse accomplit sa mission d’éducation coopératiVe et financière en mettant en place des actions pour toutes les clientèles qu’elle dessert.

la 3e édition du BBq 18/30, une idée originale du comité jeunesse.

un programme de caisse scolaire ; une visite d’éducation à la coopération pour des élèves de 6e ; des conférences financières ; un concours portant sur les connaissances de nos membres ; une soirée pour les organismes et les entreprises membres ; un appui aux coopératives Jeunesse de services (cJs) en intercoopération avec les caisses de sillery—saint-louis-defrance, sainte-foy, et saint-augustinde-desmaures.

l’équipe et les partenaires de la coopérative Jeunesse de services (cJs) de caprouge de 2013.

cours de la semaine

les gagnants du con coopération 2013.

la visite d’éducation à la coopération 2013.

une force collective

de la

la caisse scolaire.

M. Étienne Corriveau-Hébert - dirigeant stagiaire et président du comité jeunesse, à droite Mme Sophie GirouxBlanchet - administratrice et membre du comité jeunesse, et à gauche Mme Audrey Archambault-Gingras - conseillère jeunesse et membre du comité jeunesse.

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JOURNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUGE

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Un rendez-vous culturel mensuel à Cap-Rouge : « Les Parfaits Inconnus »

Rendez-vous scientifique incontournable pour les jeunes

Le premier mardi de chaque mois, des amoureux des mots qui ne se disent « ni écrivains, ni vedettes » se rencontrent dans le décor inspirant de l’atelier de l’artiste peintre Gérard Boulanger. Qu’y font-ils ? Ils présentent des textes, des poèmes, des chansons, des extraits de romans de leur cru avec, comme mots d’ordre : écoute, respect et plaisir du partage. Bienvenue aux « Parfaits Inconnus », le secret culturel le mieux gardé de Cap-Rouge !

La Maison Léon-Provancher, offre des activités scientifiques toute l’année, par le biais de ses activités éducatives dans les CPE et les écoles primaires, par ses animations familiales de fin de semaine et les activités de découverte scientifique offertes au musée. L’été, elle offre des activités scientifiques sous forme de semaines thématiques dans le cadre de son camp de jour.

Le camps de jour de la Maison Léon-Provancher

À voix haute stephane@leseditionsprime.ca

Q

uand on entre ce soir-là dans l’atelier très typique de Gérard Boulanger au 1410 rue Provancher, l’effervescence est à son comble : dans quelques minutes, à 19h00 très précisément, se tiendra une nouvelle rencontre des « Parfaits Inconnus », groupe d’échange de textes en tous genres. Ici, chaque « écrivant » a sa place. Seules conditions à respecter : la limite de temps (5 à 10 minutes par prestation) et l’originalité des textes choisis. Car aux « Parfaits Inconnus », on a beau s’essayer à l’écriture en « incognito de la littérature », on ne déclame que ce que l’on a composé soi-même. Loin des cercles d’auteurs qui se prennent très au sérieux, « Les Parfaits Inconnus » représentent l’occasion unique de belles rencontres et d’histoires à partager, le temps d’une soirée mémorable. Une heure et demie durant laquelle il n’est pas rare de passer des rimes aux rires.

Une collaboration de Virginie Benjamin et de l’Écho de Cap Rouge

Pascal Bonneau lui a permis de trouver le lieu le plus inspirant qui soit pour concrétiser l’aventure. Même si l’événement fut occasionnellement organisé en plein centre de Québec (notamment au Studio P), c’est dans ce fameux atelier de la rue Provancher que siège le cœur des « Parfaits Inconnus ». Là, assis sur un tabouret devant la dernière toile du maître des lieux, les intervenants nous font tour à tour profiter de leurs créations : une histoire de chasse au castor racontée avec l’énergie des meilleurs conteurs, un émouvant poème sur le matin, ou encore une évocation de « la tranquillité » à la guitare et à l’harmonica Comme nous le confie Françoise, une habituée des lieux qui habite Cap-Rouge : « ça change de la télévision. Et ça nous remplit tellement ! »

De tout pour tous les gouts n Moteur, génie, action! : semaine très appréciée des enfants touche-à-tout et des jeunes ingénieux puisqu’elle allie manipulations, dextérité et créativité. n Passionné à l’os : cette semaine thématique permet d’en apprendre sur les animaux vertébrés par des dissections, des excursions en rivière et au marais, l’observation au microscope. n Fou de physique : une semaine qui s’adresse aux curieux des phénomènes physiques du quotidien.

Les jeunes auront l’occasion de fabriquer des fusées, et de les faire voler, en plus d’expérimenter concrètement plusieurs lois de la physique. n Structuré comme un invertébré est une semaine qui rejoint les curieux de nature,

Créer des emplois

Au bonheur des mots

et des opportunités courtoisie

L’histoire des « Parfaits Inconnus » a commencé en 2008 : Aubert Tremblay, lui-même auteur-compositeur-interprète et journaliste-réalisateur pour l’émission « La semaine verte » à Radio-Canada, rêvait depuis longtemps de rapprocher les gens autour de textes, à CapRouge. Sa rencontre avec Gérard Boulanger dans la boulangerie de

qui aiment les excursions en milieu naturel puisque chaque participant se constitue une collection d’insectes. n Les plantes j’en mange rejoint à la fois l’alimentation et le monde végétal, et permet aux enfants de créer leur herbier et de goûter à plusieurs créations culinaires. n La dernière semaine, du 18 au 22 août, la Maison Léon-Provancher offre ses meilleures activités dans une formule « méli-mélo ».

Située dans le Vieux-CapRouge, vos enfants auront le privilège d’être entourés de milieux naturels, comme le marais et la rivière du Cap-Rouge. Offrez à vos enfants un été rempli d’activités plus qu’enrichissante les unes que les autres. Pour de plus de détails : www.maisonleonprovancher.com courtoisie

Par Stéphane Ledien

Fondateur du groupe d’échange de textes et de chansons « Les Parfaits Inconnus », Aubert Tremblay n’est jamais le dernier à se prêter au jeu de la déclamation. Les rencontres ont lieu dans l’atelier de l’artiste peintre Gérard Boulanger et la règle est simple : on ne lit ou chante que ce que l’on a écrit soi-même.

Le Plan d’action économique de 2014 donne des résultats en contrôlant les dépenses et en plaçant le Canada sur la voie de l’équilibre budgétaire en 2015.

L’atteinte de l’équilibre budgétaire protège notre économie et contribue à la maintenir vigoureuse. Le Plan d’action économique de 2014* prévoit des investissements dans des domaines importants pour les Canadiennes et les Canadiens, notamment : • un accès amélioré au service Internet à large bande offert dans les collectivités rurales et du Nord; • un nouveau crédit d’impôt pour volontaires participant à des activités de recherche et de sauvetage; • le programme Nouveaux Horizons pour les aînés; • de nouvelles mesures pour soutenir les apprentis dans les métiers; • un accès amélioré et élargi aux sentiers pour motoneiges et aux sentiers récréatifs dans l’ensemble du pays; • plus de 90 millions de dollars pour appuyer la croissance et l’innovation au sein du secteur forestier. *Sous réserve de l’approbation du Parlement

Renseignez-vous davantage sur la façon dont le Plan d’action économique de 2014 peut vous aider en visitant le site plandaction.gc.ca

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Des jeunes Carougeois et Augustinois du Collège des Compagnons récompensés à « L’Anti-festival de cinéma » pour ados de Québec

Génération caméra

Ces dix résidents de Cap-Rouge et de Saint-Augustin font partie des trois équipes d’élèves du Collège des Compagnons primées en mars lors de « L’Anti-festival » du film pour ados de Québec. Bravo à eux !

Lors de la troisième édition du Festival de cinéma pour enfants de Québec en mars dernier, les adolescents n’ont pas été en reste avec la présentation d’un « Anti-festival » programmé pour eux.

Clou de l’événement : un concours de courts-métrages remporté par trois équipes du Collège des Compagnons ! L’Écho est allé à la rencontre de ceux qui, parmi les jeunes récompensés, habitent Cap-Rouge et Saint-Augustin. d’éthique et de culture religieuse. « Il s’agit de les sensibiliser à l’entrepreneuriat. » Comstephane@leseditionsprime.ca prendre : mener à bien une réalisation et la ls ont entre 15 et 17 ans, et du talent à transformer en succès. Dont acte, puisque les revendre. Élèves du programme Protic élèves ont raflé tous les prix lors d’une soirée au Collège des Compagnons, les jeunes spéciale au Clap le 2 mars dernier ! primés lors de « L’Anti-festival du film » pour ados de Québec voient d’abord la réalisation de Mille fois bravo courts-métrages comme une expérience de ges- Certains des jeunes finissants ont présenté le tion de projet. « Nous ne leur enseignons pas court-métrage qu’ils avaient réalisé en 2013. l’art cinématographique », précise Bernard Des équipes de 4e secondaire ont quant à elles Landry, professeur de français, d’histoire, proposé leur première fiction vidéo. RemarPar Stéphane Ledien

I

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Hugues Bradette-Laplante, de Cap-Rouge, et Justine Giroux, de Saint-Augustin, ont été récompensés pour leur participation au court-métrage conceptuel « Hold’em » (prix du meilleur film). qué pour son aspect conceptuel, « Hold’em » a reçu le prix du meilleur film, tandis que le drame « Impuissance » a récolté le prix de la meilleure réalisation. Une bourse de 500 $ assortie d’une journée avec des professionnels de Télé-Québec ou de la firme Frima, a en plus été remise à chacune des équipes.

Sans compter le prix du public attribué à l’autre drame réalisé par des élèves du collège : « Pourchassés ». Fait notable, parmi les cinéastes couronnés, pas moins d’une dizaine viennent de Cap-Rouge ou de Saint-Augustin. L’occasion était trop belle de dresser le portrait de cette jeunesse créative.

Et voici l’équipe presque au complet du court-métrage « Pourchassés » (prix du public). De gauche à de scénariste ? « Pourquoi pas ! » Elle confie que son film fétiche est « La petite princesse » droite : Camille Fortier, Vicky Turcotte et Maxim Jacob, de Cap-Rouge ; Philippe-Étienne Dion et Sophie Chouinard, de Saint-Augustin. d’Alfonso Cuarón (« Gravité »).

« Impuissance »

Christophe Couture, 16 ans Sophie Chouinard, 16 ans, Saint-Augustin-de-Desmaures Réalisateur, acteur secondaire : Christophe était des deux côtés de la caméra. Ce qu’il a le plus aimé ? Expérimenter le matériel et s’occuper de la logistique. Il se dit aussi « intéressé par le côté artistique des films ».

« Impuissance »

« Hold’em »

Laurence Charest, 17 ans

Cap-Rouge

« Prendre une scène et voir ce qu’on peut faire avec » : voilà ce qui lui plaît. Si Laurence a volontiers manié la caméra, elle se sent plus à l’aise avec le montage. Une discipline qui reste « un loisir et pas une ambition de carrière », précise-t-elle.

Hugues Bradette-Laplante, 15 ans Après un stage à l’École de Cinéma et de Télévision de Québec et la rencontre avec un monteur professionnel, Hugues veut vérifier cette année si le montage est « vraiment une vocation ». Le film récent qui l’a marqué ? « Intouchables ».

« Hold’em »

Justine Giroux, 16 ans Saint-Augustin-de-Desmaures

Justine avoue avoir « préféré être cameraman qu’actrice ». Pour cette fervente amatrice d’art visuel qui fait « de la photo depuis longtemps », la réalisation de vidéoclips pourrait devenir une voie à suivre. À moins qu’elle n’aille « en sciences ».

« Impuissance »

Gabrielle Renaud, 16 ans Cap-Rouge

Actrice dans « Impuissance », Gabrielle en a aussi écrit le scénario. Elle travaille actuellement sur deux autres scripts. Vivre du métier

« Pourchassés »

Saint-Augustin-de-Desmaures

Saint-Augustin-de-Desmaures

Récompensée pour « Pourchassés », Sophie a aussi été monteuse des deux autres films primés. « Le montage m’intéresse beaucoup », dit-elle. Tout s’explique !

« Pourchassés »

Philippe-Étienne Dion, 15 ans Saint-Augustin-de-Desmaures

Philippe a été acteur secondaire et preneur de son. Quand il se remémore l’ambiance du tournage, il ne feint pas l’enthou-

siasme : « j’ai tripé ! » Exactement comme lorsqu’il regarde des films de Jackie Chan et la série québécoise « Dans une galaxie près de chez vous ».

« Pourchassés »

Maxim Jacob, 15 ans Cap-Rouge

Comédien dans le court-métrage « Pourchassés » où il était, paraît-il, impressionnant, Maxim se verrait bien prendre des cours d’art dramatique et « faire du théâtre ». Et du cinéma ? « Oui, aussi ! ». D’ailleurs, il adore les acteurs Channing Tatum et Jennifer Lawrence.

« Pourchassés »

Camille Fortier, 16 ans Cap-Rouge

Camille a occupé les postes de réalisatrice et d’actrice. Elle cite comme modèle le « Batman » de Tim Burton, mais ce qu’elle aime par dessus tout, ce sont les maquillages d’horreur et les effets spéciaux. Et plus tard ? Elle souhaiterait travailler dans l’organisation d’événements.

« Pourchassés »

Au cœur du Vieux-Cap-Rouge et à proximité du Fleuve

Vicky Turcotte, 16 ans, Cap-Rouge

Tenir la caméra, Vicky a aimé ça. Graphiste douée, elle envisage de faire du cinéma d’animation. Ses références ? Le court-métrage « Paperman » (oscarisé en 2013) et « La Reine des neiges ».

Animateurs scientifiques diplômés et expérimentés Activités stimulantes pour les 5 à 12 ans : expériences, dégustations, bricolages, randonnées en nature, excursions en canot et sortie à la piscine municipale.

THÉMATIQUES Moteur, génie, action!

Passionné à l’os (les animaux vertébrés) Fou de physique Structuré comme un invertébré Les plantes, j’en mange Méli-Mélo : le meilleur de l’été

Derrière le drame « Impuissance » (prix de la meilleure réalisation) se trouve entre autres le talent de la Carougeoise Gabrielle Renaud et des Augustinois Christophe Couture et Laurence Charest.

418-650-7785 www.maisonleonprovancher.com

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| avril 2014 | volume 5 • numéro 3

Première soirée-opéra du Club Rotary Saint-Augustin / Cap-Rouge

Qui est-ce ?

La réponse à notre chronique Qui est-ce en p. 7 :

Heure exquise

Le 5 avril dernier, l’église de Cap-Rouge vibrait d’une émotion toute particulière, au son de splendides vocalises et accompagnements pianistiques. Organisée par le Club Rotary Saint-Augustin / Cap-Rouge au profit des organismes communautaires locaux, cette première soirée-opéra a attiré un public nombreux venu écouter les airs les plus choyés du répertoire classique.

Par Stéphane Ledien stephane@leseditionsprime.ca

P

lus d’une centaine de personne ont bravé le mélange de neige et de pluie qui tombait ce samedi-là pour assister à un récital exceptionnel au sein de l’église de CapRouge. Au programme : des pièces accessibles très appréciées des mélomanes, naviguant entre « La Traviata » de Verdi, « Carmen » de Bizet et

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L’opéra au profit d’une noble cause

Dominique Lalande

Linda Even, ancienne propriétaire du restaurant Le Gwalarn et Présidente de la SHCR, Société historique du Cap-Rouge.

leux, le ténor Keven Geddes et le baryton-basse Michel Desbiens, tous accompagnés par la pianiste Lise Lachance.

« Porgy and Bess » de George Gershwin. Mais aussi, des airs plus qu’entêtants aux titres parfois moins connus du grand public : le chavirant « Mon cœur s’ouvre à ta voix » tiré de l’opéra « Samson et Dalila » de Camille Saint-Saëns, ou encore le sulfureux duo de sopranos « Sous le dôme épais » du « Lakmé » de Léo Delibes.

Des pièces magnifiques interprétées avec brio par des artistes de haut vol : la soprano Émilie Baillargeon, la mezzo-soprano Élizabeth Veil-

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Objectif de la soirée : récolter 3000 $ pour les organismes communautaires de Saint-Augustin et de Cap-Rouge, tout en démocratisant le chant classique. « Nous voulions faire sortir de chez eux les gens qui n’étaient encore jamais allés à l’opéra », explique Jean-François Dufour, Président du Club Rotary Saint-Augustin / Cap-Rouge.

Au-delà de la levée de fonds, l’enjeu se révélait donc éminemment culturel. Impossible, après coup, de ne pas clamer que le succès fut au rendez-vous : outre les morceaux de bravoure masculine du duo « Au fond du temple saint » (extrait des « Pêcheurs de perles » de Bizet) et de l’air pour ténor « Nessun Dorma » de Puccini, on retiendra l’élégante déambulation d’Élizabeth Veilleux dans l’allée centrale de l’église, invitant l’un des heureux élus de l’auditoire à valser avec elle sur l’« Heure exquise » de l’Autrichien Franz Lehár. Grandiose !

volume 5 • numéro 3 | avril 2014 |

JOURNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUGE

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immobilier Patricia Deguara

L’ABC d’un acheteur diligent Vous caressez le rêve de devenir propriétaire mais vous vivez des inquiétudes face au marché actuel. Et bien votre questionnement est légitime. Qu’en est-il du marché immobilier à Québec ?

Peut-on envisager d’acquérir une nouvelle propriété tout en faisant un placement fructueux ?

L

es médias nous inondent de statistiques immobilières. Or, il est difficile de comprendre où le marché de Québec se situe véritablement. D’abord, il est impératif de faire une dissociation entre le marché de Québec et celui du restant du Canada. Nos marchés sont distincts et les contextes trop différents pour être comparés. En 2013, nous avons vécu un resserrement important du marché immobilier à Québec. Depuis le début de l’année, le marché de la Capitale tant à se stabiliser. D’ailleurs en février, les statistiques prouvent une hausse des transactions de ventes de 7% comparativement à la même période l’an dernier. Et des ventes qui ont notamment augmenté de 42% dans l’arrondissement de Ste-Foy/Sillery/Cap-Rouge.

«

Enfin, un vent de positivisme! À la lueur des facteurs clés liés à l’économie, nous pouvons croire que le marché immobilier restera actif pour les prochains mois. Steve Gilbert évaluateur va dans ce sens : « La confiance revient! La demande est forte pour les jumelés et les maisons de ville neuves. Aussi, le marché est bon pour le 1er acheteur dans l’usager.» Les taux d’intérêts sont favorables et le taux de chômage est bas dans la région, ce qui prédispose positivement aux nouvelles acquisitions. Avec le marché de la 1ère propriété qui reprend, ce sont tous les autres marchés qui vont pouvoir s’élever !

L’immobilier demeure un placement payant! Cependant, pour bien spéculer, il faut d’abord savoir bien acheter. La 1ère règle d’un

(...)en février, les statistiques prouvent une hausse des transactions de ventes de 7% comparativement à la même période l’an dernier.

Et des ventes qui ont notamment augmenté de 42% dans l’arrondissement de Ste-Foy/Sillery/Cap-Rouge.

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acheteur averti est d’avoir recours au service d’un spécialiste pour guider son choix. Choisissez un courtier immobilier de confiance pour vous représenter. L’achat d’une propriété est un processus complexe qui demande de la compétence et de l’expérience. Il est primordial de vous faire encadrer pour prévenir le pire et vouloir le meilleur.

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| avril 2014 | volume 5 • numéro 3

Santé Par les physiothérapeutes de la Clinique de physiothérapie pédiatrique

Mon nouveau-né a la tête plate…

Il arrive parfois que suite à la naissance d’un enfant ou quelques jours ou semaines suivant son arrivée, nous observons que la tête de bébé n’est pas complètement ronde, qu’elle est aplatie d’un côté. Que faire ? Est-ce réversible ?

Qu’est-ce que la plagiocéphalie ?

La plagiocéphalie, souvent dénommée « tête plate », est une déformation asymétrique du crâne causée par des forces de compression externe lors de la période prénatale ou post-natale. Ceci est une définition très théorique. En fait, si on veut vulgariser un peu la définition, le crâne du nouveau-né est extrêmement malléable et en phase de croissance rapide, si une pression est appliquée de façon prolongée ou répétée à un même endroit sur celui-ci, il y deviendra progressivement plus plat puisque la croissance osseuse ne s’y effectue plus librement.

C’est une problématique qui a pris de l’ampleur depuis le lancement de la campagne « Dodo sur le dos » à la fin des années 1990. Bien que la plagiocéphalie puisse être associée à d’autres conditions comme par exemple un torticolis, une prématurité ou un retard moteur, elle est aussi causée par le positionnement de l’enfant au quotidien lors des périodes de sommeil et d’éveil. La bonne nouvelle est qu’il est possible d’intervenir pour prévenir la plagiocéphalie et si malheureusement elle s’est déjà installée, on peut contribuer à sa résolution en modifiant simplement les habitudes avec le bébé.

Comme l’enfant préfère regarder vers la pièce que vers le mur, il variera instinctivement la position de sa tête. n Lors des périodes d’éveil, assurez-vous de stimuler votre enfant à tourner activement la tête autant vers la droite que vers la gauche en variant l’orientation des sources de stimulations. Pour ce faire, vous pouvez déplacer le siège dans lequel il est installé, déplacer les jouets sur son tapis d’éveil ou encore l’approcher par différentes directions pour lui parler

ou le nourrir. n En période d’éveil, un bébé, même nouveau-né, devrait toujours passer du temps sur le ventre ou couché sur le côté avec supervision. Pour un nouveau-né, ce n’est pas la durée de l’activité qui compte mais plutôt la fréquence à laquelle elle est pratiquée. Les pleurs sont normaux au début et s’estomperont progressivement. De plus, plus on commence tôt à jouer sur le ventre, plus il aura du plaisir dans cette position. Ceci constitue un avantage indéniable puisque les acquis qui sont faits dans cette position seront essentiels à un développement moteur harmonieux au cours de sa première année. n Éviter de laisser son enfant de façon prolongée dans un siège d’auto ou une balançoire.

Prévention de la plagiocéphalie au quotidien Prévenir la plagiocéphalie, n’est pas sorcier.

Il suffit simplement de développer de bonnes habitudes positionnelles au quotidien et ce, dès la naissance du bébé. Voici donc quelques petits trucs simples qui peuvent permettre d’éviter la «tête plate». n Il est important de se rappeler que pour sa sécurité, votre enfant doit dormir sur le dos, il n’y a pas de compromis à faire à ce sujet.

Cependant, vous pouvez vous assurer qu’il varie la position de sa tête en la positionnant en alternance à droite ou à gauche au début de chaque sieste. Vous pouvez aussi varier sa position dans la couchette en plaçant sa tête en alternance à la tête et au pied du lit.

Comme il n’a pas acquis un bon contrôle de tête, lorsque la tête du nouveau-né tombera d’un côté ou l’autre, il aura de la difficulté à modifier lui-même la position de celle-ci, ce qui entraînera un appui prolongé sur une zone précise du crâne. Mieux vaut donc privilégier les jeux au sol.

Reconnaître la plagiocéphalie qui s’installe Mieux vaut prévenir que guérir mais malheureusement, la plagiocéphalie peut parfois s’installer rapidement. Comment la reconnaître? Tout d’abord, si vous remarquez que votre enfant a une préférence marquée à tourner sa tête d’un côté ou encore qu’il porte plus souvent une main que l’autre à sa bouche, sachez qu’il est à risque de développer une plagiocéphalie. Vous pourrez reconnaître une plagiocéphalie si, en regardant la tête de votre enfant, vous observez un aplatissement plus marquée d’un côté par rapport à l’autre à l’arrière de sa tête. De plus, dans les cas où la plagiocéphalie est prononcée, on peut aussi observer que, du côté de l’aplatissement, l’oreille est plus avancée et que le front est plus proéminent.

Si vous soupçonnez la présence d’une plagiocéphalie chez votre enfant, n’hésitez pas à consulter rapidement votre médecin ou encore un physiothérapeute spécialisé en pédiatrie pour obtenir les conseils adéquats et éliminer une problématique associée qui pourrait entretenir la plagiocéphalie. L’intervention précoce et le traitement conservateur, consistant en des mobilisations douces et des exercices de repositionnement, peuvent souvent être très efficaces.

Sachez aussi que si une plagiocéphalie est détectée tardivement ou persiste après l’âge de 4 à 5 mois, il existe une deuxième option : l’orthèse crânienne par un port quotidien de 23 heures sur 24 pour environ trois mois. Votre professionnel de la santé pourra vous diriger vers cette alternative si elle s’applique à votre enfant.

En guise de conclusion, ne vous laissez pas dire que la plagiocéphalie disparaît d’ellemême. Elle peut s’estomper avec la croissance, oui, mais à condition de lui donner un petit coup de pouce!!!

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volume 5 • numéro 3 | avril 2014 |

SPORTS Par Stéphane Ledien stephane@leseditionsprime.ca

Un jeune Carougeois obtient une bourse pour aller étudier et jouer au hockey aux États-Unis

À l’école de l’excellence « La valeur n’attend point le nombre des années » disait le personnage de Don Rodrigue dans Le Cid. La phrase n’a sans doute pas échappé au jeune Laurent Langevin-Lalancette : à 17 ans, ce résident de Cap-Rouge vient de décrocher une bourse pour aller étudier et pratiquer le hockey dans une prestigieuse « prep school » des États-Unis.

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l peut être fier de lui. Sa famille, en tout cas, ne cache pas son émotion. Elle est là qui l’entoure pendant toute la durée de notre entrevue, chaque membre apportant sa petite touche d’information : ici, le père qui revient sur le parcours du combattant qu’il a fallu braver pour aboutir à cette victoire ; là, le tout jeune frère qui en connaît presque

daire à l’Académie Saint-Louis. Dès qu’il s’est montré intéressé par la possibilité d’intégrer une « prep school » (classe préparatoire aux universités américaines), ses professeurs l’ont encouragé. Mais il a fallu travailler fort car les places sont chères, et à tout point de vue : outre les 65 000 $ de frais de scolarité annuels pour un enseignement prodigué dans des classes de huit élèves en moyenne, la sélection était d’abord basée sur l’excellence des notes et du niveau sportif. Pas question de se relâcher. « Il faut rester concentré toute l’année, entre les cours et les matches de hockey les fins de semaine. » Autre critère fondamentaux : l’attitude et l’implication sociale du candidat, y compris pendant la visite du campus. « L’étudiant qui faisait office de guide scrutait nos réactions ! » Un processus fastidieux que sont venus compléter des entrevues et des tests éprouvants.

Retour sur investissement personnel Sur les six établissements visés, deux l’ont finalement accepté dans leurs rangs.

Laurent-Langevin LalanDoublé gagnant pour le Carougeois Laurent Langevin-Lalancette : non cette a opté pour la Hebron Academy dans le Maine. Une seulement il vient de décrocher son entrée au sein de la prestigieuse école superbement équipée et « prep school » Hebron Academy dans le Maine, mais en plus, il est qui a, heureusement, décidé récipiendaire d’une bourse décernée par l’établissement ! de lui décerner une bourse.

Pour le Carougeois qui se autant que son aîné sur la Hebron Academy, destine à des études en psychologie sportive, l’établissement du Maine qui accueillera l’an l’expression « un rêve devenu réalité » n’a prochain, bourse à l’appui, l’étudiant Laurent jamais eu autant de sens qu’à la réception de Langevin-Lalancette. Au programme : des cette bonne nouvelle. Lui qui pratique son études de haut vol en anglais, mais aussi une sport préféré depuis ses cinq ans et a aussi entraîné des jeunes dans des écoles de hockey, pratique intensive du hockey. va maintenant disposer d’un cadre d’études exceptionnel pour pouvoir, à son tour, transBeaucoup d’appelés, peu d’élus « Ça représente trois ans de travail » raconte mettre un jour aux autres tout ce qu’il aura eu le jeune homme aujourd’hui élève au secon- la chance de recevoir.

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JOURNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUGE

| avril 2014 | volume 5 • numéro 3

SPORTS Par Pierre Blais pierre_blais@icloud.com

Deux championnats provinciaux sur les terrains de la zone en 2014

Baseball Noroit met les bouchées doubles L’accent sur la formation des entraineurs

La zone de baseball Noroit accueillera deux événements majeurs cet été sur ses terrains, notamment à Cap-Rouge. L’été 2014 s’annonce haut en couleurs pour les joueurs du coin, même si dame nature ne semble pas vouloir collaborer. N’empêche, le président de la Zone Patrice Savard se montre des plus optimistes.

courtoisie

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ormée de Cap-Rouge, Saint-Augustin-de-Desmaures, Portneuf, SainteFoy et Sillery, la zone de baseball Noroit est l’une des plus belles sources de talent de baseball de la région depuis longtemps.

En 2014, non-seulement les talents locaux seront mis en évidence, mais ils le seront aux côtés des autres meilleurs joueurs de la province. «Nous accueillerons le tournoi de mi-saison dans la catégorie Bantam AA aux parcs Champigny et du Plateau au début du mois de juillet», explique Patrice Savard. «Ce sera l’occasion d’évaluer les joueurs pour les championnats canadiens et pour le Midget AAA, dans un an. Tous les joueurs Bantam AA du Québec seront présents», assure le président.

Un peu plus tard dans l’été, ce seront les Pee-Wee AA qui fouleront les terrains de la zone à l’occasion des Championnats provinciaux. «La plupart des régions du Québec enverront leurs meilleurs éléments sous forme

Si nos équipes réussissent à bien faire chaque saison, il y a certainement un peu des entraineurs derrière tout ça. La zone Noroit met l’accent depuis quelque temps sur la formation de ses responsables d’équipes. «Depuis que je suis arrivé en poste, il d’équipe pick-up. Au total, y a deux ans, on s’assure que tous les entraineurs nous aurons une dizaine soient dûment accrédités, question que les joueurs d’équipes», explique monsieur puissent en profiter autant que possible», explique Savard.

Patrice Savard. «À la fin de la saison, on fait le L’événement aura lieu à la bilan avec nos entraineurs en plus d’une évaluation fin du mois d’août, notamment individuelle des joueurs. Les évaluations sont rensur le terrain Provancher, à dues disponibles aux entraineurs l’année suivante Cap-Rouge. car on ne peut tout voir en quelques pratiques de début de saison», poursuit-il, avouant du coup que la vision d’une personne envers une autre peut Poursuite de l’excellence être teintée. «C’est un bon outil, mais il faut faire Bon an mal an, les équipes attention», convient monsieur Savard. de la zone Noroit réussissent à bien faire dans la Ligue de Un suivi aussi serré semble avoir motivé les baseball compétition de la L’équipe Midget AA Noroit tentera de défendre son titre cet été. Deux gens à s’impliquer au sein des catégories AA. région de Québec. Encore formations Moustique, une Pee-Wee et une Bantam s’ajoutent aux «Nous avons reçu plus de candidatures qu’il y une fois, deux formations équipes compétition de la zone. a de postes disponibles. C’est bon signe car ce de calibre Moustique, une fut aussi le cas l’an dernier», relate le président.

Pee-Wee, une Bantam et une Tout est donc en place pour un bel été 2014.

Midget représenteront le territoire. «Baseball arriver en mélangeant les joueurs de CRSA et Ne reste plus maintenant qu’à espérer que les Québec nous demande de faire deux équipes de Sainte-Foy/Sillery. Les meilleurs joueurs terrains sèchent rapidement, question de ne Moustique AA équilibrées. Nous pouvons y sont ceux choisis», décrit le président. pas retarder le début des saisons !

Nos entreprises d’ici MA fierté locale !

Une gracieuseté de votre Écho !

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Athlète de chez nous Par Pierre Blais pierre_blais@icloud.com

Mathilde Langlois fera partie de l’équipe U14 AAA féminine

Saison importante pour une Carougeoise elles jouent contre nous», affirme-t-elle.

L’équipe féminine U14 AAA de CRSA pourrait connaitre certains succès cette année, mais il faudra faire attention à au moins un détail important. «Nous commençons nos matchs lentement. Il faut qu’on soit intenses plus rapidement», explique Mathilde. 13 ans pour surprendre l’adversaire en étant petite, et si bien se connaitre les unes les autres, c’est Petite, rapide, gauchère L’étudiante de l’École secondaire Jésus-Marie rapide et gauchère. Je réussis à me faufiler rapi- impressionnant ! compte sur un coffre d’outils bien rempli pour dement entre les joueuses et je peux les déjouer connaitre du succès cet été. «J’ai un avantage car elles n’affrontent que des droitières quand Des objectifs personnels élevés Si le plus important demeure le succès de son équipe, Mathilde Langlois n’hésite pas à lancer qu’elle a des objectifs élevés quant à son futur dans le soccer. «J’aimerais être choisie dans les sélections régionales comme ça m’est déjà arrivé. Une blessure au genou m’avait empêchée de participer au tournoi», raconteelle. «Après avoir fait l’équipe de Québec, j’aimerais faire celle du Québec, peut-être même représenter le Canada aux Jeux olympiques un jour !», ajoute-t-elle.

Entre temps, même si elle n’a aucune idée de ce qu’elle veut faire plus tard, la possibilité de représenter l’Université Laval en soccer l’alCet été, Mathilde jouera dans une ligue provinciale contre les meilleures filles de moins de 14 ans au Québec. lume aussi. «J’aimerais beaucoup jouer pour le Rouge et Or», conclue-t-elle.

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lle n’a que 13 ans, mais elle a déjà de la jasette. Mathilde ne se fait pas prier pour parler de soccer. «Je suis très compétitive et j’aime gagner», débute-t-elle.

«C’est probablement pour ça que j’ai réussi à rattraper les autres joueuses qui n’arrivent pas d’équipes participatives», explique-t-elle à propos de son propre parcours.

Il y a trois ans, Mathilde a décidé de faire le saut au calibre supérieur après avoir évolué quelques saisons pour le simple plaisir. Elle a travaillé et travaille encore fort en solo afin de s’améliorer et de suivre la cadence imposée par ses coéquipières.

Aujourd’hui, elle est membre à part entière de l’équipe U14 qui jouera dans le calibre AAA cet été. «Nous avons terminé dans les trois premières positions alors on a pu se qualifier pour le AAA. C’est une ligue provinciale et on jouera contre les meilleures filles de moins de 14 ans au Québec!»

Mathilde Langlois

La jeune Mathilde Langlois a commencé à jouer au soccer de façon sérieuse il y a trois ans à peine, mais déjà, elle réussit à faire sa marque auprès de joueuses qui ont toujours évolué dans la classe compétition. Elle et son équipe U14 joueront dans une ligue de haut calibre cet été, et l’opposition sera encore plus coriace. Voilà une campagne importante pour Mathilde, qui vise à représenter sa région, sa province et son pays au cours des années futures.