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Supplément gratuit à
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LE FOYER ET LES CHAMPS
L'automne a vu sa parure effeuillée le sol , et les gazons flétris; La terre a froid dans sa robe mouillée J i~t s'enveloppe en d'épais voiles gris. ,f oncher
Le ciel est sombre, aucun rayo~ n'éclaire Le paysage à l'aspect morne et nu; !Uen ne sourit et la nature entière Porte le deuil du soleil disparu. i3eul au jardin dépouillé par la bise, r,e chrysanthème, en ce mois attristé, 1:leuri t encore, et dans la note grise .:\4:et un accent de vie et de beauté. Marie JUILLARD. •
noUs rendre le sang plus alcalin, et les derniers ce dont le corps a besoin pour remplacer l'usure de nos nerfs et de nos os.' Il y a à peine une vingtaine d'années, on croyait encore que l'amidon de la pomme de terre n'était que difficilement dextrinisé et digéré, et l'on estimait par conséquent que sa valeur nutritive était si peu élevée qu'il ne valait pas la peine d'en manger~ tout au moins par les intellectuels, qui ont besoin d'une alimentation peu abondante mais substdntielle. C'était une grosse erreur. L'amidon de la pomme de terre est facilement .changé en sucre par l'amylopsine du suc pancréa.tique.
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eUlSINE :n ousse de pommes.
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~I'E~C~O~L~E~P~R~I~MA~I~R~E~S~IO~N~ ' _____ 'O ctobre 1911 LE
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Les Israélites dans le d esert '
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ÉCONOMIE DOMESTIQUE. ~
Cuire à l'étouffée six belles pOlUmes reinettes; les' passer, quand elles ConseJ,'vation des choux pendant .·.; ont 'cuites, dans une fine passoire, l'hiver. ajouter 250 granlmes de sucre en pou. /i vant l'arrivée des gelées, on prolire, 60 grammes de gélatine (fondue fite d'une belle journée, pour que les dans un peu d'eau), et fouetter vigou-· tl~tes ùe choux soient bien sèches; on l'eusement én mêlant le jus de quatre les arrache et on les dépose, la racine (~itrons. La mousse terminée, la plaen l'air, dans l'endroit le plus sec du l'er dans un' endroit frais en atten- , jardin, sous un abri. dant le moment de la servir. On les y laisse tant qu'il fait beau, Flwur de pommier. afin qu'ils se sèchent en tous sens; mais, dès que la pluie froide, la neige La pomm.e de t,errt>. ou la gelée menacent, on enlève les Cuite au four, la pomnle de terre choux pour les ren~er à l'abri, soit I:S,t un produit hygiénique de premier sous un hi1ngar,. soit dans une remise: ':rdre. Elle renferme 25ro de nutri'autant que possible à un courant d'air. ! ion, c'est-à-dire presque autant que . Plus tard, lorsqu'ils sont un peu k\ viande, et l'on peut affirmer que la fanés, on les dépose sur le plancher lotalité de son amidon est digéré et du grenier ou autre endroit sec, touabsorbé. Les produits de nature anijours la racine en l'air; ayant perdu ! uale et même le pain rendent le sang ,Jlus acide; la pomme de terre, au con- la plus grande partie de leur humidité: ils sont peu sensibles à la gelée et, si 1 r aire, en commun avec la plupart des elle les atteint, ils ne se décomposent :(~gumes, le rend plus alcalin. Or, une certaine alcalinité est de toute né ces- pas. On en peut conserver ainsi tout l'hi* ~~ité pour entretenir la vie et la santé. ",US.LACHE, 1..0 RSAY 0 Des sels renfermés dans la pomlue yer, en ayant soin de les éplucher et ~I tremper un peu à l' e:~~enoan~ à manquer les Isr é/,'t ROMANElli P , ;I.e terre, 53ro sont des sels de potasse de les faire "1 l . ,,_ue ferai-je' ' a 1 es murmurèrent d J, •.GU l s reprennent eur allez sur le mo~t ç,i peubPl e ? Peu s'en faut Qu'il e nouveau contre Morse (el . . . ct 5 des sels de phosphore ; les pre- pour qu ri 1 ore et frappez 1 h ne me lapide" L S· . ur-CI crIa
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