No 09-10 l'Ecole primaire, septembre-octobre 1923

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Septembre-Octobre 1923 Vlll

Librairie \

PAYOT&(ie Lausanne - Genève - Vevey - Montreux - Berne

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DE. LA

..4.- COMPTES EN FRANCS SUISSES No~s ouvrons à tout membre du personnel enseignant qui nous en fait la demande un compte trimestriel régulier avec une remise de 5 % sur la librairie suisse.

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.Soc.iété valai~ai).J]e ·) d ·édueation ·

Bulletin du ·MUSEE PEDAGOGIQUE L'Eco!., primaire donne une dizaine de livraisons de 16 va.ges: la couverture y comprise, et autant rte supplé· ments 1le 8-16 pages pendant l'année ordin11ire (soit du 1er J anvier au 31 Décembre).

Par an: Suisse fr, 3.50, Union poMtale fr. 4. Les abonnements se règlent par chèque postal ile 56 ou à ce défaut contre remboursement. Annonces : 20 cent. la ligne sur toute la largeur Tout c;e qui c;onc:erne lt~ pubUc:t~tion doit être t~d.ressé dlrectemen.t à; son géra:nt et londt~teur, M . P. PIGNAT, t~nc:. Sec:r•.au Département d.e l'Instruction publique, à S\on.

L'éducation la plus efficace commence dès l'âge le plus tendre


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Sommaire de la couverture

Notons que c'est la ville de Sion q~i Quel est le but de cette institution? a été la première localité du Valais à le 1principal but de la Mutualité seointroduire cette heureuse innovation d1 Jaire est de vous permettre de mettre la mutualité et ~pargne scolaire. · vos enfants à l'abri de !~atteinte de la Qu'est-ce que la Mutualité scolaire,' fllaladie et de leur garantir, en échanLa Mutualité scolaire est une insli. ~e d'une prime très ~inime, tous les --{)tution facilitant aux écoliers l'assurau. soins, souvent fort couteux, que leur peut né!cessiter d'un jour à l'autre. ce contre la m?. ladi·e. Grâce aux subsj. etat'Les Sommaire de la feuille principale nécessités de l'existence emp-êIP·ensée péda1go,gi.que. - L'art .de des de la -commune, du canton et de la chaient souvent jusqu'ici les parents o:.rmman4er aux enfants. - L' 1 ECC!l·~ et Confédération, il vous sera possiblt de faire les fr ais de.:;. traüements nél''A)griiCUJHUire. - La Mes1ure .de l''At- désormais, moyennant payement d'unt cessair es ,pour sauver leurs fils et leurs te,ntio,n. ·- Blonnes ·Méllnièr'es et Edruca- prime ·extrêmement modique, d'assurer filles. de l>a maladie et de ses suites. à vos .enfants: üon. - Variétés. Que d':êtr-es aujmrrd'hui débiles et maa) Tous les soins dont ils peu ven! ladifs pour une lési()n ou un mal né-0-avoir besoin en cas de maladie, en ~iig:é dans leur jeune âg,e! Que de tuSommaire du supplêment No 9·10 particulier les consultations médicalei bercuioses résultant de bronchites mal et les remèdes prescrits. à titre absolu. soignées ! (CeHe ·annexe a 40 ,pa1g,~s ) M.iroir du prêtre - 1 ::1 Sainte fa - ment .gratuit. A l'avenir, g.râce à la /Mutualité scob) Dans les cas particulièrement .gra. laire, vous pourrez défendre vos ence .de N. S. J. ~C. - Où irons-nous dimarnclhe? -Ce ~qu'on .ap1prendl à Lour- ves, les .frais d'opération, le séjour à fants contre la maladi·e et ses funestes des. - C'e3t ·à .oa.use d'EUe. - · Les l'hôpita l ou l'hospitalisation dan s u~ conséq uenœs. rvi·eux onrt ,quefl.que tfoi.s raison. - Cham- sanatorium, sans que cela entrai~ Ce fais,ant, vous mettrez V•OS enfants bre 379. - On ne peut IJ)a:s. toU:t lir·e. pour vous aucune dé,pense supplémer, à l'abri des mauvais jours et vous leur - rP:our Ires !femmes ,de .Ja c,ampa,gnt:. taire. ferez apprendre, par 1'assur ance mu- !Une émouvante héroïrne. - Dev().ia.·:; tuelLe et :par l'épargne, les grands prin. L'assurance est complétée par ,die va,can.ces. - Le miJUénaire .du Gddpes de la prévoyance, de l'économie l'érpar{!ne S. Berll1ar.d. - La poht.esse. - L'éUne œuvre de prévoyance telle qu1 el de l'entr'aide -soc1ale. ducation üncohér.ente. - Autour de n a()tl1e l.arugrue. - Choisls bien. - Nos l'assurance infantile doit être -complé ·Ca~!V.air-es. La meilleure part. - Le tée ,par l'épar2"ne scolaire; ·celle-ci, toul Enfants anormaux. retour. - Le ,garlde rdu bisse (.croquis en apprenant à l'élève les principes d PaT insertion au << Bulletin officîeh lv.a1aisanr). - IL~ëkx>!le srans meu. - Cu- l'économie, lui permettra de s-e cons· le Départemen't de l'Instruction publirieuse ·enchère. - MMgez des frui~s. tituer ,pendant la scolarité une petil1 que rappelle .aux administrations cam- OckJ!bre, mois du Ro.saire. - S. réserve d'argent grâce à laquelle i! mooales et aux .autorités scolaires intépourra, à l'âge .où il ·quitte l'école, su:IJ. ressées [es ldiS(posittions suiiV<:~~I:tes de 'l'ar·fra~1.çois ·d'Assise et 1Jes p·etits oiseaux. venir lui-même à rses frais d'appren· rêté cantonal du 23 août 1910 cancer- A'l.btour d'une conveœion. - Chât·eau à 'V•endre. - Le cap sur la aune. tissage ou s'aider d'autre f·açon à so nant la oréation d'écoles Sjpéciales pour entrée dans la vie pratique. les enfants anormaux : - 1La vig;ne 'vier12e. - Variétés. Dans ce .but, chaque écolier assuri Ar.t. 1. - 1Les communes ont fobU----osera mis en possession d'un livret d'é tatlion d'rétablir, :pour les ·eniiants d!un pargne; ces livrets étant alimentés r~ dév.elo,p;pement intellectuel r.estreint, des Mutualité et épargne scolaire gulièrement :Par un subside communal, écoles spéciales dont le programme se' Au m01!11ent où [a: murtu:alité $1Cola·i- vous n'aurez de ce f.ait aucune pres· ra appro plfié aux besoiœ .et aux arptire va &e ,_g;énéraliser en Valais, il est tation spéciale ; il vous suffira d'enga· ludes des1 élèves. intéressant de Telever l'excellent appel ger vos enfants à verser sur leur .car· Art. 2. - Cette o:bligati.on est impoque la Commission s-colaire de Mon- net une partie de leurs petits sous, plu· sée 1aux communes qui .comptent dix enthey vient de faire remettre aux inté- tôt <que de les dép·enser en futilités ai· ia111ts 1au moins, .ayant, pendant deux ressés. seuses et souvent malsaines. ans, fréquenté sans succès il'école priIMUJtuaU·ilté et lêp;an,!!ne SJCdla:i·r e. - Enrfa·TIIt.s .élino!1maux. - Le sac id'létorre. :Ncftr,e éco.J.e d'aJgr1cuMur·e. - Un~e proifession )pour lflos j<eunes fiillles. - 1Lt>s ennemis 1de la familllle. - V.ari·é.téis, ret:c.

m inaire, et dont l'éta:t intelle.ctuel rédalme ides llTiqy.ens S)p~ciaux ,d'~ense~~ne­ ment. Art. 3. - tP~usieurs communes peuV·enit s·e [éunir pour créer une école. .Art. 4. - 'L"Eit!at, de son côté, ouvri:ra. le 1er ootolbr·e 19·10, à l'Institut de Géron.de, I.!Jne école-asHe ,pour le.s en1lan[s des deux sexes d'une intdlig.ence insuffisan.te pour suivr·e les cours or.din:a'ires de 1'écoJ.e primaire.

Il y .a lieu 1de noter que PEtat a satisfai.t aux ·dbliwations qui lui sont imposées IPM J.e dlécret précité, par la créati()!Il, à ·l'Institut de Oéronde, d'une éco1e.,a1Si1e, .dlans I.aqueUe sont reçus les renila'llits .des loca!Hés pdvées de dasse .applêo.priée. Les .communes. sont donc vivement engagées à vouer toute leur soUicitude .à oes ,petits déshérités du sort en leur .faisant donner une éducation en :rap,port av·ec leur état üni!eUectuel, soit .d.ans l'a .ol.as'se s,péciale .qu'elles auront .ouv.erte à cet ·effet, soit rà l'école-asile .de Gêro!l1die. ~

Le sac d'école. L'ouv·erture des classes, qui a· lieu présentement un .peu partout, évoque en même .t.ernps la .rentrée en scène des écoHers et écolières avec tout leur fourniment, dans lequel le sac d'é~ole ne tient pas la mo·indre ,place. Petits et grands sont au travail. ·· Il a fallu, soit monter tout un matériel d'éco]i.er, soit compléter celui de l'an dernier. Avez-vous songé, pour éviter une dépense, à ·cOnfeotionner vous-même le sac d'école de votre enfant? A notre rép01que, il est nécessaire !de 1tir.er. 1Part1 )des mo·indir,es IPcti,tes ,dfi:oses et même de •CelJ.es qui semblent, après un long usage, avoir perdu toute utilité. 1Si vous .avez ~ardé des couvertures


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0artonoées de re.gistres terminés, vous p!:>urrez en fa ire divers objets comme, par exemple, un sac d'école. Vou:; n'aurez besoin. outre la couverture de registre sus-mentionnée, que d'un rectangl-e de grosse toile tailleur, mesuraut 1 m. 30 sur 0 m. 40: une même quantité de toile croisée noire ou de moleskine pour le dessus du sac. et d'une !'Olide doublure grise pour l'intérieur. O tt !·aillera dans c.ha·que tissu un rectangle de 0 rn. 90 sur 0 m. 40 ; puis on partagera en deux, dans le sens de ·l a 1o.n1gue4r, tous1l•esmor1c·eau..x r estan !s. P lacez la toile .noir·e ·(grand red1angle) ou la moleskine sur la toile tailleur, ,puis fixez des pattes de cuir pour passer les courroies (qui maintiendront le sac), trois boutons et, à l'extrémité supérieure, légèrement arrondie aux angles, trois boutonnière; de cuir souple. Pl·acez, a;près cela, la couverture de registre de telle façon qu'elle soit emprisonnée ·entre la toile ta'illeur et la doublure. la pliure du dos ·correspon·dan:t là œm•e ·fOil7mant la. base du &a:C. 'De s-olides ,peints de surjet réunissent la doubl-ure aux deux autres tissus. •Pilacez ensui~e ens•embil:e, .troi·~ par trois, (toile noire, toile tailleur et doublure) les six œctangles et posez-les en ~oufflet sur• les .côtés du sac. .Le travail sera, en dernier lieu, bordé d'un gros galon noir croisé ou d'une bande de moieslkine posés à cheval ou point de piqûre, ce qui consolidera beaucoup l'ouvrage. On p(}urra, pour la commodité de J'écolier, fixer à l'intérieur deux petits étuis de cuir souple qui serviront de porte~cray on ou porte-plume et une ou deux 1poohettes. Vous aurez fait là un tra:va'il simple et peu coû.teux 1qui vous rendra les mêmes services. que le sac cher sorti d'un grand magasin.

r.ères qu1 répondent mie ux aux goûts et aux Notre Ecote d'agriculture. Le ,Sch!Weizer Bauer" organe de la 3ptitudes naturelles de la femme. D'autre p~rf. les . salain;s offerts sont . très avanta1Sœtél'é ,d'u1~litê ·elt ld'-ÉJOÜill.Oitllioe ·p ubl iqu~s geux et ·Ja duree de la format:on théor1que âu canton de Berne, écrit à pro,pos des bâtiments construits pour l'Ecole d'a. ef pratique n'est Cille de 6 mo is, ce qui régricultur·e sur le domaine de l'Etat du Juil les dépenses d'apprentissage â un minimum. Nous ajouterons que les fonctions Valais à Chât·eauneuf : «Cet hiver cet établissement d'ins. de nurses const ituent une véritable vocation tr u1ot.ion, o.rigaiJJisé ·de 1a ~açon 1la :Pilus puisque, •fout en ve illant sur la santé physimoderne, pourra être occupé. Nous que des enfants qui lui sont confiés, la gouformons le vœu que les élèves, après vernante doit s'occttper auss i de leur âme et avoir achevé leurs études dans ce ma. trava iller à y faire éclore la piété et ia vertu. gnifique bâtiment av.ec ses installation1 Jusc1ulà ce jour, la Suisse ne possédait de ·propreté et d'hygiène (bains), n'~ qu'une école ·de nurses catholique. la Lgue prou·vent pas de découragement et nt des .femmes catholiques suisses vient d'ob!etournent p.as le dos à leur patrie, mai! nir des Rév. Sœurs Ursu.lines qu 'elle> prisqu''ils s'efforceront d'introduire dans sent en main la <:réat.ion d 'une seconde ~co­ leurs vallées. leurs villages et leurs le à fribourg. Cet institut s'ouvrira le Hi octobre dans la belle propriété de Bertigny, étables, cet ordre et cette pro,preté. , ux abords immédiats de la vil!e. C'est ~gaiement le vœu de tous k 3 iLe succès de cette fondaiion égalera, nous Valaisans de voir no~re jeunesse prof~ n'en doutons pas, celui de nos autres éco· ter largement des ·enseignements de n~ les professio1melles fémin ines: l'Eco~e de .tr.e E1ool·e d'ô.igricuLtuœ, de 'façon à 1 Commerce et JlEcole normale ménagère dique les gros sacrifices consentis pou rigée également par les Sœurs Ur sul ines, !'institutic.n de cette œuvre soieni com. ainsi que !''Ecole d'infirmières confiée aux pensés par un mellleur rendement Rév. Sœurs .de St. Joseph. Aux parents à sol de notre petite ra:re leur choix entre ces diverses excellen_,,patrie.

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tes insti tutions, créées les unes e t les autres Une profession pour nos je u. pour permettre une solide formation proœes· sionnelle de nos jeunes filles. nes filles. 1 Les inscr iptions pour !"Ecole de nurses On nous écrit : doivent sè prendr~ aUJprès de la D irection de Voici l'~poque où se r ouvren t les écoles 1Ecole à Be.rtigny (,fribourg). et autres instituts d 'éduca ti on: c'est le m~> -0ment aussi où les jeunes gens s 'orienten vers !a carr.ière .qui fixera leur vie. Le cho' est souven,t di:fi;cile. surtout pour la jeu tille, aussi croyons-nous utile de signal La famille, la vraie famille, doit lutaux parents une profession féminine Ir ter au sein de nos sociétés contemporaipeu connue et (iui oll!re cependant des avl nes contre de nombreux ennemis. tages incon.testables: celle de nurse ou got 1EnneJ;Ilis de la famille, les prO!Pagavernante d'erufa-nts. teurs des .préjugés mondains et des enA !'.inverse de la pllliParl des autres car traînements •Qui dégoûtent des devoirs rières, celle-ci n'e~>t jusqu'ici pas encombré! ~e famiUe et en rendent les .charges très nombreuses sont, au contraire, les pb macœptahJ.es. - 'Ennemis de la familces ollferles alors qu'est enco·re fo rt mini le, ceux •qui contestent le caractère sale nombre des .jeunes fi lles formées pour ctl cré du maria•ge et travaiUent à obtenir ole pro~ssion . Et cependant, il es t peu de c~r le mépris prati-que de cette sainteté ... ,

Les ennemis de la famille

ceux ·QUI sapent l'indissolubilité d par là même l'intimité du lien conju,gal..., ceux qui lui contestent ses droits sur l'enfant, ces utopistes, 'héritiers de certains rêveurs œrecs, qui proclament que l'enfant est à l' Etat avant d'être à ses ,l)arents...• ·ceux •qui la corrompent .par l'immoralité .... ·ceux qui lui dénient le privilège de [produire dans la société des enfants honorés comme légitimes. Mari-age pur·ement civil, divorce, théorie de l'amour libre, .propagande néo-malrh1,1sienne: que d'institutions ou d'inventions anti-sociales parce que anti-familial.es! :Sociale, au -contrair·e, est la religion, ·quand elle défend l'unité, l'indissolubilité, la sainteté ·du lien conjugal ; qua nd elle montre un sacrement dans le mariage contra.cté entre ·chrétiens; quand elle maintient hauts et fermes les ,principes de la m(}rale sexuelle, et qu'elle .assigne aux époux la double tâche de se !Perfectionner mutuellement et ·de ,préparer, en ,pel.llPlant la terre, de nouveaux élu-s pour le ciel.

Variétés Lea guérisons de Lourdea La Sœur Béni·gna, des religieuses de Niederbronn (Lorraine), en ~ésidence à Langres, âgée de 28 ans, étaÎit atteinte de phtis:e galopante. Elle avait une ~ ièvre qui dépassait panfois 42 degrés et elle arriva à Lourdes pres<;ue mourante. O n lui donna les dem1ers sacrements le 16 septembre au matin, et on disait qu'elle ne ,passerait pas la journée. Elle demanda à être transportée à la Grotte. Elle y resta inerte de 10 h. du matin à 4 h. de l'après-m'di, où on la transporta a u passage du Saint Sacrement. Tout d 'un• coup, lorsque le Saint Sacrement fu,f près d 'elle, elle se sentit complètement gué· rie, rentra au couvent où elle était descendue, fit un repas COJTIPlet et paru,t su r la 1errasse pour sal uer la foule enthous iasie.


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Publications Pache-Varidel et Bron -

Lausanne

ainsi qu'là MM. 'Bert et Rolland, qui co-mp. Après avoi.r ·lu les déclarations des médeient 25 et 45 laJI]S de serv~ces à L'éghse. Les cins de Lan.gTes, les médecins qui se trouti tulaires de ces méJjai.Lles de vermeil et d'ar. vent à Lourdes ont signé la nouvelle déclagent appartiennent tous au département du ration suivante: • Cette guérison .inSitanta,née de tuberculoTarn. se â marche aiguë, en raison des circonstp.nL'Ame d"une aiguille ces extraordinaires qui l'ont accompagné!!, Journal mensuel desLes petites filles des écoles de Tokio, au tiné aux jeunes filles ne peut en aucune man.ière être attribuée au . Japon, célèbrent chaque année une fête e~. de la Suisse romanjeu normal des for.ces naturelles. " traordinaire. de. - Education, Instructioa, Délassements. Sur une petite table ornée comme un au. Un bel exemple Un an: 2.25. tel , elles apportent solennellement des sucreLe président de la ré,purblique polonaise _ ries et des gâteaux en offrande. pour les s'est rendu, le 15 août, au. célèbre sanctuaire âmes des a~guil l es qu'elles ont perdues dans de la Vierge, à ·Czenstochova, OLI il a passé l'année. Pendant la cérémonie, elles portent la fête patronale du monastère des moines leurs aiguilles favorites sur des petits cous. de ISaint~Paul, qui desservent l'égtl·ise. Reçu sins de soie. par le Cardinal de Varsovie et par l'Evêque Journal hebilomadalre, Ce n'est pas seulemen<t a.ux aig.uilles que de ',Culava, aœompagné de plusieurs autres Jo~al mensue~ illu':ltr~ pour la famille. - Chaque N'· le seul ;de son genre dans les Japonais prêtent une âme, il y a encore ' cout1ent des. 1!-rticles mteressant toute la famille: travaux évêques et prélats, ainsi que d 'un nombre la Suisse romande. Franmanuels féminins, recettes, économie domestique, littérature, la ~ête des poupées . . . Toutes les poupées çais et patois, prose et immense de pèlerins, il a assisté à la messe · etc. Un an fr. 6.60. poésie. - Un an : 6. pontiff·i.cale, après avGir bit ses dévotion!< <iui ont dû être ·r éparées à la suite d'·un ac· cident, sont placées autour d'un a.utel ornt ~~~~~~============~~~~~ dans •la chapelle miraculeuse. il a édifié le .,..- . Sur ~eman~e affranchie envoi gratuit d'un numéro~:.:::::: de fleurs. Un prêtre de Boudha préside la peuple par sa grande piété. Les jours suiq01 peuvent etre !lllses entre toutes les ma.ins. S'adresser : 7, Pré du Marché, Lausanne cérémonie et Wicite les poupées de leur rt vants, H s'est renldu à LwbLin, commençant tour à la san1é. sa visite, selon sa coutume; par la cathédra-

La Jeune Ména.qère

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l!e Conteur Vaudois

'le où il a assisté à la messe célébrée par l'é· vêq·ue. Puis il est a<l1é à l'UniversLté catholique où .J'atteru:laient les professeurs et les étl.lidiants. Au discours du R. P. Hyacinthe, recteur de l'université, .j] répondit en des termes ·Chaleureux, en insistant sur l'infiuence de la science pour expliquer le mystère de Ja vie et sur la nécessité d'en appeler aux vér.ités éternelles.

Il JI a quelque chose de changé... Pour la '1remière lois, le gouvernement français récompense par des médailles d'honneur les longs «services à l'église •, rendus • en qualité Ide ~hantre • par MIM.. Boyer, Courbatien, Cani!Jac, Cahrol et Alllbert, pendant la du~rée de 58, 57, 55, 54 et 50 ans respectivement. Ces vieux serviteurs de l'église, ainsi, que lM. Audoy, qui sonne depuis 50 ans les dtf?f.iœs dans sa paroisse, ont reçu la médaille de vermeil par arrê.té du 31 juillet. Des méda.illes d 'argent ont été décernées à MM. ,Qastanier et :Laurens, qui exercent depuis 47 et 48 ans les foncti ons de chanke,

Bibliographie

IAN~UE eANTONALE DU UALAIS SION

Agences à Brigue, Vlège, Slerre, Martigny, St-Maurice, Monthey Comptoirs à Champéry et Salvan

.PRO tF AMllii.:IA, Revue suisse pour la protection de la famille, <Bon ·Port 18, Terri· REPRESENTANTS à Ritzingen, Lax, Mœrel, Wyler tLœtschen}, Loèche tet, E. ImsanKL, d·i recteur. Nendaz, Chamoson, Bagnes, Orsières Nous recommandons chaleu·r eusement ! tous les amis de la famille cette intéressante et utile publication bimensuelle qui sort des Garantie illimitée de l'Etat presses de l'Oeuvre de SI-Augustin à SI· Se oharge de toutes opérailoas de Banque, &llX oondltlons les plus anntageuses Maurice. Le numéro du 30 septembre wntient un Prêts hypothécaires Dépôts divers : article remarquable: Qu'est-ce que la Pa· sur Carnets d'Epargne trie? Tous les pédagogues devraient passé· Prêts sur billets et cédules , Lettres de gage à 3 ans 1der cette belle page littéraire pour la faire Ouverture de crédits en comptes-cou, Bons de Dépôt à 5 ans lire à leurs élèves. rant~, garantis par hypothèque, » Comptes courants~à vue Si1gnalons en~ore : Geribe de conseils et nantissement ou cautionnement. , , bloqué,s ·· d'idées. L'assistance des indigents: il nouveau concordat ·i ntercantooal. - Les as· , _.. ~artes de petite épargne avec Timbres-poste - . suranœs sociales. - Votre plus grand enne· S occupe de 1 achat et de la vente de titres et de toutes transactiOns · . avec l'étranger mi ... - Une héroïque Ecossaise. - La pe· Locatwn de CIJ88ettes dam Ba chambre forte. - Gé1·ance de titres. tite iRose. Timbre fédé"al à ~arge de la banque

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Travaille comme si tu ·devais vivre ce.nt ans; prie Dieu comsi tu devais mourir demain.

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