Le comportement des ultras le samedi 1er mars à la Tuilière suscite une levée de boucliers chez les commerçants et les élus. page 5
Un joyau historique et culturel
Les festivités du 750e anniversaire de la Cathédrale ont débuté, offrant une belle occasion de redécouvrir cet édifice unique. page 6
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La Ville met la gomme contre les chiclettes
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La récente décision de Chavannes de remettre en question la jonction autoroutière agace le syndic de Crissier. page 7
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Le Chorus Jazz Club propose une soirée d’exception avec la venue du Nicole Johänntgen Trio. page 13 DR
La peur doit changer de camp
Autres temps, autres mœurs. L’image d’anthologie du gendarme Mottaz qui canalise un stade de la Pontaise pris d’assaut par quelque 31’000 spectateurs lors de ce fameux derby Lausanne-Servette de 1961 appartient à un passé révolu. Mais, loin de vouloir sortir du bois le bon vieux refrain «C’était mieux avant», il convient de s’interroger sur la dégradation de notre relation à autrui et l’inexorable érosion de la valeur du respect. Le constat est là: week-end après week-end, un exutoire à d’inavouables frustrations sociales, les ultras sèment peur et désolation. De façon cyclique, leur périple à pied entre le haut et le bas de la capitale vaudoise est synonyme de périls pour qui a le malheur de croiser leur chemin. D’où cette légitime exaspération générale. Paradoxe saisissant, pendant que des ultras ont pu parader dans les rues lausannoises visages dissimulés par des cagoules, ce qui est interdit par la loi depuis le 1er janvier 2025, des carnavaliers sont obligés d’ôter le masque à Lucerne. Pour paraphraser Pascal, «Vérité au bord du Léman, erreur au-delà». Une certitude s’impose: quand c’est jour de match, la population lausannoise n’est pas animée par un sentiment de joie. Bien au contraire, c’est le masque des mauvais jours. Les douloureux événements qui viennent d’émailler le dernier derby du Léman à l’intérieur et en dehors de la Tuilière ne laissent pas d’autre choix à l’élite politique et aux décideurs que de pousser les ultras dans leur derniers retranchements. L’heure est venue de leur ôter cette parcelle de pouvoir qu’ils n’ont eue que par une inacceptable permissivité. Il est temps que la peur change de camp.
«Ma satisfaction, c’est de finir mon travail en laissant les rues propres»
PROPRETÉ • Le Neps est un engin de la voirie réputé pour son efficacité à traquer et à arracher les chewing-gums jetés dans l’espace public lausannois. Reportage avec un chef d’équipe qui traque sans relâche le plastique qui se mastique.
Lundi 3 mars, rue des Terreaux, 8h30. Au milieu des piétons vaquant à leurs occupations, Arsim
Ademi manœuvre son véhicule de manière méticuleuse et en roulant au pas. Malgré la délimitation d’un petit périmètre de sécurité, ce quadragénaire qui en est à sa sixième année au service de la propreté urbaine de Lausanne doit aussi anticiper les comportements déraisonnables de quelques esprits distraits. «Il y en a qui ont toute leur attention focalisée sur leur téléphone, d’autres qui marchent et changent soudainement de trajectoire. Je dois faire attention à tout», lâche-t-il en souriant.
Juste après les mégots
Parmi la centaine de véhicules et machines dévolus à la propreté urbaine de la capitale vaudoise, le quadragénaire suisse d’origine albanaise a un lien particulier avec le Neps, un engin réputé pour son efficacité à traquer et à arracher les che-
wing-gums jetés au sol. Le chewinggum est devenu un des ennemis les plus tenaces de la propreté publique. Après les mégots de cigarette, ce plastique qui se mastique est le deuxième déchet le plus répandu dans le monde. La quatrième ville de Suisse n’échappe pas à cette triste réalité.
Malgré les campagnes de sensibilisation qui ont lieu chaque année, les quelque 1005 corbeilles à poubelle disséminées dans la ville et les amendes pour sanctionner les incivilités,
Forces réparties selon le degré de salubrité
En matière de propreté urbaine, comment répartir quelque 130 collaborateurs et une centaine de véhicules et d’engins sans avoir une idée précise de la réalité du terrain? Lausanne a résolu l’équation en 2023 grâce à un appareil qui a permis de scanner, quartier par quartier, le niveau de salubrité du domaine public. «Aujourd’hui, nous avons une idée précise des rues les plus sales. Et nous organisons nos tournées de nettoyage en conséquence», relève Stéphane Beaudinot. L’autre difficulté de taille est d’assurer la propreté des rues sans entraver la mobilité des citoyens. Là aussi, le Service de la propreté urbaine s’adapte au degré d’affluence sur l’espace public pour planifier ses activités. Avec pour objectif ultime de concilier propreté et convivialité. C’est dans ce contexte que, depuis 2023, la Ville organise une journée portes ouvertes sur la place St-François. C’est l’occasion pour la population d’aller à la rencontre des équipes en charge de la propreté du domaine public, voire de se mettre dans leur peau en prenant les commandes des machines.
le chewing-gum continue de coller aux basques de la Ville. «Plus de 300 chewing-gums au m2 ont été enlevés entre la place Chauderon et la tour Bel-Air en 2020, soit un total de 100’000 chewing-gums», rappelait Florence Germond, élue responsable de la propreté urbaine. «Ils sont jetés un peu partout. Mais c’est surtout devant les commerces, aux alentours des arrêts de bus et, paradoxalement, sur le pourtour des corbeilles de rue qu’on en voit le plus», relève Arsim Ademi.
Plus de pression que le karcher D’un geste leste, l’ouvrier quadragénaire descend de son petit véhicule et s’empare d’une lance dont les puissants jets d’eau redonnent rapidement des couleurs au trottoir. Véritable couteau suisse, le Neps brosse, nettoie, aspire et lave. «Il contient de l’eau chauffée entre 75 et 80 degrés et sans aucun produit chimique. Il a plus de pression que le karcher. Grâce à la parfaite combinaison entre la chaleur et la pression, cet engin est très efficace», fait remarquer le chef d’équipe.
«Le Neps nous rend un grand service durant toutes les saisons mais c’est pendant l’été qu’il est encore plus efficace. Nous disposons de trois engins de ce type, dont deux d’un format plus réduit», souligne
Stéphane Beaudinot, chef du service de la propreté urbaine. De la brosse de trottoir au camion de collecte des poubelles, le personnel de la voirie dispose d’une flotte composée d’une centaine de véhicules et d’engins. Contrairement aux incivilités, qui engendrent un surplus de travail pour les personnes chargées de l’entretien de l’espace public, les marques de gratitude leur procurent du baume au cœur. «Un merci spontané vaut de l’or pour celles et ceux qui œuvrent au quotidien pour ren-
«Le Neps nous rend un grand service durant toutes les saisons»
dre la ville propre. Leur mission inspire du respect et de la reconnaissance», ajoute Stéphane Beaudinot. Un devoir bien accompli Mètre après mètre, la saleté disparaît. Au plus grand bonheur d’Arsim Ademi, il y a un avant et un aprèspassage du Neps. «Finir mon travail en laissant derrière moi des rues nickel me procure une énorme satisfaction», poursuit l’ouvrier. En milieu de journée, c’est dans la bonne humeur que celui qui avait entamé le travail aux aurores rejoint sa famille. Même s’il est conscient qu’il devra tout recommencer le lendemain, Arsim Ademi a le sentiment du devoir accompli.
Abdoulaye Penda Ndiaye
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La machine à chewing-gum, officiellement le Neps, vient finaliser le travail de nettoyage en enlevant les dernières traces et en aspirant l’eau. TILLE
Stéphane Beaudinot, chef du service de la propreté urbaine
Arsim Ademi commence le travail au jet avant le passage du Neps TILLE
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Lausanne Cités seront
No1 en Romandie
Les hooligans suscitent un ras-le-bol général
VIOLENCES • Des vrais fans de foot aux divers commerçants en passant par le monde politique, le comportement des ultras exaspère. Des solutions rapides sont exigées.
«Ce n’est plus le derby du Léman mais les débiles du Léman. Chaque fois, c’est le même cirque. Des clients qui ont réservé n’arrivent pas à accéder à mon restaurant car toute la rue est bloquée par le cortège de ces gens violents. Et ceux qui étaient en train de consommer doivent quitter car, à cause des fumigènes, on ne peut plus respirer dans mon établissement.»
Samedi passé, quand il a vu des ultras genevois taguer la façade de son restaurant situé sur la rue Ruchonnet, Victor* a vu rouge. «J’étais hors de moi et j’ai voulu intervenir. Mais heureusement que deux amis m’ont retenu. Car j’aurais probablement été tabassé par ces gens violents», relève le restaurateur d’une quarantaine d’années. Une centaine de mètres plus loin, c’est en spectateur
A la Tuilière ce 1er mars, les comportements inacceptables ont largement dépassé l’arène du stade. KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT
impuissant qu’un autre commerçant a subi des déprédations. «Lors de leur passage, des ultras se sont mis à renverser tables et chaises et à taguer les murs. Je ne comprends pas un tel degré d’imbécillité», s’est-il indigné. «Quasiment un week-end sur deux, je constate une baisse de mon chiffre d’affaires à cause du blocage de la rue lors du passage des supporters. De la répétition des faits au manque à gagner que ça induit, tout est injuste», se désole un kios-
Gauche et droite condamnent
La violence et les incivilités des ultras font réagir des élus au Conseil communal. «Ils cassent tout ce qu’ils trouvent sur leur passage. C’est totalement scandaleux. Ce sont surtout les commerçants qui subissent les dommages. Il faut identifier les fauteurs de troubles pour leur faire supporter les dommages qu’ils causent», préconise Marlène Bérard, cheffe du groupe libéral. Louis Dana, son collègue socialiste, estime qu’il faut repenser le déplacement des supporters visiteurs à leur arrivée à Lausanne. «Il faudrait un transfert en car de la gare au stade. En cas de déplacement à pied, le cortège doit être entouré par la police pour qu’il y ait des interpellations immédiatement après des faits de violence.» Chef du groupe UDC, Valentin Christe souhaite que les contrôles à l'entrée du stade soient renforcés. «Il est invraisemblable que l'on puisse s'introduire dans le stade avec de tels feux d'artifice. Il faut des sanctions pénales pour les cas de flagrant délit dans le convoi de supporters et des interdictions de stade valables plusieurs mois. En revanche, nous nous opposons aux punitions collectives telles des billets nominatifs, huis clos, etc. Ce n'est pas à la majorité des supporters de subir les conséquences du comportement d'une poignée d'imbéciles.»
quier du quartier des Plaines-duLoup. «Il y a des répercussions économiques sur l’activité des restaurants et des bars. On ne peut pas continuer ainsi. Il est urgent de trouver une solution à ce problème de cortège d’ultras», a réagi Alexandre Belet, président de Gastro Lausanne.
«La loi est violée» Passionné de foot et supporter de Lausanne Sport, Me Philippe Rossy se dit «écœuré». Selon l’avocat pénaliste, un seul hooligan arrêté pourrait se voir réclamer l’ensemble des dommages subis au nom du principe de solidarité. «De l’usage accru du domaine public, aux visages encagoulés, la loi est violée. Il y a une défaillance de sécurité et d’autorité», a-t-il dénoncé. Médecin à la retraite, enfant de Lausanne et fan de foot, le Dr Jean-Jacques Goy a, lui aussi, exprimé son exaspération. En plus de la problématique de la violence des ultras, il s’est inquiété de l’usage d’engins pyrotechniques. «Les fumigènes sont délétères pour la santé des spectateurs et des joueurs. Moimême, j’ai perdu une bonne partie de l’ouïe de l’oreille droite au stade à cause de l’explosion d’un pétard lancé par un hooligan.»
Abdoulaye Penda Ndiaye
*prénom d’emprunt
«Le plastique n’apporte rien aux habits de sport»
ÉCOLOGIE • La marque de vêtements sportifs Mover Plastic Free Sportswear est la seule au monde à être entièrement dénuée de plastique. Rencontre au sein de leur quartier général, à Lausanne.
«Pourquoi ai-je skié avec des sacs en plastique sur le dos pendant plus de cinquante ans?» C’est la question que s’est posée Nicolas Rochat lorsqu’il a testé pour la première fois une veste dont la membrane extérieure était faite uniquement de coton. Cette veste dont il parle, c’est son entreprise qui l’a développée: Mover Plastic Free Sportswear. Une marque, qui, comme son nom l’indique, fabrique des vêtements totalement dépourvus de matières synthétiques.
Une recherche de confort
Si l’argument durable est aujourd’hui au cœur de l’engagement de Mover, ce n’était pas le cas en 2004, lorsque Nicolas Rochat rachète l’entreprise suédoise du même nom, spécialisée dans les vêtements de ski. Passionné par ce sport, il est néanmoins de plus en plus frustré par les propriétés des matières synthétiques qui ne lui apportent pas entière satisfaction. L’entrepreneur se met à leur rechercher des alternatives naturelles. «Initialement, c’est une recherche de confort et de performance qui nous a poussés dans cette direction», insiste le fondateur. En effet, qui n’a jamais connu cet inconfort d’une veste de ski dans laquelle il fait trop chaud? «C’est parce que la matière synthétique, bien qu’elle soit imperméable, ne respire pas. La matière naturelle, elle, régule naturellement la température. Le plastique n’apporte rien aux vêtements de sport, au contraire.»
Une infestation de microplastiques
Le déclic écologique se fait en 2016: Nicolas Rochat reçoit la visite du navigateur vaudois Stève Ravussin. Durant le tour du monde qu’il vient d’effectuer, lui et son coéquipier Marco Siméoni ont récolté des échantillons de sable sur les îles les plus reculées du Pacifique Sud. «Les résultats d’analyse montraient une quantité affolante de microplastiques. C’était une infestation», se souvient Nicolas Rochat. Il découvre ainsi que l’industrie textile représente le plus gros contributeur mondial de la pollution due aux microplastiques. Polyester, polyamide, élasthane… 70% des vêtements au niveau mondial sont faits de matières synthétiques. Et dans le domaine du sport, ce chiffre grimpe à 99%.
Cet événement marque un tournant. «Nous avons pris le pari d’aller au bout de notre démarche et de supprimer encore tous les détails faits de plastique.» Dans la foulée, Mover abandonne le vêtement de ski – «réservé à une niche d’un point de vue mondial» - et reprend tout à zéro en créant une nouvelle marque dépourvue de plastique. «Nous avons dû convaincre, au fil des années, beaucoup de fournisseurs et de producteurs », rapporte Nicolas Rochat, qui ne cache pas sa principale ambition: montrer aux grands fabricants qu’une autre voie est possible et devenir un exemple à l’échelle internationale.
Nicolas Rochat dans les bureaux de Mover à la rue de Genève; ici la marque développe ses produits mais possède également un showroom ouvert aux clients. TILLE
La commémoration de la semaine
Un symbole qui dépasse les frontières
CATHÉDRALE • Les festivités marquant le 750 e anniversaire de la Cathédrale de Lausanne viennent de débuter. Au-delà de l’aspect religieux, cet édifice symbolise a ussi un emblème historique, architectural, culturel et touristique. Cet anniversaire permet de le redécouv rir d’un peu plus près.
Pour marquer cette commémoration, tout un programme de festivités a été mis sur pied sous l’égide d’une association dédiée, créée il y a deux ans déjà, composée de trois membres fondateurs et de plusieurs membres faisant partie de la commission consultative de la cathédrale. Ces festivités, qui s’étendront tout au long de l’année, viennent de débuter avec «Comme un paysage qui s’invente», une exposition de photographies de l’artiste lausannois Olivier Christinat, dont le travail a fait l’objet de nombreuses expositions en Europe, mais aussi au Japon et aux Etats-Unis.
Un joyau de l’art gothique La Cathédrale de Lausanne, également connue sous le nom de NotreDame de Lausanne, est un joyau de l’art gothique médiéval. Elle a été construite par étapes. Dès 1170, un premier maître d’œuvre a érigé le déambulatoire en utilisant un appareillage roman.
Vingt ans plus tard, un second a construit l’église actuelle jusqu’en 1215. Puis, Jean Cotereel, troisième maître d’œuvre, a poursuivi le chantier en bâtissant le massif occidental, le dotant d’un porche et de deux tours, dont l’une porte le beffroi.
Elle a été achevée 1245, mais il a fallu attendre 30 ans encore avant de la voir consacrée, soit en 1275, en présence du pape Grégoire X et de l’empereur Rodolphe de Habsbourg.
Catholique puis protestante
A la Réforme, en 1536, elle est devenue un lieu de culte réformé et a subi d’importants changements lorsqu’un nouvel espace liturgique fut aménagé dans la nef. Par la suite, elle fit l’objet de
nombreuses restaurations au XVIIIe et XIXe siècle. Parmi ses chefs-d’œuvre, on retiendra la rose qui compte parmi les plus belles pièces du patrimoine artistique européen. Exceptionnelle par sa polychromie et sa complexité, elle est composée de 108 vitraux, dont 77 sont d’origine. Et puis, bien sûr, ses nouvelles grandes orgues, inaugurées en 2003, qui forment un instrument unique au monde par leur conception due à la manufacture américaine Fisk et au designer italien Giugiaro, par leurs caractéristiques musicales et leurs dimensions, soit près de 7000 tuyaux, pesant 40 tonnes et qui ont demandé 150’000 heures de travail pour les réaliser.
Une opportunité idéale Que l’on soit croyant ou non, la série de manifestations culturelles et religieuses, qui débutent pour marquer le jubilé de cet édifice, sont une opportunité en or de le découvrir, si ce n’est déjà fait, et une occasion unique aussi de célébrer tout à la fois son histoire, la culture et la diversité religieuse, tout en assurant sa préservation.
Philippe Kottelat
Vos réactions
A propos de l’article «On sait à quoi va ressembler la Riponne» (www.lausannecites.ch)
Fermer le parking
Yes, pendant qu’ils y sont, ils peuvent aussi fermer le parking: les gens de la banlieue ne viennent plus à Lausanne, vu que les magasins ferment les uns après les autres.
Et les arbres alors?
Quand j'avais proposé des arbres, on m’avait pourtant répondu que c'était impossible à cause du parking situé en dessous, que les racines auraient
besoin de places et que l’eau d'arrosage pourrait inonder le parking...
Alors qu'en est-il au fai,t vu que c’est précisément ce qui va être fait?
Pas d’audace
Tout ça pour ça? On ne peut pas dire que le projet soit d’une audace folle, mis à part quelques arbres timides. Bon, on constate en tout cas que l’abri pour les dealers et les marginaux n’y est pas, un oubli sans doute. Au final,
on verra bien qui va fréquenter ces parcs...
Manquait la flore...
La place est encore ratée. On avait la faune, manquait plus que la flore… Les petits commerçants de la place pourront mieux se cacher...
Se mettre à l’ombre
Excellent! Les dealers et autres marginaux vont pouvoir se mettre à l'ombre
de cette magnifique canopée! Il faudra bien sûr aussi penser à planter du pavot...
Marché couvert plus utile
Un marché couvert avec des producteurs locaux aurait été bien plus judicieux et utile pour tous les usagers de la place.
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L’invitée L’iité
Mathilde Maillard Présidente du PLR Lausanne
Station terminus du dogmatisme
«17 oppositions c’est très peu», se targuait Natacha Litzistorf dans les colonnes de Lausanne Cités au sujet du réaménagement de la place de la Gare. Cette assertion prête à sourire quand on sait que parmi les opposants, figurent rien de moins que l’Etat de Vaud, les Transports publics lausannois, les sociétés de développement, les taxis, l’Automobile Club Suisse ou encore l’Association transports et environnement. Visiblement, le projet peine à convaincre, tant dans les milieux institutionnels que chez les représentants des différents usagers de la mobilité. A croire que seule la Municipale n’a pas fait opposition! Qu’on se rassure néanmoins, Mme Litzistorf affirme respecter «infiniment le travail accompli» par son prédécesseur Olivier Français, s’agissant de la place de la Gare. Un travail auquel elle se serait contentée d’ajouter ses «priorités politiques». Et c’est bien là que le bât blesse: la Municipalité a préféré s’entêter dans sa vision dogmatique de l’avenir de la place plutôt que de consulter les différents acteurs, contrairement à l’époque du projet conduit par M. Français. Se réfugier de la sorte derrière cet argument d’autorité est risible. Au risque «d’enfoncer des portes ouvertes», nous rappelons qu’une place de la Gare doit avant tout jouer le rôle d’interface efficace de transports de voyageurs et tenir compte des besoins de tous. Piétons, cyclistes, automobilistes, usagers des transports publics: les uns n’excluent pas les autres, de la même manière qu’un cycliste le lundi peut devenir piéton le mardi et automobiliste le samedi. C’est le sens des résolutions du PLR, adoptées par le Conseil communal.
de la mouette d Le cri
Le regard satirique d’Alan Monoc sur l’actualité
Une épidémie de féminicides
Vous ne le saviez pas mais nos rues sont jonchées de cadavres de femmes, le corps démembré, toutes victimes du vil patriarcat qui décime notre société. Au point qu’il en devient impossible de se promener tranquillement sans croiser à un moment ou à un autre les victimes non expiatoires de la violence masculine. Lausanne en particulier - et la Suisse en général - est en réalité bien pire pour les femmes que Kaboul ou Téhéran, où nos sœurs d’Orient sont finalement bien plus protégées à l’abri de leurs voiles. Notre brave Micheline Calmy-Rey en sait sans doute quelque chose. Mais bref, foin de politicailleries et revenons à l’essentiel: contrairement à là-bas donc, les féminicides font des ravages chez nous, tant et si bien que les Jeunesses socialistes suisses rendent la Confédération «coresponsable» de cette véritable épidémie, de ce génocide de masse. Nos partis n’hésitent ainsi jamais à sai-
sir le taureau patriarcal par les cornes en secouant le cocotier par une pluie de postulats, motions et autres interventions, à vrai dire bien plus nombreux que les féminicides contre lesquels ils appellent à agir, d’ailleurs à grands coups, si l’on ose dire, de yaka focon. En 2024, 19 (tristes) féminicides étaient en effet recensés dans toute la Suisse, un chiffre écrasant à rapporter aux quelque 2000 décès dus aux accidents domestiques et de loisirs, 1000 suicides, 230 décès sur la route, 400 morts de cirrhose alcoolique enregistrés la même année et dont aucun ne suscite une mobilisation aussi prurigineuse. Nos élus seraient pourtant avisés de s’en saisir avec le même empressement: en conduisant mal, en buvant trop, en laissant les femmes se tuer aux tâches domestiques, et en poussant leurs compagnes au suicide, les hommes prouvent qu’ils sont bel et bien à la source de tous les maux de notre société.
L’ÉCONOMIE VUE PAR SERGE GUERTCHAKOFF
Merci la BNS!
Alors que la Banque Nationale Suisse (BNS) vient de clôturer l’exercice 2024, elle a annoncé qu’elle sera en mesure de distribuer trois milliards: un milliard à la Confédération et deux milliards aux cantons. Personne ne s’en plaindra. Cependant, certains cantons anticipent parfois de telles redistributions, pourtant aléatoires. En effet, il faut le rappeler, le rôle premier de la BNS n’est pas de gérer sa fortune pour la Confédération et les cantons, mais d’assurer la stabilité monétaire du pays. Son indépendance doit être garantie afin qu’elle puisse se consacrer à cette tâche qui permet de lutter contre l’inflation. On a vu ce qui s’est passé en Turquie lorsque le président Erdogan a limogé plusieurs directeurs de la Banque centrale turque jusqu’à ce qu’il obtienne gain de cause. L’inflation avait alors explosé à plus de 70%.
Les réserves de devises constituent la plus grande partie du bilan de la BNS. Elles déterminent les bénéfices de la Banque nationale: selon l’évolution des cours de change, les gains ou les pertes peuvent être massifs. Les positions en monnaies étrangères ont généré un gain d’environ 67 milliards de francs, tandis que le stock d’or a apporté une plus-value de 21,2 milliards de francs.
Une partie de la fortune de la BNS est néanmoins placée, notamment dans des actions. Les cinq premières positions sont ainsi des valeurs technologiques américaines: Apple (représentant 10,3 milliards de dollars), l’éditeur de logiciels Nvidia, Microsoft, Amazon et Meta.
Ensemble ces cinq titres représentent 25% du total des actifs sous gestion de la BNS. Selon une étude réalisée par l’Official Monetary and Financial Institutions Forum, elle serait devenue le huitième plus grand investisseur public au monde.
Monument emblématique du patrimoine cantonal, joyau de l’art gothique européen, la Cathédrale de Lausanne vivra cette année le 750e anniversaire de sa consécration. WIKIPEDIA
Face aux voitures, Crissier doit s’imposer
URBANISME • La mobilité de l’Ouest lausannois a toujours été une épine dans le pied de la planification urbaine et démographique du district. Et la décision de Chavannes-près-Renens de remettre en question la jonction autoroutière rebat les cartes. Non sans provoquer quelques amertumes du côté de Crissier.
L’annonce avait pris tout le monde de court. En janvier, la commune de Chavannes annonçait ne plus vouloir d’une entrée d’autoroute sur son territoire, pourtant décidée par convention en 2021. Le flux continuera alors pour l’instant à passer par celle de Crissier, pourtant déjà à l’asphyxie. Car ce sont 110’000 véhicules qui passent quotidiennement par la jonction. Pour le syndic Laurent Bovay, la nouvelle a donc du mal à passer. Dans son bureau, qui surplombe une partie de Crissier, il exprime sa déception. «Ça fait des décennies qu’on parle de ce système de mobilité avec une entrée d’autoroute à Chavannes pour soulager la région de Crissier et Bussigny. Cette planification permettait de soulager cette entrée d’autoroute et de raccourcir la distance entre les habitants et l’autoroute. On a fait tout le développement de notre district sur cette base-là, y compris les plans d’affectation, et maintenant le changement de système de mobilité questionne la validité de tous ces plans.»
Retour en arrière
Selon le communiqué de la commune de Chavannes-près-Renens, le projet initial, pourtant révisé en 2021 en faveur d’une version plus verte, «n’est pas compatible avec la stratégie et les mesures de mobilité mises en place par la commune.» Elle veut continuer
à développer une mobilité plus douce, elle qui est déjà entourée par le métro presque de tous les côtés et qui sent le besoin de poser des limites.
La syndique Loubna Laabar explique les raisons de cette décision unanime de la Municipalité. «Nous sommes déjà traversés tout au long de la commune par l’autoroute, ce qui génère passablement de désagréments liés à la pollution et le bruit pour notre population. La jonction autoroutière et ses mesures d’accompagnement, c’est-à-dire les nouvelles routes à créer nécessaires à son fonctionnement, aboutiraient au centre de notre ville et viendraient exacerber ces effets et les amplifier, sans compter un mitage désastreux de notre territoire et les coûts exorbitants que notre commune devrait supporter.»
Mais les automobilistes sont là, et si, depuis, la Confédération s’est immiscée dans les discussions et a affirmé que cette jonction se fera, pour Laurent Bovay, la confiance est rompue, et les raisons invoquées sont trop faibles. «Il faut qu’ils s’enlèvent cette fausse idée que si on fait cette jonction, tout le monde passera chez
eux. Elle desservira leur région, pas la nôtre. Alors oui, on est tous pour l’écologie. Mais c’est un peu léger dans le contexte général.»
«On attend les projets supra-communaux. Regardez ce bazar sur ces routes!»
Laurent Bovay, syndic de Crissier
Crissier sans jonction C’est que Crissier a besoin de retrouver son identité, au-delà de sa jonction autoroutière. Et cela passe par une absorption des arrivées d’habitants, avec la création des infrastructures nécessaires. «On a toujours été une force tranquille, précise Laurent Bovay. On était le petit village avec une zone commerciale bien développée, et on a toujours eu un bon équilibre, avec le même nombre d’habitants que de postes de travail. On arrive à 11’000 habitants, mais nous n’avons pas pour ambition d’être un méga-centre.» La commune ne souhaite d’ailleurs pas de projets comme ceux des tours de Malley ou de Chavannes, mais elle doit cependant absorber les nouveaux habitants, qu’il faut bien loger quelque part. Après plusieurs projets immobiliers comme le nouveau quartier «Oassis»à deux pas de la fameuse jonction - ou celui des Uttins, en direction de Villars-Ste-Croix, le dernier à faire parler de lui depuis de longs mois s’appelle «En Chise». Situé entre l’administration communale et la zone industrielle, il devrait voir le jour en 2027. Mais pour ce qui est des infrastructures intercommunales, Crissier attend sur des décisions qu’elle ne
maîtrise pas en entier. «Nous, on a fait le travail. On est dans l’attente de projets supra-communaux. Regardez ce bazar sur ces routes! Et maintenant il faut qu’on dise à nos habitants que Chavannes n’est pas encore décidé, qu’il va falloir attendre encore? Ils se sentent abandonnés.»
Mais selon Laurent Bovay, il faut maintenant voir les projets dans leur ensemble. Il aurait même fallu le faire plus tôt. «On a une sale habitude de traiter les thématiques les unes après les autres. D’abord le développement de l’urbanisation, puis la thématique des infrastructures de transports publics qui coûtent plus cher que prévu, et maintenant celle de la mobilité.»
Pas de collaboration à tout prix C’était la raison de la création du bureau de stratégie et développement de l’Ouest lausannois, au début des années 2000. Dans un territoire où les limites communales sont floues et où tous les dispositifs dépendent les uns des autres, il répondait, et répond toujours, à un besoin vital. Mais sa marge de manœuvre est très limitée, et ça, Laurent Bovay en est bien conscient, puisqu’il en est également le président depuis deux ans. «Nous ne souhaitons pas qu’il y ait une désolidarisation des huit communes qui ont toujours fonctionné ensemble, malgré les appartenances différentes de leurs
exécutifs. C’est quelque chose qui est cité en exemple, on avait réussi à toujours mettre la gestion intercommunale avant l’aspect politique. Jusqu’à ce premier accroc.»
Le début de la fin pour la collaboration intercommunale de l’Ouest? Loubna Laabar se veut rassurante. «Premièrement, on a dit qu’on restait ouverts à la discussion pour trouver une alternative. Mais pas à n’importe quelle condition. C’est une opportunité d’actualiser une vision qui n’est plus compatible, dans sa forme actuelle, avec la réalité de la densification de notre territoire et d’y intégrer les réflexions sur le M1, qui font partie intégrante du traitement de ce goulet. Naturellement, nous avons toujours la volonté de bien travailler ensemble à l’Ouest.» Chez Laurent Bovay aussi, l’optimisme reste de mise. «Il y a tellement d’autres sujets que les communes partagent et sur lesquels elles travaillent, et ça se passe bien.»
«Nous avons toujours la volonté de bien travailler ensemble à l’Ouest»
Loubna Laabar, syndique de Chavannes
Une désolidarisation qui tombe cependant mal, peu avant le dépôt du projet d’agglomération Lausanne Morges (PALM). Sa cinquième génération a été déposée au Conseil d’Etat il y a quelques jours. Il sera ensuite déposé auprès de la Confédération. Il faudra donc encore attendre pour que le sort du district le plus dense du Canton soit scellé.
Elise Dottrens
Le syndic de Crissier Laurent Bovay n’est pas satisfait de la décision de Chavannes de remettre en question la jonction autoroutière. DOTTRENS
Au-delà de sa zone d’habitation, Crissier vit au rythme de l’autoroute. DR
Les salons de la moto cartonnent en Europe
DEUX-ROUES • Les salons sont-ils dépassés? Pour la voiture, comme on dit, c’est compliqué. Pour la moto, c’est le bonheur!
Les ventes sont bonnes, les visiteurs se déplacent par centaines de milliers.
L’organisateur d’INTERMOT, à Cologne, se frotte les mains. Qui aurait dit que, en plein mois de décembre, les amateurs de moto se
déplaceraient en foule dans la cité allemande pour découvrir les dernières nouveautés? Pari réussi. De nombreux événements rythmaient la manifestation, comme cette animation spéciale autour des 125 cc, pour mieux accueillir les débutants sur deux roues motorisés. Ce rendez-vous a d’ores et déjà pris sa marque et reviendra chaque année, en 2025 ce sera du 4 au 7 décembre. Les principales marques avaient répondu présent: BMW Motorrad, Ducati, Honda, Kawasaki, Royal Enfield, Suzuki, Sym, Triumph, Yamaha, Zero
La Suisse sur deux roues
La popularité des deux-roues motorisés ne se dément pas en Suisse. En 2024, le marché a très légèrement progressé de 0,49% par rapport à 2023, à 49’019 nouvelles immatriculations.
La catégorie reine des «grosses» de plus de 750 et 1000 cc enregistre une petite baisse de 6,51% (12’787 unités) alors que celles que l’on peut appeler moyennes, de 500 à 750 cc, croissent de 11,27% à 9060 unités. Les motos de 125 cc sont toujours un pilier du marché, surtout depuis qu’elles sont accessibles aux permis depuis 16 ans (5713 immatriculations). Les scooters, stars des villes, totalisent 19’081 ventes. Fait à noter, les motorisations électriques représentent 14,45% de ce marché avec 2948 immatriculations. Cela tient aux services de livraison, très urbains, en tête desquels figure la Poste.
En revanche, les motos électriques restent encore très marginales, à cause de leur autonomie insuffisante et l’absence de stations de recharge sur les parcours préférés des motards.
Motorcycles, etc. Près de 100’000 visiteurs enregistrés, c’est un résultat spectaculaire.
Les 110 ans de l’EICMA à Milan
Même engouement en Italie pour les 110 ans du salon EICMA à Milan. Le nouveau logo paraît avoir été dessiné par un pneu arrière lors d’une démonstration de patinage fumante. De nombreuses marques se font un honneur d’y participer. La dernière édition a pu se réjouir de voir revenir Harley-Davidson pour ses 121 ans, et BMW. Un attrait qui prouve que les amateurs aiment à visiter les différents stands pour choisir la machine qui fera leur bonheur au printemps, lors du retour des beaux jours.
L’EICMA de Milan constitue le salon le plus important en Europe. Il regroupe autant de visiteurs que le défunt Salon de l’Automobile de Genève, à savoir 600’000. L’engouement pour les deux roues motorisés est un vrai phénomène.
Lyon diversifie
Le Salon du Deux Roues, dans les halles d’Eurexpo à Lyon, se déroule autour de plusieurs événements. Parmi eux, un espace spécial pour l’univers de la personnalisation, la Kustom Factory. On y trouve toutes sortes de customs, de choppers,
de café-racers, de clubstyle, ce qu’on peut appeler des créations à partir de machines de série, ou une composition d’éléments formant un objet unique. Autre originalité: le Festival de cinéma. Il suffit de réaliser un court métrage de cinq minutes sur quelque chose tournant autour de la moto, un road trip, une aventure, un exploit sportif pour le soumettre à un jury spécialisé. Une course de
motocross indoor a attiré une foule d’amateurs du genre. L’exposition générale occupe plus de 150’000 m2 et les 800 exposants avaient pour ambition de répondre aux moindres des désirs des motards. Les organisateurs ont enregistré un nouveau record avec pas moins de 161’000 visiteurs. Prochaine édition en 2026. RE
En 2024, INTERMOT a attiré la foule à Cologne en plein mois de décembre.. DR
TRIUMPH
La sportive apte aux longues balades
Partir avec la TriumphTigerSport 800 ne garantit pas d’arriver exactement là où c’était prévu. Son mélange de sportivité et de confort incite à s’écarter des routes planifiées pour se faire plaisir plus longtemps. Le moteur à trois cylindres exprime un enthousiasme profond grâce au travail sur la sonorité des échappements. Ses 115 ch se déploient de manière linéaire, favorisant la souplesse des accélérations. L’assistant du changement des rapports et l’embrayage anti-dribbling qui réduit l’effort autorisent de longues périodes de conduite sans fatigue. Son châssis léger et sa suspension Showa réglable servent son agilité. Ses phares en V et ses galbes lui donnent une personnalité affirmée.
www.triumphmotorcycles.ch
HARLEY-DAVIDSON
Il va falloir songer à programmer des étapes VESPA
RE • Au guidon de la nouvelle Harley-DavidsonStreetGlide™Ultra,et aussi dans le siège passager doté d’accoudoirs, le temps ne passe pas. Le confort, c’est une affaire centrale pour le constructeur américain. Il évoque d’ailleurs l’idée de conduire toute la journée, tant sa confiance est grande dans ce produit entièrement repensé. Le moteur Milwaukee-Eight® 117 de 1923 cc pousse fort grâce à son couple de 175 Nm et sa puissance de 107 ch. La carrosserie a été dessinée avec grand soin, des déflecteurs écartent l’air du pil c’est intéressant en hiver, ou le dirigent sur son torse, c’est nécessaire en été. Le tableau de bord est lisible et complet. Les rangements volumineux accompagnent les escapades les plus lointaines. www.harley-davidson.com
La douceur feutrée accompagne la force
Le champion de la ville gonfle le torse
Le nouveau moteur de 310 cc fait du scooter VespaGTS310un partenaire de choix pour la ville. Ses 25 ch aident à se faufiler partout dans la circulation urbaine. Plus vif et plus économe, il répond aux dernières normes. La silhouette rappelle la longue histoire de ce fabuleux outil de liberté qu’est une Vespa. Reconnaissable au premier coup d’œil, mais qui demande un peu d’attention pour voir ce que toutes les avancées de ce siècle ont fait pour la moderniser. Les feux LED, le contrôle de traction électronique, la connectivité et l’antiblocage assurent la sécurité. Le nouveau dessin et le rembourrage de la selle ménagent le fondement de celles et ceux qui l’adopteront. La tradition réinventée, en somme. www.vespa.ch
SYM
Le scooter se dévergonde hors de la route er ande oir ce e ce sièc ôle de traction la ageassurentlasécuritéLenouveaudessinetle
La rapidité des allées et venues ne se discute pas quand on a l moteur de 560 cc installé dans le YamahaTMAXTechMAX La douceur l’accompagne, sous la forme des surveillances les plus avancées, auxquelles s’ajoutent des éléments de confort. Par exemple, le navigateur Carmin, les poignées chauffantes, tout comme le siège. C’est dire qu’été comme hiver, votre moyen de déplacement préféré répond présent. Le régulateur de vitesse simplifie les longs trajets et le choix entre une option sportive ou souple du moteur adapte la conduite aux circonstances. La liaison étroite avec le téléphone offre une palette inédite de renseignements utiles. Le nouveau design audacieux attire les regards. www.yamaha-motor.eu/ch/fr
teur nces. La liaison epaletteinéditederenseignementsutilesLe
La ville, c’est le terrain de jeu des scooters. Le tout nouveau SYMADXTG400 embarque la technologie Bosch ABS, ce qui est bon pour la sécurité, et aussi un mode «off-road» du même fournisseur, voilà qui paraît inhabituel. Ses 35 ch lui procurent toute l’agilité nécessaire en ville, et sur les pistes ou sentiers, sa configuration autorise des escapades aventureuses. Le constructeur précise que les marchepieds sont pensés pour la conduite debout, comme sur une moto dans le désert. Sans aller jusque-là, la possibilité de s’évader est un atout. La ligne de ce scooter dégage un parfum d’originalité et sa conception valorise les aspects pratiques: grands rangements, bulle réglable sans outil, démarrage sans clé, etc. www.symmotos.ch
CHOOSE THE RIDE SIDE
MOTO GUZZI
Le retour attendu d’une légende
Quand un modèle est emblématique, il convient de soigner son retour. La MotoGuzziV7 approche de son soixantième anniversaire (premier modèle lancé en 1967) et poursuit son évolution. Le fameux 850 cc en V transversal est commandé par un accélérateur électrique. Le travail sur le moteur a consisté à augmenter de 4% la puissance (à 67,3 ch) et, surtout, à favoriser la courbe du couple. Les réactions et les accélérations sont immédiates et linéaires. Les modes ROUTE et RAIN adaptent la machine pour assurer la sécurité. L’ABS et le contrôle de traction en virage y contribuent aussi.
Le châssis amélioré, le design fidèle au passé et joliment modernisé lui procurent un caractère reconnaissable et séduisant.
www.motoguzzi.ch
PIAGGIO
L’aisance se conjugue avec
trois roues
Le nouveau PiaggioMP3310 a l’air musclé, ses deux roues élargissent sa silhouette. Cette technologie éprouvée assure une excellente tenue de route. Piaggio a inventé un quadrilatère articulé pour soutenir ces roues, avec un blocage pratique: le scooter reste en équilibre, pas besoin de béquille (mais il en a une). Au feu rouge, les pieds peuvent garder leur place. Le moteur monocylindre de 310 cc développe 26,4 ch. Sa puissance accrue est obtenue à des régimes plus bas. Le contrôle de traction et des freins à disques dotés de l’ABS surveillent les comportements indésirables. La compacité fait merveille en ville, l’aérodynamisme revu augmente la stabilité à grande vitesse tout en abaissant la consommation. www.piaggio.com
AIRBAG
Sac à dos et airbag
L’idée innovante d’Hoffa est révolutionnaire: le sac à dos AirbagH4pro. Il contient les petites affaires du motard en plus de l’air et assure une protection inégalée du dos en cas de chute. Le H4pro absorbe les chocs, il est aussi étanche et son volume de 22 litres suffit pour les équipements nécessaires. Son caoutchouc arrière est antiglisse, et il est muni de lumières, à l’intérieur et à l’extérieur. Les motards seront convaincus, mais il conviendra à tous les aventuriers, ski, randonnée, VTT, etc. www.hoffa.ch
LAMBRETTA
raffinement
La brutalité épouse le raffinement
Le design repensé confère à la nouvelle SuzukiGSX-S1000 chose de plus qu’un caractère: de la bestialité. Cette notion agressive accompagne le tempérament de feu de son moteur de 999 cc et 152 ch. Ses performances dignes d’une superbike méritaient un traitement raffiné. L’électronique et la souplesse règnent pour procurer un comportement prévisible et laisser au pilote une meilleure maîtrise en toute circonstance. Les phares à diodes d’un nouveau genre ont permis ce dessin très anguleux. Les freins Brembo, puissants et gérés par l’ABS, ralentissent rapidement ce véhicule au dynamisme explosif. Le nouvel écran affiche toutes les infos avec une clarté augmentée. www.moto.suzuki.ch
zukiGSX-S10 ité. Cette ment eser e l écran a e DR
New Piaggio Beverly 400 S
Sportif et puissant
Mobilité urbaine
Rendez-vous chez votre revendeur pour en savoir plus
www.piaggio.ch
L’héritage ne cesse de faire du charme
L’hé c
La silho de symp rétro. M d’un pas Lambre moteur
Ce a rassura un véhi
La silhouette d’une Lambretta dégage quelque chose de sympathique. Elle est si connue qu’elle paraît rétro. Mais ce charme évident s’accompagne d’un pas vers la modernité. La version LambrettaX300SRest propulsée par un moteur de 275 cc, placé en position centrale. Ce qui assure un bon équilibre et une stabilité rassurante. Son agilité vite apprivoisée en fait un véhicule dont on ne peut rapidement plus se passer. Dotée de freins à disque avec ABS, elle joue aussi la carte de la sécurité. Son châssis robuste et son double amortisseur participent au confort. Intemporelle, elle s’adresse aux amateurs de style qui aiment le progrès. D’ailleurs, plus besoin de clé, et son éclairage est entièrement à diodes.
Intemp son écla www.la
www.lambrettascooters.ch
HONDA
La simplicité classique est un art de vivre
La silhouette rappelle d’anciennes machines devenues des youngtimers, dignes des belles collections. Mais la HondaGB350S la modernité. Elle a des feux full LED, un moteur dernier cri avec les surveillances nécessaires pour une parfaite tranquillité d’esprit. Son monocylindre ronronne comme
APRILIA
un chat gourmand et cette machine invite aux balades paisibles. Sa facilité d’usage, sa bulle efficace en font un compagnon idéal pour les trajets quotidiens. La selle est basse, tout comme le centre de gravité. La position droite ouvre la visibilité et le guidon large simplifie les manœuvres. L’envie viendra peut-être de la personnaliser, tous les accessoires sont là pour vous faire plaisir.
La conquête du continent africain
La dernière ApriliaTuaregRallyprovient de la compétition, elle a conquis le rallye-raid Africa Eco Race. Cette tout-terrain adopte un garde-boue haut, un sabot moteur en aluminium plus épais, des protège-mains solides et un guide-chaîne de sécurité. Les roues à rayons robustes avec jantes étroites Ergal et la suspension Kayaba améliorée offrent un meilleur contrôle lorsqu’on s’aventure hors des routes. La cartographie moteur spéciale garantit une réponse rapide de l’accélérateur, idéale dans les situations difficiles. Le système d’échappement SC Project avec silencieux en titane réduit la masse totale de la moto. La Tuareg Rally est proposée dans un coloris unique de réplique du Rallye. Son bicylindre de 660 cc et 80 ch assure la poussée, le poids étant limité à 199 kg. www.aprilia.ch
KAWASAKI
La nudité se décrit avec des superlatifs
Elle est le résultat d’une tradition bien ancrée. La KawasakiZ900suit une lignée initiée en 2017 et s’inscrit parmi les plus belles «naked». Le moteur de 2025 est encore un 4 cylindres en ligne, mais les progrès sont énormes. Le couple a été amélioré dans les régimes inférieurs. La centrale électronique calcule le mélange en temps réel pour répondre à la demande de la poignée gaz. Economie de carburant et performances sont à égalité de traitement. Douceur quand c’est nécessaire, montée en régime fabuleuse pour l’adrénaline. La face avant redessinée affiche un visage anguleux. Le châssis et les suspensions réglables gèrent avec plaisir les 124 ch du moteur de 948 cc. www.kawasaki.ch
www.fr.honda.ch/motorcycles c ée d». s eman a poig es sont à de traitement. Douceur c’est
DR
SUZUKI
Notre sélection de sorties
Expositions, concerts, foires, retrouvez notre sélection de sorties dans notre agenda de la semaine. page 12
DR
Un lieu, une histoire
L’Hermitage, créé dans les années 1840, son parc et son panorama magnifiques. page 12
Evasion: Chiang Mai, cité de tradition
Hymne éternel
COMÉDIE MUSICALE • Forte d’un succès planétaire, «Mamma mia!» revient à Lausanne, au Théâtre de Beaulieu du 19 au 30 mars 2025. La comédie musicale sur l’amour, la famille et l’amitié, créée autour de 22 chansons emblématiques du mythique groupe ABBA, transformera Beaulieu en île grecque. A la veille de son mariage, une jeune femme cherche à découvrir l’identité de son père et invite les trois anciens amants de sa mère sur l’île qu’ils ont visitée il y a un peu plus de 20 ans. Le public tombera littéralement amoureux de cette histoire
a été écrit par Catherine Johnson. DR
drôle et ensoleillée autour d’une mère, d’une fille et de trois pères potentiels rassemblés sur une île grecque idyllique. Le tout au son des plus belles chansons intemporelles d’ABBA. Le spectacle «Mamma mia!» a récemment fêté son 25 anniversaire et depuis sa création à Londres en 1999, la comédie musicale a enchanté plus de 65 millions de spectateurs dans 50 productions en 16 langues différentes. Elle a été jouée dans plus de 450 grandes villes du monde. Quant au film, produit par Judy Craymer en 2008, il est devenu à sa sortie le film
musical le plus rentable de tous les temps, suivi en 2018, par un second film «Mamma mia! Here we go again!», qui lui aussi remporte un véritable succès phénoménal.
Mike Niriama
Mamma mia!, Théâtre de Beaulieu, Lausanne, du 19 au 30 mars, infos et billeterie sur www.beaulieu-lausanne.com
«Mission Polaire»: la nouvelle exposition
EXPOSITION • Jusqu’au 22 mars 2026, Aquatis Aquarium-Vivarium Lausanne, présente une expérience immersive unique à travers sa nouvelle exposition «Mission polaire». Cette exposition proposée en collaboration avec le Musée océanographique de Monaco, met en
avant l’importance des pôles dans l’équilibre climatique mondial. Elle invite d’abord à revivre les exploits de grands explorateurs comme Jean Malaurie, Jean-Louis Etienne, Frederik Paulsen, Jean-Baptiste Charcot et Matthew Henson, à travers des témoignages et objets historiques.
Concerts
DR Conseils internet
Voyage musical avec l’Ensemble Vocal Euterpe et l’Ensemble Fratres du 21 au 23 mars prochains. page 13
DR
Par le biais de séances gratuites, ClicEnsemble prodigue des conseils pour utiliser les outils digitaux. page 13
Ensuite, une immersion dans le mode de vie des Inuits permet de mieux comprendre leurs traditions et les menaces auxquelles ils font face avec le changement climatique.
1,7 million de visiteurs
Une reconstitution d’igloo et d’environnement glacé illustre leur quotidien et l’impact de la modernité sur leur culture. Enfin, l’exposition révèle les mystères du Pôle Nord et du Pôle Sud, met-
tant en lumière leur biodiversité unique, de l’ours polaire aux manchots, et leur rôle crucial dans la stabilité climatique. Depuis son lancement au Musée océanographique de Monaco en 2022, «Mission Polaire» a déjà attiré plus de 1,7 million de visiteurs. Son arrivée à Lausanne marque une nouvelle étape dans la sensibilisation aux enjeux environnementaux. Grâce au soutien de la Fondation Aquatis et de partenaires engagés, cette exposition interactive et éducative espère inspirer chacun à agir pour la protection des régions polaires et, par extension, de notre planète. A noter aussi que des conférences, des projections de films et des ateliers pédagogiques seront organisés tout au long de l’exposition, visant à enrichir l’expérience des visiteurs et à renforcer l’impact éducatif de l’événement.
Aurore Clerc
«Mission polaire», jusqu’au 22 mars 2026, Aquatis - Lausanne, infos sur www.aquatis.ch
Sur une musique et des paroles de Benny Andersson et Björn Ulvaeus, «Mamma mia!»
Spectacles
Jusqu’au 15 mars
Eugénie Rebetez
Comeback, c’est le retour d’Eugénie Rebetez en solo sur scène. Danseuse atypique, chanteuse jurassienne et comique voluptueuse, elle est tout à la fois dans son nouveau spectacle: un one woman show raconté avec le corps, entre légèreté et gravité, avec un humour tendre et féroce.
Théâtre Boulimie, Lausanne.
Le 16 mars
Magie avec Red Curtain- Marco Smacchia
Plongez dans l’univers étonnant de Marco Smacchia, alias Red Curtain, un magicien qui allie humour, illusions et mentalisme pour émerveiller petits et grands. Artiste complet et passionné, il s’est déjà produit dans plusieurs salles de spectacle et événements en Suisse romande, séduisant un public varié grâce à des tours aussi surprenants qu’interactifs.
Maison de quartier Sous-Gare, Lausanne.
Jusqu’au 23 mars
Pig Boy 1986-2358
Texte coup de poing à l’humour provocateur fustigeant l’industrialisation du monde paysan, l’intrusion croissante du virtuel sur le monde réel et le transhumanisme comme défi aux lois de la nature.
Théâtre Silo du Lac à Renens.
Expositions
Jusqu’au 13 avril - Open Art
La cinquième édition d’Open’Art au Mont-sur-Lausanne met à l’honneur le travail d’un photographe installé en Californie, Eric Raeber. Quatorze de ses œuvres sont présentées dans une galerie à ciel ouvert.
Le Mont-sur-Lausanne.
Jusqu’au 4 mai - Alice Pauli
En hommage à la générosité d’Alice Pauli, cette exposition salue le parcours hors norme d’une pionnière. Figures de l’art contemporain international, personnalités de la scène suisse, l’accrochage présente des artistes que cette femme d’exception se réjouissait de voir réunis.
Musée cantonal des Beaux-Arts, Lausanne.
Jusqu’au 1er juin
Trésors du Petit Palais de Genève
La Fondation de l’Hermitage accueille plusieurs chefs-d’œuvre du Petit Palais de Genève, une collection impressionniste et postimpressionniste particulièrement originale. Réuni à partir des années 1950, cet ensemble témoigne d’un esprit de collectionneur libre. Fondation de l’Hermitage, Lausanne.
Jusqu’au 8 juin
Pourquoi le flamant rose perd-il sa couleur?
VU.CH, l’art à l’hôpital, en partenariat avec foodculture days, présente cinq expositions sur le thème de la nourriture et son impact écologique, social et sanitaire.
Espaces CHUV, Cery, Mercerie, Hôtel des patients, et Bibliothèque universitaire de médecine.
Jusqu’au 8 juin
Mining Photography
Photographier est-il polluant? L’exposition «Mining Photography» est consacrée à l’histoire matérielle des principales ressources utilisées pour la production d’images, en abordant le contexte social et politique de leur extraction et de leur gaspillage, ainsi que leur relation avec le changement climatique.
Musée suisse de l’appareil photographique, Vevey.
Salon du Livre
Le Salon du Livre de Genève revient du 19 au 23 mars à Palexpo avec plus de 600 auteurs et 300 rencontres littéraires. Maïtena Biraben, Jérôme Ferrari et Eric-Emmanuel Schmitt seront à l’honneur avec des cartes blanches inédites. Une nouvelle scène, «La fenêtre sur le monde», abordera les grands enjeux contemporains. Le salon proposera aussi un studio pour les créateurs de contenu littéraire, un programme jeunesse dynamique et une exposition dédiée à Corto Maltese. Cinq prix littéraires seront décernés. Du 19 au 23 mars, Palexpo-Genève. Entrée gratuite sur inscription.
Festival de la croisière
Le mercredi 12 mars, de 9h à 18h, CroisiEurope organise le Festival de la Croisière à l’Hôtel Alpha Palmiers, situé au 34, rue du Petit-Chêne à Lausanne. Cet événement gratuit offre aux visiteurs l’opportunité de découvrir les croisières «Signature» et les nouveautés de la compagnie. Des offres exclusives au départ de la Suisse romande seront disponibles sur place. Les participants pourront également bénéficier de conseils personnalisés de la part des agents de CroisiEurope et tenter de remporter une croisière exceptionnelle. Le 12 mars, Hôtel Alpha Palmiers, Lausanne, 9h-18h. Entrée libre.
Jusqu’au 24 août
Spécimens 24
Plongée au cœur des collections scientifiques et historiques de deux musées cantonaux. Cette exposition invite à explorer les passionnantes coulisses de la science, de ses origines à ses derniers progrès, et à découvrir comment elle se transmet. Prévue jusqu’en mars, elle est prolongée jusqu’au mois d’août! Palais de Rumine et Jardin botanique cantonal de Lausanne.
Conférences
Le 28 mars
Etre en santé et le rester
La conférence «Etre en santé et le rester… quand l’assiette parle à l’âme», se tiendra le 28 mars à 19h30 à Epalinges. Elle explorera les liens entre alimentation, santé et bien-être. Entrée libre. Salle polyvalente, Epalinges.
Musique
Du 14 au 16 mars - Sisters Cet événement se concentre autour de la musique électronique créée par des
femmes. Au programme: une projection de film, un double concert et un atelier de musique expérimentale. CALM, Lausanne.
Le 15 mars - Last Train
Les quatre compères français de Last Train, encensés pour leurs lives hypnotiques, seront aux Docks pour une unique date Suisse. Docks, Lausanne.
Le 20 mars Créations étudiantes
Les étudiants de 3e année en Bachelor Musiques Actuelles restituent leur travail réalisé en classe de musique assistée par ordinateur sous la forme d’un concert «live electronic». La Datcha, 21h, Lausanne.
Danse
Le 23 mars
Du bout des doigts
Ce spectacle mêle danse en pied, danse de mains/doigts et cinéma, raconte l’histoire de la danse à travers l’histoire des hommes.
L’Octogone, théâtre de Pully.
Bien Grandir - Bien Vivre - Bien Vieillir! Au cœur du quartier d’Ouchy ’ ’ se réjouit de vous accueillir lors la journée
De nombreuses animations vous y attendent.
CMS Ouchy - Tél. 021 612 02 02 - www.cms-vaud.ch
Les bouquins du week-end
Monarques
IA
Lausanne un lieu, une histoire
L’Hermitage, un point de vue sur la ville
Créé dans les années 1840, l’Hermitage est une langue de verdure qui s’étend jusqu’à frôler la cité. e et nt
PROPRIÉTÉ • Quand il vit la bourgeoisie quitter la ville pour s’établir dans les campagnes alentour, John Ruskin, amateur de pittoresque médiéval, émit cette sentence: «Je n’ai jamais aimé Lausanne et je ne l’aimerai jamais. Il y a trop de lac, et la ville est une ville de Beaux-Séjours et de BonsRepos, et alentour, il n’y a que des murs.» Pourtant, la campagne qui offre aujourd’hui le plus beau panorama, c’est assurément l’Hermitage, créé dans les années 1840. Situé sur le bas de la colline de Sauvabelin, ellemême éperon avancé du Jorat, le parc est comme une langue de verdure qui s’étend jusqu’à frôler la cité. La perspective sur le château et la cathédrale, qui se découpe directement sur le Léman, a inspiré les plus grands peintres, comme Corot ou Turner.
Expositions
La propriété est aussi remarquable: dans la maison de maître néo-classique (construite de 1852 à 1855),
modèle d’ouverture sur l’extérieur, la Fondation de l’Hermitage présente deux à trois belles expositions de peinture depuis 1984. Le jardin à l’anglaise mérite le détour, avec ses arbres majestueux datant de la création du parc, dont le fameux hêtre pleureur – l’un des plus beaux arbres de Lausanne avant qu’il ne soit foudroyé le 20 juin 2021. Même sans tronc, il impressionne toujours, avec ses branches qui reprennent vie – on les appelle alors «marcottes». Sont nettement plus secrètes les ruines de l’ancien funiculaire de Sauvabelin et une grotte, situées dans la forêt à l’arrière de la maison, en contrebas du Signal. Longez par l’est sur 140 mètres le pré-verger fermé en son sommet par le tribunal cantonal, avant que le sentier ne contourne une avancée de la forêt. A droite, mal indiqué car presque camouflé par les jardiniers de la ville, se trouve le début du chemin. Rapidement,
Convoqués par le roi, un lion sage, les corbeaux et les renards, sont poussés à trouver une solution pour mettre fin à un conflit qui n’a que trop duré. Mais sont-ils prêts à faire la paix? Les conspirations qui se trament dans l’ombre du palais augurent d’une fin tragique. Ce livre ne se contente pas de reprendre les fils d’une histoire connue; il les tisse dans une épopée grandiose, où corbeaux et renards sont engagés dans un conflit. Guillaume Plassans et Rom Montalban, éditions Helvetiq.
ADRESSE
En 1997, un événement inouï secoue le monde: un logiciel d’intelligence artificielle, triomphe de Garry Kasparov, l’incontesté champion du monde d’échecs russe. Pour la première fois, une machine surpasse l’intelligence humaine. Depuis, l’IA a connu une progression exponentielle que nul n’avait anticipée. Face à cette révolution en marche, certains évoquent le mythe de Frankenstein, où la créature échappe à son créateur. Luc Ferry, éditions L’Observatoire.
Route du Signal 2, 1018 Lausanne, fondationhermitage.ch
TRANSPORTS EN COMMUN Bus TL 16, arrêt Hermitage
A SAVOIR
Dans les dépendances de la villa, le restaurant L’Esquisse, avec son agréable terrasse, est ouvert toute la journée et propose un brunch le week-end.
vous découvrirez les vestiges du funiculaire. Attention, c’est glissant! Un peu plus loin niche une grotte, attestée en 1806 déjà. Conspirateurs? Francs-maçons? Scouts toujours!
Le texte de cette rubrique est tiré du livre «111 lieux à Lausanne à ne pas manquer», de Martine Dutruit (photos), Ulrich Doepper, Pierre Thomas et Michel Zendali (textes), éditions emons: www.111lieux.com Disponible en librairie.
Lausanne
Genève
Un trio mêlant groove et complicité
JAZZ • Soirée vibrante le 21 mars à Chorus avec Nicole Johänntgen et son trio, entre groove et influences New-Orleans!
Le Chorus Jazz Club à Lausanne accueille une soirée d’exception le 21 mars prochain avec la saxophoniste virtuose allemande Nicole Johänntgen, artiste maintes fois récompensée et figure incontournable du jazz contemporain.
Forte d’une carrière prolifique avec 25 albums à son actif et des collaborations prestigieuses (Aaron Parks, Nils Landgren, Eric Harland), elle a su imposer sa signature musicale unique, à la croisée des genres. Pour son dernier projet, Nicole Johänntgen s’entoure de Jon Hansen, tubiste de la Seattle Repertory Jazz Orchestra, et du percussionniste David Stauffacher, pilier du Swiss Jazz Orchestra. Ensemble, ils façonnent une musi-
que audacieuse et éclectique, fusionnant les sonorités du jazz NewOrleans avec l’énergie irrésistible de la Motown et des grooves percutants.
Vibrant et expressif
Lauréate du Prix des Arts de Sarre 2022 et du Prix Lichtenburg 2023, Nicole Johänntgen transcende les frontières musicales avec un jeu de saxophone vibrant et expressif. Ce concert promet une immersion intense dans un univers musical en perpétuelle réinvention, où le souffle du saxophone dialogue avec la
profondeur du tuba et la richesse rythmique des percussions.
Nicole Johänntgen Trio Le 21 mars, 21h, Chorus Jazz Club, Lausanne.
billets b
Pour gagner 2 billets, envoyez LC MUS au 911 ou appelez le 0901 888 021, code 10 (1fr.90/SMS ou appel depuis une ligne fixe), jusqu’au lundi 17 mars à minuit. Ou en nous envoyant une carte postale avec adresse, téléphone et email, à Av. d’Echallens 17, 1004 Lausanne.
Une série jeunesse pleine de suspense
JEUNESSE • Quatre enfants, une île abandonnée. Chaque nuit, une nouvelle mission. Attention, le jeu ne fait que commencer… Elena, Maya, Hector et Elijah se réveillent, amnésiques, sur une île perdue et déserte. Rapidement, ils découvrent un pensionnat abandonné dans lequel sommeille un étrange automate. A minuit, ce dernier s’éveille et leur délivre un message. Une mission à réussir… S’ils échouent, ils seront sanctionnés. Ne prenant pas
l’ordre au sérieux, les enfants se lancent à la découverte de l’île. Mais lorsqu’Elena disparaît, ils comprennent qu’ils vont devoir accepter le jeu de l’automate…
«L’île de minuit,Tome 1 - Le réveil de l’automate» Grebil - Lylian, éditions Dupuis.
Voyage musical entre baroque et modernité
CONCERT • Sous la direction de Christophe Gesseney, l’Ensemble Vocal Euterpe et l’Ensemble Fratres, accompagnés de solistes talentueux, interprèteront des œuvres majeures du répertoire classique et baroque, les 21, 22 et 23 mars.
Jean Cassanéa de Mondoville sublime le psaume 92 Dominus regnavit dans une pièce majestueuse où chœur puissant et solos éclatants célèbrent la grandeur divine. Le Magnificat de Vivaldi, lumineux et solennel, rappelle quant à lui la richesse mélodique de ses opéras. Enfin, avec son Gloria, Karl Jenkins propose une œuvre vibrante, fusionnant traditions sacrées et influences modernes.
Ce concert réunit les solistes Camille Chagnon (soprano), Sofiane Thoulon (mezzo), Oscar Esmerode (ténor) et Matthias Geissbühler (baryton-basse) pour une expérience musicale inoubliable.
Vendredi 21 mars à 20h15,Temple protestant, Yverdon-les-Bains. Samedi 22 mars à 18h30, et dimanche 23 mars à 17h, à l’Eglise St-Laurent, Lausanne.
bandes dessinées b 5
Pour gagner 1 BD, envoyez LC LIV au 911 ou appelez le 0901 888 021, code 12 (1fr.90/SMS ou appel depuis une ligne fixe), jusqu’au lundi 17 mars à minuit. Ou en nous envoyant une carte postale avec adresse, téléphone et email, à Av. d’Echallens 17, 1004 Lausanne.
Cette semaine sur les écrans
Bref, saison 2 (Disney +)
par Thomas Lécuyer
«Bref» a sans conteste été le programme court de toute une génération. A l’instar du génial cinéaste américain Richard Linklater, qui laisse souvent vieillir ses personnages en même temps que ses acteurs, Kyan Khojandi remet le couvert dix ans plus tard, avec tous ses personnages fétiches et un casting rempli de caméos de luxe. Outre Orelsan, Gringe et Jonathan Cohen, on retrouve donc Bertrand Usclat, Doria Tillier, Jean-Paul Rouve, Alexandre Astier, Emmanuelle Bercot, Grégoire Ludig, Carlito, Seb la Frite, ou encore Camille Giry. Là où cette saison 2 est surtout géniale, c’est qu’elle met en images avec une créativité folle, un humour désabusé et beaucoup de tendresse les angoisses des quadragénaires du troisième millénaire, ceux-là même qui regardaient déjà la série il y a dix ans. C’est souvent juste, hyper créatif, très drôle, et parfois émouvant. En changeant de format (Kyan Khojandi passe du format court à des épisodes de 40 minutes en moyenne), «Bref» change aussi d’échelle et se permet beaucoup d’audaces formelles et narratives. Quand on pense qu’à l’époque, les deux créateurs de la série, Kyan Khojandi et Navo, avaient dit qu’ils souhaitaient arrêter parce qu’ils ne pensaient pas pouvoir faire mieux … bref, ils ont fait mieux.
On ira
billets b 8
Pour gagner 2 billets pour le cncert du 22 mars à Lausanne, envoyez LC BAR au 911 ou appelez le 0901 888 021, code 11 (1fr.90/SMS ou appel depuis une ligne fixe), jusqu’au lundi 17 mars à minuit. Ou en nous envoyant une carte postale avec adresse, téléphone et email, à Av. d’Echallens 17, 1004 Lausanne.
Marie, 80 ans, en a ras le bol de sa maladie, et elle a un plan: partir en Suisse pour mettre fin à ses jours. Le problème, c’est qu’elle a un fils irresponsable et une petite-f ille en crise d’ado, alors, au moment de leur faire part de sa décision, elle se dégonfle et invente un énorme mensonge. Prétextant un mystérieux héritage à aller chercher dans une banque suisse, elle leur propose de faire un voyage tous ensemble. Complice involontaire de cette mascarade, Rudy, un auxiliaire de vie tout juste rencontré la veille, va prendre le volant du vieux camping car familial, et conduire cette famille dans un voyage inattendu. Enya Baroux signe un premier long-métrage très réussi, road movie plein d’humour décalé et de tendresse d’une famille dysfonctionnelle. «On ira» confirme aussi l’incroyable talent de Pierre Lottin, qui a déjà conquis le cœur du public avec «En Fanfare». Hélène Vincent est touchante et lumineuse dans le rôle de cette mamie qui veut coûte que coûte choisir sa fin de vie. Et je vous rassure: malgré son sujet bouleversant, on rit beaucoup, et jusqu’à la fin! de neuf? d Quoi
Des permanences pour mieux connaître l’univers d’internet
Dans un monde où la maîtrise des outils digitaux est devenue indispensable pour les démarches administratives, l’accès aux services en ligne ou simplement le maintien du lien social, de nombreuses personnes rencontrent encore des difficultés. C’est face à cette constatation que le projet Clic Ensemble a été créé en 2024, et suite à son succès, a été reconduit pour 2025. Lancé en février 2024 par les associations régionales d’action sociale de Prilly-Echallens (ARASPE) et de l’Ouest lausannois (ARASOL), avec le soutien du Canton de Vaud dans le cadre du programme «Vaud pour vous», Clic Ensemble propose des permanences numériques gratuites pour accompagner ceux qui en ont besoin. Grâce à l’engagement de bénévoles formés et encadrés, ces sessions, organisées dans des restaurants partenaires de la région lausannoise, permettent aux participants d’acquérir des compétences essentielles, dans un cadre convivial et accessible sans inscription préalable. Pour consulter le programme des futures permanences et autres rencontres, rendez-vous sur www.clicensemble.ch.
Aurore Clerc
www.clicensemble.ch
DANIEL BERNET
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A nos bureaux: avenue d’Echallens 17, 1004 Lausanne, ouvert du lundi au jeudi, de 9h à 14h non-stop
TARIFS:
Pour les particuliers: CHF 1.35 TTC le mot (min. 8 mots)
Pour les professionnels: CHF 1.77 HT le mot (min. 8 mots) Délai (hors jours fériés): le lundi précédant la parution à 12 heures.
Instagram In Lausanne sur
Chaque semaine un membre des @IGersLausanne - Instagramers de Lausanne - sélectionne une photo parmi les photos tagguées #IGersLausanne sur Instagram.
Conception, rédaction, choix éditorial : Ville de Lausanne, Responsable Amélie Nappey-Barrail Mise en page, impression, distribution Lausanne Cités
Le mot
caché
Héron cendré et goélands: photo choisie par Luca @diuck73
Chiang Mai, cité de tradition et de culture
En pratique
Y ALLER Au départ de Genève, plusieurs vols partent quotidiennement en direction de Bangkok. Mais aucun n’est direct. Tous transitent via Zurich, Paris, Amsterdam, Istanbul ou encore les Emirats arabes selon la compagnie choisie. De Bangkok à Chiang Mai, il existe de nombreuses correspondances quotidiennes, notamment avec Bangkok Airways et Thaï Airways (1 heure de vol).
Y SÉJOURNER
Y MANGER
Chiang Mai propose une large palette d’établissements pour tous les budgets. Si vous souhaitez une ambiance plutôt animée, optez pour un hôtel à proximité du Night Market ou de la Thapae Gate. Si vous désirez plus de calme, installez-vous dans la vieille ville ou le long de la rivière Ping.
te tem incurs o unverredan
Celle qu’on appelle la Rose du Nord s’affiche aujourd’hui comme la capitale culturelle de la Thaïlande. Bien au-delà des traditionnels clichés, elle propose une offre multiple qui fait la part belle à la tradition comme à la modernité.
On dit souvent de Chiang Mai qu’elle est une ville de passage. Qu’il suffit de deux-trois jours pour en faire le tour. Le temps de visi-
ter quelques-uns de ses temples, de faire une incursion dans son Night Market ou encore d’aller boire un verre dans l’un des nombreux bars qui jalonnent les bords de la rivière Ping qui la traverse.
Capitale artistique
Quelle erreur!
L’ancienne capitale du Royaume
Lanna mérite bien plus que cela. Car si elle ne séduit pas d’emblée par son architecture et sa fluidité, vous serez très vite saisis par l’atmosphère qui s’en dégage et par le rôle d’acteur
majeur de la scène culturelle thaïlandaise qu’elle s’est donnée. Avec, bien sûr, ses 300 temples qui reflètent les influences culturelles et religieuses de la région, mais aussi grâce à ses nombreux festivals colorés qui y ont lieu, notamment en novembre, comme celui des lanternes de Yi Peng durant lequel des milliers de lanternes en papier sont libérées dans le ciel. Ou celui de Loi Krathong, la Fête des Lumières, qui voit des paniers flottants en forme de lotus, représentant la libération du malheur, envahir les cours d’eau. La ville
Chiang Mai recèle une quantité incroyable de bonnes tables, dont certaines ont même obtenu un bib Michelin. Toutes les cuisines du monde y sont représentées et la street food y est excellente.
LA VISITER
La période la plus agréable pour séjourner dans le nord de la Thaïlande, dont le climat est réputé pour être plus frais que dans le reste du pays, court de minovembre à fin mars.
se distingue aussi par ses nombreuses galeries d’art, ses lieux alternatifs, ses boutiques design et… ses nombreux musées. Celui de la Vie folklorique de Lanna, qui expose la richesse et la diversité de la culture Lanna; le Musée national de Chiang Mai, un endroit idéal pour découvrir l’héritage historique et culturel de la Thaïlande.
Expérience immersive Dans un tout autre genre, Art in Paradise, un musée un peu particulier offre une expérience artistique interactive et immersive incroyable et donne l’impression de faire partie intégrante des peintures présentées.
Sans oublier bien sûr le MAIIAM, le Musée d’art moderne de Chiang Mai (lire encadré ci-dessous) qui offre un véritable panorama de l’art contemporain en Thaïlande.
Tous ces lieux, sans compter de multiples autres, sont le reflet, à des degrés divers, de l’évolution culturelle de la ville et de son ouverture. Ils démontrent que la Rose du Nord, fière de son passé et de ses traditions, s’est résolument engagée sur le chemin de la modernité et, qu’à ce titre, elle mérite vraiment qu’on s’y attarde!
Philippe
Une vitrine de l’art contemporain
Le MAIIAM, le Musée d’art contemporain de la ville, a ouvert ses portes en 2016. Il est situé dans un ancien entrepôt de quelque 3000 mètres carrés, dans le quartier de San Kamphaeng, considéré comme le centre de la production artisanale thaïlandaise. Le MAIIAM abrite des expositions temporaires, des événements particuliers, une salle de cinéma et une exposition permanente. Cet endroit magnifique a été créé par un collectionneur français, Jean-Michel Beurdeley, spécialiste d’art asiatique, et son épouse thaïe, aujourd’hui disparue. Tous deux ont voulu partager l’immense collection qu’ils avaient accumulée durant 30 ans de vie commune dans la région, soit plus de 400 pièces inestimables. Il permet de découvrir ce qui se fait de mieux en termes d’art contemporain en Thaïlande et contribue ainsi, un peu plus encore, à faire de Chiang Mai la ville artistique du pays.
Kottelat Photos: PK/123RF
Le Festival des lanternes, appelé Yi Peng, se distingue par de majestueux lâchers de lanternes dans le ciel.
Le MAIIAM renferme l’une des plus importantes collections d’art contemporain de Thaïlande.
Perché sur les hauteurs, le temple de Doi Suthep domine la ville de Chiang Mai.
Hits de la semaine
11. 3 – 17. 3. 2025
à partir de 2 articles 30%
Fraises
Espagne/Italie, la barquette de 500 g, 2.66 au lieu de 3.80, (100 g = 0.53)
à partir de 2 articles 30%
Toutes les confitures Belle Journée
p. ex. Fraises Extra, 500 g, 1.93 au lieu de 2.75, (100 g = 0.39)
30%
Carottes Migros Bio et Demeter, en sachet de 1 kg
p. ex. Migros Bio, Suisse, 1.96 au lieu de 2.80, valable du 13.3 au 16.3.2025
Jusqu’à épuisement du stock. Les articles M-Budget et ceux bénéficiant déjà d’une réduction sont exclus de toutes les offres.
33%
8.95 au lieu de 13.50
Saumon fumé de l’Atlantique M-Classic, ASC d’élevage, Norvège, 300 g, en libre-service, (100 g = 2.98)
Branches Frey
Milk ou Dark, en emballage spécial, 50 x 27 g, p. ex. milk, 12.75 au lieu de 25.50, (100 g = 0.94) 50%
4.70 au lieu de 7.90
2 pièces, les 100 g, en libre-service 40%
Entrecôtes de bœuf IP-SUISSE
50%
Produits de lessive Ariel en emballages spéciaux, p. ex. Color+, 4 litres, 25.90 au lieu de 51.80, (1 l = 6.48)
Les de fin de
Valable jeudi – dimanche imbattables semaine!
6.95 au lieu de 12.15
Jambon cru des Grisons Surchoix Suisse, 153 g, en libre-service, (100 g = 4.54), valable du 13.3 au 16.3.2025 42%
à partir de 2 articles 50%
Tout l’assortiment Nivea
(excepté les formats de voyage, les sets cadeaux et les emballages multiples), valable du 13.3 au 16.3.2025
Actualités et informations pratiques de la Commune
Agir contre le racisme
Plusieurs initiatives sont mises en place pour lutter contre les discriminations sur le territoire lausannois. Par exemple, la Semaine d’actions contre le racisme qui se tiendra dans quelques jours.
Promenez-vous dans les bois
Participer à une aventure unique
Des repas locaux de qualité
Des rénovations qui présentent de nombreux avantages
Evénement — Jeudi 13 février dernier, la première séance organisée pour inciter les propriétaires de Lausanne à rénover leur bâtiment a eu lieu au Casino de Montbenon.
Des subventions existent
Prochaines conférences
• 24 mars
8 mai
Recréer des zones d’obscurité
Energies — Les Services industriels de Lausanne (SiL) déploient le nouveau Plan lumière dans les quartiers de Vers-chez-les-Blanc, Montblesson, Chalet-à-Gobet, Montheron et Vernand.
Pourquoi ces changements de luminaires?
Comment avez-vous identifiés ces zones?
Quelle est la prochaine étape?
Quand il y a des locataires
Un mois sans ma voiture? Relevez le défi!
Mobilité —
Des cartes pour stationner sur le domaine public
Où?
Quand?
Votreavisnousintéresse Vousavez uneidée, unequestionouuneremarquesur le Journalcommunal ? www.lausanne.ch/avis-jc Ecrivez-nous!
A l’écoute des quelque 160 nationalités qui font Lausanne
«Mon rôle est avant tout d’écouter»
Vanessa Kangni est chargée de projets en prévention du racisme au BLI. Elle s’occupe notamment de la permanence Info-racisme qui permet à la population de signaler tout incident raciste qui a lieu à Lausanne.
Chaque cas est unique
Connaitre ses droits
«Mettre des règles claires est nécessaire»
Vous avez mis en place des mesures pour lutter contre le racisme. Pourquoi est-ce important?
Obtenir des réponses dans sa langue
Quelles mesures avez-vous prises?
Comment s’assurer que ce ne sont pas juste des mots sur un bout de papier?
Permanence, mode d’emploi
Quand? Où?
Lutter contre le racisme dans le monde du travail
— Quoi?
Quand?
Où?
Prix?
L’eau, une richesse fragile à préserver
Nature — La Journée mondiale des glaciers (21 mars) et la Journée mondiale de l’eau (22 mars) rappellent l’importance des ressources en eau. A Lausanne, une partie de l’approvisionnement repose sur des sources de montagne, vulnérables face au changement climatique.
Des sources sous surveillance
Préparer l’avenir
La traversée de la Méditerranée
racontée par de jeunes exilées et exilés
L’exposition s ’ appuie sur des dessins, rédactions et entretiens de jeunes migrantes et migrants nés
dans les années 1930-1940 en Algérie et arrivés en France métropolitaine entre 1946 et 1962.
Quoi? Exposition
Quand? Jusqu’au 28 mars
Lundi, mardi, jeudi et vendredi, 12h-19h
Mercredi et samedi, 9h-19h
Où? Forum de l’Hôtel de Ville, pl. de la Palud 2
Prix? Gratuit
Infos www.refugiereve.hypotheses.org
Final_Backup
Que deviennent nos données (playlists, messages, photos) après notre mort?
Que voulons-nous en faire une fois que nous ne serons plus là? Souhaite-t-on les transmettre, les effacer définitivement, ou les confier à un futur incertain? L’exposition s ’ empare de cette question et met en lumière les enjeux contemporains de l’héritage numérique
Quoi? Exposition
Quand? Jusqu’au 27 mars, 10h-18h
Où? Pyxis – Maison de la culture et de l’innovation numérique
Pl. de la Cathédrale 6
Prix? Gratuit
Infos www.pyxis art/agenda
La plume de Valency
Avec sa plume géante, ses sphynx, son château et ses allées somptueuses, le parc de Valency recèle d’étonnantes merveilles souvent méconnues
Quoi? Promenade douce pour les seniors
Quand? Vendredi 21 mars, 14h-15h30
Où? Départ: arrêt Velency, tl 9
Arrivé: arrêt Prélaz tl 7, 18 et 19
Prix? Gratuit, sans inscription
Infos www.lespromenadesdefloriane.ch
Semaine contre le racisme
Projection du film d’animation «Interdit aux chiens et aux Italiens». Le film est conçu comme un dialogue fictif avec la grandmère décédée du réalisateur. Un
témoignage du vécu de ces générations de migrantes et migrants italiens
et un hommage à leur courage
Age légal 12 ans
Quoi? Projection
Quand? Jeudi 20 mars, 20h
Où? Maison de quartier Sous-Gare
Av. Dapples 50
Prix? Gratuit, sans inscription Infos www.maisondequartiersousgare.ch
Cet agenda est publié sous réserve de modifications.
D’autres événements sont à découvrir sur www.lausanne.ch/agenda
A la chasse aux plantes invasives
Nous avons besoin de vous pour arracher
les laurelles et améliorer la biodiversité de la forêt.
Porter des habits adéquats et des gants. Les enfants doivent être sous la surveillance d’un adulte
Apéritif offert à la fin.
Quoi? Travail en forêt
Quand? Dimanche 16 mars, 9h-12h
Où? Maison de quartier du Désert
Ch. de Pierrefleur 72
Prix? Gratuit, sur inscription
Infos www.maisondudesert.ch
Livres et dragons – Jeux de rôle
Avez-vous envie d’essayer Donjons & Dragons ou un
autre jeu de rôle sur table? Personnes débutantes
comme expérimentées bienvenues. Dès 15 ans
Quoi? Jeux de rôle
Quand? Lundi 17 mars, 19h-22h
Où? Bibilothèque de La Sallaz
Place de la Sallaz 4
Prix? Gratuit, sur inscription
Inscriptions bibliothequelasallaz@lausanne
A ne pas rater
Sisters – Festival pop-up
Festival dédié aux figures féminines dans la musique électronique.
Au programme: musique électronique créée par des femmes, projection d’un film, double concert et atelier de musique expérimentale pour les enfants et les jeunes
Quand? Du vendredi 14 au dimanche 16 mars. Horaires sur le site
Où? Centre d’Art La Meute, parc du Loup 3
Prix? Gratuit, sur inscription Infos www.ensemblevide.ch/sisters-2
