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Le Wali Yacoubi reste plus que jamais "IN"

Février 2018

12,00DH

Sommaire

PingPong - Février - 3

Actualité

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Futur Tramway de Tanger Un projet défendu par le Wali

Tourisme

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CRT-TTA Un nouveau soutien financier pour bien se balader

Tourisme

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18-19

Le Groupe Renault Maroc sensibilise les écoliers à travers son programme «TKAYES SCHOOL»

Tourisme

22-23

Mövenpick Hotel & Casino Malabata Célébration des meilleurs employés du mois et de l’année

Tourisme

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Samia ROFAJ Tél: 06 11 36 85 91 E-mail: samia.pingpong@gmail.com Directrice Administratif Samia ROFAJ

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Studio HAMMOUDA Dépôt légal

2011 PE; 0028 ISSN: 2028 - 4543

Edito PingPong - Février - 4

Mohamed El Yacoubi Le Wali parfait pour Tanger et sa région

P

ersonne ne nie le rôle super important, voire essentiel que joue le Wali Mohamed El Yacoubi dans le maintien des équilibres sociaux et macroéconomiques de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima. Dire le contraire, c’est être aveugle et insister à se mettre du côté de l’irraisonnable et même de l’ingratitude. Certes que la réalisation des différents projets du programme de la nouvelle métropole est un peu trop difficile que tout le monde l’avait imaginée. Mais les résultats, au moins partiels, prouvent et attestent que des grands efforts sont faits chaque jour pour améliorer le cadre général de la vie quotidienne des populations locales, des investisseurs et des visiteurs.

Ces résultats, sans la présence jour et nuit d’un responsable apte à affronter tous les obstacles et à surmonter toutes les difficultés, étaient impossibles à atteindre.

Reconnaissons Samia ROFAJ

samia.pingpong@gmail.com

au Wali ce qui lui appartient. C’est un grand cadre qui respecte ses engagements et qui suit à la lettre les directives royales visant le développement social et économique de la région, ses grandes villes et ses petits patelins.

Sans même aller faire des comparaisons avec les réalisations des autres responsables chargés de la gestion de la ville (il est impossible de comparer l’incomparable !) et reconnaissant qu’il reste effectivement beaucoup à faire et/ou à corriger, les projets déjà terminés ou en cours de l’être sont des exemples de ce changement qui a lieu à Tanger, cité qui se voit renouvelée l’image et l’esprit. Ce qui a été fait dans cette nouvelle métropole était il y a à peine quelques années souhaité mais inimaginable. Et cette excellente œuvre n’est excellente que parce que derrière il y a eu un homme qui dormait peu et sillonnait les rues et boulevards de jour comme de nuit pour bien la façonner.

Que Mohamed El Yacoubi soit resté à son poste est une chance pour cette ville et sa région et les prochains jours, les prochaines années le prouveront… Au point qu’on n’arrivera jamais à bien le remercier !

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Le Wali Yacoubi reste plus que jamais "IN"

A

lors que certaines sources affirmaient le départ du Wali Mohamed El Yacoubi, notamment à cause de la « gestion » des projets du programme Tanger Métropole, M. El Yacoubi est sorti ‘vainqueur’ en gardant son poste.

Son maintien à la tête de la Wilaya de la région est en fait une grande victoire contre ses nombreux détracteurs qui le voyaient carrément 'Out'. Mais finalement il reste plus que jamais 'In'.

En effet, de tous les responsables qui sont sortis bien plus forts depuis le déclenchement de la crise du Rif, Mohamed El Yakoubi, Wali de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, serait le plus méritant. A 48 ans, le jeune cadre vient en effet d’être confirmé à son poste lors du dernier mouvement des agents d’autorité. Lauréat de l’Ecole Hassania des travaux publics spécialisé en génie civil, il était soi-disant donné partant, lorsque des rumeurs insistantes évoquaient son limogeage.

Au cours des dernières années, l’homme a su obtenir la confiance du Palais, notamment lors de son passage à la tête de la préfecture de M’dieq-Findeq entre 2005 et 2010, puis de Tétouan. « C’est une région où Mohammed VI aime à se rendre pour passer ses vacances ou pour des activités officielles » témoigne un élu de la région, soulignant le caractère de « grand bosseur, efficace, avec le sens de l’écoute » du wali. Pas anormal donc que ce grand commis de l’Etat hérite de la gestion des dossiers brûlants de la région et supervise les grands chantiers d’Al Hoceima. C’est aussi à lui que revient la supervision du chantier de la future Smart City dont la réalisation a été attribuée au groupe chinois Haite, autant de missions d’importance qui ne lui valent pas que des amitiés.

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«

Voici pourquoi le Wali est resté

La réussite, c'est un peu de savoir, un peu de savoir-faire et beaucoup de faire-savoir » (Jean Nohain. Animateur, Artiste, Avocat, Homme de loi, Parolier (1900 - 1981).

Si une partie des populations juge ‘insuffisant’ le travail accompli par le Wali de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Mohamed ElYacoubi et en sont insatisfaits, d’autres le trouvent plutôt très convaincant. Au fond, ce sont les réalisations du premier responsable de la région de Tanger qui sont à l’origine de ces sentiments qui diffèrent selon la position et les intérêts des personnes et des secteurs qui sont de près ou de loin liés à ses missions.

Une petite analyse de son CV, laisse entrevoir que Mohamed El Yacoubi possède une très bonne expérience dans le domaine de la gestion des affaires de la ville. Avant d’être nommé à son actuel poste, le Wali a assumé avec brio toutes les autres responsabilités qui lui ont été données. Le natif de Berkane en 1969, obtient son diplôme d'ingénieur d'Etat en Génie civil de l'école Hassania des travaux publics, il occupe, à partir de septembre 1992, le poste de chef d'exploitation au port de commerce d'Agadir, celui de chef de la direction exploitation au même port en novembre 1993, celui de directeur d'exploitation au port de Tan Tan en septembre 1995, puis de directeur d'exploitation au port de Laayoune en septembre 1998.

En novembre 2001, il occupe le poste de Directeur d'exploitation au port de Jorf Lasfar, avant d'être nommé, en juin 2012, Directeur du centre régional d'investissement de la région de Doukkala-Abda, puis Directeur du centre d'investissement de la région Tanger-Tétouan en avril 2004.

En juin 2005, le Roi le nomme gouverneur de la préfecture de M'Diq-Fnideq, poste qu'il a occupé jusqu'à novembre 2010, date de sa nomination comme Wali de Tétouan, gouverneur de sa province.

Après avoir assumé le poste de Wali par intérim de la région de Tanger-Tétouan et de gouverneur par intérim de la préfecture de Tanger-Asilah, M. ElYaakoubi obtient à nouveau la confiance du Souverain qui

le nomme, en janvier 2014, Wali de la région Tanger-Tétouan, Gouverneur de la préfecture Tanger-Asilah. Depuis le dernier découpage régional, Al Hoceima est également sous sa charge directe.

Les premières critiques relatives à la responsabilité de Mohamed El Yacoubi se font sentir en parallèle avec la concrétisation des projets du programme Tanger Métropole. Les palmiers implantés presque sur tous les boulevards de la ville, et qui sont actuellement dans un état lamentable, les trottoirs mal imaginés, les routes très mal sécurisées, notamment sur la corniche et la périphérie, etc. parmi ces projets, plusieurs ont été mal réalisés, ce qui explique la colère des populations.

Mais Mohamed El Yacoubi et contrairement à un nombre considérable de responsables locaux et régionaux, possède d’autres points forts qui font de lui le responsable idéal pour gérer les affaires d’une région de l’importance de celle de Tanger.

Au fond, un grand nombre de personnes sont satisfaits du rendement du Wali et témoignent de son efficacité et de sa totale abnégation.

C’est le cas d’un opérateur contacté par cette publication qui raconte son expérience avec Mohamed El Yacoubi. Une expérience et un vécu signalés par plusieurs autres responsables de la ville. « Un jour, dans le cadre du suivi des projets de la métropole, nous avons été convoqué par le Wali Mohamed ElYacoubi pour une réunion de travail dans son bureau. Nous étions une bonne dizaine de responsables.

La réunion a démarré à 10 heures du matin et n’a fini que vers minuit. On était tellement plongés dans la discussion des plus petits détails de certains projets qu’on a

même sauté le déjeuner. Ce jour-là, le Wali jeunait et ce n’est que le soir qu’on s’est rendu compte que nous l’avions tous accompagné dans son jeûne. Mohamed El Yacoubi posait des questions à tout le monde, chacun dans son domaine et il m’est apparu très impressionnant qu’il ne néglige aucun détail et connaît très précisément de quoi il parlait. Personnellement, je n’avais jamais eu affaire à un responsable aussi efficace que lui».

Mais là tout le monde est d’accord c’est concernant ce rôle assumé par Mohamed El Yacoubi à Al Hoceima quand le blocage était total et semblait très difficile à surmonter. Là aussi le Wali était décisif et d’ailleurs tous les observateurs assurent que c’est grâce à ses interventions que plusieurs projets économiques et sociaux ont été lancés. El Yacoubi a passé plusieurs mois dans la ville rifaine où il a rencontré et conversé avec les populations tout en s’assurant que la machine des projets de développement redémarre de nouveau. Là où d’autres responsables ont échoué, notamment ceux chargés de la gestion des affaires de la région, Mohamed El Yacoubi a réussi. Et c’est généralement l’avis partagé par tout le monde. De Tanger à Al Hoceima.

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AZIT Inauguration de nouveaux locaux sociaux

C

’est devant un panel très important composé du Wali Mohamed El Yacoubi, des consuls de France et d’Espagne, du maire de Tanger, du président de la Chambre de commerce, d’industrie et des services, Omar Moro, du président du CRI, Omar Chraibi, ainsi que de plusieurs opérateurs économiques, qu’a été inauguré, le jeudi 25 Janvier 2018, une caserne des sapeurs-pompiers, un poste de police et une infirmerie, situés à l’intérieur de la Zone Industrielle de Tanger ( AZIT ).

Présidée par Adil Rais, président de l’AZIT; Association de la Zone Industrielle de Tanger, cette cérémonie a été l’occasion de dévoiler l’un des plus importants projets de cette association de textile, réalisé en partenariat avec la Wilaya de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, la Direction Générale de la Protection Civile, la Direction Générale de la Sûreté Nationale et la Délégation de la santé. Après l’acte inaugural, Adil Rais a pris la parole pour remercier tous les intervenants qui ont participé à la réalisation de ce vaste chantier qui place la zone industrielle de Mghogha comme la meilleure zone au niveau national, en dehors des zones franches.

A ce titre, le président de l’AZIT a tenu à remercier chaleureusement le rôle déterminant du Wali Mohamed El Yacoubi pour que ce projet soit réalisé. Le même responsable a indiqué qu’un autre projet visant le réaménagement des infrastrucures de la zone sera bientôt lancé pour atteindre cet objectif. Un budget de 170 MDH est prévu pour améliorer toutes les infrastructures de la zone de Mghogha et en faire une zone modèle.

La nouvelle caserne des sapeurs-pompiers, le poste de police et l’infirmerie ont étés construits sur un terrain de 1 938 m2. Ils sont constitués de trois bâtiments d’une surface couverte totale de 590 m2, financés en grande partie par l’AZIT, à hauteur de 3 Millions de dirhams ainsi qu’avec la contribution de la Wilaya de Tanger-Tétouan-Al Hoceima et de la protection civile à hauteur de 1,5 Millions de Dirhams. Le budget total de ce projet, s’élève donc à 4,5 millions de dirhams.

L’objectif de ce projet d’envergure est de renforcer la sécurité à l’intérieur de la Zone Industrielle et sur son périmètre, par des interventions rapides et efficaces ainsi que d’apporter des soins pour la population se

L trouvant sur la Zone Industrielle et sur les quartiers périphériques à la Zone.

Cette initiative, constitue une étape importante de l’engagement de l’AZIT et de ses adhérents visant l’amélioration de l’efficacité des interventions portées aux opérateurs installés à la Zone Industrielle de Tanger et ceux se trouvant sur son périmètre.

Cet événement a connu la participation effective du Wali de la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima ; M. Mohamed Yacoubi, Le commandant de la Protection Civile de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima; M. Ahssad Redouane, les membres du comité de l’AZIT et les directeurs des principales sociétés installées à la Zone Industrielle de Tanger.

L’AZIT, est une association de la Zone Industrielle de Tanger, créée en 1990 et rassemble aujourd’hui plus de 120 entreprises opérationnelles basées à Mghogha, Tanger.

L’AZIT a notamment pour mission la gestion et l’entretien des infrastructures de la zone industrielle, l’accompagnement des entreprises industrielles dans leurs objectifs d’amélioration et de modernisation sur le plan humain et technique.

Tanger-ville: Ambition royale sous la surveillance du Wali

e mégaprojet de reconversion de Tanger ville est considéré comme un chantier phare et multidimensionnel initié par SM le Roi Mohammed VI, dont les travaux sont en phase très avancée. Une raison suffisante pour qu’il soit très suivi par le Wali Mohamed El Ycoubi.

D’un coût global de 6,2 milliards de dirhams, «ce projet vient à un point nommé alors que Tanger fait l’objet, depuis une quinzaine d’années, d’un effort très important de mise à niveau en termes d’infrastructures, de mise aux normes urbaines, de restitution de l’espace public, notamment en front de mer. Mais aussi dans le cadre de l’élan imprimé par les pouvoirs publics aux provinces du nord, pour rompre avec une période de latence stratégique», indique Mohamed Ouanaya, président-directeur général de la Société d’aménagement pour la reconversion de la zone portuaire de Tanger ville (SAPT).

S’étendant sur une superficie d’environ 84 ha de terre-pleins, ce projet ambitionne de faire de Tanger une destination phare du tourisme de croisière et de plaisance à l’échelle internationale. Il s’agit aussi de «doter Tanger d’une offre touristique et culturelle à forte valeur ajoutée et de repositionner la ville dans son statut de cité internationale tout en ravivant sa légende et son mythe», souligne M. Ouanaya.

L’état d’avancement de ce mégaprojet se concrétise par l’achèvement d’une série de chantiers liés aux différentes composantes portuaires et urbaines du site. Parmi lesquels les travaux d’infrastructures relatifs au nouveau port de plaisance qui ont été achevés dans leur totalité. Ceux de viabilisation et d’équipement de ce port sont en phase d’achèvement pour une mise en service cet

été 2016. Il est prévu dans le cadre de ce nouveau projet la mise en place, entre autres, d’un parking de 462 places, un club nautique des cafés et restaurants, des équipements dédiés aux plaisanciers (vestiaires, laveries, sanitaires,..), banque, bureau d’information touristique et une station de ravitaillement en carburant.

Croisière Quant aux équipements et installation relatifs à la croisière, trois postes à quai seront dédiés à cette activité dont le plus grand sera d’une longueur de 360 m. Les travaux de réalisation de la première phase d’extension du quai, adossé à la jetée principale, ont été achevés fin 2013. Le projet permet à la ville d’accueillir quelque 300.000 croisiéristes en 2020 et de 750.000 en 2025. Depuis quelques mois, «les plus grands paquebots de croisière ont commencé à faire un détour par Tanger ville. C’est le cas du norvégien Epic, un géant des mers de 310 mètres de long pour 4.100 croisiéristes qui a, dès décembre dernier, entamé ses escales sur Tanger ville», selon les responsables de ce projet.

Il est prévu aussi l’aménagement d’un terminal passager fast ferry comprenant trois postes à quai réservés à cette activité de croisière. Il s’agit aussi du projet de la mise à niveau et de modernisation de l’actuelle gare maritime, dont les travaux ont démarré en janvier 2016 et dureront 16 mois.

Port de pêche Adossé au port actuel, le nouveau port de pêche, dont les travaux sont en cours d’achèvement, sera mis en service tout prochainement. D’ailleurs, des sources très proches du secteur parlent d’une inauguration officielle par DSM le Roi durant son ac-

tuel séjour à Tanger. D’un investissement de 1.090 millions de dirhams, les travaux de construction de ce nouveau port permettront d’améliorer les conditions de travail des professionnels de la pêche en leur offrant, sur le même site, des installations modernes répondant à leurs besoins. Ils portent sur la construction des infrastructures de base sous forme de digues de protection et de quais et terre-pleins et celles dédiées à la réparation navale (darse pour portique à sangles, chantier naval,…). Il s’agit aussi de la réalisation des voiries, des réseaux divers et autres dépendances liées à l’exploitation du nouveau port (halle aux poissons, fabriques de glace, entrepôts frigorifiques, magasins pour les armateurs et mareyeurs, ateliers de réparation navale, bâtiments administratifs, voiries et réseaux divers,…).

La muraille de la médina Dans le cadre du renforcement de l’attractivité touristique de la ville, ce projet ambitionne la réhabilitation de la muraille de la médina, dont les travaux ont commencé déjà à porter leurs fruits par leur contribution, à travers cette opération de restauration, à l’embellissement d’une grande partie du site touristique et historique longeant le port. Il prévoit de même la mise en place d’un centre d’artisanat avec 24 magasins, qui sont prévus d’être bientôt livrés et visant essentiellement la réinsertion des marchands ambulants de la gare maritime. Il s’agit aussi de la construction d’une mosquée, dont l’état d’avancement des travaux était à 100 % (fin mai 2016). La superficie de ce nouveau lieu de culte est trois fois plus grande que celle de l’ancienne mosquée, déjà démolie dans le cadre de ce projet de reconversion.

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Marina & Port de plaisance L’avenir du secteur discuté en présence du Wali

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e Wali de la région, Mohamed El Yacoubi est très sensible concernant la réalisation d’un important projet faisant partie du programme Tanger Métropole. La ville verra très bientôt son nouveau port de plaisance inauguré.

Tanja Marina Bay International le méga projet de réaménagement de la Marina de Tanger-ville est en effet en dernière ligne droite et ses travaux devraient être finalisés dans peu de temps. Un chantier qui est tout spécialement suivi par le Wali.

Ce projet de grande envergure qui compte 84 hectares a permis de convertir l’ancien site en un espace touristique et culturel de grande importance pour le développement global de la ville. Son coût d’investissement global d’environ 7 milliards de DH. Actuellement en cours de finition, la marina sera prochainement ouverte au public en attendant l’arrivée des premiers plaisanciers. A noter que l’ouverture prochaine de la marina promet d’offrir une nouvelle dimension à Tanger. Elle est censée hisser la ville au rang des destinations les plus privilégiées de la Méditerranée.

Faut-il rappeler qu’au niveau mondial, la navigation de plaisance connaît une expansion continue plaçant ainsi les ports de plaisance au cœur d'une dynamique du tourisme nautique et de loisirs marins, qui génère des retombées économiques importantes et valorisantes et qui met les ports en face d'un grand défi quant aux exigences de la qualité des services et du développement durable.

C’est dans ce cadre que les premières journées internationales sur les ports de plaisance méditerranéens ont été organisées les 26 et 27 octobre à l’hôtel Royal Tulip de Tanger, à l'initiative du ministère de l’Équipement, du Transport, de la Logistique et de l'Eau. Plusieurs responsables ont été conviés à animer cette manifestation. Il s’agit surtout de M. Abdelkader Amara, Ministre de l’Equipement du Transport, de la Logistique et de l’Eau, Mme Lamia Boutaleb secrétaire d’Etat chargée du tourisme, M. Mohamed El Yacoubi, Wali de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, M. Imad BARAKAD, Président de la Société Marocaine d’Ingénierie Touristique, M. Mohamed OUANAYA,

Président de l’Association des Ports de Plaisance Marocains et M. Paul AJUELOS MORETTI, Président de la Confédération Internationale des Ports de Plaisance Méditerranéens.

Organisé en partenariat avec la Confédération internationale des ports de plaisance de la méditerranée (CIPPM), la société marocaine d'ingénierie touristique (SMIT) et l'Association des ports de plaisance marocains (APPM), cet événement de grande envergure avait pour objectif de fructifier les échanges entre institutionnels, spécialistes, experts et professionnels des pays de la méditerranée concernés par les ports de plaisance, de renforcer l'esprit de complémentarité entre ces ports et de renouer les liens entre les deux rives de la méditerranée dans le domaine de la plaisance, souligne un communiqué du ministère. Ces journées ont ainsi été l'occasion de traiter des thématiques relatives à l’accueil et les services aux plaisanciers, le cadre juridique et réglementaire de la plaisance en méditerranée et la gestion durable des ports de plaisance et l'économie bleue.

Actualité PingPong - Février - 11

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Navettes vers l’aéroport Le Wali donne ses instructions pour réorganiser le trafic

e transport depuis l’aéroport de Tanger vers le centre-ville, ou dans le sens contraire, est devenu une vraie catastrophe qui bizarrement n’attire que très peu l’attention des autorités responsables.

Pour les clients, marocains et étrangers, payer ce trajet à 100 DH le jour et le double le soir est une grande arnaque qui mérite d’être éradiquée par les autorités de la ville. « C’est du vol pur et dur », protestent de nombreuses personnes qui ont été obligées de payer ces tarifs exorbitants. Cette situation existe depuis plusieurs années et fait très mal à l’image de marque d’un secteur touristique déjà baffouée.

Si le citoyen ne peut pas s’offrir le luxe de payer à 100 DH le déplacement vers l’aéroport ou vers la ville quand il re-

vient d’un voyage, le touriste aussi se sent arnaqué, surtout sachant que ces comportements n’existent nulle part ailleurs. En effet, dans toutes les autres villes du monde, il existe des navettes, des bus, des autocars qui font le lien à des prix très raisonnables entre la ville et son aéroport. En Espagne par exemple, le prix du trajet à bord d’un bus ou d’un autocar ne dépasse pas 3 ou 4 euros. Ailleurs, c’st la même chose, sauf à Tanger où l’arnaque des taximen est permise sans que personne ne bouge.

Ces derniers jours et après des centaines de plaintes déposées auprès des autorités concernées, il paraît que le Wali Mohamed El Yacoubi aurait donné ses instructions pour réorganiser ce trafic.

Certains témoins ont même assuré que la chasse aux taxis a déjà commencé et

que ces derniers auraient été ‘interdits’ d’opérer au niveau de l’aéroport Ibn Battouta. Mais en contrepartie, aucune autre alternative n’a été prise pour assurer le transport des voyageurs vers le centre-ville. Ces derniers ont ainsi été abandonné à leur sort et obligés de marcher à pied, tirant leurs bagages, jusqu’à la route de Rabat où des moyens de transport, taxis et bus, passent à chaque instant. Mais ce n’est pas la solution idéale. Une autre alternative doit absolument être trouvée et très vite. Soit les taxis utilisent leurs compteurs comme ils le font en ville, soit la ville fait appel à des bus spéciaux pour assurer cette navette. Une solution mi figue mi raisin n’est plus possible dans une ville métropole.

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Marchés de proximité El Yacoubi très ferme

l’origine, la distribution des locaux commerciaux dans les nouveaux marchés de proximité, notamment celui de Béni Makada revient légalement à la commune urbaine, sauf qu’à l’instar de plusieurs autres chantiers, la Wilaya a fait sien ce rôle, à priori pour qu’il n’y ait aucun souci.

En début de semaine, l’arrondissement 17, dans la zone de Bir Chifa, a été la scène d’une terrible mésaventure en relation avec ce dossier. Deux frères se seraient attaqués au Kaid de l’arrondissement tout en faisant semblant d’être ‘victimes’ d’une agression dont l’auteur serait ce représentant de l’autorité. Or, plusieurs témoins ont assuré qu’il s’agit bel et bien d’une scène montée en pièce pour créer la zizanie autour de ce projet de distribution des locaux dans ce nouveau marché. Selon ces témoins qui ont filmé cette scène, c’est bien le Kaid qui était la victime d’agression de la part de l’un des deux frères.

Cette affaire remonte à la surface le dilemme existant entre le Wali Mohamed El Yacoubi et le maire Bachir Abdellaoui. Au fond, c’est des responsabilités du second qu’il s’agisse. Depuis le lancement du programme Tanger Métropole, El Yacoubi se serait accaparé la majorité absolue des responsabilités du maire concernant la gestion des affaires de la ville que lui assure la loi. Mais selon des sources proches des deux clans, cela a été décidé pour le bien de la ville, sachant que la commune urbaine telle qu’elle est gérée depuis très longtemps ne possède nullement les moyens ni les capacités pour bien gérer un tel programme.

Contrairement à ces avis appuyant les décisions du Wali, d’autres observateurs sont complètement contre. Pour eux, chaque administration doit assurer ses responsabilités telles que décrites par la loi et la constitution, sans jamais s’attaquer à celles des autres institutions. A

priori, cela doit être le cas, sauf que l’argument du premier groupe reste assez solide. La commune urbaine a toujours montré ses grandes faiblesses à l’heure de s’occuper des grands projets de la ville. La situation s’est nettement empirée durant l’année dernière, spécialement après les décisions de saisies des ses comptes bancaires.

A la mairie, la seule mission de distribuer les budgets aux associations locales qui le méritent pose un grave problème.

Cela va de soi pour les autres chantiers, ce qui donne raison aux détracteurs de Bachir Abdellaoui dont les signes de faiblesse sont de plus en plus nombreux. Et c’est d’ailleurs à cause de ces faiblesses que Mohamed El Yacoubi prend les choses en main, notamment en ce qui concerne les marchés de proximité. Un projet difficile de laisser entre les mains de certains partis politiques.

Téléphérique : l’autre rêve pour une ville moderne et prospère

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epuis l'arrivée de Mohamed El Yacoubi à Tanger, la ville, sur instructions royales, est devenue un grand chantier où les différentes infrastructures sont consolidées: 126 projets touristiques, la réhabilitation du port de plaisance, un téléphérique, des shoppings centers, une LGV, des hôtels haute gamme, des zones franches industrielles…

Le téléphérique, l’un des éléments phares du projet de reconversion du port de Tanger-ville sera repris par la Somagec. Un premier groupement piloté par Poma et PGI Management a déclaré forfait faute de pouvoir lever les fonds nécessaires pour sa réalisation, selon la société d’aménagement du port de Tanger-ville, SAPT. C’est vers la Somagec, deuxième candidat en lice, que s’est tourné la SAPT pour la réalisation de ce projet devant connecter le port à la Médina et au centre-ville de Tanger. L’investissement prévu est de 250 millions de DH et son entrée en service devra se faire au courant de l’année 2018.

Le futur téléphérique de Tanger reliera la kasbah, le terminal croisière et ferry, les marinas et la place Faro. Il représentera une attractivité touristique indéniable car il permettra une visite panoramique de la Ville, du port et de la baie de Tanger. Pour sa réalisation, le staff de la SAPT et celui du groupement Poma/PGI (Pas Grau International) ont signé à Grenoble un protocole d’accord qui prendra la forme d’un contrat de concession s’étalant sur 30 ans. Sachez que la société Poma est leader sur le marché du transport par câble. L’entreprise s’occupera donc de la construction de l’équipement. Quant à la société PGI, elle est réputée dans l’exploitation de plusieurs projets de ce genre.

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Futur Tramway de Tanger Un projet défendu par le Wali

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lusieurs sources diplomates ont assuré que le wali Mohamed el Yacoubi serait à la recherche d’investissements étrangers pour le financement de 5 voies du projet du futur tramway qui sillonnera certaines zones de Tanger.

Les mêmes sources ont indiqué que la réunion qui a eu lieu entre le wali et le représentant d’une entreprise espagnole en présence d’un conseiller commercial du pays voisin est dans la bonne voie et avance très positivement.

Ainsi, il est prévu que les travaux relatifs à la première ligne du tram-

way tangérois démarreront en 2017 et relieront la zone de la gare du train à la TFZ en passant par les quartiers Aouama et Harariyen sur une distance de 14 km.

Contrairement à toutes les prévisions qui donnaient la société française Valsom comme réalisatrice de ce projet (elle a fait celui de Casablanca et de Rabat), les mêmes sources affirment que le tramway de Tanger sera réalisé par la société Sa Tecsa dans le cadre d’un partenariat avec la société marocaine Somagec.

Le budget prévu initialement pour la réalisation de

cette première ligne est de 70 MDH, soit moins de 45 milliards de centimes le km, ce qui fera de ce projet le moins cher jusqu’à présent sur le plan national. La seconde ligne du tramway de Casa a coûté pas moins de 800 milliards, soit environ 50 milliards de centimes le km. Plusieurs fonds ont participé à la subvention de ce projet parmi lesquels on retrouve des subventions étrangères (France, Turquie et Japon), régionales et locales, ainsi que celle assurée par le gouvernement dont le ministère de l’intérieur et celui des finances.

Actualité PingPong - Février - 15

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Cité Mohammed VI Tanger Tech Un projet super suivi par Mohamed El Yacoubi

ur instructions du wali de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, Mohamed El Yakoubi, les autorités de Tanger ont procédé, jeudi 4 janvier, à la destruction des 36 maisons construites de manière anarchique près de la Cité Mohammed VI Tanger Tech. 18 autres habitations en cours de construction ont subi le même sort. Cette démarche intervient suite à une enquête menée depuis l’été dernier au niveau du ministère de l’Intérieur. Protestant contre la démolition de leurs maisons, plusieurs habitants ont réagi énergiquement, voulant empêcher les forces de l’ordre d’accomplir leur devoir. Heureusement, aucun incident n’a été enregistré, les protestataires s’étant résignés. Pour rappel, des consignes strictes ont été données pour combattre l’habitat insalubre et les constructions anarchiques qui nuisent à l'image de la ville du Détroit. C’est dire l’intérêt que porte le Wali à ce gigantesque projet.

La création de la nouvelle « Cité Mohammed VI Tanger Tech » est à la fois un excellent investissement sur le plan économique, mais aussi un nouveau défi, pour les autorités de la ville et de la région, en matière de restructuration de toutes les infrastructures de Tanger. Désormais, aucun droit à l’erreur n’est permis.

Le roi Mohammed VI a présidé, lundi dernier, au Palais Marchane à Tanger, la cérémonie de présentation du projet de création de la ville nouvelle « CitéMohammed VI Tanger Tech » et de signature du protocole d’accord y afférent. Il a également reçu Li Biao, Président du groupe chinois Haite.

Le projet, porté par la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima, le groupe chinois Haite et BMCE Bank, consiste à construire un pôle économique capable de générer 100 000 emplois, dont un minimum de 90 000 emplois bénéficiera aux habitants de la région.

Ce projet implique l’installation de 200 compagnies chinoises opérant dans la fabrication automobile, l’industrie aéronautique, les pièces de rechange d’aviation, l’information électronique, les textiles, la fabrication de machines et d’autres industries. Après 10 ans, l’investissement total des entreprises dans la zone atteindra 10 milliards de dollars.

La Cité Mohammed VI Tanger Tech sera développée sur 2.000 hectares. Selon le plan préliminaire, la construction sera étendue sur une période de 10 ans visant à créer une nouvelle ville intelligente internationale, intégrant l’écologie, l’habitabilité, l’industrie, la vitalité et l’innovation, avec un investissement total établi à 1 milliard de dollars.

Cette nouvelle ville contribuera de manière harmonieuse à l’essor rapide des activités économiques à Tanger et dans toute la région nord du Royaume. Elle est le fruit de la politique de diversification des partenariats économiques avec plusieurs pays, menée par SM le Roi et ce, à la faveur des nombreuses visites effectuées par le Souverain en Chine, en Russie, en Inde et dans plusieurs pays d’Afrique.

Le ministre de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie numérique, Moulay Hafid Elalamy, a présenté devant le roi Mohammed VI les grandes lignes de ce projet phare. Il a précisé que la République populaire de Chine a développé un savoir-faire incontestable en matière de villes industrielles et de Smarts Cities, soulignant que ces villes intègrent de façon harmonieuse les zones industrielles, commerciales, résidentielles, de services publics et de loisirs, les dotant des technologies les plus évoluées et les plus adaptées aux exigences de la vie moderne.

Intervenant à cette occasion, le président du

groupe HAITE, Li Biao, a souligné que « parmi les destinations qui s’ouvrent aux opérateurs chinois, le Royaume du Maroc occupe une position de premier plan, compte tenu de la solidité de ses multiples atouts ». En effet, la stabilité politique et sociale du Maroc, avec une économie ouverte sur le monde et déjà bien intégrée dans les chaînes de valeur internationales, consolidée par l’installation de leaders industriels mondiaux, dans des secteurs exigeant qualité et compétitivité, font du Maroc l’environnement d’investissement idéal pour les investisseurs chinois, a-t-il dit. Le choix de Tanger pour accueillir ce projet ne doit rien au hasard, a affirmé Li Biao, faisant observer que ce choix est dû à la position géographique centrale de la ville, à la croisée des continents, à seulement 15 kilomètres de l’Europe et avec une infrastructure notoire, à savoir le port Tanger Med et les installations associées.

Le protocole d’accord relatif à la création de cette nouvelle ville économiquement intégrée a été signé par Mohamed Hassad, ministre de l’Intérieur, Moulay Hafid Elalamy, ministre de l’industrie, du commerce, de l’Investissement et de l’Economie Numérique, et par délégation du ministère de l’Economie et des Finances, Mohamed Yacoubi, wali de la région Tanger-TétouanAl Hoceima, Ilyas Omari, Othman Benjelloun, président de BMCE Bank of Africa et Li Biao.

Actualité PingPong - Février - 16

Tanger Med Hausse de 15% de l’activité à fin 2017 et nouvelle menace de grève

A

l’issue de l’exercice 2017, le port de TANGER MED enregistre des indicateurs d’activité au beau fixe comparativement à l’année précédente. En effet, les indicateurs d’activité dénotent d’une hausse de 15% du volume total des marchandises traitées à 51,3 MT, passant pour la première fois la barre des 50 millions de tonnes annuels. Pour sa part le volume global de produits marocains exportés a atteint 88 Mrds Dh à fin 2017. D’un autre côté, une progression de 12% du nombre de conteneurs traités sur les deux terminaux TC1 et TC2 à 3,3 millions d’EVP a été enregistrée pour des tonnages correspondants en hausse de 19% à 37,4 millions de tonnes. Cette amélioration est redevable à l’évolution des volumes de/vers l’Afrique (35% du trafic conteneurs global) vers laquelle Tanger Med est connecté par des services hebdoma-

daires vers 37 ports. Le trafic passagers n’est pas en reste dans la mesure où il a connu une augmentation de 3% du à 2,8 millions de personnes. Même tendance du côté trafic TIR qui a connu une augmentation du de 14% en poids à 7,1 MT et de 9% en nombre à 286 538 unités.

Cette évolution s’explique principalement par les croissances respectives de plus de 10% des exports industriels et de plus de 11% de ceux agro-alimentaires.

Par ailleurs, les sociétés de transports internationaux, opérant dans le port Tanger Med, ne cachent plus leurs colères contre l'administration des douanes. A ce titre, elles ont envoyé une lettre pour exprimer leur mécontentement concernant le nouveau système électronique, qui complique la tâche de nombreux transporteurs.

L'Administration générale des douanes avait auparavant mis fin à l’utilisation de

l’ancien système électronique servant à extraire les documents nécessaires pour les entreprises de transport international de marchandises transcontinental, et l’a remplacé par un nouveau système dans le cadre du projet visant à moderniser la gestion du système de numérisation. Cependant, ce remplacement n’a été accompagné d’aucune information au préalable, ni une formation permettant aux agents de la douane de savoir bien le gérer, ce qui a posé de graves problèmes de retard notamment au sein de ce port.

La missive adressée à l’administration des douanes a donc été l’occasion pour les sociétés concernées d’exprimer leur mécontentement vis-à-vis de la manière dans laquelle l'activation du nouveau système a été décidée, sans aucune coordination avec les responsables du secteur.

Actualité PingPong - Février - 17

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Nord Les retenues des barrages dépassent 517 millions de m3

es retenues des neuf barrages relevant du ressort territorial de l’Agence du bassin hydraulique du Loukkos ont dépassé 517 millions de m3, le 15 janvier. Le taux de remplissage est ainsi de 46,5 %, contre 602,1 millions de m3 durant la même période une année auparavant (54 %).

Le barrage Oued El Makhazine (province de Larache) a atteint un taux de remplissage de 56,2 %, contre 58,1 % en glissement annuel (390,84 millions de m3 contre 378,45 millions de m3), alors que les retenues du barrage du 9 avril 1947 ont atteint 98,91 millions m3, soit un taux de remplissage de 33 %, contre 150,89 millions m3, une année auparavant (50,3 %).

Pour sa part, le barrage de Smir (province de Tétouan) a connu un taux de remplissage de 22,3 %, soit une disponibilité d’eau de 9,06 millions de m3, contre 8,22 millions de m3 une année

auparavant (20,2 %), alors que le taux de remplissage du barrage Moulay El Hassan Ben El Mehdi s’est établi à 15,5 % (4,46 millions de m3), contre 22,9 % en glissement annuel (6,59 millions de m3).

Quant au barrage de Tanger Méditerranée (province de Fahs-Anjra), il a enregistré un volume de 16,34 millions de m3 (74 %) contre 20,18 millions de m3 (91,6 %), tandis que celui d’Ibn Battouta a enregistré 2,88 millions de m3 (9,9 %), Abdelkrim El Khattabi (province d’Al Hoceima) s’est établi à 2,90 millions de m3 (25 %), et Nakhla a affiché 2,64 millions de m3 (61,2 %).

Concernant le barrage Joumoua (province d’Al Hoceima), la retenue est de 2,16 millions de m3 (42,9 %), contre 3,15 millions de m3 durant la même période une année auparavant (62,4 %).

A rappeler que quelque 100 millions de dirhams sont alloués annuellement à l'entretien des barrages, alors que 40 millions de dirhams sont répartis entre

les agences des bassins hydrauliques pour leur maintenance, a indiqué, mardi, la secrétaire d’État chargée de l'Eau, Charafat Afilal.

Intervenant lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, Charafat Afilal a affirmé que le secrétariat d’État adopte, en matière d'entretien de barrages, une stratégie basée sur l'action participative avec l'ensemble des intervenants et à tous les niveaux, notamment les agences des bassins hydrauliques, dans le domaine de la maintenance, et les services centraux, en ce qui concerne les grands ouvrages de rénovation.

Cette stratégie repose sur la surveillance préventive, les visites d'inspection techniques, l'analyse des diagnostiques, le contrôle sismique des barrages et du matériel électrique à moyenne et basse tension et des expertises réalisées par des experts nationaux et internationaux.

Actualité

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Le Groupe Renault Maroc sensibilise les écoliers à travers son programme «TKAYES SCHOOL»

– La production globale du Groupe Renault Maroc passe de 345 000 véhicules en 2016 à 376 284 véhicules en 2017.

– Le volume des exportations atteint les 333 189 véhicules en 2017 vs 303 892 en 2016.

– Le Groupe Renault Maroc s’accapare 41,8% de part de marché nationale en 2017.

– L’effectif du Groupe Renault Maroc s’élève à 11 300 collaborateurs.

L’année 2017 a été riche en évènements et en réalisations pour le Groupe Renault Maroc qui continue de se positionner en tant que leader du secteur automobile. Le volume de production de ses deux usines continue de progresser tiré par les exportations et par une évolution du marché marocain qui fait la part belle aux marques du Groupe : Dacia et Renault, respectivement n°1 et n°2.

Le Groupe Renault Maroc a rayonné en

2017 à travers ses performances chiffrées mais également à travers des évènements majeurs pour l’industrie automobile nationale tels que l’exportation du millionième véhicule fabriqué dans ses usines marocaines, la production du millionième véhicule à Tanger ou la signature de projets d’investissements pour la mise en œuvre et le développement de l’écosystème Renault signées en décembre 2017 en présence de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Plus que jamais, le Groupe joue son rôle de locomotive au service du développement de l’industrie automobile du Maroc.

NOUVEAU RECORD DE PRODUCTION POUR LE GROUPE RENAULT MAROC La production des usines du Groupe Renault Maroc a atteint les 376 284 véhicules en 2017, dont 300 476 véhicules à l’usine Re-

nault de Tanger et 75 808 à l’usine Renault de Casablanca – SOMACA. Les deux usines battent en 2017 leurs records de production.

L’année 2017, sonne comme une année de performance inédite en termes de production : en juillet 2017, l’usine Renault de Tanger a célébré le millionième véhicule produit depuis 2012, année de son inauguration.

Les usines de Tanger et Casablanca maintiennent une cadence élevée grâce à une troisième équipe de production dans chacun des sites qui permet de répondre à une demande nationale et internationale en augmentation.

EXPORTATIONS EN FORTE PROGRESSION Les exportations du Groupe Renault Maroc atteignent 333 189 véhicules contre 303 892 en 2016 : 283 667 véhicules produits à l’usine Renault de Tan-

ger, soit près de 95% de la production de l’usine tangéroise et 49 522 véhicules à l’usine Renault de Casablanca, représentant 66% de la production de la SOMACA. La France, l’Espagne et l’Italie occupent le podium des pays importateurs de la fabrication de l’usine de Tanger tandis que la Turquie, la France et l’Egypte sont les premières destinations de l’usine casablancaise.

La production des usines de Tanger et de Casablanca est expédiée à un total de 74 pays faisant ainsi rayonner le « made in Morocco ».

MONTEE EN PUISSANCE DE L’ECOSYSTEME RENAULT Le Groupe Renault s’est engagé lors de la signature du Contrat de Performance Renault en avril 2016, à atteindre 65% de taux d’intégration locale et ciblant un chiffre d’affaires de 20 milliards de dirhams de sourcing local à l’horizon 2023. Il contribue activement au développement de la filière automobile et le développement du tissu de fournisseurs dans le Royaume.

Le Groupe encourage le développement des fournisseurs existants à travers l’augmentation de leur capacité de production pour répondre à la demande croissante des usines marocaines et de l’Alliance. Leur développement est également soutenu grâce à l’introduction des nouvelles technologies et leur production au sein de sites existants.

Enfin, l’implantation de nouveaux fournisseurs dans le Royaume a été illustrée par la signature en décembre 2017 de nombreux projets d’investissements pour la mise en œuvre et le développement de l’Ecosystème Renault en présence de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

DES VENTES RENAULT ET DACIA RECORDS Disposant de la gamme la plus jeune du marché, conjugué à un réseau étendu et performant, le Groupe Renault Maroc a amplifié son leadership et s’est accaparé 41,8% de parts de marché en 2017. Dans un marché glo-

bal qui évolue de 3,4%, les marques Renault et Dacia tirent le marché en enregistrant une croissance positive cumulée de 14,3%.

RENAULT ET DACIA LEADERS DU MARCHE AUTOMOBILE AU MAROC En 2017, Dacia capitalise 46 847 ventes, ce qui porte la part de marché sur l’année à 27,7%.

Renault pour sa part a écoulé au cumul 23 688 véhicules, soit une part de marché de 14,1%.

Le Groupe réalise donc 70 535 ventes soit une progression de +14,3% par rapport à 2016.

Ces performances ont été réalisées grâce à une gamme en adéquation avec les attentes du marché. Ainsi, 7 modèles du Groupe Renault Maroc figurent dans le top 10 des meilleures ventes au Maroc en 2017 : • Dacia Logan maintient sa position de modèle le plus vendu au Maroc avec 12 934 ventes.

• Renault Clio réalise une année exceptionnelle et devient le 2ème modèle le plus vendu dans le Royaume avec 11 441 ventes.

• Dacia Sandero et Dokker se positionnent à la 3ème et 4ème place avec respectivement 10 960 et 10 530 unités.

Duster (6 323) et Lodgy (4 852) se positionnent en 6ème et 8ème position permettant à l’ensemble de la marque Dacia d’être représentée dans le top 10.

• Renault Kangoo gagne deux places et termine l’année à la 7ème position avec 5 616 unités.

RCI FINANCE MAROC : DES OFFRES INNOVANTES AU SERVICE DU CLIENT RENAULT Dans un contexte de forte croissance des volumes des ventes du Groupe, RCI Finance Maroc a également tiré son épingle du jeu et a réalisé plusieurs records : – 36% des clients particuliers Renault et Dacia ont bénéficié du financement RCI Finance Maroc, – +22 600 dossiers de financement en 2017, soit une progression de +8% par rapport à 2016 – +42 100 services vendus auprès des clients des marques Renault et Dacia.

RCI Finance Maroc innove sans cesse pour accompagner le Groupe dans sa performance commerciale en proposant des offres innovantes.

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CRT-TTA Un nouveau soutien financier pour bien se balader

Sit-in des guides touristiques professionnels contre les faux guides

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es guides touristiques professionnels de Tanger ont tenu un sit-in mercredi dernier, a 9h du matin, devant la délégation du ministère du tourisme pour protester contre le projet du ministre Mohamed Sajid qui veut integrer les faux guides dans cette branche du secteur touristique.Mohamed Sajid a bien déçu les guides touristiques professionnels en voulant reconnaître des centaines de faux guides qui re-

présentent une grande menace remettant en question la qualité du tourisme national.

A Tanger, l’association que préside Abdellatif Chebaa est spécialement concernée. La nouvelle métropole, qui s’organise également au niveau du secteur touristique, se voit ainsi touchée par cette décision qui risque de remettre en cause pour toujours la qualité des services de cet impor-

tant secteur.

Au Nord, le problème des faux guides constitue l’un des obstacles entravant le développement du tourisme dans la région. Plusieurs plaintes de touristes étrangers ont été déposées auprès du département de tutelle et il s’agit en général de touristes mal traités qui ne reviennent jamais au Maroc et font une très mauvaise publicité du tourisme national. Sajid paraît s’en foutre!

A

près l’annonce de la dèche, les responsables du Conseil Régional Tanger-Tétouan-Al Hoceima ( CRT-TTA ) semblent avoir retrouvé le sourire. Le Conseil de la région leur a promis le soutien financier dans le cadre d’un accord de partenariat sur une période de trois années.

Le CRT-TTA empochera ainsi une somme importante chaque année, une belle affaire pour ne plus se lamenter et pleurnicher devant les différentes autorités de la ville, en signalant que le compte bancaire est presque vide.

Désormais outre les 15 DH, annoncés par le directeur du CRT-TTA devant Mohamed Sajid le ministre de tourisme et Mohamed Yacoubi, le Wali de Tanger Tétouan Al Hoceima lors d’une rencontre relative aux moyens pour assurer le développement du secteur touristique, la caisse du Centre régional du tourisme se verra bientôt gonflée par le don du Conseil régional que préside Ilyas El Omari.

D’autres promesses de soutien seront également programmées pour aider le CRT à réaliser ses objectifs d’assurer une meilleure promotion du produit touristique régional.

On verra bien si de retour du salon FITUR, les dirigeants du CRT auront obtenus des résultats positifs qui se traduiront bientôt par des arrivées plus importantes de touristes étrangers, notamment en croisières. Cela se fera également noter dans la hausse des nuitées dans les hôtels classés de la ville et aussi de sa région.

Par ailleurs, si ces budgets ne servent à rien sinon à se balader et à s’offrir de belles vacances grâce à l’argent du contribuable, mieux vaudra alors que ce conseil disparaisse et soit remplacé par un autre organisme composé de vrais professionnels.

Tourisme PingPong - Février - 22

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Mövenpick Hotel & Casino Malabata Célébration des meilleurs employés du mois et de l’année

idèle à ses grands rendez-vous, la direction de l’hôtel Mövenpick Hotel & Casino Malabata de Tanger a organisé une belle cérémonie de célébration pour fêter les meilleurs employés.

Le caissier, Ahmed Boughlid était l’heureux élu meilleur employé du mois dernier, alors que l’hommage du meilleur employé de l’année 2017 a été rendu à la secrétaire technique, Mounya Lamzouri, qui s’est vue ainsi honorée et gratifiée par une invitation à un séjour d’une semaine en Suisse dans un hôtel du même groupe.

Intervenant à cette sympathique occasion, M. Alain Rillof, directeur général de l’établissement a signifié ses vœux de voir la qualité des prestations au sein du Mövenpick s’affirmer tout en s’améliorant davantage pour garder le même standing de l’excellence qui caractérise le grand 5 étoiles qui domine la baie de Tanger.

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« Un effort supplémentaire est à faire tout spécialement durant cette période de réaménagement d’une partie de l’hôtel, de manière à garantir aux clients tout le confort qu’ils méritent », a-t-il ajouté.

A rappeler que les travaux de réaménagement concernent une partie des chambres du Mövenpick Hotel & Casino Malabata, devront être terminés avant le début de la prochaine saison d’été.

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Salah CHAKOR, le grand expert en Gestion Hôtelière et Tourisme

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ncien directeur de l’Institut de Technologie Hôtelière de Tanger de 2005 à 2012, de l’Institut de Technologie Hôtelière de Ouarzazate de 2000 à 2005, de l’Ecole Hôtelière de d’Arfoud de 1992 à 2000, et Directeur Pédagogique de la Section Pédagogique à Agadir (Filière ISIT) de 1984 à 1992, Salah Chakor est également ancien formateur et ancien chef de travaux dans plusieurs établissements. Ces importantes compétences ne peuvent se réunir que chez un grand expert. Salah Chakor est en effet un vrai Consultant en Hôtellerie-Restauration en Tourisme et en formation, qui est l’un des rares à être inscrit sur la liste des Experts Assermentés prés de la Cour d’Appel de Tanger, en matière de Gestion Hôtelière et Tourisme, depuis le 14 janvier 2015.

Autre point fort de ce personnage est le fait qu’il soit aussi écrivain et journaliste. Salah Chakor a ainsi publié une dizaine de livres et articles sur la gastronomie, la restauration, la pédago-

gie, l’hygiène, la formation. Il est par ailleurs président fondateur de l’Association Marocaine des Experts et Scientifiques du Tourisme, Délégué Régional de l’Alliance Francophone Internationale du Tourisme et des voyages, Secrétaire général de l’Association Marocaine des Journalistes et Ecrivains du Tourisme ( AMJET- FIJET Maroc), secrétaire Général de l’Association Marocaine Ibn Batouta ( AMARIB), membre de l’Association Internationale des Experts et Scientifiques du Tourisme ( AIEST) et de l’Association Francophones des Experts et Scientifiques du Tourisme (l’AFEST) dont il est rédacteur du site : www.afest.org...

Salah Chakor est également animateur de séminaires, de conférences et des formations dans le secteur du tourisme et de l’hôtellerie – restauration, au profit des acteurs (cadres et différents collaborateurs), comme il accompagne les professionnels dans leurs projets d’ouverture, de réingénierie, de restructuration de leurs entreprises.

Actuellement il gère une Maison d’hôte de charme en plein cœur de la médina de Tanger. Une maison où une gastronomie marocaine faite avec goût et art aux produits du terroir naturel. Ce joyau de l'hôtellerie du Nord offre un accueil agréable et bien être au style marocain.

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Royal Tulip City Center Tanger Touria Youbi, meilleure employée en décembre 2017

atrick Camelia, directeur général de l’hôtel Royal Tulip City Center Tanger a tenu jeudi dernier, lors de la réception organisée pour célébrer le meilleur employé du mois, réitéré ses voeux de bonheur et de succès aux employés composant la grande famille du Royal Tulip.

Le Royal Tulip City Center Tanger, l’hôtel 5 étoiles passe par un excellent moment enregistrant de très bonnes performances. Le voeux de la direction générale et du comité exécutif de l’établissement est d’améliorer davantage ses résultats et là qualité de service et qui sont déjà très satisfaisants mais dans un hôtel d’une très bonne qualité et dans une ville où la concurrence devient de plus en plus rude, l’objectif est de faire meilleur.

Les messages de Patrick Camelia dans ce sens ont été très clairs: cohérence, synergie, collaboration et réalisation de nouveaux exploits. À rappeler que c’est Mme Touria Youbi qui a été déclarée « Meilleure Employée » du mois de Décembre 2017 au Royal Tulip.

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Il sagit d’une excellente femme de chambre travaillant au département « hébergement », autre exemple d’abnégation, de succès et d’exemplarité comme c’est toujours le cas au Royal Tulip Tanger City Center.

Comme à l’accoutumé, à la fin de cette magnifique cérémonie, le directeur et ses employés se sont réunis autour d’un cocktail et un gâteau pour célébrer les anniversaires de celles et ceux nés le mois de décembre.

Tourisme

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Les Marocains préfèrent l’Espagne

FRS Group a acquis le navire MV « Miranda » pour opérer sur la ligne Tanger Med – Motril

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RS Group a acquis le navire MV « Miranda » pour opérer sur la ligne Tanger Med – Motril

• Le navire MV « Miranda » sera renommé MV « Miramar Express » • Le navire commencera ses opérations sur la ligne Tanger Med – Motril à partir de mi-janvier • FRS renforce son engagement pour augmenter le volume du fret sur la ligne Tanger Med-Motril Tarifa, 15 janvier 2018. FRS et la compagnie maritime finlandaise Godby ont annoncé aujourd’hui que le navire MV «Miranda» fera partie

de la flotte FRS. La société Kekepania Shipping Company Limited, appartenant à FRS, sera la propriétaire du navire.

Le navire roulier, qui sera rebaptisé MV « MIRAMAR EXPRESS », commencera ses activités FRS à partir de mi-janvier et naviguera sur la ligne Tanger Med – Motril, avec des départs quotidiens tout au long de l’année.

Le MV « MIRAMAR EXPRESS » dispose de cabines pour 12 conducteurs et d’une capacité de 1624 mètres linéaires. Ce bateau de 154 m. de longueur peut atteindre une vitesse maximale de 21 nœuds.

Avec ce nouveau bateau RoRo, spécialement conçu pour le transport de fret, FRS renforce son engagement pour augmenter le volume du fret sur la ligne Tanger Med – Motril.

«Nos clients en cargo apprécient l’avantage des coûts logistiques beaucoup plus réduits, grâce à la proximité géographique des autoroutes, l’efficacité de la circulation pendant l’embarquement et le déchargement, les économies en kilomètres et en péages, ainsi que l’efficacité des inspections à MotrilTanger Med », explique M. Ronny Moriana, directeur général de FRS Iberia-Maroc.

C

e sont plus de 180000 Marocains qui se sont rendus chez nos voisins espagnols! Selon de sources ibériques, les services consulaires de l’Espagne au Maroc ont délivré 180.912 visas à des Marocain, au cours de l’année 2017.

Ceci montre, si besoin est, que l’Espagne demeure une destination privilégiée pour les Marocains. La Costa del Sol,

l’Andalousie, la capitale Madrid et Barcelone étant les sites les plus prisés par les touristes marocains. Ce nombre impressionnant de nos compatriotes se rendant pour leurs vacances en Espagne émane d’une enquête sur les touristes étrangers, préférant le pays de Cervantès, du flamenco et au passé historique arabo-mauresque.

Dans le même cadre, le chef de gouvernement du Royaume d’Espagne, Mariano Rajoy, a

déclaré que son pays, en 2017, est devenu la deuxième destination touristique du monde après la France, devançant ainsi les Etats-Unis. Sachant que 82 millions de touristes étrangers s’y sont rendus, avec une hausse de 9% précédemment.

A noter que la Région catalane, à elle seule, a accueilli le plus grand nombre de touristes, 18 millions, selon le ministère du Tourisme espagnol.

Sport

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Andalousie Chefchaouen Importante coopération pour la promotion de la diète méditerranéenne

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n protocole de coopération visant la promotion des valeurs culturelles de la diète méditerranéenne a été signé mardi à Séville entre la région autonome de l’Andalousie (Sud de l’Espagne) et la ville de Chefchaouen.

Signé par le président de la commune urbaine de Chefchaouen, Mohamed Sefiani, et le conseiller (ministre) de l’agriculture, la pêche et le développement durable de l’Andalousie, Rodrigo Sánchez Haro, cet accord vise aussi à créer des synergies entre les deux parties en vue de renforcer l’offre agroalimentaire de la ville marocaine et la région andalouse.

Selon un communiqué publié mercredi par le département andalou de l’agricul-

ture, la pêche et le développement durable, ce protocole ambitionne de « promouvoir, consolider et développer », à travers des actions conjointes, la diète méditerranéenne, déclarée en 2010 comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO. M. Haro a souligné, à cette occasion, que ce protocole scelle « une véritable alliance géostratégique en faveur de la diète méditerranéenne » qui sera traduite par le lancement d’actions de coopération axées notamment sur la formation, l’échange, la promotion, la recherche, l’éducation et le développement économique.

Ces actions, a-t-il ajouté, porteront sur l’organisation d’ateliers et de journées de formation, de conférences et d’exposi-

tions, ainsi que sur l’édition d’ouvrages sur les bienfaits, savoir-faire, connaissances, rituels, symbolique et traditions liés à la diète méditerranéenne.

Le communiqué relève, dans le même sens, que la ville de Chefchaouen a mis en œuvre plusieurs actions visant la mise en valeur de la diète méditerranéenne en tant que vecteur de développement socioéconomique et culturel.

La même source rappelle que Chefchaouen a été reconnue comme Communauté emblématique de la diète méditerranéenne, patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO, avec les villes de Soria (Espagne), Cilento (Italie), Coron (Grèce), Tavira (Portugal), Agros (Chypre) et Brac et Hvar (Croatie).

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Le Golf de Tanger classé patrimoine historique

e Bulletin officiel du 1er janvier 2018 a été publié la liste des huit nouveaux bâtiments classés patrimoine historique au Maroc. Ils sont situés dans les villes d'Oujda, Tanger, Youssoufia et Nador. Il s'agit de Golf de Tanger. Fondé en 1914, le Royal Country Club de Tanger est le premier golf du bassin méditerranéen, l'un des plus anciens d'Afrique. Modifié par les célèbres architectes anglais Cotton et Pennink, puis rénové en 2001 par Peter Harradine, le Royal Golf de Tanger offre un jeu de qualité dans un cadre naturel et authentique.

Situé à 3km seulement du centre ville,

le Royal Country Club de Tanger s'étend sur un domaine d'environ 65 hectares.

Modifié par les célèbres architectes anglais Cotton et Pennink, puis rénové en 2001 par Peter Harradine, le Royal Golf de Tanger offre un jeu de qualité dans un cadre naturel et authentique.

Situé à 3km seulement du centre ville, le Royal Country Club de Tanger s'étend sur un domaine d'environ 65 hectares.

L’école de golf : L'enseignement est destiné aux jeunes de 7 à 14 ans dont les parents sont membres. Les cours sont donnés gratuitement. Ils se dérou-

lent le mercredi et le vendredi de 16h30 à 17h30.

Niché au pied d'une montagne couverte de pins et sapins avec vue panoramique sur la mer, le Royal Golf de Tanger présente un cadre idéal pour les personnes qui souhaitent s'initier à la pratique du golf.

Le Lounge : Situé en plein cœur du Royal Golf de Tanger, le Lounge bénéficie d'un cadre idéal pour les déjeuners et dîners business ou entre amis.

A la carte ou au menu du jour, le restaurant, propose des plats savoureux qui réjouiront à coup sûr tant les yeux que les papilles.

Mode

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’inauguration tant attendue a eu lieu à Tanger le 12 janvier 2018. La Maison du Prêt à Porter « Monarqueo » a ouvert ses portes!

De nombreuses personnes ont répondu présentes à cette invitation du Prêt à Porter « Monarqueo » qui a eu lieu autour d’un cocktail proposé par l’agence d’événementiel Private Events.

Le cadre est élégant, ouvert et lumineux; décoré de mobilier délicatement choisi, de touches vintage et de pièces aux couleurs harmonieuses. Les invités se sont laissés surprendre par une sélection de mode et d’accessoires à couper le souffle. Un concept magnifique.

Sacs, ceintures, pantalons, robes, chaussures….tous les looks tendance sont chez Monarqueo. Madame, faites comme les people, adoptez un look fashion qui vous ressemble et changez vous comme vous voulez. Habillez vous sans aucun souci et toujours hyper chic. Pour être la it girl que tout le monde envie, piochez dans la collection « Monarqueo » pour réveiller la fashionista qui est en vous.

Quant à vous Monsieur, « Monarqueo » vous propose un style nouveau et moderne révolutionnant le prêt-à-porter masculin, vous y trouverez des vêtements, des chaussures et même des cravates qui savent se faire complices, afin de vous habiller autrement.

Décidément très dynamique, le jeune Chahin Benayad, directeur général de Private Events et son équipe étaient derrière la réussite de l’inauguration de Monarqueo grâce à leur compétence, leurs savoir-faire.

Monarqueo Enfin l’excellente adresse prêt-à-porter à Tanger

Bien-être PingPong - Février - 34

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Le ROYAL SPA du Royal Tulip City Center Tanger – Luxe, bien-être et relaxation

u ROYAL SPA de l’hôtel Royal Tulip City Center Tanger, le bien-être du client est essentie!

Le grand hôtel 5 étoiles a pensé à tous les ingrédients nécessaires pour atteindre cet objectif, en plus de tous les services d’une excellente qualité, il présente son autre exception.

En effet, le Royal SPA de Tanger est un lieu d’exception, idéalement situé à Tanger, totalement dédié au bien-être et à la beauté marine.

Il est à la fois luxueux et convivial, tout y a été imaginé, pensé et étudié pour vous offrir une parenthèse de détente globale. De l’environnement prestigieux aux choix des matériaux, de l’agencement du lieu aux techniques de soins de remise en forme, rien n’a été laissé au hasard, de plus, la direction du Royal Tulip City Center Tanger a fait le choix d’avoir un côté exclusivement ré-

servé aux hommes et un autre exclusivement aux femmes, afin de vous permettre de vous abandonner entièrement, sans barrière au bien-être holistique.

Une occasion de découvrir l’univers marin, le Royal Spa est un lieu unique conjuguant des pôles d’expertise Beauté (Anti-âge, Minceur) et une nouvelle approche du bien-être (hammam, piscine sensorielle, massages exclusifs) au service de la clientèle la plus exigeante. Invitation au dépaysement, promesse de détente absolue du corps et de l’esprit, et source de bien-être et de relaxation immédiats et durables.

Au Royal SPA, il existe différentes prestations d’une excellente qualité : soins visage et corps pour hommes et femmes, Phytomer, Hammam traditionnel et royal (lieu de prédilection pour se détendre et se ressourcer. Le

hammam est le symbole de la beauté à l’oriental qui vous entraîne vers le bienêtre total) ; massages ( relaxant, balinais, ashiatu et réflexologie plantaire).

Le Royal SPA du Royal Tulip City Center Tanger c’est aussi un Espace Aquatique où différents parcours vous attendent pour retrouver la « Zen Attitude » avec une piscine à contre courant et Jacuzzi, un sauna, un bain de flottaison, une douche à fusion ou à jet, une balnéothérapie, etc.

Le Royal Spa de Tanger c’est également un espace esthétique assurant tous les soins de beauté (manucure, pédicure, épilation, coiffure, sans oublier l’espace Fitness pour la remise en forme. Un traitement très spécial est réservé aux clients se basant sur des produits de grande qualité et de renommée mondiale. Une offre qu’il faut absolument découvrir.