Palabres de Papiers : Les Ateliers d’Écriture de Livres et Palabres
L’ÉCRIT-VIN Jeudi 02 avril 2015 La Grande Maison – Quartier du Ponty - Huez
« Le vin, c’est la culture » Bernard Pivot
d’Inceptitude en Vent des Anges Une ivresse de l’écriture à consommer sans modération ! Un atelier créé par Sandrine et Christian, savouré dans les vignobles de l’Hermitage en août 2014 avant d’être proposé à la table des Huizats en ce début d’avril 2015. Merci à André, Anja, Bernard, Charlotte, Corinne, Daniel, Fanny, Jacqueline, Jeanine, Paulette et Sylviane pour leur participation enthousiaste… Charlotte et Patrice pour leur merveilleux accueil… Carole, Cécile, Hervé, Jean-Louis et Régine pour leur écoute bienveillante…
Pour le dernier atelier d’écriture de la saison, rendez-vous avec les mots de l’écrit-vin ! D’inceptitude en vent des anges, les participants ont suivi les pas et les mots du vigneron, à son rythme, au fil des saisons, œuvrant sur leurs phrases avec patience et minutie. De carassonage en millerandage, d’entre-cœur en véraison, les mots se déclinaient, s’échangeaient et invitaient à partir à la découverte de coteaux inconnus. Il a fallu tailler, palisser, effeuiller pour enfin récolter des textes enivrants et souvent voluptueux, aux arômes très personnels bien qu’issus du même terroir… C’est dans la grande maison de Charlotte et Patrice que s’est déroulé cet atelier qui s’est achevé avec un verre de vin bien mérité. La dégustation s’est transformée en réception, l’accueil chaleureux, s’il a contribué à l’inspiration des écrivains du jour, a aussi fait se prolonger la soirée fort tard. Et si finalement, ces ateliers d’écriture étaient non seulement un lieu d’invention, de partage, mais aussi une façon d’interroger notre vivre ensemble, de faire dialoguer les mondes, ce qui était l’objet même de la littérature pour Aristote ?
PALABRES DE PAPIERS ATELIER D’ÉCRITURE AVRIL 2015
LIVRES ET PALABRES
Texte du printemps C’était l’automne juste avant pluviôse et ventôse. La grande fête du cousinage allait commencer. Il y avait légion de chastes cousins et de belles de nuit aux lèvres voluptueuses. Les vignerons craignaient les ravages sur leurs cépages et l’effeuillage des pieds de vigne. Quelques échassiers étaient en partance pour leur grande migration. La fête battait son plein. Le coulis et autres mets gouleyants se débitaient à foison. Quelle magie ! Acidité du jour Les belles voûtes blanchies à la chaux Les ocres du sol vernissé Les meubles en chêne ciré Tout donnait du baume au cœur dans cette grande maison Nous n’attendions plus que le vin mordoré Pour encore plus de gaieté Vent des anges Le vent des anges soufflait. C’était l’automne juste avant pluviôse et ventôse. La grande fête du cousinage allait commencer. Dans la maison, la grande salle aux voûtes blanchies à la chaux était prête pour les invités. Ici, tout donnait du baume au cœur. Dehors, il y avait déjà légion de chastes cousins et de belles-de-nuit aux lèvres voluptueuses. Par contre, les vignerons alentour craignaient, eux, les ravages de leurs cépages et l’effeuillage de leurs pieds de vigne. Quelques échassiers interloqués étaient en partance pour leur longue migration. La fête allait bientôt battre son plein. Le coulis et le vin mordoré allaient couler à flot. Des mets gouleyants seraient débités à foison. Tout n’allait être que convivialité, partage et gaieté Jeanine alias Janine
Hasard du calendrier, un jour d’avril, nous nous sommes retrouvés à la « Grande Maison d’Huez » dans une pièce magnifique avec des meubles en chêne ciré, autour d’une grande table emplie de gourmandises. Nous sommes en plein brainstorming sur l’atelier d’écriture, bien encadrés, bien encouragés et moi je cherche en vain quoi écrire. Courage, je me lance ! Vent des anges. Une belle-de-nuit se balade, traverse une foule bigarrée qui fête la naissance du printemps. C’est sûr qu’avec une tenue pareille, elle fait des ravages, tout le monde se retourne sur son passage. Un groupe de jeunes en rang derrière, comme à l’armée, la suit. Après la nuit où tout le monde avait abusé du coulis gouleyant, la nature s’est embellie de tous ces feuillages et prépare une belle année de récoltes. Daniel
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PALABRES DE PAPIERS ATELIER D’ÉCRITURE AVRIL 2015
LIVRES ET PALABRES Le vent des anges
Un bonheur et un privilège, celui d’être ensemble, sans acidité, palabres et lectures, un petit bonheur entre cœurs : ainsi commence l’histoire d’une demoiselle volage devant l’Éternel, voluptueuse, aux lèvres pleines de coulis gouleyant, qui se plaisait à entraîner des ravages sur le chaste cousin dont le cœur était à prendre et battait la chamade. Son effeuillage entraîna un sacré mal de cœur et malgré le magique de cette œuvre factuelle, il était temps de retrouver sagement l’espoir, sans mal de cœur, entre deux cœurs. Acidité du jour Sans acidité Palabres et lectures…. Sans acidité Un petit bonheur entre-cœurs Corinne
Une belle-de-nuit éprise d’opéra, parfumée de musc et de benjoin, parcourait les étals d’un marché de Provence aux puissants effluves. Ses lèvres groseille suscitaient l’envie de pêches juteuses et de framboises velues. Un petit besoin bien naturel l’éloigna des étals et la fit s’accroupir derrière une rangée de cannisses. Le débit de l’émulsion, comme sa turbidité, la surprirent. Soudain, un coup de clairon la fit se relever comme un ressort : elle vit alors défiler à quelques mètres de là une cohorte de grognards, avec tambours, guêtres et passementeries. C’était le 200e anniversaire du débarquement de l’Empereur à Golfe Juan. Toutes les gazettes s’en étaient fait l’écho en ce printemps 2015 ! Un des soldats ressemblait à s’y méprendre à son chaste cousin Eliante, avec qui elle était allée écouter Nabucco à Orange ! L’effeuiller ne la tentait certes pas, sa toujours forte odeur de vinaigre lui déplaisant formellement. Elle préféra songer à un onctueux coulis couleur fraise, qui enveloppait les charlottes de notre hôtesse, Charlotte de son petit nom et dont la » Grande Maison évoquait l’intérieur d’un château de Bavière, larges marches de pierre, lourds tapis de laine, plafonds voûtés, niches et recoins. Charlotte et sa grande maison, sa Maison des écrits, qui ne sont jamais vains, maison de la profusion, mets et mots, mots et mets comme MERCI. Sylviane
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PALABRES DE PAPIERS ATELIER D’ÉCRITURE AVRIL 2015
LIVRES ET PALABRES
Cunégonde dite » Le vent des anges » était promise au Roi et les fiançailles devaient faire l’objet de joyeuses ripailles et fines dégustations. Finie la vie où sa légèreté tourneboulait les têtes et désorganisait l’armée et ses chefs. Désormais, écriture et lecture apporteront tous les plaisirs de la journée ; En récompense, le Roi lui promit tous les cépages, et crûs de renommée. Acidité du Jour Entrevoir une dégustation emmagasinant tous les plaisirs de la journée, celui de se retrouver entre écrivants, repus de phrases et de mots, avalés, malaxés, et qui finissent par donner goût au cépage du jour. Merci !!! André
Texte de printemps Que d’émois fit naître le joli cou de la demoiselle combien volage cependant et quel bonheur de contribuer se dit-elle à l’effeuillage de presque chaste cousin qui ne tarda pas à rendre les armes d’autant qu’il avait quelque peu abusé du coulis gouleyant issu d’un cépage d’exception. Il signa l’armistice sans coup férir et avait fière allure en lui passant la bague au doigt quelques mois plus tard. Acidité du Jour Sous les voûtes inspirantes de la grande maison de Charlotte et dans les éclats de rire sporadiques qui ponctuent par moments l’écriture des textes d’une assemblée conviviale réunie autour d’une vaste table, on se laisse aller à rêver d’avoir une once de talent et on prend goût à jouer avec les mots sans souci du résultat final. Vent des anges Vent des anges, sous les voûtes inspirantes de la « Grande Maison », le souffle de l’inspiration a fait de l’exercice d’écriture un plaisir partagé, moments de concentration alternant avec des éclats de rire sporadiques, ainsi au récit des émois que fit naître le joli cou de la demoiselle, oh combien volage cependant, qui contribua à l’effeuillage du presque chaste cousin qui ne tarda pas à rendre les armes ; d’autant qu’il avait quelque peu abusé du coulis gouleyant issu d’un cépage d’exception. C’est ainsi qu’il signa l’armistice sans coup férir et qu’elle réussit à se faire passer la bague au doigt quelques mois plus tard. Il faut reconnaître qu’il avait fière allure ce jour-là, et la demoiselle se laissa aller à rêver qu’en prenant de la bouteille, il se bonifierait comme le bon vin et même que du fruit de leurs amours, pourrait naître une ribambelle de têtes blondes et brunes, prêtes à prendre leur envol comme autant de bourgeons gorgés de sève et riches de promesses futures. Fanny
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LIVRES ET PALABRES
Texte de printemps Nous avons coché sur le calendrier la date de naissance de notre enfant et avons pris rendez-vous à la maternité Saint-Benoît, acheté le lit-cage en vue de ton calage. Mon mari, sergent de la 3e armée est parti à la guerre pour un détachement de six mois. J’espère que son absence ne l’incitera pas à être volage auprès de personnes pleines de volupté et qu’il préférera le cinéma à l’enseigne « douciné » en pensant à la douceur de notre foyer et au pelage de notre chat siamois. Acidité du jour Un moment de réel bonheur en compagnie de gens sympathiques dans un environnement rafiné et particulièrement bien aménagé. Dans quelques instants, le moment sera venu de récompenser le travail de réflexion et d’écriture par un apéritif copieux si j’en juge par les assiettes copieusement garnies. Vent des anges Un moment de réel bonheur lors de la naissance de notre enfant à la clinique « le vent des anges ». Mon mari, sergent dans la 3e armée, revenu de guerre pour l’événement, profite de la douceur de notre foyer. Dans quelques instants nous fêterons ce moment inoubliable par un apéritif copieux en compagnie de gens sympathiques dans notre belle maison. Bernard
Texte de printemps Chaque année en août, une belle-de-nuit se balade dans le cépage, se faufile entre les rangées. Damoiselle volage pleine de volupté, son passé la lie à cette armée de soldats immobiles. Humant l’essence de cette terre, parfumant son haleine des framboises cueillies rouges et fraîches comme ses lèvres, elle s’avance telle une reine, ravageant le cœur de son chaste cousin, lent effeuillage des amours naissants. Septembre est là, dans les premiers émois de la vigne gorgée de soleil Acidité du jour Un rayon de soleil pénètre par la fenêtre, se perd dans les voûtes de la salle, réchauffe le carrelage et les cœurs. Dans le brouhaha des conversations, une tasse de thé fleurie à la main, je laisse les mots aller à la rencontre de mes émotions, au croisement de nos imaginaires. Vent des anges Au vent des anges, la belle-de-nuit se balade dans le cépage. Les rayons de lune se faufilent entre les rangées de ceps qui se dressent là, tels une armée de soldats immobiles. Souffle le vent des anges, ravageant le cœur du cépage, effeuillant les amours naissants, emportant dans une haleine lourde de promesses l’essence d’une volupté qui n’en finit pas d’imprégner la terre. Lèvres groseille, grappes vermeilles, le vent des anges s’étire langoureusement, jouant avec nos premiers émois, à la rencontre de nos imaginaires. Au vent des anges s’envolent nos mots… Sandrine
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PALABRES DE PAPIERS ATELIER D’ÉCRITURE AVRIL 2015
LIVRES ET PALABRES
Texte de printemps Les vendanges sont une joie pour le vigneron. Toute l’année il a mis sa vigne sous protection et surveillé son cépage. Puis après l’entretien, la vigne est mûre, le raisin prêt à Être cueilli. Le soir, les cueilleurs après le repas font la fête. Cela attire les belles-de-nuit, volages, pleines de volupté avec leurs lèvres groseille désireuses de goûter le coulis gouleyant du chasse-cousin. Acidité du jour La joie de recevoir Livres et Palabres à la maison. Un bon moment passé de plus. Il faut savoir saisir ces temps privilégiés. Vent des anges Composition « au château » du Domaine abritant les fruits et la crème de la gaîté des vendanges en plein cépage. Les fêtes nocturnes après la cueillette, avec les belles-de-nuit qui venaient boire le soir le vin en prenant le soin de laisser la part du vin des anges. Charlotte
Texte de printemps Au début ce fut la naissance de la vie. Le calendrier entraîna la fuite des mois. Avril vint et le cépage avec vélocité nous offrit la magie. Hélas les ravages de la gelée d’une nuit arrêtèrent le bonheur de la conquête. Mais la belle volage avec vélocité vit le général d’armée qui trouva son bonheur. Acidité du jour Quelle joie de se retrouver entre amis dans cette maison accueillante et chaleureuse : « La Grande maison » qui porte si bien son nom. Ce moment de détente où l’on oublie tout pour ne penser qu’au bonheur d’être ensemble, quel privilège. C’est un petit bonheur de la vie inoubliable. Il faut apprécier ces instants rares et riches d’échanges. Vent des anges Alors que dehors souffle le vent souffle fort au début ce fut la naissance de la vie : cette magie entraîna le bonheur et la joie de se retrouver entre amis dans une maison accueillante et chaleureuse : « La grande Maison » qui porte si bien son nom. Au dehors les ravages de la gelée arrêtent la conquête du bonheur. Dans la grande maison, c’est le moment de détente où l’on oublie tout ! Petit bonheur de la vie inoubliable. Le calendrier entraîne la fuite des mois et quand septembre arrive, le raisin est mûr. Alors souffle le vent des nages. Paulette
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LIVRES ET PALABRES
Texte de printemps Au début, un soldat voulait fêter la belle-de-nuit avec du vin dans son chapeau. Acidité du jour Qu’il est agréable d’être reçu chez Charlotte et en plus nous allons goûter au vin de son village du midi. Merci ! Vent des anges Nous allons bientôt goûter le vin du midi dans l’agréable maison de charlotte. Nous n’allons pas boire dans le chapeau du soldat comme la belle-de-nuit. Par contre nous ferons particulièrement attention à l’acidité du vin. Anja
Texte de printemps Salut à tous. C’est l’été. Voici une belle-de-nuit qui se balade après la journée de vendanges. Elle est volage, ses lèvres groseille sont pleines de volupté et elles entraînent des ravages. Elle fait naître la joie et la magie dans les cépages. Trouvera-t-elle la protection d’un menteur gourmand ? Lui offrira-t-il un Balthazar ou un chasse-cousin ? Mais il lui faut débourser et ce menteur n’a même pas un bagel ! Quel débourbage ! Acidité du jour Quel bonheur de se retrouver dans cette belle maison, dans cette pièce aux voûtes profondes, parmi d’avenantes personnes. Écrire en bavardant, en riant, en grignotant de délicieux gâteaux. Penser à la dégustation qui va suivre l’écrit-vin. Tout est délicieux. Merci encore à Charlotte « Il faut savoir saisir ces temps privilégiés » Vent des anges Salut à tous. C’est la fin de l’été, après les vendanges. Elle est volage, ses lèvres groseille pleines de volupté entraînent des ravages. Elle fait naître la joie et la magie dans les cépages. Un gourmand lui offrira-t-il un balthazar ou un chasse-cousin ? Ce menteur n’a peut-être même pas un bagel. Quelle gourde, mais quelle joie ! Et quel bonheur pour nous de parler et d’écrire sur le vin dans cette pièce aux voûtes profondes, parmi d’avenantes personnes. Écrire en bavardant, en riant, en grignotant de délicieux gâteaux. Penser à la dégustation après l’écrit-vin. Il faut savoir saisir ces temps privilégiés. Merci à Charlotte. Jacqueline
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LIVRES ET PALABRES
Le livre d’or de Charlotte La joie de recevoir Livres et Palabres à la maison. Un bon moment passé de plus. Il faut savoir saisir ces temps privilégiés.
Entrevoir une dégustation emmagasinant tous les plaisirs de la journée, celui de se retrouver entre écrivants, repus de phrases et de mots, avalés, malaxés, et qui finissent par donner goût au cépage du jour. Merci !!! Sans acidité Palabres et lectures…. Sans acidité Un petit bonheur entre-cœurs
Elle préféra songer à un onctueux coulis couleur fraise, qui enveloppait les charlottes de notre hôtesse, Charlotte de son petit nom et dont la » Grande Maison évoquait l’intérieur d’un château de Bavière, larges marches de pierre, lourds tapis de laine, plafonds voûtés, niches et recoins. Charlotte et sa grande maison, sa Maison des écrits, qui ne sont jamais vains, maison de la profusion, mets et mots, mots et mets comme MERCI.
Un rayon de soleil pénètre par la fenêtre, se perd dans les voûtes de la salle, réchauffe le carrelage et les cœurs. Dans le brouhaha des conversations, une tasse de thé fleurie à la main, je laisse les mots aller à la rencontre de mes émotions, au croisement de nos imaginaires.
Un moment de réel bonheur en compagnie de gens sympathiques dans un environnement rafiné et particulièrement bien aménagé. Dans quelques instants, le moment sera venu de récompenser le travail de réflexion et d’écriture par un apéritif copieux si j’en juge par les assiettes copieusement garnies.
Sous les voûtes inspirantes de la grande maison de Charlotte et dans les éclats de rire sporadiques qui ponctuent par moments l’écriture des textes d’une assemblée conviviale réunie autour d’une vaste table, on se laisse aller à rêver d’avoir une once de talent et on prend goût à jouer avec les mots sans souci du résultat final.
Quelle joie de se retrouver entre amis dans cette maison accueillante et chaleureuse : « La Grande maison » qui porte si bien son nom. Ce moment de détente où l’on oublie tout pour ne penser qu’au bonheur d’être ensemble, quel privilège. C’est un petit bonheur de la vie inoubliable. Il faut apprécier ces instants rares et riches d’échanges.
Qu’il est agréable d’être reçu chez Charlotte et en plus nous allons goûter au vin de son village du midi.
Les belles voûtes blanchies à la chaux Les ocres du sol vernissé Les meubles en chêne ciré Tout donnait du baume au cœur dans cette grande maison Nous n’attendions plus que le vin mordoré Pour encore plus de gaieté
Quel bonheur de se retrouver dans cette belle maison, dans cette pièce aux voûtes profondes, parmi d’avenantes personnes. Écrire en bavardant, en riant, en grignotant de délicieux gâteaux. Penser à la dégustation qui va suivre l’écrit-vin. Tout est délicieux. Merci encore à Charlotte « Il faut savoir saisir ces temps privilégiés »
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