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Émotions… C’est dans un contexte étrange que s’ouvre cette nouvelle saison. La situation économique et sociale de notre pays et le résultat pour le moins inquiétant des élections européennes confirmeront, à eux seuls, ce sentiment “d’étrangeté”. Situation paradoxale, quand on a à rêver, à imaginer “un futur”. Pourtant, une page va se tourner. Cela ne vous aura pas échappé, c’est notre dernière saison dans les murs de la Coupole et de la Rotonde. Certes, nous avons bataillé – parfois âprement – aux côtés du San et de nos autres partenaires pour voir naître ce Théâtre. Certes, il nous semble toujours aussi essentiel pour Sénart, du haut de ses 40 ans et à l’aube du Grand Paris, que la “dernière des villes nouvelles” soit dotée d’un équipement culturel majeur. Cependant, c’est très certainement avec beaucoup d’émotions que nous quitterons les deux bâtiments. Ce sont là 28 années d’aventures artistiques, de beaux et grands moments, de souvenirs inoubliables, portés dans un premier temps par Georges Buisson et Alain Grasset, puis par Jean-Michel Puiffe, tous accompagnés de formidables équipes qui ont toujours su, depuis 1986, se mettre au service des artistes et de ce territoire. Même si la saison dans le Théâtre de Sénart ne s’ouvrira qu’en octobre 2015, il nous a semblé essentiel et prudent d’arrêter la programmation 2014-2015 en février, ceci afin de nous préparer au mieux à l’ouverture du nouveau lieu. Ranger, trier, faire les cartons, déménager. Rêver, organiser, préparer une inauguration. Écouter, voir, accompagner des artistes que l’on aime. Vous concocter une saison 2015-2016. Découvrir et apprivoiser ce nouvel équipement, et ce qui sera pour nous une nouvelle planète nommée l’EPCC (établissement public de coopération culturelle), sa nouvelle enveloppe juridique. Pour cette drôle de “petite” saison volontairement ouverte vers le monde, nous espérons vous retrouver encore nombreux pour partager ensemble des grands moments de poésie, de rêves, de découvertes, de tolérance… Chers spectateurs, nous vous remercions de votre soutien et vous souhaitons une belle saison 2014-2015 !
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THÉÂTRE À la lecture de la brochure de saison, chacun perçoit et ressent du désir pour la vitalité du théâtre qu’il fréquente. Mais prendre la mesure de l’ensemble des propositions artistiques et des actions en direction du public que les scènes nationales initient sur tout le territoire nécessite un effort de synthèse et un souci de communication auxquels s’attache l’association qui les regroupe. Dignes héritières du mouvement de création des maisons de la culture initié par André Malraux, sises de part et d’autre de l’hexagone et jusqu’en Outre-Mer, les 70 Scènes nationales, emploient aujourd’hui plus de 1 700 permanents, offrent près d’un million d’heures de travail à des intermittents du spectacle, totalisent à elles seules plus de 3,5 millions d’entrées. Elles sont par ailleurs, un des premiers pôles de l’éducation artistique et de l’animation culturelle sur les territoires, et tout particulièrement en direction des plus jeunes.
Au-delà de l’importance des chiffres, de l’intérêt des statistiques de tous ordres (fréquentation, nombre de représentations...) les Scènes nationales représentent l’un des maillons essentiels de la chaîne des théâtres publics en Région, aux côtés des Centres dramatiques nationaux, des Centres chorégraphiques nationaux, des Scènes conventionnées, des Pôles Cirques ou des Centres nationaux des arts de la rue, notamment. Elles souhaitent déclarer leur attachement indéfectible aux artistes, venus d’horizons divers, et à la création, affirmer leur volonté déterminée d’un accès pour tous aux œuvres comme aux pratiques artistiques. Devant la banalité du renoncement, dont l’abstention lors des élections est un des signes préoccupants, la vigilance quant aux engagements de l’État, comme de l’ensemble des collectivités locales et territoriales est de mise. Elle conduit l’association à militer pour le développement de ce réseau, pour ce paysage culturel exceptionnel que les pays européens nous envient, et qui ne doit plus servir de variable d’ajustement financier, quand les études d’impacts économiques, comme l’attachement des publics, témoignent de manière indiscutable de l’importance des réalisations menées depuis près de 60 ans. « Nous sommes chargés de l’héritage du monde, mais il prendra la forme que nous lui donnerons » André Malraux L’association des Scènes nationales.
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théâtre arts de la piste
Musiques MUSIQUE CLASSIQUE
L’excursion chez les gens Cie O.p.U.S.
p 06
Symphonie des lumières p 14 Nicolas Simon - Marc Coppey
Les moulins de Monsieur Noël Cie O.p.U.S.
p 07
WORLD-JAZZ
Tigran BLUES-ROCK
Savoir vivre p 08 Pierre Desproges Catherine Matisse - Michel Didym CDN, Nancy Lorraine
Johnny Winter
Histoire d’une vie
MUSIQUE CONTEMPORAINE
p 10
Production
Aharon Appelfeld - Bernard Levy Cie Lire aux éclats Asie • Amérique • Adieu Tartar(e)
p 12
p 13
Afrique Tartar(e)
Risotto Amedeo Fago Fabrizio Beggiato
p 20
Les déterritorialisations du vecteur Frédéric Ferrer Cie Vertical détour
p 22
Ensemble Hope
p 21
MUSIQUE CLASSIQUE
Le Quatuor Voce et Guillaume Mathias Loïc Lantoine Brian McCombe Band Renan Luce
p 30
p 35
p 44
THÉÂTRE p 17
THÉÂTRE
p 31
Le Petit Chaperon rouge Joël Pommerat Cie Louis Brouillard
Il n’est pas encore minuit… p 32 Coproduction
Cie XY - Loïc Touzé p 36
Coproduction
Molière - Benoît Lambert Théâtre Dijon Bourgogne, CDN
Danse p 23
questcequetudeviens ? p 34 Aurélien Bory pour Stéphanie Fuster Cie 111
p 43
Coproduction
Le vide-grenier
p 43
ACTIONS CULTURELLES
p 46
LE CINÉMA
p 49
LES PRODUCTIONS EN TOURNÉE
p 50
LES PARTENAIRES Les coproducteurs des spectacles
p 51
Nos partenaires financiers
p 52
Le Club des partenaires
p 52
Nos partenaires artistiques
p 53
INFORMATIONS PRATIQUES Accès et Hors les murs p 54 L’équipe
p 55
Billetterie et réservations
p 56
Abonnements
p 57
Calendrier
p 70
Infos pratiques
p 72
LE THÉÂTRE DE SÉNART Un nouvel équipement
p 60
Un signe architectural
p 63
Un Théâtre confié à la Scène nationale
p 64
Visite guidée
p 66
p 25
CINÉ-THÉÂTRE
Hansel et Gretel Cie La Cordonnerie
Le manège Titanos
p 38
jeune public Tête haute Joël Jouanneau Cyril Teste - Collectif MxM
p 43
p 24
CHANSON
Please, Continue (Hamlet) p 26 Yan Duyvendak - Roger Bernat
Rising Aakash Odedra Company
WORLD-JAZZ
Dhafer Youssef
MUSIQUE CELTIQUE p 15
Tartuffe ou l’imposteur
p 18
CHANSON
Elle brûle Mariette Navarro Caroline Guiela Nguyen Les Hommes Approximatifs
Savoir enfin qui nous buvons Sébastien Barrier
p 16
Le P.A.R.D.I. Cie Volubilis
p 29
le campement p 40 Le jardinLa serre Atelier Lefeuvre & André
p 41
Director’s Cut Gandini Juggling
p 41
Les puces savantes Cie des petits miracles
p 42
Le grand théâtre mécanique Cie de l’échelle Les ateliers Denino
p 42
p 62
curieuXSamedis (voir p 09)
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C’EST LA RENTRÉE ! Présentations de saison En septembre et octobre, la Scène nationale est à votre disposition pour organiser, chez vous, une présentation de saison illustrée par des extraits vidéos et musicaux. Groupes d’amis, comités d’entreprises, associations, n’hésitez pas à contacter le service des relations avec le public (voir p 48). Nous y serons ! Toujours en septembre, retrouvez-nous sur les différents forums des associations du territoire, et également dans la galerie du centre commercial Carré Sénart, au niveau 1. > du 8 au 21 septembre.
ÉCOUTEZ, DÉBATTEZ, PARTICIPEZ Rencontre après spectacle Savoir vivre > jeudi 16 octobre LE MANÈGE CARRÉ SÉNART À PILSEN Le Manège Carré Sénart poursuit sa tournée en République Tchèque. En préfiguration à “Pilsen, Capitale européenne de la culture 2015”, Petr Forman, directeur artistique de cet événement, invite le Manège. > du 5 septembre au 10 novembre Pour plus d’informations www.manegecarre-senart.com
Horaires de l’accueil en septembre Pendant tout le mois de septembre, l’accueil est à votre disposition pour vous guider dans vos choix, du mardi au samedi de 14h à 19h, et le vendredi jusqu’à 20h30. À SAVOIR Pendant le mois d’octobre, Bernard Levy et son équipe seront en répétition pour la création du spectacle Histoire d’une vie dont la première aura lieu le 4 novembre à La Coupole (voir p 10).
septembre-octobre 4 brochure_SNS1415_160x210.indd 4
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Le chantier du Théâtre de Sénart s’ouvre à vous… Dans le cadre des Journées européennes du patrimoine 2014 Pour cette journée exceptionnelle, vous pourrez visiter, pour la toute première fois, le chantier du Théâtre de Sénart, projet architectural de l’Atelier d’architecture Chaix & Morel et associés. À partir de 10h, des visites guidées seront organisées pour vous faire découvrir l’avancée des travaux et vous familiariser avec ce qui sera le nouvel équipement culturel de Sénart.
Aurélie Filippetti, Ministre de la Culture et de la Communication donne rendez-vous aux Français les 20 et 21 septembre pour la 31ème édition des Journées européennes du patrimoine, qui auront pour thème : “Patrimoine culturel, patrimoine naturel”. […] Mettant en lumière toute la diversité du patrimoine, ce thème entre, par ailleurs, en résonance avec les enjeux de la qualité de l’architecture et du cadre de vie, qui fait du patrimoine un élément essentiel de la qualité et de l’attractivité des territoires. Extrait du communiqué de presse du Ministère de la Culture et de la Communication
> samedi 20 septembre Ouvert à tous, nombre de places limité. Uniquement sur inscription à partir du 25 août sur senart.com
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théâtre À DOMICILE
Compagnie O.p.U.S.
L’excursion chez les gens La compagnie O.p.U.S. débarque dans le salon de six habitants pour une soirée participative, dont il y a fort à parier qu’elle restera gravée dans nos mémoires. Avec sa manière inégalée de faire prendre des vessies pour des lanternes, O.p.U.S. a l’art de magnifier l’ordinaire en bricolant des univers kitch tellement vrais qu’on ne demande qu’à y croire, encore et encore…
Des êtres hauts en couleurs comme on aimerait en rencontrer plus souvent… Avec humour et tendresse, ils nous entraînent dans leurs élucubrations farfelues jusqu’au vraisemblable et font vaciller les frontières entre réel et mystification. Gwénola David, La Terrasse
Il suffit d’entrer dans le monde de l’Office des phabricants d’Univers Singuliers pour en être immédiatement familier. Souvenez-vous, lors du Campement à Moissy-Cramayel, Lucette et Serge, animaient vaillamment le stand de la maison de retraite à la presque fausse Quermesse de Ménetreux. Ils étaient entre le stand de “l’apparition de la vierge” et la “roue-tisserie”… Toujours en quête de nouvelles activités pour leurs résidents, les voici cette saison en excursion chez six habitants du coin. Au cours de ces soirées de théâtre à domicile, il sera question de rencontres et de découvertes. On parlera de la Bourgogne, de ses vins, de son jambon persillé, mais aussi de gastronomie d’ailleurs, de terroir et de culture. Large place sera faite à la surprise, à la curiosité, au théâtre de proximité et aux jeux de société… L’univers d’O.p.U.S., c’est de l’art brut, de la bricole, du Facteur Cheval puissance 1000, de la poésie de l’inutile, du rire à en pleurer, et vice-versa, évidemment.
Conception, interprétation Chantal Joblon, Pascal Rome Mise en scène Pascal Rome
du mardi 23 au dimanche 28 septembreTarif spécial (voir lieux p. 54)
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théâtre
Compagnie O.p.U.S.
Les moulins de Monsieur Noël La compagnie O.p.U.S. “phabrique” donc des univers familiers, toujours un peu loufoques et nostalgiques de temps qui n’ont jamais vraiment existé. Elle privilégie le faux vernaculaire pour rendre hommage à l’héroïsme ordinaire dans une poésie du traviole. Avec ce zeste de décalage, juste ce qu’il faut pour faire un pas de côté, laisser la philosophie du peu affleurer et, alors, regarder autrement la vie.
ne conférence-spectacle au fou U rire garanti. […] On se laisse séduire par cette histoire. En ces temps de crise où la lutte contre le productivisme est reléguée aux oubliettes, voilà un bel hommage à ces ouvriers pionniers de la résistance poétique. Pierre Concialdi, Sine Hebdo
Kerostrabell est une petite bourgade bretonne dont la particularité est d’être traversée par cinq bras de rivière qui alimentent ses cinq quartiers. Mais il faut attendre la marée montante pour que les cours d’eau soient approvisionnés, c’est-à-dire deux heures environ par jour. Il n’en fallait pas plus aux habitants pour fabriquer leur propre électricité, grâce au cantonnier, Monsieur Noël, qui, pendant près de quarante ans, a construit moulins et turbines, producteurs d’énergie. Mais ça, c’était avant EDF qui, raccordement national oblige, a mis toute cette petite industrie en veilleuse ! Mais Monsieur Noël n’entendait pas laisser ses machines aller à vau-l’eau. Il a donc proposé de les recycler en moulins à faire bâiller les huîtres, détricoter des écharpes et autres pièges à blaireaux ! Une conférence et une exposition interactive plus tard, vous saurez tout sur ce sauvetage du patrimoine local – pas encore inscrit à l’UNESCO, mais ça ne saurait tarder – grâce à O.p.U.S. et son éloge du système D. D comme dérisoire, délirant, dopant et à dormir debout…
Conception, interprétation Dominique Giroud, Pascal Rome Mise en scène Pascal Rome
du jeudi 2 au samedi 4 octobreTarif C 7
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théâtre
Pierre Desproges - Catherine Matisse Michel Didym - CDN Nancy Lorraine
Savoir vivre Champion de la provocation, Pierre Desproges haïssait la médiocrité qui le lui rendait bien d’ailleurs, mais il préférait en rire plutôt qu’en désespérer. Plume taillée au scalpel et trempée dans le vitriol, l’humoriste a tout attaqué, de la religion aux enfants, en passant par le cancer. Michel Didym et Catherine Matisse, en passeurs convaincus, l’ont bien compris : c’est dans le venin que l’on fait les meilleurs vaccins contre les tabous. Le plateau clignote. Deux clowns-comédiens atterrissent tels des extra-terrestres et nous racontent la Genèse et tant qu’à faire, l’Apocalypse, aussi. Ils sont méchants comme des teignes, pérorent, spéculent, pourfendent, digressent, dérapent, enfoncent les portes ouvertes et explosent celles qui résistent encore. Tous les sujets de prédilection de Pierre Desproges y passent : préjugés, idées reçues, tabous sur les femmes ou la mort… Comment savoir vivre en attendant de mourir ? Pierre Desproges enseignait l’art de se suicider sans vulgarité et la meilleure façon de vieillir sans déranger les jeunes. Le trublion, journaliste, éternel contempteur de la bêtise, disait vouloir ne rire que des choses graves et peu, comme lui, ont su haïr avec tant d’élégance, teintée d’indifférence, les préjugés éculés d’une France “béret-camembert-blanc-cassis”. Ses aphorismes définitifs, son irrévérence, son sens de l’absurde et sa précision littéraire sont formidablement bien servis par Michel Didym et Catherine Matisse. Pour rire du jaune au noir jusqu’au délire, Pierre Desproges reste cultissime. À aller voir et écouter de toute urgence, y compris pour les générations n’ayant pas connu Pierre Desproges, lesquelles goûteront avec délice la langue jubilatoire et l’humour acéré de cet artiste dont les citations n’ont pas pris une ride. Jean-Jacques Wolff, L’ami hebdo
Textes Pierre Desproges Mise en scène, interprétation Catherine Matisse, Michel Didym Assistés de Odile Kieffer, Anne-Marion Gallois Scénographie, lumières Olivier Irthum Collaboration artistique Bruno Ricci, Éric Lehembre Musique Vassia Zagar Costumes Christine Brottes Maquillages Justine Valence avec la complicité de Christine Murillo, Dominique Valadié
les jeudi 16 et vendredi 17 octobreTarif B
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Nouveau RENDEZ-VOUS
Cette nouvelle forme de rendez-vous vous est proposée trois samedis dans la saison, autour d’artistes aux univers décalés et poétiques. Au programme : voyage, épopée scientifique et conférence œnolo-ludique. Vivement samedi ! Afrique (p 13) > samedi 15 novembre Les déterritorialisations du vecteur Cartographie 3 (p 22) > samedi 6 décembre Savoir enfin qui nous buvons (p 31) > samedi 10 janvier ÉCOUTEZ, DÉBATTEZ, PARTICIPEZ Rencontres après spectacle Histoire d’une vie > mercredi 5 novembre Elle brûle > mercredi 19 novembre Goûthéâtre Tête haute > mercredi 26 novembre
ÇA SE PASSE AILLEURS ET C’EST BIEN AUSSI Festival “Les traversées” En 2011, des représentants du San ont rencontré à Nouakchott le directeur du Festival littéraire “Traversées mauritanides”. Ce festival fait venir chaque année en Mauritanie des écrivains francophones d’Afrique, du Maghreb, mais aussi de France, de Belgique, du Canada. En 2013, la réalisation, à Sénart, d’un événement en réciprocité a alors été envisagée. La deuxième édition a lieu cette année pendant la Semaine de la Solidarité Internationale, du 15 au 23 novembre, et le fil conducteur en sera les femmes africaines avec des ateliers, des tables rondes ou des cafés littéraires. Programme complet sur senart.com Le Conservatoire Gabriel Fauré présente Et bien ! Chantez maintenant > samedi 22 novembre
Dédicace Tigran > samedi 22 novembre
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théâtre
Aharon Appelfeld - Bernard Levy Compagnie Lire aux éclats production
Histoire d’une vie Metteur en scène bien connu du public de la Scène nationale, Bernard Levy est de retour avec une adaptation scénique, sensible et épurée, du magnifique roman autobiographique, Histoire d’une vie, de l’auteur israélien Aharon Appelfeld. Sur scène, un homme seul, interprété par le superbe comédien Thierry Bosc, retrace son parcours et s’interroge sur la façon dont il a dû apprivoiser son passé et les expériences les plus terribles pour devenir écrivain.
Aharon Appelfeld vit aujourd’hui en Israël. Son œuvre est reconnue dans le monde entier. Histoire d’une vie – Prix Médicis du roman étranger en 2004 – est un récit simple et fragmenté, mêlé de réflexions sur l’identité et la mémoire, dans lequel il raconte son parcours. C’est le récit à la première personne d’une lutte. Une lutte pour reconstituer sa mémoire, pour accepter de retrouver le silence qui l’a entouré pendant la guerre et le faire revenir vers lui, car « dans ce silence était cachée mon âme ». Une lutte pour ne pas perdre sa langue maternelle, l’allemand, tout en acceptant d’en faire sienne une autre, l’hébreu. Un combat permanent entre le présent, celui de l’homme nouveau israélien, et le passé, celui de l’enfant juif rescapé des camps. Bernard Levy, dont on a pu apprécier, entre autres, le diptyque “Beckett” ou encore Le neveu de Wittgenstein, déjà présentés à la Scène nationale, dégage de cette histoire, si singulière, l’universalité de la quête menée par tout homme : la quête d’une histoire individuelle et personnelle que l’on construit, à la fois, avec et contre les déterminismes historiques et culturels.
À propos de la pièce Le neveu de Wittgenstein À quoi tient la beauté de ce soliloque ? Au talent du metteur en scène français Bernard Levy, bien sûr, à son doigté musical quand il s’agit de marquer les arêtes du texte (qu’il adapte), à sa manière aussi de travailler sa matière en plasticien. Le Temps (Suisse)
D’après le livre éponyme de Aharon Appelfeld - Prix Médicis étranger 2004 Traduit de l’hébreu par Valérie Zenatti - Éditions de l’Olivier et Points Adaptation Jean-Luc Vincent, Bernard Levy Mise en scène Bernard Levy Assisté de Jean-Luc Vincent Scénographie Giulio Lichtner Lumières Christian Pinaud Costumes Séverine Thiebault Avec Thierry Bosc
du mardi 4 au jeudi 6 novembreTarif C
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Thierry Bosc Thierry Bosc participe au début des années 70 à l’effervescence artistique et politique de son époque. Membre actif du projet collectif du Théâtre de l’Aquarium, qui s’installe en 1973 à la Cartoucherie de Vincennes, il joue alors dans les spectacles mis en scène par Jacques Nichet, Didier Bezace, Jean-Louis Benoît ou Jean-Louis Hourdin. Il reste fidèle à ces metteurs en scène tout en travaillant à partir des années 2000 avec une nouvelle génération comme Dan Jemmett et Guillaume Delaveau. En 2006, il interprète le rôle de Hamm dans Fin de partie de Samuel Beckett, mis en scène par Bernard Levy, qu’il retrouvera en 2009 pour jouer Estragon dans En attendant Godot. Dernièrement, il interprète le rôle du Prince dans la pièce Perturbation de Thomas Bernhard mise en scène par Krystian Lupa.
propos de Thierry Bosc À Depuis plus de quarante ans, Thierry Bosc promène sa haute silhouette et son casque frisé sur les planches du théâtre public […]. Acteur discret et solide, il s’est bonifié avec le temps, jouant ces dernières années Beckett ou campant Prospéro dans la Tempête de Shakespeare. À chaque fois, il était bon. René Solis, Libération
La générosité de son jeu, sa sensibilité et le grain si particulier de sa voix en font un acteur unique.
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THÉÂTRE
Tartar(e)
Asie • Amérique • Adieu… Reconnaissable entre mille, Tartar(e) est un griot blanc qui officie à l’ombre des baobabs, torse et pieds nus, longue barbe et œil qui frise. Vétéran de la rue, il arpente les continents depuis quarante ans et rapporte de ses voyages des carnets de notes truffés de souvenirs énervés, émerveillés ou stupéfaits. Cette saison, c’est notre territoire qu’il arpente, pour vous conter ses histoires du bout du monde. Jean-Georges dit Tartar(e) est plutôt du matin, palabre dans la langue de Victor Hugo, emprunte des chemins de traverse pour mieux digresser sur l’actualité et cultive un sens patenté pour l’échappée inopinée. Sa tchatche érudite, généreuse, engagée et sans tabou, fait de ce vagabond du monde une vraie légende du macadam.
0, 1, 2 (zéro, Inde) Fou de mathématiques, Tartar(e) est parti en Inde à la rencontre des descendants des inventeurs du zéro, les ascètes jaïns. Il a vendu sa télé pour se payer le voyage et tailler le bout de gras mathématique avec un ascète prénommé 108… Avec un humour, parfois polémique, il raconte aussi l’Inde et ses émotions (Soirée spéciale voir p 54).
Âme américaine Au prétexte d’y rencontrer un sosie, Tartar(e) est allé en Haïti interroger l’altérité. Poète d’une virulence stupéfaite, le sosie broiera toute tentation littéraire de Tartar(e), avant de lui confier un hallucinant message pour ses spectateurs. héâtre de ruelle, de rage, de rêve, T de rire aussi bien. Appelez-le comme vous voudrez. Le théâtre de rue, dans ce qu’il a de meilleur, est moins une forme qu’un état d’esprit. Rebelle. Jean-Pierre Thibaudat, Rue 89
Adieu Invité à un festival de conte au milieu du désert, Tartar(e) rencontre un rebelle devenu chef d’état qui l’initie à l’esprit de la parole. Encore une fois, “ce clochard céleste” nous offre un feu d’artifice de digressions nourries de philosophie orientale, africaine et américaine.
Conception et interprétation Jean-Georges Tartar(e)
les jeudi 13, vendredi 14, dimanche 16 novembreTarif D (voir lieux p 54)
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théâtre Cinéma
Tartar(e) - JR
…Afrique Pour ce premier rendez-vous “curieuXSamedis” (voir p. 09), continuons notre voyage avec Tartar(e), cette fois-ci, sur les rives de la Guinée. La soirée se poursuit avec la projection du film-documentaire, Women are heroes, un magnifique hommage aux femmes, par le “photograffeur ” JR. Un samedi en compagnie de deux artistes qui témoignent d’un monde aux mille visages.
Conakry et chuchotements Un soir de réveillon dans un maquis, bistro de Conakry où il a créé le Festival de théâtre de rue de Guinée, Tartar(e) croise un soldat guinéen revenant d’une “mission d’interposition”. Un arbre, deux oiseaux, quelques photos, il n’en faut pas plus au griot blanc pour nous embarquer dans son périple africain, édifiant et terriblement humain. J’ai toujours dit qu’en Afrique, je ne serai ni missionnaire, ni démissionnaire. Mercenaire, peut-être… Avec mes armes de théâtre. Avec les amis, on a créé des spectacles “pour” et “contre” : pour l’accès de l’enfant à l’école, pour l’hygiène, contre le palu, contre la mutilation féminine… On a créé un atelier d’écriture et puis un jour, on a décidé de rassembler tout ça pour créer le premier “Festival International de Théâtre de Rue” de Conakry. Pourquoi “international” ? Parce que j’y étais ! Extrait de AAAA.A de Tartar(e), éditions Entretemps
Women are heroes - Film de JR Elles viennent des favelas de Rio, vivent dans les bidonvilles kenyans ou dans des quartiers déshérités d’Inde. JR, dont la carrière est internationale, leur tire d’immenses portraits affichés clandestinement sur les murs des villes de toute la planète. Ce film est un plaidoyer pour la dignité, un hommage magnifique à toutes celles qui s’arrachent à la misère, à la violence.
Dans le cadre du Festival “Les Traversées” (voir lieux p 09) le samedi 15 novembreTarif D 13 brochure_SNS1415_160x210.indd 13
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musique classique
Nicolas Simon - Marc Coppey
Symphonie des lumières La Symphonie des lumières s’attache essentiellement à faire revivre le répertoire musical de la période classique et du romantisme naissant. Dirigés par Nicolas Simon, les musiciens de l’orchestre jouant sur instruments d’époque et Marc Coppey, éminent violoncelliste de sa génération, rendent un sublime hommage aux fils de Bach dont Mozart s’est tant inspiré. Frisson assuré. Wilhelm Friedemann Bach Symphonie en Ré Maj, F64 Carl Philipp Emanuel Bach Concerto pour violoncelle en La min, Wq170 Wolfgang Amadeus Mozart Symphonie n°40 en Sol mineur, KV 550
La figure paternelle devait sans doute peser bien lourd sur les épaules de Wilhelm Friedemann. Fils aîné et préféré de Jean Sébastien Bach, il était réputé pour être le plus doué de tous les enfants du Kantor et considéré comme le meilleur organiste et improvisateur de son temps. Le peu de musique qu’il nous laisse suffit à imaginer le génie visionnaire d’un homme instable à l’indépendance trop prononcée pour son siècle. Toute autre fut la vie de Carl Philipp Emanuel, son frère cadet, musicien honoré, qui dépassa en renommée son propre père. Artiste “au goût du jour”, il est le créateur inspiré d’une musique exubérante, aux états d’âme changeants, aux accents heurtés, qui tire sa révérence au monde baroque pour entrer à tâtons dans le siècle de Haydn et Mozart. C’est d’ailleurs en recopiant ses œuvres que le jeune Wolfgang apprend son métier. En 1788, c’est un Mozart en pleine possession de son art qui écrit, dans le mineur des mauvais jours, une symphonie qui porte à son paroxysme la violence des sentiments. Ce sera son avant-dernière : les romantiques n’ont plus qu’à entrer en scène.
En partenariat avec le Conservatoire Gabriel Fauré, Savigny-le-Temple Direction Nicolas Simon Avec Marc Coppey violoncelle, les musiciens de l’orchestre Symphonie des lumières
le vendredi 14 novembreTarif B
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théâtre
Mariette Navarro - Caroline Guiela Nguyen Les Hommes Approximatifs
Elle brûle Plongé au cœur d’un intérieur modeste, le spectateur assiste, intrigué et fasciné, à la tragédie d’une femme au foyer qui perd pied en tentant d’échapper à l’ordinaire de sa vie rangée. Construit en flash-backs successifs, le spectacle mêle réalisme et étrangeté. Dans cette forme théâtrale novatrice, inspirée du cinéma, les acteurs sont incroyables de vérité. es tableaux s’enchaînent si bien L que l’on a l’impression de s’immerger dans un paysage imprégné par l’épaisseur du temps. […] Cela tient au talent de Caroline Guiela Nguyen. Cela tient aussi au jeu remarquable des comédiens. Brigitte Salino, Le Monde
Grand succès public et critique lors de sa création en 2013, Elle brûle est le fruit d’un travail collectif dirigé par la talentueuse metteuse en scène Caroline Guiela Nguyen. Le spectacle s’est créé pendant les répétitions à partir du décor conçu par Alice Duchange, des improvisations des acteurs et des textes écrits au fur et à mesure par Mariette Navarro. L’objectif : raconter une histoire d’aujourd’hui, le destin d’une femme victime de sa propre vie, pour tenter de capter sur scène la vie telle qu’elle est. Pour cela, Caroline Guiela Nguyen et Mariette Navarro superposent des références aussi bien littéraires – comme Madame Bovary de Gustave Flaubert – que sociales avec notamment l’histoire vraie de Jean-Claude Romand, qui, après avoir vécu dans le mensonge, finit par tuer sa famille et se suicider. Construite comme un puzzle temporel et psychologique, la pièce nous tient en haleine par sa capacité à représenter des fragments de vie qu’elle mêle parfois au surnaturel. On suit ainsi la chute d’une héroïne en perdition, dont le destin tragique se noue sous nos yeux.
Textes Mariette Navarro Mise en scène Caroline Guiela Nguyen Écriture au plateau Les Hommes Approximatifs Collaboration artistique Claire Calvi Scénographie Alice Duchange Lumières Jérémie Papin Son Antoine Richard Vidéo Jérémie Scheidler Costumes Benjamin Moreau Stagiaire à la dramaturgie Manon Worms Avec la collaboration artistique de Julien Fišera à la dramaturgie et de Teddy Gauliat-Pitois au piano Avec Boutaïna El Fekkak, Margaux Fabre, Alexandre Michel, Ruth Nüesch, Jean-Claude Oudoul, Pierric Plathier
du mardi 18 au jeudi 20 novembreTarif B 15
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world jazz
Tigran
Le jazz n’est pas mort et il peut remercier l’Arménie, voire les parents du petit Tigran. Virtuose du piano et chanteur inspiré, ce globe-trotter curieux de tout a imposé très vite son phrasé et son rapport gourmand à la musique. Issu d’une génération qui n’a fait qu’une bouchée des frontières entre improvisation, pop music et cultures ancestrales, cet ovni imprévisible revient sur scène avec son projet le plus personnel à ce jour. Appelez-moi Tigran. Oui, Tigran tout court. D’abord, parce que, Hamasyan, on ne sait jamais comment le prononcer. Et puis, parce que je suis l’un des vôtres, la planète est mon terrain de jeu. Je suis né à Gyumri – sympa aussi à prononcer – en Arménie. Puis, j’ai vécu en Californie, à New York. Je passe beaucoup de temps dans votre beau pays, et j’ai déjà fait le tour du monde avec ma musique. Ma musique, justement, parlons-en. Du jazz, forcément. Du be-bop, j’en ai écouté et joué jour et nuit, ce qui m’a valu les compliments de Mister Herbie Hancock lui-même, lorsqu’il m’a remis le prix Thelonious Monk. Puis, bien sûr, Miles Davis, Keith Jarrett, John Coltrane… Mais vu que, sous la douche, c’est pas toujours très drôle de “choruser” sur des grilles en mineur, j’ai aussi chanté Led Zeppelin, Deep Purple ou les Beatles. Et puis, j’ai 26 ans, alors vous pensez bien, je passe du temps sur le net, et j’adore découvrir des bricoleurs électro obscurs que me conseillent mes potes à Erevan. Bref, tout ça pour vous dire que je viens d’enregistrer un album de compositions personnelles inspirées de la musique traditionnelle arménienne. Ça s’appelle Shadow Theater. Le théâtre d’ombres et les illusions qu’il véhicule font partie de l’histoire de mon pays. ne épopée intelligente et sensorielle à U l’échine rythmique affolante brisée de breaks, qui confirme ses talents de fin mélodiste. Dominique Queillé, Libération
Tigran Hamasyan piano, chant Areni Agbabian chant Charles Altura guitare Chris Tordini basse Arthur Hnatek batterie
le samedi 22 novembreTarif A
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THÉÂTRE
Joël Jouanneau - Cyril Teste - Collectif MxM
Tête haute Quand Joël Jouanneau, grand poète singulier, rencontre l’univers numérique du collectif MxM, les mots s’allient aux images pour élargir nos rêves, faire surgir d’autres mondes, délicats et sensibles. Dans Tête haute, une fillette traverse le monde aux lisières du virtuel pour affronter la vie comme autant d’expériences et pour aller à la rencontre de soi. Une traversée fascinante.
Joël Jouanneau et Cyril Teste ont mis en images et en mots, le monde de l’enfance avec poésie et délicatesse. C’est profond et plein de sensibilité. Un véritable conte initiatique pour petits et grands Céline Druart, La Voix du Nord
La princesse sans nom vit recluse au cœur de la forêt en compagnie de son vieux dictionnaire, Babel. Elle connaît tous les mots, mais en ignore le sens. Elle part alors à la découverte du vaste monde. Ainsi, elle traverse la forêt, rencontre un vieux roi sans mémoire, découvre une ville de chiffres, comprend le sens du mot “peur”, et sort de cette aventure “tête haute”. Cyril Teste, dont c’est le premier spectacle pour l’enfance, transpose sur scène le principe des livres pop up – pages en relief – pour mieux en délivrer les mots. Ainsi, ils virevoltent tels des papillons, forment des bouquets gourmands, s’entremêlent et s’entrechoquent. Le metteur en scène fait feu de tout bois : projections vidéo, ambiance numérique, théâtre d’ombres, cinéma d’animation, effets d’optique travaillés en direct… Brouillant les limites du réel et du virtuel, il sert au plus près l’onirisme de cette histoire et donne une profondeur magique à cette quête de soi.
À voir en famille à partir de 7 ans Texte Joël Jouanneau Mise en scène Cyril Teste Assisté de Émilie Mousset, Sandy Boizard Collaboration dramaturgique Phillippe Guyard Voix de Plume Mireille Mossé Scénographie MxM Lumières Julien Boizard Musique Nihil Bordures Vidéo Mehdi Toutain-Lopez, Patrick Laffont, Nicolas Dorémus Costumes Marion Montel, Lise Pereira Objets programmés Christian Laroche Construction Omar Khalfoun, Jean-Baptiste Mazaud Avec les comédiens Murielle Martinelli, Valentine Alaqui, Alexandra Castellon (en alternance), Gérald Weingand Avec le musicien Nihil Bordures ou Jérôme Castel (en alternance)
les mardi 25 et mercredi 26 novembreTarif E 17
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blues rock
Johnny Winter
Johnny Winter, icône absolue, est considéré comme l’un des plus grands guitaristes de blues vivants. Il est une source d’inspiration permanente pour des milliers de jeunes qui troquent leur épée en plastique contre une Gibson Explorer. Johnny Winter n’est pas de retour – pas plus que le rock’n’roll – il n’est jamais parti. Lorsque Johnny Winter monte sur scène à Woodstock en compagnie de son frère, le dimanche 17 août 1969 à minuit, il est loin de s’imaginer, comme les autres participants d’ailleurs, que son concert de soixante-cinq minutes s’apprête à entrer dans l’Histoire de la musique. Le garçon n’a, en revanche, pas l’ombre d’un doute sur ce qu’il a envie de jouer, jour et nuit. Son truc, c’est le blues, celui de B. B. King et Willie Dixon, Chicago style ! Cette musique, le divin blond à la tignasse de viking et au chapeau de tueur à gages va la transcender durant les quarante-cinq années qui suivront. Le blues de Monsieur Winter atteint un niveau d’incandescence qui ferait passer l’Etna pour un four à poterie, et les choix de vie du garçon ne sont probablement pas étrangers à cette tempête électrostatique. Sex, drugs and rock’n’roll, rien ne manque au compteur et même plus. Depuis son retour miraculeux, privilège réservé aux survivants, Johnny Winter donne des concerts magnifiques et intenses, hommages assumés aux génies du blues qui lui ont donné l’envie et la joie. Johnny est un mec bien.
À près de 70 ans, l’albinos texan, qui travailla naguère avec le grand Muddy Waters, demeure encore et toujours une référence en matière de blues-rock gras et hargneux. Frédéric Péguillan, Télérama
En partenariat avec l’Empreinte, Savigny-le-Temple Johnny Winter chant, guitare Paul Nelson guitare Scott Spray basse Tommy Curiale batterie
le jeudi 27 novembreTarif B
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ÉCOUTEZ, DÉBATTEZ, PARTICIPEZ Rencontre après spectacle Rising > mercredi 10 décembre Goûthéâtre Le Petit Chaperon rouge > mercredi 17 décembre
C’EST NOËL L’idée cadeau Pour Noël, partagez vos émotions de spectateur et offrez un abonnement ou des places de spectacles à vos proches. Renseignements auprès de l’équipe accueil.
décembre 19 brochure_SNS1415_160x210.indd 19
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théâtre
Amedeo Fago - Fabrizio Beggiato
Risotto Risotto porte bien son nom : le temps du spectacle est celui de la réalisation du fameux plat italien que les spectateurs dégustent une fois le mets préparé. Tout en cuisinant, deux italiens, amis depuis cinquante ans, discutent et déroulent, avec un humour teinté de nostalgie, l’histoire d’une société italienne qui nous semble infiniment proche. Un moment unique à ne pas manquer ! Amadeo Fago et Fabrizio Beggiato sont respectivement scénographe et professeur. Ils se sont rencontrés au collège à la fin des années 50 à Rome. Malgré des parcours de vie très différents, ils ne se sont jamais vraiment éloignés. Dans Risotto, ils retracent leurs années d’amitié. Nostalgiques des années 70, celles de leur fin d’adolescence, ils continuent à discuter tout en préparant ce risotto qui les réunit sur scène. Débats politiques et militants se mêlent aux conflits personnels et privés, petits événements du quotidien se confrontent aux grands moments de l’Histoire. Le souvenir nourrit ainsi une forme théâtrale simple et originale où voix enregistrées et gestes de cuisine quotidiens sont dissociés pour mieux faire entendre la mémoire et son inscription dans le présent. Ce procédé, Amedeo Fago le nomme, non sans une certaine ironie, “un acte de cuisineaction publique”. C’est avec avidité et gourmandise que les spectateurs suivent, non seulement l’évolution du plat qu’ils vont pouvoir déguster, mais aussi cet échange amical plein de vie.
Et cette histoire d’amitié et de bonne bouche, où flotte une odeur de bouillon qui mijote, empreinte également au répertoire baroque fellinien. Il ressort du tableau cette Italie que nous aimons, belle et excessive, et où le rire a parfois du mal à dissimuler des larmes. À déguster sans modération. Marie-Pierre Bologna, Le Parisien
Texte, dramaturgie, mise en scène Amedeo Fago Avec un essai sur l’art du risotto Fabrizio Beggiato Avec Amedeo Fago, Fabrizio Beggiato
du mardi 2 au samedi 6 décembreTarif C
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world jazz
Dhafer Youssef
Hymne à la joie. Lorsque Dhafer Youssef a déboulé au milieu de musiciens de jazz viennois qui ne demandaient que ça, c’est avec un sourire grand comme le strudel qu’il a posé ses cordes sur leurs accords. Il revient sur scène dans un format aussi sobre que valorisant pour son envie de partage. Il joue et chante, tout simplement et sourit toujours autant.
n mariage entre méditation soufie U et contemplation polaire, entre l’esprit du désert et celui des fjords. Francisco Cruz, Jazz news
Si Dhafer Youssef était né quelques dizaines d’années plus tôt, on peut parier une corne de gazelle qu’il aurait traîné ses guêtres et ses cordes aux côtés de Jimi Hendrix, Don Cherry ou Brian Jones. Issu d’une lignée de muezzins tunisiens, le petit Dhafer est repéré pour sa capacité à transcender l’appel à la prière à l’âge où d’autres s’acharnent à massacrer du Céline Dion. Mais le garçon n’aime pas qu’on lui choisisse sa route. Alors il va jouer du oud et chanter pour les mariages, puis partir à Vienne assouvir sa soif de rencontres. Une poignée d’albums incontournables aux côtés de Nguyên Lê, Markus Stockhausen, Paolo Fresu ou Tigran Hamasyan ont fait de Dhafer Youssef une tête d’affiche des festivals du monde entier. Son dernier album est construit comme un film apaisé, méditatif, laissant sa juste place au chant et au silence. Accompagné de trois musiciens au service de compositions propices à l’envol, Dhafer Youssef partage son goût des cimes et du ciel. Pour le plus grand bonheur des oiseaux que nous sommes.
En partenariat avec L’Espace Prévert, Savigny-le-Temple Dhafer Youssef oud, chant Kristjan Randalu piano Phil Donkin contrebasse Chander Sardjoe batterie
le vendredi 5 décembreTarif A 21
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théâtre - conférence
Frédéric Ferrer - Compagnie Vertical Détour
Les déterritorialisations du vecteur Cartographie 3 Pour ce second “curieuXSamedis” (voir p 09), Frédéric Ferrer nous entraîne vers des territoires insolites et scientifiques pour mieux comprendre l’influence de l’Homme sur son environnement. Ses constats sont réels, mais ses hypothèses frôlent souvent le délire. Son dernier spectacle-conférence sur le moustique-tigre porteur de la dengue et du chikungunya, retrace l’histoire de cet insecte qui aimait trop l’Humain. rogressivement et l’air de rien, au P fil d’hypothèses et de conclusions à repétition, l’objectivité scientifique dérape dans des suggestions fantaisistes. Là, c’est sûr, on pose notre stylo. Le rire fuse. Mélanie Alves de Sousa, Mouvement
Aedes Albopictus, alias moustique-tigre, est un infatigable bourlingueur qui n’a qu’un seul tort, propager deux virus à l’Homme : la dengue et le chikungunya. Malgré tous nos efforts, impossible de l’éradiquer. Le vicieux est partout et se déterritorialise tout le temps ! Comment résiste-t-il ? Pourquoi gagne-t-il du terrain ? L’auteur-géographe-acteur, Frédéric Ferrer, a mené l’enquête de l’Asie aux portes de la Méditerrannée et ses conclusions ne sont pas folichonnes. Albo le moustique devrait atteindre Paris dans les trois ans ! Délirant ? Pas si sûr. L’artiste s’entoure toujours de cautions scientifiques, ici celles des chercheurs de l’Institut de Recherche sur le Développement. Et puis, Frédéric Ferrer n’en est pas à son coup d’essai. Il est allé à la recherche des canards perdus, largués dans les icebergs par la NASA, a fouillé le Groënland et pris fermement position sur les Vikings et les satellites. Cette dernière épopée n’est qu’une preuve de plus que le rire est sans doute la meilleure manière d’affronter nos peurs contemporaines. Et c’est très contagieux !
Conception et interprétation Frédéric Ferrer Photographe autoroute, assistante effets visuels Claire Gras
le samedi 6 décembreTarif D
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danse
Aakash Odedra Company
Rising
Sidi Larbi Cherkaoui, Akram Khan, Russell Maliphant, Aakash Odedra Un homme, seul, invente sous nos yeux un nouveau langage. Mêlant, avec une virtuosité inouïe, le vocabulaire de la danse classique indienne et les audaces chorégraphiques de trois créateurs majeurs, Aakash Odedra repousse les frontières esthétiques du spectacle de danse. Sidi Larbi Cherkaoui, Akram Khan et Russell Maliphant ont choisi cet homme pour incarner leurs rêves. Il a choisi de bousculer les vôtres. Dans le nord de l’Inde, depuis plusieurs siècles, une danse appelée Kathak a pour qualité première de raconter. Elle est née de l’envie de transmettre la puissance et les enseignements des textes épiques ou sacrés aux illettrés. Alternant postures statuesques et accélérations vertigineuses, faisant passer les personnages de Tex Avery pour des fainéants, le Kathak est probablement, aux côtés du flamenco, la danse concentrant le plus de mouvements de mains et de pieds. Sidi Larbi Cherkaoui, Akram Khan et Russell Maliphant ont imaginé des pièces contemporaines pour un seul danseur à partir de ce vocabulaire qui n’a cessé de se transmettre, magnifiant sans retenue, les confusions et glissements troublants entre humains et animaux, esprits et mortels, hommes et femmes. Virtuose et habité, Aakash Odedra donne corps à cette série de télescopages créatifs, proposant au spectateur d’oublier ce qu’il pensait savoir de son histoire et de ses mythes. Bien plus qu’un spectacle, un miroir.
Cette soirée risque d’éblouir par son sens combiné de l’écriture, de la virtuosité et de l’émotion. […] Une traversée de styles pour composer le portrait en creux d’un artiste. Rosita Boisseau, Télérama
Nritta (Kathak) Chorégraphie et musique Aakash Odedra In the Shadow of Man Chorégraphie Akram Khan Lumières Michael Hulls Musique Jocelyn Pook CUT Chorégraphie Russell Maliphant Lumières Michael Hulls Musique Andy Cowton Constellation Chorégraphie Sidi Larbi Cherkaoui Lumières Willy Cessa Musique Olga Wojciechowska Avec le danseur Aakash Odedra
du mardi 9 au jeudi 11 décembreTarif B 23
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MUSIQUE CONTEMPORAINE
Ensemble Hope L’école buissonnière
Ce n’est pas tous les jours qu’une Scène nationale vous propose de faire l’école buissonnière, de surcroit à l’occasion d’une création musicale et visuelle exceptionnelle. L’ensemble Hope joue, à travers le monde, des pièces uniques, écrites pour structures sonores Baschet, voix de soprano et percussions. À Sénart, sera donné le dernier volet de la mise en musique des poèmes de Lyne Froissart. Au début des années 60, deux frères – ayant probablement fréquenté l’école buissonnière de la vie – s’amusent beaucoup. Leur marotte ? Relier leurs centres d’intérêt pour n’en faire qu’un, si possible révolutionnaire. Les frères s’appellent Baschet et ils ont étudié le son, la sculpture et la pédagogie. Ils mettent alors au point des structures et sculptures sonores, souvent à base de cristal et de métal, offrant depuis un demi-siècle d’innombrables horizons à la musique, à l’art plastique ou à la thérapie musicale. En composant et jouant des œuvres intégrant les instruments Baschet depuis plus de trente ans, l’ensemble Hope fait indéniablement partie de la descendance créative des deux drôles de frères. En commandant à des compositeurs d'aujourd'hui une série de pièces sur des poèmes évoquant la beauté de l’école buissonnière, ils propagent l’esprit ayant donné naissance à ces étranges monstres sonores.
ric Fischer Pièce pour deux cristals É Alain Voirpy L’école buissonnière Frédéric Bousquet L’école buissonnière Emmanuel Séjourné Promenade Bruno Giner Sternchenlied 1 & 2 Marc-Antoine Millon L’obsidienne & la terre Alain Labarsouque Le rituel de la ronce
Marc-Antoine Millon percussion, Frédéric Bousquet percussion, Maëlle Vivares soprano, Xavier Bluhm-Soubira percussion
le samedi 13 décembreTarif C
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théâtre
Joël Pommerat - Compagnie Louis Brouillard
Le Petit Chaperon rouge Le petit chaperon rouge de Joël Pommerat est une enfant d’aujourd’hui qui ose affronter ses peurs et sa solitude. Pour sa première incursion dans le monde de l’enfance, l’auteur-metteur en scène a voulu parler à sa propre fille et cisèle-là un joyau limpide, jouant mieux que jamais de l’ombre et de la lumière pour dire au-delà des mots, nos peurs existentielles. Un spectacle essentiel, virtuose et envoûtant. Joël Pommerat crée un climat de tension où chaque mot, chaque ombre projetée, chaque son, annonce l’imminence du drame. […] Un grand moment de théâtre qui réunit toutes les générations autour d’une même émotion : la peur. Figaroscope
Joël Pommerat est un orfèvre du plateau qui crée des images fortes avec peu. Avec des moyens très simples, comme ces rais de lumières projetés dans la pénombre représentant la forêt, le metteur en scène nous entraîne hors des sentiers battus pour nous raconter l’histoire et les liens existant entre trois générations de femmes de même chair : celle d’une fillette solitaire, celle d’une mère happée par le temps et celle d’une grand-mère isolée. Au centre, et comme un trait d’union, un loup…
Telle l’ombre qui, comme un double, permet de tromper la solitude mais qu’il faut affronter aussi, pour ne plus jamais avoir peur. Tout en subtilité, la mise en scène préfère suggérer sans jamais appuyer, ouvrant grand les interprétations. Il y a de la douceur, de la gravité, de l’humour aussi dans ce magnifique spectacle, devenu une vraie légende, pour les petits comme pour les grands.
À voir en famille à partir de 7 ans D’après le conte populaire - Une création théâtrale de Joël Pommerat Assisté à la mise en scène de Philippe Carbonneaux Scénographie, costumes Marguerite Bordat Scénographie, lumières Éric Soyer Suivi de la réalisation scénographique Thomas Ramon Aide à la documentation Evelyne Pommerat Son Grégoire Leymarie, François Leymarie Direction technique Emmanuel Abate Avec Ludovic Molière, Murielle Martinelli, Isabelle Rivoal
les mardi 16 et mercredi 17 décembreTarif E 25
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théâtre
Yan Duyvendak - Roger Bernat
Please, Continue (Hamlet) C’est à un vrai procès que nous invitent Yan Duyvendak et Roger Bernat. S’inspirant d’un fait divers et du meurtre de Polonius par Hamlet dans la pièce de William Shakespeare, ils transforment la scène en Cour de justice. De vrais magistrats et avocats instruisent ce procès dont les trois protagonistes sont joués par des acteurs. Cet étonnant dispositif nous place au cœur de la justice et de son fonctionnement. Les metteurs en scène peaufinent, à chaque représentation, ce doux dosage qui désoriente le spectateur, ballotté entre réalité et fiction, entre Shakespeare et meurtre sur fond de misère sociale. Luc Leroux, Le Monde
Please, Continue (Hamlet) confronte la petite histoire et la grande histoire, brouille les frontières entre fiction et réalité en mêlant acteurs et professionnels de la justice. C’est ainsi à une expérience singulière de spectateur que nous sommes conviés. Au début du spectacle, chacun d’entre nous se voit remettre un petit carnet afin de prendre des notes, car certains seront désignés comme jurés à la fin du procès et devront rendre leur verdict. Le public, devenu acteur, est amené à s’interroger non seulement sur ce qu’est la justice, sur ce qu’elle implique et ce qu’elle met en place, mais aussi sur ce qu’est le théâtre. Via un dispositif très contemporain qui joue avec la notion même de représentation, Yan Duyvendak et Roger Bernat renouent, en quelque sorte, avec l’une des caractéristiques originelles du théâtre, lieu privilégié de la réflexion politique et citoyenne dans la Grèce antique. Ce spectacle unique ne manquera pas, une fois terminé, d’alimenter les conversations, les débats et les interrogations !
Conception Yan Duyvendak, Roger Bernat Mise en espace en collaboration avec Sylvie Kleiber Avec Monica Budde, Hélène Hudovernik, Manuel Vallade et avec un Président, un avocat général, un avocat de la défense et un avocat pour la partie civile, un expert-psychiatre et un huissier audiencier, tous différents chaque soir
les mardi 16 et mercredi 17 décembreTarif B
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ÉCOUTEZ, DÉBATTEZ, PARTICIPEZ Goûthéâtre Hansel et Gretel > mercredi 7 janvier Dédicaces Quatuor Voce > vendredi 9 janvier Loïc Lantoine > samedi 24 janvier
JOUEZ, DANSEZ, PARTICIPEZ Stage danse Immersion dans la danse contemporaine à travers l'univers musical de Steve Reich par Sylvain Groud > samedi 17 et dimanche 18 janvier
Rencontres après spectacle Il n’est pas encore minuit… > mercredi 14 janvier questcequetudeviens ? > mercredi 21 janvier Tartuffe ou l’imposteur > mercredi 28 janvier
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ciné - théâtre
Compagnie La Cordonnerie
Hansel et Gretel La Cordonnerie nous propose un ciné-théâtre décalé avec un Hansel et Gretel à l’envers ! Ici ce sont les enfants qui envoient leurs parents mourir de faim au fin fond de la forêt. C’est une plongée au cœur d’un sujet sensible – parce que les enfants n’ignorent rien de la gravité du monde – mais traitée avec humour, suspens et happy end. Formidalement culotté ! Youpi La Cordonnerie ! Si vous ne connaissez pas encore la fabuleuse Cordonnerie, foncez tête baissée ! Leur inventivité, leur talent […], leur permettent de faire beaucoup avec peu. Maïa Bouteillet, Paris Mômes
Un petit village du nord, dans les années 70. Jacob vit dans une petite caravane avec ses parents, deux magiciens fantasques à la retraite et ex stars du petit écran. La crise sévit, Jacob est au chômage et ne joint plus les deux bouts. Acculé par la pauvreté, il est pressé par sa fiancée, l’horrible Barbara, d’abandonner ses parents… Et si se séparer permettait de mieux se retrouver ? En créant des allers-retours incessants entre la réalité de la crise et l’onirisme de la forêt, le théâtre de la Cordonnerie joue une mise
en abîme de la réalité renforcée par la présence des acteurs-bruiteurs qui sonorisent le film muet en direct. On sourit, on s’émerveille devant l’ingéniosité du dispositif qui mêle théâtre, musique et film, donnant un relief inattendu à ce grand classique de l’enfance. Avec leur manière élégante de jouer le comique sensible, les as du ciné-théâtre séduisent toujours. Ici, la magie qui tisse le lien familial fera son effet, dans tous les sens du terme…
À voir en famille à partir de 7 ans Film Scénario, adaptation Métilde Weyergans, Samuel Hercule Réalisation Samuel Hercule Direction artistique Métilde Weyergans Musique Timothée Jolly Décors Bérengère Naulot Assistée de Marguerite Rousseau Chef opérateur Catherine Pujol Costumes Rémy Le Dudal Avec Samuel Hercule, Métilde Weyergans, Michel Crémadès, Manuela Gourary, Timothée Jolly, Florie Perroud Spectacle Mise en scène Métilde Weyergans, Samuel Hercule Assistés de Pauline Hercule Lumières Johannes Charvolin et Sébastien Dumas Son Éric Rousson et Adrian Bourget Avec Samuel Hercule, Métilde Weyergans voix, bruitages Timothée Jolly piano Florie Perroud percussions
les mardi 6 et mercredi 7 janvierTarif E 29
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musique classique
Quatuor Voce et Guillaume Mathias Nommées “Rising stars” par l’European Chamber Hall Organisation, ces “étoiles montantes” illuminent les soirées des salles les plus prestigieuses, du Konzerthaus de Vienne à la Philarmonie de Berlin, et se sont très vite installées au firmament des quatuors français. Aux côtés de l’incandescent pianiste, Guillaume Mathias, il y aura de l’électricité dans l’air. Pas de mise en bouche ni de mignardises en guise de dessert au menu de ce concert ! Ces généreux musiciens nous ont mitonné un programme composé de trois chefs-d’œuvre absolus : commençons par le premier quatuor avec piano de Gabriel Fauré dont la puissance et la densité prouvent que raffinement ne rime pas avec mièvrerie chez le compositeur français. Si vous cherchez une musique édulcorée, au charme suranné, vous faites fausse route ! La tension ne se relâche évidemment pas lorsque les cordes seules nous offrent le quatrième quatuor de Beethoven, dernier et magistral hommage que le Maître de Bonn rend à Joseph Haydn avant de larguer les amarres et s’élancer, seul, en terre inconnue.
Gabriel Fauré Quatuor avec piano n°1 en ut mineur, op. 15 Ludwig van Beethoven Quatuor à cordes n°4 en ut mineur, op. 18 Robert Schumann Quintette pour piano en mi bémol majeur, op. 44
Enfin, pour terminer ce festin en apothéose, tous les musiciens se réunissent dans le quintette avec piano de Robert Schumann. Ses emportements débridés, sa fougue et sa tendresse toutes romantiques inspireront Johannes Brahms ou encore Antonín Dvorák. Le modèle restera cependant insurpassé. Une œuvre qui a le don de mettre le public en joie. Champagne !
En partenariat avec le Conservatoire Gabriel Fauré, Savigny-le-Temple Sarah Dayan violon Cécile Roubin violon Guillaume Becker alto Lydia Shelley violoncelle Guillaume Mathias piano
vendredi 9 janvierTarif B
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COnférence œnolo-ludique
Sébastien Barrier
Savoir enfin qui nous buvons In vino veritas… Ni conférence, ni dégustation, cet apéro-documenté sent le vécu. Voici l’histoire d’un arsouilleur de la glotte qui découvre un jour les bienfaits de l’ivresse 100% naturelle, entendez avec des vins sans additifs. L’hôte de ce troisième “curieuXSamedis” se nomme Tablantec, alias Sébastien Barrier, bonimenteur breton à la verve acérée et digressive, mais follement généreuse. Ici, vies et vins vous seront servis sur un plateau. n mots et images, Sébastien Barrier raconte E des histoires drôles et touchantes de femmes et d’hommes passionnés, dans le goût décalé de ce clown sans nez rouge. Ouest-France
Sébastien Barrier est un baroudeur des terroirs, parti écumer les exploitations viticoles. Il y a rencontré sept vigneron(ne)s de la Loire – parce que « nul n’est censé ignorer la Loire » ! – des militants qui ont tourné le dos à l’industrie viticole pour produire, dans les règles de l’art, un vin naturel. Sébastien Barrier s’est attaché à leur parcours et leur dédie sa nouvelle tchatche, y mêlant ses propres expériences d’ivresse désespérée, sans fard, mais follement drôles. Goûts, oxydation, arômes, couleurs, biodynamie, rien n’échappe au passionné devenu hérault du bon vin. Pour dresser le portrait des passeurs qui l’ont initié à leur savoir, il s’appuie sur les clichés de la photographe Yohanne Lamoulère. Et c’est accompagné de sa guitare qu’il égrène ce carnet de voyage riche de mots et d’images. Venez goûter ces crus, avec modération, et vous abreuver de ses mots à déguster, eux, sans modération. Yec’h mat !
Conception et interprétation Sébastien Barrier Regards Benoît Bonnemaison-Fitte-Bonnefrite, Catherine Blondeau, Laurent Petit Photographies Yohanne Lamoulère / Picturetank Typographie Benoît Bonnemaison-Fitte-Bonnefrite
samedi 10 janvierTarif D 31
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arts de la piste
Compagnie XY - Loïc Touzé
COProduction
Il n’est pas encore minuit… Ils étaient 17 pour le Grand C en 2011. Ils reviennent, cette fois-ci, à 22, la fougue collective plus que jamais chevillée à leurs portés acrobatiques. Leur credo : affirmer le collectif comme une résistance poétique à nos individualismes. Ensemble, ils osent la prouesse, testent leur confiance. Ils sont foules, masses, ilôts, une grande chaîne humaine qui ne cesse de se déconstruire pour mieux se reconstruire. Une vraie bouffée d’oxygène.
Des tours de force qui prennent toute leur ampleur en plein air. Double tour humaine, rempart à deux étages de garçons et de filles, quinte de totems à trois chacun : les acrobates sont de délicats félins qui font et défont, avec patience, leurs chimériques géométries. Emmanuelle Bouchez, Télérama
Les XY sont emblématiques des utopies collectives que le siècle naissant ne cesse de ressusciter : être ensemble, solidaires, soudés dans l’aventure artistique comme dans la vie, porter, être porté, se supporter… Depuis peu, nos acrobates ont agrandi le cercle pour de nouvelles envolées et pour défier, une nouvelle fois, l’apesanteur. La création se fait géométrie des corps, le groupe multiplie les figures comme autant de questionnements : être seul face au groupe, en être, ne plus en être, y exister, s’y dissoudre, tous interdépendants ou solidaires. Leur lien, le lindy hop, danse noire des années 20, laisse la part belle à l’improvisation et au swing. Bien sûr, ils gardent l’énergie de leur discipline, la virtuosité, la poésie et la rigueur de l’attention à l’autre. Ils défient plus que jamais la gravité d’un monde qui se perd et promettent une société fraternelle plus humaine.
Conception Compagnie XY Collaboration artistique Loïc Touzé Lumières Vincent Millet Costumes Nadia Léon Aide acrobatique Nordine Allal Avec Abdeliazide Senhadji, Airelle Caen, Alice Noël, Amaia Valle, Andres Somoza, Ann-Katrin Jornot, Antoine Thirion, Aurore Liotard, Charlie Vergnaud, Chloé Tribollet, David Badia, David Coll Povedano, Denis Dulon, Evertjan Mercier, Guillaume Sendron, Gwendal Beylier, Jérôme Hugo, Mohamed Bouseta, Romain Guimard, Thibaut Berthias, Thomas Samacoïts, Xavier Ortega-Lavabre, Zinzi Oegema
les mardi 13, mercredi 14, vendredi 16 et samedi 17 janvierTarif B
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Le cirque au risque du collectif XY, AOC, Petit Travers, Cheptel Aleikoum, Anomalie, les 7 doigts de la main, les Arts Sauts, les Désaccordés, Ivan Mosjoukine, la Meute, De la Bascule… La création des collectifs semble comme une seconde nature au cirque, affaire de valeurs partagées, de complicités artistiques et humaines. Beaucoup sont nés au CNAC – Centre national des arts du cirque – dans l’enthousiasme d’une “promo” qu’ils ont du mal à quitter. Le collectif se fait alors refuge contre les aléas d’une économie culturelle trop mercantile. D’autres y trouvent l’énergie d’une création véritablement partagée. Mais il y a surtout comme une évidente et nécessaire fraternité qui tient à la pratique : un artiste ne peut rien seul. Le mot collectif est un pléonasme au cirque, il en porte toute l’essence.
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danse
Aurélien Bory pour Stéphanie Fuster Compagnie 111
questcequetudeviens ? En mettant le corps et les mouvements de Stéphanie Fuster en espace, l’artiste et scénographe, Aurélien Bory, nous raconte son histoire. Celle d’une femme qui décide d’abandonner son quotidien pour se consacrer corps et âme à l’apprentissage de la danse flamenca. L’histoire d’un geste aussi beau que puissant. L’histoire d’une question aussi absurde que vertigineuse. Et vous, questcequevousdevenez ? hacune des créations de cet ingénieur pasC sionné de cirque et de danse est une véritable démonstration de poésie et d’intelligence. Ariane Bavelier, Le Figaro
Aurélien Bory rencontre Stéphanie Fuster il y a vingt ans. Peu après, elle abandonne ses habitudes et ses certitudes pour s’installer à Séville et apprendre. Apprendre les règles intimes et la raison d’être d’une danse, le flamenco. Geste futil, indispensable. Partie pour quelques mois, elle reste dix ans. Seule dans un petit studio austère, telle une boxeuse se préparant pour un combat sans adversaire, elle travaille, extirpe de son corps une gestuelle ancestrale, et se confronte quotidiennement à son reflet. Que devient-elle ? Une danseuse, une femme, une existence. À son retour en France, elle recroise la route d’Aurélien Bory. Touché par le chemin de cette femme qu’il n’a pas vue depuis plus de dix ans, il s’empare de son histoire et la place sur scène. S’attardant sur les obstacles inhérents à toute forme de geste, Aurélien Bory voit le flamenco comme une lutte bouleversante, n’hésitant pas à faire appel aux “soldats” du genre : José Sanchez à la guitare et Alberto Garcia au chant. Empêché par les murs de son studio, fragilisé par une flaque d’eau ou ralenti par une robe non ajustée, le corps, comme la cavalerie, finit toujours par retrouver son chemin. Celui d’une forme de grâce aussi indéfinissable que vitale.
Conception, scénographie et mise en scène Aurélien Bory Assisté à la mise en scène de Sylvie Marcucci Chorégraphie Stéphanie Fuster Musique José Sanchez Lumières Arno Veyrat Son Stéphane Ley Décors Pierre Dequivre, Arnaud Lucas Costumes Sylvie Marcucci Avec Stéphanie Fuster danse José Sanchez guitare Alberto Garcia chant
du mardi 20 au jeudi 22 janvierTarif B
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chanson
Loïc Lantoine
Retour d’un pote. Loïc Lantoine est, de l’avis général, le croqueur de mots le plus tranchant depuis belle lurette. Ses concerts font partie de ces moments de vie dont on aime se souvenir, sans bien savoir si ce sont les rires ou les larmes qui ont pris le dessus. Oui, bien sûr, Loïc Lantoine est indispensable. Mais c’est surtout un ami. Et il nous faudrait ses mots pour décrire notre joie de l’accueillir à nouveau. Lantoine est souvent brélien, cousin d’Allain Leprest ou de Tom Waits, à mi-chemin du lyrisme et du minéral, de l’emphase généreuse et de l’expression collée à l’os. […] C’est un peu plus près de la chanson que jadis, mais les splendeurs en sont beaucoup plus inattendues. Grand album. Bertrand Dicale, Causette
K.O. debout. Loïc Lantoine déboule en 2004, avec l’inconscience et la puissance de celui qui n’a pas le choix. Ses mots, il doit les coucher dans l’urgence d’un sanglot ou d’un cri. Mais pas question de les laisser somnoler. Alors, il prend son courage par le bas ventre, et monte sur le comptoir. Ses mots, il les dompte, il les mâche, il les souffle. Pendant longtemps, accompagné de la seule contrebasse de François Pierron, il arpente les bars, les clubs, les théâtres, là où il y a de la vie, et surtout ses amis, son gasoil à lui. Ses amis peuplent ses chansons et ses chansons lui présentent de nouveaux amis, et ainsi de suite. Dix ans que ça dure, et si le contexte change, Loïc Lantoine n’a toujours pas le choix. Le duo est devenu gang avec guitare, violon et batterie. L’amour se déclare sans chichis. Le père Lantoine se met même au chant. Mais si vous pensez sortir de l’un de ses concerts un peu moins bouleversé, le cœur un peu plus calme que la dernière fois, vous vous fourrez le coron dans l’œil. Loïc Lantoine ne monte pas sur le ring pour vous laisser en paix.
Loïc Lantoine chant François Pierron contrebasse Éric Philippon guitares Joe Doherty violon, clarinette, banjo, guitares Thomas Fiancette batterie
samedi 24 janvierTarif C 35
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théâtre
Molière - Benoît Lambert Théâtre Dijon Bourgogne, CDN
COProduction
Tartuffe ou l’imposteur Le metteur en scène Benoît Lambert revient à la Scène nationale avec son acteur fétiche, Emmanuel Vérité, que l’on a pu voir la saison dernière dans Tout Dostoïevski. Il s’attaque à l’un des plus grands textes du répertoire, Tartuffe de Molière. On peut être certain que cette version offrira une lecture haletante et actuelle d’une comédie aux accents politiques et sociaux d’une grande modernité. Dans Tartuffe, on voit un riche père de famille, Orgon, céder de façon tout à fait déraisonnable aux demandes de son nouvel ami Tartuffe, un homme religieux qui lui impose une nouvelle loi morale au détriment de ses proches et de leurs intérêts. Si Benoît Lambert ne renonce pas à voir dans cette pièce une charge contre le fanatisme et l’aveuglement qu’il crée, il n’entend cependant pas faire du personnage de Tartuffe un simple symbole de la malfaisance idéologique, un homme qu’il faudrait haïr dès le commencement. S’inspirant de ce qu’avait pu écrire Louis Jouvet à propos de la pièce de Molière, le metteur en scène voudrait plutôt faire de Tartuffe “un garçon charmant, inquiétant et très intelligent” et mettre en lumière la “folie” d’Orgon qui conduit les siens à leur perte. Et parce que la famille est au cœur de cette comédie, Benoît Lambert choisit de monter la pièce avec sa propre famille de comédiens et de comédiennes, une troupe capable de nous mettre en joie grâce à cette formidable machine comique.
Texte Molière Mise en scène Benoît Lambert Assisté de Raphaël Patout Scénographie, lumières Antoine Franchet Son Jean-Marc Bezou Costumes Violaine L. Chartier Avec Marc Berman, Stéphan Castang, Anne Cuisenier, Yoann Gasiorowski, Florent Gauthier, Étienne Grebot, Aurelie Reinhorn, Camille Roy, Martine Schambacher, Paul Schirck, Emmanuel Vérité
du mardi 27 au vendredi 30 janvierTarif B
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Benoît Lambert Né en 1971, Benoît Lambert crée le Théâtre de la Tentative en 1993 avec le comédien Emmanuel Vérité. Nommé en 2013 à la direction du Théâtre Dijon Bourgogne, Centre dramatique national, son objectif est de faire un théâtre vivant, exigeant et populaire, porté par des acteurs généreux et mû par une vision artistique très actuelle, soucieuse des résonances sociales et politiques des textes. Parler au public du monde dans lequel il vit, en analysant à la fois les turbulences de l’époque et les formes de notre vie en commun. Dans cette optique, la compagnie s’attache aussi bien à l’exploration des écritures contemporaines comme We are l’Europe de Jean-Charles Massera, qu’à la relecture des textes du répertoire comme Le Misanthrope de Molière, pièces présentées à la Scène nationale il y a quelques saisons.
« Il est certain en tout cas que l’affaire Tartuffe aura fortement contribué à forger la légende “républicaine” d’un Molière subversif, libre-penseur et anticlérical, et à faire de lui l’auteur indispensable du grand roman national. » Benoît Lambert
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musique celte
Brian McCombe Band
Le gratin des musiciens de folk-celte est au service de l’un de ses plus puissants vocalistes. Vivre un concert du Brian McCombe Band est une expérience comparable à sa première rafale de vent sur les remparts de Saint-Malo. On en sort fort décoiffé, le cœur à cent mille et accompagné d’une furieuse envie d’y retourner.
Les musiciens talentueux, ont conquis le public, et rendu hommage aux pays celtiques, dont les influences sont présentes dans leur musique puissante et intense. La Nouvelle République
Les lumières s’éteignent. Dès les premières notes du bouzouki irlandais et du violon fiddle, nous ne sommes plus à Sénart, Berlin ou New York. Nous sommes à Dublin, Glasgow ou Londres, dans une taverne où l’on chante la chope à la main, à l’unisson sous l’œil bienveillant d’un setter un peu émotif. Aujourd’hui, notre hôte se nomme Brian McCombe, et sa voix est l’une des plus puissantes apparues ces vingt dernières années dans la famille du folk celtique. C’est un peu comme si Bruce Springsteen avait croisé Alan Stivell à l’adolescence ou comme si Rod Stewart avait renoncé à porter des pantalons rouges trop serrés. Brian McCombe a réuni autour de lui une sorte de “Ocean’s eleven” du genre, un all star qui ne vous laisse aucun espoir de sortir indemne de son torrent de lyrisme et d’énergie. Et lorsque l’un de vos amis, un peu surpris, se demande pourquoi votre voiture résonne au son virevoltant d’une uilleann pipe, il suffira de lui montrer le titre du dernier album de Brian McCombe : Embrace the sky, my friend…
En partenariat avec l’Espace Prévert, Savigny-le-Temple - Dans le cadre du “Festival Celte” Brian McCombe chant, uilleann pipes Ciara Brennan violon David ’Hopi’ Hopkins percussions Chris Dawson bouzouki, flûtes, didjeridu, clavier Yvon Riou guitare acoustique Charles Lucas basse
le samedi 31 janvierTarif B
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ÇA SE PASSE AILLEURS ET C’EST BIEN AUSSI L’Espace Prévert présente The Moorings - Punk rock celtique dans le cadre du “Festival Celte” > jeudi 5 février
À NOTER Le cinéma continue à la Coupole et à la Rotonde. Retrouvez toute la programmation dans le Ciné-Sénart ou sur notre site Internet.
février 39 brochure_SNS1415_160x210.indd 39
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du 4 au 8 février la rotonde
- la coupole
après les précédentes éditions au carré sénart puis à Moissy-cramayel, c’est à la rotonde et à la coupole que nous installerons notre prochain campement. quelle plus belle manière de rendre hommage à ces deux lieux que d’organiser une grande fête en votre compagnie avant notre départ vers le théâtre de sénart. cette nouvelle édition “indoor-outdoor” sera l’occasion de découvrir autrement ces deux bâtiments, autour de spectacles, d’animations ou d’ateliers. au programme : dressage de puces, jonglerie lumineuse, jardinage acrobatique, théâtre miniature, manège bricolé… et, bien sûr, nous récidiverons avec nos improbables courses de bateaux pop pops ou encore nos incroyables courses d’escargots ou de lapins dont les enfants ne se lassent pas.
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arts De La PIste
Atelier Lefeuvre & André
Le jardinLa serre dans ces deux spectacles, didier andré et jean-pierre lefeuvre cultivent l’humour et font fleurir les petits riens de l’existence et les gros tracas des relations entre les êtres. Deux jardiniers-clowns. Le premier est quelque peu naïf, plein de bonne volonté, presque servile, le second traîne son indolence et son farniente pour mieux profiter de son acolyte et l’assujettir. Ensemble, ils caricaturent le fonctionnement de notre société. Avec quelques accessoires, un magnétophone, une brouette, quelques cagettes ou tuyaux d’arrosage, nos deux compères enchaînent les gags et les performances physiques. Toute l’âme du cirque est là ! Conception, interprétation Didier André, Jean-Paul Lefeuvre Lumières, son Philippe Bouvet
Le jardin La serre
On a rarement vu pareille maîtrise d’un tempo aussi délicat et périlleux. Didier André et Jean-Paul Lefeuvre savent donc garder le rythme au ralenti, comme un volcan en veilleuse, crachant ses artifices de temps à autre, par surprise. Michel Caspary, 24 Heures (Suisse)
le mercredi 4 févrierÀ partir de 7 ans - 1h30tarif caMp2 les vendredi 6 et samedi 7 févrierÀ partir de 7 ans - 30 mintarif caMp3
Gandini Juggling
Director’s Cut découverts il y a deux ans avec le spectacle Smashed, dans lequel ils jonglaient avec des pommes, les artistes virtuoses de la compagnie Gandini juggling sont de retour avec des séquences de jonglerie de haut vol. Dans ce spectacle, composé des plus beaux extraits du vaste répertoire de la compagnie, vous assistez à un véritable ballet de massues, de balles ou d’anneaux, sur une musique allant du classique à l’électro. La prouesse technique associée à des effets High-tech nous garantit un spectacle “son et lumières” époustouflant. Conception Gandini Juggling
du jeudi 5 au samedi 7 févrierÀ partir de 6 ans - 1h
tarif caMp1
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interludes forains
Compagnie des petits miracles
Les puces savantes
Sous le plus grand des petits chapiteaux du monde, Alfredo Panzani, ancien dompteur de fauves, a troqué ses lions et ses éléphants contre une ménagerie de puces savantes avec laquelle il parcourt le monde. Tour à tour jongleuses, acrobates, cracheuses de feu, équilibristes, les puces dressées du Grand Panzani vous entraînent dans une frénésie de tours de force et d’élégance. Ne ratez pas l’incroyable numéro de Zaza, la puce volante qui, au péril de sa vie, est propulsée dans les airs grâce à un canon miniature ! Un spectacle plein de surprises mêlant humour et poésie. Ici le mensonge est délicieux. Avec un pied dans la traditionnelle menterie et un autre dans la fête foraine, Do Kerignard mène son public… Chaque mensonge est gros comme une baraque, et le spectateur s’y engouffre avec jubilation. Theatreenfant.com Conception, interprétation Dominique Kerignard
le mercredi 4 février du vendredi 6 au dimanche 8 févrierÀ partir de 5 ans - 20 minTarif CAMP3
Compagnie de l’échelle - Les ateliers Denino
Le grand théâtre mécanique
C’est en 1900 que naissait Le grand théâtre mécanique, un authentique théâtre miniature à l’Italienne de 710 places, avec ses loges, ses baignoires, sa coupole, son paradis et son lustre tout en cristal… Durant quatre générations, il enchanta aussi bien les plus grands souverains d’Europe que la plus petite des fêtes populaires, puis un jour il sombra dans l’oubli. Et bien, le dernier des héritiers de cette attraction a l’immense plaisir de vous faire savoir que Le grand théâtre mécanique reprend la route. Alors, venez le découvrir et trempez vos yeux dans la magie d’un monde miniature et merveilleux. Conception Cie de l’échelle Construction Les ateliers Denino
du vendredi 6 au dimanche 8 févrierÀ partir de 5 ans - 25 minEntrée libre
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RENDEZ-VOUS participatifs
Compagnie Volubilis
Le P.A.R.D.I.
Le P.A.R.D.I. est une vraie-fausse conférence pour danseurs en reconversion. Un spectacle gesticulé, joyeux et qui pose un regard amusé sur la danse et ceux qui l’interprètent. Monsieur Garnier et Bénédicte Pilchard, conférenciers du Plan d’Accompagnement à la Reconversion des Danseurs et Interprètes, pastichent les travers d’organismes de formation. À travers des situations cocasses, ils guident le spectateur, transformé en danseur sur le déclin, vers la pratique de l’espéranto gestuel, sorte de langage du corps universel. Conception et interprétation Agnès Pelletier, Pascal Rome
On se prête au jeu de cette joyeuse mascarade, sans craindre le ridicule ; avec entrain même. Un spectacle original et plein d’esprit, d’une ironie salutaire. Thierry Voisin, Télérama
le dimanche 8 févrierÀ partir de 8 ans - 1h10Tarif CAMP2
Le manège Titanos Agitation foraine coproduction
Loin du manège traditionnel avec ses chevaux vernis ou de l’attraction foraine hurlant de la “dance”, place à la poésie à bord de cet improbable caroussel, mécanique et organique. Les enfants pourront, entre autres, manipuler une girafe composée de bouts de bidons d’huile ou monter dans une montgolfière dont la toile est un assemblage de lingeries et de dentelles. Et ils ne couperont pas au rituel du pompon ! Conception, construction Valentin Malartre, Pierre Galotte, Richard Rewers, Gaël Richard
le mercredi 4 février du vendredi 6 au dimanche 8 févrierÀ partir de 5 ans
Le vide-grenier Déménagement oblige vers le Théâtre de Sénart, la Scène nationale fait du rangement. Au fond de ses placards se sont accumulés quelques trésors, témoins de 28 années d’aventures spectaculaires : affiches, costumes, accessoires et autres éléments de décors… Venez chiner et emportez avec vous un petit bout d’histoire de la Scène nationale. Et puis, si vous souhaitez participer à ce vide-grenier avec des objets en lien avec le spectacle, le cinéma, la littérature, dites-le nous : nous pourrions bien vous laisser une petite place ! le dimanche 8 février
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chanson
Renan Luce
Renan Luce est un artisan. À la manière d’un compagnon du tour de France, il sait mieux que quiconque qu’une mélodie se travaille comme le bois et qu’une rime a besoin d’air pour patiner. Dans son studio dissimulé dans un recoin de Bretagne, le guitariste et chanteur a pris le temps de redécouvrir pourquoi il avait tant aimé monter sur scène ces dix dernières années. La poésie est faite pour être partagée et certains sont faits pour la chanter. ous sa plume, “funambule” fait ainsi écho S à “tintinnabule”, “baldaquine” à “taquine”. Le ton est souvent facétieux, rarement sombre, ce qui est la moindre des élégances quand on porte un nom qui signifie “lumière”… Sylvie Kerviel, Le Monde
Quatre années séparent le nouvel album de Renan Luce de son enregistrement précédent. Une éternité selon les critères d’une industrie musicale qui l’avait adopté avec une rare célérité : plus d’un million d’albums vendus, deux Victoires de la musique. Une simple respiration pour ce jeune homme breton qui a besoin de savoir pourquoi on fait les choses. Après de nombreux projets collectifs comme Le soldat rose 2 ou l’Hommage à Brassens, il s’est construit un studio près de Morlaix, à quelques kilomètres de sa première galette.
Là-bas, il a fait ce qu’il sait faire : bricoler une petite mélodie sur sa guitare folk, griffonner quelques mots qui ont l’air de s’entendre, ne pas repousser cette mélancolie qu’on nomme saudade au Brésil… Et puis, devenir un père, un vrai, pas celui d’une chanson. Il a enfin suffit d’un voyage sur les bords du Mississippi pour lui rappeler que la musique peut être aussi simple qu’un riff de blues. Renan Luce a enregistré de nouveaux morceaux, les a publiés et vient nous les jouer. Simple comme le bonheur. Simple comme une chanson.
En partenariat avec l’Empreinte, Savigny-le-Temple Renan Luce guitare, chant Martin Gamet basse Éric Starczan guitare Nicolas Mathuriau ou Cyril Hordé claviers Ludwig Dahlberg batterie
jeudi 12 févrierTarif A
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Actions culturelles Tout public
Avec les étudiants
Le Cercle des lecteurs
DUT Carrières sociales option animation sociale et socio-culturelle, IUT de Sénart
Vous aimez feuilleter, bouquiner, lire… Vous avez une passion pour toutes sortes de livres. Vous rêvez de rencontrer des professionnels du livre. Vous vous régalez à conseiller, à donner goût, à écouter… Le Cercle des lecteurs est tout indiqué pour vous ! Avec la librairie, Au Pain de quatre livres, ce groupe échange sur ses lectures et les fait partager ensuite au public, les soirs de spectacle.
Encadrés par des artistes, nous proposons à ces étudiants des rencontres ainsi que des stages de pratiques artistiques. Metteurs en scène, comédiens, circassiens, danseurs et professionnels de la culture, interviennent régulièrement tout au long de la saison. Intervenants : Anne Joubinaux, Sophie Jude, Josep Maria Aragay, Christina Towle, Hélène Risterucci
Le Bacchus Sénart Club Nouveau
ICAM site de Paris Sénart Nouveau
En partenariat avec Les caves de la Côte d’or à Melun, nous vous convions à plusieurs rendez-vous chaleureux et participatifs autour d’une dégustation de vins en toute modération. À cette occasion, vous aurez le privilège de sélectionner la carte des vins proposée, chaque soir, à la cafétéria de la Scène nationale.
Des ateliers de pratique théâtrale et des sorties aux spectacles seront proposés aux étudiants en formation Ingénieur Icam. Intervenants : en cours
Café-rencontre entre spectateurs Nouveau Inititées par les étudiants de Carrières sociales (cf. DUT ci-contre) et organisées à l’issue de certaines représentations, ces rencontres permettent de débattre tous ensemble autour de certains spectacles, d’exprimer interrogations, coups de cœur, coups de gueule… Goûthéâtre Pour prolonger le plaisir de la représentation en présence des artistes, les enfants sont invités à un goûter à l’issue des trois spectacles jeune public de la saison, organisé le mercredi après-midi. Stage danse Le chorégraphe, Sylvain Groud, que nous avions accueilli la saison dernière avec les spectacles Ma leçon de hip hopElles, revient pour vous proposer une immersion dans la danse contemporaine à travers l’univers musical de Steve Reich. Ce module vous permet de découvrir des pistes de travail d’improvisation du danseur. > samedi 17 et dimanche 18 janvier
Avec les lycéens, les collégiens et les écoliers Accompagnement dans le cadre des projets culturels Présentation de la saison auprès de l’équipe pédagogique, préparation des élèves, documentations sur les spectacles ou les films, rencontres avec les artistes ou avec l’équipe de la Scène nationale… Options théâtre, au lycée Les objectifs des options théâtre sont d’initier les élèves au répertoire classique et contemporain, par une pratique théâtrale hebdomadaire, mais aussi par la venue régulière des élèves aux spectacles afin de cultiver leur regard critique. > Avec deux lycées partenaires : Galilée, Combs-la-Ville, option obligatoire George Sand, Le Mée-sur-Seine, option facultative. Intervenants : Marion Suzanne, Cécile Gérard, Sébastien Nivault, Konan Kouassi.
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Les ogrelets, projet inter-établissements, au lycée
Écriture narrative et musicale, résidence d’artistes, au collège et à l’école Nouveau
L’objectif est de faire plancher six groupes de lycéens autour des problématiques théâtrales en alliant des ateliers participatifs et réflexifs. À l’issue de deux jours de pratique à la mise en scène, les élèves réalisent documentaires, expositions et journaux. > Avec six lycées partenaires : Pierre Mendès France, Savigny-le-Temple Sonia Delaunay, Vert-Saint-Denis Jacques Amyot, Melun Simone Signoret, Vaux-le-Pénil Talma, Brunoy Saint-Pierre, Brunoy Intervenants : comédiens et techniciens en lien avec deux spectacles de la saison Elle Brûle et Please, Continue (Hamlet)
À travers leurs regards sur des spectacles et courtsmétrages de la programmation jeune public, et par le biais d’ateliers d’écriture, de pratique théâtrale et de synchronisation musicale, les élèves analysent la réécriture et la réinterprétation des contes par des auteurs et metteurs en scène d’aujourd’hui. > Avec deux collèges et deux écoles partenaires : Collège Les Cités Unies, Combs-la-Ville Collège Arthur Chaussy, Brie-Comte-Robert Élémentaire Paloisel, Combs-la-Ville Élémentaire La Fosse Cornue, Moissy-Cramayel Intervenants : les artistes de la compagnie La Cordonnerie.
Cinéma, au lycée, au collège et à l’école Adapté selon les tranches d’âge, ce dispositif permet aux élèves de s’initier à la lecture de l’image. Présentation avant la séance, discussion approfondie après la projection, visite en cabine, interventions régulières en classe, c’est un véritable parcours initiatique au cœur du cinéma. > Avec dix collèges et lycées partenaires > Avec quatre écoles partenaires Ateliers artistiques, au collège Les collégiens volontaires travaillent avec un artiste pour une sensibilisation au théâtre et à la danse. Ils viennent également régulièrement à la Scène nationale afin de développer leur esprit critique. > Avec trois collèges partenaires : Les Aulnes, Combs-la-Ville Le Grand Parc, Cesson Honoré de Balzac, Nemours Intervenants : Sébastien Nivault, Konan Kouassi, Sandrine Bursztynowicz, Aurore Déon.
Cirque à l’école Nous accompagnons les élèves dans la découverte et la pratique des arts de la piste. Cette initiation se complète par la venue des élèves aux spectacles dans le cadre scolaire ou en soirée avec leur famille, par un atelier parent-enfant, un atelier sur scène et une restitution en fin de saison. > Avec quatre écoles partenaires Intervenants : Anne Joubinaux, Grégory Kjartansson. Spectateur-réalisateur En parallèle de la venue des élèves à la projection d’un ou plusieurs films pendant l’année, cet atelier de pratique initie les élèves à l’écriture de scénario, au montage, en passant par la réalisation. > Avec quatre écoles de Sénart et des environs. Restitutions plateau et vidéo La Scène nationale propose au public d’assister aux restitutions de l’ensemble des ateliers mis en place cette saison. Pour les restitutions plateau, les participants présentent une restitution théâtrale, chorégraphique ou circassienne, aboutissement du travail mené tout au long de la saison. Quant aux restitutions vidéo, elles permettent de découvrir les productions audiovisuelles réalisées tout au long de la saison par les élèves des différents établissements scolaires.
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Actions culturelles
La belle saison
Les intervenants
Avec l’enfance et la jeunesse
Nous rappelons que ces projets, mis en place pour accompagner les élèves vers “l’art d’être spectateur” ne pourraient se faire sans l’aide des nombreux artistes et professionnels de la culture qui nous suivent tout au long de la saison. Nous les remercions, ici, chaleureusement. Pour toute question concernant les actions culturelles, les accompagnements, les inscriptions… contactez le service des relations publiques. Retrouvez le calendrier des rendez-vous et des stages sur notre site Internet.
Comment l’art vient-il aux enfants et en quoi les aide-t-il à mieux grandir ? Chaque jour, des milliers d’artistes, professionnels, médiateurs et éducateurs se mobilisent pour proposer aux enfants et aux adolescents l’émotion et l’intelligence de la rencontre avec les œuvres de l’art vivant. C’est pour mettre en lumière cette vitalité et cet engagement, la force et la qualité de cette création artistique, c’est aussi pour agir sur l’avenir que le ministère de la Culture et de la Communication, avec les artistes et les professionnels les plus investis et volontaires, ont décidé de placer 2014 et 2015 sous le signe d’une Belle saison avec l’enfance et la jeunesse. www.bellesaison.fr
Service des relations publiques Alexandra Boëgler Pauline Berenguer Estelle Erisay Aliénor François (CDD)
> 01 60 34 53 76 > 01 60 34 53 80 > 01 60 34 53 81 > 01 60 34 53 72
La programmation jeune public Retrouvez toute la programmation jeune public spectacles et cinéma dans le dépliant jeune public, disponible auprès du service accueil ou téléchargeable sur notre site Internet.
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Le cinéma Certes, la programmation des spectacles s’arrêtera en février 2015, mais l’activité cinéma continue ! Et toujours, dans vos salles de proximité de la Coupole et de la Rotonde, une programmation mêlant films d’auteurs et films grand public, des séances et événements spéciaux, des activités dédiées aux enfants. Programme Se référer au CinéSénart à disposition à l’accueil ou sur notre site Internet. Horaires des séances cinéma > les lundis, mardis et vendredis à 20h30 > les mercredis et samedis à 14h et 20h30 > les jeudis à 19h30 > les dimanches à 15h, 17h et 19h30
Temps forts
Rendez-vous jeune public
Mois du documentaire
Ciné-goûter À l’issue de la projection, nous proposons aux enfants de discuter du film autour d’un goûter. > un mercredi par mois à 14h
Cette manifestation nationale met en valeur ce genre cinématographique générant le dialogue entre auteurs et spectateurs. Cette année, autour de la thématique de la femme avec la projection du film Women are heroes en présence du producteur du film. > en novembre Soirée du court-métrage En partenariat avec l’Agence du court-métrage. Nous proposons un programme de films courts primés dans les plus grands festivals. L’occasion de rencontrer d’autres passionnés de 7e art, dans un cadre convivial. > en mars
Ateliers vidéo Réalisation d’un petit film d’animation ou de fiction : écriture du scénario, réalisation, montage. Un DVD est remis aux enfants à la fin de l’atelier. > un mercredi par mois à 14h Ateliers parents-enfants L’occasion de prolonger en famille l’univers du film projeté autour d’un atelier dessin, découpage, coloriage, fabrication d’affiches de films. > une fois par trimestre à 14h
Soirées thématiques Séances supplémentaires pendant les vacances scolaires > les lundis, mardis et vendredis à 14h À savoir Projection d’un courtmétrage en avant programme d’un long-métrage en partenariat avec l’Agence du court-métrage Retrouvez toute l’actualité cinématographique sur notre site Internet. Et pour rester informé, abonnez-vous à la Cinénews. Pour plus d’infos, contactez le secteur cinéma : cinema@scenenationale-senart. com
Pour découvrir ou revoir des chefs-d’œuvre du cinéma autour d’une thématique. Le programme de ces soirées vous sera dévoilé en cours de saison. > tout au long de la saison Rendez-vous tout public Ciné-club Projection d’un film du répertoire programmé par un comité de pilotage, suivie d’une discussion et d’un éclairage cinématographique. > une fois par trimestre Séances de rattrapage L’occasion de (re)découvrir les films qui ont marqué l’actualité cinématographique du trimestre. > tout au long de la saison
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Les productions en tournée Le conte d’hiver
Histoire d’une vie
> du samedi 1er au mercredi 5 novembre 2014 Le Grand T, Théâtre de Loire-Atlantique
> du mardi 4 au jeudi 6 novembre 2014 Scène nationale de Sénart
> du mercredi 12 au vendredi 14 novembre 2014 Maison de la Culture de Bourges, Scène nationale
> du jeudi 13 au samedi 15 novembre 2014 Théâtre de l’Ouest Parisien, Boulogne-Billancourt
> les jeudi 20 et vendredi 21 novembre 2014 Théâtre de Sète, Scène nationale de Sète et du bassin de Thau
> les mardi 18 et mercredi 19 novembre 2014 La Passerelle, Scène nationale de Saint-Brieuc
William Shakespeare - Patrick Pineau
> le samedi 29 novembre 2014 Le Carré Ste-Maxime > le mardi 2 décembre 2014 Théâtre de l’Olivier, Scènes et Cinés Ouest Provence > les jeudi 11 et vendredi 12 décembre 2014 Gallia Théâtre, Saintes > les mardi 16 et mercredi 17 décembre 2014 Le Théâtre, Scène nationale de Saint-Nazaire > le samedi 10 janvier 2015 Espace Marcel Carné, Saint-Michel-sur-Orge > les mardi 13 et mercredi 14 janvier 2015 La Comète, Scène nationale de Châlons-enChampagne
Aharon Appelfeld - Bernard Levy
> du mercredi 26 au samedi 29 novembre 2014 Théâtre Garonne, Toulouse > les jeudi 4 et vendredi 5 décembre 2014 Le Granit, Scène nationale de Belfort > les mardi 9 et mercredi 10 décembre 2014 Scène nationale d’Albi > les jeudi 15 et vendredi 16 janvier 2015 L’espace des Arts, Scène nationale de Chalon-sur-Saône > du mardi 27 au samedi 31 janvier 2015 MC2 : Grenoble, Scène nationale > les mardi 3 et mercredi 4 février 2015 Théâtre de l’Archipel, Scène nationale de Montpellier > du mardi 10 au jeudi 19 mars 2015 Théâtre 71, Scène nationale Malakoff
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Les coproducteurs des spectacles Excursion chez les gens Coproduction Les 3T, Théâtres de Châtellerault ; Le Théâtre, Scène nationale d’Angoulême ; La Maison des Arts de Brioux-sur-Boutonne ; Les Usines Boinot, CNAR de Niort ; Le Carré-Les Colonnes, Scène Conventionnée de Saint-Médard-en-Jalles ; La Ville de Tremblay en France ; La Ville de Champigny-sur-Marne Savoir vivre Production Théâtre de la Manufacture, Centre Dramatique National Nancy-Lorraine ; Théâtre d’été en Lorraine Histoire d’une vie Production déléguée Scène nationale de SénartCoproduction Compagnie Lire aux éclats ; MC2 : Grenoble ; L’Espace des arts, Scène nationale de Chalon-surSaône ; Scène nationale d’Albi ; La Passerelle Scène nationale, Saint-Brieuc ; Scène nationale de Sénart 0, 1, 2 (zéro, Inde) Coproduction Agence Tartar(e) ; Pronomade(s) en Haute-Garonne, Centre national des arts de la rue Âme américaine Coproduction Agence Tartar(e) ; Villeurbanne Spectacles Vivants ; Les Ateliers Frappaz Adieu Production Agence Tartar(e) Conakry et chuchotements Production Agence Tartar(e) ; Tuchen Elle brûle Production déléguée La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-ArdècheCoproduction Compagnie Les Hommes Approximatifs ; La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche ; La Comédie de SaintÉtienne, Centre dramatique national ; La Colline, Théâtre National ; Comédie de Caen, Centre dramatique national de Normandie ; Centre dramatique national des Alpes, Grenoble Tête haute Production Collectif MxMCoproduction TGP - CDN de Saint-Denis ; Scène nationale de Cavaillon ; La Filature, Scène nationale de Mulhouse ; Nouveau Théâtre de Montreuil, Centre dramatique national ; Le Canal,Théâtre Intercommunal du Pays de Redon Risotto Production Associazione Cubatea Rome représenté par Famosa s.a.s. Les déterritorialisations du vecteur Production Vertical Détour Coproduction Domaine d’O, domaine départemental d’arts et de culture, Montpellier Rising Production Aakash Odedra Company ; AKCT ; Eastman ; la Russell Maliphant CompanyCoproduction DanceXchange (Birmingham, UK), Sampad (Birmingham, UK), The Hat Factory (Luton, UK), Leicester, Leicestershire, Rutland Dance (Rutland, UK), South East Dance (Brighton, UK), New Art Exchange (Nottingham, UK), The Place (Londres, UK) et Curve (Leicester, UK). Soutien Arts Council England et Akademi. Distribution Quaternaire/Sarah Ford Le Petit Chaperon rouge Production Compagnie Louis BrouillardCoproduction Centre Dramatique Régional de Tours ; Théâtre Brétigny, Scène conventionnée du Val d’Orge Please, Continue (Hamlet) Production Dreams Come True, GenèveCoproduction Le Phénix, Scène nationale Valenciennes ; Huis a/d Werf, Utrecht ; Théâtre du GRÜ, Genève
Hansel et Gretel Production déléguée Nouveau théâtre de Montreuil, Centre dramatique nationalProduction La CordonnerieCoproduction Le Granit, Scène nationale de Belfort ; Opéra Théâtre de St Étienne Savoir enfin qui nous buvons Coproduction L’usine (Tournefeuille/ Toulouse Métropole) ; Le Channel, Scène nationale de Calais ; Le Grand T, théâtre de Loire-Atlantique ; Le Carré / Les Colonnes, scène conventionnée, Saint Médard en Jalles / Blanquefort ; Les Pronomades en Haute Garonne, Centre national des arts de la rue, Encausse les Thermes ; Culture O centre, ateliers de développement culturel en Région Centre ; La Paperie, centre national des arts de la rue, Saint Barthélémy d’Anjou Il n’est pas encore minuit Coproduction Biennale de la Danse, Lyon ; Cirque Théâtre d’Elbeuf, Pôle national des arts du cirque Haute Normandie ; Scène nationale de Sénart ; CIRCa, Pôle national des arts du cirque Midi-Pyrénées ; EPPGHV-Parc de Le Villette ; L’Equinoxe, Scène nationale de Châteauroux ; L’hippodrome, Scène nationale de Douai ; Tandem DouaiArras ; La Verrerie d’Alès, pôle national cirque LanguedocRoussillon ; L’Onde, Théâtre de Vélizy-Villacoublay ; Le Phénix, Scène nationale de Valenciennes ; MC2 : Grenoble ; Pôle Cirque Méditerranée (CREAC Marseille, Théâtre Europe La Seyne) ; Scène nationale d’Orléans ; Théâtre Brétigny, Scène conventionnée du Val d’Orge questcequetudeviens ? Production compagnie 111 – Aurélien BoryCoproduction et résidences Festival ¡Mira! ; TnBA Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine ; Théâtre Vidy-Lausanne Tartuffe ou l’imposteur Production déléguée Théâtre Dijon Bourgogne, CDNCoproduction Scène nationale de Sénart ; La Filature, Scène nationale de Mulhouse Le jardin Production Atelier Lefeuvre & André ; Par les Chemins Productions La serre Production Atelier Lefeuvre & André ; Par les Chemins Productions Director’s Cut Production Gandini Juggling Le P.A.R.D.I. Coproduction Le Fourneau de Brest, Centre national des arts de la Rue ; le Festival des Éclats Chorégraphiques à La Rochelle Le Manège Titanos Coproduction Association Terminé-bonsoir ; Scène nationale de Sénart
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Nos partenaires financiers
Le Club des partenaires
La Scène nationale de Sénart est subventionnée par
Rejoignez le Club des partenaires
la Direction régionale des affaires culturelles d’Île-de-France – ministère de la Culture et de la Communication, le Conseil général de Seine-et-Marne, le San de Sénart et les municipalités de Combs-la-Ville et de Moissy-Cramayel.
Le Club des partenaires réunit des acteurs économiques, passionnés d’arts et de culture et porteurs de valeurs de créativité, de convivialité et de partage. Leur soutien à la Scène nationale de Sénart démontre leur attachement au développement culturel du territoire. Leur intervention est fondée sur l’idée simple que le dynamisme, l’attractivité et le rayonnement d’un territoire comme Sénart, ne peut se faire sans le développement des arts et de la culture. La Scène nationale de Sénart est éligible au dispositif fiscal selon les principes de la loi du 1er août 2003 sur le mécénat d’entreprises. Soyez partenaires et associez votre image à un équipement culturel majeur du territoire, en contactant : Alexandra Boëgler Tél. 01 60 34 53 76 aboegler@scenenationale-senart.com
Elle est aussi subventionnée par le Conseil régional d’Île-de-France, le Centre national du cinéma et de l’image animée, le Rectorat de Créteil, l’lnspection académique de Seine-et-Marne.
La Scène nationale de Sénart est soutenue au titre du mécénat par Maîtres Anne Laroche, Éric Truffet, Ludovic Duret, Magali Dupray, Virginie Le Gallo - Office notarial à Melun
La Scène nationale de Sénart remercie également Le Novotel, Carré Sénart, Peugeot Métin, CCI de Seine-et-Marne
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Nos partenaires artistiques Si vous êtes abonné à la Scène nationale, vous bénéficiez d’un tarif préférentiel sur présentation de votre carte chez nos partenaires artistiques : L’Espace Prévert, Scène du Monde Salle de spectacles entièrement dédiée aux musiques et cultures du monde avec des artistes de référence, découvertes… Tél. 01 64 10 55 10 I www.scenedumonde.fr L’Empreinte Salle de musiques actuelles proposant une programmation éclectique : pop, funk, rock, métal, reggae, dub, rap, world music… Tél. 01 64 41 70 25 I www.lempreinte.net
La Scène nationale de Sénart remercie pour la diffusion de son information : Média Sénart, Cultura, toutes les bibliothèques, conservatoires, mairies de Seine-et-Marne, de l’Essonne, les commerçants… Elle remercie également l’EPA Sénart. La Scène nationale est adhérente au réseau associatif Entreprises Sud Francilien. www.senartentreprises.fr
Le Conservatoire Gabriel Fauré En parallèle d’un enseignement musical, ce lieu propose une programmation à faire pâlir de jalousie bien des communes de plus grande importance… Tél. 01 60 63 41 28 I www.savigny-le-temple.fr Ça se passe ailleurs et c’est bien aussi Ce principe s’applique également dans plusieurs théâtres d’Île-de-France comme : En Seine-et-Marne et en Essonne Act’art 77, La Ferme du Buisson, Scène nationale de Marne-la-Vallée (77), Théâtre de Fontainebleau (77), Action culturelle de Melun (77), L’Agora, Scène nationale d’Évry et de l’Essonne (91). Et aussi La Villette (75), Théâtre 71, Scène nationale de Malakoff (92), Théâtre Firmin Gemier/La piscine, Scène conventionnée (92), Théâtre NanterreAmandiers (92) Retrouvez les offres de nos partenaires dans la rubrique Ça se passe ailleurs de notre site Internet.
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Par la route
Hors les murs
Depuis Paris, suivre l’autoroute A6 jusqu’à Évry (25 km) ou suivre l’autoroute A4 jusqu’à Lognes (20 km) puis prendre la Francilienne (N104) et sortir à Combs-la-Ville sortie 24.
L'excursion chez les gens (voir p 06) > le mardi 23 septembre à 20h chez Jonathan à Chevry-Cossigny > le mercredi 24 septembre à 20h chez Irène à Héricy > le jeudi 25 septembre à 20h chez Nicole et Jean-Paul à Villecresnes > le vendredi 26 septembre à 20h chez Marc à Combs-la-Ville > le samedi 27 septembre à 20h chez Michèle et Daniel à Évry-Grégy s/Yerres > le dimanche 28 septembre à 12h chez Sabine à Brunoy À savoir Le nombre de places étant très limité, la réservation est indispensable. Vous choississez la date qui vous convient et nous vous communiquons ultérieurement les coordonnées de l'hôte qui vous accueille. Les places sont à réserver et à régler directement à la Scène nationale. Chaque spectateur apporte une petite spécialité culinaire (quiche, salade…) et/ou à boire.
Depuis Melun, suivre l’autoroute A5a direction Paris puis prendre la Francilienne (N104) et sortir à Combsla-Ville sortie 24. Pour La Coupole • prendre à droite vers Combs-la-Ville, • une fois dans Combs-la-Ville, au rond-point suivre les flèches “ La Coupole ”. Pour La Rotonde • prendre à gauche direction Moissy-Cramayel, • continuer tout droit, en direction du Centre ville, • suivre les flèches “ La Rotonde ”.
Paris
0, 1, 2 (zéro, Inde) (voir p 12) > le jeudi 13 novembre à 19h30Caves de la Côte d'Or, 19 rue Paul Doumer, Melun Soirée spéciale spectacle avec dégustation de vins sélectionnés par les Caves de la Côte d'Or, agrémentée de charcuteries et fromages. Supplément de 18 €
Sénart
Âme américaine (voir p 12) > le vendredi 14 novembre à 20h30Ferme des arts, 60 rue Pasteur, Vert-Saint-Denis Adieu (voir p 12) > le dimanche 16 novembre à 17hConservatoire municipal Espace Montand - rue des 18 Sous, Nandy
Par le RER D via Combs-la-Ville Pour La Coupole (Combs-la-Ville) • arrêt Combs-la-Ville – Quincy • puis bus MI-DO arrêt La Coupole.
Johnny Winter (voir p 18) > le jeudi 27 novembre à 20hL’Empreinte Savigny-le-Temple Brian McCombe Band (voir p 38) > le samedi 31 janvier à 20h45L’Espace Prévert Savigny-le-Temple
Pour La Rotonde (Moissy-Cramayel) • arrêt Lieusaint-Moissy, • puis bus DO arrêt Moissy Centre. À savoir Les plans d’accès des différents lieux sont téléchargeables sur notre site Internet.
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L’équipe Linda Abkari comptable
Stéphane Harel régisseur de scène
Fabrice Baillais caissier, hôte d’accueil, projectionniste
Marie-Christine London responsable de la communication
Sylvie Baillais chef comptable Huguette Bénard responsable de l’accueil et de la billetterie Pauline Berenguer chargée des relations avec le public Alexandra Boëgler directrice des relations avec le public Pépita Car chargée de production Gianni Causin projectionniste, hôte d’accueil Sarah Denis assistante secteur cinéma Cécile Deruy régisseuse lumières Elsa Deshayes chargée d’administration Estelle Erisay chargée des relations avec le public
Julien Makesse routeur, diffuseur, livreur David Marchal secrétaire de direction Maryse Midah responsable de la cafétéria Marine Cottens hôtesse d’accueil - caissière Ollivier Philippo régisseur de scène Jean-Michel Puiffe directeur Mike Robé régisseur son Julien Robert projectionniste Frédérique Termidoro comptable
Marie-Christine London | Rédaction – Frédéric Poncet Anne Quentin Jean-Luc VincentPierre WalfiszDocteur BramaisBetty des Bouricault | Illustrations – Matej Forman | Josef Sodomka Réalisation – Marie-Christine London Matthieu Gameiro | Fantaisies apostrophiques – PPR Impression – Vincent Imprimerie | Remerciements à Saïna Manotte. Scène nationale de Sénart Siret 34001138600018 APE 9 004 Z. Licences n° 1-1043569 | 1-1043567 | 2-1043106 | 3-1043107
Crédits images Manège Carré Sénart (p 4) Lino Dalle Vedove Vue du Carré Sénart (p 5) EPA SénartExcursion chez les gens (p 6) DRLes moulins de Monsieur Noël (p 7) Alexandre GiraudSavoir vivre (p 8) Éric DidymHistoire d’une vie (p 11) Georges Lambert Tartar(e) (p 12) Bernard Vital Volerie Women are heroes (p 13) JRSymphonie des lumières (p 14) Natacha ColmezElle brûle (p 15) Jean-Louis FernandezTigran (p 16) Karen MirzoanTête haute (p 17) Caroline Bigret
Vincent Simon régisseur général
FagoDhafer Youssef (p 21) Shiarz Fradi
Romuald Simonneau directeur technique Caroline Simpson Smith directrice adjointe
Matthieu Gameiro attaché à l’information
José Antonio Vécin régisseur lumières
Sylvie Girault hôtesse d’accueil - caissière
Coordination – Caroline Simpson Smith
Jérémy Sicard responsable du secteur cinéma
Alexandra Feuillie administratrice
Fannie Ghislain secrétaire de direction
Direction de la publication – Jean-Michel Puiffe |
Johnny Winter (p 18) DRRisotto (p 20) Francesca Les déterritorialisations du vecteur (p 22) Michel DukhanRising (p 23) Chris NashEnsemble Hope (p 24) Jacques DaninLe Petit Chaperon rouge (p 25) Elisabeth CarecchioPlease, Continue (Hamlet) (p 26) Pierre AbensurHansel et Gretel (p 29) La CordonnerieQuatuor Voce et Guillaume Mathias (p 30) Sophie PawlakSavoir enfin qui nous buvons (p 31) Angelique LileyreIl n’est pas encore minuit… (p 33-33) Christophe Raynaud de Lagequestcequetudeviens ? (p 34) Aglaé Bory Loïc Lantoine (p 35) Chloe ButteuxTartuffe
L’équipe est assistée par de nombreux intermittents et vacataires en technique et accueil du public.
ou l’imposteur (p 36-37) Vincent ArbeletBrian McCombe Band (p 38) DR Le campement (p 40) Jean-Michel PayetLe Jardin - La serre (p 41) Pierre BorasciDirector’s Cut (p 41) Christophe ChaumanetLes puces savantes (p 42) Roland PuigLe grand théâtre mécanique (p 42) DR Le P.A.R.D.I. (p 43) Didier GarrigrandLe manège Titanos (p 43) Baptiste CozzupoliRenan Luce (p 44) Laurent SeroussiLe conte d’hiver (p 52) Philippe DelacroixHistoire d’une vie (p 52) Georges LambertThéâtre de Sénart (p 62-63-65-68-69) AACMAThéâtre de Sénart (p 66-67) Josef Lepsa.
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Billetterie spectacles Ouverture des locations • Le 2 septembre, ouverture des locations pour l’ensemble des spectacles jusqu’à la fin de la saison (dans la limite des places mises à votre disposition). Nouveaux tarifs tarif
Réservations
plein tarif
tarif réduit* et groupe
- de 26 ans
- de 12 ans
A
28 €
25 €
20 €
15 €
B
25 €
22 €
17 €
13 €
C
20 €
17 €
13 €
13 €
D
17 €
15 €
13 €
13 €
E
13 €
13 €
13 €
10,50 €
• Sur place L’accueil est ouvert : les mardis, jeudis et vendredis de 16h à 19h, les mercredis et samedis de 14h à 19h. Et une heure avant les représentations. Fermeture les dimanches, lundis et jours fériés.
• Retrouvez les tarifs correspondants sur les pages des spectacles.
• Par téléphone au 01 60 34 53 60
L’excursion chez les gens (voir p 54)
10 €
Supplément formule dégustation …zéro, Inde (voir p 54)
18 €
• Réservez et réglez sur Internet. Simple, rapide et sécurisée, la vente en ligne vous permet de choisir tranquillement vos spectacles. www.scenenationale-senart.com • Autres points de vente FNAC - BilletRéduc - Cultura - Ticketnet Carrefour - Leclerc…
Règlement des places • Vos réservations doivent être confirmées par un règlement sous 48 heures à l’accueil ou par correspondance. Par chèque à l’ordre de la Scène nationale de Sénart ou par carte bancaire. • Les billets sont à retirer jusqu’au soir du spectacle choisi. • N’oubliez pas de vous munir des justificatifs demandés pour bénéficier du tarif réduit*.
tarifs spéciaux
tarif unique
tarifs campement
adulte
- de 12 ans
camp 1
10 €
7 €
camp 2
7 €
5 €
camp 3
5 €
3 €
Billetterie cinéma 1 entrée 5 entrées** suppl. 3d
tarif
tarif réduit*
- de 14 ans
association et scolaire
6 €
5 €
4 €
3,50 €
1,50 €
1,50 €
1 €
sur réservation
23,50 € 1,50 €
** Cinq entrées non nominatives, valables dans les deux salles de la Scène nationale et à l’Espace Prévert à Savigny-le-Temple. Attention aux dates de validité !
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Abonnement S’abonner, c’est toujours :
L’abonnement - de 26 ans Nouveau
• Bénéficier d’une réduction importante sur le prix de la place : de 41 % à 62 % selon votre type d’abonnement (pourcentages correspondant à la réduction obtenue par rapport au plein tarif).
• À partir de 4 spectacles et +, et quelle que soit votre situation (étudiant, salarié...), vous bénéficiez dorénavant d’un tarif réduit. L’abonnement - de 12 ans Nouveau
• Profiter d’une priorité de choix tout au long de l’année.
• À partir de 3 spectacles. Le choix des spectacles se fait sur l’ensemble des spectacles de la saison et sous la responsabilité du parent, tuteur… Mais, n’hésitez pas à nous contacter pour un conseil sur les tranches d’âge.
• Bénéficier d’un tarif préférentiel dans plusieurs structures culturelles (voir p 53) • Vous pouvez payer par prélèvement bancaire sans frais, en 2, 3 ou 4 fois à partir de 90 €. Voir les modalités sur le bulletin d’abonnement.
L’abonnement groupe • Il vous suffit de constituer un groupe de 10 personnes minimum (amis, famille, collègues…) et de nommer un responsable “Relais”. À noter : les choix de spectacles et de dates restent libres à l’intérieur d’un même groupe.
Comment faire ? • Envoyez votre bulletin d’abonnement avec votre règlement. Mieux encore, venez-nous voir. • Pendant tout le mois de septembre, l’accueil est à votre disposition pour vous guider dans vos choix, du mardi au samedi de 14h à 19h, et le vendredi jusqu’à 20h30.
• L’ensemble des bulletins d’abonnement, des justificatifs de situation et des règlements doit être remis directement à l’accueil par votre responsable “ Relais ”. Ce responsable fait profiter à l’ensemble de son groupe du tarif abonnement le plus bas. Il bénéficie également d’offres et de rendez-vous qui lui sont réservés tout au long de l’année. Plus de renseignements sur le rôle et les avantages du responsable “Relais” auprès de notre service d’accueil et sur notre site internet.
• Les abonnements peuvent se régler en espèces, chèques, carte bleue, chèques culture, chèques vacances.
*Tarif réduit : il s’applique aux demandeurs d’emploi, aux intermittents du spectacle, aux familles nombreuses, aux personnes invalides et aux seniors, sur présentation de tout justificatif récent précisant votre situation, ainsi qu’aux groupes (voir ci-contre).
tarif
A
4 à 7 spectacles
• Pour les collèges, lycées, universités, centres de formation, IUT… merci de prendre contact avec le service des relations avec le public (voir p 48).
abonnement
abonnement
abonnement
8 spectacles et +
- de 26 ans
- de 12 ans
individuel
individuel
12 €
10,50 €
abonnement de
L’abonnement groupe scolaire
individuel
individuel réduit ou groupe
individuel
individuel réduit ou groupe
15 €
15 €
15 €
15 €
B
15 €
13,50 €
13,50 €
12 €
10 €
10 €
C
13,50 €
12 €
12 €
10,50 €
10 €
10 €
D
10 €
10 €
10 €
10 €
10 €
10 €
E
10 €
10 €
10 €
10 €
10 €
8€
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Un nouvel équipement culturel pour Sénart “La culture est notre challenge pour innover et enrichir la qualité de vie locale. Notre théâtre sera à la fois le creuset de cette effervescence créative et la vitrine qui portera haut les couleurs sénartaises.” Michel Bisson, Président du San de Sénart
La nécessité d’un grand équipement culturel intercommunal, situé dans le centre de l’agglomération, est apparue très tôt et a évolué pour aboutir au projet du Théâtre. Il s’agissait de doter l’agglomération d’un équipement culturel à la hauteur de son rôle de grand pôle de développement francilien, fédérateur au plan intercommunal et pouvant répondre aux attentes de sa population, en complémentarité avec les nombreux équipements de proximité de la ville nouvelle. Les élus de Sénart ont élaboré le projet du Théâtre de manière très volontariste et l’ont porté avec détermination réussissant ainsi à mobiliser leurs partenaires : État, Région et Département.
Implanter un grand équipement culturel au Carré est une décision symbolique forte, dans la continuité de la politique culturelle animée par le San et ses partenaires depuis 40 ans. Centre névralgique de Sénart et trait d’union entre les communes, le Carré bénéficie d’une très bonne desserte, encore améliorée par la mise en service du premier T Zen d’Île-de-France en 2011 (reliant Sénart à Corbeil-Essonnes). Le Théâtre de Sénart, porté par l’équipe de la Scène nationale, sera un élément structurant de cet espace de centralité et participera à son attractivité. Source : San de Sénart
Vue extérieure de jour
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Un théâtre comme un signe architectural fort “Du paysage linéaire de la grande plaine du Carré Sénart émerge une silhouette étonnante, une morphologie à la fois complexe et hiérarchisée où les reliefs s’équilibrent, jouant avec le dynamisme des obliques.” Atelier d’architecture Chaix & Morel et associés
Ce parti pris architectural s’est imposé de lui-même : c’est un bâtiment indépendant et emblématique qui offre un nouveau repère, un signal dans le paysage. En vision lointaine, tel un grand vaisseau toutes voiles dehors, la silhouette isolée du théâtre ponctue l’horizon. La forme du Théâtre est adaptée à son contenu et rassemble les volumes des deux salles qui sont très différents, tant en taille qu’en forme et en proportion. Les grandes formes émergeantes sont reconnaissables selon l’espace qu’elles abritent : la “grande salle” avec sa cage de scène culmine à 29 mètres aux côtés de la forme simple de la salle modulable (la “petite salle”).
Le bâtiment est compact et chacun des volumes trouve sa juste place et son exacte dimension pour le processus de fabrication d’un spectacle. Le parti pris architectural favorise une utilisation scénographique de tous les espaces publics, à l’intérieur comme à l’extérieur. Chaque espace peut être détourné vers une utilisation autre que son usage principal. Le projet, généreux et évolutif, permet des usages multiples et inattendus. Source : Atelier d’architecture Chaix & Morel et associés
Vue de coupe de la grande salle
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Un théâtre confié à la Scène nationale de Sénart “Et faute de grand stade, c’est bien dans un théâtre que les uns et les autres pourront se donner rendez-vous pour partager ensemble les témoignages précieux du monde”. Jean-Michel Puiffe, Directeur de la Scène nationale de Sénart
Le Théâtre au service des artistes et des publics Pour assurer ses missions, “lien et sens” seront les maîtres-mots revendiqués par le Théâtre de Sénart, labellisé Scène nationale par le Ministère de la culture : créer du lien entre une population et son théâtre et du sens entre des projets artistiques et un auditoire. Oui, nous sommes absolument conscients que nous devons répondre au mieux aux attentes des publics à travers une programmation variée, pluridisciplinaire et pour toutes les générations. Oui, nous sommes convaincus que les gens sont bien plus curieux qu’on veut nous le dire ou nous le faire croire. Oui, nous continuerons à surprendre tous ceux qui nous font confiance depuis des années et tous ceux qui voudront nous suivre vers des formes artistiques suscitant émotions, curiosités, interrogations… créant un sourire, une larme, un rire, une grimace dans le noir de la salle… Oui, l’ouverture de la programmation vers d’autres formes artistiques est nécessaire pour toucher d’autres spectateurs. Oui, à Sénart on pourra voir – presque – les mêmes spectacles qu’à Paris, en moins cher.
Oui, l’accueil d’artistes connus permettra une meilleure visibilité et notoriété du Théâtre de Sénart. Oui, à la Scène nationale de Sénart on s’amuse, on s’émeut, on s’interroge… Le Théâtre comme lieu de rassemblement Nous souhaitons que le Théâtre de Sénart soit un lieu de vie, ouvert et accueillant. Il nous faudra investir et faire vivre les lieux de différentes manières par des manifestations n’ayant pas forcément de rapport direct avec la programmation. Le hall, la coursive, les espaces verts (patios et espaces autour du Théâtre), seront autant de terrains de jeux à “occuper”. Nos partenariats avec les structures culturelles du territoire, la complicité à créer avec les équipes du restaurant et de la librairie seront également déterminants. De la rencontre avec un écrivain, à un loto inter-sénart, en passant par une conférence pour enfants, nous espérons pouvoir faire du Théâtre de Sénart un véritable lieu de rencontres : une belle dose de pensée, un zeste de rigolade, une pincée de curiosité, le tout saupoudré de malice et de dérision… Et puis, nous accompagnerons les publics (élèves, amateurs…) à travers des projets d’actions culturelles et de formation en lien avec les mondes du spectacle vivant.
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Calendrier 2013-2015 • Printemps 2013 Début du chantier • Mai 2013 Pose de la 1ère pierre en présence de Madame La Ministre, Aurélie Filippetti • Hiver 2013 Réalisation de la cage de scène
• Été 2014 Pose de la peau métallique • Printemps 2015 Livraison de l’équipement • Juin 2015 Présentation de la Saison 15/16 • Octobre 2015 Les premiers spectacles…
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Visite guidée…
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1 Le parvis et les espaces extérieurs 2 Le restaurant 3 Le hall et le patio 4 La grande salle 5 La petite salle (modulable) 6 La salle René Gonzalez (répétitions) 7 Les loges et le foyer des artistes 8 Les bureaux 9 Une des zones techniques
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San de Sénart
Centre Commercial
Théâtre de Sénart
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Visite guidée… L’accueil des publics 1 Le parvis et les espaces extérieurs Le parvis est un espace piéton central, desservant différents parkings et les transports en commun (T Zen). À côté du Théâtre, un espace vert permettra d’accueillir des spectacles en plein air : chapiteaux, structures mobiles, scène de concert… 2
Le restaurant
Le restaurant, avec environ 100 places, sera ouvert indépendamment des heures d’ouverture du Théâtre. Situé en façade sud sur le parvis et en continuité du hall, le restaurant se prolonge par une vaste terrasse extérieure protégée pour les beaux jours. 3
Le hall et le patio
Le hall est un espace linéaire et fluide qui s’organise comme une galerie, une rue couverte de 80 mètres de long. On y trouvera la billetterie, une librairie indépendante, un bar… Situé au centre du Théâtre, le patio est un véritable îlot de verdure et de convivialité : espace d’échanges entre le public et les artistes, pour discuter après le spectacle, flâner ou prendre un verre.
Deux salles de spectacle Les deux salles sont disposées de part et d’autre du patio. Chaque salle fait l’objet d’un aménagement intérieur particulier : une atmosphère spécifique se dégage de chacune, porteuse de son identité. 4
La grande salle
La scène dispose d’un plateau d’une profondeur de 14 mètres, d’une ouverture du cadre de scène à 19,20 mètres et d’un gril à 20 mètres de haut (gril : partie supérieure de la cage de scène supportant l’ensemble des équipements techniques)… Conçue pour accueillir des grandes formes théâtrales, chorégraphiques ou musicales, la salle permet aussi l’installation d’une fosse d’orchestre pouvant accueillir 40 musiciens. En fonction des spectacles, deux jauges sont possibles proposant 524 ou 843 places assises. 5
La petite salle (modulable)
Grâce à ses gradins télescopiques, la “petite salle” autorise de multiples configurations permettant de proposer des formes originales : frontale, bi-frontale… De 50 places assises jusqu’à 999 places en configuration de spectacle dite “debout”, elle peut accueillir aussi bien des petites formes artistiques que des concerts de musiques actuelles.
Vue du hall d'entrée
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Vue de la grande salle au plateau
Quelques chiffres • point culminant 29 mètres • surface utile 11 500 m2 • grande salle de 524 à 843 places
" superfice du plateau 410 m " gril à 20 mètres
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• petite salle de 50 à 999 places
" superfice totale 600 m " gril total à 10 mètres
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La petite salle en configuration bi-frontale
L’accueil des artistes 6 La salle René Gonzalez Située à la charnière des loges d’artistes et des salles de spectacle, ouverte sur le patio, cette salle fait office de salle de répétition pour les artistes. Ses dimensions reprennent celles du plateau de la scène de la grande salle, soit 19 par 15 mètres. Elle est équipée d’un parquet de danse, de miroirs occultables et de barres fixes. Elle a pour fonction d’accueillir, également, des ateliers d’actions culturelles ou de formations pour tous types de public. 7
Les loges
Les artistes en tournée ou en répétitions disposent de nombreux espaces qui leurs sont réservés : loges collectives et individuelles, un espace d’habillage et de maquillage, un foyer qui favorise la détente, l’échange et la convivialité. Ce foyer s’ouvre sur une terrasse extérieure qui surplombe le patio public.
Les bureaux et zones techniques 8 Les bureaux Les bureaux et salle de réunions de l’équipe permanente de la Scène nationale, constituée d’une trentaine de salariés : administration, communication, production, relations publiques, technique… sont situés au premier niveau du Théâtre. La proximité avec les artistes a été privilégiée. 9
Les zones techniques
Elle est implantée au nord, avec une entrée spécifique pour libérer le parvis “public”. L’aire de déchargement des décors est située à l’arrière du bâtiment. Dans sa continuité, l’aire de manutention, véritable plate-forme, donne accès aux différents dépôts de scène, aux dépôts lumière et son, à l’atelier de construction et aux plateaux des salles.
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septembre L’excursion chez les gens mardi 23 20h mercredi 24 20h jeudi 25 20h vendredi 26 20h samedi 27 20h dimanche 28 12h
octobre Les moulins de M. Noël jeudi 2 19h30 vendredi 3 20h30 samedi 4 20h30 Savoir vivre jeudi 16 19h30 vendredi 17 20h30
Elle brûle mardi 18 20h30 mercredi 19 19h30 jeudi 20 19h30 Tigran samedi 22 20h30 Tête haute mardi 25 19h30 mercredi 26 15h Johnny Winter jeudi 27 20h
décembre Risotto mardi 2 20h30 mercredi 3 19h30
novembre
jeudi 4 19h30
Histoire d’une vie mardi 4 20h30 mercredi 5 19h30 jeudi 6 19h30
samedi 6 20h30
Tartar(e)
Les déterritorialisations du vecteur
0, 1, 2 (zéro, Inde) jeudi 13 19h30 Âme américaine vendredi 14 20h30
vendredi 5 20h30
Dhafer Youssef vendredi 5 20h30
samedi 6 18h
Rising mardi 9 20h30 mercredi 10 19h30
Conakry et chuchotements samedi 15 18h Adieu dimanche 16 17h
jeudi 11 19h30
Please, Continue (Hamlet) mardi 16 20h30 mercredi 17 19h30
janvier Hansel et Gretel mardi 6 19h30 mercredi 7 15h Quatuor Voce et Guillaume Mathias vendredi 9 20h30 Savoir enfin qui nous buvons samedi 10 18h Il n’est pas encore minuit… mardi 13 20h30 mercredi 14 19h30 vendredi 16 20h30 samedi 17 20h30 questcequetudeviens? mardi 20 20h30 mercredi 21 19h30 jeudi 22 19h30 Loïc Lantoine samedi 24 20h30 Tartuffe ou l’imposteur mardi 27 20h30 mercredi 28 19h30 jeudi 29 19h30 vendredi 30 20h30
Ensemble Hope samedi 13 20h30
Brian McCombe Band samedi 31 20h45
Symphonie des lumières vendredi 14 20h30
Le Petit Chaperon rouge mardi 16 19h30 mercredi 17 15h
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février Renan Luce jeudi 12 20h30
Le Campement du mercredi 4 au dimanche 8
Le manège Titanos mercredi 4 à partir de 14h vendredi 6 à partir de 18h samedi 7 à partir de 15h30 dimanche 8 à partir de 11h
Les puces savantes mercredi 4 à partir de 14h30 vendredi 6 à partir de 18h30 samedi 7 à partir de 16h dimanche 8 à partir de 11h
Le jardin mercredi 4 15h et 19h30 Le grand théâtre mécanique vendredi 6 à partir de 18h samedi 7 à partir de 16h dimanche 8 à partir de 11h Director’s cut jeudi 5 19h30 vendredi 6 20h30 samedi 7 20h30 La serre vendredi 6 19h et 20h samedi 7 17h30, 18h30 et 19h30 Le P.A.R.D.I. dimanche 8 11h30
LA COUPOLE
Rue Jean-François Millet 77380 Combs-la-Ville LA ROTONDE
Place du 14 juillet 77550 Moissy-Cramayel HORS LES MURS
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Locations, renseignements
Tél. 01 60 34 53 60 www.scenenationale-senart.com Scène nationale de Sénart Direction Jean-Michel Puiffe Administration, spectacles, cinéma La Coupole rue Jean-François Millet – BP 107 77 385 Combs-la-Ville Cedex Tél. 01 60 34 53 70 Fax 01 60 34 53 64 accueil@scenenationale-senart.com administration@scenenationale-senart.com Spectacles, cinéma La Rotonde place du 14 juillet – BP 65 77 550 Moissy-Cramayel
La librairie Un théâtre sans librairie, c’est comme une tartine sans beurre… La librairie Au pain de 4 livres de Yerres vous propose tous les soirs de représentation une sélection de livres autour de la programmation, de l’actualité littéraire mais aussi les coups de cœur du Cercle des lecteurs (voir p 46).
La Cafét’ “ Ventre vide n’a point d’oreilles ”. Aussi Maryse vous propose une restauration légère et un “ plat du soir ” avant chaque représentation. Le bar reste ouvert après les spectacles : une occasion de retrouver vos amis pour prolonger votre soirée autour d’un verre, et pourquoi pas en dégustant, avec modération, un bon vin sélectionné par notre partenaire Les Caves de la Côte d'Or de Melun.
Horaires d’ouverture de l’accueil Les mardis, jeudis et vendredis de 16h à 19h, les mercredis et samedis de 14h à 19h. Et toujours une heure avant les représentations. Fermeture les dimanches, lundis et jours fériés.
Petits rappels Merci d’arriver à l’heure ! Votre place numérotée vous est garantie jusqu’à 5 minutes avant le début du spectacle. La configuration de certains spectacles ne vous permet pas d’entrer dans la salle en cours de représentation.
Horaires des spectacles Les mardis, vendredis et samedis à 20h30, les mercredis et jeudis à 19h30, les dimanches à 17h. Sauf exceptions.
Si vous rencontrez des soucis de mobilité réduite, d’audition ou de vue, nous vous demandons d’en informer l’équipe d’accueil afin de vous placer au mieux.
Horaires des spectacles jeune public Nouveau Séances familiales : les mardis à 19h30, les mercredis à 15h. Sauf exceptions. Séances scolaires selon le calendrier : les lundis, mardis, jeudis, vendredis à 10h et 14h.
Retrouvez la Scène nationale de Sénart sur Facebook, Twitter, Google+, Viméo.
Horaires des séances cinéma Du lundi au dimanche, en alternance à La Coupole et à La Rotonde (voir p 49). Pour les séances scolaires, merci de nous contacter.
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