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L’écologie, moteur des politiques de mobilité
À l’heure où le réchauffement climatique fait rage, de nombreuses décisions écologiques sont à prendre. Pour y parvenir, les politiques se mobilisent et mettent en place divers plans d’action, notamment en termes de mobilité. Quel est le bilan à Bruxelles et en Wallonie ?
D’après les chiffres officiels, le transport est responsable de 22 % des émissions de gaz à effet de serre en Wallonie et de 24 % à Bruxelles. Il est donc le deuxième secteur le plus polluant, après le secteur industriel en Wallonie et le chauffage à Bruxelles. Face à l’urgence climatique, il est primordial de recourir à de nouvelles stratégies de mobilité afin de tendre vers des moyens de transport moins polluants et d’encourager les citoyens à devenir des acteurs centraux de la transition écologique.
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La région de Bruxelles-Capitale est en tête de classement en matière d’objectifs climatiques et de qualité de l’air et donc, en matière de mobilité durable. Ce statut est dû à son plan régional de mobilité Good Move visant « à diminuer l’utilisation et la possession de voitures individuelles. Son objectif premier est de diminuer la part modale de la voiture de 25 % d’ici 2030, par rapport à 2018 » détaille Alice Gérard, experte en mobilité durable à Bruxelles Environnement.
Pour atteindre cet objectif, la Région met l’accent sur le développement des transports en commun et prône notamment une politique axée sur l’utilisation du vélo. Bien que la genèse de ce projet émane de Bruxelles Mobilité, Bruxelles Environnement en fait partie intégrante et axe sa stratégie sur la diminution de l’impact des transports sur l’environnement. Pour ce faire, plusieurs mesures sont mises en place, comme l’obligation d’un plan de déplacements pour les entreprises favorisant le transfert modal pour les déplacements entre domicile et lieu de travail. Mais le plus gros challenge repose sur la « Low Emission Zone » (LEZ) appliquée depuis 2018. « La LEZ vise à retirer progressivement de la circulation les véhicules les plus polluants. À cet effet, un calendrier a été établi et planifié jusqu’en 2036 », développe Alice Gérard.
La Région a également pris des mesures d’accompagnement privilégiant l’utilisation des taxis et des voitures partagées afin de limiter l’usage individuel de la voiture. Enfin, la prime Bruxell’air constitue un incitant de taille pour les automobilistes bruxellois, puisqu’elle octroie un budget « mobilité » aux personnes se séparant de leur véhicule polluant. Le montant de la prime varie entre 500 et 900 euros, en fonction des revenus du ménage.
De son côté, la Wallonie a développé un plan d’action nommé « FAST » (Fluidité, Accessibilité, Santé, Transfert Modal) répondant à une série d’objectifs à atteindre d’ici 2030. Ce projet est divisé en deux Stratégies Régionales de Mobilité dont l’une est dédiée à l’utilisation des véhicules chez les particuliers. Le but premier de cette stratégie est « d’inciter les utilisateurs à privilégier une mobilité moins impactante pour l’environnement, tout en ne délaissant pas la facilité et l’accessibilité des déplacements. Par exemple, nous avons mis en place la gratuité des transports en commun pour les jeunes de moins de 25 ans et les seniors », explique Dominique Perrin, chef adjoint du cabinet du Ministre du Climat et de la Mobilité, Philippe Henry. Un budget conséquent a également été alloué à la création de nombreuses pistes cyclables et au développement de lignes express de bus.
Pour répondre aux objectifs du programme européen « Horizon 2030 », la Belgique tente aujourd’hui de stabiliser ses émissions de gaz à effet de serre. Cependant, face au manque d’approvisionnement en matières premières et à l’augmentation des prix des combustibles fossiles, nous devrons inverser la tendance en 2023 et diminuer de 35 % nos émissions. L’écologie et la mobilité durable doivent donc continuer d’avancer main dans la main, en Belgique tout comme ailleurs.
Le plan régional de mobilité vise à diminuer la part modale de la voiture de 25 % d’ici 2030, par rapport à 2018.
— Alice Gérard, experte en mobilité durable à Bruxelles Environnement
Par Morgane Mignolet

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La Wallonie cyclable de demain
La Région wallonne veut rattraper son retard sur la Flandre en matière de pratique du vélo. Investissements en infrastructures, services au vélo et changement de mentalités sont les armes dont elle s’est dotée.
La Wallonie s’est dotée d’une vision FAST 2030 et d’un plan d’action Wallonie cyclable 360°. « L’objectif est d’obtenir un report modal de la voiture individuelle vers les autres modes de transport », explique Boris Nasdrovisky, manager Mobilité Active. au SPW Mobilité. « Encore 40% des Wallons parcourent deux kilomètres en voiture. Ces courtes distances peuvent être faites à pied ou à vélo. » Pour ce faire, la Wallonie souhaite modifier la gouvernance, l’infrastructure et le réseau, les services ainsi que la sensibilisation et la communication.
La Région a donc sensiblement augmenté les montants alloués à ses infrastructures cyclables et ce, tant au régional qu’au communal. « Rien qu’au niveau local, on passe de 64 millions d’euros de subventions pour 116 communes en 2019-2022 à 210 millions pour toutes les communes entre 2022 et 2024 » indique Benoît Dupriez, Manager des réseaux cyclables. « Nous ne verrons les effets que dans deux ou trois ans. Entre le moment où l’on réserve l’enveloppe budgétaire et celui où l’aménagement cyclable est réalisé, cela prend toujours du temps. »
Le projet de cyclostrade, déjà bien entamé vers Bruxelles, devrait poursuivre son développement alors que huit autres liaisons sont à l’étude pour Liège et trois autres dans le Brabant wallon. « La démarche est assez récente mais parfaitement réalisable », assure Benoît Dupriez.
Au niveau Fédéral, le soutien est total. L’Etat souhaite voir aboutir ces projets cyclables le long de son réseau de chemins de fer. Loin d’être anecdotique, cette mesure permet de limiter les carrefours rencontrés par les cyclistes pour favoriser l’accès direct aux différentes villes. « Cela occasionnera moins de conflits avec les automobilistes et desservira bien plus de lieux habités. En longeant la voirie, les pentes rencontrées seront également plus faibles ». Sans compter que cela permettra de combiner aisément trajets en train et trajets à vélo.
Enfin, la meilleure des initiatives à mettre en place pour favoriser le report modal se résumerait certainement en un seul mot : la volonté. Une volonté des citoyens et des politiques de refuser l’idée que la Wallonie n’a pas de culture du vélo. « Il faut arrêter de se braquer sur les contraintes et, au contraire, voir les possibilités qui s’offrent à nous ». C’est vers cela que nous devons tendre.
Benoît Dupriez
Manager des Reseaux Cyclables
Boris Nasdrovisky
Manager Mobilité Active
La Direction de la Planification de la Mobilité fait partie du SPW – Mobilité et Infrastructures. Elle met en place les différentes politiques de mobilité du Gouvernement wallon, tous modes de déplacement confondus. Que vous soyez un citoyen, une entreprise, une administration, une ASBL ou encore un établissement scolaire, celle-ci est là pour vous aider à préparer la mobilité de demain. mobilite.wallonie.be
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L’avenir de l’automobile s’annonce électrique

Le secteur automobile fait aujourd’hui la part belle aux voitures électriques. L’histoire est en marche et les innovations en termes de mobilité douce sont plus que prometteuses. Encore faudrait-il éviter les obstacles d’une telle évolution.
Nous avons tendance à croire que la première voiture à avoir vu le jour dans l’histoire était une voiture à moteur thermique en 1866. Et pourtant, trente ans plus tôt, en 1830, un autre type de moteur était né : le moteur électrique. Si pendant presque deux siècles, ce dernier est resté dans l’ombre de son homologue à pétrole, il semble aujourd’hui gagner progressivement ses lettres de noblesse. « La tendance à l’électrification s’accélère, tandis que celle des véhicules hybrides se stabilise », explique Emanuele Bolacchi, Managing Director Audi Belgium. Pour seul exemple, il y a 3 ans chez Audi, les ventes des voitures électriques représentaient à peine 3% du chiffre d’affaires. Cette année, elles ont dépassé les 30%. « Dans une décennie, nous pouvons raisonnablement espérer que ce type de moteur soit l’équivalent des voitures thermiques d’aujourd’hui».
Cette accélération soudaine, nous la devons principalement aux innovations technologiques qui ont récemment rebattu les cartes dans le secteur de l’automobile. Et c’est tout d’abord le travail sur la batterie des véhicules qui a permis cette transition. « La nouvelle technologie 800 volts, que l’on retrouve dans l’Audi e-tron GT, par exemple, permet une recharge de 100 km en à peine 5 minutes. Il est vrai que les premières voitures électriques avaient une autonomie limitée. Les premiers modèles électriques avaient une batterie d’environ 24 kWh. Aujourd’hui on retrouve des batteries de 95 kWh dans les plus grands modèles. » Quant à l’autonomie offerte, cette dernière atteindrait pas moins de 500 km pour la génération de véhicules actuelle et jusqu’à 700 km pour celle en développement. Une petite révolution, on vous disait. Sans compter que ces batteries s’inscrivent également de plus en plus dans le cercle vertueux et écologique de l’économie circulaire. Car bientôt, le secteur automobile sera beaucoup moins dépendant des métaux précieux en provenance de zones de conflits où de lieux peu accessibles. « Les nouvelles batteries seront en effet composées d’environ 90% de ressources recyclées ». Ce qui devrait fortement réduire les retards en termes d’acheminement logistique des matériaux indispensables. Enfin, la voiture s’apprête également à jouer un rôle important dans la gestion des flux électriques de votre habitation. Branchée à l’alimentation domestique, celle-ci sera capable de détecter les pics de tension électrique pour éviter la surtension et les blackouts. « La voiture électrique devient une source d’alimentation pour votre maison. Elle devient intelligente. » Et ce n’est pas pour nous déplaire.
Pourtant, même si l’avenir semble radieux, certains freins persistent encore. Et le premier obstacle est entièrement d’ordre psychologique : l’anxiété liée à l’autonomie du véhicule. « Les gens ont toujours en tête les capacités réduites des batteries d’il y a trois ans. Mais depuis lors, tout a bien évolué ! » En effet, on considère que l’autonomie actuelle de ce type de voitures permet de couvrir près de 90% des activités quotidiennes. Une anxiété malheureusement renforcée par celle de la rareté des bornes de recharge. Et sur ce point, il faut bien admettre qu’on ne peut pas leur donner tort. « Comparée aux Pays-Bas et à la Norvège qui disposent d’environ 60 000 bornes de recharge, notre pays fait pâle figure », confirme Emanuele Bolacchi. « À l’heure actuelle, seules 10 000 bornes sont à disposition des utilisateurs de la route ». Heureusement, nous avons l’avantage d’avoir un petit territoire aux courtes distances pour compenser une telle réalité. « Les autorités commencent également à comprendre qu’une évolution dans l’approvisionnement de ces véhicules est nécessaire ». Ce qui nous amène au dernier point épineux : l’implication de l’Etat. C’est un fait, la Belgique est connue comme étant le pays de la “voiture salaire”. Via ses incitants financiers, l’Etat joue un rôle crucial dans la sensibilisation de la population aux véhicules électriques. Mais malheureusement, les incitants s’arrêtent encore aux portes de l’entreprise, discriminant le client particulier pour qui l’achat d’une voiture électrique est encore hors de prix. « Sans compter la politique fiscale complexe, différente et peu cohérente avec laquelle nous devons composer dans chaque région ». On l’aura compris, l’avenir automobile sera électrique si on lui donne les moyens de se réaliser pleinement dès aujourd’hui.
Emanuele Bolacchi
Managing Director Audi Belgium
Audi se concentre sur le développement de nouveaux produits et de technologies durables pour la mobilité du futur. D’ici 2025, Audi prévoit de commercialiser plus de 30 modèles électrifiés, dont 20 seront entièrement électriques. Avec sa feuille de route pour la durabilité, Audi poursuit son objectif ambitieux d’être totalement neutre en CO2 sur le cycle de vie d’une voiture d’ici 2050, de la production à l’utilisation et par le recyclage.
De la nécessité d’accès à la voiture électrique
Dans les prochaines années, la voiture électrique doit s’imposer comme le véhicule majoritaire sur nos routes. Pourtant, elle reste encore assez inaccessible aux particuliers. Place aux solutions !
La voiture électrique est le futur de l’automobile, c’est un fait. Mais, alors que tous ses avantages devraient pousser la population à se tourner vers cette solution écologique et viable, de nombreux freins persistent. Et ce, surtout du côté des particuliers. « Comment se fait-il que seules deux ou trois voitures sur 100 achetées par des particuliers soient actuellement des voitures électriques ? », s’interroge Joost Kaesemans, director public relations & public policy chez Touring. L’expert propose aujourd’hui de se pencher sur ce problème pressant qui risque d’avoir des conséquences s’il n’est pas pris au sérieux par les acteurs concernés.
L’État, tout d’abord, aurait un rôle majeur à jouer. « S’il a réussi à adapter la fiscalité pour favoriser la voiture électrique en tant que véhicule de société, il pourrait aussi très bien le faire pour monsieur et madame tout le monde. » Pour étayer son propos, Joost Kaesemans tient à rappeler que chez certains de nos voisins européens, de telles mesures ont déjà été adoptées. « Et, il ne faut pas aller bien loin ! En France, on peut bénéficier d’une prime à l’achat d’environ 6000€ pour un tel véhicule. » Une somme qui peut déjà faire la différence pour des voitures dont les prix d’entrée de gamme avoisine les 30 000€. En Belgique, nous sommes en retard dans ce domaine. « Résultat : les gens préfèrent attendre que la technologie évolue et que les prix baissent. Mais le momentum, c’est maintenant. Nous ne devons pas rater le coche. »
Au-delà des incitants fiscaux, l’expert estime également que le client particulier doit pouvoir se reposer sur une information concrète et à sa portée. « Trop souvent les discours sur la voiture électrique sont tenus par des spécialistes qui ne répondent pas aux questions des consommateurs lambda ». Ce qui a tendance à rebuter les particuliers qui pourraient y trouver un intérêt. Les questions soulevées par ces derniers seraient en effet beaucoup plus terre à terre que ce que l’on traite dans les médias. De nombreuses personnes intrinsèquement intéressées ont des questions très pratiques sur la recharge d’une voiture électrique, ou sur l’utilisation et les possibilités d’une carte de recharge. « Cela semble être des questions évidentes, mais nous ne sommes pas tous des experts en technologie », poursuit Joost Kaesemans. Et cette information essentielle devrait aussi bien venir des constructeurs automobiles que des autorités compétentes. « La transition pratique peut se faire progressivement, mais nous devons nous assurer que le changement de mentalité est déjà à l’œuvre parmi la population. »
Qu’on se le dise, la voiture électrique est un merveilleux outil. Confortable, silencieuse, agréable à la conduite et écologique, elle annonce un véritable renouveau dans nos habitudes de vie. Mais sans coup de pouce, elle aura du mal à s’imposer facilement sur le marché. À bon entendeur…
Joost Kaesemans
Director public relations & public policy
Touring est à vos côtés en tant que partenaire de votre mobilité ! Nous assistons et informons nos clients et partenaires pour tous leurs déplacements en Belgique et à l’étranger. En tant qu’acteur de la multimodalité, nous assistons les voitures, vélos et vélos électriques, trottinettes, mono-roues, motos, scooters, et bien d’autres encore. Ensemble, nous construisons la mobilité de demain pour une vie meilleure et nous sommes fiers d’œuvrer à ce changement !
Situés sur les sites du Val Benoit à Liège et à Huizingen (à proximité de Bruxelles), Yunex Traffi c veut rendre la mobilité plus sûre, plus effi cace et plus durable avec des solutions d’infrastructure et de transport tournées vers l’avenir.
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La numérisation des réseaux routiers est importante pour la croissance économique et la qualité de vie.
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Yunex Traffic a livré plus de 2000 contrôleurs de trafic, 4 centrales de gestion de trafic, une Centrale de gestion V2x, la priorisation des transports en communs, etc. "Notre mission en tant que Yunex traffic est de rendre le trafic plus fluide et durable. Yunex traffic peut y parvenir en utilisant toutes les données disponibles sur le trafic et en créant les systèmes de régulation du trafic les plus intelligents qui soient. Idéalement, ces systèmes sont hébergés dans le Cloud. Donc, un algorithme intelligent de régulation du trafic hébergé dans le Cloud qui utilise toutes les données de trafic possibles ? Oui, c'est exactement ce que fait notre produit Solution FUSION !" — Ronny Govers


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Youssef Abdelaoui
Managing Director Yunex Traffic Belgique & Luxembourg Business Manager Yunex Traffic Belgium