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e Trail de Rodrigues fera partie pour la première fois du calendrier 2021 de la Rando Trail & Nature (RTN). L’annonce a été faite par le secrétaire de la RTN, Philippe la Hausse de la Louvière, au cours de la cérémonie de remise des prix de la saison 2020 organisée dans la soirée du 10 décembre au Hennessy Park Hotel. « Ce développement fait suite à une requête formulée par la Rod Trail Association (RTA) il y a quelque temps de cela. Au nom de la RTA, nous remercions la RTN. Il s’agit d’un échange pour la promotion du trail. La RTN souhaiterait qu’une des épreuves de son calendrier soit comptabilisée pour la ligue de Rodrigues », a déclaré Arnaud Meunier, directeur de course du Trail de Rodrigues, à Sport Together. La 12e édition du Trail de Rodrigues est prévue le 7 novembre 2021. Ainsi donc, les points récoltés par les traileurs et traileuses seront comptabilisés au classement de la ligue RTN, que ce soit pour le format court ou le format long. Considéré comme une référence dans la région, le Trail de Rodrigues est un rendez-vous auquel participent régulièrement des traileurs venant de l’océan Indien, d’Afrique et d’Europe. Toutefois, la 11e édition, disputée le 8 novembre dernier, a vu la seule participation des résidents de Maurice et de Rodrigues en raison de la pandémie de Covid-19.
Calendrier RTN 2021
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« Vain-Vain »
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Directeur de publication Danielo Ramsamy Graphic designer Christopher Arsenius
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s’éclipse. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que, de manière générale, cette année aura été « Vain-Vain », avec la pandémie de Covid-19 qui a provoqué pas mal de situations et qui en a chamboulé d’autres. Plusieurs secteurs ont été touchés de plein fouet. Le sport n’a pas été épargné. La crise sanitaire a suscité le renvoi ou carrément l’annulation de compétitions, qu’elles soient locales, continentales ou internationales. Mais on aurait tort de penser que le coronavirus allait être le principal élément de contamination dans le domaine sportif. Les guéguerres entre groupes opposés ont apporté leur lot d’infections. L’image du sport local a été écornée par les soubresauts survenus au plus haut niveau. Tout un tralala qui a occasionné de vifs échanges entre dirigeants, entre dirigeants et athlètes, et entre athlètes et athlètes. Ce qui a vu l’émergence et l’expansion d’un « Groupe de réflexion » composé notamment d’anciens dirigeants qui ont par le passé eu l’occasion d’assumer des postes importants dans le monde du sport à Maurice. Depuis qu’il s’est mis au grand jour, le groupe réclame systématiquement la démission du président du COM en raison de la mauvaise gestion de l’instance olympique. Le groupe n’a non plus épargné sa cible quant à sa propension à soutenir des clubs fictifs. Le groupe de réflexion persiste et signe en arguant qu’il veut et peut apporter un assainissement dans le sport mauricien. La question que l’on se pose toutefois : un coup de balai permettrait-il au sport local de briller subitement de mille feux ? Ou s’agirait-il tout simplement de l’ambition d’avoir une mainmise sur le sport mauricien ? Il y a différentes façons d’aider et de faire progresser le sport. Faut-il obtenir le pouvoir olympique pour apporter sa pierre à l’édifice ? Cette guerre clanique a déjà causé une fracture au niveau du sport local qui pourrait faire davantage de dégâts si cette vile situation perdure. De par leurs agissements, les deux clans sont loin de dégager ne serait-ce qu’une once de crédibilité. Durant l’année « Vain-Vain », le sport a été mis à rude épreuve. Le renvoi pour janvier prochain de l’élection de la Commission des athlètes du COM, initialement prévue pour le 29 décembre, en est un autre épisode témoignant d’une situation instable. Que 2021 apporte son lot d’apaisement et de prospérité à différents niveaux. Il s’agit aussi de souhaiter une meilleure santé à tout un chacun et d’encourager un esprit olympique, particulièrement chez ceux qui croient dur comme fer que sans eux, le sport disparaîtra à jamais. Danielo Ramsamy
Sports Consulting & Communications 18, rue Volcy Pougnet, Port-Louis 5738 4587 @ contact@sporttogether.mu
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PORTRAIT Selma Patel | Traileuse
Bon sang ne saurait mentir
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elma Patel, 14 ans, est considérée comme une future championne du trail. 2020, en dépit des imprévus liés à la crise sanitaire de la Covid-19, aura été l’année durant laquelle elle s’est mise davantage en évidence en remportant trois courses de trail : Moka (5 km), Ferney (7 km) et Rodrigues (7 km) pour se retrouver à chaque fois en tête dans la catégorie féminine, tous âges confondus, sur cette distance. Les observateurs de la discipline l’ont déjà à l’œil et suivent de près ses performances. Selma Patel vient d’une famille sportive. Son père, Kamil, est un ancien champion de tennis et est l’actuel président de la Mauritius Tennis Federation. Sa mère, Deborah, Suissesse-Italienne, est également une ancienne athlète accomplie, ayant été vice-championne de France juniors et 12e en Coupe d’Europe du ski de fond. Et il faut dire que le trail peut être considéré comme une affaire de famille pour la jeune fille, sa mère se retrouvait régulièrement sur les podiums de trail à Maurice il y a quelques années de cela. La première participation de Selma à un trail remonte à 2016. C’était à l’occasion du ‘fun jog’ du Moka. Pour ses débuts sur les sentiers, elle était accompagnée de sa mère. Un accompagnement éducatif puisqu’elle a eu droit à des conseils
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d’ordre technique à différents nive La course à pied est un domaine q connaît bien, elle qui adore courir a quatre ans. Ce qui a motivé ses p l’orienter dans cette direction afin son potentiel. Petit à petit, elle s’es dans cette voie, surtout depuis qu’ l’académie de trail de Riverland au elle s’entraîne à raison de trois fois Mais cette année a été un peu plus cause de la Covid-19 et elle s’est en qu’une fois par semaine. En ce qui concerne ses objectifs po entend bien passer aux distances su comme le 10 km ou le 12 km, et t dans un premier temps sur ces dist catégorie. A côté du trail, Selma fait du renfo musculaire deux fois par semaine e séance hebdomadaire. Elle adore a temps avec ses amis à la plage. Elle nature et aussi à tout ce qui relève Actuellement en ‘Form 3’ au Boca School, Selma est aussi une passio
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eaux. que Selma r depuis qu’elle parents à de développer st perfectionnée ’elle a intégré u sein de laquelle s par semaine. s compliquée à ntraînée au trail
orcement et du tennis une aussi passer du e s’intéresse à la e de l’écologie. age International nnée de lecture. Selma Patel ici en action au 7 km de la 11e édition du Trail de Rodrigues, courue le 8 novembre dernier. Elle avait pris la première place au général en féminin sur cette distance. Sa saison 2020 s’est ainsi achevée sur cette victoire.
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Le boxeur Richarno Colin, ticket en poche, a les yeux rivés sur Tokyo.
Richarno Colin s’offre so Maiky Manouvallou pratique avec aisance l’escalade sportive.
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L’année 2020 a été marquée par plusieurs renvois de compétitions continentales et internationales en raison de la pandémie de Covid-19. Cependant, certains athlètes locaux ont eu un rayonnement continental lors du premier trimestre et au cours du douzième mois de l’année. La meilleure performance de l’année demeure sans conteste celle du boxeur Richarno Colin qui a fait sienne la brève saison 2020 en décrochant, en février à Dakar, son ticket pour les Jeux Olympiques de Tokyo, initialement prévus pour juillet-août derniers et finalement reportés à 2021.
on billet pour Tokyo Sport Together
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e 26 février 2020 restera dans l’histoire comme le moment de gloire de Richarno Colin. C’est en effet ce jour-là qu’il est devenu le tout premier athlète mauricien, et le seul jusqu’ici, à se qualifier pour le rendez-vous japonais. Pour cela, il devait seulement parvenir en finale du tournoi qualificatif qui se tenait dans la capitale sénégalaise. Et c’est exactement ce qu’il a fait. Paré de bleu, le boxeur des 63 kg affronta le Congolais Fiston Mbaya Mulumba. Si, à ce moment précis, il éprouvait une certaine pression, il ne laissait rien paraître. Au contraire, il accula son adversaire, montrant ainsi qu’il comptait bien repartir de Dakar avec le ticket olympique en poche. Lors de sa demi-finale, il a varié sa boxe. Le premier round lui est revenu à l’unanimité des juges. Tendancieux ? Pas forcément. Mais il s’est appliqué encore plus au second, alors que son adversaire n’arrivait pas à trouver la faille. Mais loin de se laisser emporter par l’euphorie, Richarno continua à s’appliquer, ne laissant que très peu de marge à son adversaire. Lorsque le gong résonna, il rejoignit tranquillement son coin, tout souriant. Il savait que le plus dur avait été fait. Il lui restait, cependant, un dernier défi ; il devait affronter le Namibien Jonas Jonas pour démontrer qu’il était bien le meilleur de sa catégorie en Afrique. Mais rien ne se passa comme prévu. Le Namibien, 25 ans au compteur, est une vielle connaissance du clan mauricien, les deux hommes s’étant affrontés en deux occasions. Et Jonas Jonas menait alors deux victoires à rien. A Dakar, le Namibien inscrivit une troisième victoire contre le Mauricien à son palmarès. Dans un match tendu, le Namibien s’est baladé, remportant les cinq rounds et renvoyant Richarno Colin à ses études. Mais le plus dur, pour le Mauricien, avait été fait. Il s’était bel et bien qualifié pour les Jeux Olympiques de Tokyo.
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’année 2020 ri Paul. En grand continentaux, il a ses poignets, le tit qui lui avait échap l’année Paul. Nous sommes le 1 L’Égypte, hôte de de badminton, a d (double mixte et d a régné sur le dou Maurice que les d pour briller. Et c’est justement Face à un adversa
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histoire ne se répétera pas pour Paul
ime aussi avec Julien d habitué des podiums a reconquis, à la force de tre de champion d’Afrique ppé en 2019. Retour sur
16 février 2020, au Caire. es championnats d’Afrique déjà conquis deux titres double dames) et l’Algérie uble homme. Il ne reste à deux tournois individuels
t ce que fera Julien Paul. aire qu’il ne connaît que Sport Together
trop bien, le badiste mauricien ne tremble pas. Pour la petite histoire, il affronte le Nigérian Anuoluwapo Juwon Opeyori, celui-là même qui l’a battu à deux reprises en 2019, en finale des championnats d’Afrique et en finale des 12es Jeux d’Afrique de Rabat. L’histoire se répétera-t-elle ? Non, car Paul tient la dragée haute. Si, dans le premier set, il s’en laisse conter une (16-21), il renverse la vapeur au second sur le même score. A un set partout, tout devenait possible. Et le miracle s’accomplit de lui-même. Alors qu’on joue le dernier set, les deux
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adversaires sont à égalité (21-21). Mais le Nigérian négocie mal le service qui aurait pu lui offrir le titre. Julien Paul, lui, en profite pour s’emparer des deux points suivants et sceller le sort d’Opeyori (23-21). Il respire : il a retrouvé les sommets africains. Cette victoire lui confère, en outre, l’espoir d’une qualification pour les JO de Tokyo. Mais il ne savait pas que la pandémie mettrait temporairement une halte à ses ambitions olympiques. Ce n’est que partie remise : le rendez-vous japonais a été reprogrammé pour 2021.
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Kate Foo Kune, ici lors de Rio 2016, sera privée d’une deuxième édition olympique consécutive.
La grâce, la disgrâce S
uspendue entre juillet et octobre 2019 pour une sombre affaire de soupçon de dopage, Kate Foo Kune aura signé un retour triomphal sur la scène africaine. Reprenant du service vers la fin de l’année 2019, celle qui était à la recherche d’une deuxième participation aux Jeux Olympiques – après Rio 2016 – a signé son retour de fort belle manière : elle a vaincu, en deux sets secs, la Nigériane Dorcas Ajoke Adesokan (21-19, 21-16) lors de la finale du simple dames du championnat d’Afrique au Caire. Mais voilà : cette année 2020, si bien entamée, sera à jamais entachée d’une suspension pour dopage. Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a en effet statué, le 15 décembre, qu’elle n’a pu fournir d’explication plausible quant à la présence de produit dopant dans son organisme. De ce fait, elle prendra deux ans de pause forcée. De quoi briser tous ses rêves olympiques japonais.
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Morand et Feuillet pour conclure Après 2019, Priscilla Morand obtient à nouveau le bronze lors du rendez-vous continental.
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e judo a clôturé les performances mauriciennes sur la scène africaine grâce à Priscilla Morand (-48 kg) et Rémi Feuillet (-90 kg) pour leur médaille de bronze décrochée à l’occasion des 41es championnats d’Afrique seniors, qui se sont tenus du 17 au 19 décembre dernier dans la capitale malgache, Tananarive. Déjà médaillée l’année dernière dans ces mêmes championnats, Priscilla Morand a maintenu sa place sur le podium. Après une facile victoire au premier tour de la poule D aux dépens de la Burundaise Signoline Kanyamuneza, la représentante de Maurice, qui réside en Suisse, a eu un deuxième tour compliqué face à la Sud-Africaine Geronay Whitebooi, future championne d’Afrique de la catégorie. Repêchée pour la petite finale, Priscilla Morand n’a commis point d’erreur face à la Malawite Harriet
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Boniface afin d’obtenir le bronze, mettant ainsi fin à une saison 2020 pas comme les autres. Toujours est-il que Morand a été très active durant le mois de novembre au cours duquel elle avait obtenu deux médailles d’argent, une à l’Open de Yaoundé et l’autre à celui de Dakar. Deux finales perdues face à la Sud-Africaine… Geronay Whitebooi. Rémi Feuillet ne s’est pas déplacé pour rien depuis la France pour participer à ces championnats africains. Le médaillé d’or des 10es Jeux des îles de l’océan Indien a réalisé un podium dans une catégorie des -90 kg assez disputée. Feuillet a fait la différence face au Gabonais Paul Kibikai dans la quête à la médaille de bronze. Au premier tour, il a maîtrisé l’Egyptien Ali Hazem, mais s’est avoué vaincu contre l’Algérien Abderrahmane Benamadi en demi-finale.
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RENCONTRE Laurent L’Entêté
Triathlète, clarinettiste et diplômé en génie mécaniq
Le 13 décembre, à Poste Lafayette, Laurent L’Entêté est devenu champion de Maurice seniors de Si ce titre lui avait échappé en 2019, l’histoire n’allait pas se répéter cette année. A 24 ans, il veu progresser et s’est fixé comme objectif de participer aux Jeux Olympiques de Paris en 2024. Un p osé sachant qu’un ticket olympique en triathlon est hyper convoité. Persévérant et audacieux, il cependant pas devant pareil défi. Connu pour ses performances sportives, Laurent L’Entêté a pratiqué pendant des années la musi précisément la clarinette, au Conservatoire François-Mitterrand. En 2019, il a terminé ses quatr d’études tertiaires avec succès en décrochant un « First Class with Honours » en génie mécaniqu l’université de Maurice. Au cours de cette rencontre, ce perfectionniste aborde divers sujets. De la natation au triathlon Cela fait huit ans que je pratique pleinement le triathlon. Au départ, je ne faisais que de la natation. A un moment donné, ce fut le calme plat en termes de compétitions dans cette discipline. En 2011, avec deux amis du club CAMO, Jérémie Seeyave et Elken Chong, avons décidé de nous inscrire au Triathlon de l’océan Indien au Morne. Grande fut notre surprise de ne pouvoir y participer individuellement en raison de notre jeune âge. On pouvait toutefois le faire en relais c’est-à-dire, chacun pouvait prendre part à l’une des trois épreuves. C’était mieux que rien. La distance était plus étendue que la distance olympique (1 500 m de nage, 40 km de vélo et 10 km de course à pied). Pour le Triathlon de l’océan Indien, il fallait effectuer 1 600 m de nage, 54 km de vélo et 12 km de course à pied. J’avais pris part à l’épreuve de natation ; ensuite, Jérémie avait pris le relais pour le vélo et Elken avait conclu avec la course à pied. A partir de là, je me suis intéressé et mis à la pratique du triathlon. J’ai participé à plusieurs compétitions, notamment une troisième place au championnat d’Afrique juniors à Charm El Cheikh en 2015 et 63e aux mondiaux juniors à Chicago durant la même année. Depuis, je me suis amélioré et je veux progresser davantage jusqu’à atteindre différentes étapes au niveau continental et intercontinental. Je m’entraîne tous les jours. Chaque semaine, je fais au moins 20 km de natation, 200 km de vélo et 50 km de course à pied. Je tiens à saluer mes entraîneurs, Philippe Pascal pour la natation, Robert Steulet pour le vélo et Menon Ramsamy pour la course à pied, pour leur encadrement.
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Objectif JO de Pa
Une participation aux à la fois un objectif et moi. Je suis conscient pour ce rendez-vous s pas une sinécure. Mai efforts nécessaires. Ma facteurs à gérer, notam cela fait partie de cett
Carrière d’entraîn
Après ma carrière d’at être entraîneur. Pour j’analyse, à travers me aspects des entraînem périence. Mais j’aurai personnelle aux jeune intéressant mais c’est abilité à assumer.
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Le concept Sports-Etudes Après avoir complété mes études universitaires, j’ai réalisé que le sport m’a beaucoup aidé durant tout mon parcours académique. A mon avis, pour avoir une éducation équilibrée, le sport doit faire partie du cursus ; pas forcément le sport de compétition, mais au moins une activité sportive quotidienne au cours de laquelle l’enfant sort totalement du cadre académique. Je considère qu’en ce moment, l’importance du sport dans la vie d’un enfant est presque négligée. Avec pour résultat des adultes n’ayant qu’une faible notion du sport dans leur vie et une population réduite en termes de pratiques sportives. La fausse conception qu’un sportif ne peut réussir dans ses études ou inversement ne doit pas exister. La réussite dans les deux domaines est possible et c’est un aspect qui doit être inculqué aux jeunes. Je remercie mes parents pour leur dévouement et leur soutien. Je dois dire que j’ai eu la chance d’avoir des parents qui m’ont non seulement guidé, mais qui m’ont laissé assez libre dans mes choix : sport, études et musique. Mon père était un sportif (Ndlr : Jean-Noël L’Entêté, ancien cycliste de haut niveau ayant participé aux JIOI en 1993 et 1998), ce qui a aussi peut-être facilité ma tâche. Pour rappel, Laurent a fréquenté l’école RCA Philippe-Rivalland et le collège John Kennedy, considéré comme une ‘Star School’.
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Les bienfaits de la musique La musique m’a aidé à découvrir un autre monde. La musique m’a permis de développer certains sens. Si on s’applique dans le domaine, on peut obtenir des vertus pour les appliquer dans le sport et les études. A travers la musique, on parvient à développer notamment la discipline, l’exigence, la persévérance, la constance, la technique, la patience, la précision, la concentration, l’élégance et même le physique. Je trouve que la musique aide à avoir un développement complet et aussi une connaissance culturelle. J’ai débuté la musique à 11 ans. Au moment de choisir un instrument j’ai opté pour la clarinette car quelques jours auparavant, j’avais été émerveillé par la comédie « Cody Banks agent secret », une version James Bond ado. Avec le temps, j’ai gravi petit à petit les échelons pour atteindre l’orchestre symphonique du Conservatoire François-Mitterrand. J’ai fait la Royal School of Music jusqu’au grade 5 et les examens du MES du 3e cycle (grade 8).
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Publication de mémoire Mon chargé de cours m’a proposé de publier mon mémoire. L’objectif est d’essayer d’améliorer la résistance à la tension d’un matériau composite fait de petites fibres de vacoa traité (matériau local). Sous un certain traitement alcalin plus concentré, l’adhésion de la fibre à la résine polymère s’améliore et produit un matériau composite naturel ayant une plus grande résistance. Ce matériau peut être amélioré avec une optimisation du traitement alcalin, produisant un matériau aussi fort qu’un équivalent composite à base de fibre de verre. Cette recherche prouve que la fibre de vacoa traité peut être utilisée comme substitut à la fibre de verre pour certains produits fabriqués localement.
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PUB KFC
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Triathlon | Cha
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part une m « challeng compétiti étaient réunis pou l’année se déroule Laurent L’Entêté, compétitions post être le premier tria la course à pied. Si le meilleur triat titre, il voulait néa victoire réelle. Et c la course à pied qu « J’étais confiant av préparé dans les tro suis appliqué du dé aurait pu hypothéq 24 ans à Sport Tog Il a bouclé la comp est, il a réalisé le m 22’53 au 1 500 m 37’10 au 10 km d Julie Staub en pleine action.
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FOCUS
ampionnats nationaux
Signés L’Entêté et Staub Laurent L’Entêté et Julie Staub ont signé une belle victoire, n masculin et en féminin respectivement, aux championnats nationaux seniors 2020 de la distance olympique tenus le 13 décembre à Poste Lafayette.
mer un peu houleuse, qui a rendu plus ging » la nage, première épreuve de la ion, on peut dire que les ingrédients nécessaires ur que cette ultime compétition de triathlon de sous de bons auspices. qui a tout remporté depuis la reprise des t-confinement, était attendu par plus d’un pour athlète à passer la ligne d’arrivée des 10 km de
thlète du moment était confiant de décrocher le anmoins que cette confiance se matérialise en c’est en entamant le dernier tour du circuit de u’il a su que le titre était acquis. vant d’aborder la compétition. Je me suis bien ois épreuves, natation, vélo et course à pied. Je me ébut à la fin afin d’éviter le moindre faux pas qui quer toutes mes chances », déclare le triathlète de gether. pétition avec un chrono de 2h06’55. Qui plus meilleur temps dans les trois épreuves, avec m en natation, 1h06’00 au 40 km de vélo et de la course à pied.
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Ce premier titre de champion de Maurice, clame Laurent L’Entêté, n’a pas été le fruit du hasard. C’est un travail assidu dans les trois disciplines qui lui ont permis d’avoir pareil résultat. « Je suis vraiment content d’avoir été sacré champion de Maurice. Je ne compte pas m’arrêter là. » En féminin, le titre remporté par Julie Staub ne surprend pas. Elle a tout simplement survolé la compétition. D’ailleurs, son temps de 2h33’12 est considéré comme une troisième place exclusivement au scratch seniors. Si elle a connu de petits pépins durant la course à pied, Julie Staub se dit toutefois satisfaite sur l’ensemble, hormis la compétition de natation en raison d’une mer instable. « Je m’attendais à réaliser une bonne performance, surtout après avoir participé à la préparation de la distance olympique deux semaines avant le championnat. C’était l’occasion pour moi de faire quelques ajustements. Je suis contente d’avoir remporté le championnat. Je vais continuer à me perfectionner en vue de la prochaine saison », a souligné la triathlète de 34 ans qui pratique également le VTT et la course à pied. Par ailleurs, la trêve sera de courte durée pour les triathlètes puisque la Fédération mauricienne de triathlon prévoit une compétition de sprint le 17 janvier 2021 au Morne.
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PARCOURS
Ruqayyah Kinoo a décroc première fois le titre sup
Tennis de table
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uqayyah Kinoo a pu conjurer le mauvais sort, le 20 décembre, en finale des championnats nationaux de tennis de table seniors 2020 au centre national de Beau-Bassin. Vaincue en 2019 par Caroline Ramasawmy, elle est finalement venue à bout de ce même adversaire au terme d’une rencontre qui a pourtant failli lui échapper. Quatre jeux à deux : le score témoigne de l’intensité de la rencontre. « C’était le match que je ne voulais absolument pas perdre ! J’avais toujours en tête la finale de l’année dernière », avance la nouvelle championne de Maurice à Sport Together. Déjà en demi-finale, elle a eu fort à faire face à
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la jeune étoile montante Ivana Desscann, qui l’a forcée à disputer la victoire en sept jeux. La PortLouisienne s’est finalement imposée en 4-3 pour filer en finale. Et lors de cet ultime match, il lui a fallu du cran, de l’audace, mais surtout une bonne dose de concentration pour ne pas se laisser surprendre. Elle commence sur les meilleures bases possibles, avec deux sets (11-7, 11-6). Caroline Ramasawmy, en championne sortante, se rappellera aux bons souvenirs de Ruqayyah Kinoo sur les deux sets suivants (13-11, 14-12). Le scénario qui se dessine renvoie directement à celui de l’année dernière, où, alors que Kinoo menait deux sets à zéro, celle-
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c a « e t d d fi « J c e p R
ché pour la prême en féminin.
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yah Kinoo rise le sort
ci vit son adversaire revenir à deux sets partout, avant que Ramasawmy ne s’impose. « C’est vraiment ce que je voulais éviter. Ça tournait en boucle dans ma tête. Et je voulais vraiment le titre », ajoute Ruqayyah Kinoo. Elle s’appuie sur des coups mieux maîtrisés pour enlever les deux derniers sets (11-6, 12-10), synonymes de victoire finale. « Cette fois, j’ai changé certains aspects de mon jeu. Je me suis mieux préparée. Je tiens à remercier tous ceux qui me soutiennent, de l’AMTT à mes parents et amis, ainsi que les physios. Sans eux, je n’aurais peut-être pas gagné », fait ressortir Ruqayyah Kinoo. Sport Together
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VOLLEY-BALL
Le Point
Les Sharks toujours compliqués à manœuvrer Les Trou-aux-Biches Sharks, champions en exercice, ont démontré qu’ils restent de sérieux prétendants à leur propre succession dans la course au titre. A l’issue de la manche aller de la saison 2020-2021, le 4 décembre dernier, les Nordistes n’ont commis aucune bavure.
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es Trou-aux-Biches Sharks ont en effet remporté les sept rencontres qu’ils ont disputées. Mais la formation du littoral nord devrait toutefois garder un œil bien particulier sur son principal challenger, en l’occurrence le Faucon Flacq Camp Ithier VBC. Si les coéquipiers de Gilbert Alfred ont déroulé face à leurs adversaires durant leurs deux premières sorties contre le promu Buswell VBC et le Trou d’Eau Douce VBC, en revanche, les Sharks auraient pu se faire prendre dans les filets du Faucon Flacq au cours de la troisième journée du championnat. Lors de cette joute, les Flacquois ont mené la vie dure aux Sharks en survolant d’ailleurs les deux premiers sets. Mais les Sharks n’avaient nulle intention de renoncer. Ils se sont battus jusqu’au bout et ont réussi à renverser la vapeur pour s’imposer au tie-break (19-25, 15-25, 25-18, 25-21, 15-3). Pour les Nordistes, c’était le match à ne pas perdre puisque les Flacquois restent leurs plus sérieux rivaux dans la course au titre. Au classement, Trou-aux-Biches Sharks compte 20 points et possède un tout petit point d’avance sur le Faucon Flacq Camp Ithier VBC. Le titre se jouera vraisemblablement entre ces deux formations du fait que les autres sont déjà distancées.
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Le Port-Louis Red Star – que l’on n’attendait pas à cette place – est en troisième position avec 13 points, alors que le Quatre-Bornes VBC, vice-champion la saison dernière, n’a pas le même rayonnement et se trouve au pied du podium avec 12 points. Les Sharks devront faire très attention toutefois car il n’est pas dit que leur bonne étoile continuera de briller. Comme l’a souvent répété le coach Dharmen Gundowry, davantage de régularité aux entraînements sera essentiel. Avant le coup d’envoi du championnat, les volleyeurs nordistes n’avaient pas eu de préparation adéquate et une fois la compétition lancée, ils n’ont pas eu suffisamment de séances d’entraînement. Malgré tout, ils ont réalisé un sans-faute, grâce au métier des joueurs d’expérience, dont certains sont régulièrement appelés en sélection nationale à l’instar de Gilbert Alfred, Stephan Moonisamy, Akash Doobraz, Olivier Alfred ou encore Kevin Appigadu. Selon le coach, si les joueurs ne font pas l’effort d’être plus réguliers aux entraînements lors de la manche retour, l’équipe pourrait connaître une grosse désillusion, d’autant que son adversaire direct, Faucon Flacq Camp Ithier VBC, viendra sans doute avec un esprit revanchard.
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Gilbert Alfred, capitaine des Trou-aux-Biche Sharks, ici en position d’attaque, et ses coéquipiers occupent logiquement le fauteuil de leader du championnat.
Quatre-Bornes VBC sans opposition
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ans le championnat féminin, l’équipe du Quatre-Bornes VBC (QBVBC) a démontré clairement qu’il sera difficile de lui priver d’un nouveau titre de champion. Dans ce championnat de D1A réunissant cinq formations, celle dirigée par Eric Louise n’a pas eu à forcer son talent pour remporter ses quatre matches lors de la manche aller. Lors de la dernière journée, disputée le 11 décembre, les Quatrebornaises ont affronté leurs dauphines, les Tranquebar Black Rangers. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le QBVBC – qui a remporté les trois dernières éditions du Championnat des clubs de la zone 7 – n’a pas eu à puiser Sport Together
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dans ses réserves pour s’imposer : 25-13, 25-15, 25-19. Avec 12 points et pas le moindre set concédé, la capitaine Alison Labour et ses coéquipières devraient, sauf imprévu, maintenir la cadence lors de la prochaine manche afin de préserver leur couronne. Tranquebar, avec 9 points, ne devrait pas avoir grand mal à conserver sa deuxième place, alors que pour compléter le podium, le Curepipe Starlight Sports Club possède un avantage sur Azur SC. Quant au promu Buswell VBC, il devra grappiller un peu de points histoire de quitter la peu enviable position de lanterne rouge.
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RTN - Cérémonie de remise des prix 2020
TRAIL
Et les vainqueurs sont…
Yolaine Eymeric, Freddy Roux, Rosemary Le Gac et Jonathan Cot
Les récompensées du format court féminin.
Loin du stress et de la nervosité que l’on associe au départ d’une course quelconque, c’est dans une atmosphère bien détendue et conviviale que les traileurs, hommes et femmes, ont participé à la cérémonie de remise des prix de la Rando Trail & Nature (RTN) de la saison 2020, le 10 décembre au Hennessy Park Hotel. Les vainqueurs de la ligue de trail de la saison sont Yolaine Eymeric, Freddy Roux (format court), Rosemary Le Gac et Jonathan Cotte (format long).
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Photos: Matt Tse
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Les récompensés du format long masculin.
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ean-Marc Rivet et Philippe la Hausse de la Louvière, respectivement président et secrétaire de la RTN, ont donné le ton de ce rendez-vous tant attendu, particulièrement par ceux et celles qui allaient être récompensés pour avoir bravé des kilomètres dans diverses conditions et situations au cours de la saison 2020, ponctuée par une interruption en raison du confinement causé par la pandémie de Covid-19. Pour le président de la RTN, le confinement a certes privé les amoureux de la nature de leur discipline favorite, mais il a été aussi un rappel de la nécessité d’un retour à l’essentiel et à la simplicité. Ce qui laisse entrevoir que dorénavant, les courses seront organisées en tenant compte de ces divers facteurs pour rester dans la logique des choses. Par ailleurs, une analyse de la RTN a abouti à un triste
constat : le vieillissement de ses licenciés. Selon les indications, il s’avère que dans le Top 20 de la ligue long format, au moins 50 pour cent des coureurs appartiennent aux catégories vétérans et masters. D’où la nécessité, pour ne pas dire l’urgence, d’encourager les jeunes à rejoindre la cause de la course en pleine nature. Lors de la cérémonie, l’assistance a eu l’occasion de découvrir une compilation de la saison écoulée à travers des photos et des vidéos retraçant les temps forts des participants dans les douze épreuves de la saison. Ce fut aussi l’occasion de mettre en lumière ceux qui aident dans les coulisses pour faire de chaque course un succès. La RTN note avec satisfaction une participation globale de 4 276 traileurs au format court et 1 554 trailers au format long pour la saison 2020.
Saison 2021
Coup d’envoi le 23 janvier
Le coup d’envoi de la saison 2021 de la RTN sera donné le 23 janvier avec l’épreuve de Mare Longue. Le calendrier comportera dix-huit courses. Sport Together
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RÉGATE
Les Fight
Festival Kreol
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Photo: Dominique Farla
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troitement liée à la mer, la population de l’île Rodrigues dans son ensemble ne rate pas la moindre occasion d’assister à une compétition de régate. Cette discipline, qui jouit d’une forte popularité chez les Rodriguais, fait indéniablement partie de leur patrimoine. En marge du Festival Kreol, une compétition de régate s’est tenue le 29 novembre dernier à Pointe L’Heure. Le départ et l’arrivée ont été jugés au même endroit. Organisée et sponsorisée par Phoenix Bev de Rodrigues, en étroite collaboration avec la Commission des Arts et de la Culture et le Club Régate de l’île Rodrigues, cette compétition a connu un franc succès. Le public a répondu massivement présent à ce rendez-vous qui a vu la participation de 72 bateaux, comprenant chacun sept membres d’équipage, répartis en quatre catégories : bateaux en bois (24 et 21 pieds) et bateaux en fibre (24 et 21 pieds). Malgré les sautes d’humeur de la météo, les spectateurs ont pu assister à des échanges intéressants durant les épreuves, longues d’au moins 2,5 kilomètres. Toujours à l’avant-poste, l’équipage de Fighters 2, appartenant à Benjamin Abdool, figure connue de la régate rodriguaise, s’est imposé dans la course dite traditionnelle, celle réservée aux bateaux en bois de 24 pieds. C’est la troisième année d’affilée que la bande à Benjamin Abdool rafle le titre dans cette épreuve. Cette année, le vainqueur a remporté une enveloppe de Rs 15 000 et un trophée. En fibre de 24 pieds, l’équipage Déesse des îles, dont le propriétaire est Agathe Lecieslas, s’est révélé le plus rapide. Le vainqueur a lui aussi eu droit à un cachet de Rs 15 000 et un trophée. En ce qui concerne la catégorie regroupant les bateaux en bois de 21 pieds, le vainqueur a pour nom Pacific, appartenant à Marianne Maxwell, alors que l’équipage Racine Bless, dont le propriétaire est Edouard Joceley, a remporté le titre dans la catégorie des bateaux en fibre 21 pieds. Chaque équipage a remporté Rs 10 000 et un trophée. Et pour ne pas déroger à la tradition, c’est par un concert qu’a pris fin cette journée de la mer. C’est d’ailleurs connu : régate rime toujours avec fête !
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ters 2 tiennent bon la barre
72 équipages étaient en action dans cette compétition de régate, qui a été suivie par un public venu en grand nombre à Pointe L’Herbe.
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JIOI 2023
Organisation
La satisfaction était à son comble à l’annonce de l’octroi de la 11e édition des Jeux des îles de l’océan Indien (JIOI) à Madagascar. La Grande île accueillera ce rendez-vous régional pour la troisième fois de son histoire après la 3e édition en 1990 et la 7e en 2007. Ainsi en a décidé le Conseil International des Jeux (CIJ) qui s’était réuni par visioconférence le 6 décembre.
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Ça bouge déjà du cô
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ême si l’effervescence a déjà gagné la Grande île, les choses ne devraient prendre définitivement leur envol qu’à partir du mois de février 2021. Le CIJ se réunira alors à Tana. Même si la date n’a pas encore été avalisée, la réunion du CIJ devrait probablement avoir lieu durant le week-end du 7-8 ou celui du 13-14. Sport Together
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La réunion sera vraisemb entre autres, au bilan des perspectives de Madagasc à l’élection d’un nouveau la nomination du secrétai trésorier, proposés par M Ces postes sont actuellem Seychellois Antonio Gop No25 - Décembre 2020
Médaillés d’or aux 10es JIOI en 2019 à Maurice, les rugbymen malgaches seront inéluctablement plus redoutables chez eux en 2023.
Des travaux ont été entamés en janvier 2020 pour que la capacité du stade passe d’environ 28 000 à 40 000 sièges individuels.
Tour de force
ôté de la Grande île
blablement consacrée, 10es JIOI, aux car pour 2023, u président et à ire général et du Madagascar, pays hôte. ment occupés par le pal et le Mauricien Sport Together
Vivian Gangaram, respectivement. Aucune visite d’infrastructures ne sera au programme, la Grande île disposant déjà des infrastructures adéquates pour accueillir un tel événement. Madagascar possède en effet plusieurs stades aux normes internationales, dont le plus grand est le mythique Mahamasina, rebaptisé depuis peu Stade Barea. No25 - Décembre 2020
La première phase des travaux prendra fin sous peu selon les médias malgaches. L’extension des gradins a, elle, déjà débuté. Outre le stade Barea, le complexe sportif de Vontovorona est, lui, doté d’un terrain de football, d’une piscine olympique couverte, de plusieurs courts de tennis, d’un boulodrome et d’un hôtel de standard international. La grande question sera bien évidemment de savoir si Madagascar se dotera d’un Village des Jeux. Madagascar a organisé les JIOI à deux reprises et a toujours terminé en tête du classement des médailles de « ses » Jeux. En 1990, la Grande île avait récolté 155 médailles. Elle avait réalisé un véritable tour de force en 2007 en remportant 235 breloques. Des disciplines telles que la lutte, le karaté, la pétanque ou encore le taekwondo font partie des sports de prédilection des Malgaches, sans compter qu’elles sont de grosses pourvoyeuses de médailles. Ces disciplines devraient être retenues pour les JIOI de 2023. Pour rappel, c’est la candidature des Maldives qui avait initialement été retenue par le CIJ. Toutefois, l’impact de la pandémie de Covid-19 a mis l’économie maldivienne en difficulté. L’archipel avait demandé un délai de deux ans pour pouvoir accueillir les Jeux en 2025. Cette motion n’avait pas fait l’unanimité chez les membres du CIJ. Ce qui avait alors conduit à un vote. Au final, quatre pays étaient en faveur de Madagascar alors que deux avaient voté contre, Mayotte n’ayant, pour sa part, pas droit au vote.
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