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EN OUVERTURE
JUDO – 41es Champ
La FMJ une part
La Rodriguaise Christianne Legentil est à la recherche d’une troisième participation olympique d’affilée.
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a Fédération mauricienne de judo (FMJ), par la voix de son président, Josian Valère, a confirmé à Sport Together le 30 novembre, que des pourparlers sont en cours avec les autorités du pays afin que le judo local soit présent aux 41es Championnats d’Afrique seniors qui se tiendront à Tananarive, la capitale malgache, du 17 au 20 décembre 2020, sous l’égide de l’Union africaine de Judo (UAJ). « La fédération est favorable à une
participation et ce même avec un contingent réduit », déclare le président de la FMJ. Selon lui, Priscilla Morand (-48 kg), Christianne Legentil (-52 kg) et Rémy Feuillet (-90 kg), qui sont à la recherche d’une qualification pour les Jeux Olympiques de Tokyo, devraient s’aligner à ces championnats africains. Bien que la situation sanitaire demeure précaire en raison de la pandémie de Covid-19, le président de la FMJ assure
STAY STRONG 2
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pionnats d’Afrique seniors
se bat pour ticipation que les mesures adéquates seront prises et observées pour que les représentants mauriciens puissent se rendre à Tananarive. Ces Championnats d’Afrique sont parmi les derniers rendez-vous où ces trois judokas pourraient récolter des points intéressants en cas de podium. A ce jour, Priscilla Morand, résidente en Suisse, est la plus active dans la mesure où elle a participé à deux compétitions en novembre : l’Open de Yaoundé (7-8 novembre) et celui de Dakar (14-15 novembre). Elle a été médaillée d’argent dans ces deux compétitions derrière la Sud-Africaine Geronay Whitebooi. Selon Josian Valère, qui est aussi membre du comité directeur de l’UAJ, il y a de fortes possibilités que deux autres éléments, à savoir Winsley Gangaya (-60 kg) et Tracy Durhone (+78 kg), tous deux faisant partie de la Team Horizon Paris 2024, y participent également. « Nous n’en sommes pas encore là pour le moment. Nous réunissons toutefois les conditions nécessaires pour que cela se fasse. » Après ces championnats, la FMJ envisage de regrouper les représentants locaux pour effectuer un stage en Europe ou au Maghreb. Par rappel, l’UAJ a pris la décision d’annuler les Championnats d’Afrique cadets, juniors et kata qui devaient se tenir au même moment dans la capitale malgache. Directeur de publication Danielo Ramsamy
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« Corbo »
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uthenticité. Simplicité. Solidarité. Trois qualificatifs qui revenaient régulièrement lorsque certains dirigeants de Rodrigues évoquaient une quelconque activité ou faisaient la promotion de l’île. Le Trail de Rodrigues, dont la 11e édition s’est tenue le 8 novembre dernier, aura été le passage de la parole à l’acte. Considéré comme une vitrine du rassemblement sportif et écotourisme, le Trail de Rodrigues a tenu ses promesses en réunissant une pléiade d’athlètes, bien que l’absence de trailers étrangers, à cause de la situation sanitaire dans laquelle le monde est plongé, s’est fait sentir cette année en termes de participation. Toutefois, il faut reconnaître que les organisateurs ont su mobiliser la population pour communier autour de cet événement. La solidarité, comme l’a d’ailleurs fait ressortir Aurèle André, président du comité d’organisation du Trail, s’est traduite par le vivre-ensemble. Ainsi s’est manifestée cette profonde valeur humaine capable de mobiliser le peuple rodriguais pour surmonter les difficultés. Rodrigues, connue pour ses sportifs talentueux, dont certains ont contribué au premier succès de Maurice à l’occasion des 10es Jeux des îles de l’océan Indien en 2019, ambitionne de devenir une île sportive. Comme le confirme d’ailleurs Marie-Rose de Lima EdouardRavina, la Commissaire aux Sports, dans une interview accordée à Sport Together (voir pages 22-25). Le potentiel ne manque pas dans l’île ; il appartient maintenant aux dirigeants de réunir les conditions nécessaires à l’aboutissement d’un tel projet. Force est de constater que Rodrigues a sa particularité. Que ce soit sur le plan culturel ou traditionnel, entre autres. Il convient ainsi aux dirigeants de l’île d’assurer et de veiller à ce que le développement du modèle sportif auquel ils aspirent pour leur population ne subisse nulle interférence ou ingérence externe. Au risque de remettre au goût du jour le fameux tube « Corbo » de l’artiste rodriguais Edouard Doyal. Sans doute pour une autre adaptation… Danielo Ramsamy Sports Consulting & Communications 18, rue Volcy Pougnet, Port-Louis 5738 4587 @ contact@sporttogether.mu
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RENCONTRE
Juliane Clair, lanceuse de m
Diplômée qualifiée p
Juliane Clair lors de la cérémonie de remise des diplômes à l’Université de Maurice le 19 novembre 2020.
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ouble événement pour la Rodriguaise Juliane Clair en ce mois de novembre. Après trois années d’études à l’Université de Maurice, elle a obtenu sa licence en Nutritional Sciences et lors de la 3e rencontre de préparation KFC à Réduit, le 20 novembre, elle a assuré sa qualification au marteau pour les championnats d’Afrique d’athlétisme, prévus pour mai 2021 à Alger, en réalisant un jet de 49,82m, soit 1,82m de plus que le minimum imposé.
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Originaire de Mourouk, Juliane Clair, 22 ans, reconnaît que son parcours pour l’obtention de sa licence en Nutritional Sciences et pratiquer un sport de haut niveau n’ont pas été une sinécure. Mais elle s’est beaucoup sacrifiée pour atteindre ses objectifs académiques et sportifs. 2019 a été particulièrement mouvementée pour l’athlète rodriguaise du fait qu’elle préparait les 10es JIOI (juillet) et les 12es
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Jeux d’Afrique de Rabat (août). Avec sa participation aux stages et compétitions à Maurice comme à l’étranger, elle a dû redoubler d’efforts une fois de retour à l’université afin de rattraper les cours. « Ce n’était pas évident. Mais je n’avais pas le choix. Cela requiert beaucoup d’efforts, que ce soit mental ou physique, surtout après un stage ou une compétition à l’extérieur. Mais j’ai choisi cette voie et l’ai assumée. Je dois dire que j’ai été bien entourée par des personnes sur lesquelles je pouvais compter. Mes études et l’athlétisme sont mes priorités. J’ai géré mon temps en fonction de la demande de ces priorités », indique celle qui a commencé l’athlétisme à 15 ans au Collège Le Chou sous la houlette de Jean-Marc Samoissy avant de rejoindre le groupe dirigé par Azarias Baptiste au stade de Camp du Roi.
Autre facette de la nutrition Maintenant, elle veut concentrer toute son énergie sur athlétisme, surtout en vue des prochains championnats d’Afrique. « Je vais travailler davantage afin d’avoir de meilleures performances », fait ressortir la jeune athlète, qui est coachée par Joël Sévère.
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marteau
e en Nutritional Sciences et pour les championnats d’Afrique Pour le moment, elle n’envisage pas de faire son entrée dans le monde du travail ; elle veut faire un break et se donner le temps de réfléchir à la marche à suivre. Si elle songe déjà à la maîtrise, elle privilégiera néanmoins l’expérience professionnelle avant de se lancer dans de nouvelles études. Une chose est certaine, toutefois : grâce à ses études, elle a découvert une autre facette de la nutrition. « C’est fascinant de voir à quel point on peut améliorer sa santé ou traiter des maux avec la nutrition et une culture alimentaire saine. Quand j’étais plus jeune et qu’on me disait de bien manger et de bien m’alimenter parce que je suis athlète, je ne comprenais pas forcément. J’ai compris maintenant que c’est l’élément de base à ne pas négliger. Comme le veut le dicton, il faut manger pour vivre et non vivre pour manger. C’est important de savoir, surtout quand on pratique un sport de haut niveau, quoi et comment manger », ajoute l’athlète qui était l’une des bénéficiaires du SBM Scholarship Scheme.
Persévérance et constance Juliane Clair a une pensée pour les jeunes : pour atteindre son objectif, il faut toujours persévérer et être régulier dans ce que l’on fait. « Je pense que chaque jeune a un rêve. Pour que ce rêve devienne réalité, il y a un prix à payer. Il s’agit de faire des sacrifices. Quoi qu’il en soit, il faut persévérer, même dans les moments les plus difficiles où on a des doutes, surtout quand les résultats concrets tardent à venir. On doit rester régulier. Plus grand est le rêve, plus grande est la demande. Et durant ce processus, on va faire des erreurs. On apprend, on développe de la maturité et on grandit. C’est comme ça qu’on parvient à atteindre ses objectifs. » Juliane Clair retrouvera son île natale pour un stage destiné aux lanceurs du 6 au 13 décembre.
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La Rodriguaise Marie Christelle Nia Perrine a r
Un esprit d’aven 6
Maiky Manouvallou pratique avec aisance l’escalade sportive.
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La passion de participer au Trail de Rodrigues se traduit par l’enthousiasme des férus de cette discipline. Bien que le contexte sanitaire marqué par la pandémie de Covid-19 ait occasionné l’absence des trailers en provenance de l’océan Indien, d’Afrique et d’Europe, dans l’ensemble, la 11e édition du Trail de Rodrigues, qui s’est tenue le 8 novembre dernier sous un temps radieux ponctué par une forte chaleur, n’a pas perdu en intensité en termes d’engagement et de solidarité, sans compter la présence encourageante des participants venus de Maurice pour soutenir comme il se doit l’événement.
remporté l’épreuve féminine du 15 km dans le temps de 1h47’4.
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Textes Danielo Ramsamy Photos Dominique Farla
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’est toujours avec cet esprit désireux d’aventure, à la fois sportive, humaine, environnementale et écologique, que plus d’un demi-millier de participants, jeunes et moins jeunes, se sont lancés en pleine nature à travers diverses régions de l’île pour parcourir les quatre courses proposées par la Rod Trail Association : l’Eden (50 km), le Solitaire (27 km), le Gecko (15 km) et la Tortue (7 km). Découvrir le paysage de l’île, sa beauté naturelle caractérisée par des terrains secs, tout en côtoyant, de temps à autres, divers animaux sur les différents trajets, est une forte expérience que les participants ont eu la chance de vivre. Même les trailers les plus aguerris, venus avec la ferme intention d’inscrire leurs noms au palmarès ou d’être sur le podium dans cette compétition, n’ont pu s’empêcher de prendre un peu de plaisir à admirer le paysage qui jalonnait les parcours. Ils sont unanimes à reconnaître que le Trail de Rodrigues est non seulement une rude épreuve à surmonter avec ses dénivelés avoisinant les 2 000 mètres, particulièrement pour les téméraires ayant opté pour le 50 km et le 27 km, mais aussi une belle opportunité de découvrir la splendeur de l’île Rodrigues sous une autre facette. Les participants ont ainsi pu vivre, chacun à sa manière, des moments uniques dont ils garderont des souvenirs inoubliables.
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Simon Desvaux de Marigny maintient sa suprématie dans le long format du Trail de Rodrigues.
x de Marigny avec panache, en toute quiétude C’est un Simon Desvaux de Marigny concentré et déterminé qui a remporté avec panache le 50 km, connu sous le nom de l’Eden Trail, de la 11e édition du Trail de Rodrigues, disputée le 8 novembre dernier. Roselina Milazar s’est imposée, quant à elle, chez les dames. Sport Together
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Le Rodriguais Patrice Chan Seem en plein effort a bouclé le 50 km en 5h46’08 pour terminer à la deuxième place.
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l fallait être costaud, très même, pour pouvoir suivre le rythme imprimé par Simon Desvaux de Marigny – vainqueur ex-aequo avec le Français Ludovic Pommeret en 2019 – sur la durée de cette épreuve reine. Dès le départ, à 5 heures du matin au Tekoma Boutik Hotel, à Anse Ali, l’ultra-trailer s’est bien positionné dans le but de mettre à exécution son plan. Une fois la montée Patate Théophile entamée, Desvaux de Marigny avait déjà signifié son intention en envoyant un sérieux message à ses concurrents. Une tendance qu’il maintiendra, bien que talonné par Liraud Flore ou encore Patrice Chan Seem jusqu’au kilomètre 30. A 20 km de l’arrivée, toutefois, le scénario sera tout autre quand le vainqueur de 2019 passe à la vitesse supérieure pour faire cavalier seul. Il creusera considérablement l’écart sur ses proches concurrents. Il traversera finalement la ligne d’arrivée à la Réserve François Leguat, Anse Quitor, après 5h08’39 d’efforts intenses. Il devance de près de 38 minutes Patrice Chan Seem (5h46’08). Liraud Flore complète le podium en 5h45’01. « Je suis très heureux d’avoir remporté une nouvelle fois ce 50 km du Trail de Rodrigues. Je me suis bien préparé pour. Comme je le disais avant la course, la chaleur est un des principaux adversaires, et ce fut effectivement le cas. Autrement, j’ai bien géré la course. J’étais un peu inquiet d’avoir des crampes, mais heureusement que tout s’est bien passé jusqu’à l’arrivée », a déclaré le vainqueur de l’Eden Trail 2020. C’est d’ailleurs le premier 50 km que Simon Desvaux de Marigny a effectué cette année. Côté féminin, le titre est revenu à Roselina Milazar. Celle-ci a bouclé le 50 km en 8h03’47 et demeure toujours dans le Top 5 depuis 2011. Elle a commencé à prendre les choses en main dès la montée Patate Théophile. A partir de là, elle n’a pas vraiment eu à s’inquiéter de ses adversaires. Elle a fait tranquillement sa course jusqu’à la fin. « Je suis très satisfaite de ma performance même si j’avais réalisé un meilleur chrono l’année dernière. Mais le principal, c’est d’avoir bien terminé la course et gagné », a fait ressortir Roselina Milazar.
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Jonathan Cotte a forgé sa victoire à 7 km de l’arrivée.
Pour ce qui est de l’épreuve dite le Solitaire, longue de 27 km, c’est dans les 7 derniers kilomètres que Jonathan Cotte est allé véritablement chercher la victoire. Il a mis les bouchées doubles à l’approche de la montagne Croupier. Jusque-là, Brian Fils François, son principal challenger, lui tenait tête. Celui-ci a d’ailleurs dominé plusieurs épreuves cette année à Rodrigues. Les deux prétendants au titre du 27 km étaient presque au coude à coude depuis le départ. Du reste, ils ont fait le parcours presque ensemble, parfois en courant, parfois en marchant. Mais le sort sera favorable à Cotte quand François a dû ralentir le rythme en raison de crampes. A quelques kilomètres de l’arrivée, Cotte a alors pu continuer la course avec plus de sérénité pour rallier l’arrivée en 2h29’56. En dépit de sa mésaventure, François, courageux, n’a pas pour autant abandonné. Il poursuivra la course en trottant et en marchant par moments jusqu’à la ligne d’arrivée pour prendre la deuxième place dans cette épreuve avec un chrono de 2h46’30.
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« Cela a été vraiment difficile. Je ne m’attendais pas à remporter avec un quart d’heure d’avance sur Brian Fils François. Je connaissais sa réputation. Il est un bon coureur et il avait un avantage sur moi puisqu’il connaît le parcours. Fort heureusement, j’ai pu faire le nécessaire pour pallier certains manques et aller jusqu’au bout », a déclaré Jonathan Cotte. Au niveau féminin, Anne-Marie John a fait la différence sur le 27 km en 3h25’31. Elle a devancé Rosemary Le Gac, qui a bouclé le parcours en 3h32’18. Anne-Marie John a, le moins que l’on puisse dire, été exacte au rendez-vous. Après avoir remporté le 15 km en 2019, la traileuse de Terre-Rouge s’est alignée, pour cette édition, sur un plus long format. « Je suis doublement heureuse, pour avoir réussi à parcourir le 27 km et l’avoir remporté. C’était en quelque sorte un challenge personnel. Je remercie l’organisation et tous ceux qui ont rendu possible ce Trail », a fait ressortir la vainqueur du 27 km. Kurtis Agathe, vainqueur du 15 km masculin, a eu une course relativement facile. Il a fait le break six kilomètres après le départ pour terminer dans le temps de 1h09’30. « Je n’ai pas trop l’habitude d’évoluer sur ce type de parcours qui est très technique. Mais j’ai profité du plat pour distancer mes adversaires », a expliqué Kurtis Agathe, qui promet de revenir défendre son titre l’année prochaine. Marie Christelle Nia Perrine a décidé cette année de s’inscrire au 15 km. Elle a réussi son pari en décrochant le titre (1h47’42) même si elle a l’habitude de parcourir de plus longues distances, notamment le 50 km. « Je voulais essayer un parcours plus réduit pour le faire à un rythme très soutenu. Cela m’a bien plu. Je suis très satisfaite du fait d’avoir remporté le 15 km, qui s’est révélé beaucoup moins compliqué qu’un 50 km », a indiqué la gagnante du 15 km. Pour ce qui est du 7 km, Jérémie Momus garde la main sur la distance. Il a en effet décroché, pour la troisième année consécutive, le titre sur le petit format en 26’43. La jeune Selma Patel a été la gagnante côté féminin dans le temps de 41’59.
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A l’image de Maë Allet et Sheryl Meunier, les jeunes o
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Les résultats MASCULIN
7 km
Temps
1. Jérémie Momus 2. Jean Emmanuel Marie 3. Parama Legentil
18-19 16-17 16-17
26’43 30’41 30’48
15 km
Catégorie
1. Kurtis Agathe 2. Jameson Gaspard 3. Thierry Bastide
23-34 23-34 18-19
1h09’30 1h14’48 1h19’04
27 km
Noms
1. Jonathan Cotte 2. Brian Fils François 3. Joseph André Emilien
35-39 23-34 40-44
2h29’56 2h46’30 2h50’14
50 km
Pos
1. Simon Desvaux de Marigny 2. Patrice Chan Seem 3. Liraud Flore
40-44 35-39 23-34
5h08’39 5h46’08 5h54’01
14-15 14-15 23-34
41’59 42’45 43’39
35-39 23-34 23-34
1h47’42 1h48’55 1h54’09
27 km
1. Anne Marie John 2. Rosemary Le Gac 3. Amandine De Monts
23-34 23-34 23-34
3h25’31 3h32’18 3h56’19
1. Marie Roselina Thérèse Milazar 2. Marie Merlanedy Castel Gentil 3. Lai Hen Claudia Fong Kye
40-44 23-34 40-44
8h03’47 8h11’34 8h36’33
15 km
7 km
1. Selma Patel 2. Anastasia Castel 3. Marie Jennifer Perrine 1. Marie Christelle Nia Perrine 2. Achilaine François 3. Juliana De Falbaire
50 km
FEMININ
ont participé pleinement au
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Les coureurs ont croisé sur leur passage divers animaux durant ce Trail, comme en témoigne cette photo d’un coureur face à un bœuf.
Une fois encore, plus d’une centaine de volontaires ont été à l’œuvre au Trail de Rodrigues pour assurer diverses tâches, notamment le ravitaillement des participants.
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Coup dur pour Brian Fils François. Victime de crampes à quelques kilomètres de l’arrivée, il se fait aider par un volontaire. Il reprendra malgré tout la course et finira à la deuxième place du 27 km.
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en images...
L’important, c’est de participer !
Départ du 7 km à Montagne Croupier.
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ZOOM
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Valérie Gerval,
le visage de la persévéra Après neuf longues années d’attente, Valérie Gerval a pu enfin renouer avec le Trail de Rodrigues le 8 novembre dernier. Un moment de bonheur que cette quadragénaire, aujourd’hui aveugle, souhaitait revivre après une première et unique participation au 10 km de ce même événement en 2011 ; une époque où elle avait encore l’usage de la vue.
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orsqu’elle traverse la ligne d’arrivée à la Réserve François Leguat, à Anse Quitor, après avoir effectué le 7 km à la marche en 1h51’29 sous un soleil battant, Valérie Gerval a été chaudement applaudie par le public. « J’attendais avec impatience ce moment de participer à nouveau au Trail de Rodrigues. Je suis tellement comblée d’avoir réussi à faire une nouvelle fois le Trail, même si ce fut dans des conditions très particulières », confie Valérie Gerval à Sport Together. Cette participation tant attendue, souligne-t-elle, a été rendue possible grâce à ses deux amies, Maudlyn Gébert et Pamela Sooprayen. « Comme je ne pouvais participer seule, j’ai eu le soutien de Maudlyn et de Pamela. Ce n’est pas évident d’avoir des gens pour vous accompagner tout au long du parcours puisque je ne vais pas à la même allure. De plus, il faut bien me guider et m’indiquer où me
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diriger. Cela demande du tem autres. Mais mes deux amies sacrifiées en quelque sorte pou le parcours ensemble avec mo explique Valérie Gerval, qui tout juste de fêter ses 47 an Maudlyn Gébert était constamment avec elle pour tenir la main alors que Pam Sooprayen a déblayé le terra ou joué à la guide quand le besoin se faisait sentir. Valér Gerval, qui pratique le yoga ses deux amies, n’aurait jam pensé qu’elle retournerait un sur les sentiers pour le Trail Rodrigues. « C’est en parlant avec elles d souhait de faire le Trail qu’a l’idée de faire équipe. D’aille Maudlyn s’était inscrite pour km. Elle a finalement renonc sa course initiale pour qu’on ensemble le 7 km. C’était vra génial. Je les remercie pour ce d’amitié ou, plutôt, de profon humanité », indique notre interlocutrice.
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de mon germée eurs, le 15 cé à fasse aiment e geste nde Valérie Gerval (7483), Maudlyn Gébert et Pamela Sooprayen lors de leur passage à Plaine Corail.
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L’histoire de Valérie...
Valérie Gerval, accompagnée de Maudlyn Gébert, traversant un sentier au cours du 7 km.
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urepipienne de naissance, Valérie s’est installée à Rodrigues en 2008. C’est à la suite d’un premier court séjour avec son époux André Rousseau, un ressortissant français, qu’elle tombe amoureuse de l’île. « J’ai été attirée et voulais revenir pour commencer une autre vie ici », avance cette femme qui dirigeait alors deux écoles – à Curepipe et à Palma – dédiées aux jeunes qui ont terminé leur parcours scolaire du primaire sans savoir ni lire ni écrire. Avant de s’orienter dans le domaine éducatif, elle travaillait comme « merchandiser » dans le textile où elle gagnait bien sa vie. « J’ai quitté ce métier pour lancer une première école à Curepipe, et une seconde à Palma, pour les enfants en difficulté scolaire. » Son amour pour le social remonte d’ailleurs à son adolescence. D’où sa participation, chaque dimanche après-midi au centre social Maire Reine de La Paix, au dîner
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hebdomadaire pour les sans-abris sous la houlette de feu Père Henri Souchon. « Il n’y a pas que l’argent dans la vie. Pour moi, apporter son aide fait partie de notre existence. » C’est un peu dans cette perspective qu’elle voulait s’installer à Rodrigues pour y développer quelque chose qui faisait cruellement défaut. En effet, durant son premier séjour à Rodrigues, elle n’arrivait pas à trouver un salon de thé-pâtisserie. C’est ainsi qu’est venue l’idée d’en créer un dans l’île, car elle pratiquait déjà la pâtisserie à temps partiel, par plaisir et pour subvenir à ces besoins, peu couverts par le social. « L’atmosphère à Rodrigues me plaisait beaucoup. J’ai parlé à mon époux de mon souhait de retourner à Rodrigues », fait-elle ressortir. Au début, ce ne fut guère de la tarte puisqu’il fallait trouver un logement tout en recherchant une personne pour assurer l’activité des écoles à Maurice. Sport Together
Au bout du compte, avec le soutien de son mari, elle finira par s’installer à Rodrigues. En peu de temps, elle démarre son entreprise à Citronnelle avant que celle-ci ne devienne florissante, voire un lieu incontournable pour les amateurs de pâtisserie et d’autres délices. En 2012, la vie de Valérie bascule. Un jour, alors qu’elle faisait le ménage sur sa terrasse, elle percute une fenêtre. Elle sera victime d’une violente chute. Son cas était tellement grave (un hématome crânien) qu’elle dut être transférée à Maurice dès le lendemain pour être admise aux soins intensifs à l’hôpital Jawaharlal-Nehru, à Rose-Belle. Elle y passera un peu plus d’un mois dans le coma et deux mois en semi-coma. Quand elle reprend connaissance, elle se rend compte qu’elle a perdu plusieurs de ses sens, dont la vue. Commence alors une longue rééducation au cours de laquelle elle réapprend à marcher, notamment en dessinant les contours des lettres de l’alphabet avec ses pieds. « Je n’avais aucun souvenir du passé. C’est à travers mon époux, mes parents et le personnel médical que j’ai su comment je me suis retrouvée dans ce fâcheux état. » Grâce au support de son mari, Valérie, battante et déterminée, reprend confiance jusqu’à se remettre sur ses jambes et, au fil du temps, reprendre les affaires de l’entreprise aux côtés d’André.
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Marie-Rose de Lima Edouard-Ravina, Commissaire aux Sports de Rodrigues, apporte petit à petit sa vision dans le domaine qu’elle a la responsabilité de faire évoluer. D’emblée, elle dira que le sport dans l’île se porte de mieux en mieux, surtout après l’organisation des 10es Jeux des îles de l’océan Indien en 2019, au cours desquels Rodrigues avait accueilli le semi-marathon et le tournoi de judo par équipes. Dans cette interview accordée à Sport Together, la responsable du sport de Rodrigues reconnaît cependant qu’il reste encore du chemin à parcourir pour aboutir à « Rodrigues île Sportive », bien que beaucoup de choses aient été accomplies jusqu’ici. Propos recueillis par Danielo Ramsamy
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Suite aux 10es Jeux des îles de l’océan Indien, comment se porte le sport à Rodrigues ? Le sport à Rodrigues respire la santé, surtout après les Jeux des îles de l’océan Indien en 2019. La performance était au rendez-vous. Par rapport au nombre d’athlètes sélectionnés, nos athlètes ont excellé, comme en témoigne la belle récolte de médailles. Cela confirme le progrès du sport de haut niveau dans l’île. Lors de ces JIOI, l’île avait accueilli le semi-marathon et le tournoi de judo par équipes. Quelles ont été les retombées ? En 2003, pour la 6e édition de ces mêmes Jeux, nous n’avions accueilli que le tournoi de judo par équipes. Lors des 10es Jeux des îles, Rodrigues avait droit à une discipline additionnelle, le semi-marathon. Les Rodriguais ont donc pu vivre ces JIOI avec une plus grande fierté et un patriotisme qui fait chaud au cœur. Ensemble, nous avons pu apprécier de très belles performances sur le sol rodriguais et le spectacle était grandiose. Nous sommes très satisfaits de notre récolte de médailles en judo et des performances au semi-marathon. Accueillir ces deux épreuves à Rodrigues a aussi permis la rénovation d’infrastructures telles que le gymnase de Malabar et le vestiaire de Camp du Roi. Nous avons aussi profité de ces Jeux pour construire une nouvelle salle de gym, toujours à Camp du Roi. Sport Together
Photos: James Castel
INTERVIEW
Marie-Rose de Lima Edouard-Ravina, Commissaire aux Sports de Rodrigues
Rodrigu Les athlètes de Rodrigues ont apporté leur contribution au succès de Maurice à ces Jeux. Quel en est votre sentiment ? C’est une grande fierté et un grand signe de progrès personnel pour chaque athlète et bien sûr, c’est un signe d’avancement pour le pays. La plus grande surprise fut au niveau du sport d’équipe qui a franchi une nouvelle étape. En volley-ball, nous avons eu quatre joueuses et sept joueurs en équipe nationale. Les filles ont récolté la médaille de bronze et les
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ues, île sportive en devenir garçons la médaille d’or ! Tout cela est dû à notre nouvelle politique, mise en place en 2017 pour le sport collectif, ainsi qu’aux grandes réformes apportées dans le football et le volleyball. Grâce à cette stratégie, nos équipes de volley-ball masculines et féminines ont commencé à participer à des compétitions dans la région, à l’instar de la CCAVBZ7 lors de laquelle de nombreuses médailles ont été récoltées.
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Quelles sont les facilités accordées par la Commission des Sports afin de permettre aux athlètes rodriguais de s’entraîner dans des conditions optimales ? Nous avons mis en place plusieurs mesures visant à aider les athlètes à améliorer leur performance dans diverses disciplines. Cela va du soutien financier à l’achat d’équipements, en passant par la préparation des athlètes. Nous avons aussi réuni les conditions nécessaires pour que les athlètes aient
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accès aux salles de gym privées dans le but d’avoir un meilleur encadrement, ce qui devrait, par ricochet, leur permettre d’obtenir de meilleures performances. La Rodrigues Medical Sport Unit a également joué un rôle important en apportant son soutien et en offrant un suivi inconditionnel aux athlètes. Nous avons aussi apporté des supports financiers et techniques en ce qui concerne l’organisation des stages et des séances d’entraînement à Rodrigues, à Maurice et ailleurs.
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INTERVIEW
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Je mets en forme en ce moment avec mon
équipe la grande vision pour le sport rodriguais qui s’intitule « Rodrigues île Sportive ». Elle est centrée sur « le sport pour tous », où chaque Rodriguais fait du sport pour le plaisir, la santé, l’amitié et l’unité Le sport doit être une habitude pour chaque Rodriguais »
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Y a-t-il une discipline qui soit favorisée dans l’île ? Les Rodriguais excellent traditionnellement dans l’athlétisme, le judo et la boxe. Cependant, nous favorisons l’implantation et l’épanouissement d’autres disciplines telles que l’haltérophilie, dans laquelle on note une réelle progression en termes de nombre d’athlètes et également une nette amélioration des performances. Nous encourageons la participation de nos athlètes à d’autres compétitions telles que la MFA Cup et l’UFFOI pour le football féminin. En tant que femme responsable du dossier des sports, j’encourage encore plus nos jeunes filles à participer à des compétitions où elles sont amenées à améliorer constamment leurs performances. Le handisport a pris un envol extraordinaire. Nos handisportifs ont brillé au championnat du monde et dans d’autres compétitions internationales. En septembre dernier, Brigila Clair et Eddy Capdor ont été retenus pour faire partie de l’équipe Horizon Paris 2024 comme des athlètes pouvant éventuellement décrocher une qualification pour les Jeux Olympiques de Paris. Nous leurs souhaitons bonne chance et nous leur donnerons tout le support nécessaire. En ce moment, la Commission des Sports soutient et encourage plus d’une trentaine de disciplines sportives à Rodrigues. Quelle est votre vision pour le sport à Rodrigues ? Je mets en forme en ce moment avec mon équipe la grande vision pour le sport rodriguais qui s’intitule « Rodrigues île Sportive ». Elle est centrée sur « le sport pour tous », où chaque Rodriguais fait du sport pour le plaisir, la santé, l’amitié et l’unité. Le sport doit être une Sport Together
habitude pour chaque Rodriguais. En ce qui concerne le sport d’élite, nous voulons une île où chaque athlète de haut niveau fait de son mieux et encourage le patriotisme rodriguais à travers le sport, entre autres. On ne peut ne pas parler du Trail de Rodrigues, qui est perçu comme une vitrine pour l’île… Je suis tout à fait d’accord ! Avec le trail de Rodrigues, nous consolidons notre politique de « sport-tourisme » où les étrangers et les Rodriguais peuvent découvrir l’île tout en faisant vivre son économie. Le Trail de Rodrigues est un événement de rencontre internationale où la culture et le sport se marient, et nous renvoie à l’authenticité rodriguaise et à nos racines.
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Cela fait trois ans que nous avons réintroduit la régate dans la célébration
du Festival Kreol et elle continue à connaître un grand succès populaire »
et ce, dans plusieurs disciplines. Nous avons mis en place l’unité du sport d’élite. Comme j’ai mentionné précédemment, les équipes féminines de football ont participé pour la première fois à la compétition de l’UFFOI, ainsi qu’aux Jeux des jeunes élites et jeunes talents. Il y a eu la création du ‘High Level Athlete Scheme’ pour encadrer les athlètes qui ont du potentiel. Pour les 10es Jeux des îles, Rodrigues vit à l’heure du nous avons négocié et obtenu Festival Kreol avec, notamment, l’organisation d’une deuxième l’incontournable régate. Pouvezdiscipline à Rodrigues. Il y a eu vous nous en dire davantage ? l’inauguration d’un nouveau La régate est un sport traditionnel terrain de football à Mourouk très apprécié par les Rodriguais et d’un vestiaire à Nassola. Un et les visiteurs. Ce sport à fort terrain de football est en pleine cachet culturel fait partie de notre préparation à Dans Bégué. Nous patrimoine. C’est aussi l’occasion d’encourager une compétition saine aménageons également des boulodromes et nous assurons la et un beau moment de loisir pour nos amis pêcheurs. Ils sont heureux maintenance de ceux qui sont déjà en opération. d’être sur les devants de la scène Il faut aussi faire ressortir la dans leurs bateaux qui sont aussi réforme au niveau du football leur outil de travail. Cela fait trois et du volley-ball, sans oublier ans que nous avons réintroduit la régate dans la célébration du Festival le lancement du programme « Natation pour tous ». Kreol et elle continue à connaître L’organisation des premières un grand succès populaire. éditions du « Port Mathurin Urban Depuis votre prise de fonctions Trail « et du « Golden Bat Night à la Commission des Sports à ce Trail », et la relance du cyclisme, jour, quelles ont été les principales du badminton, de l’haltérophilie réalisations en matière de sport font aussi partie de notre bilan à ce à Rodrigues ? jour. Depuis 2017, date à laquelle j’ai Je suis consciente qu’il reste encore pris mes fonctions, nous avons eu beaucoup à faire. Mais je suis de belles réalisations. Nous avons confiante que nous y arriverons ! fait une récolte de médailles sans précédent au niveau du sport d’élite Une réactivation des Jeux de Rodrigues est-elle envisageable ? Les Jeux de Rodrigues ont progressivement fait place aux Jeux Intervillages. Les Jeux Intervillages touchent en moyenne 10 000 personnes chaque année. De plus, nous travaillons en ce moment à la mise en place d’autres compétitions pour pallier le manque d’activités dû aux restrictions sanitaires.
Vous avez donné l’exemple en vous alignant au 7 km de la 11e édition du Trail de Rodrigues le 8 novembre dernier. Quel était l’objectif de cette participation ? J’y ai participé pour le plaisir ; le plaisir de me connecter avec la nature. Les sentiers révèlent des merveilles à chaque pas que l’on fait pour s’approcher de la ligne d’arrivée ! J’étais aussi très émue de pouvoir m’unir encore plus aux personnes qui y ont participé et tisser des liens d’amitié avec elles. Bien sûr, j’étais trop contente d’avoir ma médaille à la fin de la course, en récompense de l’effort accompli ! Je crois que tout un chacun apprécie le Trail de Rodrigues. C’est une belle journée d’effort physique, de rencontre et de partage. Sport Together
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CLUB MAURICE
Covid-19
Distribution d’équipements sanitaires aux athlètes d’élite
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Photo: GIS
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e Club Maurice n’est pas insensible au sort des athlètes durant cette période difficile caractérisée par la Covid-19. Même si l’île Maurice fait partie des rares pays ayant su, du moins jusqu’ici, gérer la pandémie, les gestes barrières sont plus que jamais nécessaires et vitaux pour endiguer tout risque de propagation. Dans cette perspective, le Club Maurice a tenu à apporter sa contribution à travers la distribution d’équipements sanitaires (masques et désinfectants) à 45 entités, notamment les fédérations olympiques et non olympiques. Le président du Club Maurice, Giandev Moteea, a rappelé que cette action a été rendue possible grâce au soutien du ministère des Sports et de diverses entreprises, dont Omnicane, RT Knits et Tropic Knits. La distribution d’équipements sanitaires a eu lieu au cours d’une cérémonie le 29 octobre dernier au Complexe multisports de Côte-d’Or. « Après son engagement auprès du
Le président du Club Maurice, Giandev Moteea (2e à dr.), et le ministre des Sports Stephan Toussaint rem Sheila Sheik-Bajeet et Akilesh Bhantooah, de la Fédération mauricienne de boxe française savate, en pré
Comité d’organisation des Jeux des îles en 2019, le Club Maurice se retrouve dans une situation de ‘’confinement’’ dans ses objectifs d’accompagner les athlètes d’élite dans leur préparation décisive pour participer aux rendez-vous internationaux. C’est dans ce contexte que nous avons choisi d’apporter notre aide, à notre manière, à la communauté sportive de Maurice et de Rodrigues, Sport Together
toutes disciplines et fédérations confondues », a fait ressortir Giandev Moteea dans un discours prononcé lors de la cérémonie. Cette action, a-t-il poursuivi, est une contribution du Club Maurice pour témoigner de sa solidarité durant cette période difficile envers les athlètes d’élite qui continuent à s’entraîner sans relâche afin d’atteindre leurs objectifs. « Ces équipements leur faciliteront la tâche
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A Bagatelle
Decathlon ouvrira son premier magasin en avril 2021
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mettant une boîte d’équipements sanitaires à ésence de CEO d’Omnicane, Jacques d’Unienville (à g.).
pour poursuivre leurs entraînements et se préparer dans l’éventualité d’une reprise des compétitions sur le plan continental et mondial. » Le président du Club Maurice a rappelé que cette action se veut aussi une sensibilisation auprès de tous les athlètes et dirigeants sportifs de la République de Maurice dans la mesure où elle souligne l’importance de respecter les gestes barrières. Sport Together
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es choses s’activent s’agissant de l’ouverture d’un premier magasin omnicanal Decathlon à Maurice. Celui-ci verra le jour en avril de l’année prochaine à Bagatelle. L’un des leaders mondiaux de la grande distribution d’articles de sport, Decathlon s’est associé avec le groupe ENL pour son implantation commerciale à Maurice. Decathlon se positionne comme le plus grand magasin d’articles de sport à Maurice en proposant du matériel pour plus de 60 sports différents et une aire de jeux de 500 m2 pour faire tester ses produits gratuitement et initier les amateurs à la pratique de certaines disciplines. Ce premier magasin devrait couvrir une superficie totale de 3 000 m2. Decathlon comporte deux activités : la création de produits sportifs, ainsi que leur distribution en ligne et en magasins. Basée sur un business model intégré, l’enseigne maîtrise toutes les étapes de vie de ses produits, de la recherche et développement à la vente, en passant par la conception, la production et la logistique. Présentes dans 57 pays, avec plus de 1 800 points de vente, les équipes des services de Decathlon, marques et magasins, travaillent depuis 1976 pour innover dans tous les domaines et rester le principal partenaire de jeu de tous les sportifs. Le groupe est sur le point de procéder au recrutement d’une cinquantaine de sportifs pour constituer une équipe commerciale aux normes de Decathlon.
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FORMATION
Elite Volleyball Academy
Un projet national pour cont
Le constat remonte à plusieurs années: la relève du volley-ball local se fait cruellement attendre. Que ce soit en masculin ou en féminin, ce sont toujours les mêmes joueurs qui forment l’ossature des équipes alors que certains d’entre eux approchent la quarantaine. Mettre en place une politique de formation cohérente devenait de plus en plus urgent.
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’Association mauricienne de Volley-Ball (AMVB) avait procédé à la fermeture du centre de formation en 2005, alors qu’il avait produit des résultats. Par la suite, la structure avait été relancée mais le suivi avait fait défaut. Toutefois, avec l’arrivée du Croate Zoran Kovacic dans le rôle de Directeur Technique National (DTN), il y a trois ans, l’idée de remettre en place un véritable projet de formation est revenue sur le tapis. Le projet a pris du temps à prendre forme, certes, mais il y a quelques semaines, il est devenu opérationnel. En effet,
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la « Elite Volleyball Academy » a été lancée dans les douze régions découpées pour le sport à Maurice, soit Rivière-du-Rempart, Pamplemousses, Port-Louis, Flacq, Moka, Savanne, Grand-Port, Rivière-Noire, Vacoas-Phoenix, Quatre-Bornes, Curepipe et BeauBassin-Rose-Hill. Chaque région compte une école pour les garçons et une autre pour les filles. Le ministère des Sports est le principal bailleur de fonds du projet qui concerne les jeunes âgés entre 12 et 14 ans. La fédération assure de son côté l’aspect technique en mettant notamment à disposition des entraîneurs qualifiés, alors que le soutien des collectivités locales a aussi été obtenu de même que celui de quelques sponsors. Il ressort que ce projet ne sera pas uniquement sportif. Il comprend aussi un volet social et éducatif. Une aide sera offerte aux stagiaires ayant besoin de leçons particulières. Un suivi médical fait aussi partie du package. C’est le ministère des Sports qui finance les équipements tels que les ballons et filets, de même que les allocations aux entraîneurs. Si certaines académies fonctionnent déjà, d’autres n’ont pas encore pu
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véritablement décoller du fait que quelques coaches se soient désistés à la dernière minute pour des raisons professionnelles. Mais ils seront remplacés incessamment. Une fois que tout sera bien en place, une première compétition inter-académies sera organisée. Selon un calendrier provisoire, une telle compétition devrait avoir lieu en mars-avril 2021. Les jeunes qui feront montre de potentiel auront ensuite l’opportunité de rejoindre des équipes évoluant dans les championnats nationaux de l’AMVB. Des championnats jeunes pourraient aussi être organisés.
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trer le déclin L’académie du CSSC Le Curepipe Starlight Sports Club (CSSC) possède sa propre acadé-
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mie depuis quelques mois après avoir recruté des jeunes dans les établissements secondaires de la Ville-Lumière. Le club de Curepipe compte un effectif de 60 jeunes, garçons et filles, entre 12 et 18 ans. Les jeunes s’entraînent à raison d’une séance hebdomadaire chaque samedi.
Ce projet d’« Elite Volleyball Academy » est une louable initiative mais la formation ne devrait pas être l’apanage du ministère et de la fédération. Certains observateurs de la discipline estiment que les clubs devraient lancer des sections jeunes afin d’assurer leur propre pépinière. Il n’y a plus qu’à espérer que la pérennisation de ces divers projets de formation sera assurée dans la mesure où ce n’est que sur la durée qu’ils produiront les résultats escomptés. Le volley-ball mauricien en a bien besoin pour contrer un déclin qui semble inéluctable.
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Enregistrement Les séances d’entraînement se déroulent deux fois par semaine. L’enregistrement se fait en envoyant le mot REG par SMS au 5959 0152. Ce qui donne accès à une fiche que le parent de l’enfant intéressé doit remplir et soumettre au secrétariat de la fédération sis à côté du gymnase Pandit Sahadeo, à Vacoas. Chaque académie de volley fonctionnera avec un maximum de 40 jeunes dans un premier temps. A ce jour, un peu plus de 400 joueurs et joueuses se sont déjà inscrits.
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HALTÉROPHILIE
IWF Online Youth World Cup
Expérience encou Une reprise, de l’expérience et une plateforme inédite. Voilà, en quelques mots, comment résumer la compétition de l’IWF Online Youth World Cup d’haltérophilie qui s’est déroulée en ligne du 11 au 18 novembre dernier un peu partout dans le monde. Maurice était également de la partie et avait aligné cinq leveurs de fonte durant ce rendezvous au centre national d’haltérophilie à Vacoas.
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La performance de Tooshal Emrith mérite d’être saluée lors de cette IWF Online Youth World Cup. Il a réalisé 80 kg à l’épaulé-jeté dans la catégorie des 89 kg.
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u départ, c’est le Pérou qui devait accueillir les leveurs et leveuses de fonte originaires des quatre coins du monde. Mais la pandémie de Covid-19 a forcé dans un premier temps, l’annulation de la compétition puis sa reprogrammation sous un nouveau format. C’est donc en ligne que les haltérophiles se sont affrontés. Globalement, les représentants du quadricolore n’ont pas pu rivaliser avec leurs adversaires. Il faut savoir que cela fait plusieurs mois que les séances d’entraînement avaient ont été suspendues, confinement oblige. De plus, cela fait quelques semaines seulement que les choses sérieuses ont
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redémarré. Maeva Matelot a été la première à monter sur la planche. La triple médaillée de bronze aux 10es Jeux des îles de l’océan Indien en 2019 à domicile, s’est classée au 15e rang du groupe B dans la catégorie des 45 kg. Elle s’est fendue d’un total olympique de 101 kg. Elle est parvenue à arracher 45 kg avant de réaliser une performance de 56 kg à l’épaulé-jeté. Sanhya Leckning était, elle, engagée chez les 55 kg. Elle a réalisé un total olympique de 75 kg pour ses débuts dans la discipline. Elle a terminé au 24e rang avec 35 kg à l’arraché et 40 kg à l’épaulé-jeté. Marine Paul était, quant à elle, en compétition chez les
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urageante Les résultats Maeva Matelot Catégorie: 45 Kg Arraché: 45 Kg Épaulé-jeté: 56 Kg Total: 101 Kg Rang: 15e Sanhya Leckning Catégorie: 55 Kg Arraché: 35 Kg Épaulé-jeté: 40 Kg Total: 75 Kg Rang: 24e Vince Yannick Pama Catégorie: 73 Kg Arraché: 45 Kg Épaulé-jeté: 60 Kg Total: 105 Kg Rang: 27e
plus de 81 kg. Une catégorie difficile où elle a toutefois pu manœuvrer pour finir au 13e rang avec un total olympique de 115 kg. Elle a réalisé une performance de 55 kg à l’arraché et 60 kg à l’épaulé-jeté. Chez les garçons, il n’y avait que deux candidats en action. Il s’agit de Yannick Pama et de Tooshal Emrith. Le premier nommé était en lice chez les 73 kg tandis que le second se retrouvait chez les 89 kg. Yannick Pama s’est classé, au 27e rang avec un total olympique de 105 kg. Il a réalisé 45 kg à l’arraché et 60 kg à l’épaulé-jeté. Tooshal Emrith aura, lui, tout essayé. Et sa performance mérite d’ailleurs
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d’être saluée. Il a arraché 65 kg et réalisé 80 kg à l’épaulé-jeté. Son total olympique est de 145 kg. Le président de la Fédération mauricienne d’haltérophilie (FMH), Magarajen Monien, estime que cette compétition a été bénéfique pour les jeunes (15-16 ans) et a favorisé un bon nombre de participants à un rendezvous mondial. « Il était impossible pour nous de déplacer autant d’athlètes vers le Pérou, qui devait abriter physiquement la compétition. En raison de la pandémie de Covid-19, la fédération internationale a décidé de le faire en ligne. Ce qui a amené une meilleure participation. Dans l’ensemble je suis satisfait », a fait ressortir le président de la FMH.
Tooshal Emrith Catégorie: 89 Kg Arraché: 65 Kg Épaulé-jeté: 80 Kg Total: 145 Kg Rang: 19e Marine Paul Catégorie: +81 Kg Arraché: 55 Kg Épaulé-jeté: 60 Kg Total: 115 Kg Rang: 13e
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JEUX OLYMPIQUES
Los Angeles 2028
Valéry de Falbaire particip de la Commission de Coor Valéry de Falbaire, IOC Young Leader, a participé, par vidéoconférence, à la première rencontre de la Commission de Coordination des Jeux Olympiques de Los Angeles prévus pour 2028. La rencontre, qui s’est déclinée en deux séances de trois heures chacune, a eu lieu les 28 et 29 octobre dernier.
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ette Commission de Coordination, instituée en mai dernier par le Comité international olympique (CIO), est composée de 24 membres sélectionnés par l’instance suprême olympique. Présidée par Nicole Hoevertsz, ancienne athlète de natation synchronisée et membre du comité exécutif du CIO, cette Commission a pour principale tâche de veiller à ce que les objectifs et le déroulement des préparatifs entourant les JO de Los Angeles se déroulent selon le cahier des charges. « C’est une expérience très enrichissante et j’étais très enthousiaste à l’idée de participer à cette première rencontre de la Commission de Coordination pour les Jeux Olympiques de 2028 », déclare d’emblée Valéry de Falbaire à Sport Together. Le président du CIO Thomas Bach, qui a participé à une des deux séances, a rappelé aux membres que c’est la première fois qu’une telle Commission débute huit ans avant la
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date prévue des Jeux. Une situation exceptionnelle du fait de la double attribution, au même moment, des Jeux Olympiques de Paris (2024) et de Los Angeles (2028). Le président Bach a également parlé des nouvelles normes liées à la pandémie de Covid-19 et le maintien des Jeux Olympiques de Tokyo en tenant compte des nombreuses nouvelles mesures qui seront adoptées, notamment la réduction du nombre d’accréditations. Au cours de cette rencontre virtuelle, comme le souligne Valéry de Falbaire, les membres de la Commission de Coordination ont eu droit à une présentation détaillée faite par Cassey Wasserman, du Comité d’organisation de Los Angeles 2028, portant sur l’avancement de l’organisation des Jeux. « C’est la première fois dans l’histoire des Jeux qu’aucune nouvelle infrastructure ne sera construite. Los Angeles possède déjà des infrastructures Sport Together
sportives adéquates qui peuvent accueillir les Jeux Olympiques, y compris les stades pour les différentes épreuves et le village des Jeux », explique notre interlocuteur. Selon lui, le Comité d’organisation est en train d’identifier des logements chez l’habitant de type Airbnb qui correspondent aux critères du CIO afin de permettre aux touristes de vivre pleinement l’expérience des Jeux Olympiques dans une ville telle
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pe à la première rencontre rdination
Valéry de Falbaire pourrait obtenir d’autres responsabilités à l’avenir pour les JO de Los Angeles 2028.
La pauvreté l’interpelle La pauvreté interpelle Valéry de Falbaire. Durant la rencontre de la Commission de Coordination de Los Angeles 2028, il a attiré l’attention sur un fait souvent négligé : un fort pourcentage d’athlètes universitaires aux Etats-Unis vit sous le seuil de pauvreté. Il a alors demandé aux membres de réfléchir aux moyens dont les JO de Los Angeles 2028 pourraient aider à résoudre ce problème. « Le Comité d’organisation m’a assuré qu’il était bien au courant de ces chiffres alarmants et que différents programmes sont en discussion pour amener une solution au problème grâce aux JO de 2028. Ils tiendront informée la Commission de Coordination à ce sujet. » Sport Together
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que Los Angeles. Les Jeux Olympiques, rappelle l’ancien triathlète de haut niveau, se veulent de plus en plus durables et responsables. Ce qui fait que les détails sensibles sont pris en considération pour que les Jeux de 2028 laissent un digne héritage. Dans cette conjoncture, le programme SwimLA est déjà activé depuis 2019. Ce programme donne accès à des cours de natation gratuits dans tout Los Angeles. « Nous serons prêts en 2028 à délivrer des Jeux grandioses mais aussi responsables. Je suis vraiment honoré de faire partie d’une des Commissions de Los Angeles 2028 et de pouvoir cocréer ces Jeux avec toute l’équipe de la Commission de Coordination et le Comité d’organisation », indique Valéry de Falbaire. La Commission de Coordination prévoit par ailleurs la création de sous-comités d’ici l’année prochaine afin de piloter des projets particuliers. Il se trouve que Valéry de Falbaire pourrait être retenu pour siéger sur l’un d’eux. Le contenu de plusieurs sujets débattus au cours de la rencontre demeure confidentiel, principalement en ce qu’il s’agit des sponsors et des stratégies de marketing. La prochaine rencontre de la Commission aura lieu probablement en octobre 2021 à Los Angeles.
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