Mensuel de l’Armée du Salut - 126e année - N° 8 - 2016
Société
Quel âge as-tu ? Pierre-André Combremont
Le rapport à l’âge est une question toute relative, selon la période de la vie où elle se pose. Elle peut également avoir une grande importance selon les circonstances, les situations, le moment. Et l’âge effectif d’une personne n’est pas seulement un compte d’années, il peut varier d’un individu à l’autre en fonction de sa personnalité.
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uel âge as-tu ? Posez la question à un très petit enfant et il vous donnera fièrement la réponse, même s’il ne maîtrise pas très bien son langage, et il la ponctuera en montrant de ses petits doigts le nombre correspondant à son âge. C’est qu’il se réjouit de grandir, de découvrir le monde qui l’environne, surtout s’il vit dans l’entourage de plus grands enfants. Pourtant, l’âge est encore une notion abstraite pour lui. Mais viendra vite le temps où il commencera à franchir des étapes, ponctuées par le nombre de ses années de vie. Ce sera l’école avec l’apprentissage et la découverte de tant de notions et de connaissances. A partir de ce moment suivent en parallèle les décomptes des années de vie et des années scolaires. Et là, les questions qu’on lui posera seront non seulement « quel âge as-tu ? », mais également « en quelle année d’école, de
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Quel bonheur de montrer son âge, de s'appercevoir que l'on grandit, lorsqu'on est enfant
collège, es-tu ? ». Etape importante qui débouche sur l’adolescence, les questions et les remises en question, l’apprentissage d’un métier ou les études, les projets, les illusions et peut-être les désillusions.
L’âge adulte, c’est la découverte de l’amour, peut-être d’une vie de famille d’une part et de la vie professionnelle d’autre part, le tout parsemé de joies et de soucis, de problèmes et de satisfactions. La question de l’âge, à cette période de la vie, n’est pas de page 2
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société
première importance. C’est un temps d’activités multiples, familiales, professionnelles, sportives ou culturelles : musique, théâtre, cinéma. Hommes ou femmes, membres d’une Eglise ou d’une communauté spirituelle sont sollicités pour y prendre une part active. Les enfants grandissent et réclament beaucoup d’attention de la part de leurs parents. La fin du chemin Et voilà que, sans qu’on s’en rende vraiment compte, approche ce que l’on appelle le troisième âge. Les enfants sont partis de leur côté, certains parents deviennent grands-parents, avec la joie de pouvoir chérir les petits sans en porter l’entière responsabilité. Un temps où les loisirs prennent une certaine importance tant que la santé, qui diminue insensiblement, ne vient pas limiter les forces et les moyens. A partir de cette étape de la vie, le compte
Vieillir et repenser à sa vie passée
des années revêt à nouveau plus ou moins d’importance. Mais la pudeur et le respect n’autorisent pas les gens de l’entourage à poser cette question : « Quel âge as-tu ? » Cela ne dispense pas d’y penser. Les projets sont à moins longue échéance et de plus en plus de proches disparaissent.
C’est le temps où l’on lit d’un œil moins distrait la page des avis de décès dans le journal, en pensant à sa propre mort prochaine. Et de se poser cette autre question : « Suis-je prêt à rejoindre mon Sauveur ? »
Point de vue
Sébastien Goetschmann
Qu’as-tu fait de ta vie ? « Le pharaon dit à Jacob : ‹ Quel est le nombre de jours des années de ta vie ? › »* Drôle de question que pose là le pharaon à Jacob. Mais Jacob la saisit bien, il ne s’agit pas simplement de rendre compte de son âge, mais bien de ce qu’il a accompli durant ces années de vie. Et Jacob dresse un constat plutôt rude : « Jacob répondit : ‹ Les jours des années de mon pèlerinage sont de cent trente ans. Les jours des années de ma vie ont
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été peu nombreux et mauvais, et ils n’ont point atteint les jours des années de la vie de mes pères durant leur pèlerinage. › »* Et pourtant ce que Jacob dit est vrai. Ses commencements terrestres furent prophétiques de sa vie. Il lutta avec son frère dans le ventre de sa mère (Genèse 25 : 21-26). Il vécut dans un foyer où les parents étaient divisés dans leur affection pour leurs enfants. Il obtint la bénédiction de
son père par la ruse et il fut éloigné de sa famille à cause de la haine d’Esaü (Genèse, chapitre 27). Il passa des années en exile. Rachel, sa femme favorite, mourut prématurément sur le chemin de Bethléhem (Genèse 35 : 16-19). Son fils aîné coucha avec une de ses concubines (Genèse 35 : 22), et son fils préféré fut perdu tragiquement et présumé mort (Genèse 37 : 23-36). Finalement, il y eut la famine qui menaca l’existence de sa famille, et le sous-chef du pharaon sembla enlever son plus jeune fils (Genèse 42 : 29-38).
Au fond, peu importe notre âge, ce qui importe, c’est ce que nous avons fait avec les jours que Dieu nous a donné à vivre sur cette terre, et l’héritage que nous laissons. Ainsi, malgré une vie difficile, Jacob a tout de même pu partir sereinement à la fin de sa vie et bénir ses descendants : « Voici, je vais mourir ! Mais Dieu sera avec vous, et il vous fera retourner dans le pays de vos pères. » (Genèse 48 : 21).
* La Bible, Livre de la Genèse, chapitre 47, versets 8 et 9
évangile
Rendre la justice Florina German
Dans la Bible Ainsi parlait l’Eternel des armées : « Rendez véritablement la justice, et ayez l’un pour l’autre de la bonté et de la miséricorde. N’opprimez pas la veuve et l’orphelin, l’étranger et le pauvre, et ne méditez pas l’un contre l’autre le
mal dans vos cœurs. » Mais ils refusèrent d’être attentifs, ils eurent l’épaule rebelle, et ils endurcirent leurs oreilles pour ne pas entendre. Ils rendirent leur cœur dur comme le diamant, pour ne pas écouter la loi et les paroles que l’Eternel
des armées leur adressait par son esprit, par les premiers prophètes.
La Bible, Livre du prophète Zacharie, chapitre 7, versets 9 à 12
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endre véritablement la justice, c’est ce que la Bible appelle « mishpat ». Ce terme figure environ 200 fois dans l’Ancien Testament, sous diverses formes grammaticales. « Mishpat » signifie juger les personnes qui commettent une erreur ou un crime sans distinction aucune. Il s’agit de se focaliser sur ce que la personne a fait, et non pas sur la personne elle-même. Ainsi, la même jurisprudence vaut pour toutes personnes confondues : hommes ou femmes, jeunes ou personnes âgées, indépendamment de leur couleur de peau ou de leur origine.
Dans un autre contexte, « mishpat » signifie également rendre à une personne ce qui lui est dû. Dans ce contexte, divers groupes cibles sont mentionnés. Le plus souvent, « mishpat » signifie s’occuper des pauvres, des orphelins et des étrangers. Ces personnes qui ont moins de privilèges. Dieu nous appelle à leur donner ce qui leur appartient, les choses auxquelles elles ont droit.
L'injustice se trouve parfois juste sous nos yeux
Dans une société comme au temps de Zacharie, les orphelins, les étrangers et les pauvres se trouvaient en marge de la société. Ainsi, ce sont les premières personnes touchées par les crises. Aujourd’hui, ajoutons les réfugiés, les sansabris, les personnes âgées seules, les mères seules et bien d’autres encore. Ce sont les orphelins de la société. Ils ont droit à être entendus, protégés et soutenus. La Bible nous dit que Dieu est le père des orphelins et le défenseur des veuves*. Il aime et il défend les personnes qui ont le moins de puissance économique et le moins d’influence. C’est pour cela qu’il nous appelle à le suivre et
à pratiquer la véritable justice. Devenons des parents pour les personnes qui n’en ont plus et défendons les droits des démunis. La bonté sera toujours la meilleure réponse aux difficultés. La miséricorde mènera toujours plus loin que l’ignorance. « Mishpat » est un terme qui fait partie d’une société civile idéale. La véritable justice d’une société se mesure dans l’attention qu’elle porte à ses groupes marginaux. « Rendez véritablement la justice » n’est pas une recommandation. C’est un ordre de combat. Et moi, suis-je prête à le suivre ? * La Bible, Psaume 68
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témoignages
Des vies au service de Dieu et d L'âge est souvent synonyme de sagesse. Trois dames ont bien voulu nous partager un peu de leur vie et de leur foi.
fait ». Maintenant, il faut saisir les occasions du moment, et il y en a encore ! Je suis enrichie d’une quantité d’expériences, de bons et de mauvais jours. J’ai accepté le fait que mon opinion n’ait plus grande importance, je m’exerce à garder une attitude positive devant tant de choses qui ont changé. Je veille à ne pas raconter toujours les mêmes histoires. Comment devenir une personne agréable en vieillissant ? Il faut s’y exercer toute la vie. Je n’ai pas toujours réussi. « Asseyez-vous, Madame ! » Les premières fois que quelqu’un m’offrait sa place dans le tram, je me disais : « Ah oui, maintenant je suis vraiment vieille ! » J’accepte avec reconnaissance, car en prenant de l’âge, bien des choses changent. Avant, je courais pour attraper mon tram, maintenant, je pars à temps. Je suis devenue lente. Faire le ménage et la cuisine prennent une grande partie de mon temps. Les handicaps se multiplient : la vue baisse, le souffle est court, les douleurs me tiennent compagnie.
A mon âge, on doit aussi faire face à certains doutes, mais rien ne sert de se dire « si j’'avais su », « si j’'avais pu », « si j’'avais
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J’ai la joie d’avoir une famille, des amis, des anciens collègues. Je m’efforce de regarder autour de moi, où il y a toujours quelqu’un de moins heureux et qui a besoin d’un contact ou simplement d’un sourire. Dieu m’avait appelée à son service comme officière de l’Armée du Salut, ce service ne s’est pas terminé une fois la retraite venue. Je considère cela comme un privilège, et dans mon cœur demeure une grande reconnaissance pour sa présence et son secours constants, aussi maintenant.
Colonelle Ruth Stettler-Hanselmann
Une vie bien remplie C’est vers l’âge de 16 ans, que j’ai eu la conviction intérieure que j’étais appelée au service d’officière de l’Armée du Salut. Pour m’y préparer j’ai effectué un stage d’une année comme cadette à Affoltern am Albis. Cette expérience m’a apporté la certitude que c’était bien là mon chemin. Je suis reconnaissante d’avoir pu, durant 40 ans, partager mon ministère avec mon mari. C’est vrai, celui-ci n’a pas été de tout repos ! Je suis certaine d’une chose, quand Dieu prévoit un chemin pour nous, il ne faut pas hésiter. J’ai beaucoup aimé mon service d’officière dans les Postes, enseigner les enfants, chanter et jouer dans la rue ou les cafés, visiter les gens, mais ce qui m’a rendu heureuse par-dessus tout, c’est d’avoir pu prêcher l’Evangile, parler de ce merveilleux Seigneur à tant de gens. Ce qui m’était le plus pénible ? La collecte de porte à porte deux fois par année ! Bien sûr, tout n’a pas été simple, nous avons affronté bien des défis. Certains assez contraignants, comme lorsque nous étions en charge du Poste de Fleurier. Nous devions diriger deux cultes le dimanche matin, un à Fleurier et l’autre à La Côte-aux-Fées,
témoignages
du prochain
sans oublier celui du soir. C’est la raison pour laquelle j’ai passé, à plus de 30 ans, mon permis de conduire, ainsi je pouvais me rendre seule à la Côte-aux-Fées et également le mercredi où j’enseignais la guitare aux enfants et une fois par mois, le soir, j’y tenais la Ligue du Foyer. Mon ministère n’a pas été parfait, mais grâce au Seigneur, j’ai pu poursuivre la route. Je ne peux qu’exprimer ma reconnaissance à Dieu de m’avoir soutenue dans toutes les circonstances et de m’avoir permis de vivre tant de choses à Son service, et d’avoir pu partager sa Parole à tant de gens rencontrés sur mon chemin. A Dieu seul la gloire ! Major Annette Loosli-Jeanmonod
Au-delà des étiquettes J’ai fait connaissance avec Jésus très jeune. Enfant non désirée, ma mère m’a abandonnée et j’ai été placée dans une maison d’enfants à 9 mois. J’y ai vécu jusqu’à mes 20 ans. Je n’étais pas une enfant calme, faire des sottises me faisait me sentir vivante. J’ai même été mise à la porte de l’Ecole du dimanche. Alors, une des directrices de la maison m’a dit que je devrais aller à l’Armée du Salut, car c’est un endroit pour les bas-tombés. Et là, j’ai trouvé la joie et une famille. J’adorais la musique et comme nous chantions beaucoup et que si je restais sage, je pouvais gratter les cordes de la guitare, je me tenais à carreaux. Je me souviens d’un jour où je portais une pile d’assiettes et où j’ai trébuché. Les directrices de la maison m’ont ordonné d’avouer que j’avais fait exprès de casser les assiettes, me privant de repas, parce que je refusais. Elles ont voulu faire pression en me disant que je pouvais leur mentir, mais que Jésus, lui savait ce qui s’était passé. Au lieu d’avoir l’effet escompté, cela m’a remplie de joie de savoir que Jésus me croyait, et que je pouvais lui en parler. Il est devenu pour moi un ami. Durant toute ma jeunesse on m’a collé l’étiquette de fille nondésirée, qui suivrait forcément un jour le chemin de sa mère. Et pourtant, Dieu m’a aimée et il m’a même permi de le servir pendant dix ans comme officière de l’Armée du Salut. Lorsqu’avec mon mari nous nous sommes retirés du service d’officiers, l’argent est venu à manquer et j’avais besoin
d’acheter de bonnes chaussures d’hiver pour nos enfants. Nous aurions pu croire que Dieu nous laisserait de côté, comme nous avions laissé notre service de côté. Mais une vieille dame de l’église où je donnais l’Ecole du dimanche est venue sonner à notre porte. Elle m’a dit : « Dieu me met à cœur que vous alliez à Orbe acheter, à mes frais, une paire de chaussures pour chaque membre de votre famille. » Alors que je n’en avais parlé à personne ! Dieu est vraiment fidèle et cela me remplit de joie au quotidien, bien que je sois veuve depuis 19 ans et que j’aie perdu une fille. Tant que je suis sur cette terre, je veux être un témoignage, en rayonnant la joie de connaître Christ. Quelles que soient les étiquettes que les gens ou la société vous collent, et il y en a des tonnes, Jésus lui ne vous juge pas. Il vous accueille avec amour et révèle votre véritable identité. Janine Klopfenstein
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à bien y penser ...
Sans tambour ni trompette Le FOMO, à bannir absolument Un nouveau mot est né, FOMO, issu de l’abréviation « Fear Of Missing Out ». Un peu inquiétant, il nous faut un psychothérapeute pour le traduire ; c’est Jean-Charles Nayebi qui s’y colle. Il traduit ce sigle par « anxiété de ratage ». Je ne vous étonnerai certainement pas en vous disant que ce FOMO a quelque chose à voir avec l’omniprésence d’internet dans nos vies… Jean-Charles Nayebi précise : « C’est une envie irrépressible de se connecter à des réseaux pour savoir ce qu’il s’y passe, pour ne pas rater un événement ou laisser échapper une information intéressante. » C’est l’été, tonnerre ! Déconnectons ! Profitons du soleil, des amis, des rencontres, de la magnificence de la nature, peutêtre d’un repos bien mérité et … de l’existence tout simplement. Refusons de nous laisser manipuler par une technologie qui nous rend « accro » à la superficialité de l’événementiel et de l’nformation à tout prix.
Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.
A se laisser embobiner par le FOMO, on finit, tout en douceur, par perdre de vue des essentiels tels que nos aspirations profondes, les vraies relations, le goût de la VIE. La vraie, la nôtre, la seule digne d’être vécue.
Marianne Hefhaf
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infos
WOW 2016 « Pour moi, cette journée est l’une des plus belles de l’année », affirme le lt-colonel Allan Hofer, Secrétaire en chef de l’Armée du Salut Suisse, Autriche et Hongrie. Retour sur la consécration et l’envoi des officiers, le 4 juin 2016, au Centre de conférences St-Chrischona, Bâle.
Lors de cette célébration, l’Armée du Salut a consacré trois diplômés de l’Ecole d’officiers, les a promus Lieutenants et les a affectés à leur premier lieu d’engagement : André Bohni au Poste de Zurich-Oberland, Rahel Steiger au Poste de Thoune et Gábor Nagy au Poste de Gyöngyös en Hongrie. Les trois faisaient partie de la Session des « Messagers de la lumière ». Le Hongrois Tibor SemesBogya, qui sert déjà au Poste de Budapest-Terézváros, a été promu Capitaine-auxiliaire et a été béni pour son service. Un grand groupe en provenance de Hongrie est arrivé en car afin de participer au WOW. Un groupe hongrois a dirigé la louange.
Nom : Prénom : Adresse :
Florence Donzé, Sévrine Weber, Novella Stettler, Sara Omlohr, Sonja Schenk-Leber, Zsófia Vecsey et Edit Kiss. A l’occasion du WOW 2016, l’Armée du Salut leur a souhaité la cordiale bienvenue et les a bénies pour leur temps de formation. Les élèves officières seront les premières étudiantes du Centre de formation de Bienne, et elles accompliront la nouvelle formation orientée vers la pratique. Les (deux) aspirantes officières hongroises accompliront leur école, l’une à Londres, l’autre en Hongrie.
La major Heidi Imboden, Secrétaire des candidats, et la major Regina Wittwer (en Hongrie) ont suivi le groupe Bienvenue aux durant la période de stage. La nouvelles Cadettes major Heidi Imboden a remis Sept femmes ont accompli la bannière de la nouvelle un stage en Suisse ou en Session, portant le nom de Hongrie et se sont décidées « Messagers de l’Evangile », pour le service d’officière : au major Jean-Marc Flückiger,
Oui, je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » pour la somme de CHF 48.– (CHF 67.– étranger)
Localité : Date : Signature : A envoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, Case postale, 3001 Berne redaction@armeedusalut.ch
Les lieutenants Rahel Steiger, Gábor Nagy et André Bohni reçoivent la bénédiction du commissaire Massimo Paone
Directeur du Centre de formation de l’Armée du Salut. Celui-ci l’a fixé à un drapeau. Une nouvelle génération entame la vie d’officier. Florina German
Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case postale | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax : 031 382 05 91 | Courriel : redaction@armeedusalut.ch | Internet : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an : CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général : André Cox | Chef de territoire : Commissaire Massimo Paone | Rédaction Berne: Florina German (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : PierreAndré Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Bergmann, Suchy / Major Jacques Tschanz, La Tour-de-Peilz | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Sébastien Goetschmann | Imprimerie : Rub Media, Wabern | Tirage : CH : 3000 ex. BE : 2000 ex. | Crédit photo : P 1 & 2 : Ghislain Sillaume_flickr.com, j l t_flickr.com, Uzbeer_ flickr.com ; P 3 : SpinAirR_flickr.com ; P 4 & 5 : Ernst Kugler, MAD ; P 7 : Florina German ; P 8 : David Reece_flickr.com | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.
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détente « Regarde-toi un peu. Tu n'as pas honte, d'être si jeune ? A ton âge ! » Daniel Pennac
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Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que : • chaque ligne • chaque colonne • chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths !
Annoncer les rectifications d’adresses
Sudoku