d ialogue
Photo : GreatSmurf_flickr.com.com
Mensuel pour les salutistes et amis de l’Armée du Salut
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Prenons garde à notre alimentation Comment trouver un équilibre alimentaire Aide d’urgence aux Philippines Nouvelles salutistes
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Dialogue
En 2014, le Congrès sera englobé dans une campagne qui débutera officiellement le 2 mars, et dans laquelle chaque Poste et chaque membre seront invités à participer. La campagne sera basée sur un livre issu des réflexions de la Commission internationale de la vie spirituelle « A ppelés à être le Peuple de Dieu », signé par le
commissaire Robert Street. Ainsi, le thème du Congrès « Un peuple, un appel, une passion » visera à construire une Armée unie qui avance vers son objectif. Pour suivre toute l’actualité concernant le Congrès territorial 2014, une page Internet est en cours de création : congres.armeedusalut.ch La Rédaction
Photo : Espace Gruyère & Forum Fribourg
Tous les cinq ans, l’Armée du Salut organise un Congrès territorial. Ainsi, les 10 et 11 mai 2014, toute la famille salutiste, jeunes et moins jeunes, est invitée à venir se rencontrer à Bulle et surtout, à venir rencontrer et honorer Dieu. Les buts du Congrès sont que chaque participant puisse être édifié, béni, encouragé et préparé. Nous désirons que chacun soit motivé à vivre la vision et la mission de l’Armée du Salut avec enthousiasme.
Photo : marketing deluxe_flickr.com
Congrès territorial les 10 et 11 mai 2014 à Bulle
Au régime Une nouvelle année commence, charriant avec elle son traditionnel lot de bonnes résolutions et de rêves à réaliser. Ma première résolution, comme chaque année après les fêtes, est de perdre les quelques kilos superflus amassés au cours des nombreux repas de Noël. Mais ce n’est pas évident de suivre un régime ou de changer ses habitudes alimentaires. Manger sainement et de manière équilibrée est également une préoccupation à l’Armée du Salut, et plus particulièrement dans ses institutions (cf. page 5). Nous donnerons également quelques conseils simples pour surveiller son alimentation (cf. page 4) et vous montrerons comment l’Armée du Salut produit des aliments de qualité, bons autant pour l’estomac que pour la conscience.
Espace Gruyère, à Bulle, accueillera le Congrès territorial de 2014.
Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un bon app... pardon, une agréable lecture et une excellente année 2014. Sébastien Goetschmann
Charte internationale de l’Armée du Salut L’Armée du Salut est un mouvement international et fait partie de l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est motivé par l’amour de Dieu. Sa mission consiste à annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et à soulager, en Son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.
Plus de renseignements dans le dialogue de février
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«dialogue» · mensuel de l’Armée du Salut · janvier 2014
Info AdS
L’Armée du Salut vise une consommation responsable
Photo : Martin Heimann
Lorsque l’on considère l’évolution de la société dans le domaine de la consommation et du rapport à l’alimentation, l’on constate que des univers de découvertes culinaires sont créés autour de la nourriture. Dans les supermarchés, les denrées alimentaires sont présentées de façon si naturelle et attrayante que la liste de commissions reste dans le sac et le panier se remplit de produits frais. Les marchandises doivent être estampillées du label bio et provenir de la région. Le désir d’avoir une alimentation saine issue de la production durable devient une évidence. Dans le monde occidental, pour de nombreuses personnes, se nourrir ne répond plus à un besoin fondamental mais est synonyme de plaisir. Conformément aux deux premiers mots de notre devise – soupe, savon, salut – l’Armée du Salut ne peut pas être indifférente à cette évolution. Que pouvons-nous faire ? Essen Daheim apporte 70 à 90 repas chaque jour dans la région de Bâle.
Agir de façon responsable Nous pouvons agir de façon responsable de deux façons. D’une part, en montrant nousmêmes l’exemple lors de nos achats personnels et dans notre manière de consommer. D’autre part, en nous occupant des plus pauvres parmi les pauvres. Nous montrons ainsi que tout le monde ne peut pas se permettre de manger par pur plaisir.
Au travers de ses différentes offres, l’Armée du Salut joue un rôle actif dans la branche alimentaire. Elle organise par exemple des repas pour les personnes marginalisées, livre des repas à domicile à des personnes âgées dans le cadre de son projet « Essen daheim » ou encore collabore au projet « Tischlein deck dich » (table
couvre-toi). Pour chacun de ces projets, des excédents de nourriture sont distribués à des personnes vivant au seuil ou en dessous du seuil de pauvreté. Martin Künzi, Chef du Département du marketing martin_kuenzi@armeedusalut.ch
De vous à moi
Photos : Werner Tschan
Une alimentation saine Le vœu le plus cher de tout être humain est d’être en bonne santé et de jouir d’une longue vie. Beaucoup d’entre nous espèrent secrètement voir cela se réaliser sans pour autant devoir déployer trop d’efforts. D’autres, en revanche, sont prêts à faire tout leur possible pour y parvenir. Il n’est donc pas étonnant de voir tous les remèdes et autres produits alimentaires miracles que l’on trouve sur le marché.
Nous avons tous déjà expérimenté à quel point il est difficile de changer ses habitudes. Manger plus de fruits et de légumes, n’est pas toujours possible. Les repas pris sur le pouce nous font adopter un comportement « fastfood » malsain. Pour trouver le bon équilibre, divers programmes et aides nous sont proposés.
Une alimentation saine tient compte de la quantité, de la qualité et de la fréquence des repas. Il s’agit avant tout d’un type de comportement.
En fait, nous menons une vie saine spirituellement lorsque nous entretenons une relation avec Jésus !
Tout comme le corps a besoin d’une alimentation saine, notre esprit a besoin d’une nourriture spirituelle saine. Jésus dit : « Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n’aura jamais soif. » (Jean 6 : 35). « Celui qui croit en moi a la vie éternelle. » (Jean 6 : 47).
Dans ce domaine aussi, nous courons le danger de nous contenter de « f astfood ». Mais il existe des programmes et des aides de lectures qui peuvent se révéler être très pratiques. « Parole et textes pour chaque jour » en est un bon exemple. Nous vous encourageons à prendre votre temps, que ce soit pour manger ou pour prier. Les deux sont importants pour votre santé.
Commissaires Franz et Hanny Boschung, Chefs de territoire franz_boschung@armeedusalut.ch hanny_boschung@armeedusalut.ch
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Dossier – Prenons garde à notre alimentation
L’importance de manger sainement La nourriture est nécessaire au bon fonctionnement de notre corps, mais mal équilibrée elle peut également troubler ce fonctionnement. Les aliments sont non seulement l’essence de l’organisme, mais aussi source de vitamines, d’oligo-éléments et de minéraux. Chacune de ces molécules a un rôle bien défini dans l’organisation du corps. L’organisme est muni de baromètres qui permettent de maintenir des taux précis de ces éléments, il élimine le surplus et donne des alertes s’il manque de quelque chose. Une question de modération Il y a un siècle, le diabète de type 2 ou les maladies cardiovasculaires étaient associées aux personnes âgées et dus à un apport excessif en sucre ou en mauvaises graisses dans l’organisme à long terme (presque une vie). Aujourd’hui, des enfants âgés de moins de dix ans viennent nous voir avec le même type de problèmes. Une sédentarité accrue et un accès excessif à
la nourriture de mauvaise qualité en sont la cause. Cela ne signifie pas qu’il ne faut manger que des fruits et des légumes, bien au contraire ! Le corps a besoin de sucre, principale énergie du corps et seule énergie du cerveau. Il a aussi besoin de protéines, lui permettant la reconstruction des cellules endommagées et de graisses qui assurent le maintien de la température corporelle. Pour rester en bonne santé, il s’agira plutôt d’être à l’écoute de son corps et de manger quand on a faim, en répondant à ses réels besoins. Quant à l’équilibre alimentaire*, bonne chance à celui qui essaie de respecter la pyramide alimentaire chaque jour, ce n’est pas possible. Il faut plutôt tenter d’assurer un équilibre sur la semaine. L’équilibre alimentaire en 4 étapes • Idéalement, les repas principaux devraient
Tout est une question d’équilibre
Boissons Boire avant, pendant et entre les repas procure une sensation de satiété et évite de céder à la tentation de manger par gourmandise ou par frustration.
Mixez une banane, une orange, ½ mangue, ¼ d’ananas avec trois cuillères à soupe de yaourt ou de lait. Céréales, pommes-de-terre et légumes secs Si vous souhaitez perdre du poids, ne renoncez pas aux glucides. Ils sont un carburant pour le cerveau et les globules rouges. Choisissez plutôt des produits à base de blé complet. Ils rassasient mieux et plus longtemps, contiennent plus de substances nutritives et favorisent la digestion.
Fruits et légumes Les pommes qui sont dans le plat à fruits ne font pas forcément envie. L aissezvous séduire par un smoothie de fruits exotiques !
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• Entre les repas, il est bien de préférer les fruits et les produits laitiers. • Ne pas oublier de se faire plaisir ! Laisser une petite place pour le chocolat et les friandises de temps en temps et avec modération. • Bien que l’homme moderne tende à la sédentarité, le corps continue de faire des réserves pour les jours plus difficiles. Avoir une activité physique régulière permet à l’organisme de mieux brûler ses réserves et d’avoir une meilleure évacuation des déchets. Johanie Bürki, étudiante HEDS Genève 3e année diététique
*Pour plus d’informations, consultez la page de la SSN (Société Suisse de Nutrition) : sge-ssn.ch
prêt, qui contient cinq fois plus de sucre ! La viande bien assaisonnée est préférable à de la viande pannée.
Une alimentation alliant plaisir et équilibre est une composante d’un mode de vie sain. Non seulement bonne pour le corps, elle participe aussi à la joie de vivre. Car les repas sont des temps de détente et de rencontre. La pyramide alimentaire fournit des recommandations pour une alimentation équilibrée. Les aliments qui figurent en bas de la pyramide sont à savourer en grandes quantités, alors que ceux qui se trouvent au sommet doivent être consommés avec modération. Aucun aliment n’est interdit !
être composés de légumes (½ assiette), de féculents (¼ d’assiette) et d’un apport en protéines (¼ d’assiette). Se resservir seulement si la faim est toujours présente.
Produits laitiers, viande, poisson, œufs et tofu Préférez un yaourt nature avec des fruits frais à un yaourt tout
Huiles, matières grasses et fruits oléagineux Avez-vous déjà essayé l’huile d’olive ou de colza ? Les huiles de qualité ont une influence positive sur le taux de graisse dans le sang et réduisent le risque de maladies cardio-vasculaires. Sucreries, snacks salés et alcool Prenez le temps d’apprécier ce que vous mangez plutôt que d’engloutir de grosses portions en vitesse. Les aliments sucrés sont encore meilleurs lorsque vous les laissez fondre sur la langue. Si, petit à petit, vous prenez l’habitude de moins sucrer vos aliments, vous apprécierez, avec le temps, les aliments moins sucrés. Important : l’alimentation doit être accompagnée d’exercices réguliers. Faites du sport trois fois par semaine, si possible en plein air. Privilégiez quotidiennement les escaliers plutôt que l’ascenseur, ou allez faire vos courses à vélo. Je vous souhaite beaucoup de succès ! Jasmine Hari, nutritionniste
Cannelloni et ratatouille Les enfants du Foyer Holee, à Bâle, se servent de préférence eux-mêmes. Des légumes font quand même leur apparition dans leur assiette.
Photo : Sara Stöcklin
« Ce que je cuisine n’est pourtant pas dégueulasse ! » explique Karin Stotz aux enfants, lorsqu’elle les surprend à retrousser le nez. Personne n’est obligé d’aimer tous les aliments. Les enfants doivent cependant apprendre que les aliments sont de valeur égale même s’il ne faut pas tous les ingurgiter dans la même quantité.
Karine Stotz souhaite que les enfants apprennent d’eux-mêmes à apprécier les divers aliments.
Karin Stotz, qui gère l’intendance du Foyer Holee depuis de nombreuses années, connaît bien ses pensionnaires adolescents et leurs préférences. Lorsqu’ils ont fini l’école, les deux douzaines de bambins jettent d’abord un coup d’œil dans la cuisine : « Qu’est-ce qu’il y a de bon à manger aujourd’hui ? » Ce qui a la cote, ce sont les classiques comme les frites, la pizza et les spaghettis. Mais les légumes sont également appréciés, si la ratatouille est présentée sous forme colorée ou si les légumes « se cachent » dans des cannellonis, des veloutés, des gratins et des pots-au-feu. Les légumes contenant des substances amères, comme le fenouil ou la chicorée, rencontrent moins de succès. Les règles de tables sont convenues au sein du groupe. Tandis que, jadis, chaque enfant pouvait mentionner trois aliments qu’il ne devait pas manger (pour chaque aliment
supplémentaire rajouté à la liste, il fallait en retirer un autre), aujourd’hui, on se sert comme on veut. Il est intéressant de constater qu’il ne reste pas plus de légumes dans le plat qu’auparavant. L’une des raisons en est la dynamique de groupe, comme le confie Karin Stotz. Pour elle, les repas ne doivent pas servir à des luttes de pouvoir : « Nous ne voulons pas créer de climat négatif en exerçant des pressions mais plutôt prêcher par l’exemple. » L’assaut des deux places libres à la table de l’équipe d’intendance illustre bien que cela fonctionne. Les enfants se réjouissent lorsqu’ils peuvent exceptionnellement manger avec la cuisinière ! Lorsque la nourriture (mal)saine devient quand même un problème, on recherche des solutions individuelles. C’est ainsi qu’un enfant souffrant d’une forte surcharge pondérale peut se servir de salade à discrétion, mais ne peut pendre qu’une assiette de nouilles. Et qu’en est-il des sucreries ? Elles sont sous couvercle. Chaque enfant dispose de sa propre boîte à dessert, qui peut être remplie à souhait, mais qui ne peut toutefois pas être vidée à tout moment. Sara Stöcklin
Une cuisine équilibrée et qui fait plaisir Le label « Fourchette verte » a été créé en 1993, dans le but de promouvoir une restauration de qualité qui concilie plaisir et santé. Aujourd’hui, ce sont plus de 1200 établissements à travers la Suisse qui possèdent ce label, lequel se décline en quatre tranches d’âges allant de la crèche à l’EMS. Rencontre avec Jeanine Petrus, responsable de la cuisine à l’EMS salutiste « Phare Elim » à La Tour-de-Peilz. servons de petites quantités à la fois, ce qui évite de couper l’appétit aux petits
mangeurs, et nous passons une deuxième fois pendant le service aux tables.
Photo : Jacques Tschanz
Que signifie « Fourchette verte » pour vous dans le quotidien ? C’est un label qui atteste que nous faisons une cuisine équilibrée et qui fait plaisir aux pensionnaires. J’ai à cœur de faire une telle cuisine et le label ne change pas grand-chose pour moi. Nous sommes contrôlés deux fois par an et les normes pour EMS ne sont pas aussi contraignantes que celles d’une crèche. Quels surcoûts une cuisine équilibrée engendre-t-elle ? Cela ne coûte pas plus cher. Nous faisons attention aux différents critères du label, nous
« Fourchettes verte » met de l’importance sur l’hygiène et le tri des déchets. Qu’en pensez-vous ? La question de l’hygiène dans un EMS est tellement rigoureuse que c’est un fait établi. Nous devons être au maximum tout le temps. Concernant le tri des déchets, nous sommes heureux que les restes alimentaires soient recueillis pour fabriquer du biogaz. Questions : Jacques Tschanz
Jeanine Petrus, responsable de la cuisine au « Phare Elim », aime faire plaisir avec sa cuisine.
www.fourchetteverte.ch
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Dossier – Prenons garde à notre alimentation
Photos : Buchseegut
Des légumes très appréciés Au Buchseegut à Köniz, le travail de la terre est une tradition. En 1903, les premiers pensionnaires y cultivaient déjà des légumes. On peut dire que c’est une histoire à succès.
La culture et la vente de légumes font partie de l’identité de l’institution. Ceci peut expliquer le succès et la qualité des produits du Buchseegut, en particulier des plants et des tomates : « Nous essayons de nous approcher le plus possible d’une production intégrée, explique Marcel Mäder, responsable du jardin. Nous ne sommes pas soumis à un cahier des charges comme pour le label Bio, par exemple, car nous ne pourrions lut-
ter avec les grands producteurs de la région sur un tel marché, mais nous utilisons les engrais minéraux et les produits phytosanitaires (insecticides, herbicides) en quantités minimales. » « Notre philosophie concernant les engrais et produits chimiques est : utiliser le moins possible, mais autant que nécessaire », enchérit Hanz Lanz, adjoint du responsable d’institution.
Le travail au jardin fait partie de l’aide à la réinsertion.
Une production d’envergure Sur les 3 500 m 2 de surface cultivable, l’institution produit par exemple trois tonnes de tomates, deux tonnes de concombres, plus d’une tonne de haricots, une tonne de céleri, 560 kilos de betterave par an. Tous ces fruits et légumes, le Buchseegut les utilise en partie pour les besoins de l’institution, mais en vend une grande partie à ses clients (des institutions de l’Armée du Salut et de la ville, certains restaurants de la région et des clients privés).
Produits frais et de saison se trouvent au petit magasin que tient l’institution.
Ceci explique que le Buchseegut vende également des oranges d’Espagne ou des bananes d’Amérique du sud. Pour satisfaire ses clients, l’institution se doit de pouvoir proposer un assortiment complet toute l’année, ce qui n’est pas possible uniquement avec les denrées de sa propre production. Mais la priorité est toujours donnée aux produits de la région. Le particulier peut également profiter de faire son marché au magasin du Buchseegut. Entre les fleurs et l’artisanat produit dans les ateliers, il y trouvera fruits et légumes frais ou séchés, sirop et confitures maison, et même des tresses au beurre le samedi. Sébastien Goetschmann
Situé au dessus de Saint-Aubin, le Devens est une institution spécialisée en alcoologie, mais également une exploitation agricole de qualité. Leur jus de pommes est en vente dans la boutique de l’institution. Sur les 27 hectares du domaine agricole, bovins, porcs, chevaux, moutons et lapins y sont élevés ; céréales et légumes y sont cultivés ; et les pommiers permettent à l’institution de presser un excellent jus de pommes. Monsieur Marc-Henry Mayor, Chef d’exploitation, explique que le Devens suit les Prestations écologiques requises : « R especter ce cadre montre que nous travaillons en adéquation avec ce qui se fait aujourd’hui dans le milieu. Cela signifie aussi que nous produisons dans le respect des animaux et de l’écologie, c’est un gage de qualité. Pour l’élevage des porcs par exemple, nous respectons les
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exigences du label IP Suisse. » Si la production animale et maraîchère est utilisée à l’interne ou distribuée à des grossistes, il est possible Les légumes sont principalement utilisés pour les besoins de l’insau visiteur de goûter au titution. jus de pommes naturel du Devens. « Nous produisons habituel- pas filtré et il est moins sucré que ceux lement 1 200 litres par année, explique dont on a l’habitude. » Ce qui ne l’emMonsieur Mayor. La plupart est utilisée pêche pas d’être un produit de qualité, dans l’institution, mais une partie se trouve déjà primé dans des concours. en vente à la boutique. Issu des variétés Propos recueillis par Sébastien Goetschmann qui poussent sur l’exploitation, ce jus de pommes est un peu particulier, car il n’est
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Photo : Marc-Henry Mayor
Produire dans le respect des animaux et de l’écologie
Echos
Dialogue spécial alimentation oblige, les membres de la Rédaction vous offrent une de leurs recettes préférées. Filets de perche au goût d’hiver en entrée (Jacques Tschanz) 16 filets de perche Huile de noisette 75 g de beurre 1 cuillère à café de « 5 épices » (se trouve tout prêt dans les magasins d’alimentation asiatiques) Le jus d’un citron vert Sel et poivre Saler et poivrer légèrement les filets, les poêler à l’huile uniquement côté peau (retirer de la poêle et réserver au chaud lorsque le filet est devenu blanc). Verser le beurre et le « 5 épices » dans la poêle, y ajouter le jus de citron une fois le beurre devenu noisette. Dresser les filets et verser le beurre chaud par dessus. Décorer avec des feuilles d’endives garnies de miettes de roquefort et de cubes de pomme.
Soupe de châtaigne pour un soir d’hiver (Sébastien Goetschmann) 200 g de châtaignes fraîches 3 cuillères à soupe d’huile d’olive 2 échalotes 1 gousse d’ail 1 pomme de terre 1 carotte 5 dl de lait Anis étoilé ou cannelle (facultatif) Sel, poivre et crème Fendre l’écorce des châtaignes et les cuire à la vapeur 20 minutes. Les débarrasser de leur écorce ainsi que la peau blanche. Laver, éplucher et couper l’ail, les échalotes, la pomme de terre et la carotte. Faire suer l’ail et les échalotes à l’huile d’olive, ajouter les châtaignes, les dés de carotte et de pomme de terre et recouvrir avec le lait froid. Ajouter 1-2 étoiles d’anis ou un brin de cannelle. Faire chauffer et laisser mijoter à feu très doux environ 30 minutes. Assaisonner selon votre goût. Ajouter un peu de crème et mixer puis passer au chinois étamine. Quiche de millet, pas seulement pour les végétariens ! (Sara Stöcklin) 200 g de millet 250 g de poireaux 1 cuillère à soupe de beurre
1 cuillère à soupe de curry 6 dl de bouillon légumes 1 oeuf 75 g de parmesan Hacher finement les poireaux et les faire suer dans le beurre, ajouter le curry et le millet et faire revenir brièvement. Recouvrir du bouillon et laisser mijoter à feu doux 20 minutes, en remuant de temps en temps. Laisser refroidir légèrement. Mélanger l’œuf, 2/3 du parmesan et du sel à la masse, placer le mélange dans le moule et lisser. Saupoudrer avec le reste du parmesan, puis cuire au milieu du four préchauffé à 200°C pendant 15 minutes. Mousse au chocolat pour se faire plaisir (Elsbeth Cachelin) Photos : MAD
Le coin recettes
2 jaunes d’œufs 50 g de sucre 100 g de chocolat noir 2 blancs d’œufs, battus 2 dl de demi-crème, battue Mélanger les jaunes d’œufs avec le sucre jusqu’à obtenir une consistance mousseuse. Faire fondre le chocolat au bainmarie et y incorporer la mousse. Ajouter les blancs d’œufs et la crème. Appréciez et n’oubliez pas de manger léger le lendemain. La Rédaction
Photo : Martin Künzi
L’Armée du Salut récompensée Le projet un peu fou du Concours Eurovision de la chanson a permis à l’Armée du Salut en Suisse de remporter le prix de la catégorie ONG aux European Excellence Awards, le 5 décembre à Munich. Le European Excellence Award, dont c’était la septième édition, récompense des entreprises de toute l’Europe pour leurs excellentes performances en matière de marketing et de communication. Christoph Jakob et Emil Ramsauer du groupe Takasa accompagnaient Martin Künzi, Responsable Marketing, à la cérémonie de gala, qui s’est déroulée au Postpalast de Munich. Parmi plus de 1500 participants, l’Armée du Salut était retenue dans trois catégo-
ries : « Meilleure campagne », « Organisations non gouvernementales » et « Suisse, Autriche ». « Ces nominations sont pour nous la confirmation que nous faisons de notre mieux dans tous les domaines et que nous effectuons avec passion les tâches variées qui nous sont confiées, que ce soit en tant qu’Eglise ou institution sociale », relevait Martin Künzi, directeur Marketing. La Rédaction
Christoph Jakob et Emil Ramsauer, fiers de ce prix. «dialogue» · mensuel de l’Armée du Salut · janvier 2014
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Echos
Aide pour les victimes du cyclone aux Philippines Le 7 novembre, le typhon Haiyan a dévasté les Philippines et a coûté la vie à plus de 5 600 personnes et en a laissé plus de quatre millions sans abri. L’Armée du Salut était présente sur place dès le premier jour. Ses officiers actifs dans les îles touchées avaient directement accès aux victimes de la catastrophe et ont apporté leur aide, chaque fois qu’ils l’ont pu.
L’Armée du Salut continue de distribuer de l’eau potable et de la nourriture à des centaines de familles dans les zones sinistrées. Un paquet de nourriture contient 10 kg de riz, des boîtes de sardines, de la viande de bœuf séchée et des sachets de soupe aux nouilles. Dans la région de Manille, où a été érigé un camp de tentes
pour les réfugiés, des membres de l’Armée du Salut apportent leur soutien matériel et spirituel. De nombreuses personnes sont sous le choc. Bien que les Philippines soient touchées par en moyenne 19 typhons chaque année, la catastrophe actuelle est d’une ampleur sans précédent. Les séquelles seront encore perceptibles durant de nombreuses années.
à long terme pour le pays. La phase d’aide d’urgence touche bientôt à son terme et c’est la phase fastidieuse de rétablissement et de reconstruction qui commence. L’aide reste nécessaire même si les images de la catastrophe ont disparu des médias.
Contribution de la Suisse L’Armée du Salut en Suisse a mis 20 000 francs à disposition pour la distribution urgente de nourriture. De concert avec d’autres Territoires, elle s’engagera aussi
L’Armée du Salut en Suisse est reconnaissante pour chaque don versé sur le compte 30-6709-1 (mention « aide d’urgence aux Philippines » ).
Anaël Jambers Project Officer Asie
Photos : Salvation Army IHQ
Dans la ville de Baybay, la Doctoresse salutiste Mirriam Cepe s’est occupée de la prise en charge médicale des victimes du cyclone sur mandat des autorités. Son équipe a pu collaborer avec l’hôpital local. Une semaine après le typhon, l’Armée du Salut avait préparé 54 tonnes de nourriture, dont le transport avait été organisé par l’Œuvre sociale. Sur le terrain, Damaris Frick (équipe d’aide en cas de catastrophe du QGI) et des officiers locaux se sont occupés de la distribution, en coordination avec les autorités et les autres œuvres d’entraide. Le plus grand problème pour l’aide d’urgence a été l’acheminement des marchandises dans les zones touchées, étant donné que les infrastructures de ces régions ont été détruites. Le manque d’électricité et la mauvaise réception pour les téléphones portables ont également constitué de grands défis pour les aides.
Scène de destruction à Tacloban. L’Armée du Salut aide, notamment en distribuant de la nourriture.
Bienvenue à Sara Stöcklin
« Ce qui me plaît dans le journalisme, c’est de relier l’information. J’aime découvrir des histoires passionnantes et les partager. Je me réjouis d’apprendre à connaître les différentes facettes de l’Armée du Salut. Je souhaite également pouvoir emmener les lecteurs dans mes explorations et contribuer, par mon travail, à les mettre en relation.
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J’ai hâte de poursuivre le dialogue dans le vrai sens du mot - le dialogue avec les gens qui sont au service de l’Armée du Salut, de promouvoir des projets passionnants et de répandre la bonne nouvelle en paroles et en actes, mais aussi de dialoguer avec vous, chers lectrices et lecteurs. »
«dialogue» · mensuel de l’Armée du Salut · janvier 2014
Sara Stöcklin
Photo : Lukas Stöcklin
Sara Stöcklin (32 ans) habite à Bâle. Elle a étudié la philosophie et la théologie, puis fait des études en histoire écclésiastique et se réjouit de pouvoir travailler à l’Armée du Salut au sein de l’équipe de rédaction.
Nous nous réjouissons que Sara Stöcklin puisse faire un bout de chemin avec nous et avec vous qui lisez le « dialogue ».
L’Armée du Salut se mêle à la population
Photo : Thomas Bösch
Qu’est-ce que c’est que cette couleur orange ? C’est ce qu’ont voulu découvrir les 55 participants à la formation « Vivre Orange », qui s’est déroulée à Berne à la fin du mois de novembre.
55 personnes de Suisse romande et de Suisse alémanique ont pris part à cette journée de formation.
« Et si chaque fois que vous voyez la couleur orange, vous songiez aux transformations qui sont nécessaires pour pouvoir atteindre la génération future ? » « Et si le mélange du rouge et du jaune vous rappelait toujours la signification du partenariat, en particulier avec les familles ? » « Et si, la prochaine fois que vous tombez sur quelque chose de couleur orange, vous pensiez à votre communauté (Poste) qui enthousiasme les enfants et les jeunes pour Dieu ? » L’action « V ivre Orange » est partie de la constatation que de nombreux jeunes se détournent de la foi et de leur communauté (Poste) dès qu’ils atteignent l’âge adulte. Au cours des dernières années, de nombreux responsables du travail parmi les
enfants et les jeunes ont réfléchi à cette situation préoccupante. Ces réflexions ont débouché sur une nouvelle manière de penser : les familles et les communautés (Postes) entendent se rassembler afin de gagner la génération future à Christ.
Samedi 30 novembre, le Poste de Moutier tenait un stand au marché paysan de la ville. La Brocante y vendait tout spécialement des articles de Noël. En entrant dans la grande tente, montée devant l’entrée de l’ancien stand, on repère tout de suite la table de l’Armée du Salut. Le Redshield est fièrement accroché derrière les nombreux articles amenés par Rose-Marie Solimeno et son équipe. Rose-Marie, c’est la responsable de la Brocante de Moutier. Elle tient le stand au Marché paysan depuis une dizaine d’années et pour elle, c’est chaque fois un plaisir de pouvoir y participer : « L’atmosphère est particulière, expliquet-elle. Il me semble que les contacts sont plus faciles, les gens prennent le temps de discuter ici. Et ils sont aussi plus généreux, certains n’achètent rien, mais laissent une petite pièce dans le tronc. » La Rédaction
Photo : Sébastien Goetschmann
« Vivre Orange » pour toucher les jeunes
Ce nouveau concept a reçu un nom au cours des années passées : « V ivre Orange ». La lumière de la communauté (jaune) s’allie à l’amour de la famille (rouge). Ensemble (orange), ils déploient une force décuplée. Hans Forrer, qui dirige l’action « V ivre Orange » au sein de Chrischona Suisse, a expliqué, lors de la formation, les principes de base de la vision et les valeurs qui la sous-tendent. Ensemble, nous avons tenté de trouver comment nous, Armée du Salut, pouvions, chacun à notre niveau, mettre en œuvre « Vivre Orange ». Ce sont les premiers petits pas qui, espérons-le, seront suivis de nombreux autres, et qui auront des répercussions sur nos Postes, sur nos jeunes et sur toutes les générations. Majors Barbara et Thomas Bösch
La Brocante de Moutier fait connaître son activité et l’Armée du Salut grâce à sa présence au Marché paysan.
«dialogue» · mensuel de l’Armée du Salut · janvier 2014
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Nota bene
Agenda des Chefs
Les commissaires Franz et Hanny Boschung, responsables territoriaux : 16 janvier : Visite des officiers à la retraite, Division Est 24 janvier : Conseils d’officiers Division romande, St-Légier 3 – 5 février : Audit territorial avec le Secrétaire international du QGI 9 février : Culte au Poste d’Amriswil 11 février : Séance de la Direction, Le Devens Les lts-colonels Massimo Tursi, Secrétaire en chef et Anne-Florence Tursi, Secrétaire territoriale Société & Famille : 22 – 23 janvier : Steering Committee for „One Army Impact Project”, Londres 26 janvier : Culte au Poste de Tramelan 2 février : Culte au Poste d’Yverdon 3 – 5 février : Audit territorial avec le Secrétaire international du QGI 11 février : Séance de la Direction, Le Devens Cours ouverts à tous
Le monde de la Bible Enseignant : Jakob Holland, lic. Théol. 8 février, 1er et 2 mars, 12 avril, 23 et 24 mai 2014 Ministère de l’accompagnement pastoral Enseignante : Major Evelyne Rothacher 13 mars, 10 avril, 24 avril, 22 mai 2014, à la salle de l’Armée du Salut de Morges Préparation des couples au mariage Enseignants : C. et V. Reichel, thérapeutes pour couples et familles 27 mars 2014, à la salle de l’Armée du Salut de Lausanne Accompagnement des couples après le mariage Enseignants : C. et V. Reichel, thérapeutes pour couples et familles 28 mars 2014, à la salle de l’Armée du Salut de Lausanne Sauf autre indication, les cours ont lieu au Centre de formation de l’Armée du Salut à Bâle. Informations détaillées des cours sur ads-centredeformation.ch. Inscriptions : s’adresser à Evelyne Rothacher 024 466 95 73 evelyne_rothacher@armeedusalut.ch
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Mutations internationales
Un livre à découvrir
Au 1er février 2014 Les lieutenants-colonels David et Maria Alarcon deviendront Secrétaire en chef et Secrétaire territoriale des Ministères Féminins (MF) du Territoire de l’Amérique latine Nord. Ils succéderont aux lieutenants-colonels Josue et Ruth Cerezo qui retournent servir au Mexique, leur Territoire natal.
La Suisse, Dieu & l’argent traite d’une thématique essentielle et très actuelle pour la Suisse. Les décisions et les initiatives prises dans notre pays peuvent avoir un effet spectaculaire sur des millions de personnes qui n’ont pas le pouvoir de faire entendre leur voix. Ainsi, le lecteur est invité à découvrir la déclinaison helvétique des problématiques liées à l’argent.
Au 1er avril 2014 Les lieutenants-colonels Andrew et Yvonne Westrupp deviendront responsables territoriaux du Territoire de la Papouasie Nouvelle Guinée, respectivement comme Commandant territorial et Présidente territoriale des MF, avec promotion au grade de colonel. Ils succéderont aux colonels Neil et Christine Webb, mutés au Quartier Général international.
L’occasion de passer en revue des questions comme le secret bancaire, l’optimisation fiscale, la spéculation dans les matières premières, la corruption dans le sport… Autant de contributions qui posent la question du rapport des Suisses à l’argent. Idole sur l’autel de laquelle nous sommes prêts à tout sacrifier ou instrument qui permet l’échange, la miséricorde et la construction d’un monde plus juste ?
Zone Europe Le lieutenant-colonel Jonathan Roberts prendra de nouvelles responsabilités dans le Territoire du Royaume-Uni avec l’Irlande en août 2014.
La Suisse, Dieu & l’argent a bénéficié de contributions d’Irène Cherpillod, économiste, spécialiste des questions de bonne gouvernance et salutiste, de Samuel Ninck-Lehmann et Markus Meury du Forum Christnet, et d’auteurs provenant d’ONG engagées dans le combat pour plus de justice dans le monde.
Le colonel Neil Webb deviendra Soussecrétaire pour la Zone Europe dès le 1er avril 2014. Félicitations
85 ans 5 février : Major Anna Rieder, Appenzellerstrasse 37, 9424 Rheineck 80 ans 16 janvier : Major Alice Zuber, Schützenstrasse 18, 3627 Heimberg 75 ans 1 février : Capitaine Margrit Kramer, Kreuzackerstrasse 7, 8623 Wetzikon Jeunesse
Les 18 et 19 janvier 2014 aura lieu le Week-end de KT au chalet des Ecureuils (Les Rasses). Le samedi 25 janvier 2014, aura lieu la RJ Login à l’Eglise Evangélique d’Oron-laVille, (Route du Flon 28). Cette journée est destinée aux leaders, co-leaders et futurs leaders de groupes de jeunes. Plus de 250 leaders sont attendus, y serez-vous ? facebook.com/rencontredejeunesse
«dialogue» · mensuel de l’Armée du Salut · janvier 2014
Disponible dans les Postes de l’Armée du Salut en Suisse et auprès du Shop de l’Armée du Salut Suisse. shop.armeedusalut.ch La Suisse, Dieu & l’argent, Dossier Vivre 36, Saint-Prex, Je sème, 2013, 232p. Prix 15.-
Lu pour vous
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Songwriter’s Night DVD
Photo : Claude Cœudevez
Photo : Music & Gospel Arts
Sierre Gospel 2014
Un moment avec Jésus Chaque jour de l’année Les DVD de la Songwriter’s Night sont désormais disponibles. Commandez votre DVD sur le site de Music & Gospel Arts ! de.gospelarts.ch
Le concert clôturant le week-end de répétition de l’atelier Sierre Gospel aura lieu dimanche 26 janvier, à 17h30. Sous la conduite de Pascale Bardet, Sierre-Gospel vous fera exploser de bonheur ! L’événement prenant de plus en plus d’ampleur au fil des éditions, le concert se déroulera en la Salle Polyvalente de Conthey. Entrée libre, chapeau.
En 2012, l’Armée du Salut en Suisse avait organisé un concours pour les auteurscompositeurs. Onze auteurs ont ainsi eu la chance de se produire, accompagnés par des musiciens et chanteurs talentueux, dans un concert unique à Aarau, le 11 mai 2013. En plus de l’enregistrement des 14 chansons concert, le DVD contient également des extraits du séminaire donné par Noel Richards (en anglais). Ceux qui ont aimé le CD « Beziehig », vont adorer ce DVD ! Durée : env. 70 min. Format d'image : écran large 16:9 Format audio : stéréo 2.0 Langue : allemand Sous-titres : français
Le saviez-vous ?
Photo : Jacques Tschanz
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, le jus d’oranges n’est pas toujours bon pour la santé ! Un verre de jus d’oranges (200 ml) fabriqué à base de concentré peut contenir plus de 6 morceaux de sucre ! Le bon réflexe est de contrôler la teneur en sucre avant d’acheter.
Check-up pour les Chefs Dans le soucis de prendre soins de la santé de ses « senior leaders » l’Armée du Salut demande à tous les Chefs des Territoires, Secrétaires en chef et leurs épouses de passer des examens médicaux tous les deux ans. Un bilan de santé complet qui doit être effectué chez son médecin de famille.
Par Sarah Young Editions Ourania ISBN édition impriméee : 978-2940335-82-4 ISBN format epub : 978-2-88913-574-5
Ce livre est un recueil de notes que Sarah Young a prises durant ses temps d’intimité avec Dieu. Bible, stylo et cahier en main, elle a retranscrit les messages reçus de Dieu lorsqu’elle prenait du temps dans sa présence. Cet ouvrage est écrit comme si Jésus s’adressait aux lecteurs. Chaque pensée est une invitation à entrer dans un dialogue avec Dieu, à prendre le temps de l’écoute de ce que le Seigneur veut nous dire personnellement, à expérimenter de manière toujours plus tangible sa présence et sa paix réconfortantes. L’auteure encourage à lire ces textes lentement et dans un endroit calme, et comme ce sont en partie ses pensées, à les confronter à la Parole de Dieu, qui reste l’unique source infaillible du message divin. Ce livre est un bon moyen de fixer un temps quotidien pour se plonger dans la présence de Dieu, en lui laissant la place pour répondre à nos questions, nos peurs ou nos doutes. Sébastien Goetschmann
«dialogue» · mensuel de l’Armée du Salut · janvier 2014
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Le calme dans la tempête Non, ma conversion n’a rien de spectaculaire. Je n’ai jamais été toxicomane et j’étais plutôt réputé pour passer inaperçu. Je ne peux pas non plus parler d’un « avant » et d’un « après » ma conversion. J’ai vécu une enfance heureuse, dans une famille aimante. Pourtant, des événements ont profondément marqué ma vie. Mon grand-père est décédé de la tuberculose alors que j’avais neuf ans et, deux ans plus tard, mon père est décédé d’une sclérose en plaques. Tous deux étaient croyants et priaient pour une guérison. Pourtant, Dieu avait d’autres plans.
Capitaine David Künzi, Poste de Grischa, Davos
Dans le prochain « dialogue »
Dialoguer avec Dieu
Un jardin
L’Armée du Salut estelle encore visible ?
Pierre-Yves Zwahlen Prières d’espérance, Ed LLB
Photo : minnepixel
_flickr.com
Père, Tu aimes les jardins ! Tu as toujours voulu que l’on y vive. Tu aimes la beauté luxuriante, l’abondance des espèces, la diversité des parfums. Tu aimes l’apparente anarchie de la vie sauvage, cette profusion de couleurs qui se rit des codes et des règles artistiques. Tu aimes que la spontanéité de la vie prenne le pas sur les projets, les plans bien définis qui nous enferment dans un avenir programmé. Tu aimes les jardins sauvages qui débordent des murs, renversent les barrières, transforment les grilles en un savant tableau de couleurs et d’odeurs. Père, fais de ma vie un jardin luxuriant, un lieu de création, un espace de liberté.
Impressum Mensuel pour les salutistes et amis de l’Armée du Salut. armeedusalut.ch Edition et rédaction Quartier Général Suisse-Autriche-Hongrie Laupenstrasse 5 - CP 6575 - CH-3001 Berne Téléphone 031 388 05 02 redaction@armeedusalut.ch Les changements d’adresse doivent nous être directement communiqués. Equipe de rédaction Sergent Martin Künzi (Chef Marketing), Major Jacques Tschanz (Responsable Communication), Sébastien Goetschmann (Rédacteur), Major Christine Volet-Sterckx (Neuchâtel), Monique Bürki (St-Aubin) et Capitaine Pascal Donzé (Tramelan). Layout Rolf Messerli Impression rubmedia, Wabern/Berne Fondateur William Booth Général André Cox Chef de territoire Commissaire Franz Boschung Abonnement annuel dialogue Espoir * Etranger
La tradition des prêches dans les rues, de la distribution des « Cri de guerre » dans les cafés, est terminée. Cela veut-il dire que l’Armée du Salut ne se montre plus ? Ou d’autres moyens sont-ils utilisés pour rendre l’Armée du Salut et son action visibles ? La Rédaction
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JAB
Je voulais une réponse qui parvienne à me convaincre que Dieu était bon et digne de confiance, comme c’est écrit dans la Bible. Dieu est non seulement parvenu à m’aider
Aujourd’hui, je suis reconnaissant pour sa direction dans ma vie, que j’ai aussi pu expérimenter lors du choix d’une profession et de ma conjointe. J’ai fait la connaissance de Marian et notre relation s’est rapidement approfondie. C’est un cadeau de pouvoir servir à ses côtés depuis 2001 en tant qu’officiers de l’Armée du Salut.
3001 Berne
Je me souviens de ce que ces questions ont éveillé en moi. Comment cela était-il possible si Dieu était ce Père aimant dont on m’avait parlé à l’école du dimanche ? D’une certaine façon, je luttais alors avec Dieu, tout enfant que j’étais.
à gérer les accusations que je portais contre lui, mais il a aussi apaisé mon âme agitée. J’ai ressenti cela si personnellement que j’ai décidé de croire qu’en toutes choses et malgré tout, Dieu nous veut du bien. Cela ne valait pas que pour certains élus mais aussi pour moi. En choisissant de m’intéresser à lui plutôt que de m’éloigner, j’ai appris à faire confiance à Jésus, cet ami fidèle, sauveur personnel et bon berger. Dieu ne vient jamais trop tard, Il est celui qui chemine à mes côtés.
Photo : MAD
Maintenir le dialogue
«dialogue» · mensuel de l’Armée du Salut · janvier 2014
CHF 46.– | 65.–* CHF 48.– | 67.–*
« J ésus leur dit : ‹ M a nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son oeuvre. › » Jean 4 : 34