Bimensuel de l’Armée du Salut - 121e année - N°17 / 18 - 2011
Social
75 ans de soutien aux femmes en difficulté
Stéphanie Barbey
En 2011, nous commémorons les 75 ans du Foyer Féminin de l’Armée du Salut à Lausanne. En septembre aura lieu une fête en cette occasion. Actuellement, 22 femmes présentant des difficultés psychiques y sont hébergées.
L
a famille Aguet fait construire en 1896 une villa « sous Montbenon » à Lausanne. Très tôt, cette maison devient un lieu communautaire. Elle s’est appelée tour à tour « Pension de famille pour dames l’Etoile », Home « Pension de Nice », « Hôtel de Nice », « L a maison du jeune homme » et « Home Féminin » de l’Armée du Salut. En 1936, l’Hôtellerie pour Dames et Jeunes Filles de l’Armée du Salut déménage de la Rue de la Tour à l’avenue Ruchonnet, et s’installe dans cette demeure. L’inauguration a lieu le 26 septembre 1936. Dans le journal « Le Cri de Guerre » de l’époque on relate cette journée : « Au premier et au second étage, les chambres à coucher, à un, deux ou trois lits. Chaque pen-
Cette pensionnaire aime chanter des cantiques chrétiens.
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Une bouteille à la mer
Lorsque l’oubli prend le dessus
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social
sionnaire a son armoire. Au sud, se trouve une grande et belle terrasse qui offre un admirable coup d’œil sur le Léman et la chaîne des montagnes. » Evolution législative et politique En 1947, l’Armée du Salut devient propriétaire de la maison. Elle développe une mission en réponse aux besoins sociaux identifiés par les officiers responsables de l’établissement. De pair avec cette évolution, le régime des assurances sociales poursuit son développement et voit l’entrée en vigueur de la loi fédérale sur l’assurance-invalidité(LAI) le 1er janvier 1960. Par l’obtention d’un droit à une rente, un groupe de population est ainsi identifié et reconnu pour être indemnisé de manière totale ou partielle pour une activité rémunérée qu’il ne peut produire. Le Foyer Féminin à Lausanne.
Le Foyer Féminin s’est inscrit dans cette chronologie et ces phases de changement et a adapté tout au long de ces années son offre en regard de l’évolution des besoins. Foyer Féminin de l’Armée du Salut Av. de Ruchonnet 49 1003 Lausanne Tél. : 021 310 40 40 fflausanne@swi.salvationarmy.org www.armeedusalut.ch
Point de vue C’est le cœur qui compte Il est des époques et des cultures où la femme fut considérée comme un presque rien, où uniquement les hommes avaient droit au dire et à l’éducation. Et il est des époques et des cultures où la femme est considérée l’incarnation de l’amour, de la pureté et où l’homme représente l’épicurisme le plus égoïste et le plus redoutable. Aujourd’hui l’Europe de l’Est s’efforce de rendre aux femmes ce que les hommes leur ont soustrait
Au fil du temps, la politique fédérale en faveur de la personne handicapée s’est renforcée et s’est concrétisée par la création ou la reconnaissance d’institutions spécialisées offrant ainsi des solutions d’hébergement et des prestations correspondant aux besoins spécifiques de ces personnes. La mise en place d’autres structures adaptées telles que les ateliers protégés est également un effet de cet essor.
pendant trop longtemps. C’est le retour plus ou moins ingénieux du pendule. Humiliation contre humiliation. Que nous dit la Bible à ce sujet ? Elle parle de femmes douces et fortes, parfois héroïnes de la foi et parfois traîtresses. Tout comme des hommes : il y en est qui sont sensibles et vaillants, il y en a des lâches et des tyrans. Et puis il y a l’Homme tout court. Et c’est là que Dieu relève ce qui est important : si
Gabrielle Keller
l’Homme aime Dieu par-dessus tout, de tout son cœur, de toute son âme et de toute son intelligence et s’il aime son prochain comme lui-même, il sera sauvé. Qu’il s’agisse d’homme ou de femme, de roi comme le fut Salomon ou de prostituée comme le fut Rahab. Dieu dit (la Bible, 1 Samuel, chapitre 16, verset 7) : « L’homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l’Eternel regarde au cœur. » Prenons attention au cœur de l’Homme.
évangile
Une bouteille à la mer
Marianne Hefhaf
Dans la Bible « P ar la foi, Abraham obéit quand Dieu l’appela : Il partit pour un pays que Dieu allait lui donner en possession. Il partit sans savoir où il allait. Par la foi, il vécut comme un étranger dans le pays que Dieu lui avait promis. Il habita sous la tente,
J
eter une bouteille à la mer, après y avoir glissé son nom et son adresse, c’est l’expérience qu’a faite une petite fille habitant la côte nord-est de l’Angleterre. Or, six mois plus tard, elle fut surprise et ravie en recevant la lettre d’un petit Australien qui avait trouvé la bouteille échouée sur une plage. Imaginez les multiples obstacles rencontrés par cette bouteille, poussée par les flots sur des milliers et des milliers de kilomètres ! On ne sait jamais … Dans le langage populaire, l’expression « jeter une bouteille à la mer » signifie appeler à l’aide dans son désespoir, même si l’espoir d’être entendu est dérisoire. Certaines personnes prient Dieu comme on jette une bouteille à la mer : « On ne sait jamais, ça ne coûte rien d’essayer … » Déjà une étincelle La petite Anglaise, en lançant sa bouteille à la mer, n’y croyait pas trop, presque pas du tout, d’ailleurs … Pourtant, oui, elle a essayé quand même. Il y avait là, tout au fond d’elle une minuscule étincelle qui lui disait que « peut-être » ... Sa foi enfantine
ainsi qu’Isaac et Jacob, qui reçurent la même promesse de Dieu. Car Abraham attendait la cité qui a de solides fondations, celle dont Dieu est l’architecte et le constructeur. » La Bible, Hébreux, chapitre 11, verset 8-10
d’un monde où tout n’est pas réglé d’avance comme du papier à musique l’a poussée à ce geste quasi magique : oser braver le hasard, le temps, l’espace, les éléments et les calculs de probabilités. Celui qui se jette dans une prière de supplication adressée à Dieu comme on jette une bouteille à la mer, a là, dans son cœur, l’infime espoir d’être entendu. Si Dieu existe … Une étincelle de foi a brillé. La réponse de Dieu Certes, Dieu aime les grands feux de foi comme celui qui embrasait le cœur d’Abraham ; ce dernier, répondant à un appel tout intérieur, fit confiance à l’Eternel, liquida tous ses biens et se mit en route pour l’inconnu. En voilà un qui osait ! Mais Dieu distingue tout aussi clairement, l’insignifiante étincelle de foi que nous lançons dans sa direction ; il ne l’ignore jamais. Il la prend délicatement dans le creux de sa main, la contemple avec tendresse et … Celui qui connaît tout … prépare sa réponse à notre « bouteille à la mer. » Un vrai drame Le problème, ce n’est pas Dieu, jamais ; le problème c’est nous,
toujours. Car la réponse divine arrive, c’est certain. Le drame est que souvent nous ne savons pas gérer notre « boîte à lettres » ! Il nous arrive fréquemment d’oublier purement et simplement avoir lancé une bouteille à la mer, donc nous n’attendons plus de réponse de la part de Dieu ; quand celle-ci arrive pourtant dans notre boîte à lettres, nous la prenons pour une bête publicité et nous la balançons au vieux papier. Ou alors, et c’est tout aussi regrettable, nous « imaginons » la réponse que l’Eternel va donner à notre bouteille à la mer ; si la réponse que le Dieu tout puissant apporte à notre requête ne correspond pas à notre attente, nous évacuons son courrier … comme ne nous étant pas destiné.
Ne passons-nous pas notre temps à attendre ? Attendre une réponse, un mot d’amour, les vacances, un retour. La Bible nous dit que quiconque fait appel à Jésus obtiendra une réponse. Mais avons-nous vraiment fait appel à lui ?
Quand on gère La lettre de Dieu est arrivée. Nous l’attendions. Nous respectons et nous acceptons sa réponse. L’étincelle de foi qui est en nous grandit, grandit, grandit. Dieu sait si elle va devenir un vrai feu ardent comme celui d’Abraham !
actuel
Lorsque l’oubli prend le dessus Questions : Elsbeth Cachelin Dans ses rapports avec son époux, qui souffre de la maladie d‘Alzheimer, Maria Hagen se voit souvent confinée au rôle de traîtresse : « J’ai dû lui expliquer qu’il ne pouvait plus conduire, ou bien il faut, derrière son dos, informer les gens de son état ou ressortir les clés du frigidaire … » Quels étaient les symptômes de la maladie ?
Les premiers signes de la maladie sont apparus lorsque des gestes pratiques familiers n’étaient soudainement plus évidents à accomplir. C’est ainsi que mon mari a soudain eu de la peine à utiliser une chevillère ou à payer avec de la monnaie à la caisse. Lorsqu’il conduisait, il manquait toujours plus d’assurance. Que s’est-il vous ?
passé
en
J’étais perpétuellement dans un état de crainte et de tension entre observation et intervention. Je me suis vue toujours plus dans les rôles d’aide et de « traîtresse ».
Le passé et le futur se fondent dans un présent unique.
Vous vous êtes considérée comme une traîtresse ?
Avec le temps, je me suis sentie obligée de mettre les amis, les connaissances et les voisins au courant de la maladie de mon mari. Ce pas difficile m’a procuré, d’une part, du soulagement, et d’autre part, de la gêne : je parlais avec d’autres personnes de la maladie de mon mari en son absence. C’est à cette occasion que je suis devenue consciente de mes rôles d’aide et de traîtresse.
Cela a constitué un apprentissage à deux niveaux : l’attitude à adopter face à un patient d’une part, et celle à adopter face au conjoint d’autre part. Il est extrêmement difficile de naviguer sans cesse entre les deux niveaux. Cette situation me rappelle une aquarelle, dans laquelle les couleurs se fondent entre elles et dans laquelle l’artiste tente de garder son calme et de retoucher son œuvre autant que faire se
peut. Je dois accepter de ne pas toujours pouvoir séparer les deux niveaux. Y a-t-il, dans la vie de votre conjoint, des domaines qui sont épargnés par la maladie ?
Mon mari est physiquement en forme et il adore l’exercice en plein air ; émotionnellement aussi, il est équilibré et n’a pas perdu son humour bien qu’il soit conscient de sa maladie.
actuel
Les lignes et les couleurs se perdent.
Quel aspect de la situation vous pèse le plus ?
Le plus dur c’est de ne pas perdre patience et de garder son calme. Comment vous en sortez-vous ?
Mon époux passe quelques heures par semaine avec d’autres personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer. Et, comme il peut encore se débrouiller seul pendant un certain temps à la maison ou au jardin, j’en profite pour rencontrer pour un court instant des connaissances hors de la maison, pour visiter une exposition ou assister à un concert. Par ailleurs, de temps à autre, nos fils adultes viennent à la maison afin de me permettre de partir pour quelques jours. Trouvez-vous le réconfort dans la foi ?
La foi est mon plus sûr refuge. De nombreuses personnes, décontenancées par le mot tabou « Alzheimer », se retirent de relations établies de longue date. Cette situation provoque l’isolement involontaire. C’est à cette occasion que la foi devient mon oasis de sérénité. Je lis la Bible et, au travers de la prière, je m’adresse à Jésus. Cela me procure force et sérénité. Je trouve le réconfort dans la certitude de pouvoir, jour après jour, mettre ma vie sous la protection de Dieu. Etes-vous contre Dieu ?
parfois
révoltée
Je suis triste pour mon mari et notre famille. Je suis tentée de demander « Pourquoi ? », je laisse échapper quelques larmes et je me pose ensuite la question « A quelle fin ? ». J’arrive chaque fois à la conclusion qu’il y a un sens caché à cette situation. Comme je n’arrive pas à l’élucider, je me laisse tomber dans le filet de confiance dans le Père céleste.
Avez-vous un conseil à donner aux personnes qui seraient également concernées ?
Il est important de percevoir les changements. Souvent, les premiers signes de la maladie apparaissent dans les domaines dans lesquels la personne concernée est forte. Il est alors très tentant de se raisonner et d’expliquer le comportement de manière rationnelle ; il est pourtant opportun de soumettre ses observations à un/ une spécialiste. Plus le diagnostic sera posé précocement, plus le traitement sera efficace. Comment envisagez-vous l’avenir ?
Personne ne connaît exactement l’évolution de cette maladie. La
recherche fait continuellement des progrès contribuant à donner l’espoir de trouver la solution pour prévenir et guérir la maladie. J’essaie de ne pas spéculer, de vivre l’instant présent et d’aborder chaque jour avec confiance et foi en Dieu.
Le plaisir d’être ensemble.
Plus d’informations Lectures conseillées par l’Association Alzheimer Suisse • Vivre avec la maladie d’Alzheimer – Conseils utiles pour les proches et les soignants • Après le diagnostic Alzheimer (ou autre type de démence)
Téléphone Alzheimer : 024 426 06 06, du lundi au vendredi de 8 à 12 h et de 14 à 17 h. www.alz.ch
témoignage
Le jour où Jésus est venu en prison Robert Happoldt
On m’appelait Roger Rabbit, j’étais un toxicomane et un acteur principal du trafic d’amphétamines dans le district de Coffee County en Alabama (USA).
J’
avais toujours vécu pour ce qui me plaisait, la drogue, l’argent, la haine, en fait tout ce que le diable propose. Je ne craignais personne. J’étais un motard biker avec un gros fusil et plein de drogue sur moi. Ma femme a vécu l’enfer pendant douze ans. La prison. En juillet 2000, mon trafic de drogue toucha à sa fin, avec l’aide des Forces judiciaires anti drogue, m’accablant de mandats d’arrêt pour cause de trafic. Une amende de 50 000 dollars (48 000 euros) me tomba dessus. On assortit mon amende d’une peine de prison de 10 années. Des pasteurs venaient à la maison d’arrêt et essayaient de me parler de Jésus et de me montrer comment il pouvait libérer mon âme. Mais je ne voulais rien avoir à faire avec ce Jésus. Alors, une nuit, ce prédicateur vint à ma cellule et me dit : « Dieu est fatigué de frapper à ta porte et de voir que tu ne réponds pas ». Cela me révolta. Peu après cela, me voilà dans une prison sale, à lire ma Bible et penser à tout le mal que j’avais fait dans ma vie, à toutes les familles que j’avais détruites par les drogues. Je savais que je ne pourrais jamais être pardonné, jusqu’au moment où j’ai lu dans 2 Corin-
thiens 5 : 17 : « Néanmoins, si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature, les choses anciennes sont passées, voici, toutes choses sont devenues nouvelles. » Pour moi cela signifiait que tout le mal allait partir et que j’aurais un départ flambant neuf dans la vie. Cette nuit-là, dans une prison sale, je me suis mis à genoux et j’ai donc demandé à Christ de venir dans mon cœur, venir pardonner mes fautes et mes péchés. Quelle merveilleuse paix m’envahit alors ! J’étais libre, oui j’étais entre des murs, mais pour la première fois de ma vie, mon âme était libre. Il me restait bien trois ans à faire, sur les dix prévus initialement, mais j’allais avoir le temps de faire connaissance avec mon nouveau Roi. Je les ai faits, et là il m’a aimé et appris à aimer et à vivre. Je suis sorti en octobre 2004 et suis maintenant le responsable du groupe local des Heaven’s Saints (Saints du Ciel) qui est un club de moto évangélique. Nous œuvrons parmi les jeunes et dans le milieu carcéral. Je vais dans mon ancienne prison et j’explique aux détenus que Jésus est puissant. Il fera la même chose pour vous si vous le laissez faire. Vous vous souvenez que je m’appelais Roger Rabbit ... eh bien mon vrai nom est Robert Happoldt et Roger Rabbit mourut le jour où j’ai demandé à Christ de venir dans mon cœur. Dieu a fait de moi une nouvelle créature.
Sans tambour ni trompette Dans le bus Chaque matin quand je prends le bus, son parcours n’est de loin pas homogène. Celui-ci ralentit sur la portion de route en travaux, puis accélère et s’arrête à la station suivante. Ma vie, et je pense la vôtre aussi, est un peu pareille. Il y a des tronçons où j’avance à vive allure, d’autres où des obstacles me ralentissent et des passages obligatoires où je dois m’arrêter, comme trouver un travail, un logement, … Et de la même manière dont je fais confiance au chauffeur, qu’il ne fasse pas d’accident sur les passages en travaux où il est difficile de croiser et pour qu’il m’amène à bon port, eh bien il en est de même dans ma vie. Je fais confiance à Jésus-Christ, car avec lui, je suis certain d’arriver à destination (au paradis). Même si je prends parfois des détours, que tout ne roule pas comme je le souhaiterais, je sais que Dieu est là pour me guider et m’aider à franchir les obstacles, car c’est lui qui m’a donné la vie. Et qui connaît mieux la route, ses bosses, ses virages et ses lignes droites que le chauffeur du bus de ma vie ?
Sébastien Goetschmann
infos
Un concert absolument royal L’International Staff Band a fêté ses 120 ans à Londres. L’occasion de réunir des Staff Bands du monde entier. Le 4 juin, dans l’historique Royal Albert Hall, les huit fanfares venant d’Angleterre, des Pays-Bas, d’Allemagne, du Canada, des USA (Chicago et New York), du Japon et d’Australie ont donné un concert d’une demi-heure chacun. Pendant quatre heures il y eu, non seulement, de l’excellente musique de brass band, mais la manière dont les fanfares ont proclamé la Bonne Nouvelle durant leurs nombreuses années de service à l’Armée du Salut était également perceptible. Et ce, chacune avec ses caractéristiques culturelles singulières. L’entrée du Staff Band japonais a été particulièrement émouvante.
Oui, je m’abonne pour une année au mensuel «Espoir» pour la somme de CHF 48.–
Nom: Prénom: Adresse:
Localité: Date: Signature: A envoyer à: Armée du Salut, Service des abonnements, Case postale 6575, 3001 Berne redaction@swi.salvationarmy.org
Le soir et dans une salle comble, les Staff Bands ont donné tous ensemble un concert unique, auquel plus de 5 0 00 auditeurs enthousiastes ont assisté. Cet événement restera gravé dans les annales de la scène de la fanfare salutiste. La parade du dimanche 5 juin à travers l’avenue The Mall, jusqu’à Buckingham Palace, est venue couronner la célébration de ce jubilé. Les huit fanfares ont joué à l’unisson dans la cour intérieure du palais royal. Des milliers de spectateurs ont envahi les rues pour écouter les traditionnels hymnes et marches de l’Armée du Salut. Philipp Stettler
Bimensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax: 031 388 05 95 | Courriel : redaction@swi.salvationarmy.org | Internet : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an: CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général : Shaw Clifton | Chef de territoire : Kurt Burger | Rédaction Berne: Gabrielle Keller (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : André Sterckx, Berne / Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Rolf Messerli | Imprimerie : Rub Graf-Lehmann SA, Berne | Tirage : CH: 5000 ex. BE : 4 000 ex. | Crédit photo : P 1, 2 : Sébastien Goetschmann ; P 3 : Gabrielle Keller ; P 4, 5 : Mad/Wikimedia ; P 7 : Corinne Gossauer-Peroz/Philippe Stettler | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.
détente « Q ui tiendra bon jusqu‘au bout, celui-là sera sauvé. » (La Bible, évangile de Marc, chapitre 13, verset 13)
Solution du Sudoku
PP
Il faut placer dans la grille, par ligne horizontale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel ordre. Vous devez retrouver la totalité des chiffres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !
3001 Berne
Règle du jeu
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Sudoku