Espoir 23-24/2011 - Donnons-nous la paix

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Mensuel de l’Armée du Salut - 121e année - N°23 / 24 - 2011

Société

Donnons-nous la paix

Pierre-André Combremont

Vaste programme, vaste concept, vaste espoir auquel aspirent tous les hommes sur toute la terre  : la paix. La paix pour soi-même, la paix pour sa famille, la paix pour son pays, la paix pour le Monde entier.

Q

uoi de plus juste, de plus légitime, de plus grand  ? Et pourtant … Au vu de tout ce qui se passe autour de nous, de la violence, de l’insécurité, de la haine, des attentats, de la guerre, auprès comme au loin, ce rêve de paix n’est-il pas une utopie  ? La plus grande organisation au monde, l’ONU, a été constituée en 1945 pour que plus jamais les horreurs de la seconde guerre mondiale qui venait de se terminer ne se reproduisent. Son but, énoncé au premier article de sa charte  : maintenir la paix et la sécurité internationales. Elle a été créée sur les ruines de la défunte SDN, la «  S ociété Des Nations  » qui, malgré les mêmes buts, n’est pas parvenue à empêcher quelques pays de mettre toute la planète à feu et à

La guerre dont nous parlent les médias presque tous les jours peut nous faire douter de voir un jour la paix.

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Une fête en l’honneur de l’Eternel

La planète appartient à nos enfants

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société

 sang. Aujourd’hui, il serait faux de nier les succès de l’ONU pour limiter, à défaut de les éviter, les conflits qui éclatent entre pays ou à l’intérieur de certaines nations. Mais la tâche est bien difficile, quand elle a pour moteur la seule bonne volonté des peuples.

En fait, ce serait être bien loin de ses propres responsabilités que de confier le rôle de faire régner la paix aux seuls états, aux seules nations. La paix, c’est en premier lieu, une affaire personnelle. La définition de ce mot que l’on trouve dans le dictionnaire (Petit Robert),

c’est  : «  R apports entre personnes qui ne sont pas en conflit, en querelle  ». Que ça  ? Non. On lit plus loin  : «  Etat d’une personne que rien ne vient troubler  ». Cette définition, plutôt passive, ne saurait être suffisante. En effet, elle laisse entendre que la condition pour être en paix, c’est qu’aucun événement extérieur, ni aucune autre personne, ne dérange l’intéressé. Pour être vraiment en paix, l’individu doit aussi mettre du sien. Les relations humaines ne sont pas toujours faciles. Un rien peut les troubler, un sentiment d’injustice, une frustration, une parole maladroite peuvent rompre cette paix à laquelle chacun aspire. C’est alors que la bonne volonté doit intervenir. La compréhension, le respect, la patience, la modestie, la confiance et surtout l’amour du prochain en sont quelques ingrédients. Là où règne la justice, là règne la paix. La paix se trouve dans le partage, l’écoute, la générosité. La paix ne se revendique pas, elle se donne. Chers lecteurs, que la paix soit avec vous  ! 

Symbole de paix dans la commune du Touquet-ParisPlage.

Point de vue

Comment trouver la paix Chaque jour, les médias nous rapportent des nouvelles de conflits, de guerres. L’homme ne semble pas être capable de vivre cette paix qu’il recherche certainement. C’est que lors de la chute (Genèse), quelque chose a

été brisé. La relation entre Dieu et sa créature s’est rompue. Si nous ne faisons pas d’abord la paix avec notre Père céleste, je ne crois pas que nous pourrons un jour vivre en paix icibas. Heureusement, en mourant sur la croix, le Christ a permis la récon-

Sébastien Goetschmann

ciliation entre Dieu et nous. Il nous suffit d’y croire et d’accepter Jésus dans nos vies. Alors commençons par «  faire la paix  » avec Dieu, afin de la diffuser autour de nous !


évangile

Une fête en l’honneur de l’Eternel

 Florina German

Dans la Bible «  L orsque vous aurez rentré le blé battu et terminé la vendange, vous célébrerez pendant sept jours la fête des Cabanes. Vous serez dans la joie en célébrant cette fête, vous, vos fils et vos filles, vos ser viteurs et

vos servantes avec les lévites et les immigrés, les orphelins et les veuves qui habitent parmi vous. Pendant sept jours, vous célébrerez la fête en l’honneur de l’Eternel votre Dieu dans le lieu qu’il aura choisi, parce qu’il vous

aura béni dans toutes vos récoltes et dans tout le travail que vous entreprendrez pour que vous soyez tout à la joie.  » La Bible, Deutéronome, chapitre 16, versets 15-17

P

endant une année d’études à Strasbourg, j’habitais dans un quartier juif. J’occupais une chambre de bonne qui donne sur une cour intérieure. Un jour, j’aperçois une cabane en bois dans cette cour. Quelqu’un avait amené des branches pour les arranger comme un toit. Peut-être étaient-ce les enfants de mes voisins  ? Plus tard, en rentrant de l’université, j’entends des chants dans la cour. La nuit vient de tomber. On voit de la lumière à travers les branches de la cabane. Sous ce toit en bois, environ 20 personnes sont rassemblées autour d’une table. Depuis ma fenêtre, je regarde leur réunion festive. Cela doit être la fête des cabanes. Pendant une semaine, mes voisins se rassemblent dans la cour pour tous les repas. Je les entends rire et prier. La description de la fête des cabanes dans la Bible montre que Dieu ne veut pas simplement nous combler de bonnes choses pour que nous ayons assez à manger. Il veut également qu’on lui rende grâce pour tous ses bienfaits et qu’il soit la source de notre joie.

Une cabane installée dans un verger de Tel Aviv.

Il a ordonné à son peuple une fête de sept jours pour la récolte – c’est le même laps de temps qu’il a mis pour créer toute la terre  ! Ce que mes voisins célèbrent peut paraître exagéré. Vous direz qu’il ne faut peut-être pas construire une cabane pour remercier Dieu. En même temps, ils ont, à leur façon, appliqué un principe biblique qui est de se

montrer reconnaissant envers leur Père céleste. Le plus important est que la joie soit au rendez-vous. La joie de pouvoir recevoir tous les jours de la main d’un Dieu qui pourvoit à tous les besoins de ses enfants. Un Seigneur qui place de l’espérance dans les cœurs et qui ne nous oublie jamais. 


écologie

La planète appartient à nos enfants

 Questions  : Sébastien Goetschmann

Thierry Pittet est salutiste et ingénieur en génie thermique. Il travaille pour l’Etat de Neuchâtel dans le domaine de l’énergie. Dans le village de Fresens (NE), il construit sa maison selon les exigences du standard Minergie P, certifiant une faible consommation énergétique ainsi qu’un confort accru du bâtiment. Pourquoi construire une maison aux normes Minergie P  ?

Thierry Pittet  : Travaillant dans le domaine de l’énergie, je suis sensible à la question des ressources. On sait que l’énergie tirée des ressources fossiles est limitée, j’ai donc voulu utiliser au maximum des énergies renouvelables, sans pour autant les gaspiller. L’investissement en vaut-il vraiment la peine  ?

T. P.  : La maison étant bien isolée, les capteurs solaires sur le toit et le poêle à bois reliés au chauffage au sol nous fournissent assez d’énergie. Il nous sera même possible d’utiliser de l’électricité des panneaux solaires pour faire fonctionner une voiture électrique. Même si l’investissement peut paraître conséquent au départ, à moyen terme, nous ferons également des économies financières. Un chrétien doit-il être écolo  ?

T. P.  : En fait, je ne pense pas être un écolo. Car en poussant le raisonnement, pour l’être réellement, il faudrait habiter en ville, où tout ce dont on a besoin (soins, magasins, loisirs, …) se trouve à proximité. Ici à Fresens, nous sommes dépendants de la voiture (nous en avons deux). Je ne revendique donc pas l’étiquette d’écolo.

Thierry Pittet contrôle le compteur de son chauffage au sol

Mais y a-t-il un lien entre la foi et une certaine sensibilité écologique  ?

T. P.  : Chez les chrétiens, j’ai entendu deux discours différents  :

«  Dieu met tout à notre disposition, utilisons-le et quand il n’y aura plus rien, Dieu pourvoira  » et «  Dieu nous donne tout, mais nous en sommes les garants. Il faut y


écologie

Le pan sud du toit de sa maison à Fresens est recouvert de capteurs solaires

veiller.  » C’est bien sûr la deuxième proposition qui me semble être la plus juste. Je pense que Dieu nous demande de prendre soin de la terre, nous en sommes responsables. J’adhère totalement à la citation de Saint-Exupéry  : «  L a terre ne nous appartient pas, nous l’empruntons à nos enfants  ».

sur l’écologie. En s’appuyant sur la Parole, on voit que Dieu nous donne des responsabilités vis-àvis de sa création. J’espère que les chrétiens adoptent une attitude écologique, mais le plus important reste le message de l’Evangile.

Les chrétiens ont-ils un rôle d’exemple à jouer au niveau de l’écologie  ?

T. P.  : Un des dangers serait de remplacer la foi en Dieu par l’idéologie écologiste.

T. P.  : La conscience écologique est une responsabilité collective, pas uniquement chrétienne. Personnellement, je joue un rôle d’informateur sur ce sujet, je donne également des conférences. Mais le témoignage des chrétiens doit rester centré sur Christ et non

Quels dangers peuvent être liés à l’écologisme  ?

Un autre serait de tomber dans un extrémisme et de penser que ce que j’arrive à faire, mon voisin y arrive forcément aussi. Nous sommes limités par le système capitaliste et des impératifs économiques nous empêchent parfois

d’adopter un comportement écologique. Je pense particulièrement au choix dans un supermarché. Entre un produit local qui coûte le double d’un produit du même genre importé d’Espagne, il y a un choix à faire. Un choix éthique, écologique et malheureusement aussi financier, qui est parfois tellement prépondérant que le choix n’existe plus vraiment. Il y a cependant de nombreux petits gestes à faire au quotidien qui nous permettent de moins consommer d’énergie sans pour autant diminuer notre confort de vie. Je vous recommande le site internet www.energie-environnement.ch qui donne beaucoup de pistes dans ce sens-là  ! 


témoignage

La vraie paix se trouve dans la tourmente

L

a paix n’a rien à voir avec la tranquillité, le silence, le calme, même si, parfois, ces éléments la signalent. Ce n’est pas l’absence de conflit ou de difficulté. Aujourd’hui, je dirais même que c’est dans les moments les plus

C’est parfois au cœur du cyclone qu’on expérimente la paix la plus saisissante.

difficiles de ma vie que j’ai reçu mes plus beaux «  Morceaux de paix  ». C’est dans le couloir de l’hôpital, alors que j’attends les nouvelles de mon fils en réanimation. Il y a peu d’espoir, ses signes vitaux sont plus qu’alarmants. Je dialogue avec Dieu et là, au milieu de mon combat, je réalise que Dieu sera à mes côtés, quoi qu’il arrive. C’est au cœur de la nuit, alors que je ressasse les différents

 Christine Volet éléments d’une relation conflictuelle  : là aussi, petit à petit, l’horizon s’éclaircit  : je comprends plus de choses sur moi, sur l’autre, je perçois certains enjeux et je peux déposer ce que je ne pourrai jamais changer. C’est devant le lit de mon adolescent  : il change, sa chambre dénote d’un certain désordre qui dit si bien ce qui le tourmente  : face à sa vie d’adulte, il a encore tant de choses à découvrir, à choisir. Je comprends qu’il va son propre chemin, et je choisis de faire confiance. C’est au cœur de mes angoisses, quand tous mes repères me semblent flous, quand je ne vois pas d’issue  : j’entends alors la promesse que Dieu a pour moi des projets de paix et non de malheur. C’est devant l’inconnu, les imprévus, l’agenda qui se surcharge  : c’est le moment de respirer, de prendre une chose à la fois. A chaque jour suffit sa peine … La Bible nous parle d’une paix différente de celle que nous cherchons naturellement … Souvent, nous aspirons à la paix  : on demande à l’autre de s’éloigner, on s’isole, on exclut les éléments qui nous troublent. Or la paix profonde dont je parle s’inscrit au cœur de la vie avec ses tourmentes, ses crises, et ses rencontres avec nos amis et nos ennemis. Elle ne nous protège pas de la réalité ou de la vérité, bien au contraire  : elle s’y incruste  ! C’est le fruit que nous récoltons quand nous avons le courage de regarder les défis, les épreuves en face. Quand nous prenons le

Sans tambour ni trompette Inertie Quoi de plus désolant qu’une chose, un matériau inerte. A la déchetterie, il y a une benne pour ces objets. On y jette ce qui est irrécupérable, non recyclable, qui ne pourrait même pas servir à donner de la chaleur dans un incinérateur à ordures. Inutile et encombrant. Mais cet adjectif ne qualifie pas que des choses, hélas. Quelle tristesse quand il désigne un être vivant, humain de surcroît. Un homme, une femme inerte, c’est quelqu’un que l’on voit abattu, apathique. Inutile ? Quelqu’un qui a un ressort brisé. Mais tout n’est pas perdu ! Ressoudé, un ressort peut retransmettre de l’énergie, de la force, pour autant qu’un mécanisme soit activé pour le retendre. C’est alors la vie qui renaît. La montre reprend son tic-tac, le cœur ses pulsations, la joie revient dans l’existence de celui qui a vécu un passage à vide. «  L a joie de l’Eternel sera votre force  » dit la Bible (Néhémie, chapitre. 8, verset 10). Cette joie, cette force qui donnent la vie.

 Pierre-André Combremont

temps d’examiner nos relations avec honnêteté et d’entrer en réconciliation. Cette paix-là, c’est le fruit de toute une vie. Moi j’ai choisi d’y inviter le prince de paix, le Christ. 


infos Dieu change les cœurs En août 2010, trois enfants d’un village pakistanais ont vécu le pire lorsque leur père a perdu la vie dans les inondations. Désormais seuls avec leur mère, ils ont réussi à se faire héberger par des villageois. Mais lorsque le niveau des eaux a baissé, leur mère s’est remariée avec un autre homme.

Ils ont vécu avec lui un certain temps. Cependant, leur beau-père ne les voulait plus chez lui et les trois enfants se sont retrouvés livrés à eux-mêmes, privés d’amour et de soins. Un autre habitant du village les a hébergés et nourris. En contrepartie, les enfants devaient travailler pour la famille de cet homme. Le village avait un sens de la communauté très peu développé avant les inondations. Les voisins gardaient une certaine distance entre eux, vivant chacun de leur côté. Certaines familles pouvaient à peine vivre du salaire qu’elles recevaient. Tout cela est en train de changer gentiment. L’Armée du Salut est entrée en contact avec les villageois pour la première fois au mois d’octobre passé en leur offrant des produits non-alimentaires et des tentes. Malgré l’aide qu’ils recevaient, les villageois continuaient de ne penser qu’à eux et n’étaient pas très polis. Les officiers de notre division sont restés

en contact avec les habitants du village grâce à des visites régulières et à des appels téléphoniques. Bien que le village soit musulman, les officiers ont continué d’écouter les habitants et de leur apporter leur aide. Du fait qu’ils ne partagent pas la même foi, ils nourrissaient des préjugés les uns envers les autres et ne savaient pas de quelle manière interagir. L’Armée du Salut a organisé des ateliers sur les thèmes de la communauté, du travail en équipe et de l’amour du prochain. Un comité a été créé dans le but de déterminer quels habitants étaient le plus dans le besoin afin que l’on puisse leur offrir une vache. Ce comité devait également recenser les maisons qui avaient été endommagées ou détruites par les inondations. Lors de ma dernière visite au village, j’ai pu voir des sourires sur les visages lorsque que nous inspections le bétail en bonne santé et faisions le tour des nouvelles constructions  : quelque chose avait

changé dans le village. Les villageois m’ont même proposé une balade à cheval, ce que j’ai accepté. J’ai, en Oui, je m’abonne pour une année contrepartie, demandé si au mensuel «Espoir» pour la somme de CHF 48.– je pouvais offrir mon aide pour planter le riz. Après que les hommes ont Nom: bien rigolé en me voyant, Prénom: tant bien que mal, planter Adresse: du riz tout en essayant de garder l’équilibre alors que j’avais de la boue jusqu’aux genoux, nous Localité: sommes retournés au point de rencontre pour Date: nous changer avant de Signature: nous diriger vers le village suivant. Près d’une A envoyer à: pompe à eau, j’ai enlevé Armée du Salut, la boue qui recouvrait mes Service des abonnements, jambes et me suis assis Case postale 6575, 3001 Berne pour mieux nettoyer mes redaction@swi.salvationarmy.org pieds avant d’enfiler mes chaussures. C’est à ce moment qu’un homme s’est approché de moi avec un bol d’eau fraîche et une serviette de bain. J’étais heureux car j’allais pouvoir me nettoyer les pieds proprement. Quelle ne fût pas ma surprise lorsque cet homme que je ne connaissais pas s’est mis à genoux et a commencé à me laver soigneusement les pieds. Il les a ensuite séchés avant de m’aider à enfiler mes chaussettes et mes chaussures. Cet homme avait changé. Le village entier avait changé. L’amour du prochain, qui transcende les cultures, réussi à dissiper tous les malentendus. Andrew Lee, Armée du Salut au Pakistan

Bimensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax: 031 388 05 95 | Courriel  : redaction@swi.salvationarmy.org | Internet  : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an: CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur  : William Booth | Général e : Linda Bond | Chef de territoire  : Franz Boschung | Rédaction Berne: Gabrielle Keller (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction  : André Sterckx, Berne  /  Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains  /  Marianne Hefhaf, Lausanne   | Concept graphique   : Didier Chassagnot | Mise en page  : Rolf Messerli | Imprimerie  : Rub Graf-Lehmann SA, Berne | Tirage  : CH:  5000 ex. BE  :  4 000 ex. | Crédit photo  : P 1,  2  : The U.S. Army_flickr / AnthonyB_wikimedia  ; P  3  : © Ron Almog-wikimedia ; P  4 & 5  : Sébastien Goetschmann ; P  6  : © Gafilo-wikimedia ; P  7  : MAD  ; P  8  : © Sébastien Goetschmann | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.


détente Luc 6 versets 47-48 « Je vous montrerai à qui est semblable tout homme qui vient à moi, entend mes paroles, et les met en pratique. Il est semblable à un homme qui, bâtissant une maison, a creusé, creusé profondément, et a posé le fondement sur le roc. Une inondation est venue, et le torrent s’est jeté contre cette maison, sans pouvoir l’ébranler, parce qu’elle était bien bâtie. »

Solution du Sudoku

PP

Il faut placer dans la grille, par ligne horizontale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel ordre. Vous devez retrouver la totalité des chiffres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer  !

3001 Berne

Règle du jeu

Annoncer les rectifications d’adresses

Sudoku


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