Bureau de dépôt : 1000 Bruxelles 1 — P401061 — 0.70 Février 2012 I
Mensuel de l’Armée du Salut - 122e année - N° 2 - 2012
Social
Un Dieu d’amour ? Ça se saurait ! Gabrielle Keller
La vue d’enfants en détresse, d’animaux torturés ou de personnes accidentées est insupportable. Dans notre détresse, nous nous écrions : « Si j’étais Dieu, cela n’arriverait jamais ! » Même des chrétiens déclarés peuvent vaciller et mettre leur foi en doute.
Pourquoi Dieu permet-il que certains hommes se goinfrent tandis que d’autres doivent faire les poubelles pour trouver de quoi manger ?
S
elon les sondages, un peu plus de la moitié des habitants des pays d’Europe de l’ouest croient à l’existence d’un dieu. Mais de quel dieu ? Souvent il s’agit d’un magma d’idées, d’impressions et
d’associations. Beaucoup croient à une énergie indéfinissable. Pourtant la Bible dit que Dieu a créé l’homme à son image – et non l’inverse ! Comment se fait-il alors que Dieu permette le mal ? Qu’il nous ait donné
une liberté que nous pouvons mettre au service de crimes et d’abominations ? Marcel Müller est un jeune homme d’Adelboden. Récemment, il a été victime d’un accident de moto et a perdu une jambe. A l’hôpital, il raconte : page 2
La foi est une force de Dieu
Dieu au banc des accusés
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« Ces dernières temps, j’ai beaucoup réfléchi à mon accident. Me demander pourquoi c’est arrivé ne m’amène rien. Ma jambe n’est plus là. Ils l’ont brûlée à Berne. Il ne me reste que les souvenirs et les radiographies. Je dois m’y faire. »
Souverain, pas imprévisible Il est étonnant de constater combien de personnes se satisfont de l’image d’un Dieu confus et capricieux et d’un avenir dans l’audelà imprévisible. « Nous verrons
bien », disent-ils. En effet, nous verrons bien. Le Dieu de la Bible est un Dieu fiable, même s’il est souverain. Il ne nous laisse pas dans l’incertitude en ce qui concerne son identité : il veut le meilleur pour nous, même si nous ne le comprenons pas. Il est au-dessus de tout, il connaît les circonstances et il aime chacun d’entre nous. Cela peut sembler contradictoire. Et pourtant, nous pouvons faire confiance à celui qui en sait infiniment plus que nous. Le « pourquoi » peut devenir le « pour quoi ». A l’hôpital, Marcel Müller dit encore : « On ne peut pas tout expliquer. On ne peut pas non plus tout comprendre ! » Et alors que peu à peu il s’entraîne à marcher sur une seule jambe et une prothèse, il témoigne : « Je m’émerveille de l’aide de Dieu et doucement je reprends le courage de lui faire entièrement confiance. »
La douleur est difficile à supporter.
Point de vue
Un Dieu de bonté J’en ai marre ! Le bon Dieu par–ci, le bon Dieu par-là, il a bon dos ! Et moins on le fréquente, et plus on sait comme il devrait être. A notre image peut-être ? Tiens, j’ai toujours cru que c’était le contraire ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ce jour-là ; je devais être fatiguée ou particulièrement fantasque ; il m’est venu l’idée d’interroger une ribambelle d’enfants de six à dix ans que j’avais sous la main (enfin, c’est une image !). Je leur ai juste demandé … à quoi ressemblait Jésus. Et vous savez ce qu’une
Annelise Bergmann petite fille m’a répondu, spontanément ? « Jésus ? il a une barbe et il est très gentil. » Forte de mon succès, j’ai posé la même question à Manu, un jeune ami trisomique ; en règle générale son élocution pénible rendait la communication difficile, sa déficience mentale limitait fortement sa compréhension et son expression. Mais là, le visage rayonnant et le triomphe dans les yeux, il a battu les plus grands théologiens à plates coutures. Il a mis sa main malhabile sur son cœur et il a dit : « Jésus, là, je aime. »
Vous en ferez ce que vous voudrez, mais pour ma part, les larmes aux yeux, j’ai pressenti un mystère caché, une porte que la raison et l’intelligence n’ouvriront pas. Et j’ai cessé (pour un temps) de poser des questions idiotes … « Seigneur, notre maître, ton nom est magnifique sur toute la terre ! Ta beauté dépasse la beauté du ciel. Par la bouche des enfants, des tout petits, tu affirmes ta puissance devant tes ennemis. Ainsi, tu fais taire tes adversaires qui sans cesse luttent contre toi. » Psaume 8, verset s 2 et 3
évangile
La foi est une force de Dieu Florina German
Dans la Bible « Alors que tout lui interdisait d’espérer, il (Abraham) a espéré et il a cru (…) et sa foi ne faiblit pas. Au contraire : Loin de mettre en doute
la promesse et de refuser de croire, Abraham trouva sa force dans la foi, en reconnaissant la grandeur de Dieu et en étant absolument persuadé
que Dieu est capable d’accomplir ce qu’il a promis. »
plusieurs années, mon frère nous a appelés. Il disait qu’il avait un nouveau conseiller fiscal. C’était un chrétien qui lui avait parlé de Dieu d’une manière à ce qu’il comprît enfin l’Evangile. Il disait avoir lu un livre qui lui a ouvert les yeux sur ce qui est écrit dans la Bible. Enfin, il avait trouvé une Eglise et recommencé à suivre Jésus. Dans la Bible, vous trouvez des promesses que Dieu vous fait. Vous pouvez y croire. Dieu vous encou-
rage même à lui rappeler ses promesses afin de ne pas perdre la foi. Cette foi vous donnera de la force comme elle en a donné à Abraham. Il a dû attendre son fils Isaac que Dieu lui avait promis pendant des dizaines d’années. Ne doutez donc pas, même si vous ne voyez pas tout de suite la réalisation de ces promesses. Dieu est toujours capable d’accomplir ce qu’il a promis.
La Bible, Romains 4 : 20
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ous est-il déjà arrivé d’espérer une chose mais de ne plus y croire ? Quand mon frère a décidé de ne plus suivre l’exemple de Jésus dans sa vie, j’étais effondrée. C’était incompréhensible pour moi qu’il puisse abandonner sa foi. Mais il ne voulait plus qu’on lui parle de Dieu. La religion, pour lui, c’était de l’illusion. Désespérée, j’appelais mon père qui disait simplement : « Ne t’inquiète pas, un jour Dieu m’a promis qu’il se révélerait à chacun de mes enfants et il saura quand le moment pour ton frère sera venu. » J’avoue que j’en doutais. Cela faisait des années que mon frère menait une vie sans Dieu. Son seul but était de créer une entreprise et d’y trouver son épanouissement. Quand toutes les circonstances vont à l’encontre de ce qu’on espère, il est facile d’abandonner. Dans la Bible, il y a beaucoup d’exemples de gens qui doutent de la promesse de Dieu. Un père priait Jésus pour la guérison de son fils : « Je crois, mais aide-moi, car je manque de foi. » (Marc 9 : 24). Quant à mon père, fermement convaincu que Dieu tiendrait sa promesse, il ne doutait pas. Après
Pour croire, il faut s’accrocher !
société
Dieu au banc des accusés Wilhelm Busch*
Pourquoi Dieu permet-il le malheur sans intervenir ? N‘est-il pas tout-puissant ? Ou n‘existe-t-il tout simplement pas ? Si, en posant la question, nous pensons porter une accusation contre Dieu, nous nous fourrons le doigt dans l‘œil.
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Dieu veut notre salut. ssayons d’imaginer C’est pour cela qu’il nous la scène suivante : avertit par sa Parole et cela se passe par certains événements dans une salle bouleversants : « Converd’audience. Sur le siège du tissez-vous ! Tournez-vous juge, c’est moi qui ai pris vers moi, et vous serez place, moi l’homme scansauvés, vous tous qui dalisé et attristé par toute êtes aux extrémités de la la souffrance de ce monde. terre ! » Au banc des accusés est Parce qu’il en est ainsi, assis Dieu. Et voilà que du la Bible ose affirmer que haut de mon siège de juge, « Dieu est amour ». Mais moi l’homme révolté, je me c’est tout autre chose que mets à interroger Dieu : de parler de l’inoffensif « Accusé, levez-vous ! Com« bon Dieu ». ment avez-vous pu permettre tout cela ? » Cela ne va Expérience donc pas ! Il est impensable particulièrement que Dieu nous laisse occupénible per le siège du juge, qu’il Un certain soir, je me se mette, lui, au banc des trouvais dans une cour accusés et qu’il se laisse Qui est l’homme pour croire qu’il peut accuser sinistre. La veille, notre juger par nous. Sinon, il Dieu ? ville d’Essen avait subi un serait un Dieu minable, risible, impuissant – il ne serait cela que le Fils de Dieu est mort terrible bombardement. On venait pas Dieu du tout. Notre Dieu est pour nous sur la croix. C’est pour à peine de dégager un abri enses a i n t – et il est vivant ! C’est lui cela que Dieu a ressuscité Jésus veli sous les décombres et d’en qui occupe le siège du juge – et d’entre les morts. C’est pour cela retirer les morts. Les victimes c’est nous qui sommes au banc des qu’il est dit aujourd’hui de Jésus : étaient allongées là, autour de accusés ! « Celui qui a le Fils de Dieu a la moi, soixante-dix personnes que je connaissais pour la plupart. Il vie. » Dieu veut notre salut Il dépend de nous de saisir le y avait des vieillards, des femmes Dieu ne veut pas notre perte. salut qui nous est offert et de et des enfants ! De chers petits « Il veut que tous les hommes devenir enfants du Dieu tout-puis- enfants ! Ils étaient couchés là, soient sauvés et parviennent à la sant. Des enfants qui n’ont plus étouffés, étranglés, morts ! Dans connaissance de la vérité. » C’est besoin d’avoir peur de lui parce mon imagination, je voyais des pour cette raison qu’il a envoyé qu’ils ont obtenu la rémission de enfants jouer au soleil sur une prairie en fleurs. C’est ainsi que les son Fils dans le monde. C’est pour leurs péchés.
société
enfants devraient grandir ! Et pas comme cela ! Alors, un cri jaillit de mon cœur : « Dieu, où étais-tu donc ? Où estu maintenant ? Comment peux-tu permettre cela ? » Il n’y eut pas de réponse. Seule une gouttière à demi arrachée grinçait désagréablement dans le vent du soir. Et voilà qu’une image surgit dans mon esprit. Je vis Jésus sur la croix. « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. » Cette croix m’apparut comme un genre de fanal, un signal de l’amour de Dieu, placé dans ce monde de misère. Je ne comprends pas les voies de Dieu. Je suis épouvanté en voyant comment il peut « abandonner » le monde. Mais là, de la croix de Jésus, rayonne la lumière. Là, je vois dans le cœur de Dieu. Là, il m’aime et veut, par son amour, m’attirer à lui. Une fonction du mal Un jour, un homme vint trouver un chrétien âgé et expérimenté. Il se mit à se plaindre des diverses épreuves qu’il avait à subir, puis il lui demanda: - Pourquoi Dieu me fait-il cela, à moi ? Comment peut-il permettre cela ? - Tu as déjà vu un troupeau de moutons, n’est-ce pas ? répondit le vieillard. Il arrive souvent que certaines brebis fassent preuve d’indépendance et s’éloignent du berger. Le berger envoie alors le chien à leurs trousses. Celui-ci se met à aboyer et à les effaroucher. Et les brebis, effrayées, se réfugient au plus vite auprès du berger. Eh bien, vois-tu, la souffrance joue un peu le rôle du chien de berger. D’abord, elle nous fait peur. Mais au fond, elle ne veut
C’est auprès de son berger que la brebis se réfugie.
que nous ramener au bon Berger, au Seigneur Jésus-Christ. A présent, au lieu de te plaindre, va vite vers ton Sauveur qui soulage tous ceux qui sont fatigués et chargés.
*Extraits du livre « Jésus notre destin » du pasteur protestant allemand, Wilhelm Busch (1897-1966)
témoignage
La fidélité, c’est de tout notre cœur
C’
est ainsi qu’on les voyait, Georgette et Edmond. Côte à côte, ils ne parlaient presque pas, ce n’était pas nécessaire. Et chacun, au village, enviait secrètement ce long et fidèle amour, ce mariage
qui durait depuis septante ans. J’ai eu la chance inouïe de les approcher, l’un et l’autre, pour leur prodiguer quelques soins. Ils me dérangeaient très peu, seulement en cas d’absolue nécessité. Les voisins, les proches, voyant leurs forces diminuer avec la vieillesse, espéraient tous qu’ils partiraient ensemble, tous les deux, tout doucement, comme ils avaient vécu. Edmond était le plus âgé, il avait presque cent ans. Comprenant sa fragilité, voyant son
Annelise Bergmann homme autrefois si grand et fort devenir chaque jour plus faible, un jour Georgette lui parla. C’est elle-même qui me rapporta ce qu’elle lui avait dit. Un bilan tout simple : « Tu vois, nous avons bien vécu. Nous avons eu quatre enfants, et n’en avons point perdu. Maintenant, si tu veux, tu peux aller … » Et Edmond, libéré, s’en alla. Georgette resta seule. L’histoire ne finit pas comme j’aurais aimé vous la raconter. Mais elle finit bien. Parce que cette admirable petite dame trouva dans sa foi le courage de continuer. Elle laissa rayonner sa lumière autour d’elle encore quelques années, puis s’éteignit comme une bougie. Depuis que je l’ai connue, je pense à elle quand je pense fidélité, quand je pense promesse. Parce que du côté humain, la fidélité à la parole donnée, c’est aussi loin, aussi bien qu’on peut. C’est de toute notre force, de tout notre cœur. Et du côté de Dieu, c’est toujours, jusqu’au bout, au-delà de nos circonstances.
Sans tambour ni trompette Mon calepin Compagnon fidèle, mon calepin est toujours avec moi, prêt à prendre note de ce que je lui confie, prêt à me rappeler ce que j’aurais tendance à oublier. Il faut dire qu’il est en deux parties : un agenda pour ne pas manquer mes rendez-vous et des feuillets détachables pour faire des petits billets. On y trouve de tout, c’est un reflet de ma vie de tous les jours ou presque, des dates importantes, des adresses ou des numéros de téléphone, des recettes de cuisine, le tout échangé lors de rencontres entre amis. Je peux aussi y noter des idées (pour autant que j’en aie parfois …). Oui, mon calepin, c’est comme un véritable ami, discret et toujours prêt à rendre service sans rien demander en retour. Mais il n’est pas mon seul ami. J’en ai un plus grand, plus précieux encore, lui aussi discret et prêt à m’aider tout au long de l’année, prêt à m’écouter et me rappeler mon devoir si j’ai tendance à l’oublier. C’est Jésus, ce fidèle compagnon de vie.
Pierre-André Combremont
infos Adieux à Juliette Vanderkam-Bonhotal Adieu, lieutenante-colonelle Juliette Vanderkam-Bonhotal ! Les actions de grâces et l’au-revoir ont eu lieu samedi 17 décembre à Bruxelles.
Annonce
Les deux familles, auxquelles se joignaient la communauté salutiste belge, remplissaient une salle compacte, samedi 17 décembre. On se groupait autour du colonel Samuel Vanderkam comme pour tisser autour de lui des gestes d’affection et des paroles qu’inspirait la foi dans la Résurrection. C’est comme adolescente que Juliette Bonhotal (née en 1923)
avait fait le pas de la vocation à l’image de ses parents officiers salutistes français. Loin de se douter d’un avenir très européen, elle se retrouve comme officière à Bruxelles ; lieu inconnu mais où elle revoit un jeune homme déjà rencontré à Paris et, lui-même engagé dans la même vocation. Ensemble, unissant leur vie, ils vont visiter ce nouveau pays pour elle, offrant chacun leurs
Je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » en versant la somme de 15 ( étranger 21) sur le compte 000-0051322-09 avec la mention « abonnement Espoir »
Nom : Prénom : Adresse : jours futurs, leur service et leur témoignage chrétien. Leurs lieux de vie : des centres d’évangélisation, centres sociaux et tâches administratives au niveau national dans deux capitales. Dans un texte, elle dit une sorte de contrat vécu avec Dieu tout en élevant leurs six enfants.
Localité : Date : Signature : A renvoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, 34, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains, 1000 Bruxelles Jacques_Rouffet@bel.salvationarmy.org
« Je ne suis pas historienne, ni philosophe mais j’ai une expérience personnelle basée sur des années de vie, de contacts avec de nombreuses personnes. Ce que je retire de celle-ci est un désir vers des valeurs qui m’ont poussée à partir à l’Ecole de formation il y a 60 ans ; valeurs toujours vraies et d’actualité. Ces années, avec mon mari furent des temps de joies familiales et de satisfactions dans le service de Dieu. Non, je n’occulte pas les temps difficiles mais je vis grâce à une conviction fondée sur l’Evangile qui a fait
Membre de l’Union des Editeurs de la Presse Périodique
comme un tissu de racines où s’est ancrée ma foi ». Un culte empreint de sérénité et de gratitude pour une vie si riche, c’est un témoignage en guise de legs qui fit une profonde impression sur chacun. www.armeedusalut.be AS
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détente « La vie est ton navire et non pas ta demeure. » Alphonse de Lamartine
Solution du Sudoku
PP
Il faut placer dans la grille, par ligne horizontale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel ordre. Vous devez retrouver la totalité des chiffres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !
3001 Berne
Règle du jeu
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Sudoku