Espoir 08/2012 - Gil Bernard – un phénomène de la chanson

Page 1

Bureau de dépôt : 1000 Bruxelles 1 — P401061 — 0.70 Août 2012

Mensuel de l’Armée du Salut - 122e année - N° 8 - 2012

Interview

Gil Bernard – un phénomène de la chanson  Questions  : Sébastien Goetschmann

Gil Bernard est né au Maroc dans une famille juive. Il fut un des précurseurs de la musique chrétienne francophone contemporaine. Aujourd’hui, à 80 ans, il chante encore – et avec quelle énergie ! Vendredi 8 juin 2012, il s’est produit à l’auditorium du CIP à Tramelan devant une septantaine de spectateurs. Avec sa voix de « crooner », il a raconté l’histoire du prophète Jérémie, entre chants, histoires bibliques, anecdotes et témoignages. Occasion rêvée pour interroger ce personnage au parcours atypique. Gil Bernard, d’où vous vient votre passion pour le chant ?

Gil Bernard : A l’âge de six ans, j’ai gagné mon premier radio-crochet et je savais déjà que plus tard je deviendrais chanteur. C’était dans une kermesse catholique et le prix était un poulet. A l’époque, on avait faim et je me rappelle que le curé ne voulait pas lâcher l’oiseau, mais mon père m’a dit de ne pas céder et le curé a fini par me laisser

Gil Bernard suit un parcours pas comme les autres.

 page 2

Une paix offerte et non méritée

A pleins tubes pour le Seigneur

  page 3

 page 4-5


interview

 le poulet. J’avais alors deux passions, le chant et Dieu. Ma mère m’avait éduqué dans l’amour et la crainte de Dieu. Comment a évolué votre carrière ?

Un public attentif à des paroles qui font réfléchir.

G. B. : Ma carrière a gentiment décollé et j’ai partagé le haut de l’affiche aux côtés d’artistes comme Brel, Bécaud, Dalida ou Aznavour. Durant 15 ans, j’ai vécu

dans le show-business et subi les influences du music-hall. Le casino, l’argent, les femmes faisaient partie de mon quotidien et je me suis éloigné de Dieu pendant cette période de ma vie. Puis, à l’âge de 30 ans, j’ai entendu parler de l’Evangile. Je lisais les Béatitudes, parce que je trouvais cela beau et poétique, mais je ne savais pas encore que cela allait me transformer en profondeur. En trois ans, j’ai été retourné comme une crêpe, si bien que je ne pouvais tout simplement plus vivre comme avant. Je me suis alors mis à vivre et à chanter pour Dieu. Comment ont réagi les gens autour de vous ?

G. B. : Mes amis du music-hall, comme Brel et Aznavour ont cru que je faisais une crise mystique, et ça dure depuis 50 ans ! Mais ils ont accepté ma décision, sans pour autant la comprendre. Par contre, il m’a été difficile d’entrer dans les Eglises pour y

chanter. L’Armée du Salut a été la première à me laisser une chance en me permettant de chanter dans les prisons. Ce n’est qu’une fois ayant fait mes preuves comme « chanteur chrétien » que les portes se sont ouvertes. Avez-vous peur de quitter la scène ?

G. B. : Au contraire, je rêve d’arrêter ! A mon âge, les tournées sont de plus en plus fatigantes. Mais ce serait une décision purement égoïste. Je ne peux pas refuser les invitations, tant que les portes s’ouvrent. Et la prière me donne la force de continuer. Et vous savez, mon pianiste qui m’a accompagné durant de nombreuses années, m’a dit sur son lit de mort que la seule chose bien qu’il avait faite dans sa vie était d’annoncer l’Evangile avec moi. Alors tant que Dieu peut m’utiliser pour partager sa Parole, je le ferai. 

Point de vue

Cette liberté qui rend heureux Quel est le secret du bonheur ? Voilà une question que nous nous posons souvent. Se pourrait-il que ce soit tout bêtement le fait de faire ce qu’on croit être juste ? Non seulement de croire en quelque chose ou en quelqu’un, mais de le mettre en pratique et d’en assumer les conséquences ? La Bible est pleine d’histoires sur des personnages qui ont agi de la sorte – sans regarder ni à

2

droite ni à gauche –, qui ont tout misé sur une carte et cette carte était celle du Dieu créateur. Mieux vaut être fou, lorsque les autres s’alignent et mettre toute confiance en Lui et en Sa parole, sans se soucier des conséquences. Gil Bernard chantait avec les « grands » de la chanson française. Malgré les applaudissements, il a choisi la bifurcation et pris la décision de suivre la voie de son cœur.

 Gabrielle Keller

Croire en Dieu est une chose. Suivre sa voix en est une autre. La Bible nous dit (Evangile de Jean, chapitre 12, verset 26) : « Si quelqu’un veut être à mon service, qu’il me suive. Là où je serai, mon serviteur y sera aussi. Si quelqu’un est à mon service, le Père lui fera honneur. » Quelle perspective !


évangile

Une paix offerte et non méritée

 André Sterckx Officier de l’Armée du Salut

Dans la Bible Puisque nous avons été déclarés justes en raison de notre foi, nous sommes en paix avec Dieu grâce à notre Seigneur Jésus-Christ. (Evangile, lettre aux romains, chapitre 5, verset 1)

L

a paix c’est, quoi qu’on pense, un des besoins fondamentaux de notre âme, qu’on fasse profession de quelque croyance ou non. Appelons cela autrement : tranquillité d’esprit, calme intérieur, sérénité, placidité, que sais-je ; la Bible me dit que quand cette paix est surnaturelle, on peut « vivre avec ça » y compris mourir avec.

C’est aussi ce même verset, Romains 5 : 1, qui va « sortir » Luther de sa religion de mérites et de rédemption achetée, pour l’introduire dans une relation personnelle avec Dieu. Résultat pour l’Eglise entière : un croyant sonde sa Bible, « réforme sa foi », et c’est… la Réformation.

C’est saint Paul dans ses écrits qui se sert d’une expression juridique et l’introduit dans le christianisme du Nouveau Testament pour affirmer comment il voit cette possibilité : notre injustice rendue juste. Rendu juste devant Dieu par un acte de foi, c’est le centre de sa prédication. Paul, le Juif devenu chrétien joint le Nouveau Testament à l’Ancien quand il cite un acte de foi identique entre le patriarche Abraham et Dieu (Genèse 15 : 9). Cette expression un peu obscure pour certains « nous sommes rendus justes par la foi » pourrait se traduire en langage courant et un peu profane, comme : « Dieu, je te fais confiance car je te crois sur parole ». La foi suivie d’acte cohérent.

Mais en quoi tout ceci me concerne-t-il, moi, ou Madame Tout le Monde ? Rendu juste, kékcékça ? L’Ecriture sainte ici part d’un postulat : nous sommes injustes ; une des conséquences c’est qu’une loi soit édictée pour notre plus grand bien. Car nous voyageons, comme l’a dit quelqu’un, sur une route qui n’a plus de ligne blanche. Il suffit, par introspection, de réfléchir à notre tendance innée individualiste de nous extraire de tout ce qui nous semble contraignant. Déjà là, on y perd sa paix. Tourner notre vécu dans tous les sens possibles, nous chercher des pseudojustifications, on arrive tous à

cette conclusion inattaquable : « C’est pas juste ! ». Honnêteté en plus, donne : « Mon attitude est injuste ». Diagnostic de la Bible : un revirement est urgent et indispensable. Le langage chrétien renomme cela « Conversion ». Accepter ce diagnostic, c’est déjà un jalon ; aller plus loin, c’est rejoindre un religieux au temps de Jésus ; lequel lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu ! »

« La grâce, la bonté et la paix qui nous viennent de Dieu, le Père, et de Jésus-Christ, le Fils du Père, seront avec nous pour que nous en vivions dans la vérité et dans l’amour. » (Bible, 2 Jean 3)

3


musique

A pleins tubes pour le Seigneur  Pierre-André Combremont

Il serait bien difficile de dénombrer toutes les formes et tous les genres de musique exprimés dans le monde. Car la musique fait partie de la vie. Ne dit-on pas aussi que la musique adoucit les mœurs ? L’Armée du Salut est réputée pour ses belles fanfares.

D

ans l’orchestre symphonique, on appelle « fanfare » le groupe des instruments de cuivre. Son rôle consiste à souligner certains passages de la partition et parfois, sinon souvent, à leur donner un certain éclat. Mais plus communément, une fanfare est un orchestre composé d’instruments de cuivre auxquels peuvent être adjoints des instruments de percussion. En Suisse, la plupart des localités comptent une ou plusieurs fanfares appelées à animer des manifestations plus ou moins officielles ainsi que Les salutistes proclament l’évangile en paroles, en actions – et en musique des cortèges et autres défi- (la photo montre le salutiste Thomas Kreienbühl). lés. Dans certains villages, en Valais particulièrement, il y a deux fanfares rivales, ratta- corps de musique locaux ! Cette partir de 1882), la constitution de chées aux partis politiques princi- pratique nous vient d’Angleterre, fanfares se soit rapidement révépaux de la commune. Cela crée une berceau de cette organisation lée utile, voire nécessaire. émulation dont profite la qualité internationale, où l’on cite depuis 1878 déjà l’aide apportée par un En effet, l’absence d’orgues dans des prestations de ces ensembles. groupe d’instruments à vent dans ses salles est avantageusement les réunions tenues sur les places compensée par les prestations des Des méthodes parfois publiques ou dans la rue par l’évan- groupes d’instruments de cuivre. étonnantes Si, depuis des décennies, l’Ar- géliste William Booth, fondateur Et surtout, comme l’Armée du mée du Salut en Suisse compte de l’Armée du Salut. Il était donc Salut se doit d’être « une église de de nombreuses fanfares, ce n’est naturel que, parmi les méthodes la rue », la fanfare y a particulièabsolument pas dans un esprit parfois étonnantes venues tout rement sa place. A ce propos, on d’imitation, encore moins pour droit de Londres lors des débuts peut en lire dans un petit livre* entrer en concurrence avec les de l’Armée du Salut en Suisse (à une charmante description : « Au

4


musique

village, il n’y avait pas moins de trois fanfares. Celle dont l’effectif le plus faible ne comprenait que trois musiciens, c’était la ‹ Fanfare des Salutistes ›. Le premier jouait de la trompette, le deuxième du baryton, quant au troisième, il passait pour la meilleure basse du régiment (Armée suisse). Les trois étaient doués et excellaient dans l’exécution d’un genre de musique céleste, dont ils étaient devenus des spécialistes, pour ne pas dire des professionnels. Parfois, le dimanche soir, cette fanfare se produisait sur la Grande Place. Mais c’est au matin de Noël que la musique de ces trois hommes était particulièrement émouvante. Dans la nuit, dans le froid et parfois sous la neige, ils jouaient à la lueur de chaque réverbère ‹ Voici Noël ›. On entendait d’abord un son très doux qui traversait la nuit pour nous faire rêver. Puis, à mesure que les musiciens se rapprochaient, l’intensité augmentait jusqu’à ce que la musique éclate sous nos fenêtres… ». Un message musical On trouve dans ces quelques lignes le reflet d’une des activités très populaires des fanfares salutistes. Que ce soit sous la forme d’un simple quatuor ou d’un plus grand ensemble, elles apportent dans la rue un message qui n’est pas sans toucher plus d’un cœur parmi leurs auditeurs. Cela se remarque particulièrement au mois de décembre quand des petits groupes de musiciens prennent le relais des chanteurs auprès des célèbres marmites de Noël qui servent à recueillir des fonds destinés à apporter un peu d’aide aux plus déshérités de nos villes. Inspiration céleste La qualité des fanfares salutistes est réputée, aussi bien dans les

Carte postale datant de 1980 environ. Au verso le commentaire: « Lausanne, Place de la Palud: quatuor de choc de l’Armée du Salut ». Il s’agissait d’une photo prise par un passant à l’insu des musiciens et éditée à des milliers d’exemplaires (à gauche l’auteur de cet article).

milieux intéressés par la musique de cuivre que dans le public en général. Longtemps, les connaisseurs pensaient que cela provenait d’une particularité de ses instruments, qui étaient alors produits par une manufacture propre à l’Armée du Salut, à Londres… Mais cette fabrique n’existe plus depuis près de 40 ans et la qualité demeure ! Il faut donc chercher ailleurs une réponse . Peut-être la plus plausible est-elle la motivation des instrumentistes. En effet, quand ils jouent, ce n’est pas pour occuper leurs loisirs ou distraire leur public, mais pour apporter le témoignage de leur foi en JésusChrist, le Fils de Dieu venu sur terre pour le salut des hommes. En outre, les formations de type « Brass Band », dans leur style inspiré par leur origine britannique, sont particulièrement adaptées

au but recherché. On peut sans crainte penser que c’est ce style qui est à l’origine de la création de nombreux ensembles « Brass Band » que l’on peut apprécier dans notre pays. Qu’elles soient de modestes fanfares de petits Postes salutistes ou des ensembles prestigieux comme « Brass of Praise », la Fanfare nationale de l’Armée du Salut, celles réputées de Berne 1, Zurich Central, Bâle 1 ou quelques autres, ces fanfares ont toutes un même but : jouer à la louange de Dieu pour que leurs mélodies soient le support du message de la Parole divine. *Ali Chapuis, « Mon village et ma vallée », Ed. Imprimerie Cornaz SA, Yverdon (1975) 

5


témoignage

Si près du ciel  Annelise Bergmann

J L’appel de Dieu, c’est un appel au grand large.

e connais une certaine grenouille (enfin, façon de parler) qui vit à une trentaine de mètres d’un étang absolument magnifique. Tout y est : le calme, l’eau translucide, les roseaux, les nénuphars pour prendre le soleil, la nourriture en abondance, le délicieux frisson d’adrénaline quand passe un héron ou un brochet ... la compagnie d’autre commères qui l’appellent à grands coassements… rien n’y fait. Elle vit, et vraisemblablement mourra, dans une affreuse baignoire qui sert d’abreuvoir pour vache. L’eau est opaque, fétide, elle se tient

sur le rebord, observe l’alentour et … replonge. Ne critiquons pas trop vite ma petite copine écervelée. Après tout, elle n’a peut-être pas toutes les données en… palmes ! Mais pour parler personnel, qui de nous, un jour de grande honnêteté, n’a pas douté de la beauté et de la pertinence du paradis ? De l’or, des portes en perles, une

6

gloire éclatante, pouvons-nous pleinement intégrer ces images de promesse ? Après tout nous ne sommes pas si mal dans notre petit confort tiède, pas génial mais bien connu ! Et l’appel du grand large, de la lumière, de la Présence… il faut l’avoir beaucoup fréquenté pour avoir la confiance que le déménagement en vaut mille fois la peine. Il faut du courage, un brin de folie et de soif d’aventure pour croire que notre prochaine demeure sera infiniment meilleure ! Elle est toute proche, à portée de cœur, nous avons avec nous celui qui en est le Chemin. Ne sentez-vous pas, si vous levez la tête, le souffle parfumé, la fraîcheur des embruns, l’appel de l’infini ? La Bible nous dit (livre de l’Apocalypse chapitre 21, versets 1 à 3) : « Puis je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, préparée comme une épouse qui s’est préparée pour son époux. Et j’entendis du trône une forte voix qui disait : voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Il habitera avec eux, et ils seront son peuple, et Dieu lui-même sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs  yeux. »

Sans tambour ni trompette Entraînements d’été Je fais du hockey sur glace depuis tout petit. Mais ce n’est pas trop la saison pour s’enfermer dans une patinoire. Et pourtant, avec les joueurs de mon équipe, nous continuons de nous retrouver une fois par semaine pour maintenir notre condition physique. On appelle cela les entraînements d’été. Dans ma vie de foi, c’est un peu semblable. Il y a des périodes de « compétition » où je suis mis à l’épreuve et où je dois me battre pour remporter le combat (voir dans la Bible en 1 Timothée 6 : 12). Et d’autres moments d’accalmie. Mais attention à se garder de l’oisiveté durant ces instants de quiétude. Il faut continuer à « s’entraîner » pour être prêt lorsque le temps de la confrontation reviendra. Et chose merveilleuse, mon coach (Dieu) m’a donné un plan d’entraînement pour que je puisse maintenir ma foi « en forme ». Tout est dans sa Parole, la Bible.

 Sébastien Goetschmann


infos Unis par le même Père Du 17 au 19 février 2012 s’est déroulé le week-end du Poste de Spa dans « la Villa Meyerbeer ». Après s’être installés dans nos chambres respectives, la soirée débute par une veillée sympathique agrémentée de jeux divers. Cela nous permet de nous mettre dans une ambiance familiale, décontractée et relaxante, qui colle bien avec le thème de ce week-end qui est « La famille ». C’est un grand mot qui renferme bien des choses, on l’emploie à toutes les sauces et on en oublie souvent le sens profond. Mais ce qu’il est important de retenir c’est que ce mot tient une énorme place dans notre vie et qu’elle est à la base de la vie de tous les peuples de ce monde. La famille sert à nous protéger, nous sécuriser, nous rendre plus fort et à maintenir des liens sur lesquels nous espérons compter en cas de coup dur. On peut en être aussi rejeté ou en être banni pour toutes sortes de raisons et souvent cela nous mène à l’errance et la tristesse. Cette famille existe aussi au sein de notre communauté. Mais nous devons peut-être la créer, la recréer ou bien la réveiller. C’est en vivant des moments ensemble et en apprenant à nous connaître que nous pourrons atteindre ce but. Ces liens sont spirituels et

Membre de l’Union des Editeurs de la Presse Périodique

Je m’abonne pour une année au mensuel «  Espoir  » en versant la somme de 15 (étranger 21) sur le compte 000-0051322-09 avec la mention «  abonnement Espoir  »

Nom  : Prénom  : Adresse  :

Localité  : Date  : Signature  : Même différents les uns des autres, nous pouvons nous unir par le même Esprit.

ils demandent une attention de tous les instants pour les garder intacts. Afin de stimuler cette idée notre officier, Joël, nous a concocté un chant sur le sujet et qu’on le veuille ou non, il restera ancré dans nos têtes car chaque occasion était bonne pour le chanter : Unis par le même Père, Unis par le même Esprit Unis par le même Frère, Par le don de sa vie, Unis par la même loi, nous sommes unis toi et moi ... La famille c’est l’amour avant tout La Major, « Glories », notre invi-

A renvoyer à  : Armée du Salut, Service des abonnements, 34, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains, 1000 Bruxelles Jacques_Rouffet@bel.salvationarmy.org

tée pour ce week-end, a agréablement dirigé les moments de culte. La convivialité et l’ouverture de soi étaient au rendez-vous, des liens se tissaient, lentement mais sûrement. Avec ce qui nous unit tout devient possible. Nous avons terminé ce week-end en ayant donné au mot famille un sens très large mais aussi en constatant ce que ce mot avait comme importance dans notre vie et que nous devons rester vigilant pour préserver « La famille ».

Mensuel de l’Armée du Salut | Editeur responsable  : Major Jacques Rouffet, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains 34 | BE-1000 Bruxelles | Tél. 02 513 39 04 - Fax: 02 513 81 49 | Courriel  : Jacques_Rouffet@bel.salvationarmy.org | Internet  : www.armeedusalut.be , www.legerdesheils.be | Abonnement 1 an  : 15 , (21 étranger)| Fondateur  : William Booth  | Générale  : Linda Bond | Chef pour la Belgique  : Major Jacques Rouffet | Rédaction Berne: Gabrielle Keller (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction  :  Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains  /  Marianne Hefhaf, Lausanne  | Concept graphique  : Didier Chassagnot | Mise en page  : Rolf Messerli | Imprimerie  : Rubmedia, Wabern/Berne | Tirage  : CH:  5 000 ex. BE :  4 000 ex. | Crédit photo  : P 1, 2  : Sébastien Goetschmann  ; P  3  : Wikimédia  ; P  4-5 : Martin Heimann, MAD ; P  6, 7  : Wikimédia | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.

7


détente

« Le silence est l’habitude de Dieu, la manière de Dieu ; il est à l’entrée de tout chemin vers lui. » Goerges Chopiney

Solution du Sudoku

8

PP

Il faut placer dans la grille, par ligne horizontale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel ordre. Vous devez retrouver la totalité des chiffres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer  !

3001 Berne

Règle du jeu

Annoncer les rectifications d’adresses

Sudoku


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.