Mensuel de l’Armée du Salut - 122e année - N° 9 - 2012
Société
Un phénomène qui choque Marianne Hefhaf
Le phénomène « Lolita » a jeté l’ancre en Europe. Ce sont des petites filles de 8 à 11 ans qui portent des habits sexys, provocants à la manière de leurs idoles : Lorie, Alizée, Jennifer, Britney Spears. Poses lascives, bouches rouges et talons hauts, la ligne de démarcation entre petites filles modèles et top-modèles adultes est de plus en plus étroite.
un souci plus présent que jamais dans notre société. Le look se trouve sur le devant de la scène dans le domaine sentimental, social, même professionnel. Ce souci exacerbé de son aspect physique descend maintenant jusqu’aux enfants, aux filles en particulier. Les salons de beauté ouvrant leurs portes aux gamines sont légions ; les mères se précipitent pour y inscrire leur fille : french manucure, pose de faux ongles, épilation, maquillage permanent, coiffure sophistiquée, micro peeling, rien n’est négligé pour faire de leur progéniture … une femme-enfant.
« Lolita » En 1950 ce roman de Nabokov est porté à l’écran ; il met en scène un quadragénaire qui tombe éperdument amoureux d’une gamine de 12 ans, pré-adolescente aux attitudes provocantes, un rien vulgaire et qui joue impunément des sentiments de cet homme sensible, romantique, et cultivé. Humbert Humbert est tombé dans le piège des lolitas, petites allumeuses affichant une attitude de garce. L’écriture fine de Nabokov finit par faire oublier une terrible vérité : Humbert est pédophile … Apparences … Aujourd’hui l’esthétique
est
… et sexe au premier plan ! Le phénomène des lolitas s’explique encore, selon certains psychologues, par la surenchère de la sexualité dans la société actuelle : chanson, cinéma, télévision, publicité, presse. Que ce soit maquillage, coiffure, tenue vestimentaire, gestuelle du visage, tout tend à provoquer le désir chez l’homme, ce qui induit que la conquête du mâle
Deux fillettes en gothiques.
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Dieu, où te caches-tu ?
Pourquoi j’aime Israël
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société
devient l’unique objectif vers lequel tendre. La sénatrice française Chantal Jouano a déposé un dossier en 2011 sur « L’hypersexualisation des petites filles » qui deviennent les victimes de l’idée que la femme est sexuellement offerte à l’homme étalon.
sources de pouvoir, on les rend prisonnières du regard de l’autre pour exister. De plus, cette philosophie les incite à considérer la sexualité comme un moyen utilisable à certaines fins, et les encourage donc à restreindre leur formation identitaire à la seule dimension du corps sexualisé ». Le dernier mot à un blogueur : « Nous nous efforçons de protéger nos enfants contre les pédophiles, mais en même temps, tout contribue à dénuder les petites filles et à les rendre très attirantes. »
L’avis des psychologues Un rapport de recherche québécois pointe du doigt les dégâts prévisibles : « En développant chez les jeunes filles une attention démesurée pour le corps et la beauté, et en leur apprenant que sexualité et séduction sont des
Fillette ou poupée ?
Point de vue Préserver nos enfants Le propos du jour est de parler de ces petites filles, et pourquoi pas aussi dans une moindre mesure, ces petits garçons, que par un effet de mode, un goût ou une aspiration, on habille comme de petits adultes, accentuant une certaine ambiguïté sexuelle notamment. En y réfléchissant il me vient deux passages bibliques en tête, qui ne traitent pas précisément de ce sujet bien sûr, mais explicitent l’attitude de Jésus face aux enfants en général. Le premier est très connu (Marc 10, versets 13-16) : « Des gens amènent des enfants à Jésus pour qu’il les touche. Mais les disciples leur font des reproches. En voyant cela Jésus se met en colère et il dit à ses disciples : laissez les enfants venir à moi. Ne les empêchez pas. En effet, le Royaume de Dieu appartient à ceux qui sont comme les enfants. Je vous le dis, c’est la vérité : si quelqu’un ne reçoit pas le Royaume de Dieu comme un enfant, cette
Annelise Bergmann personne ne pourra jamais y entrer. Ensuite, Jésus embrasse les enfants et il les bénit en posant les mains sur leur tête. » Le deuxième passage est nettement moins idyllique. « Supposons ceci : quelqu’un fait tomber dans le péché l’un de ces petits qui croient en moi. Et bien, il vaut mieux qu’on attache une grosse pierre au cou de cette personne et qu’on la jette au fond de la mer.» Quel malheur ! (Evangile de Matthieu, chapitre 18, verset 6). Aïe, aïe ! j’entends les hauts cris jusqu’ici : non, Jésus n’a jamais utilisé la langue de bois ! non, il ne se soucie pas de faire des formulations politiquement correctes ! Toucher à un enfant, c’est toucher à la prunelle de ses yeux, c’est souiller ce qu’il y a de plus pur dans l’humanité qu’Il chérit. Evidemment, me dira-t-on. Mais laisser une petite fille porter une mini jupe, des talons aiguille ou du maquillage, cela n’a rien de maltraitant ! Dans une certaine mesure, je pense que c’est dans le
meilleur des cas faire preuve de désinvolture et de méconnaissance du développement de l’enfant. On sait bien maintenant que l’enfant, après avoir résolu son Œdipe, vers quatre à six ans, doit passer par un stade de latence sexuelle, jusqu’à la puberté. Pour son bien, pour son harmonie, la petite fille doit rester une petite fille, chipie, indisciplinée ou casse-cou, peu importe, mais aussi préservée que possible d’influences malsaines. A de nombreuses reprises dans les évangiles Jésus insiste sur le fait que c’est aux adultes de devenir comme des enfants, et non pas le contraire ! Tout un programme ; ceux qui, comme moi ont la chance d’élever des enfants savent comme la tâche est ardue. Les stimulations, les sollicitations sont omniprésentes, les enjeux bien cachés. Comme le disait un joyeux plaisantin, plus on a d’enfants, moins on a de principes ! Que Dieu nous fasse le cadeau d’être des adultes attentifs, aimants, vigilants. Et n’oublie pas d’enfiler ton gros pullover, ma fille !
évangile
Dieu, où te caches-tu ? André Sterckx Officier de l’Armée du Salut
Dans la Bible J’ai cherché l’Eternel et il m’a répondu. (Esaïe, chapitre 3, verset 5) Je me suis laissé trouver par ceux qui ne me cherchent pas. (Esaïe, chapitre 65, verset 1) Vous me chercherez et vous me trouverez si vous me cherchez de tout votre cœur. (Jérémie, chapitre 29, versets 13-14) Cherchez-moi et vous vivrez. (Amos, chapitre 5, verset 4)
U
n jeune homme avait témoigné dans une rencontre évangélique de l’Armée du Salut dans le nord de la France. Il contait sa rencontre avec Jésus. « J’ai commencé par le découvrir par un chemin assez cérébral, confessait-il, mais peu de changement s’opérait en moi. Mais quant à le connaître vraiment, ma recherche est partie de trente centimètres plus bas. Alors, beaucoup de choses ont commencé à changer. » Trouver Dieu : avec la tête ou le cœur, dans ce XXIe siècle qu’on a prédit être religieux ? Dilemme actuel : peut-on satisfaire notre quête intérieure se servant de l’intellect, mobilisant nos « cellules grises » et privilégiant la raison ? A chaque événement suit une logique qui veut l’expliquer. Fort bien, donc : expliquons ! Pourtant, il est notoire que ce sont dans des situations de vie difficiles, les appels au secours, les besoins profonds, les souffrances et crises de tout ordre que les églises se remplissent, que les proclamations de foi et les prières se font les plus ferventes. Ce sont les cœurs
déchirés qui crient alors. Les malheurs n’entendent pas la logique. Non, le moteur de notre être ne se situe pas dans la raison mais dans notre cœur. On attribue à Goethe cette réflexion : « L a nature nous a doués de raison pour penser juste. Pour agir avec justesse, elle nous a donné le cœur. » Le cœur alors, semble-til, possède une fonction-clé dans notre vie. Du mathématicien et philosophe Blaise Pascal nous connaissons bien cette citation. « Le cœur a des raisons que la raison ne connaît pas ». Tout aussi bien et pour cela quand Dieu nous parle, c’est toujours et avec mille variantes qu’il s’adresse à nous : « Vous me chercherez et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur » Trouver Dieu : est-il difficile à trouver ? Est-il simplement là, disponible, à portée de main comme des
produits de grande surface, à prix abordable ? Un Dieu prêt-à-porter, une bonne occase à saisir ? Un vade-mecum de religion qu’on applique à nos prières « v ite faites » ? Non, ce Dieu-là il faut le chercher « et de tout notre cœur ». Comprenez par là : humilité, abaissement, repentance et pardon. Le théologien Mélanchton décrit à merveille ce « cœur humain qui ne trouve aucun repos à moins qu’il ne le trouve en Dieu ».
Dieu se laisse trouver, mais il faut le chercher avec ferveur.
le peuple élu
Pourquoi j’aime Israël Dans toute l‘histoire humaine, Israël, autrement dit « le peuple juif », n’a cessé d’être haï pour des raisons toutes plus invraisemblables les unes que les autres. Aujourd’hui, à nouveau, Israël est l‘objet de haine de la part des nations. On peut donc s’étonner qu’il puisse y avoir aujourd’hui des gens qui aiment Israël ! Jean-Marc Thobois Pourquoi ? J’aime Israël, parce que j’aime Dieu. Dieu est le Dieu d’Abraham d’Isaac et d’Israël. C’est par ce peuple qu’il s’est révélé à tout être humain. S’approcher de Dieu ne se fait qu’au travers d’Israël. L’existence d’Israël malgré toutes les tentatives d’extermination dont il a été l’objet, est la preuve même de l’existence de Dieu. Celui qui aime Dieu, aime Israël, celui qui ne l’aime pas a forcément de la haine contre Dieu. J’aime Israël parce que j’aime Jésus-Christ lequel est né Juif, a vécu et parlé comme un Juif, et est mort et ressuscité comme un Juif. Il y a selon le Nouveau Testament, une relation indissociable entre Jésus et Israël. Jésus résume et incarne toute la vocation de ce peuple en tant que serviteur de l’Eternel, pour le salut des nations et pour porter cette lumière jusqu’aux extrémités de la terre. La Bible nous dit que Jésus est la parole faite chair : cette chair
a été une chair juive. Comment peut-on aimer Jésus et haïr le peuple dont il est issu, auquel il s’est pleinement identifié et qu’il n’a cessé d’aimer même quand celui-ci était infidèle ? J’aime Israël parce que j’aime la Bible. Ce livre est la Parole de Dieu qui a d’abord été révélée à Israël et que ce peuple avait pour mission de répandre au
monde entier, afin que chaque être humain puisse connaître qui est Dieu et ce qu’est sa volonté à son égard. Ce message, selon l’ordre de Jésus, est allé vers tous les peuples porté par des envoyés de Dieu appelés apôtres et qui dans la première génération étaient tous des Juifs. Chaque être humain et notamment chaque chrétien a donc une
Peut-être plus que tout autre, le peuple juif a souffert à travers l’Histoire.
le peuple élu
La ville de Jérusalem, vue depuis le mur ouest.
dette de reconnaissance infinie envers le peuple qui a recueilli cette révélation, qui l’a soigneusement conservée, d’une manière inaltérable et inaltérée, comme un trésor véritable et qui a su partager ce trésor avec le monde entier de telle sorte que notre civilisation a été modelée au long des siècles sur des principes divins révélés au peuple d’Israël. J’aime Israël parce que je crois que le Dieu d’Israël interviendra à nouveau bientôt dans l’histoire humaine, selon ce qu’ont annoncé les prophètes juifs pour faire cesser toute guerre, toute souffrance et toute forme de mal dans ce monde déchu. Jésus, le Messie d’Israël,
anéantira le prince de ce monde, Satan (ou le diable), et fera en sorte que la volonté de Dieu qui est bonne, agréable et parfaite se réalise dans ce monde. Cela se fera par l’intermédiaire d’Israël rassemblé dans son pays et dont Jésus le Messie deviendra le roi, selon la promesse de l’ange Gabriel à Marie sa mère: « L e Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père, il régnera sur la maison de Jacob à perpétuité ». La Bible nous enseigne que cette paix qui s’établira alors, gagnera le monde entier qui connaîtra un âge d’or précédant l’apparition d’un ciel nouveau, d’une terre nouvelle et d’une Jérusalem nouvelle où ceux qui auront reçu Jésus comme sau-
veur, vivront pour l’éternité de sorte que haïr Israël et s’opposer à son retour dans sa patrie ancestrale revient non seulement à se dresser contre le plan de Dieu, mais aussi à travailler contre son propre intérêt. C’est pourquoi, même si le fait d’aimer Israël peut paraître étrange dans un monde où la haine d’Israël ressurgit sous couleur « d ’antisionisme », il n’y a rien de plus naturel et de plus normal pour un homme libre et lucide et plus encore pour un chrétien, que d’aimer ce peuple.
témoignage
Quand tout va mal Sébastien Goetschmann
D
ans la vie, il y a des hauts et des bas, c’est inévitable. Cela fait partie de la vie. Parfois, tout se passe comme prévu, tout roule, et d’autres fois, rien ne fonctionne comme on le voudrait. Il y a cependant une bonne nouvelle : peu importe les circonstances de nos vies, Dieu reste le même. Il reste fidèle, plein d’amour et de compassion envers
Parfois, nous surfons sur la crête de la vague et parfois, celleci nous entraîne vers le fond. Mais Dieu, lui, reste fidèlement à nos côtés.
ses enfants, dans les bons et les mauvais moments. Quand j’ai accepté Dieu dans ma vie, j’ai pensé au fond de moi, que tout serait plus facile, puisque j’avais un Dieu bon qui répondait à mes prières. Je pensais que je n’avais plus d’efforts à faire, car Il m’ouvrirait toutes les portes pour
que je puisse avancer. Un des plus grands défis, qui je crois concerne presque chacun, est de trouver un conjoint qui partage sa vie. J’ai cru avoir trouvé la perle rare, il y a quelques années. Et lorsque nous avons rompu, j’ai plongé dans une phase de déprime. D’une certaine manière, j’en ai voulu à Dieu pour cette situation. Mais au fond, je savais qu’il ne m’avait pas abandonné. Lorsque je me trouve au creux de la vague, c’est à cela que je m’accroche. Et quel réconfort de savoir qu’on peut compter sur Dieu, alors que dans notre vie, tout semble nous échapper ! Car il est le rocher solide et inébranlable sur lequel je peux me reposer. J’adore ce passage dans la Bible, qui nous rappelle que Dieu veille sur nous en toutes circonstances : « Quand je marche dans la vallée de l’ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent. » Psaume 23 verset 4. Merci Seigneur de me guider et de m’accompagner, même quand tout va mal !
Sans tambour ni trompette Où habite Dieu ? « Où habite Dieu ? La question soudain posée par le rabbi de Kotzk, surprit ses hôtes : de savants personnages qu’il avait à sa table. Et les docteurs se moquèrent de lui : « Que nous demandez-vous là ? Est-ce que le monde n’est pas plein de sa magnificence ? » Mais le rabbi apporta lui-même la réponse à sa question : « D ieu habite là où on le fait entrer. » Il y a ceux qui disent de manière péremptoire : « D ieu n’existe pas. » Ça a le mérite d’être clair et net. Ça permet également d’être … son propre dieu. Il y a ceux pour qui Dieu est une sorte d’énergie créatrice qui, en effet remplit l’univers, qu’on respecte et qu’on admire sans réserve. Il y a ceux qui, comme le rabbi de Kotzk répondent : « D ieu habite là où on le fait entrer. » Ceux-là n’hésitent pas à inviter Dieu chez eux et sont donc d’accord d’établir … une relation avec Lui. Lui, ce Tout Autre qu’on appelle aussi le Verbe est à la fois Parole et Action ; il est ce génial créateur qui remplit le monde de sa magnificence, mais il est aussi la parole qui en s’exprimant invite au dialogue. « Merci de m’avoir fait entrer. Viens, soupons ensemble, nous avons des choses à nous dire ! »
Marianne Hefhaf
infos Conférence internationale des dirigeants de l’Armée du Salut Du 7 au 14 juillet 2012, les dirigeants de l’Armée du Salut de toute la planète se sont réunis à Toronto. Articulée autour de la Vision internationale « Une Armée – Un Message – Une Mission », la semaine a permis de présenter, partager, réfléchir et prier pour les enjeux futurs auxquels l’Armée sera confrontée. Durant ces jours de rassemblement, 127 dirigeants de l’Armée du Salut ont participé à des études bibliques sur « être en Christ, la base de notre unité comme Une Armée », sur ce que signifie être « une armée » ou encore « une armée - dans l‘espoir ». Preuve que malgré sont internationalité, l’Armée est unie en Christ. Plusieurs documents mettant l’accent sur les priorités spécifiques de la mission ont été présentés. En voici quelques principaux éléments. La commissaire Sue Swanson, Présidente mondiale des Ministères Féminins a parlé du ministère et du leadership des femmes, relevant qu’il y a des obstacles pour les officières mariées envisagées pour certains postes dirigeants dans l’Armée du Salut. Ajoutant que l’héritage de Catherine Booth est un don de Dieu que l’Armée doit chérir et continuer de développer. Le commissaire Robert Street (Secrétaire international pour l’Europe) a présenté une brochure du projet, une armée, comprenant le premier programme de matériel d’enseignement destiné aux Postes et aux Centres de l’Armée à travers le monde. Il a aussi montré une ressource sur le web, qui complète et élargit la brochure imprimée. Le commissaire Clive Adams
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La Générale Linda Bond a encouragé la congrégation à être unie pour proclamer l’Evangile du Christ, ajoutant que c’est au pied de la Croix que nous pouvons vraiment être un.
(Commandant territorial, Norvège, Islande et Féroé) a présenté une évaluation de l’état actuel du travail parmi les enfants et les jeunes. Il a reconnu que beaucoup de jeunes dans les pays développés considèrent l’Eglise comme désuète et se désengagent du chris-
tianisme. Le commissaire Adams est pourtant persuadé que l’Armée est capable de répondre positivement à ce défi, car là où le travail parmi les jeunes et la formation de disciples restent prioritaires, l’Armée connaît une croissance encourageante.
Le rassemblement s’est clos par de nombreux remerciements pour les prières exaucées tout au long de l’événement. [INR]
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détente « Regarder un atome le change, regarder un homme le transforme, regarder l’avenir le bouleverse. » Gaston Berger
Solution du Sudoku
PP
Il faut placer dans la grille, par ligne horizontale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel ordre. Vous devez retrouver la totalité des chiffres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !
3001 Berne
Règle du jeu
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Sudoku