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Mensuel de l’Armée du Salut - 122e année - N° 10 - 2012
Quotidien
L’hospitalité commence par des portes ouvertes
Florina German
Personne ne doit être obligé de dormir dans la rue. Visite chez le salutiste Franz Dillier, Directeur du Foyer de passage de l’Armée du Salut de Berne.
E
n début d’après-midi, c’est le calme plat qui règne : un hôte regarde la télévision, l’autre écoute de la musique dans la salle de séjour. Dans le jardin, deux femmes papotent. Les dortoirs n’ouvrent leurs portes que vers 17 heures. D’ici ce soir, ils seront complets. Chaque nuit, le Foyer de passage affiche complet, été comme hiver.
Mais nous accueillons aussi des personnes qui n’auraient aucune chance de retrouver un logement. Certains hôtes ont juste besoin d’une douche ou d’un lit pour se reposer. Pour d’autres, les chambres peuvent devenir leur chez-soi pour des mois, voire parfois des années. Ils disent « mon lit », placent des photos sur la table de nuit et s’installent. »
« Nous pourrions aisément remplir une deuxième maison de cette capacité » nous confie le Directeur de l’établissement, Franz Dillier, pendant qu’il nous montre les locaux.
Accueil sans bureaucratie Pour Franz Dillier, l’hospitalité commence toujours par des portes ouvertes : celui qui, le soir, affamé, frappe à la porte du Foyer de passage, n’ira certainement pas se coucher le ventre vide. Si quelqu’un demande à être hébergé, bien qu’il n’y ait plus de lits qui soient libres, se verra aménager une couche sur le sofa.
Certains de nos hôtes disent « m on lit » Franz Dillier explique : « Nous avons par exemple des hôtes qui, suite à une séparation, doivent quitter le domicile commun.
Le salutiste Franz Dillier ouvre ses portes et son cœur.
Le Directeur du Foyer de pas page 2
Soyez sans crainte, voici votre Dieu !
Echec à la violence
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quotidien
sage accueille volontiers ses hôtes. Pour lui, il est primordial que chaque personne accueillie
ici trouve soulagement et tranquillité. Dans le Foyer de passage de Berne, l’hospitalité est vécue au quotidien : la bureaucratie se limite à un système rudimentaire de fiches servant à enregistrer les hôtes hébergés. L’offre de place d’hébergement est volontairement à seuil bas. Les hôtes viennent de leur propre gré et sans engagement. Les frais d’hébergement sont partiellement pris en charge par le canton avec lequel le Foyer a conclu un mandat de prestation. Franz Dillier et son équipe sont à proprement parler des hôtes sur mandat.
Adam Macher, officier de l’Armée du Salut, aime recevoir les gens dans le besoin.
Certains reviennent remplis de reconnaissance Un jour, une fille d’environ 18 ans, frappe à la porte du Foyer de passage de Berne. La jeune roumaine entreprend un voyage afin de faire un travail de mémoire. Le Foyer de passage constitue l’une des étapes de son enfance. « Ç a sent encore exactement comme à l’époque ! » s’étonne-telle lorsqu’elle déambule dans le bâtiment. La jeune femme avait logé avec ses parents dans la chambre familiale du bâtiment de style art nouveau. L’Ecole d’officiers de l’Armée du Salut était installée dans ce bâtiment jusqu’en 1986. La famille avait même reçu la clé de la cuisine, afin de pouvoir chauffer du lait. L’hôte fait justement parfois de telles exceptions.
Point de vue
Pas facile … Exercer l’hospitalité devrait se faire sans rien attendre en retour. Surtout envers les pauvres. Cela sonne bien, mais c’est souvent un sacré défi dans la réalité. Les pauvres n’ont pas tous quitté un pays du Tiers-Monde après y avoir été persécutés. Beaucoup sont eux-mêmes responsables de leur détresse et de leur solitude et ne se donnent pas même la peine d’un minimum de décence et d’affabilité. Notre hospitalité ne doit pas seulement viser les personnes qui touchent nos cœurs mais celles qui ont besoin de nous.
Gabrielle Keller Cela peut être la voisine qui occupe systématiquement la machine notre jour de lessive. Ou l’ivrogne au langage sordide. Ou l’éternel donneur de leçons. Ou encore le marginal qui renverse la soupe sur notre si beau tapis. L’hospitalité, c’est donner sans compter. Comme Jésus a fait preuve de bonté envers tous ceux qu’il rencontrait. Avoir un cœur ouvert, c’est aussi ouvrir ses portes et son réfrigérateur. L’Armée du Salut entend le mettre en pratique, et de nombreux officiers et salutistes réservent une chambre ou au moins un lit pour
accueillir une personne qui en aurait besoin. Même si de tels visiteurs ne respectent pas notre horaire ni notre conception de l’hygiène ! La Bible nous enseigne d’exercer l’hospitalité non seulement envers les pauvres mais aussi envers les frères et sœurs de la foi. C’est connu, le « personnel terrestre » de Dieu ne se comporte de loin pas toujours comme ce que nous considérons comme juste ! Les différences entre chrétiens peuvent sacrément éprouver nos nerfs ! Mais la Parole est claire. Et la mettre en pratique apporte la bénédiction de Dieu. Qui pourrait y renoncer ?
évangile
Soyez sans crainte, voici votre Dieu !
Corinne Gossauer-Peroz Officière de l’Armée du Salut
Dans la Bible « Dites à ceux dont le cœur palpite : Fortifiez-vous, soyez sans crainte ; voici votre Dieu, la vengeance viendra, la rétribution de Dieu, Il viendra lui-même et vous sauvera.
Alors s’ouvriront les yeux des aveugles, s’ouvriront les oreilles des sourds ; alors le boiteux sautera comme un cerf, et la langue du muet triomphera. Car des eaux jailliront dans le désert. Le
D
sistible plus fort que tout. Quand Dieu se fait proche, il transforme tout et cela est visible.
es hommes et des femmes exilés : voilà ce qu’était devenu le peuple d’Israël. C’est à ces individus humiliés et découragés que le prophète s’adresse en osant leur parler de l’avenir. Il leur décrit même comment Dieu s’y prendra. Ce ne sont pas là de timides mots de consolation, comme il nous arrive d’en prononcer … Esaïe, dont le nom en hébreu signifie « le Seigneur sauve », parle avec assurance de cet avenir que Dieu prépare. La confiance est restaurée Avant même la fin des souffrances, Esaïe redit au peuple que Dieu est celui qui tient sa destinée en main et qu’Il guide les hommes et les femmes qui mettent leur confiance en Lui. Le retour des exilés et la restauration d’Israël auront lieu. Esaïe rapproche merveilleusement les transformations des individus et les mutations de la nature. Par des images de mouvement (boiteux qui bondit et eau qui jaillit) et d’ouverture (yeux et bouchent et terre qui s’ouvrent), le prophète évoque un élan irré-
Jésus accomplit ce qui était annoncé En Jésus, la prophétie s’est accomplie. Aux envoyés de Jean-Baptiste qui lui demandent s’il est « celui qui doit venir », Jésus répond en reprenant les termes d’Esaïe : « Les aveugles recouvrent la vue, les boiteux marchent, les lépreux sont purifiés, les morts ressuscitent et la bonne nouvelle est annoncée aux pauvres. » (Matthieu 11 : 5). Pour nous, quelle espérance ? Dans quel temps sommes-nous ? Un temps de crise, de doutes ou de bouleversements personnels ? Qui saura dire des paroles de confiance et d’espérance ? Saurons-nous les
mirage se changera en étang et la terre de la soif en fontaines d’eaux. » La Bible, livre d’Esaïe, chapitre 35, versets 4 à 7
entendre ? Jésus a inauguré le temps de Dieu, Il ne l’a pas achevé. Le salut et la délivrance offerts par Dieu en Jésus sont toujours à portée de chacun. Les chrétiens de toutes dénominations en témoignent. Dieu est toujours proche, prêt à changer les vies et les circonstances. Le laisserons-nous nous sauver ?
« Je lève les yeux vers les monts : d’où le secours me viendra-t-il ? Mon secours vient de l’Eternel qui a fait le ciel et la terre. » (Psaume 121, versets 1 et 2)
société
Echec à la violence
Pierre-André Combremont
Depuis le début de cette année 8,2 millions de personnes ont été victimes de trafic humain, 212 milliards de dollars sont issus du trafic de drogues, 650 000 viols ont été commis ainsi qu’un demi-million d’homicides. Terrible, non ?
V
iolence, criminalité, insécurité. Trois mots interdépendants. Trois mots que l’on peut placer dans cet ordre ou un ordre différent. Trois mots qui font froid dans le dos. On pourrait ajouter bien d’autres mots qui découlent de ces mots : incivilité, intolérance, irrespect, qui tous sont des actes de violence, de « petite » ou de « grande » criminalité et contribuent à un sentiment d’insécurité dans les villes et jusque dans les campagnes. Comment faire échec à la violence ? Pour les uns, il suffirait
d’augmenter les effectifs policiers. Ils n’ont pas tort. Pour d’autres, c’est un problème d’éducation depuis la petite enfance. Ils n’ont pas tort. D’autres accusent la misère sociale, le chômage, l’oisiveté, la convoitise. Ils n’ont pas tort. Mais entend-on parler de la responsabilité personnelle de chacun ? C’est trop facile de rejeter la responsabilité de la violence sur les institutions, sur l’Etat, sur les autres. Nous avons eu le privilège de parler avec un collaborateur de la Gendarmerie vaudoise, par ailleurs soldat de l’Armée du Salut
du Poste d’Orbe. Willy Mermod est responsable de la prévention de la criminalité dans tout le Nord vaudois. Son rôle ne consiste pas à « courir après les voleurs » mais plutôt à les devancer par les moyens de l’information, de conseils. Pour cela, les contacts avec la population sont très importants. A tous les niveaux. Des conférences sont données dans les localités du secteur, souvent à la demande d’associations diverses, à l’intention de personnes désireuses de savoir comment se prémunir contre les cambriolages, les vols à la tire et autres agressions contre les personnes
Classement des pays par taux d’homicide volontaire Venezuela
45,1
Groenland
19,2
Russie
10,2
Ukraine
5,2
Roumanie
2
Belgique
1,7
France
1,1
Italie
0,9
Allemagne
0,8
Suisse
0.7
Autriche
0,6
Islande
0,3 50
homicides pour 100 000 habitants
Taux d’homicide dans un choix arbitraire de pays selon la dernière année disponible selon l’Office des Nations unies contre la drogue et le crime (UNODC).
société
Les membres et collaborateurs de l’Armée du Salut se battent pour un monde où l’amour du prochain n’est pas que parole mais vérité quotidienne. Ici lors d’une réunion internationale à Belmont, Pays-Bas.
ou les biens. De nombreuses séances d’information sont données dans les écoles, à des ados surtout, pour aborder les problèmes liés au racket, aux risques des réseaux sociaux sur Internet ou au moyen des téléphones portables. Les parents, souvent ignorants des dangers, sont également enseignés lors de réunions organisées par les établissements scolaires à leur intention. Des informations de prévention sont aussi données lors de foires commerciales, où sont dispensés des conseils sur les moyens techniques à disposition pour protéger les habitations mais aussi sur les précautions à prendre en public, dans les lieux très fréquentés tels que transports publics, fêtes ou manifestations. Le comportement personnel de tous peut être un facteur important de la diminution des risques d’agression. Il est important d’éli-
Sculpture « Non-Violence » à Stockholm.
miner le plus que possible les tentations et surtout de ne pas céder aux sollicitations « angéliques » adressées par des inconnus dans la rue, à proximité des centres commerciaux ou des appareils distribu-
teurs d’argent. Ainsi, chacun peut être un agent pour faire échec à la violence. www.globometer.com/criminalite.php
témoignage
Œuf ou jambon ? Gabrielle Keller
C
onnaissez-vous l’histoire du chien tombé malade ? La voici : Dans une ferme le chien qui veillait si bien sur les autres animaux tomba malade. Vaches, cochons, chats, poules se consultèrent pour cher-
Tout donner, afin d’atteindre la cime qui est Jésus. Voici ce que devrait être la devise de chaque chrétien.
cher une possibilité d’aider cette pauvre bête. Finalement le cochon eut une idée : « Préparons-lui un bon repas ! » Sur ce la poule s’enthousiasma : « Génial, moi j’offre l’œuf et toi le jambon ! » Ce fut lors d’un séminaire de l’Armée du Salut européenne que quel-
qu’un me racontait cette petite histoire qui me fit bien réfléchir. Moi qui mise tout sur une carte qui est Jésus, suis-je vraiment prête à tout lui offrir ? L’œuf ou le jambon ? Une jeune femme nous raconta que lors de ce même séminaire il y a un an, son mari l’avait appelée et lui dit : « Je ne supporte plus cette Armée du Salut. Tu as le choix, ou elle ou moi ! » D’abord elle crut à une mauvaise plaisanterie, mais le mari tint bon. Il n’était pas croyant et ne comprenait donc pas pourquoi son épouse s’investissait à un tel point pour cette mission qui est de servir ses prochains avec amour. Quelques semaines plus tard, il la mit à la porte. La jeune femme pleura beaucoup et eut beaucoup de mal à comprendre : Elle était employée de l’Armée du Salut et travaillait dans une crèche. Depuis ce bouleversement dans sa vie, elle habite une roulotte dans laquelle elle a apposé un autocollant de l’Armée du Salut au mur, afin de ne jamais oublier sa mission qui est d’être là, présente, pour ceux qui sont dans le besoin. Elle a offert le meilleur d’ellemême. Et nous ?
Sans tambour ni trompette Questions en promenade J’étais sortie avec mon berger allemand. J’ai fait la moitié du trajet le nez au sol, préoccupée par des soucis personnels, quand tout à coup une odeur puissante et persistante est venue chatouiller mes narines ; c’était la fragrance, délicieuse, de l’herbe coupée : le paysan était venu faucher son pré. Là, je me suis arrêtée, j’ai relevé la tête, et … je me suis laissée interpeller par ce qui m’entourait : le grand pré, vert clair, tondu de frais avec ses « toules » d’herbe odorante, le petit vent qui me caressait le visage, le bruissement des feuilles de maïs agitées par la brise, un ciel bleu tendre où couraient quelques gros nuages blancs frangés de gris, le ronron d’un tracteur qui approchait ; tout ça m’a fait reprendre pied dans cette nature magnifique, et j’ai laissé de côté mes préoccupations du moment. La nature est extraordinaire, vivifiante et interpellante : comment peut-on s’extasier devant la perfection d’une rose, de sa forme harmonieuse, du velouté de chacun de ses pétales, de son odeur subtile et carrément envoûtante et ne pas croire à un Dieu créateur et génial ? Comment peut-on réduire cette rose, sa forme, sa couleur, son unicité à un amas de cellules compactées par le hasard ?
Marianne Hefhaf
infos Le temps de la moisson
Anne-Catherine Dorthe Officière de l’Armée du Salut
Le temps de la moisson est une période riche en activités pour tous ceux qui travaillent la terre, mais aussi une période pleine de satisfactions : la joie de voir le fruit de son travail, de recevoir de la terre ses cadeaux après lui avoir donné son temps et son labeur. Jésus utilisa plusieurs fois cette image de la moisson. Mais, en regardant les foules désemparées, fatiguées, c’est à un autre genre de récolte qu’il invitait ses disciples à réfléchir. « L a moisson est grande, mais les ouvriers ne sont pas assez nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers dans sa moisson ». A ses disciples il confiait ainsi une triple mission : avoir un cœur compatissant pour ces foules prêtes à entendre et recevoir le message de l’évangile, avoir à cœur de prier le Père d’envoyer des ouvriers, et, finalement, avoir un cœur de serviteur pour aller et devenir des moissonneurs. En effet, juste après ces paroles, Jésus va envoyer ses disciples prêcher la bonne nouvelle du royaume de Dieu dans les villes de Galilée (Matthieu 9, 35-10, 5 ; Luc 10, 1-11).
Le bonheur de voir les fruits de son labeur.
Deux mille ans après, ces paroles gardent toute leur actualité. Si les techniques pour moissonner les champs ou récolter les produits de la terre ont bien évolué, le cœur de l’homme, lui, n’a pas changé, ni ses aspirations profondes. Aujourd’hui encore, ceux qui se considèrent
comme des disciples de Jésus sont invités à reconnaître cette soif qui habite les humains qui n’ont pas encore rencontré leur divin berger, à prier pour davantage de serviteurs et à s’engager dans cette moisson. Aujourd’hui encore, comme au fil des 20 siècles de christianisme, les ouvriers sont trop peu nombreux, et pourtant l’œuvre de Dieu a continué d’avancer dans le monde entier, grâce à un fidèle noyau de témoins. Pour le chrétien, comme pour les agriculteurs, pas de répit. La moisson est grande, il faut relever les
Je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » en versant la somme de 15 ( étranger 21) sur le compte 000-0051322-09 avec la mention « abonnement Espoir »
Nom : Prénom : Adresse :
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manches ! Soyons des moissonneurs et réjouissons-nous de ce que le Seigneur veut encore nous utiliser et qu’il nous promet une belle récolte.
2012
Calendrier des « Fêtes des moissons et de reconnaissance en Belgique » Poste
Fête des moissons
Fête de la reconnaissance
Bruxelles C
06.10.2012
07.10.2012, 10h30
Major ESTIEVENART, 33 Pl. du nv. Marché aux Grains, 1000 Bruxelles, 02/274 10 58
Jumet
06.10.2012
07.10.2012, 15h00
Capitaines Luthi, 111,113 rue Biernaux, 6140 Jumet, 071/34 17 89
Quaregnon
13.10.2012
14.10.2012, 10h00
Major ETCHEVERRY, 47 rue Monsville, 7390 Quaregnon, 065/78 30 08
Seraing
13.10.2012
14.10.2012, 10h00
Major LESCALE, 15 rue du Canal, 4800 Seraing, 04/336 61 35
Verviers
20.10.2012
21.10.2012, 10h00
Sergents LESUEUR, 11 rue Till Lorrain, 4800 Verviers, 087/33 33 24
Membre de l’Union des Editeurs de la Presse Périodique
Présidence
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détente « Si un homme riche voit son frère dans le besoin et lui ferme son cœur, l’amour de Dieu ne peut être présent en lui. » 1ère lettre de Jean, chapitre 3, verset 17.
Solution du Sudoku
PP
Il faut placer dans la grille, par ligne horizontale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel ordre. Vous devez retrouver la totalité des chiffres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !
3001 Berne
Règle du jeu
Annoncer les rectifications d’adresses
Sudoku