Mensuel de l’Armée du Salut - 123e année - N° 7 - 2013
Art
Il ouvre le chemin à la machette Propos recueillis par Sébastien Goetschmann
Mardi 30 avril, vers 14h00, le dessinateur de bandes dessinées Alain Auderset m’accueille aimablement dans son atelier à Saint-Imier. L’artiste répond à mes questions tout en esquissant quelques croquis.
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ne chose est sûre, Alain a plus d’une corde à son arc. Bandes dessinées, création d’une série de dessins animés, guitariste dans un groupe de musique, responsable d’un blog sur le site Internet TopChrétien, il trouve encore le temps pour prêcher et tourner avec son one-man-show « Athée non pratiquant ». « J’essaie juste d’être conséquent dans les choses que j’entreprends », explique Alain Auderset, avouant qu’il planche actuellement sur un autre projet. Il est sur le point de terminer un livre de petits témoignages illustré avec des dessins inédits. L’idée lui a été soufflée par des lecteurs qui suivent ses lettres de nouvelles ou son blog sur TopChrétien. « Je me suis dit que c’était peut-être une bonne idée de faire un livre de toutes ces anecdotes et voilà ! », lance-t-il, un sourire aux lèvres.
Alain Auderset cherche à investir son temps dans les projets que Dieu lui met à cœur.
Ouvrir des voies inexplorées « En général, les gens t’invitent pour ce qu’ils savent que tu fais de bien, poursuit-il. Mais ce n’est pas ma vocation. Je veux être à l’écoute de ce que Dieu veut que je fasse, des besoins du monde et de mes envies. » Pour son one-man-show, par exemple, il s’est simplement dit que cela serait cool d’avoir un spectacle humoristique avec un message chrétien. Ni une, ni deux, il s’est lancé dans l’aventure. « J’ai parfois un peu l’impression d’ouvrir des chemins inexplorés à la machette, confie-t-il. C’est compliqué, parce que je ne sais pas de quoi demain sera fait. Il faut un peu avancer à l’aveugle, mais quand tu vois le chemin s’ouvrir et que les gens te suivent, c’est génial. Dieu pourvoit à tout. » Il aime d’ailleurs répéter que si tu page 2
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te dis : « Ça serait cool que quelqu’un fasse ceci ou cela, » il ne faut pas chercher plus loin, c’est que tu es appelé. Le bédéiste imérien concède tout de même qu’il n’est pas toujours évident de savoir si c’est réellement Dieu qui nous appelle. Mais que l’important c’est d’avoir confiance en Dieu qui agit. Et de citer un exemple : « Quand je n’étais pas encore très connu en France, j’ai senti que je devais aller parler dans une rencontre de jeunes à Paris. J’ai demandé l’autorisation aux organisateurs et après avoir bataillé, ils m’ont accordé dix minutes de temps de parole. Comme j’avais juste l’argent pour payer l’essence à l’aller, j’ai chargé la bagnole de BD en espérant en vendre pour pouvoir rentrer. J’y suis allé, avec mon vieux
tacot, ma famille et des tonnes de BD. Comme la voiture avait quelques difficultés (il fallait s’arrêter toutes les heures pour qu’elle se repose), on est arrivé à Paris alors que la rencontre débutait. On a prié pour trouver le chemin (on ne savait pas exactement où c’était) et on est ‹ tombé › pile devant le bâtiment. J’ai juste eu le temps d’entrer et de sauter sur scène. J’ai parlé de ce que Dieu fait dans ma vie et j’ai senti que les jeunes étaient touchés. J’y ai rencontré une productrice d’une grande chaîne TV en France et j’ai vendu assez de BD pour rentrer. Dieu a ouvert une porte et j’ai foncé. J’aurais pu me planter complètement, mais j’avais confiance en Dieu qui guide tout. » www.auderset.com
Un peu déjanté, Alain Auderset fait rire et réfléchir le public dans son one-man-show.
Point de vue
La preuve par les actes Alain Auderset est sans conteste un entrepreneur au service du royaume de Dieu. Il met en action ses nombreux talents avec confiance, car il le dit lui-même, Dieu agit : il ouvre les portes qui mènent à la réussite, et parfois il les ferme quand c’est nécessaire. Alain, qui se compare à un aventurier ouvrant son chemin à la machette, sait pertinemment que « les hommes forment des projets, mais que c’est le Seigneur qui a le dernier mot. » (Proverbes 16 : 1). Conscient de cette sage réalité mais sachant
Marianne Hefhaf aussi que Dieu affirme « expose ton activité au Seigneur et tu réaliseras tes projets » (Proverbes 16 : 3), ce bâtisseur du royaume qu’est Alain Auderset peut mettre en œuvre ses plans avec assurance et audace. Dans l’article qui précède il affirme : « Je veux être à l’écoute de ce Dieu veut que je fasse, des besoins du monde et de mes envies. » Voilà qui résume bien sa démarche, avec en priorité, celle de l’écoute : tout comme le jeune Samuel dans le temple il peut déclarer : « Parle, Eternel, car ton serviteur écoute. » (1 Samuel 3 : 9).
Le bédéiste sait que la parole de Dieu est formelle : nous sommes sauvés par pure grâce, au travers du sacrifice de Jésus-Christ. Nos actions aussi belles, pertinentes et justes soient-elles ne nous permettront jamais d’accéder pour l’éternité au royaume divin. Une belle occasion de se tourner les pouces ? Quant à lui, Alain Auderset a probablement décidé de faire sien ce verset : « Montre-moi comment ta foi peut exister sans actes ! Quant à moi je te prouverai ma foi par mes actes. » (Jacques 2 : 18 ).
évangile
L’Apocalypse, un message d’espérance
Pierre-André Combremont
Dans la Bible « Je vis un nouveau ciel et une nouvelle terre ; car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et la mer n’était plus. Et je vis descendre du ciel, d’auprès de Dieu, la ville sainte, la nouvelle Jérusalem, parée comme une épouse
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ans le langage populaire, donc l’expression la plus courante, l’apocalypse c’est soit la fin du monde, soit une catastrophe qui, par son ampleur, pourrait faire penser à ce que pourrait être la fin du monde. Les journaux parlent de vision d’apocalypse pour commenter un fait tragique, comme un tremblement de terre ou l’attentat du 11 septembre 2001, par exemple. Le film « Apocalypse Now » de Francis Coppola sorti en 1979 a profondément marqué les esprits par ses terribles scènes de violence dans le cadre de la guerre du Vietnam. Rien à voir avec l’Apocalypse écrite par l’apôtre Jean. Il est vrai que, pour une personne non avertie, la lecture de ce livre de la Bible (le dernier) est très difficile, déroutante, voire inquiétante. Nous ne saurions donc prétendre, en ces quelques lignes, l’analyser, la décrypter et encore moins l’expliquer. Cette révélation, prophétie transmise à Jean, veut éveiller
qui s’est parée pour son époux. J’entendis du trône une forte voix qui disait : Voici le tabernacle de Dieu avec les hommes ! Ils seront son peuple et Dieu sera avec eux. Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus ; il n’y aura
plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses auront disparu. Et celui qui était assis sur le trône dit : Voici, je fais toutes choses nouvelles. (…) Je suis l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif, je donnerai de la
source de l’eau de la vie, gratuitement. »
blés et n’ayez aucune crainte en votre cœur. » (Evangile de Jean, chap. 14)
Au ciel, Jésus prépare une place à ceux qui ont décidé de le suivre.
Apocalypse 21 : 1-6
l’humanité à la venue du Royaume de Dieu sur Terre, lui rappeler de se tenir prête à accueillir le triomphe de Dieu sur le règne apparemment victorieux du mal. En opposition à la perspective habituellement pessimiste du monde, l’Apocalypse proclame l’assurance qu’en JésusChrist, Dieu est déjà à l’œuvre pour le salut de son peuple. Cette promesse, Jésus l’a formulée de diverses façons, en paroles et en actes, tout au long de son ministère terrestre. Encore peu avant de mourir sur la croix, Jésus rassure encore ses disciples : « Dans la maison de mon Père, il y a beaucoup de demeures. Je vais vous y préparer une place. Lorsque je vous aurai préparé une place, je reviendrai et je vous prendrai avec moi. » Dans cette maison où la mort ne sera plus, où il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur. Quel message d’espérance, de paix ! Cette paix que Jésus nous donne : « Je pars, mais je vous laisse la paix, c’est ma paix que je vous donne. C’est pourquoi ne soyez pas trou-
société
Daniel Rochat décrit l’horreur Questions : Pierre-André Combremont
Pendant quatre ans, le pasteur vaudois Daniel Rochat a assuré l’aumônerie de mineurs mozambicains en Afrique du Sud. Dans son livre « L’enfer des mines d’or - Terreau d’Evangile » il raconte leur effroyable quotidien. Rencontre. Vous qui étiez jardinier dans le domaine familial près de Lausanne, comment vous êtes-vous retrouvé à servir Dieu dans le cadre des missions en Afrique ?
Daniel Rochat : Lors d’une rencontre de jeunes paroissiens, un
plus, jusqu’au jour où j’ai rencontré la jeune fille qui allait devenir mon épouse. Elle aussi se sentait appelée par le service chrétien dans le tiers-monde. L’appel précis de Dieu m’a été donné le 15 mars 1950 à 11 h 45 (!). Ce fut le point de départ de longues démarches, des études secondaires puis universitaires, pour aboutir à la consécration pastorale à la Cathédrale de Lausanne en 1960. Nous sommes partis au Portugal, après la consécration, pour apprendre la langue car nous étions désignés pour travailler au Mozambique. Nous y aurons la responsabilité de plusieurs paroisses pendant sept ans. Missionnaire au Mozambique, comment en êtes-vous venu à travailler parmi les mineurs des entreprises d’extraction d’or en Afrique du Sud ?
missionnaire nous a parlé de son ministère et a adressé un appel à donner quelques années de sa vie au travail pour Dieu en terre africaine. Je me sentais concerné, sans
D. R. : Durant les années 1960 – 1975, plus de 100 000 Mozambicains étaient employés dans le dur travail des mines d’or d’Afrique du Sud. Ils avaient des contrats de 18 mois au cours desquels ils ne pouvaient pas retourner au pays. Comme je parlais couramment la langue Tsonga de ces mineurs, j’ai répondu à un appel de l’Eglise du Transvaal pour être aumônier dans les mines d’or, à l’Ouest de Johannesburg. Quelles étaient les conditions de travail dans ces mines ?
D. R. : L’exploitation des hommes
Daniel Rochat a sillonné toute la Suisse romande pour témoigner de son vécu d’aumônier des mines d’or.
dans les mines est un véritable scandale. Dans la hiérarchie minière, qui va du mineur au membre du Conseil d’administration des multinationales, celui qui se trouve au premier échelon, c’est le mineur qui est méprisé. La seule chose qui compte, c’est son rendement : produire le plus et coûter le moins. L’Afrique du Sud comptait 51 mines pour produire annuellement 1000 tonnes d’or. Elles étaient rentables à cause du salaire misérable de milliers de travailleurs au statut proche de l’esclavage.
société
du travail dans les mines d’or Le régime d’apartheid porte-til une part de responsabilité dans cette situation ?
D. R. : L’apartheid faisait partie de l’exploitation de l’homme. Elle en était l’instrument, en particulier à la mine. Ces hommes, qui s’expatriaient de leur pays dans l’espoir d’échapper à la misère qui y régnait, se retrouvaient dans des conditions pires encore. Logés misérablement dans des chambres de 18 lits, sans intimité, sans armoires pour ranger leurs affaires et leurs vêtements, ils étaient de plus exposés à un alcoolisme omniprésent. Quelle était la cause de cet alcoolisme ?
D. R. : Dans les mines les plus profondes, à 3000 ou 4000 mètres sous terre, la température était insoutenable. Elle y augmente d’environ 3° par 100 mètres, malgré une ventilation puissante. On y travaillait huit heures sans interruption, sans boire ni manger, par 50°. Sitôt remontés à la surface, les mineurs prenaient leur premier vrai repas puis se rendaient au bar mis à disposition par la mine, où ils trouvaient de la bière ainsi que diverses boissons (vin et alcools forts). Il n’était pas rare que tout leur maigre salaire y passe. Après avoir bu jusqu’à plus soif, ils rentraient titubant dans leur chambre et là ils subissaient souvent la pression des anciens ou du chef de chambre pour des pratiques homosexuelles forcées. Que pouvait faire un aumônier parmi cette misère ?
D. R. : Fort heureusement, dans ce sombre tableau, il y avait des fenêtres de lumière, car on trouvait des chambres occupées uniquement par des mineurs chrétiens qui pouvaient, là, échapper aux tentations. Sans l’Evangile, que seraient deve-
nus tous ces hommes ? Chaque soir, un ancien ouvrait la Bible et en faisait la lecture à ses camarades. On priait ensemble pour ceux qui rencontraient des difficultés personnelles, qui recevaient de mauvaises nouvelles de la maison, qui avaient des soucis pour leur épouse ou leurs enfants. Un esprit de solidarité unissait ces croyants. Dans les chambres chrétiennes, l’alcool était banni. Le rôle de l’aumônier était d’apporter son soutien, par des visites, des moments de partage, la formation des anciens, l’écoute et le partage avec ceux qui en exprimaient le besoin. Plusieurs Eglises présentes au Mozambique avaient leur aumônier. Qu’en est-il aujourd’hui ?
D. R. : Des 1000 tonnes d’or annuelles, la production n’est plus aujourd’hui que de 300 tonnes. Cette diminution est due en partie au fait que certaines mines sont épuisées, mais aussi à la diminution du nombre de mineurs, dont le niveau de vie s’est bonifié, tout en restant cependant au-dessous du seuil de pauvreté. Depuis la suppression de l’apartheid, les conditions de vie de la population de couleur s’est légèrement améliorée mais l’idéal du Président Mandela est loin d’être réalisé. Il faudra plusieurs générations pour y arriver. Pour ce qui est de l’aumônerie, elle a été reprise par des aumôniers du Transvaal, dans une échelle plus réduite car il n’y a presque plus de mineurs expatriés du Mozambique.
Par plus de 50° parfois, les mineurs travaillaient huit heures par jour. Illustration du livre de Daniel Rochat paru en 2010 aux Editions DM-Echange et Mission.
témoignage
Savoir rester à sa place Major Christine Volet
L’hospitalité, pour son bénéficiaire, est un art délicat qui met en lumière notre capacité à recevoir et à donner. Ici, dans ce pays particulier qu’est Haïti, je suis confrontée à ces deux aspects.
L
orsque nous sommes invités à une table, le repas est copieux. Souvent, il représente un sacrifice pour la famille qui nous accueille. Nous sommes traités en
Aider sans imposer ses solutions. La major Christine Volet (à droite) a dû faire face à cette problématique en Haïti.
rois tout en partageant un instant leurs conditions. Chacun y met du sien pour combler le fossé créé par nos habitudes de confort et la vétusté de leur maison. Mais les disparités restent : nous sommes les nantis, eux les bénéficiaires. Tout le pays vit dans cette réalité : l’occidental est celui qui peut donner, payer, celui qui sait, à qui il faut plaire. Lorsque nous voyageons, les mains des enfants
se tendent pour mendier, la marchande majore ses prix, les hôtels imposent leur tarif excessif aux touristes des ONG. Alors que je m’approche de la boulangerie de mon quartier, un homme me tend la main en me disant : « Bonne dame blanche, donne-moi à manger ! » Dans ce contexte, il est plus qu’important de se rappeler notre statut de visiteurs et de rendre aux Haïtiens leur pays. Je le fais en choisissant d’écouter, de m’intéresser à leur culture et à leurs défis quotidiens. Je renverse la possession du savoir et me rappelle que je suis l’étrangère, la visiteuse d’un instant dans une histoire longue de 200 ans. J’apprends le créole et accepte d’avoir le vocabulaire d’un enfant. Je me retiens de présenter mes solutions trop rapides pour que le travail se tisse de leurs expériences. Comme tout hôte, je suis la bienvenue tant que je me rappelle que la maison qui m’accueille n’est pas la mienne : je partage la vie de ses habitants, j’apprends les règles de la famille et je donne en fonction de l’espace qui m’est offert. Et parce que j’ai accepté mon statut d’hôte et fais l’effort de m’intégrer, c’est la vendeuse de la boulangerie qui répond au mendiant : « Ou pas fè sa ! Li pa dame blanche, li Haïtienne ! »
Sans tambour ni trompette On recherche : Barnabas, de suite L’autre jour, dans un cadre professionnel, j’ai croisé un jeune homme qui s’appelait Barnabas. J’ai tout de suite reconnu que ce nom apparaissait au livre des Actes dans la Bible, et que le monsieur était un compagnon de l’apôtre Paul. Mais je me suis dit aussi que tout de même, on en parlait pas beaucoup. En approfondissant un peu la destinée de Barnabas (celui de la Bible, pas du boulot !), j’ai constaté qu’il s’agissait en fait d’un surnom ou d’un deuxième nom donné par les apôtres à un certain Joseph, de Chypre. Et vous savez ce que cela signifie ? L’homme qui encourage. Rien que cela. Etonnant d’en entendre si peu parler ; il y a une telle soif d’encouragement autour de nous ! L’enfant à l’école ou au sport. Le jeune qui doit faire des choix. Les parents débordés par l’éducation de leur remuante progéniture. La personne très âgée qui se sent mise à l’écart. Combien il serait bon d’entendre, juste de temps en temps, juste un petit : « Tu fais bien ! » ou : « Quel bonheur que tu sois là ! » Barnabas, l’homme, la femme, qui encourage, où es-tu ?
Annelise Bergmann
infos
L’album européen de l’Armée du Salut est là ! Oui, je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » pour la somme de CHF 48.–
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Nom : Prénom : Adresse :
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Grisé par son succès, Takasa a eu l’idée d’éditer un album européen. Un disque intitulé « Together We’re One » a été créé en quelques semaines à peine, en collaboration avec l’équipe de production Hitmill de Zurich, auteur du titre « You and me ». Les textes insistent sur la nécessité de jeter des passerelles et de se découvrir des points communs. C’est pourquoi Takasa n’a pas enregistré ces chansons seul : elles sont le fruit du travail de plusieurs groupes, issus de diffé-
rents pays d’Europe, dont la Suisse, la Belgique et la France. En plus de chansons pop dans le style de « You and me », les sonorités folks et les instruments typiques révèlent l’origine des musiciens. Cerise sur le gâteau, le titre « You and me » en version continentale, interprété par des musiciens de 14 pays européens !
projet « Together We’re One » ou au Shop de l‘Armée du Salut. Il est également disponible auprès d‘autres distributeurs comme Universal, iTunes, CEDE.CH, Weltbild ou Exlibris.
L’album est désormais disponible dans le commerce ! Vous pouvez l‘obtenir sur la page du
La Rédaction
*http://togetherwereone.org/ http://shop.armeedusalut.ch/
Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax: 031 382 05 91 | Courriel : redaction@armeedusalut.ch | Internet : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an: CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur : William Booth | Général e : Linda Bond | Chef de territoire : Commissaire Franz Boschung | Rédaction Berne: Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Bergmann, Suchy | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Rolf Messerli | Imprimerie : Rub Media SA, Wabern | Tirage : CH: 5000 ex. BE : 4 000 ex. | Crédit photo : P 1 & 2 : Sébastien Goetschmann ; P 3 : Lilya_Fotolia.com ; P 4 & 5 : MAD ; P 6 : Salvation Army Haïti ; P 7 : Rolf Messerli ; P 8 : Sébastien Goetscmann | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.
détente
« Un mensonge peut faire le tour de la terre le temps que la vérité mette ses chaussures. » (Mark Twain)
Solution du Sudoku
PP
Il faut placer dans la grille, par ligne horizontale, verticale, également dans les 9 carrés, les chiffres de 1 à 9, sans exception. Ils peuvent être mis dans n’importe quel ordre. Vous devez retrouver la totalité des chiffres : 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9. Voilà, le défi est lancé, à vous de jouer !
3001 Berne
Règle du jeu
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Sudoku