Bureau de dépôt : 1000 Bruxelles 1 — P401061 — 0.70 Février 2015
Mensuel de l’Armée du Salut - 125e année - N° 2 - 2015
Sport extrême
A la recherche de liberté Sébastien Goetschmann
Sur les pentes toutes de blanc nappées, skieurs et snowboardeurs glissent à travers les montagnes. Un peu plus à l’écart, les freeriders préfèrent pratiquer leur passion hors des sentiers battus.
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ean-Pascal Charpilloz et Samuel Carraux font partie de ces amateurs de freeride. Cet anglicisme qui signifie « pratique libre » consistait à son origine à pratiquer un sport (ski, snowboard, VTT, moto, motoneige, etc.) hors de tout cadre formel. « Pour moi, le ski freeride est une passion vécue dans un environnement sauvage, explique Jean-Pascal Charpilloz. Ce qui me plaît c’est la relation privilégiée avec la nature et avec les amis. » « J’aime particulièrement le contact avec la nature et le rapport que j’entretiens avec elle, ajoute Samuel Carraux. Quand je pratique le snowboard et la peau de phoque en hiver, ou le VTT, l’escalade et le surf en été, je m’évade un instant dans la création de Dieu. Pour moi, c’est comme un moment de prière, un contact avec le Créateur. » Les riders de l’Eternel Associer foi et freeride, c’est d’ailleurs ce que fait Samuel en dirigeant la section européenne d’Eternal Riders : « Pascal
Poudreuse légère et soleil radieux, le rêve de tout freerider
Hardy en est le fondateur, explique Samuel. En 1998, alors qu’il est un des meilleurs windsurfer de la planète, il est touché par Dieu. Sa vie change radicalement, mais son amour pour les sports de glisse ne s’arrête pas. En 2000, Dieu lui met la vision d’établir une marque de vêtement chrétienne avec le but d’annoncer l’Evangile. » En Europe, c’est en 2011, que l’association voit le jour.
Principalement actif dans le milieu des sports extrêmes, Eternal Riders crée des supports tels que des vêtements, des bibles, des outils interactifs, … pour accomplir sa mission de transmettre l’Evangile. L’association organise aussi des rencontres avec témoignages d’athlètes et s’associe à des camps chrétiens pour encourager les jeunes à vivre une vie par la foi. page 2
Je suis Charlie ? page 3
Elle compte ardemment sur la guérison de Dieu pages 4-5
sport extrême
Au sommet, les « riders de l’Eternel » se sentent proches de Dieu
Jean-Pascal, lui, partage sa passion à travers la plate-forme Out of Town : « L’objectif est d’offrir la possibilité de découvrir ces sports extrêmes et la nature que Dieu a créée sans prendre de risque, explique Jean-Pascal. Etre dans des endroits, isolés, qui suscitent la réflexion. Les sports extrêmes ont la particularité d’amener à repousser ses limites et d’apprendre à se connaître soi-même. Nous espérons que cela pourra aider des jeunes à découvrir également la foi. » Remets ton ride au Seigneur Quand on leur demande si cette recherche de liberté et d’adrénaline n’est pas en conflit avec la recherche de Dieu, Jean-Pascal et Samuel sont unanimes : « Je pense que c’est très complémentaire, dit Samuel. Tout comme la foi, le freeride est une activité qui demande concentration, rigueur, expérience et conscience. Lorsqu’on connaît Dieu, il entre en harmonie parfaite avec cette activité. » « Je suis un amoureux de la vie et de la nature, poursuit Jean-Pascal. Glisser dans
cette création, partager l’effort avec des amis, tout cela a souvent été l’occasion de recueillements, de moments privilégiés avec Dieu. Il y a toujours une sorte de spiritualité dans ce milieu et pour moi, c’est l’occasion de partager ma foi. » « Commit your riding to the Lord », le slogan d’Eternal Riders qui vient du verset de Proverbe 16 : 3 (Remets tes œuvres à l’Eternel et il accomplira tes desseins) résume bien cette vision. Soumettre son sport à la volonté de Dieu lui donne une autre dimension et un sens profond. www.eternalriders.com Page Facebook Eternal Riders www.outoftown.ch
Point de vue
Afin de pouvoir continuer à développer ses activités, Eternal Riders Europe recherche actuellement des fonds. Pour plus d’informations, contactez Samuel Carraux : samuel@ eternalriders.com
Pierre-André Combremont
Liberté ! Quelle belle chose que la liberté ! En quels lieux peut-on se sentir plus libre que dans la nature ? Gravir les montagnes, arpenter les forêts, longer les rivières, naviguer sur les lacs ou sur les mers, que d’occasions de se sentir libre ! Mais tout cela ne se fait pas sans efforts. Cette liberté, il faut la gagner. Si elle est bienfaisante pour le corps et pour l’âme, elle n’est
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cependant pas sans risques. Elle nécessite donc un grand sens des responsabilités. Responsabilité envers soi-même pour se prémunir contre les dangers, responsabilité envers les autres pour ne pas les inciter à aller au-delà de leurs possibilités, de leurs connaissances, de leur préparation. Dieu nous donne à tous une grande liberté. Une liberté res-
ponsable. Une liberté faite de choix. Aux premiers chrétiens de Corinthe qui se demandaient s’ils avaient le droit de manger certaines viandes qui avaient été consacrées aux idoles, Paul les place devant leur responsabilité : « (Mais) ce n’est pas un aliment qui peut nous rapprocher de Dieu, en manger ou pas ne nous rendra ni meilleurs ni pires. Toutefois, faites bien attention à ce que votre liberté
ne fasse pas tomber dans le péché ceux qui sont mal affermis dans la foi. (…) C’est pourquoi, si ce que je mange devait faire tomber mon frère dans le péché, j’y renoncerais à tout jamais afin de ne pas être pour lui une occasion de chute. » (1ère épitre aux Corinthiens, chap. 8, versets 8, 9 et 13)
évangile
Je suis Charlie ?
Marianne Hefhaf
Dans la Bible « Tu ne tueras point. » Exode, chapitre 20, verset 13
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our les Français le début du mois de janvier 2015 restera à jamais associé aux actes terroristes perpétrés à Paris. La planète entière a pris connaissance, horrifiée, de l’attentat de Charlie Hebdo suivi presque immédiatement par d’autres meurtres commis par Amedy Coulibaly, complice des deux frères Kouachi. Le peuple de France s’est alors levé, comme un seul homme, pour crier son indignation et sa détermination à résister à la barbarie par ce formidable : « Je suis Charlie ! » Combien sommes-nous à avoir vibré en voyant ces millions de Français investir les places de leurs villes pour défendre symboliquement la démocratie, la liberté qui y est attachée, et en particulier celle de la presse ? En tant que chrétienne… Si j’avais été citoyenne de l’Hexagone, m’aurait-on vue devant la mairie de ma ville, déterminée, moi aussi, à manifester mon refus de plier l’échine devant un Islam radical sanguinaire ? Certainement. A l’annonce de la tuerie de Charlie Hebdo, le commandement biblique qui m’est immédiatement venu à l’esprit est le définitif : « Tu ne tueras point. » Injonction péremptoire de l’Ancien Testament sublimée par le Christ qui va
« … Notre Père céleste ! Que la sainteté de ton nom soit respectée. »
Evangile de Matthieu, chapitre 6, verset 9
encore beaucoup plus loin : « Vous avez appris qu’il a été dit : tu aimeras ton prochain et tu haïras ton ennemi. Mais moi je vous dis : aimez vos ennemis … » (Evangile de Matthieu, chapitre 5, versets 43-44) Alors, ôter la vie ? Hors de question. Pour quelque motif que ce soit. Vie et mort, Dieu seul est souverain. Citoyens français, athées, croyants musulmans, juifs, chrétiens, ont eu raison de mettre en commun leur indignation pour clamer qu’on ne touche pas à la vie humaine. Sous aucun prétexte. Aurais-je brandi, comme tant d’autres, une pancarte : « Je suis Charlie » ? Dans un premier et enthousiaste élan … oui ! L’indépendance de la presse et des médias est importante pour garantir la démocratie. Vouloir réduire et tuer leur liberté c’est déjà commencer à vider le système de sa « substantifique moelle ». Menacer la presse et vouloir la mettre sous tutelle par le meurtre est inconcevable. Dans ce sens-là, le « Je suis Charlie » tenu à bout de bras par des centaines de milliers de personnes me paraît légitime. Et puis, après réflexion, j’aurais manifesté moi aussi, mais sans le fameux slogan. Mes convictions me poussent à révérer la sainteté de Dieu et celle du Christ. Or, à voir et à revoir les caricatures des humoristes de Charlie Hebdo passées en boucle à la télévision,
Solidaires avec les victimes des attentats à Paris, nous n’irons pas jusqu’à proclamer : « Je suis Charlie », car nous respectons la sainteté de Dieu, souvent raillée dans ses caricatures
je n’y ai souvent trouvé qu’une provocation lourde, vulgaire et totalement irrespectueuse de la croyance de l’autre. Je n’aime pas qu’on injurie Jahvé, Allah, Dieu, Jésus ou Mahomet. Alors je le dis … et je n’achète pas Charlie Hebdo. J’apprécie et je fais mienne cette prise de position trouvée sur Facebook : « Je soutiens Charlie, mais je ne suis pas Charlie car je n’insulte personne sous couvert de liberté d’expression. »
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témoignage
Je compte sur Dieu pour me Elsbeth Cachelin
Lisa Utiger prend Dieu au mot. Avec confiance, elle espère pouvoir un jour vivre à nouveau sans douleur. Elle compte même dessus.
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epuis son hernie discale, en 2010, les douleurs faisaient partie de son quotidien. Malgré un traitement par une physiothérapeute, un rhumatologue et un neurologue, Lisa Utiger ne parvenait pas à se débarrasser de ses douleurs. Après deux années de maux de tête et de sciatique, de fourmillements dans les jambes, de lancements dans les membres, de nuits d’insomnies, la femme de 59 ans n’en pouvait plus : « Je me suis précipitée chez mon médecin de famille. Ça ne pouvait pas continuer comme ça ! » Suite à d’autres examens, une carence en vitamines est détectée. Les douleurs ont ensuite été traitées par la thérapie des points Trigger puis, plus tard, par des séances d’ostéopathie. Mes attentes réduites à néant La période de douleurs éreintante l’a confrontée à sa foi en Jésus. En tant que fidèle participante aux cultes, elle lisait quotidiennement la Bible et soumettait, en prière, ses préoccupations à Dieu. Pourtant, elle avait l’impression d’être une assoiffée. « L a Parole de Dieu semblait ricocher sur moi, mes prières semblaient se perdre sur le chemin du ciel. Mes attentes envers Dieu se sont réduites à néant. Jusqu’au jour où la question du testament s’est posée. »
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Au lieu de se résigner et de baisser les bras, Lisa Utiger s’appuie sur la parole de Dieu
Conseiller en questions successorales La vie a repris son envol malgré les douleurs : après le décès de son père, Lisa a décidé de rédiger son testament. Dans une publication qu’elle a feuilletée chez des amis, elle a pris connaissance des services du conseiller en questions successorales de l’Armée du Salut. Elle a fait appel à ses services et ça l’a rendue curieuse de connaître l’organisation. « J’ai commencé à fréquenter les cultes de l’Armée du Salut à Berne, se souvient Lisa Utiger, et je suis entrée dans un groupe de maison. Les moments de convivialité, l’enseignement de la Bible et les prédications, j’absorbais tout comme une éponge. »
Grâce à un livre de méditations, je suis redevenue consciente que Jésus, par sa mort à la croix, avait non seulement porté les péchés, mais encore la maladie et la douleur des hommes. Le verset biblique d’Esaïe 53 : 5 : « et c’est par ses blessures que nous sommes guéris » semblait parfaitement s’appliquer à elle. Pourtant, elle était bien consciente que tous les êtres humains n’étaient pas physiquement guéris, même s’ils imploraient Dieu en ce sens. « Mais, affirme Lisa Utiger, la guérison signifie aussi que, dans la douleur, Dieu nous accorde la force, la protection et l’assurance afin que nous ne soyons pas pri-
témoignage
guérir sonniers de la crainte et du désespoir. » La guérison intérieure déploie ses effets Pour Lisa, il devenait évident que les promesses encourageantes de la Bible s’adressaient à elle. Et elle a décidé de se fier à Dieu et à sa promesse. Ce fut le début de sa guérison intérieure, justement aussi parce qu’elle a pris au mot la parole de Dieu « Ne crains rien ». Dans sa confiance en Dieu, elle a mis de côté ses soucis permanents pour sa santé et sa crainte paralysante que tout pourrait encore empirer. Cela s’est répercuté sur son état physique : les douleurs ont diminué. Elle y a vu un signe d’un Dieu agissant et prenant soin des hommes. Pourquoi Dieu permet-il des souffrances ? On lui demande souvent pourquoi Dieu permet tant de souffrances et de douleurs. Dans la vie, il y certaines chose qu’il faut laisser reposer, il n’y a pas de réponse à tout. Et elle poursuit par une parole biblique « En effet, vos pensées ne sont pas mes pensées et mes voies ne sont pas vos voies » dit Dieu dans Esaïe 55 : 8. Par ailleurs, les douleurs ont constitué pour elle un processus de maturation et de croissance en direction de Dieu. La souffrance lui a donc été utile. Attendre activement Lisa Utiger est certes encore en traitement, mais elle a repris ses activités quotidiennes normales et ne ressent pratiquement plus
Pour Lisa, les promesses de Dieu sont aussi valables dans les tempêtes de la vie
de douleur. Le processus de guérison n’est toutefois pas encore achevé pour elle, elle se considère comme une personne en attente et rappelle les nombreux hommes et femmes de la Bible qui ont dû attendre longtemps. « Ces hommes et ces femmes me donnent du cou-
rage. Ils ont attendu activement. C’est pourquoi j’attends un changement, j’attends que Dieu me guérisse complètement. »
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à bien y penser ...
Sans tambour ni trompette Quand Noël finit en février On le sait peu, on le fête peu. Le 2 février correspond au délai de 39 jours après Noël, ce jour a servi à un melting-pot culturel et historique improbable, une fête qui célèbre beaucoup de choses, où pour d’obscures raisons on mange des crêpes, bénit des chandeliers et qui s’appelle la chandeleur. Pour en venir à ce qui nous intéresse, il faut savoir que depuis des temps très anciens l’Eglise a récupéré la célébration et la fait coïncider avec la commémoration de la présentation de Jésus au temple.* L’évangile de Luc nous narre ce récit ; il faut le lire et se laisser toucher par l’apparition du vieux Siméon, un modèle d’attente, d’espérance, de foi inébranlable. Il faut entendre son cantique, qui traverse les âges. Il faut voir arriver aussi la prophétesse Anne, deviner sa joie malgré son parcours de vie difficile, l’entendre partager sa révélation avec l’exubérance de ses quatrevingt-quatre ans … Et alors, on comprend que c’est à ce moment seulement que le temps liturgique, qui commence avec l’Avent et passe par Noël, peut se terminer, et qu’il serait infiniment dommage de faire l’impasse sur ces humbles évènements bibliques, peu spectaculaires, mais tellement porteurs. *Lire en Luc 2, à partir du verset 21 Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.
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Annelise Bergmann
infos
Première rencontre officielle avec le Pape A la tête d’une délégation, le Général André Cox a rencontré le Pape François, le 12 décembre. « Que la foi commune dans notre Sauveur Jésus-Christ devienne toujours plus le fondement solide de l’amitié et de la collaboration entre nous », entre catholiques et protestants. En recevant une délégation de l’Armée du Salut ce vendredi matin au Vatican, le Pape François a souhaité que les « catholiques et les salutistes, comme les autres chrétiens, reconnaissent que les nécessiteux ont une place spéciale dans le cœur de Dieu, au point que le Seigneur Jésus-Christ s’est fait pauvre pour nous ». Le Pape a salué les bonnes relations existant entre l’Eglise catholique, via le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, et l’Armée du Salut grâce à « une série de conversations théologiques destinées à promouvoir une meilleure connaissance réciproque, un respect mutuel et une collaboration régulière. » Il a exprimé aussi le souhait que « tous les disciples du Christ offrent leur contribution avec la même conviction et le même dynamisme que démontre l’Armée du Salut dans son service dévoué et apprécié. Les différences entre catholiques et salutistes sur les
Je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » en versant la somme de 7.5 ( étranger 13.5) sur le compte 000-0051322-09 avec la mention « abonnement Espoir »
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Le Général André Cox prie avec le Pape, lors de la première rencontre privée entre l’Armée du Salut et Sa Sainteté
questions théologiques et ecclésiologiques ne doivent pas faire obstacle au témoignage de notre amour partagé pour Dieu et pour son prochain, un amour qui est en mesure d’inspirer des efforts énergiques dans l’engagement de rétablir la dignité de ceux qui vivent aux marges de la société ». Le Pape a ensuite confié une anecdote concernant son enfance et ayant pour thème l’œcuménisme qu’il n’a pas manqué de louer lors de cette rencontre avec la délégation de l’Armée du Salut. Dans
Date : Signature : A renvoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, 34, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains, 1000 Bruxelles Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org
l’Argentine de son époque, l’idée était répandue parmi les catholiques que les protestants iraient brûler en enfer. Se promenant avec sa grand-mère, il rencontra dans la rue deux bénévoles de l’Armée du Salut. Il demanda alors : « Celleslà, qui sont-elles ? des sœurs ? ». Et sa grand-mère répondit : « Non. Ce sont des protestantes. Mais ce sont de bonnes personnes. » Ce fut, selon le Pape lui-même, sa première leçon d’œcuménisme. La Rédaction
Mensuel de l’Armée du Salut | Editeur responsable : Major Mike Stannett, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains 34 | BE-1000 Bruxelles | Tél. 02 513 39 04 - Fax: 02 513 81 49 | Courriel : Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org | Internet : www.armeedusalut.be , www.legerdesheils.be | Abonnement 1 an : 7.5 (13,5 étranger) | Fondateur : William Booth | Général : André Cox | Chef pour la Belgique : Major Mike Stannett | Rédaction Berne: Major Jacques Tschanz (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont / Marianne Hefhaf / Annelise Bergmann | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Rolf Messerli | Imprimerie : Rub Media, Wabern | Tirage : CH: 3 000 ex. BE : 2 000 ex. | Crédit photo : P 1 - 2 : MAD ; P 3 : A. Fauth_flickr.com ; P 4 & 5 : MAD ; P 7 : Salvation Army IHQ ; P 8 : M AD | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans Membre de l’Union distinction aucune, les détresses humaines. des Editeurs de la Presse Périodique
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détente
« Le changement est la loi de la vie. Et ceux qui regardent seulement le passé ou le présent sont certains de manquer l‘avenir... » John F. Kennedy
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Solution du Sudoku
3001 Berne
Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que : - chaque ligne - chaque colonne - chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths!
Annoncer les rectifications d’adresses
Sudoku