Bureau de dépôt : 1000 Bruxelles 1 — P401061 — 0.70 Mars 2015
Mensuel de l’Armée du Salut - 125e année - N° 3 - 2015
Société
Endetté … au secours …
Jacques Tschanz
Chacun a un rapport à l’argent très différent. La même somme pour vivre peut suffire à l’un et nécessiter d’emprunter pour l’autre. Mais le recours aux crédits de consommation peut mettre en difficulté plus d’un ménage qui se trouvera dans le surendettement. Et là, faire appel à un organisme compétent devient indispensable, même si le train de vie va en pâtir.
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es gouvernements contractent des dettes en milliards, les communes suivent l’exemple, alors pourquoi les simples citoyens ne feraient-ils pas de même ? L’adage « n’achète que quand tu as l’argent » (le plus simple moyen de ne jamais s’endetter), rencontre un concurrent redoutable avec la publicité qui encourage à acheter aujourd’hui et à payer plus tard … Ces crédits de consommation (vacances, voiture, santé) lorsqu’ils s’ajoutent à des arriérés de paiements, à des découverts bancaires de plus de la moitié du revenu mensuel du ménage, creusent un trou toujours plus grand : c’est le surendettement. En Suisse 18% de la population vit avec un crédit de consommation. Ce qui est moins que la Belgique (23%),
et la France (42%), mais plus que les Pays-Bas (16%). Au niveau sociodémographique En Suisse, les personnes les plus confrontées aux crédits ou aux emprunts sont les personnes de moins de 50 ans, les familles avec enfants et les personnes de nationalité étrangère. Si les crédits concernent autant les « r iches » que les « pauvres », c’est dans la tranche moyenne des revenus que se situe le plus gros taux d’endettement. Ce qui démontre que c’est surtout la gestion qui fait la différence.
Un crédit de consommation, quelques dépenses imprévues, il en faut parfois peu pour que le portemonnaie se retrouve à sec
Vivre au minimum vital Le remboursement des dettes demande un changement de style de vie qui peut être difficile à page 2
Une vie transformée
C’est la main du Seigneur qui dirige la Bergerie
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société
opérer sans être accompagné. Pour cela, plusieurs organismes (Caritas, Centres sociaux, etc.) offrent des cours pour apprendre à faire un budget (et à s’y tenir …), soutiennent dans les démarches administratives, encouragent et coachent jusqu’à l’indépendance. Depuis 1991, l’Armée du Salut a ouvert un bureau « Habitat accompagné et recouvrement
de dettes » à Bruxelles. Au fil des années, ce service s’est développé et aujourd’hui ce sont plus de 120 personnes qui sont accompagnées vers une réinsertion et une autonomie. Cela implique de les visiter au moins une fois par semaine (c’est parfois la seule visite qu’ils ont, précise Martin Lievens, Directeur du service), leur accordant une aide administrative, un sou-
La plupart des bureaux sociaux de l’Armée du Salut offrent un accompagnement de base ou de conseils, et soutiennent toute personne désirant sortir de l’ornière du surendettement, mais ce n’est pas un chemin facile. En Suisse, Andy Beney, responsable du Bureau Social à Renens, constate que le sujet est tabou, car il entre dans la sphère privée très intime de la personne. Ce n’est pas facile de parler de ses problèmes, mais c’est encore plus difficile d’étaler l’état de ses finances. De ce fait, il faut un lien de confiance et de respect très fort avant de pouvoir commencer ce travail de désendettement. Très souvent, il est déjà presque trop tard : résiliation de bail, coupure d’électricité, etc. Mais là où il y a de la bonne volonté, il y a toujours de l’espoir !
Andy Beney, responsable du Bureau social à Renens, avoue qu’il est difficile de parler de finances avec les personnes qu’il aide : cela demande d’instaurer une relation de confiance
tien « sur mesure » dans la gestion budgétaire et pratique.
Point de vue
Sébastien Goetschmann
Le poids de la dette Selon la Bible, contracter volontairement une dette (je crois que l’hypothèque sur une maison n’entre pas dans cette catégorie) nous place dans une situation d’asservissement. Avoir une dette fait peser un poids sur nos vies : « Malheur à celui qui augmente le fardeau de ses dettes ! Tes créanciers ne se lèveront-ils pas soudain ? Tes oppresseurs ne se réveilleront-ils pas ? Et tu deviendras leur proie. » (La Bible, Habacuc 2, versets 6 et 7). « Une femme d’entre les femmes des
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fils des prophètes cria à Elisée, en disant : Ton serviteur mon mari est mort, et tu sais que ton serviteur craignait l’Eternel; or le créancier est venu pour prendre mes deux enfants et en faire ses esclaves. » (La Bible, 2 Rois 4, verset 1). C’est pour cela que Dieu nous demande d’éviter les dettes : « Ne devez rien à personne, si ce n’est de vous aimer les uns les autres ; […] » (La Bible, Romains 13, verset 8a) « Le riche domine sur les pauvres, et celui qui emprunte est l’esclave de
celui qui prête. » (La Bible, Proverbe 22, verset 7). Or, si Jésus nous a libérés, nous devons prendre garde de ne pas nous placer sous un autre joug. Dans cette société, où presque tout peut être acheté à crédit, cela exige de la prudence et du discernement. Souvent, nous nous plaçons nous-mêmes dans des situations compliquées. Nous devons utiliser nos richesses avec intelligence et parcimonie. Posséder plus, quitte à s’endetter, ne nous rendra pas plus heureux. « Certes la foi en
Dieu est une grande richesse, si l’on se contente de ce que l’on a. En effet, nous n’avons rien apporté dans ce monde, et nous n’en pouvons rien emporter. Par conséquent, si nous avons la nourriture et les vêtements, cela doit nous suffire. Mais ceux qui veulent s’enrichir tombent dans la tentation, ils sont pris au piège par de nombreux désirs insensés et néfastes, qui plongent les hommes dans la ruine et provoquent leur perte. » (La Bible, 1 Timothée 6, versets 6-9).
évangile
Une vie transformée
Sébastien Goetschmann
Dans la Bible Jésus, étant entré dans Jéricho, traversait la ville. Et voici, un homme riche, appelé Zachée, chef des publicains, cherchait à voir qui était Jésus; mais il ne pouvait y parvenir, à cause de la foule, car il était de petite taille. Il courut en avant, et monta sur un sycomore pour le voir, parce qu’il devait passer par là. Lorsque Jésus fut arrivé à cet endroit, il leva les yeux et
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emarquez l’attitude de Zachée dans cette histoire. Cet homme collectait les impôts, et certainement profitait-il de sa position pour escroquer parfois ses concitoyens. Mais il a profondément envie de changer, de devenir meilleur. Pour lui, ce changement commence lorsque Jésus vient dans sa ville, Jéricho. Zachée désire le rencontrer, mais la foule l’en empêche. Un mur se dresse devant lui. N’avons-nous pas également nos foules qui nous empêchent d’avancer ? Nos murs qui nous font douter et peut-être même renoncer à notre désir de changement ? Mais la volonté de Zachée était plus forte que la foule. Il a su faire preuve de créativité pour apercevoir Jésus. Et Jésus l’a remarqué. Une rencontre qui bouleverse Il n’en faut pas beaucoup pour que Zachée se repente de ses
lui dit : « Z achée, hâte-toi de descendre ; car il faut que je demeure aujourd’hui dans ta maison. » Zachée se hâta de descendre, et le reçut avec joie. Voyant cela, tous murmuraient, et disaient : « I l est allé loger chez un homme pécheur. » Mais Zachée, se tenant devant le Seigneur, lui dit : « Voici, Seigneur, je donne aux pauvres la moitié de mes biens, et, si j’ai fait tort de
quelque chose à quelqu’un, je lui rends le quadruple. » Jésus lui dit : « L e salut est entré aujourd’hui dans cette maison, parce que celui-ci est aussi un fils d’Abraham. Car le Fils de l’homme est venu chercher et sauver ce qui était perdu. » La Bible, Evangile de Luc, chapitre 19, versets 1-10
erreurs. Une simple rencontre. Le simple fait que Jésus s’intéresse à lui va bouleverser sa vie. Oui, malgré ce que la foule pensait du publicain, Jésus s’est intéressé à lui. Il est entré dans sa demeure. Aujourd’hui encore, Jésus s’intéresse aux petits, aux perdus, à ceux que notre société marginalise, comme aux pécheurs que nous sommes. Jésus veut venir à notre rencontre et transformer nos vies. Mais cela coûte de changer. Imaginez le courage qu’a dû avoir Zachée pour donner la moitié de ses biens aux Comme pour la chenille qui devient papillon, le changement pauvres et réparer ses torts dans nos vies a de bonnes choses à nous apporter au quadruple. Le changement est parfois difficile, mais il ter Jésus chez vous ? Allez-vous amène quelque chose de bon, à la accepter le changement ? fois pour celui qui entre dans ce processus, et pour son entourage. Alors, allez-vous accepter d’invi-
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témoignage
C’est la main du Seigneur qu Nicole Renaud
Nicole Renaud, ancienne directrice de la crèche de la Bergerie à Saint-Aubin, a quitté ses fonctions fin 2014. Avec elle, c’est une page de l’histoire de la crèche qui se tourne, puisqu’elle y travaillait depuis dix ans, soit depuis son ouverture. Elle nous partage quelques souvenirs, mais surtout comment Dieu a guidé cette aventure.
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a crèche de la Bergerie, c’est l’histoire d’un rêve de jeune fille, mais aussi de l’action incroyable de Dieu. Cette jeune fille, c’est Céline Paratte qui a eu un rêve lors d’une soirée du groupe de jeunes de l’Armée du Salut de Saint-Aubin : ouvrir une crèche. Quelques années plus tard, les membres du Poste ont clairement identifié le besoin de structures d’accueil pour les enfants dans la région de la Béroche. Des locaux étaient libres et tout s’est enchaîné très rapidement. Le Quartier Général de l’Armée du Salut à Berne a donné son feu vert et a soutenu financièrement le projet. La Bergerie a ouvert ses portes le 16 août 2004, et accueillait alors 18 enfants. A sa tête : deux co-directrices. Céline Paratte et moi-même, qui avais déjà travaillé dans une crèche chrétienne à Yverdon. Au début, tous les enfants de 0 à six ans étaient ensemble, excepté lors de diverses activités où les groupes étaient séparés. En 2009, la crèche a pu s’agrandir et disposer d’un étage supplémentaire. Ceci a permis d’accueillir 31 enfants et de séparer les petits (0 à deux ans) des grands (deux à six ans). En 2012, le village de Saint-Aubin possédant une structure d’accueil parascolaire, il
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Nicole Renaud sait que peu importe ce qui l’attend, Dieu dirige son avenir
n’était plus nécessaire de garder les enfants jusqu’à l’âge de six ans. Nous avons alors abaissé la limite d’âge à quatre ans. Les premières années de l’existence de la Bergerie ont été merveilleuses, nous grandissions, comme un enfant, dans l’insouciance et le bonheur. Mais l’histoire ne s’arrête pas là … La traversée du désert En 2009, après les cinq ans de la crèche, nous sommes passés par une période difficile : une crèche a été ouverte à Gorgier et nous avons logiquement perdu des enfants, Céline Paratte est partie à l’étranger suite à son mariage.
J’ai donc dû reprendre toutes ses tâches administratives et je me suis vite retrouvée débordée. Des problèmes sont apparus au sein de l’équipe, l’accueil des enfants et des parents s’en est ressenti, la réputation de l’établissement en a pâti, et les finances également. Si bien que l’Armée du Salut, qui revoyait sa stratégie, dont les crèches ne faisaient pas partie, se demandait s’il ne valait pas mieux fermer la Bergerie. Pour moi, le seul point positif de cette période était de voir les bébés s’épanouir dans leur nouveau lieu de vie. J’ai alors crié à Dieu : « Seigneur, c’est ta crèche. Qu’est-ce que tu
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ui dirige la Bergerie veux pour elle ? » Et Dieu m’a montré que nous n’étions pas prêts à accueillir plus d’enfants. Il fallait d’abord régler les problèmes au sein de l’équipe, au sein de l’organisation, notre manière de travailler, et ensuite, il nous enverrait des enfants. Dieu fait sa part Avec l’aide de Michel Bonjour, alors responsable de l’Œuvre sociale en Suisse romande, nous avons mis en place une nouvelle organisation des groupes, avec des responsables de groupe et nous avons travaillé à recréer une bonne ambiance dans l’équipe. Petit à petit, les choses se sont mises en place, l’accueil s’est amélioré et les échos positifs se sont multipliés. Mais il manquait encore des enfants pour que les finances redeviennent saines. Alors que je descendais la montagne pour aller travailler, j’ai prié Dieu pour qu’il nous envoie des enfants, car une année déficitaire de plus aurait certainement signifié la fermeture de la crèche. Je lui ai dit que nous étions en chemin, que tout n’était pas parfait, mais que les choses étaient bien parties et que, maintenant, il fallait absolument qu’Il agisse. Le même jour, je recevais trois téléphones de mères désespérées qui cherchaient une place dans une crèche à 100%, pour la semaine suivante, car leur
maman de jour les avait lâchées. En une semaine, nous avons eu trois à quatre adaptations (des enfants qui découvrent la crèche et y prennent leurs marques, ce qui demande une plus grande attention de la part des éducatrices). A la fin de la semaine, toute l’équipe était épuisée, mais reconnaissante envers Dieu. Il est intervenu. Les semaines et les mois se sont succédés avec plusieurs demandes, si bien qu’à la fin de l’année, nous étions quasiment complets. Je crois que la Bergerie et moi-même avons beaucoup appris de cette épreuve. Quand on fait confiance à Dieu en mettant nos dons, notre intelligence, nos capacités à son service, lui aussi fait sa part. C’est rassurant de savoir qu’il est au-dessus de tout.
Quand je repense à ces dix ans, je suis émerveillée de voir comment Dieu a conduit toute chose. Le projet a été lancé pile au bon moment : lorsque la crèche a ouvert, nous avons eu l’autorisation de raconter des histoires de la Bible, car le canton avait cruellement besoin de structures. Il a tout orchestré parfaitement et c’est lui qui nous a permis de fêter les dix ans de la Bergerie. Maintenant il est temps pour moi de laisser aller « mon bébé » pour lui permettre de continuer de grandir. Mais je suis en paix, car je sais que Dieu en prend soin et que la crèche est entre de bonnes mains avec sa nouvelle directrice, Débora Poget.
La crèche la Bergerie a encore de belles années devant elle
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à bien y penser ...
Sans tambour ni trompette Mars Depuis l’introduction des calendriers julien et grégorien, le mois de mars est le troisième de l’année, après en avoir été le premier dans le calendrier romain. De cette époque, il porte le terrible nom de Mars, le dieu de la guerre de la mythologie romaine. Mais de nos jours, quand vient le successeur du mois de février, réputé pour ses frimas, notre esprit est loin de penser aux horreurs de la guerre ! Bien au contraire, réjouissons-nous de voir approcher le printemps, à son 20e ou 21e jour. C’est la saison des fleurs, chantée par le poète, de la montée de la sève, l’annonce du renouveau de la nature, alors que les prés reprennent leur belle couleur verte et que les arbres se couvrent de leurs feuilles toutes neuves. Bientôt ce sera Pâques, la plus grande fête de la chrétienté où l’on célébrera la gloire du Christ ressuscité. Non, le mois de mars ne peut plus être celui d’un dieu guerrier ... mais le temps merveilleux pour nous renouveler dans l’Esprit du Sauveur, Fils du Dieu de paix !
Pierre-André Combremont
Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.
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infos
Inondations au Mozambique et au Malawi Des inondations ont fait plus de 70 morts et rendu des milliers de personnes sans abri au Mozambique. Au Malawi, ce sont plus de 300 personnes qui ont perdu la vie ou qui sont portées disparues. Sur place, l’Armée du Salut a organisé une aide d’urgence. Au total, il est estimé que près de 100 000 personnes doivent être déplacées à travers le Mozambique. Le Capitaine de l’Armée du Salut Arsenio Macamo affirme qu’il s’agit là des pires inondations survenues dans la région Zambèze depuis 1971. L’équipe d’aide d’urgence de l’Armée du Salut, sous la direction du capitaine Macamo et du lieutenant Armindo Simango, ont aidé près de 4 000 personnes, déplacées de la ville de Mocuba (dans la Province du Zambèze central), à se rendre dans les camps mis en place par le gouvernement. Il est prévu de fournir une aide alimentaire, une fois que les fonds seront disponibles. Le colonel Daniel Moukoko (Commandant territorial du Mozambique) écrit : « Les personnes déplacées sont dans une situation de vulnérabilité, qui nécessite une action humanitaire forte et rapide. Après avoir perdu leurs biens dans l’inondation, leurs besoins prioritaires sont des abris temporaires (tentes), des vivres, des couvertures, des vêtements, des matelas et l’assainissement de l’eau, afin d’éviter la propagation de maladies liées à la consommation d’eau. »
Je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » en versant la somme de 7.5 ( étranger 13.5) sur le compte 000-0051322-09 avec la mention « abonnement Espoir »
Nom : Prénom : Adresse :
Localité : Date : Signature : A renvoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, 34, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains, 1000 Bruxelles Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org L’Armée du Salut organise son aide d’urgence sur le terrain
Au Malawi, plus 100 000 personnes se retrouvent également sans abri. En collaboration avec le Gouvernement et d’autres organisations, l’Armée du Salut répond aux besoins les plus urgents, en distribuant du maïs, des pois et des haricots pour couvrir les besoins alimentaires, ainsi que des moustiquaires pour protéger contre la menace de la malaria et des couvertures pour aider à supporter le froid. Le colonel Wandulu affirme que l’Armée du Salut au Malawi a été
durement touchée par les inondations, avec plusieurs salles et bâtiments rendus inutilisables. Les officiers du Poste d’ Osiyana (communauté de l’Armée du Salut), les capitaines Amos et Alice Zikatiwindu, ainsi que leur famille, ont survécu en se réfugiant dans un arbre pendant trois jours et trois nuits. Le colonel Wandulu et l’équipe d’urgence ont visité les Capitaines, et leur ont fourni de la nourriture et des habits, ainsi que leur soutien dans la prière. [IHQ]
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détente « Pour être heureux nous devons apprendre à utiliser les choses et aimer les gens plutôt qu’utiliser les gens et aimer les choses. » Paulo Coelho
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Solution du Sudoku
3001 Berne
Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que : - chaque ligne - chaque colonne - chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths!
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Sudoku