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Mensuel de l’Armée du Salut - 125e année - N° 10 - 2015
Métier
Prof aujourd’hui… c’est gérer la diversité
Jacques Tschanz
L’UNESCO a déclaré le 5 octobre : Journée mondiale des enseignants. Dans le passé on enviait les enseignants. Aujourd’hui on entend plus souvent : je n’aimerais pas être prof ! Comment le métier d’enseignant a-t-il évolué, quels sont ses défis aujourd’hui ? Un instituteur nous partage sa vision des choses.
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endant des années la profession d’enseignant évoquait les vacances, le peu d’heures de travail, un bon salaire et la sécurité. Certains pensaient que c’était un métier facile étant donné que l’on ne s’adresse qu’à des enfants soumis et que c’est une profession où, dans sa classe, l’enseignant est le seul maître à bord. Détrompez-vous ! Aujourd’hui, la profession d’enseignant a beaucoup évolué. Instituteur primaire (6-12 ans) en Belgique, depuis plus de vingt ans dans une école libre protestante (publique et subventionnée par l’Etat), Pascal Boutet aime enseigner et c’est avec passion qu’il s’exprime lorsqu’il s’agit d’en parler. Il a accepté de répondre à nos questions : Quel est le défi majeur de l’enseignant ? Comme enseignant, le plus grand défi
Peur de souffrir... page 3
Dans le monde il manque deux millions d’enseignants pour que chacun puisse avoir accès au degré primaire
est de gérer la diversité à plusieurs niveaux : la diversité des contenus et de l’information. Le monde est devenu un village et aujourd’hui les enfants
sont mis en relation avec une réalité mondiale. Ils sont informés de toutes parts, du meilleur au pire, et on doit les préparer à utiliser et à décoder l’im page 2
Ils ne regrettent pas d'avoir répondu à l'appel missionnaire pages 4-5
métier
portance ou la valeur des contenus et comment les gérer. La diversité des milieux sociaux, culturels, des moyens de communication, des modèles familiaux
Pascal Boutet, un enseignant passionné
avec les familles composées, recomposées, hétérosexuelles, homosexuelles, ..., la diversité des valeurs qui sont en lien avec les modèles familiaux, tout cela est véritablement un défi. Il faut apprendre à gérer la diversité des programmes des enfants avec un parascolaire très important. Le cliché de l’enseignant seul maître à bord dans sa classe n’est plus actuel. Aujourd’hui nous devons gérer aussi la diversité des intervenants extérieurs. En plus des parents nous composons avec des spécialistes : logopédistes, psychologues, neuropsychiatres, etc. qui vont poser un diagnostic sur l’enfant. Ce qui fait qu’on a des classes avec des caractéristiques psychologiques très diverses : dysorthographique, dyslexique, dyspraxique, trouble de l’attention, avec lesquels il faudra adapter l’enseignement, et aider l’enfant à se construire une identité, alors qu’il a déjà une série d’étiquettes placées sur lui. C’est un des aspects compliqués de notre travail.
Qu’est-ce qui est le plus réjouissant pour un enseignant ? Pour ma part, c’est de voir les enfants se développer en leur apportant un enseignement sur trois aspects : l’aspect relationnel aussi bien avec ses pairs qu’avec sa spiritualité ; l’aspect physiologique, leur bien-être, leur croissance, je me soucie de leur condition de vie, qu’elle soit bonne à tous niveaux et suis très attentif en terme d’hygiène, de santé, de sécurité routière, du développement corporel, etc. ; et enfin le domaine des compétences, du savoir, du savoir-faire et du savoirêtre. Bien dans son corps, bien dans ses connaissances, bien dans sa foi. Quand je vois un enfant s’épanouir dans ces trois domaines, ma joie est complète.
Point de vue Toujours apprendre Dans cet EMS, à plus de 90 ans, elle s’est mise à apprendre l’espagnol afin de pouvoir communiquer avec la femme de ménage… A 93 ans, il suit des cours d’informatique… S’il est vrai qu’on n’a jamais fini d’apprendre ( pour autant qu’on le veuille et qu’on le puisse ), la vie elle-même est un perpétuel apprentissage.
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Jacques Tschanz
Ce n’est pas pour rien que même des personnages de l’Antiquité aussi importants que le Roi David et Moïse, adressaient à Dieu ces prières : « Enseigne-moi tes sentiers ; enseigne-moi à bien compter mes jours ; enseigne-moi tes projets pour moi ; enseignemoi tes décisions » * et tant d’autres qui montrent la confiance qu’ils avaient en Dieu malgré leur sagesse et leur pouvoir.
Reconnaître dans le Créateur le droit sur sa créature est un signe de grande sagesse. Je ne suis pas David ni Moïse, mais moi aussi je peux, au cours de mes journées, adresser ces mêmes prières à Dieu afin qu’il me conduise sur le chemin préparé pour moi. Dieu est un excellent enseignant, un pédagogue hors pair, mais pour s’en rendre compte il faut au minimum lui prêter oreille.
Quand, dans un acte de foi, lui avez-vous demandé, pour la dernière fois : « Enseignemoi » ?
* La Bible, Psaumes 25 : 4 / 90 : 12 / 119 : 108 / 143 : 10
évangile
Peur de souffrir... Pierre-André Combremont
Dans la Bible Jésus répondit aux disciples : « Vous croyez, à présent ! Mais l’heure vient, elle est déjà là, où vous serez dispersés chacun de son côté, et vous me
laisserez seul. Mais je ne suis pas seul, puisque le Père est avec moi. Il fallait que je vous dise aussi cela pour que vous trouviez la paix en moi. Dans
le monde, vous aurez à souffrir bien des afflictions. Mais courage ! Moi, j’ai vaincu le monde. » La Bible, Evangile de Jean, chapitre 16, versets 31 à 33
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ous aurez à souffrir bien des afflictions. Jésus donne cet avertissement à ses disciples au terme du dernier moment de partage qu’il a avec eux, une heure ou deux avant son arrestation qui l’amènera à sa mort sur la croix de Golgotha. Depuis trois ans les disciples ont suivi Jésus dans son ministère, ils l’ont vu dans toutes sortes de circonstances. Ils l’ont vu accomplir des miracles, ils ont assisté à des échanges pas toujours amicaux avec des personnalités religieuses, ils l’ont entendu conseiller divers interlocuteurs à naître de nouveau, à vendre tous leurs biens pour en distribuer le produit aux pauvres comme condition pour avoir la vie éternelle. Toutes des expériences qui ont dû les troubler. Ils ont entendu le Maître annoncer sa mort prochaine mais voilà qu’il les avertit qu’ils auront à souffrir bien des afflictions. Pourquoi ? Il leur a bien dit, dans ce même entretien : « Vraiment, je vous l’assure, vous allez pleurer et vous lamenter, vous serez accablés de douleur, mais votre douleur sera
changée en joie. » Mais ces larmes n’étaient-elles pas à cause de la prochaine mort de Jésus ? Alors, pourquoi devront-ils souffrir ? Après avoir fait ces déclarations à ses plus proches témoins, dans ce jardin de Gethsémané, sur le Mont des Oliviers (où il sera livré), Jésus se retire pour prier, pour lui-même et pour eux. Il les confie à la garde de son Père : « Bientôt je ne serai plus dans le monde, car je vais à toi, mais eux, ils vont rester dans le monde. Père saint, garde-les par le pouvoir de ton nom. Aussi longtemps que j’étais parmi eux je les ai gardés, je les ai protégés et aucun d’eux ne s’est perdu. Je dis cela pour qu’ils possèdent en eux cette joie qui est la mienne, une joie parfaite. Je leur ai donné ta Parole, et le monde les a pris en haine parce qu’ils ne lui appartiennent pas, comme moi-même je ne lui appartiens pas. Je ne te demande pas de les retirer du monde, mais de les préserver du diable. » Jésus sait combien le monde est cruel, tant le diable cherche à le dominer par ses forces du mal. Aujourd’hui encore, l’ennemi est là,
qui tente de récupérer ceux qui lui ont échappé et qui suivent Dieu le Père. Mais Dieu triomphera du mal, malgré les souffrances. Il nous le prouve par la victoire de son Fils sur la mort par sa résurrection. Il nous apprend, ainsi, que le croyant qui souffre peut s’armer de patience car il parviendra un jour à la cité où il n’y aura plus ni deuil, ni plainte, ni souffrance.
Entre bien et mal, un éternel combat dont Jésus annonce la victoire (« Satan vaincu » cathédrale de Coventry GB )
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mission
Ils ne regrettent pas d’avoir dit oui à l'appel missionnaire Des missionnaires suisses de l’Armée du Salut sont actuellement à l’œuvre en Haïti, au Brésil, en Zambie et en Equateur. Voici le témoignage de trois couples convaincus qu’il ont bien fait de répondre positivement à l’appel que Dieu leur a adressé. Propos recueillis par Sébastien Goetschmann Nous sommes conscients de la grâce de Dieu
Les majors Daniel et Sylvaine Mägli sont à l’œuvre à Haïti depuis octobre 2009. Daniel est responsable de la musique et de l’immobilier. Sylvaine est officière de projet au « Collège Verena » à Port-au-Prince. Elle y dirige 130 employés. « Depuis le tremblement de terre, la misère a beaucoup augmenté, explique Sylvaine Mägli. Il y a un grand potentiel humain, mais la situation est extrêmement difficile. Il y a beaucoup de facteurs de stress : le climat chaud et humide, la conduite compliquée en ville, la misère à laquelle nous sommes quotidiennement confrontés, la violence, ... Il m’est arrivé plusieurs fois d’être agressée par des chefs de gang pour de l’argent. Mais malgré tout, nous savons que nous sommes à la bonne place et que Dieu nous protège.
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Nous avons récemment reconstruit le Collège Verena, avec le soutien de la Kindernothilfe. Cela signifie que plus de 1 500 élèves peuvent désormais apprendre dans des conditions idéales. Et même si l’avenir est incertain, le travail que nous effectuons au Collège permet à plusieurs enfants de s’en sortir. C’est cela qui me motive. » « Nous voyons l’impact spirituel de notre travail et des prières des personnes qui nous soutiennent, poursuit Daniel Mägli. En tant que responsable pour la musique, j’ai la charge de 70 Postes et avantPostes. Alors mon travail est de former les Chefs de fanfare. Jouer dans une fanfare ou une chorale est important également au niveau culturel. Pour plusieurs, c’est le seul moyen de voir du pays, cela amène une ouverture d’esprit culturelle et sociale. Mon désir personnel est d’apprendre à tous les musiciens de notre Territoire la réelle signification de la louange. » Majors Daniel et Sylvaine Mägli
Plus à l’écoute Les majors Roland et Rosa Meylan sont en mission au Brésil depuis 31 ans. Alors qu’ils pensaient terminer leur service à Recife, où ils ont vécu durant 14 ans, un ordre de marche les a envoyés, en 2012, au Poste de Brasilia. Durant tout leur service, ils se sont aperçus qu’il faut être plus à l’écoute du Saint-Esprit, au lieu de faire des projets et de demander ensuite à Dieu de les bénir. « Cela fait maintenant trois ans que nous sommes au Poste de Brasilia, dans la capitale brésilienne, et nous voyons des fruits, petit à petit, explique la major Rosa Meylan. Dans notre communauté d’une trentaine de membres, douze personnes suivent actuellement les cours pour devenir soldat. La principale difficulté, poursuit le major Roland Meylan, c’est que le Poste se trouve dans une rue où il n’y a que des églises, des hôpitaux et des écoles. Il est ainsi difficile de motiver les gens à se
mission
Plusieurs casquettes à porter
du Saint-Esprit déplacer en dehors du dimanche et donc de vivre des activités en communauté. Mais nous voyons aussi de belles choses se réaliser, ajoute Rosa. Depuis quelques temps, nous vivons une belle expérience, avec une dame qui a ressenti qu’elle devait venir à l’Armée du Salut. Le Poste à Brasilia se trouve à 200 mètres d’un hôpital. Cette dame a eu contact avec des jeunes femmes qui se font avorter et nous avons pu ouvrir un groupe dans nos locaux, pour conseiller les jeunes qui veulent avorter et soutenir celles qui ont déjà passé à l’acte. Ce groupe n’est pas là pour juger les choix de ces jeunes femmes, mais pour les accompagner dans leurs situations. Nous offrons aussi des vêtements aux mères qui ont finalement choisi de garder leur bébé. Dans quelques mois, nous serons à la retraite et le moins que l’on puisse dire, c’est que nous ne regrettons pas d’avoir répondu à cet appel missionnaire. »
Les majors Salvador et Esther Ferreira-Benoit travaillent au Brésil depuis février 1990. Elle et son mari Salvador, dirigent actuellement l’Armée du Salut à Carmò do Rio Claro. Ils y sont responsables de l’œuvre sociale locale, ainsi qu’officiers de Poste. Cela signifie qu’ils sont engagés dans de nombreuses et diverses activités. « Nous sommes situés dans un des quartiers les plus pauvres de la ville. Cela implique beaucoup de violence et notre rôle est de proposer, surtout aux jeunes, une autre vision d’avenir que celle de la drogue et de la criminalité. En plus des activités du Poste (cultes et cultes du soir, école du dimanche, visites pastorales, études bibliques, groupes de femmes, groupes de maison et groupes de jeunes, louange, ...) nous nous occupons d’enfants
entre 7 et 17 ans, par le moyen de divers ateliers (danse, informatique, couture, bricolage, cours d’anglais, capoeira, arts graphiques). Ces ateliers nous permettent aussi d’engager des discussions sur un thème qui touche les jeunes, avec des professionnels du sujet. Notre but est d’élargir leur vision de la vie. Ici, le social et le travail d’évangélisation sont très liés. J’aime d’ailleurs bien cette maxime : nous faisons ce que nous faisons, car nous croyons ce que nous croyons. Notre souhait est que tous les membres du Poste s’impliquent dans la vie communautaire et que chacun soit un missionnaire au quotidien. Car notre mission et notre plus grand défi est de gagner des gens pour Christ. C’est un réel défi dans notre société postmoderne, centrée sur elle-même et sur l’instant présent que de montrer l’importance du message de l’Evangile. Car même si la pauvreté est très présente, les Brésiliens tiennent à leur liberté et leur indépendance. » Majors Esther et Salvador Ferreira
L’Unité d’Organisation Mission & Développement de l’Armée du Salut Suisse soutient et accompagne des projets de développement dans divers pays du Sud. Comme membre du mouvement international de l’Armée du Salut, l’Armée du Salut Suisse s’engage dans la coopération au développement ainsi que dans l’aide d’urgence et la reconstruction après des catastrophes. Les programmes sont menés en étroite collaboration avec des partenaires locaux.
Majors Roland et Rosa Meylan
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à bien y penser ...
Sans tambour ni trompette Ouvrir les yeux Pressée, je me dirige vers le rayon des fleurs ; il me faut un bouquet pour l’hôtesse qui m’a invitée pour le repas du soir. Arrivée sur place, je reste indécise un bon moment tant le choix est grand. Dizaines de bouquets divers, arrangements artistiques, fleurs en pots et plantes diverses s’offrent au regard du client. Finalement, j’opte pour un bouquet varié et, comme il n’y a pas d’autre personne à la caisse, je demande à la fleuriste si elle veut bien me mettre les fleurs sous papier cellophane, histoire de présenter joliment mon bouquet. Elle accepte avec le sourire. La jeune femme défait l’arrangement, sépare chaque fleur et les pose une à une sur sa surface de travail. Et là … c’est le déclic ! Halte à l’indifférence ! Halte aux habitudes les yeux fermés ! J’ai affaire à des fleurs. Des fleurs ! Chacune avec sa couleur, chacune avec sa forme, son caractère, sa propre beauté, chacune unique et faite pour plaire et nous réjouir. Alors j’ouvre (enfin) les yeux pour contempler, avec régal, la fleuriste arranger roses somptueuses, tournesols rayonnants, dahlias joyeusement échevelés, lys à la ligne si pure et branches de verdure brillante … en un bouquet somptueux. Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.
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Dieu ! Que ta nature est belle !
Marianne Hefhaf
infos
L’Armée du Salut de Jumet fête ses 125 ans Tout commence en 1890, lorsque 19 soldats sont enrôlés au Poste de l’Armée du Salut de Jumet. Ils évangélisent et apportent leur aide à la population de la région.
Partenaire de l’Eglise protestante unie de Belgique, l’Armée du Salut respecte encore son leitmotiv des « 3 S » : Soupe, Savon, Salut. Dès leur installation
Nom : Prénom : Adresse :
Localité :
Dimanche 21 juin, au local de prières de l’Armée du Salut, situé à la rue Biernaux, l’office vient de commencer. Après quelques précisions apportées par les « bergers » du Poste de Jumet, les majors Bertrand et Bénédicte Lüthi, les fidèles assistent à l’office du culte comprenant, en alternance, prières, chants et lectures d’extraits de l’Evangile. Le moment le plus important est la prédication de Suzanne Bürki, invitée venue tout spécialement de Suisse. Dans la salle, tout est calme, sourire, joie et amitié. De nombreux uniformes marquent la présence d’une vingtaine de soldats et d’officiers de l’Armée du Salut.
Je m’abonne pour une année au mensuel « Espoir » en versant la somme de 7.5 ( étranger 13.5) sur le compte 000-0051322-09 avec la mention « abonnement Espoir »
Date : Signature : A renvoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, 34, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains, 1000 Bruxelles Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org Dimanche 21 juin 2015, les salutistes et amis de l’Armée du Salut de Jumet ont fêté les 125 ans du Poste
à Jumet, en 1890, les salutistes ont eu fort à faire pour cerner les besoins de foi et de réconfort d’une population soumise à la dure loi des industries du verre, de la houille et du fer.
soldats du Poste, aux bénévoles et aux amis invités spécialement pour l’occasion.
Les dons d’habits et de denrées alimentaires y sont toujours organisés. Ce dimanche, la journée du 125e anniversaire s’est poursuivie par un barbecue offert aux
Journal l’Avenir
Mensuel de l’Armée du Salut | Editeur responsable : Major Mike Stannett, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains 34 | BE-1000 Bruxelles | Tél. 02 513 39 04 - Fax: 02 513 81 49 | Courriel : Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org | Internet : www.armeedusalut.be , www.legerdesheils.be | Abonnement 1 an : 7.5 (13,5 étranger) | Fondateur : William Booth | Général : André Cox | Chef pour la Belgique : Major Mike Stannett | Rédaction Berne: Major Jacques Tschanz (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont / Marianne Hefhaf / Annelise Bergmann | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Rolf Messerli | Imprimerie : Rub Media, Wabern | Tirage : CH: 3 000 ex. BE : 2 000 ex. | Crédit photo : P 1 & 2 : WME 2015, Armée du Salut Haïti, MAD ; P 3 : André Sterckx ; P 4 & 5 : Sébastien Goetschmann ; P 7 : Bertrand Lüthi ; P 8 : Nicolas Hoizey_flickr.com | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’EvanMembre de l’Union gile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines. des Editeurs de la Presse Périodique
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« Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire. » Mère Teresa
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Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que : - chaque ligne - chaque colonne - chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths!
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Sudoku