Espoir 01/2016 - Manger des légumineuses pour une culture durable

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Bureau de dépôt : 1000 Bruxelles 1 — P401061 — 0.70 Janvier 2016

Mensuel de l’Armée du Salut - 126e année - N° 1 - 2016

Alimentation

Manger des légumineuses pour une culture durable

  Marianne Hefhaf

2016 est l’Année internationale … des légumineuses ! Et pourquoi pas celle des locomotives ou du chewing gum ? C’est n’importe quoi ! Détrompez-vous  !

S

ous l’impulsion des gouvernements pakistanais et turc, l’année 2016 a été proclamée Année internationale des légumineuses par la soixante-huitième Assemblée générale de l’ONU. Le principal objectif de cette initiative est de sensibiliser l’opinion publique mondiale, de la contribution essentielle des légumineuses à la sécurité alimentaire. C’est la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture), qui est chargée de promouvoir auprès du public les avantages nutritionnels de ces plantes, mais pas seulement  ; la célébration de cette année sera également pour la FAO une excellente occasion de favoriser des rapprochements dans toute la chaîne de production, de manière à mieux exploiter les protéines issues des légumineuses, à renforcer la production de légumineuses à l’échelle mondiale, à tirer un meilleur parti de la rotation des cultures et à trouver des solutions

Les légumineuses constituent une part essentielle de l’alimentation mondiale

aux problèmes qui se posent dans le commerce des légumineuses. Les légumineuses, c’est quoi  ? Les légumineuses sont des plantes annuelles dont les cosses produisent entre 1 et 12 graines de taille, de forme

et de couleurs variables et qui sont utilisées dans l’alimentation humaine et dans l’alimentation animale. Le terme «  légumineuses  » désigne uniquement les plantes récoltées pour l’obtention de grains secs.   page 2

L’après Noël   page 3

Entre racines et envol   pages 4-5


alimentation

Les légumineuses telles que les lentilles, les haricots, les pois et les pois chiches constituent une part essentielle du panier alimentaire de nombreuses populations à travers le monde. Les légumineuses sont consommées depuis plusieurs millénaires par des peuples du monde entier. Ce sont même les premières plantes à avoir été cultivées. D’importants avantages Les légumineuses constituent

Les légumineuses possèdent de nombreuses propriétés nutritives et écologiques intéressantes

une source fondamentale de protéines végétales. Elles sont utilisées par les organisations humanitaires en tant qu’élément essentiel de l’assortiment alimentaire de base. Les organisations de santé publique recommandent de manger des légumineuses dans le cadre d’un régime alimentaire équilibré pour lutter contre l’obésité, prévenir et traiter les maladies comme le diabète, les pathologies cardiovasculaires et le cancer. Au niveau de l’environnement et grâce à leurs propriétés fixatrices d’azote, les légumineuses ont une empreinte carbone plus faible que nombre d’autres cultures, ce qui fait d’elles un choix alimentaire écologiquement durable. Pour fêter les légumineuses, une recette de cari de lentilles et d’épinards  ! Les ingrédients pour quatre portions  : 1 tasse de lentilles corail. 2 tasses d’eau. 2 tasses d’épinards frais, hachés grossiè-

rement. 1 cuillère à thé de graines de moutarde. 1 cuillère à soupe d’huile d’olive. 1 oignon haché. 2 gousses d’ail émincées. 1 tomate coupée en dés. 1 citron. Sel, poivre. Préparation  : mijoter pendant 15 minutes les lentilles dans l’eau. Ajouter les épinards, remuer et laisser mijoter 2 minutes supplémentaires. Dans une poêle, griller à sec les graines de moutarde. Ajouter l’huile et, à feu moyen, dorer l’oignon et l’ail ; ajouter les dés de tomate, cuire 2 à 3 minutes. Ajouter les lentilles dans la poêle, mélanger. Saler et poivrer. Retirer du feu. Couvrir et laisser reposer 10 minutes. Avant de servir, arroser d’un trait de citron et d’un filet de beurre fondu, si désiré. Délicieux accompagné de riz.

Point de vue

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  Jacques Tschanz

Le menu le plus cher au monde… L’histoire que je vais résumer se passe en un temps où ni l’électroménager ni les menus tout prêts n’existaient ! Il faut encore savoir qu’à cette époque, l’essentiel de l’héritage revenait au fils aîné   ! Dans cette famille il y a deux fils dont un attaché à la cuisine et l’autre à la chasse. Imaginez le chasseur, qui n’est autre que l’héritier, arrivant à la maison mourant de faim  !

Bon appétit !

«  Salut frangin, waouh, qu’est-ce que ça sent bon … je peux en avoir  ? - D’accord si tu me donnes en contrepartie ton droit d’héritage. - Si tu veux, car si je meurs de faim tu l’auras quand même … et je n’aurai pas de lentilles …  » Et c’est ainsi que, pour un plat de lentilles, le fils aîné qui s’appelait Esaü échangea son droit d’aînesse avec Jacob  ! Ce

qui en fit le menu le plus cher de l’Histoire. (La Bible, Genèse 25  : 30). De plus, Jacob extorquera encore la bénédiction paternelle de son frère. Résultat   : une rupture entre frangins pendant plus de vingt ans. Heureusement, il y aura une réconciliation, mais que de temps gâché … Aujourd’hui, combien de familles sont divisées  ? Jésus nous invite pourtant au pardon, même dans ce domaine sensible

des ruptures familiales  : «  Si vous pardonnez aux hommes leurs fautes, votre Père céleste vous pardonnera aussi, mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos fautes.  » (Matthieu 6  : 14-15). S’il est vrai que la démarche peut être très difficile, le plus important est de désirer que cela se fasse. Ensuite, celui qui a confiance en Jésus-Christ peut compter sur son pardon et sa sagesse. 


évangile

L’après Noël   Annelise Bergmann

Dans la Bible Quand les mages sont partis, l’ange du Seigneur se montre à Joseph dans un rêve. L’ange lui dit  : «  Lève-toi, prends avec toi l’enfant et sa mère. Pars vite pour l’Egypte  ! Reste là-bas. Je te dirai quand tu dois revenir. En effet,

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t voilà, nous avons tous bien fêté Noël  ; tous  ? Pas sûr. Il n’y a guère que les enfants et les grands magasins pour y voir un côté festif à tout prix. Mais nous avons célébré, et nous avons eu bien raison de le faire, un enfant divin né dans une crèche. Et s’il n’y a pas eu pour tous de grandes réjouissances, des fêtes de famille harmonieuses, des repas raffinés, il y a eu une conviction chrétienne à partager. Comme ce monsieur âgé de mon village, vivant seul et de santé fragile qui, selon une très vieille coutume allume sur le bord de sa fenêtre une bougie chaque nuit du 24 décembre, en signe d’espérance. Mais aujourd’hui, nous sommes en janvier  ! Il est temps de sortir le sapin, de fermer les boîtes de chocolat, les personnages de la crèche sont partis chacun de leur côté ; circulez, il n’y a plus rien à voir  ! Nous sommes en janvier, mais l’histoire continue   : dans la Bible nous lisons que juste après le départ des mages (quelques semaines, quelques mois   ?) de

Hérode va chercher l’enfant pour le faire mourir.  » Joseph se lève, il prend avec lui l’enfant et sa mère et il part pour l’Egypte, pendant la nuit. Il reste là-bas jusqu’à la mort d’Hérode le Grand. Ainsi se réalise ce que le

prophète avait dit de la part du Seigneur  : «  J’ai appelé mon fils à sortir d’Egypte.  » La Bible, Evangile de Matthieu, chapitre 2, versets 13 et 14

gros nuages noirs s’accumulent sur la sainte famille. Marie, Joseph et le tout petit enfant Jésus doivent fuir précipitamment en Egypte et deviennent … vous savez quoi  ? Des migrants, des réfugiés, des demandeurs d’asile politique. Cela ne vous rappelle rien   ? Avez-vous lu le journal ces derniers mois   ? Très loin de moi l’idée d’entrer dans un débat politique. Mon propos n’est certainement pas de prendre position ou de répercuter telle ou telle opinion. J’ouvre les yeux, c’est tout. Je vois quotidiennement des hommes, des femmes, des familles qui se pressent à notre frontière qui, comme Joseph, sont partis dans la nuit, le froid, la faim, pour fuir un danger plus grand encore que celui des périples de la migration. Je n’ai même pas envie de faire des théories sur la géopolitique, la guerre, les religions. Ces choses arrivent, nous arrivent, et fermer les yeux ne changera rien à la situation. Personne ne pourra jamais vous dire quoi faire, il est certainement beaucoup trop tard pour bien faire, alors faisons le moins mal

Le rire partagé peut sembler anodin, mais c’est déjà un pas dans la lutte contre la misère humaine

possible … Laissons-nous inspirer par Celui qui a envoyé l’ange, pour qu’Il nous envoie un souffle inventif, créatif, compatissant. C’est ici et c’est maintenant, c’est vous et c’est moi, qui pouvons influencer le cours de l’Histoire  ! Le vêtement chaud, le repas, le sourire, la leçon de français, c’est peut-être une goutte d’eau dans l’océan de la misère humaine, mais pour l’homme, la femme et l’enfant en route juste après Noël, c’est toute la différence. 

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arts

Les arts pour exprimer sa foi Entre racines et envol est une association de La Neuveville, qui souhaite amener des sujets de réflexion sur la foi à travers les arts et les multimédias. Nous avons pu assister à une partie du tournage du clip vidéo «  Naître de nouveau  ».   Sébastien Goetschmann Ainsi, en 2013, c’est la traite des êtres humains qui était mise en scène. Un clip destiné à sensibiliser les personnes à la problématique du manque d’eau, a aussi été réalisé pour la « journée mondiale de l’eau » du 22 mars. En plus des clips, des représentations artistiques en divers endroits, l’association récolte aussi concrètement de l’argent pour le redistribuer à des ONG’s, en organisant par exemple des repas de soutien. «  L’association se veut une voix pour les sans voix et un porte-voix pour toutes celles qui s’élèvent déjà dans le monde et qui ont trouvé un écho auprès de nous  », affirme Aurore Schneeberger. C’est Aurore Schneeberger qui a créé Entre racines et envol dans le but de mettre ses dons au service de Dieu

Le clip raconte l’histoire de conversions, de nouvelles naissances. Il veut montrer qu’on peut se tourner vers Christ à n’importe quel âge, peu importe notre passé. Récemment parents d’une petite fille (leur troisième enfant), Aurore et Yves Schneeberger se sont inspirés de cet événement pour tirer un parallèle entre la naissance physique et la naissance spirituelle. Comme pour tous les projets de l’association neuvevilloise, le but est de faire passer un message

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d’espoir, adressé autant aux personnes qui vont dans une église qu’à celles qui n’y vont pas. En effet, le clip veut susciter une réflexion sur ce que signifie être chrétien. Est-ce que nous sommes nés de nouveau  ? Notre relation avec Jésus nous pousse-t-elle à parfois marcher à contre-courant  ? Défendre des valeurs Dans chacun de ses projets, l’association Entre racines et envol promeut des valeurs chrétiennes, sans faire de prosélytisme et en gardant toujours un aspect actuel.

Les arts pour glorifier Dieu Aurore aime la danse depuis toujours, mais ce n’est qu’en 2011, qu’elle se décide à lancer Entre racines et envol  : «  Lorsque je me suis convertie, quelqu’un m’a dit que la danse venait du diable. Je l’ai cru et j’ai arrêté de danser pendant huit ans. J’ai pourtant cherché à mettre mes dons au service du Seigneur, mais comme je m’interdisais de danser, cela m’était difficile. Puis, après m’être mariée à Yves, j’ai clairement ressenti que Dieu voulait m’utiliser à travers les arts. Yves m’a soutenue dans cette démarche et nous avons commencé


arts

par créer une comédie musicale.  » Vu le succès de l’entreprise, d’autres arts se sont ajoutés au fur et à mesure  : la danse, le chant, le théâtre, la photographie, la vidéo, la peinture, … Dieu agit Depuis qu’Aurore utilise ses dons pour servir Dieu, elle a vécu plusieurs événements forts  : «  Réaliser un projet artistique est toujours une riche expérience. Tout d’abord humaine, puisque nous collaborons avec beaucoup de personnes non converties, c’est une occasion de témoigner de notre foi. Mais on en apprend aussi sur notre relation avec Dieu, notamment au niveau de la confiance. Par exemple, pour notre premier clip, nous avions prévu un tournage à Neuchâtel, dans une fontaine à moitié vide. En contactant la commune, nous avons appris que cela coûtait plus de 2’000 CHF pour vider la fontaine. Une somme impossible à rassembler, pour nous qui travaillons en amateurs. Le problème était qu’il fallait trouver une date qui convienne aux danseuses, à l’équipe technique et où l’eau de la fontaine soit à bonne hauteur. Nous avons réussi à joindre le fontainier, puis, arrivé devant la fontaine en question, les concierges qui voulaient la nettoyer avaient déjà commencé à vider l’eau. Le jour même, nous avons pu filmer toutes nos scènes et c’est ce clip, qui a lancé l’association Entre racines et envol. Dans certaines situations, nous devons compter entièrement sur Dieu pour plein de petits détails et il agit.  »

Yves Schneeberger filme les futures séquences du clip «  Naître de nouveau  »

La passion de la danse En dehors des réalisations comme le clip «  Naître de nouveau  » ou les comédies musicales, l’activité principale d’Entre racines et envol reste la danse. Deux fois par semaine, des cours de danse moderne jazz sont organisés à La Neuveville (un pour les adultes et un pour les enfants) et un cours parents/ enfants qui fait se rencontrer la danse et le conte. «  L a danse est une expression naturelle et innée des émotions qui rythment nos vies, explique Aurore Schneeberger. Or cette expression

si riche et si particulière à chacun a été uniformisée, standardisée, normalisée … jusqu’à la dépouiller de tout ce qu’elle véhiculait au départ, de sorte que son accès rendu difficile ne soit désormais réservé qu’à une élite seule. Mon intention, avec ces cours de danse, est de proposer un cadre favorisant l’accession à une expression libre du corps par la danse.  »

 www.entre-racines-et-envol.ch

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à bien y penser ...

Sans tambour ni trompette Mon arbre Ce matin, j’ai été réveillé par le bruit caractéristique de tronçonneuses. J’avais été prévenu que les bûcherons allaient venir abattre un bel arbre sur la rue, devant chez moi. Je l’aimais bien, ce grand noyer majestueux qui nous donnait une ombre si agréable aux chaudes journées de l’été. Et puis, il faisait partie de ces deux rangées qui bordaient ma rue en une belle avenue, si lumineuse il y a quelques semaines encore quand leurs feuillages avaient revêtu l’or de leurs habits d’automne. Maintenant, il reste un vide dans ces alignements. Ma rue est comme le sourire d’un petit enfant qui perd ses dents de lait … Mais sourire tout de même  ! Et puis, de belles dents pousseront bientôt dans la bouche du bambin, comme de jeunes arbres pousseront bientôt devant chez moi. Les bûcherons me l’ont promis. Ainsi va la vie. Nous ne sommes que de passage sur cette terre. Mais le temps viendra où nous serons auprès du Père, dans son Royaume. Que ce sera beau  !

  Pierre-André Combremont Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.

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infos

« Pas de Poste sans programme social » Lors de sa visite en Suisse les 24 et 25 octobre, le Général André Cox a appelé tous les chrétiens de Suisse à agir, afin de montrer concrètement l’amour de Dieu à une société qui en a désespérément besoin. Le samedi, le Général Cox s’est adressé aux représentants de l’Œuvre sociale. Il a exprimé son regret que l’Œuvre sociale se soit éloignée de l’Œuvre d’évangélisation au cours des dernières décennies. La professionnalisation du travail social a conduit à ce que les Postes de l’Armée du Salut se distinguent toujours moins des autres paroisses évangéliques. En même temps, elles ont toujours le devoir d’accomplir la mission de l’Armée du Salut, consistant aussi à apporter une aide concrète. «  Il serait naïf de croire que les Institutions sociales puissent répondre à tous les besoins. La pauvreté, la solitude et l’injustice sont encore toujours une réalité au 21e siècle.  » L’Armée du Salut ne peut pas soulager toutes les détresses, en ouvrant une Institution. C’est pourquoi sa vision pour l’avenir se décline ainsi  : «  Pas de Poste sans programme social  !  » Le dimanche, se basant sur 2 Pierre 3  : 10-18, le Général André Cox a posé la question de savoir combien le fait de suivre Christ pouvait coûter. Dans un monde en

Oui, je m’abonne pour une année au mensuel «  Espoir  » pour la somme de CHF 48.– (CHF 67.– étranger)

Nom  : Prénom  : Adresse  :

Localité  : Date  : Signature  : A envoyer à  : Armée du Salut, Service des abonnements, Case postale 6575, 3001 Berne redaction@armeedusalut.ch Le Général André Cox estime que les salutistes doivent plus s’investir dans l’aide concrète au prochain

détresse, l’Armée du Salut n’a pas le droit de se retirer dans ses salles. Elle doit sortir de ses murs et user de son influence  : «  Nous sommes là pour proclamer le message de l’espoir, de l’amour et de la force transformatrice de Dieu.   » Il s’agit de rendre l’amour de Christ visible au travers de notre engagement parmi les hommes. Cela est possible si chaque individu renforce sa relation avec JésusChrist et vit ensuite la plénitude de sa foi en Christ.

Le lieutenant-colonel Allan Hofer a lancé un vibrant appel aux officiers de Postes du canton de Berne, les exhortant à ouvrir leurs portes  : les réfugiés attribués dès à présent à l’Armée du Salut par les autorités (près de 100 personnes par semaine), doivent être hébergés et nourris. 13 Postes se sont déclarés prêts à accueillir ces personnes. Depuis, une cinquantaine de personnes ont été accueillies dans les locaux des Postes du Canton de Berne. La Rédaction

Mensuel de l’Armée du Salut | Laupenstrasse 5 | Case 6575 | CH-3001 Berne | Tél. 031 388 05 91 - Fax  : 031 382 05 91 | Courriel  : redaction@armeedusalut.ch | Internet  : http://www.armeedusalut.ch | CP: 30-3117-4| Abonnement 1 an  : CHF 48.-, CHF 67.- (étranger), CHF 72.- (par avion) | Fondateur  : William Booth | Général  : André Cox | Chef de territoire  : Commissaire Massimo Paone | Rédaction Berne: Florina German (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction  : PierreAndré Combremont, Yverdon-les-Bains / Marianne Hefhaf, Lausanne / Annelise Bergmann, Suchy / Major Jacques Tschanz, La Tour-de-Peilz  | Concept graphique  : Didier Chassagnot | Mise en page  : Sébastien Goetschmann | Imprimerie  : Rub Media, Wabern | Tirage  : CH  :  3000 ex. BE  :  2000 ex. | Crédit photo  : P 1 & 2  : titodixebra_flickr.com, rafademencia_flickr.com, Ministerio de Agricultura - Chile_flickr.com ; P 3  : Roel Wijnants_flickr.com ; P  4  &  5   : Sébastien Goetschmann ; P  7   : Jacques Tschanz ; P  8   :  pamhule_flickr.com  | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines.

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détente

«  De tous les arts, l’art culinaire est celui qui nourrit le mieux son homme.  »

Pierre Dac

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Conceptis Puzzles

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Solution du Sudoku 06010010511

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Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que  : - chaque ligne - chaque colonne - chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths  !

PP

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3001 Berne

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Sudoku


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