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Mensuel de l’Armée du Salut - 126e année - N° 3 - 2016
Société
A la recherche du bonheur Florina German
La recherche du bonheur est une jeune discipline scientifique issue de la sociologie. A la fin du 20e siècle, des chercheurs ont commencé à explorer ce qui fait le bonheur des gens. Les premiers résultats ne surprennent pas : il y a autant de réponses que d’individus à la question de ce qu’est le bonheur.
D’
après les cris de joie qu’elle pousse, le bonheur de notre petite voisine est quand son papa la fait voler au-dessus de sa tête. Le bonheur de ma grand-mère, 98 ans, est de pouvoir encore passer les après-midis d’été allongée dans sa chaise longue au jardin. « Tu fais mon bonheur », chuchotent les amoureux aux oreilles de leurs bien-aimées. Les études qui ont été menées à ce sujet leur donnent raison : ressentir le bonheur est une sensation individuelle. Elle dépend de deux facteurs : les circonstances d’abord et, plus important, la motivation personnelle. Exprimons notre reconnaissance J’ai eu la chance d’accompagner un tournage de la télévision Suisse alémanique dans un abri PC, où l’Armée du Salut héberge 100 réfugiés. Le journaliste avait choisi de montrer la
« Le bonheur est la seule chose qui se double si on le partage. » Albert Schweizer
vie quotidienne de ces personnes qui vivent actuellement par milliers en Suisse, au sous-sol, sans fenêtre. Pour beaucoup d’entre nous, cette façon de vivre serait impensable. Le malheur
d’avoir tout quitté, tout perdu pour certains, nous rendrait amers. Le journaliste interviewait un Irakien dont la religion s’appelle Bahaï. Depuis que cette religion a été séparée offi page 2
A Toi la gloire !
Oser le pardon ?
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société
ciellement de l’islam en 1848, les Bahaïs sont une minorité persécutée. Cet homme d’environ 40 ans a donc dû fuir son pays. Et même si le journaliste lui posait
trois fois la question s’il se sentait oppressé par les conditions difficiles de vivre dans un abri PC, cet homme ne faisait qu’exprimer sa gratitude et son bonheur : « Ici, je suis libre et je ne crains rien. » Et si être heureux signifiait être satisfait et reconnaissant pour les opportunités qui nous sont offertes ?
Savoir apprécier et profiter de ce que l’on a, c’est peut-être cela le début du bonheur
Connaître malheur et bonheur L’écrivain Voltaire disait que nous recherchons le bonheur, comme des ivrognes à la recherche de leur maison. J’ajouterais que parfois, la quête du bonheur nous rend ingrats ou insatiables.
Le bonheur nous semble une chose qui nous est due. Nous ne voyons plus le bonheur, mais nous nous perdons dans la recherche de celui-ci. Enfin, il est tout de même important de comprendre que le bonheur existe aussi dans la différence : nous ressentons beaucoup plus le bonheur quand nous nous retrouvons dans des situations difficiles et dures à vivre. Ou, au contraire, quand nous sortons d’une situation précaire et que nous le retrouvons. Apprenons donc à apprécier le bonheur dans les diverses situations que nous vivons.
Point de vue
Marianne Hefhaf d’un GPS qui lui indique la direction à prendre. En route, cherche la maison !
A chacun son bonheur Bonheur … félicité parfaite. Aspiration de tout homme, quelle que soit sa condition. Autant d’individus, autant de bonheurs différents. Une quête magnifique et de longue haleine. Voltaire, réaliste et amer, affirme : « Nous recherchons tous le bonheur, mais sans savoir où. Comme des ivrognes qui recherchent leur maison, sachant confusément qu’ils en ont une. » Point de départ intéressant. Et si la recherche du bonheur commençait par essayer de trouver un sens à
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notre vie, et de passer de l’état d’ivrogne, titubant, tâtonnant et incertain à l’état d’homme sobre qui sait où il va ? La quête du bonheur, « la maison à trouver » deviendrait déjà moins floue, moins aléatoire, moins titubante. Pourquoi, pour quoi, suis-je sur terre ? Suis-je juste un ivrogne balloté par le hasard, ou plutôt le fruit de la volonté de ce « Tout Autre » qui régit le Temps, l’Espace, l’Univers tout entier ? Quand Dieu est à la première place dans une vie, la recherche du bonheur bénéficie dès lors
« Il y a plusieurs demeures dans la maison de mon Père. Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Et je vais vous préparer une place. » (1) C’est le Christ qui l’affirme : autant d’hommes, autant de quêtes différentes ; dans la maison du Père il y a une demeure particulière pour chacun, unique comme nous sommes uniques. Et, honneur insigne, le Fils du Très-Haut nous assure qu’il nous prépare la place. J’ose dire que comme promoteur immobilier … il est le meilleur ! Il nous connaît sur le bout du doigt.
« Oui, le bonheur et la grâce m’accompagneront tous les jours de ma vie, et j’habiterai dans la maison de l’Eternel jusqu’à la fin de mes jours. » (2) Le GPS me donne la direction pour ma recherche du bonheur. Moteur ! (1) Evangile de Jean, chapitre 14, verset 2 (2) Psaumes, chapitre 23, verset 6
évangile
A Toi la gloire ! Pierre-André Combremont
Dans la Bible Le premier jour de la semaine, elles se rendirent au sépulcre de grand matin, portant les aromates qu’elles avaient préparés. Elles trouvèrent que la pierre avait été roulée de devant le sépulcre et, étant entrées, elles ne trouvèrent pas le corps du Seigneur Jésus. Comme elles ne savaient que penser de cela, voici, deux hommes leur apparurent, en habits resplendissants. Saisies de
A
Toi la gloire, O Ressuscité ! A toi la victoire Pour l’éternité !
Les paroles de ce cantique, certainement un des plus connus de tout le protestantisme, éclatent de joie au matin de Pâques pour célébrer la grandeur de Jésus, Fils de Dieu, le Ressuscité, qui a vaincu la mort qu’il a soufferte sur la croix. Ce texte a été écrit par le pasteur Edmond Budry (1854 – 1932), en charge de la paroisse réformée de Vevey, en 1884. Ces paroles prennent toute leur puissance, portées qu’elles sont par la musique de Georg Friedrich Haendel (1685 – 1759), tirée de l’Oratorio « Juda Macchabée ». Cette version, publiée pour la première fois en 1885 sous forme de chœur pour quatre voix d’hommes, est connue par cœur par beaucoup de protestants. Traduite en plusieurs langues, elle est en
frayeur, elles baissèrent le visage contre terre, mais ils leur dirent : pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant ? Il n’est point ici, mais il est ressuscité. Souvenez-vous de quelle manière il vous a parlé, lorsqu’il était encore en Galilée, et qu’il disait : Il faut que le Fils de l’homme soit livré entre les mains des pécheurs, qu’il soit crucifié et qu’il ressuscite le troisième jour. Elles se sou-
vinrent des paroles de Jésus. A leur retour du sépulcre, elles annoncèrent toutes ces choses aux onze et à tous les autres. Celles qui dirent ces choses aux apôtres étaient Marie de Magdala, Jeanne, Marie, mère de Jacques, et les autres qui étaient avec elles. La Bible, Evangile de Luc, chapitre 24, versets 1 à 10
quelque sorte comme l’étendard de la foi réformée. Elle fut longtemps ignorée par les autres confessions. Mais, reprise en clôture de la liturgie de la messe de Pâques à la cathédrale de Versailles, elle a fait l’objet d’échanges plutôt vifs entre personnalités de l’Eglise catholique romaine en France. Les uns étaient entièrement opposés à cette pratique, tandis que d’autres, plus ouverts, l’ont chaudement approuvée, comme une ouverture à l’œcuménisme. L’abbaye de Sylvané en a même publié une adaptation qui comprend 10 versets ! Ce chant est une proclamation : « Il est vivant, Celui qui change la vie, qui nous donne l’espérance vraie ». Aujourd’hui il est chanté non seulement à Pâques, mais à l’occasion de nombreuses célébrations, dont des obsèques, pour exprimer la gloire du Christ ressuscité et sa victoire sur la mort, promesse de la vie éternelle pour tous ceux qui placent leur attente
Heureusement, Jésus n’est pas resté cloué sur la croix, il est vivant
en Jésus, leur Sauveur. Craindrais-je encore, Il vit à jamais, Celui que j’adore, Le Prince de paix. Il est ma victoire, Mon puissant soutien, Ma vie et ma gloire, Non je ne crains rien !
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témoignage
Oser le pardon ? En mai 2013, Marie (19 ans) était enlevée, puis assassinée. Antoine et Evelyne Schluchter, ses parents, ont fait le choix difficile mais libérateur du pardon. C’est sur ce thème que le pasteur de Villars-sur-Ollon a donné une conférence, vendredi 5 février, à Couvet. Propos recueillis par Sébastien Goetschmann
ne voudrait certainement pas que nous nous morfondions. Un mois après cette tragédie, le baptême de notre petit-fils était déjà programmé. Nous aurions pu tout annuler, mais nous avons choisi de célébrer la vie. »
Invité par les Eglises évangéliques et réformées du Val-deTravers, ainsi que l’Armée du Salut de Fleurier, Antoine Schluchter et son épouse Evelyne ont parlé de leur choix de continuer à vivre après ce tragique événement. « A l’annonce de l’enlèvement de Marie, puis de son décès, nous étions comme dans un monde à part, explique Antoine Schluchter. Le surlendemain, il a fallu faire un choix : nous replier sur nous-mêmes ou continuer à vivre. J’ai choisi d’oser sortir de chez nous, même si je ne savais pas comment réagir en croisant les gens du village. Cela m’a donc également demandé de sortir de moi-même pour aller à la rencontre de l’autre. C’est aussi une manière d’honorer notre fille : elle
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Prendre du recul Comme il l’a écrit dans son livre, « Survivre ? C’est vivre avec quelque chose en plus qui change tout : l’espérance. » En tant que chrétien, Antoine Schluchter a la conviction que la mort n’est pas la fin, comme le suggère le sous-titre de son premier livre « Je te salue Marie, ma fille - 19 ans, un jour et l’éternité ». Bien que l’assassin de Marie ait voulu la contrôler jusqu’à son dernier souffle, Antoine réussit à mettre les choses en perspective : « 19 ans durant, soit environ 7 000 jours, il n’a eu aucune prise sur Marie. Un seul jour a tout changé, mais je sais que ce jour n’est pas le dernier, il reste encore l’éternité. Cela permet de minimiser cette unique journée, sans pour autant occulter ce qui s’est passé et le manque qui en découle. » Expérimenter le pardon Très vite, le pardon s’est imposé comme une évidence pour pouvoir continuer à vivre. « Le pardon, je l’ai déjà expérimenté à 20 ans,
explique Evelyne Schluchter. Mon frère a été tué à Madagascar. Il m’a fallu du temps pour pardonner à cet homme qui a détruit ma famille. Mais j’ai tellement souffert de la haine et de la vengeance que j’ai dit à Antoine que je ne voulais plus jamais revivre cela. » Lorsqu’il parle du meurtrier de sa fille, Antoine affirme ne pas éprouver de haine à son égard, bien que l’inspecteur en charge de l’enquête décrive cette personne comme étant le mal absolu. « En tant que chrétien, nous aspirons tous au pardon, mais ce n’est pas naturel. C’est un choix. Le choix de s’extirper de la spirale de la haine et de la vengeance, de ne pas porter ce poids harassant. Comme Jésus sur la croix demandant à Dieu de pardonner à ses bourreaux1, nous avons choisi de tout remettre à Dieu. » Oui, pardonner est un choix difficile, mais c’est le choix de la liberté et de la vie. « Pardonner ne signifie pas accepter ce qui s’est passé, poursuit Antoine Schluchter. En lisant le compte rendu de ce qu’a été véritablement l’exécution de ma fille, c’est insupportable. Mais je refuse de me laisser ronger par la haine. Comme Jésus, je remets le pardon entre les mains de Dieu.
témoignage
« L’obscurité ne peut pas chasser l’obscurité ; seule la lumière le peut. La haine ne peut pas chasser la haine ; seul l’amour le peut. » Antoine Schluchter a décidé d’appliquer cette citation de Martin Luther
D’ailleurs certaines traductions de la prière du Notre Père parlent de remettre les dettes de ceux qui nous offensent. Nous le remettons donc à Dieu. » Le pardon : une attitude de vie Cette attitude nous pose la question du pardon dans nos vies, au quotidien : « Alors Pierre s’approcha de lui, et dit : Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu’il péchera contre moi ? Sera-ce jusqu’à sept fois ? Jésus lui dit : Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à septante fois sept fois. » 2 Quand on lui demande pourquoi Dieu a laissé faire cela à un de ses serviteurs, il avoue qu’être chrétien
ne protège pas de la souffrance. « Je n’ai jamais douté de Dieu, mais j’ai douté de l’humanité. Dieu nous promet d’être avec nous, non pour nous préserver, mais pour nous porter dans les difficultés. »
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« Jésus dit : Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font. » La Bible, Evangile de Luc, chapitre 23, verset 34 2
La Bible, Evangile de Matthieu, chapitre 18, versets 21 et 22
Si Antoine Schluchter a choisi d’écrire ce n’est pas premièrement pour les effets thérapeutiques, mais parce qu’il a ressenti l’empathie de nombreuses personnes. « Les gens se sont connectés à notre histoire », dit-il. Le premier livre « Je te salue Marie, ma fille - 19 ans, un jour et l’éternité » est un hommage à sa fille, mais aussi un message d’espérance, car il célèbre la vie. Son second ouvrage « En traversée - de la perte au procès, de peine et de paix », sorti peu avant le procès de l’assassin de Marie, raconte la suite de sa vie. Ce voyage, fait de rencontres diverses est sa façon d’avancer, entre peine et paix, entre intériorité et partage.
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à bien y penser ...
Sans tambour ni trompette Toujours vivant, toujours debout Tout récemment, le chanteur français Renaud Séchan a sorti un nouveau single « Toujours debout », après de nombreuses années de silence. Plusieurs journaux n’ont pas hésité à comparer ce retour inespéré au phénix qui renaît de ses cendres. Il est vrai que « le chanteur énervant » est passé par des heures de sombre nostalgie. D’ailleurs, Renaud lui-même affirme dans cette chanson être ressuscité. En cette période précédant Pâques, je ne peux m’empêcher de penser à Celui qui est réellement mort et ressuscité. Jésus-Christ. « Car il est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes ; il est revenu à la vie, et c’est pour Dieu qu’il vit. » (La Bible, lettre aux Romains, chapitre 6, verset 10). Oui, Christ vit, et il vit à toujours ! Et nous aussi pouvons accéder à la vie éternelle, en croyant que Christ est mort et ressuscité pour rétablir notre relation avec Dieu. Ainsi, nous aussi pouvons affirmer que nous serons toujours vivants, toujours debout.
Sébastien Goetschmann Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.
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infos
Culte de sanctification à La Louvière Dimanche 31 janvier 2016 a été un jour spécial pour le Poste de Bruxelles 2 et la ville de La Louvière, où l’Armée du Salut tient un Avant-Poste.
L’Armée du Salut a commencé une œuvre d’évangélisation depuis le mois de février 2015, à La Louvière, en organisant une cellule de prière chez l’habitant. Les majors Mike et Ruth Stannett, officiers régionaux, accompagnés de la major Danièle Cesar, étaient les invités d’honneur de ce culte de sanctification, auquel les membres du Poste de Bruxelles 2, mais également une forte mobilisation de membres et de responsables d’autres Postes (Anvers, Quaregnon, ...) étaient présents. Des moments très forts ont été vécus avec la participation des tambourinaires, du groupe de louange de l’Armée du Salut de La Louvière, de la fanfare, du groupe rythmique et de la chorale du Poste de Bruxelles 2. Mais surtout, un miracle s’est produit, lors de ce tout premier culte : deux personnes ont déclaré donner leur vie à Christ !
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Nom : Prénom : Adresse :
Localité : Date : Signature : A renvoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, 34, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains, 1000 Bruxelles Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org
Les membres de l’Avant-Poste de La Louvière se retrouvent sous forme de cellule de maison depuis un an
Le major Mike Stannett a témoigné à l’assemblée, comment il avait adhéré à l’Armée du Salut : grâce à l’invitation d’un salutiste, il a découvert les sons de la fanfare, de la chorale, des tambourins et l’uniforme, qu’il n’avait pas l’habitude d’entendre et de voir. Mais il a vite compris qu’au-delà des sons de la fanfare, de la chorale, des tambourins et de l’uniforme,
se trouvait quelque chose qu’il n’avait pas et qu’il désirait, Jésus. C’est suite à ce témoignage, que deux des invités ont affirmé vouloir suivre Jésus et s’engager désormais à l’Armée du Salut de La Louvière. A Dieu soit la gloire pour ce travail d’évangélisation ! Capitaine André Masende, officier du Poste de Bruxelles 2
Mensuel de l’Armée du Salut | Editeur responsable : Major Mike Stannett, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains 34 | BE1000 Bruxelles | Tél. 02 513 39 04 - Fax: 02 513 81 49 | Courriel : Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org | Internet : www. armeedusalut.be , www.legerdesheils.be | Abonnement 1 an : 7.5 (13,5 étranger) | Fondateur : William Booth | Général : André Cox | Chef pour la Belgique : Major Mike Stannett | Rédaction Berne: Florina German (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont / Marianne Hefhaf / Annelise Bergmann / Major Jacques Tschanz | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Sébastien Goetschmann | Imprimerie : Rub Media, Wabern | Tirage : CH: 3 000 ex. BE : 2 000 ex. | Crédit photo : P 1 & 2 : Ennor_flickr.com, maxime delrue_flickr.com, guah_flickr. com ; P 3 : Philippe Demeyere_flickr.com ; P 4 & 5 : Sébastien Goetschmann, MAD ; P 7 : Armée du Salut Belgique ; P 8 : Vermin Inc_flickr.com | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se Membre de l’Union fonde sur la Bible. Son ministère est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de des Editeurs de la soulager, en son nom, sans distinction aucune, les détresses humaines. Presse Périodique
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détente « J’ai connu le bonheur, mais ce n’est pas ce qui m’a rendu le plus heureux. » Jules Renard
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Solution du Sudoku 06010010513
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Conceptis Puzzles
Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que : • chaque ligne • chaque colonne • chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths !
3001 Berne
8 5 2 9 6 1 1 4 2 9 3 8 7 5 8 4 6 8 2 7 5 3 7 1 4
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Sudoku