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Mensuel de l’Armée du Salut - 126e année - N° 6 - 2016
Société
Vivre, encore et toujours ! Lieutenant Michaël Druart, Poste de Liège
Mardi 22 mars, 8h30. Nous sommes en gare de Liège pour nous rendre à l’assemblée générale de l’Armée du Salut à Bruxelles. Avec mon épouse, nous prenons un café, quand mon téléphone affiche un message « Alerte attentat Bruxelles ».
T
out semblait pourtant normal. Nous demandons à deux policiers ; ils confirment les faits : « Ça a pété à l’aéroport, un collègue est mort ! » Nous percevons la crainte et la pression qui reposent sur ces personnes chargées de nous protéger. Je pose ma main sur son épaule : « Bon courage à vous tous. » Je me sens limité dans mes mots à cet instant. Pendant que nous discutons, un autre attentat éclate dans le métro. « N’allez pas à Bruxelles, rentrez chez vous, on ne sait pas comment va se passer la journée, appelez vos collègues pour annuler votre réunion. »
Les marques de condoléances ont afflué sur la place de la Bourse à Bruxelles
La terreur envahit l’Europe. Ces faits font écho en moi par rapport à des événements qui se sont passés il y a deux mille ans. « Après le sabbat, à l’aube du premier jour de la semaine, Marie de Magdala et l’autre Marie allèrent voir le sépulcre. Et voici, il y eut un grand tremblement de terre ; car un ange du Seigneur descendit du ciel, vint rouler
la pierre, et s’assit dessus. Son aspect était comme l’éclair, et son vêtement blanc comme la neige. Les gardes tremblèrent de peur, et devinrent comme morts. Mais l’ange prit la parole, et dit aux femmes : ‹ Pour vous, ne craignez pas ; car je sais que vous cherchez Jésus qui a été crucifié. Il n’est point ici ; il est ressuscité, comme il l’avait dit.
Jésus fait route avec nous page 3
Venez, voyez le lieu où il était couché, et allez promptement dire à ses disciples qu’il est ressuscité des morts. Et voici, il vous précède en Galilée : c’est là que vous le verrez. Voici, je vous l’ai dit. › Elles s’éloignèrent promptement du sépulcre, avec crainte et avec une grande joie, et elles coururent porter la nouvelle aux disciples. Et voici, Jésus page 2
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société
vint à leur rencontre, et dit : ‹ Je vous salue. › Elles s’approchèrent pour saisir ses pieds, et elles se prosternèrent devant lui. Alors Jésus leur dit : ‹ Ne craignez pas ; allez dire à mes frères de se rendre en Galilée : c’est là qu’ils me verront. › » 1 Ce récit me surprend toujours tantôt par ses aspects sensationnels tantôt par ses contrastes : tremblement de terre, présence d’un ange, rencontre avec Jésus ressuscité et les femmes qui lui tiennent les pieds, terreur des soldats, crainte et joie des deux femmes. Tout va si vite, trop vite même, suscitant des questionnements, des doutes et parfois, la foi. Plus rien ne sera comme avant Depuis le 11 septembre, on entendait dire : « Plus rien ne sera comme avant ! Quelque chose a changé ! » Le monde, notre Belgique seront différents à dater du 22 mars 2016. Il y a 2 000 ans, il s’est aussi passé quelque chose qui nous fait dire : « Rien ne sera plus comme avant ! » Un « nouveau jour ! » ; ce jour où des femmes se sont rendues à un tombeau qu’elles ont trouvé vide. Comment réagir ? Tristesse, lamentations ?
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Je ne pense pas que le mal fait au Seigneur doit nous abattre, tout comme le mal provoqué par des extrémistes, dont le cœur est aussi dur que cette pierre tombale qui n’a pour mission que de nous tenir enfermés. Oui nous sommes touchés, blessés, endeuillés, mais nous sommes encore là pour dire : « Nous sommes vivants ; nous crions pour ceux et celles qui ne peuvent plus le faire. » Je repense à ces propos de Jésus : « Si quelqu’un te frappe à la joue, tend aussi l’autre. » 2 Difficile à accepter en de telles circonstances. On n’est pas fous ! Devant une kalachnikov ou des explosifs, on se fait tout petit, on se cache … On ne tend pas l’autre joue. « Tendre l’autre joue ! » Comment en comprendre le sens ? Pâques nous donne l’occasion de nous rappeler les enseignements d’un homme torturé, injustement condamné à mort pour avoir trop aimé. En cette période, j’ai envie d’écrire ma colère et aussi ma joie. Quand Jésus dit de tendre l’autre joue, il nous dit : « Montre un autre visage de toi-même ! Ne te laisse pas victimiser ! » Ça surprend. Jouer la surprise Surprendre : c’est ce que nous devons faire face à celui qui nous frappe. Dans le geste de tendre la joue, il y a cette action de tourner la tête, et cela nous rappelle le sens de la conversion, se retourner pour surprendre, agir pour interpeller ceux qui ont pour mission de faire mal, de tuer. C’est ce qu’a fait Diana, elle est soprano. Ce 23 mars, à la Bourse, elle a surpris et ému les gens venus se rassembler, en chantant un opéra de Haendel après la minute de silence. « On a besoin d’amour : chanter était une évidence », dira-t-elle.
Au pied de la Bourse, c’est la surprise, on entend des applaudissements, de la musique, des chants, … Non, le mal n’aura pas le dernier mot ; des signes de vie sont là, évidents. Les terroristes ont fait éclater des bombes pour détruire, disperser, … et c’est tout le contraire qui se produit ; le peuple, le pays, les religions se sont rassemblés, rapprochés. Le peuple s’est réuni pour prier, chanter, applaudir, manifester la vie et l’unité, la solidarité. Voilà une réaction surprenante. C’est la même situation quand les deux femmes arrivent au tombeau. Des gardes avaient été placés pour surveiller que le corps ne soit pas volé, au final, même avec deux gardes et une grosse pierre, le tombeau sera vide, la peine sera changée en joie. Le mal n’aura jamais le dernier mot. C’était vrai il y a 2 000 ans, ça l’est encore aujourd’hui. Nous avons besoin de montrer que nous sommes des « vivants ». Le mal a donné la possibilité au peuple de ressusciter à son tour, nous sommes unis plus que jamais, nos mains se tiennent quelles que soient nos croyances, notre culture, nos convictions. Ce malheur a fait sauter la pierre qui tenait fermé le « tombeau » de ma vie. J’ai envie de crier, d’exprimer ce que je porte en moi, je suis bien vivant ; mon cœur libéré se met à battre. Je veux crier que j’ai de l’amour à donner à mes frères et sœurs musulmans, que j’aime la vie, que je désire la paix. Ça fait du bien de ressusciter !
1 La
Bible, Evangile de Matthieu, chapitre 28, versets 1 à 10 2 La
Bible, Evangile de Matthieu, chapitre 5, verset 39
évangile
Jésus fait route avec nous Priscille Tschanz
Dans la Bible « Ce même jour, deux disciples de Jésus se rendaient à un village appelé Emmaüs. Ils parlaient de tout ce qui s’était passé. Pendant qu’ils parlaient et discutaient, Jésus lui-même s’approcha et fit route avec eux. Jésus leur demanda : De
L
es disciples sont en chemin, ils sont tristes. Jésus, leur ami et Maître, a été crucifié. Ils s’éloignent de Jérusalem, ce lieu maudit, et ils ont besoin d’en parler. Contrairement à ce que l’on croit, quand on perd un être cher, ça fait du bien de parler de lui, c’est une façon pour nous humains de permettre à celui qui nous a quittés de continuer de vivre dans nos cœurs. Jésus avait annoncé sa résurrection à ses disciples, mais le chagrin les empêche de s’en souvenir, ils sont focalisés sur sa mort, et c’est bien compréhensible.
Une fois ressuscité, la priorité de Jésus est de rejoindre ses disciples. Il s’approche d’eux, ce faisant, il se fait proche, s’intéresse, établit un contact, leur fait comprendre qu’ils sont importants. Puis, il les questionne. Démarche pleine de tendresse et d’intérêt sincère. En leur permettant de mettre des
quoi discutez-vous en mar- vouloir aller plus loin. Mais chant ? L’un d’eux, appelé ils le pressèrent en disant : Cléopas, lui dit : Es-tu le seul Reste avec nous, car le soir habitant de Jérusalem qui ne approche. » connaisse pas les événements qui s’y sont passés ? La Bible, Evangile de Luc, Lorsqu’ils furent près du vilchapitre 24, extraits des versets lage où ils allaient, Jésus parut 13 à 19 et 28 à 30
mots sur ce qui les attriste, Jésus partage leur chagrin et l’allège en même temps. Jésus ne s’impose pas, il fait mine de poursuivre son chemin. Les disciples le prient de rester avec eux et Jésus, encore une fois, répond à leur attente. N’en doutons pas. Comme les disciples, nous sommes précieux aux yeux de Jésus. Tout ce qui nous préoccupe l’intéresse. Jésus nous a promis qu’il serait avec nous jusqu’à la fin du monde*. Il fait route avec nous et avec tous ceux qui souffrent, ceux qui errent en ce moment sur les routes, ceux qui fuient l’horreur. Mais attention à ne pas faire l’amalgame, Jésus n’est pas responsable de la cruauté des hommes, ce qu’il nous offre, c’est d’accompagner chaque être humain sur son chemin de vie, quel qu’il soit, et particulièrement les personnes victimes de toutes formes, et de la folie humaine.
Vous qui lisez ces lignes si vous êtes tristes, effondrés par la perte d’un être cher, par la perte de votre travail, par la maladie, vous qui êtes victimes de l’horreur ; à vous qui faites de la survie, Jésus veut remplir votre vie de sa présence et cheminer avec vous, vous consoler, vous réconforter et vous soutenir.
Peu importe le chemin sur lequel nous nous trouvons et si l’horizon est dégagé ou non, Jésus propose de faire route à nos côtés
Par expérience je peux certifier qu’il intervient si on le désire et qu’on le lui demande.
* La Bible, Evangile de Matthieu, chapitre 28 , verset 20
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réfugiés
Agir à notre niveau L'immigration de masse, cela vous dit certainement quelque chose. Le terme est peut-être exagéré, mais il pose tout de même quelques questions : Comment réagir face à une vague de requérants d'asile ? Comment peut-on s'engager personnellement pour que la situation ne vire pas au drame ? Annelise Bergmann
La migration est loin d'être un phénomène nouveau
Allez, on en remet une couche ; pas un jour sans que les médias ne nous en parlent. Sous toutes les formes, avec plus ou moins de sensibilité, de sincérité, d’objectif de récupération politique ou autre. A croire qu’on vient d’inventer le concept ; les flux migratoires. Allons donc : les oiseaux qui enchantent nos printemps sont pour la plupart des migrateurs ; vous et moi sommes issus d’un immense brassage ethnique sur des centaines d’années, suite à l’arrivée d’envahisseurs venus du nord, suite à l’installation de populations poussées par les famines, déplacées par des guerres de religion ou une multitude d’autres bonnes raisons. Faut-il pour autant sombrer dans un angélisme béat et refuser de voir les immenses défis qui sont devant nous, confrontés que nous sommes à l’arrivée massive de requérants
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d’asile politique ou humanitaire ? Mon propos n’est certes pas de faire ici une analyse poussée des tenants et aboutissants, et encore moins une critique de tous ceux qui tentent de se mettre à l’ouvrage devant l’immensité de la tâche. J’essaye juste de réfléchir, en citoyenne, en femme, en mère, en chrétienne. J’essaye de prendre mes responsabilités, à mon niveau. La pauvreté qui pousse certains à s’endetter pour risquer mille fois la noyade dans les flots de la Méditerranée n’est pas une fatalité. Que peut faire le cultivateur africain qui ne peut plus vendre ses produits agricoles sur un marché inondé par des produits européens moins chers ? Il va, pour un salaire d’esclave, cultiver des fruits et légumes dans les immenses plaines maraîchères du Sud de l’Europe. Fruits et légumes qui coûteront
moins chers à produire et seront exportés en Afrique. Et ainsi de suite. De même, nous avons soigné notre mauvaise conscience en exportant nos vêtements usagés, et, avec les meilleures intentions du monde, ruiné les artisanats textiles locaux. Nos politiques agroalimentaires ont favorisé la monoculture, inventé des semis hybrides qui sont stériles et nécessitent de coûteux engrais. Nos appareils électroniques fonctionnent grâce à des matériaux rares qui génèrent des guerres sanglantes et font travailler des enfants dans des conditions parfaitement scandaleuses. La guerre non plus n’est pas une fatalité ; nos politiciens ne dénoncent pas toujours des régimes qui financent ouvertement le terrorisme, mais chatouillent nos porte-monnaie. Et je suspends ici l’énumération de toutes nos implications plus ou moins conscientes dans ce désastre qui emmène des milliers, des millions d’humains à nos frontières. Il est très difficile d’agir. Très difficile de faire juste, ou de faire le moins mal possible. Il n’y a pas une, mais mille manières de penser nos habitudes de consommation, de retrousser les manches pour s’engager à notre échelle, d’ouvrir nos cœurs et peut-être nos bourses ou nos maisons pour accueillir au mieux ceux qui sont là et, si possible,
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arrêter l’hémorragie dans ces pays qui se vident de leurs forces vives. Il nous est juste demandé de faire ce qui est à portée de nos mains, avec le peu que nous avons, et le peu que nous sommes. Plutôt que
de serrer nos poings, ouvrons nos mains et joignons-les en prière pour nous laisser inspirer par l’amour inventif de notre Père à tous.
De petits bonshommes de neige comme bricolage d'hiver : les enfants apprécient les après-midi bricolage
L'Armée du Salut en action Dans le domaine de l’aide aux réfugiés, l’Armée du Salut a été très active ces derniers temps. Plusieurs Postes (paroisses salutistes) ont accueilli des migrants, jusqu’à ce que d’autres Centres d’accueil ne soient ouverts. Mais l’aide ne s’arrête pas là pour autant. Un accueil inconditionnel Au Poste de Malleray, trois familles de réfugiés ont séjourné du 11 novembre au 22 décembre 2015. Depuis, onze lits ont pu être distribués pour des réfugiés déjà placés en appartement. Ces lits avaient été donnés par un hôtel qui changeait son mobilier et stockés quelques temps au Poste. A Malleray, un groupe de travail nommé « Réseau migration Valbirse » est né sous l’impulsion
des Eglises de la commune. Il regroupe des représentants des Eglises (Armée du Salut, Réformée, Catholique) et des habitants du village. Le 24 mars 2016, dans les locaux de la paroisse réformée, un magasin itinérant avec un espace café a été organisé. Les habitants de la commune pouvaient apporter des produits utiles pour les réfugiés (riz, couscous, habits, chaussures, poussettes, ...) et des pâtisseries pour agrémenter l’espace café. Une journée de sport et solidarité est prévue le 19 juin. Le but est de faire un pique-nique réunissant les requérants d’asile et la population locale, et de continuer par une journée de sport. « Un Afghan m’a partagé son désir de faire du vélo, alors je lui cherche un vélo et un club cycliste », explique le lieutenant Yanick Termignone, responsable du Poste de Malleray. « Le travail que nous faisons pour l’instant est un
travail d’inclusion des réfugiés dans la population. C’est pour cela que nous les invitons à participer à nos activités : repas, heure de joie, ... » Ouvrir ses locaux Depuis fin novembre 2015, au Poste de Tramelan, les enfants qui sont placés dans le Centre d’Accueil pour réfugiés du village, peuvent participer à un après-midi bricolage et jeux, tous les lundis. Entre vingt et trente enfants, de 2 à 12 ans, mais aussi quelques adultes viennent profiter de ces moments conviviaux, encadrés par trois à quatre personnes du Poste. « Nous mettons à disposition les jeux de la garderie, puis nous proposons une activité bricolage et après le goûter, nous faisons des jeux en équipe », explique la capitaine Muriel Donzé, responsable du Poste. « Les enfants sont heureux de venir, même s’il est parfois difficile de nous comprendre, les illustrations nous permettent de leur apprendre un peu le français. » De plus, la salle du Poste est mise à disposition les lundis et vendredis de 18h à 20h, pour que des Erythréens orthodoxes puissent vivre leur célébration selon leur coutume. Depuis le 13 mai 2016, la salle est aussi mise à disposition les vendredis de 9h à 11h ou de 14h à 16h pour un « point-contact ». Ce sont les Eglises de Tramelan qui organisent, à tour de rôle, l’accueil, le café, les animations et les discussions. Ce lieu devrait également donner l’occasion aux réfugiés de se faire aider sur certaines questions administratives.
Sébastien Goetschmann
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à bien y penser ...
Sans tambour ni trompette Comme à vélo Vous avez certainement déjà entendu cette expression : « C’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas. » Elle m’est revenue en tête tout dernièrement. Je donne des cours de soutien en mathématiques, une matière que je n’ai plus « pratiquée » depuis de nombreuses années. Certes, je n’avais pas tout oublié, mais il faut se remettre en selle, concrètement pour que les choses reviennent. En effet, certains savoirs ne se perdent pas. Il n’empêche que seule la mise en pratique de ces savoirs porte des fruits. Malheureusement, ma vie de foi suit également un peu ce principe. Je connais beaucoup de choses de la Bible, je la lis, connais des versets par cœur, ... Et c’est bien, mais dans tout cela, je me rends compte que j’oublie parfois de simplement vivre ma relation avec Jésus. D’être juste à l’écoute de ce que lui veut me dire par l’intermédiaire du Saint-Esprit. Bref, d’expérimenter ma foi au lieu de seulement l’intellectualiser. Alors en selle !
Sébastien Goetschmann Le dessinateur Alain Auderset nous invite à la réflexion. Chaque mois vous trouverez une nouvelle BD à cet endroit.
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infos
Chrétiens en fête Le 9 avril 2016, à Namur (capitale de la Wallonie) plus de 2 000 chrétiens se sont rendus à la grande manifestation « Chrétiens en fête ».
Nom : Prénom : Adresse :
L’invité principal de la journée, le pasteur Claude Houde, venu du Canada, nous a conduits à vivre l’unité au sein des différentes Eglise représentées, en communion avec les pasteurs, les diacres et toutes les personnes impliquées dans la communauté. Une Eglise vivante et grandissante est le résultat d’un arrêt des critiques multiples au sein des communautés et la vigilance à cet égard. L’Armée du Salut belge était représentée par une quarantaine de personnes venant de trois Postes. Dans le village découverte, un stand permettait d’avoir un aperçu de l’historique de l’Armée du Salut, ainsi que de son travail en Belgique et au niveau international.
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Localité : Date : Signature :
Plus de 2 000 chrétiens se sont réunis à Namur, lors de la manifestation « Chrétiens en fête ». L’Armée du Salut y tenait un stand présentant le mouvement en Belgique et international
A renvoyer à : Armée du Salut, Service des abonnements, 34, Pl. du Nouveau Marché-aux Grains, 1000 Bruxelles Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org
Major Bertrand Lüthi, Poste de Jumet
Mensuel de l’Armée du Salut | Editeur responsable : Major Mike Stannett, Pl. du Nouveau Marché-aux-Grains 34 | BE1000 Bruxelles | Tél. 02 513 39 04 - Fax: 02 513 81 49 | Courriel : Mike_Stannett@bel.salvationarmy.org | Internet : www. armeedusalut.be , www.legerdesheils.be | Abonnement 1 an : 7.5 (13,5 étranger) | Fondateur : William Booth | Général : André Cox | Chef pour la Belgique : Major Mike Stannett | Rédaction Berne: Florina German (responsable), Sébastien Goetschmann | Equipe de rédaction : Pierre-André Combremont / Marianne Hefhaf / Annelise Bergmann / Major Jacques Tschanz | Concept graphique : Didier Chassagnot | Mise en page : Sébastien Goetschmann | Imprimerie : Rub Media, Wabern | Tirage : CH: 3 000 ex. BE : 2 000 ex. | Crédit photo : P 1 & 2 : saigneurdeguerre_flickr.com ; P 3 : Bibliomancienne_flickr. com ; P 4 & 5 : ashokboghani_flickr.com, MAD ; P 7 : Armée du Salut Belgique ; P 8 : Med PhotoBlog_flickr.com | L’Armée du Salut, mouvement international, appartient à l’Eglise chrétienne universelle. Son message se fonde sur la Bible. Son ministère Membre de l’Union est inspiré par l’amour de Dieu. Sa mission est d’annoncer l’Evangile de Jésus-Christ et de soulager, en son nom, sans distincdes Editeurs de la tion aucune, les détresses humaines. Presse Périodique
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détente « L'étranger, c'est votre miroir qui le renvoie. » Léo Campion
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Conceptis Puzzles
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Solution du Sudoku 9 5 1 6 8 3 7 4 2
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Règle du jeu En partant des chiffres déjà inscrits, remplissez la grille de manière à ce que : • chaque ligne • chaque colonne • chaque carré de 3x3 contiennent une seule fois les chiffres de 1 à 9. Pas besoin d’être fort en maths !
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Annoncer les rectifications d’adresses
Sudoku